Mot du coordonnateur intérimaire

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1 Mot du coordonnateur intérimaire Michael Ross Acting Coordinator L Institut de développement durable des Premières Nations du Québec et du Labrador (IDDPNQL) a le plaisir d éditer le premier numéro de son bulletin semestriel d information consacré aux enjeux de développement durable des Premières Nations. Au Québec, les Premières Nations font face, depuis quelques années, à un nombre croissant d enjeux qui affectent leurs droits et leurs intérêts sur le territoire. Le développement et l utilisation croissante du territoire apportent des changements majeurs qui affectent la qualité et la protection des territoires, la sauvegarde de la culture et des langues autochtones, les pratiques traditionnelles, et le développement social et économique des Premières Nations. Ce premier bulletin vient à un moment important de la vie de l Institut marqué par la volonté ferme affichée par son équipe de bien soutenir les Premières Nations pour qu elles prospèrent dans un environnement sain et durable, tant actuel que pour les prochaines générations. L Écho de l IDDPNQL Vol. 1, no 1 Octobre 2013

2 La mission de l IDDPNQL L IDDPNQL est un organisme à but non lucratif créé en 2000, à la demande des chefs de l Assemblée des Premières Nations du Québec et du Labrador (APNQL). Le mandat de l Institut consiste à appuyer les Premières Nations dans la gestion durable de leurs ressources, à créer des outils efficaces ainsi qu à répondre aux besoins des chefs et de leurs communautés. Ce soutien se matérialise notamment par la formation, la création d outils, la diffusion d information, l organisation de colloques et d ateliers, le suivi des besoins ainsi que la surveillance des dossiers environnementaux, sociaux et économiques qui touchent directement les Premières Nations. Un plan d action stratégique L IDDPNQL s est doté d un plan d action stratégique qui comporte trois axes principaux de travail : Planification, aménagement et gestion durable des territoires La planification, l aménagement et la gestion durable des territoires reposent sur la volonté des Premières Nations de protéger leurs communautés, leur territoire et l environnement, et d utiliser de façon efficace et équitable leurs ressources naturelles, humaines, sociales et énergétiques. Cette initiative nécessite le recours à des outils de gestion et de planification efficaces qui aident, entre autres, à promouvoir l ensemble des facettes du développement durable dans les communautés, la mise en place d équipes permettant la planification et l aménagement durable des territoires et la mise en place de structures de gouvernance. Ces initiatives favorisent le leadership des Premières Nations. Le savoir traditionnel Les Premières Nations prônent l usage et la transmission des savoirs traditionnels afin d assurer la gestion des écosystèmes et la qualité de l environnement. Ces savoirs constituent un apport essentiel à tout projet de développement actuel et futur. Ainsi, il est essentiel pour l IDDPNQL de voir au respect et à la protection de ces savoirs. La formation et les réseaux Le réseau de l IDDPNQL comprend, à l heure actuelle, une cinquantaine d experts présents dans les communautés. Ce réseau permet l échange d expertise entre les nations et le renforcement des positions sur différents projets de consultation. L Écho de l IDDPNQL Vol. 1, no 1 Octobre

3 L équipe de l IDDPNQL De gauche à droite : Margot Thomas, Sarah Zammit, Michael Ross, Marie-Hélène Beaudry, Marie-Christine Picard et Alain Bédard Margot Thomas Margot est originaire de la communauté innue de Mani-Utenam. Elle a une formation professionnelle en secrétariat et en administration. À partir de 1999, elle a travaillé auprès des patients de diverses communautés du Québec pour les Services aux patients du Québec (SAPQ) Mamit Innuat à Québec. En 2003, elle a travaillé comme assistante aux finances ainsi qu assistante aux services des soins non assurés (SSNA) à la Commission de la santé des services sociaux des Premières Nations du Québec et du Labrador (CSSSPNQL). En janvier 2005, elle travaille à l Institut de développement durable des Premières Nations du Québec et du Labrador (IDDPNQL), où elle occupe le poste d adjointe administrative. Sarah Zammit Sarah vient de Montpellier en France. Elle détient une licence en géographie et un master en environnement. Après ses études, elle a travaillé comme responsable Agenda 21, un projet de développement durable du territoire. Elle est arrivée au Québec en 2012, année durant laquelle elle a travaillé au sein de la Fédération québécoise des coopératives forestières. Elle a travaillé, entre autres, sur la contribution des activités forestières au développement territorial, et a accompagné des coopératives forestières dans leurs démarches de certification ISO et de développement durable. Elle est en poste en tant que chargée de projet en certification environnementale et forestière à l IDDPNQL depuis janvier L Écho de l IDDPNQL Vol. 1, no 1 Octobre

4 Michael Ross Michael est un Innu de la Première Nation d Essipit. Il détient un baccalauréat en biologie de la faune et une maîtrise en ressources renouvelables de l Université McGill. Son sujet de maîtrise a été de vérifier l impact des éoliennes sur la migration des oiseaux de proie. Depuis cinq ans, il travaille pour protéger les droits et défendre les enjeux des Premières Nations. Il a traité, entre autres, des dossiers fauniques, de planification territoriale, de géomatique, de foresterie, et des études sur l occupation et l utilisation du territoire. Michael travaille à l IDDPNQL depuis 2010 et occupe maintenant le poste de coordonnateur par intérim depuis septembre Marie-Hélène Beaudry Marie-Hélène a grandi à Montréal. Elle est diplômée au baccalauréat en géographie et travaille actuellement à la réalisation d une maîtrise. Dans ses études de deuxième cycle, elle se penche sur l insertion des questions autochtones dans les cours de géographie des cégeps. Elle travaille d ailleurs à temps partiel comme enseignante de géographie au collégial. Ses études, combinées à ses expériences en milieu autochtone, à celles dans les sphères de l éducation et de la sensibilisation et à celles autour des enjeux environnementaux l auront préparée à relever de nouveaux défis professionnels au sein de l équipe de l IDDPNQL. Marie-Hélène y est toute nouvelle; elle travaille depuis la mi-août comme chargée de projet en développement durable. Marie-Christine Picard Marie-Christine est originaire de Lac-Mégantic. Elle détient un baccalauréat en service social et une maîtrise en environnement de l Université de Sherbrooke. Ses expériences universitaires et professionnelles lui ont permis de développer une expertise au niveau de la gestion des matières résiduelles ainsi qu au niveau du développement durable dans les organisations, plus particulièrement pour des projets variés sur les campus universitaires du Québec. Elle travaille depuis novembre 2012 sur le projet d adaptation aux changements climatiques dans les communautés à l IDDPNQL. Alain Bédard Alain détient une maitrise en biogéosciences de l environnement et un baccalauréat en aménagement et environnement forestiers de l'université Laval. Il est d origine huronne-wendat et est membre de l Ordre des ingénieurs forestiers du Québec. Ses expériences de travail diversifiées, que ce soit pour Environnement Canada, Parcs Canada, le ministère des Ressources naturelles et de la Faune (MRNF) ou le Conseil de la nation huronne-wendat, lui ont permis de travailler sur de nombreux sujets tels que l aménagement forestier, les évaluations environnementales, l application de lois, les enjeux des Premières Nations et la conservation des ressources. Depuis septembre 2011, Alain occupe le poste de chargé de projet en foresterie à l IDDPNQL. L Écho de l IDDPNQL Vol. 1, no 1 Octobre

5 Nouvelles du secteur foresterie Certification forestière - Processus de révision des normes FSC d aménagement forestier Alain Bédard Chargé de projet en foresterie abedard@iddpnql.ca En février 2012, les membres du FSC ont approuvé les modifications des Principes et critères du Forest Stewardship Council. Ceci marquait le début d une importante étape dans le travail du FSC Canada, soit la révision de ses normes nationales et régionales d aménagement forestier (AF) (Norme boréale nationale, Maritimes, de la C.-B. et Grands Lacs Saint-Laurent). Le processus de révision des normes d AF devrait prendre environ deux ans. Ce processus a été enclenché à la fin de l automne 2012 et l approbation des normes révisées est prévue d ici le 31 décembre Dans une première phase, lors de l atelier du 18 juillet 2013, FSC Canada a informé certaines communautés des Premières Nations concernées et intéressées sur sa démarche de révision des normes. Lors de cet atelier, FSC Canada a recueilli des informations et des commentaires pour mieux orienter et cibler son travail. Vous trouverez le compte rendu de cet atelier sur le site Internet de l IDDPNQL, ainsi que de plus amples informations sur le processus de révision des normes sur le site internet de FSC Canada. Plusieurs rencontres sont prévues à travers le Canada avec divers groupes, ainsi que des rencontres ciblées visant plus particulièrement les communautés autochtones. Le processus de révision élaboré par FSC Canada comportera plusieurs occasions d échange, de consultation, de discussion et d implication à divers niveaux. L IDDPNQL continuera de travailler en étroite collaboration avec FSC Canada dans le processus de révision des normes et vous tiendra au courant des étapes et événements à venir. Forêt de proximité Le 5 juillet 2011, le gouvernement du Québec publiait le document de consultation sur les «Orientations relatives à la sélection, à la mise en place et au fonctionnement des forêts de proximité». L Écho de l IDDPNQL Vol. 1, no 1 Octobre

6 Deux ans plus tard, le gouvernement demeure toujours silencieux quant au contenu et à la date de sortie de la future Politique sur les forêts de proximité. Rappelons que les premières forêts de proximité devaient entrer en vigueur au 1 er avril Depuis la sortie du concept de forêts de proximité, de nombreuses communautés ont investi temps et argent afin de développer des projets. Certaines communautés ont identifié des territoires pour des projets de forêts de proximité et ont signifié leurs intérêts au gouvernement du Québec, mais sans aucune suite de sa part. D autres voient présentement leurs territoires d intérêt disparaître au profit des compagnies forestières. Le temps passe et quels volume et superficie de forêt restera-t-il pour les communautés des Premières Nations si on ne bouge pas maintenant? Dans ce contexte et pour donner suite à la Table forêt Québec et Premières Nations du 19 juillet 2013, l IDDPNQL propose de réaliser une tournée des communautés qui désireront travailler sur des projets de forêts de proximité. Cette tournée permettra, notamment, d identifier des enjeux spécifiques à votre communauté et de proposer un accompagnement individualisé pour mener à terme votre projet. Cette tournée débutera dès la mi-octobre Si vous avez des questions ou commentaires, n hésitez pas à communiquer avec nous. Certification environnementale ISO et PGES : Certification des organisations forestières des Premières Nations Sarah Zammit Chargée de projet en certification environnementale et forestière szammit@iddpnql.ca Le 1 er avril 2013, la Loi sur l aménagement durable du territoire forestier instituait un nouveau régime forestier. Dans ce cadre, le secteur des opérations régionales du ministère des Ressources naturelles (MRN) a adopté une Politique environnementale et forestière, plaçant la gestion environnementale et l aménagement durable des forêts au sommet de ses préoccupations. L Écho de l IDDPNQL Vol. 1, no 1 Octobre

7 L obligation de certification environnementale fait partie des changements apportés par ce nouveau régime. Au 1 er avril 2014, selon l information disponible présentement, les organisations qui réaliseront des travaux sylvicoles commerciaux et non commerciaux pour le MRN auront les obligations suivantes : Être certifiées selon la norme ISO ou; Être certifiées selon le programme développé par le bureau de normalisation du Québec (BNQ) et qui sera disponible à l automne 2013 ou; Réaliser leurs activités sous le système de certification environnementale d une autre entreprise. Le travail de l IDDPNQL avec les organisations des Premières Nations se traduit comme suit : Une boîte à outils sur ISO 14001, le BNQ, les exigences contractuelles du MRN et le programme de certification des pratiques de gestion des entreprises sylvicoles (PGES). L IDDPNQL a développé une boîte à outils, se composant de modèles de procédures, d exemples d instructions de travail et de formulaires exigés par la norme ISO 14001, le BNQ, le PGES et le MRN et autres documents annexes en rapport avec la certification environnementale et forestière. Ce tronc commun est disponible sur un Dropbox. Ateliers de travail en groupe Les chargés de projets se déplacent dans les communautés pour réaliser des ateliers techniques sur des points de norme et des exigences précis, au cours desquels les outils documentaires sont présentés et travaillés en groupe. Une approche régionale par groupe pour les ateliers est favorisée afin de créer une synergie qui bénéficie à tous. Coaching individuel Les chargés de projets sont disponibles pour apporter un accompagnement individuel à l implantation et à l amélioration continue des systèmes de gestion des communautés et des organisations forestières des Premières Nations (conseils ponctuels, travail sur des outils développés par les organisations, etc.). Appui administratif groupé et individuel Les chargés de projets fournissent une aide administrative continue (veille réglementaire, démarches auprès des registraires et auditeurs, communication des nouvelles exigences du MRN, etc.). Si vous avez des questions ou êtes intéressés par le projet, n hésitez pas à communiquer avec nous. L Écho de l IDDPNQL Vol. 1, no 1 Octobre

8 Nouvelles en changements climatiques Impacts et adaptation aux changements climatiques chez les Premières Nations Marie-Christine Picard Chargée de projet en changements climatiques Les changements climatiques, résultat d une hausse des gaz à effet de serre dans l atmosphère terrestre, sont de plus en plus perceptibles. Alors que le climat s est considérablement modifié depuis environ un siècle et que les températures sont plus élevées, la communauté scientifique s accorde pour affirmer qu une importante partie de ce réchauffement serait due à l activité humaine. Ces changements entraîneront des conséquences néfastes pour les humains, et les Premières Nations sont parmi les premières à subir ces conséquences, car elles ont une grande dépendance aux ressources et à l'environnement, mais aussi parce qu'elles entretiennent une étroite relation avec ceux-ci. Voilà pourquoi l IDDPNQL travaille sur un projet d adaptation aux changements climatiques chez les Premières Nations, et ce, depuis La première étape du projet, en , Actions pour la réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES) dans lequel une tournée des communautés a été organisée afin de sensibiliser aux changements climatiques et de donner des outils pour réduire les émissions de GES. Ainsi, ce projet aura permis de rencontrer les communautés et d identifier les communautés voulant s impliquer dans ce sujet. Ensuite, nous sommes entrés dans la phase d évaluation des impacts des changements climatiques sur les communautés autochtones, qui s est terminée en mars 2013, et aura permis de rencontrer les communautés d Akwesasne, de Listuguj, d Odanak, d Opitciwan, de Pessamit, de Uashat mak Mani-Utenam, de Viger, de Wendake et de Winneway. Des impacts directs dus aux changements climatiques sur les pratiques traditionnelles ont été soulevés par les membres des communautés visitées, tels que la période de gel des cours d eau, le changement dans les espèces présentes sur le territoire et le besoin de réviser les routes traditionnelles, par sécurité. L Écho de l IDDPNQL Vol. 1, no 1 Octobre

9 Un ouvrage de référence décrivant les impacts subis par les communautés rencontrées sera disponible sous peu sur notre site Internet. Présentement, l IDDPNQL travaille de pair avec deux communautés pilotes (Akwesasne et Uashat mak Mani-Utenam) afin de réaliser une étude de vulnérabilité ainsi qu un plan d adaptation aux changements climatiques pour chacune d elles. Ainsi, en fin de processus, les communautés auront non seulement en main un diagnostic des secteurs les plus vulnérables aux changements climatiques sur leur territoire, mais auront contribué, de pair avec l IDDPNQL, à élaborer les meilleures pistes de solutions pour remédier aux impacts climatiques sur leur territoire. Elles pourront ensuite mettre en œuvre des solutions concrètes dans leur communauté afin d améliorer certains aspects tels que la sécurité civile, les infrastructures, le maintien des savoirs traditionnels, les principales activités économiques et l intégration de la notion de changements climatiques dans la planification communautaire et territoriale. Les communautés intéressées à réaliser de telles démarches pourront non seulement parcourir les études réalisées dans le cadre des projets pilotes, mais seront également invitées à consulter et s appuyer sur le Guide de mise en place d un plan d adaptation aux changements climatiques, qui sera disponible dès avril 2014 sur le site Internet de l IDDPNQL. Ce guide «clé en main» se veut un outil facile à utiliser pour toute communauté autochtone désirant améliorer sa capacité à s adapter aux changements climatiques. Pour davantage d informations sur le sujet, n hésitez pas à communiquer avec nous. Nouvelles du secteur espèces en péril et eau Notre nouvelle chargée de projet en développement durable Marie-Hélène Beaudry Chargée de projet en développement durable mhbeaudry@iddpnql.ca En toute cohérence avec son mandat, l IDDPNQL mène des projets en liens avec les espèces en péril. L Écho de l IDDPNQL Vol. 1, no 1 Octobre

10 Espèces en péril Un projet sur la collecte des connaissances traditionnelles autochtones sur les espèces en péril et leurs habitats, subventionnés par le Fonds autochtones pour les espèces en péril (FAEP), en est arrivé à mi-parcours. Pour la réalisation de ce mandat, l IDDPNQL a invité les aînés et utilisateurs actuels du territoire (chasseurs, pêcheurs, trappeurs) de la nation Mi gmaq à les rencontrer pour un exercice de collecte et partage de connaissances. La même activité sera prochainement réalisée chez certaines communautés algonquines. Les savoirs sur les espèces en péril à haute valeur culturelle et sur leurs habitats seront recueillis, localisés sur des cartes et retournés aux communautés participantes afin de les outiller pour la protection de ces espèces. Pour cette seconde phase du projet, dans le cadre d une collaboration avec Nature Québec, une attention particulière sera accordée au carcajou, une espèce emblématique pour les Premières Nations. Eau L eau est une ressource essentielle à la vie. Les Premières Nations, dans l exercice de leur rôle de gardien du territoire, doivent se positionner en leaders dans la gestion durable et responsable de cette ressource. Les gouvernements semblent avoir compris l importance de l implication des communautés, puisque l IDDPNQL est chargé de travailler en collaboration avec des représentants issus de communautés et d organisations autochtones, à évaluer l opportunité de développer une stratégie favorisant une plus grande implication des Premières Nations riveraines du fleuve Saint-Laurent à la Gestion intégrée du Saint-Laurent (GISL), un des volets du Plan d action Saint-Laurent (PASL). Pour ce faire, un comité de travail composé de représentants autochtones sera prochainement mis sur pied. Ces derniers travailleront, entre autres, à dégager les attentes, les besoins et les préoccupations des Premières Nations en lien avec la GISL et à cerner les forces et les faiblesses de la structure, des outils et des activités du PASL. Ils seront aussi des répondants de première ligne pour le développement d un cadre de critères de base pour favoriser la participation autochtone aux activités du PASL et pour la possible élaboration d une stratégie d engagement. Si vous souhaitez participer à l un de ces projets ou si vous souhaitez avoir plus d information sur leur déroulement, n hésitez pas à communiquer avec l IDDPNQL. L Écho de l IDDPNQL Vol. 1, no 1 Octobre

11 Collaborateurs financiers et partenaires L Écho de l IDDPNQL Vol. 1, no 1 Octobre

12 Le Fonds de développement durable L'IDDPNQL ne reçoit pas de financement de base du gouvernement. Il est essentiellement basé sur un financement par projets qui rend la planification à moyen et long terme plus difficile. Dans les années précédentes, l IDDPNQL a cherché une approche créative et proactive afin de remédier à cette situation et d assurer une certaine stabilité et sécurité financières. C'est pourquoi l'iddpnql a décidé de créer un fonds philanthropiques afin de maintenir et même développer ses services destinés aux Premières Nations. En ce qui a trait à la collecte de fonds, l'iddpnql a signé une convention avec la Fondation communautaire du grand Québec qui est experte en la matière, et pour assurer une excellente gestion des fonds amassés. Tous les fonds amassés iront directement dans un fonds destiné à financer des activités de l'iddpnql en lien avec son plan d action stratégique. Nous vous remercions à l avance de votre générosité! Pourquoi contribuer? Contribuez au Fonds de développement durable des Premières Nations du Québec et du Labrador permet d assurer la pérennité de la mission de l IDDPNQL. Votre soutien permettra à l IDDPNQL de poursuivre ses actions pour la protection de la Terre-Mère. Concrètement, vous aiderez à : la production d outils pour le développement des capacités et l acquisition de connaissances; la formation d experts des Premières Nations par l organisation d ateliers, de groupes de travail et d événements; la surveillance des dossiers environnementaux, sociaux et économiques qui touchent directement les Premières Nations; la diffusion d information sur le développement durable auprès des communautés et de la société civile; accueillir et financer des projets permettant le développement des capacités. Comment donner? Vous pouvez faire un don en ligne ( ou nous envoyer un chèque à l adresse suivante : Fondation communautaire du grand Québec 250 Place Chef Michel-Laveau, bureau 201 Wendake (Québec) G0A 4V0 L Écho de l IDDPNQL Vol. 1, no 1 Octobre

13 Généreux donateurs au Fonds Pour nous rejoindre 250, Place Chef Michel-Laveau, bureau 201 Wendake (Québec) G0A 4V0 Téléphone : Télécopieur : Courriel : info@iddpnql.ca Retrouvez-nous sur le Web! L Écho de l IDDPNQL Vol. 1, no 1 Octobre