Humidification du gaz respiratoire: Fondements et Pratique
|
|
- Clotilde Latour
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 FR Humidification du gaz respiratoire: Fondements et Pratique
2 Qu est-ce que l humidification du gaz respiratoire? Sommaire Qu est-ce que l humidification du gaz respiratoire?... 2 Comment fonctionne le conditionnement naturel du gaz respiratoire? Réchauffement Humidification Nettoyage... 5 Clairance muco-ciliaire... 5 À quel moment le conditionnement du gaz respiratoire est-il entravé?... 6 Fonctionnement de l humidificateur de gaz respiratoire AIRcon... 8 L humidification du gaz respiratoire est une méthode de réchauffement et d humidification artificielle du gaz respiratoire pour les patients sous assistance respiratoire. En plus du réchauffement et de l humidification, le conditionnement du gaz respiratoire comprend également le nettoyage de ce dernier. Ces trois fonctions essentielles du conditionnement du gaz respiratoire traitent le gaz respiratoire inspiré pour les poumons sensibles. Si l humidification naturelle du gaz est insuffisante, il peut en résulter des infections pulmonaires et un endommagement des tissus pulmonaires. Avantages de l humidificateur de gaz respiratoire AIRcon par rapports aux HME... 9 Accessoires pour l humidification active du gaz respiratoire Chambre d humidification Systèmes de tuyaux Dispositifs de fixation Références
3 Comment fonctionne le conditionnement naturel du gaz respiratoire? Le conditionnement du gaz respiratoire chez les personnes en bonne santé a lieu à 75% dans les voies respiratoires hautes (nez/gorge) (fig. 1). Les 25% restants ont lieu dans la trachée. 1 Chaque jour, les voies respiratoires hautes réchauffent, humidifient et nettoient à litres de gaz respiratoire selon la taille du corps et les capacités physiques Réchauffement Le réchauffement de l air inhalé se fait par de nombreux petits vaisseaux sanguins qui recouvrent les muqueuses nasales et buccales. Les impulsions nerveuses régulent la quantité de sang qui traverse comme un système de chauffage propre au corps. Ainsi, les vaisseaux sont plus irrigués en cas d inspiration d air froid (réchauffement du gaz respiratoire) et moins lors d inspiration d air chaud. 3 Pharynx Voies respiratoires hautes Larynx Trachée Carène Arbre bronchique Voies respiratoires basses Alvéoles Fig. 1: Aperçu de la voie respiratoire 3
4 2. Humidification La muqueuse bien irriguée dans les parois nasales et la bouche humidifie à chaque inspiration le gaz respiratoire. Chez un adulte en bonne santé, 200 à 300 ml d eau s évaporent chaque jour. Alors que l inspiration par le nez ou par la bouche refroidit les muqueuses. Ce refroidissement conduit à une condensation d une partie de l humidité de l air qui arrive des poumons (humidité de l air de 100% à 37 C) dans les muqueuses. Ces dernières sont donc réhumidifiées. En allant vers les voies respiratoires basses, le gaz respiratoire déjà humidifié est à nouveau climatisé dans le nez/la gorge jusqu à ce que le seuil de saturation isothermique soit atteint. Le seuil de saturation isothermique est l humidité maximale possible pour une chaleur donnée. Pour une température corporelle de 37 C, cela correspond à une humidité relative de 100%, pour une humidité absolue de 44 mg/l. Chez les personnes en bonne santé et respirant calmement, cet équilibre se fait à la bifurcation trachéale pour la respiration par le nez. Ainsi, seul de l air saturé en vapeur d eau et à température du corps arrive dans les alvéoles (fig. 2). 22 C 50% 10 mg/l 32 C 100% 34mg/l INSPIRATION Seuil de saturation isothermique EXPIRATION 4 37 C 100% 44 mg/l Fig. 2: Conditionnement du gaz respiratoire avec respiration par le nez 37 C 100% 44 mg/l
5 3. Nettoyage Alors que l extraction des particules inspirées a lieu dans les voies respiratoires hautes, avant tout par la toux et l éternuement (clairance par la toux), la clairance muco-ciliaire a lieu en arrière-plan dans les voies respiratoires profondes. C est le mécanisme de nettoyage le plus important des bronches. Clairance muco-ciliaire Les bronches principales jusqu aux alvéoles sont recouvertes d un épithélium respiratoire. Sur ce dernier se trouvent les cellules vibratiles dont la partie supérieure est structurée en forme de cheveux (cils). Les cils sont entourés d une couche de mucus fine. Une deuxième couche de mucus épaisse s y trouve également, dans laquelle les particules étrangères et les microorganismes restent accrochés. Cils Epithélium respiratoire PHARYNX Bactéries 0,02-10 microns Virus 0,017-0,3 microns Couche de mucus épaisse Couche de mucus fine Les cils effectuent des mouvements de manière coordonnée à l intérieur de la couche de mucus fine en direction du pharynx. La couche de mucus épaisse est ainsi transportée en direction de la bouche où elle est avalée ou crachée. Une température de 37 C et une humidité absolue de 44 mg/l, correspondant à une humidité relative de 100%, assurent une fonction optimale de la clairance muco-ciliaire. Si la chaleur et l humidité dans les voies respiratoires basses sont insuffisantes, les cellules vibratiles ajustent leur fonction de transport en peu de temps. La 6, 7, 8 colonisation bactérienne est facilitée si ces conditions ne sont pas remplies. 5
6 À quel moment le conditionnement du gaz respiratoire est-il entravé? Avec la respiration artificielle, avant tout avec du gaz respiratoire sec et froid, le conditionnement naturel du gaz respiratoire est limité et n a lieu qu à moitié. En cas de respiration non invasive (par ex. masque respiratoire), un flux continuellement positif est souvent envoyé (par ex. CPAP). La respiration par la bouche amplifiée qui en découle peut déclencher des effets secondaires indésirables. Un approvisionnement permanent en gaz respiratoire froid provoque à long terme un assèchement des voies respiratoires. Les conséquences sont une irritation et une sensation de douleurs au niveau des muqueuses nasales et buccales ainsi qu un encombrement des voies respiratoires et des sécrétions dans l appareil respiratoire. Des pertes dans le masque respiratoire peuvent particulièrement encourager l assèchement des muqueuses nasales. Une arrivée constante de gaz respiratoire chaud contribue à soulager de manière capitale ce tableau clinique.9 Les enjeux de la respiration artificielle sont: Réchauffement insuffisant. Du gaz respiratoire qui n est pas suffisamment réchauffé arrive dans les poumons. Humidification insuffisante. L air insuffisamment réchauffé ne peut pas transporter la quantité d humidité nécessaire en raison du seuil de saturation thermique. Nettoyage limité des voies respiratoires. Chez les patients intubés ou avec trachéotomie, le la clairance par la toux est fortement limitée ou totalement inexistante. L extraction mécanique des corps étrangers et germes doit être exclusivement prise en charge par la clairance muco-ciliaire chez ces patients. Toutefois, cela ne fonctionne que si suffisamment d humidité est disponible. En cas de respiration invasive (intubation ou trachéotomie), les voies respiratoires hautes sont contournées et ne peuvent plus remplir leur fonction naturelle. La fonction de conditionnement du gaz respiratoire est donc exclusivement transférée à la trachée qui ne peut cependant pas fournir seule l humidification, le réchauffement et le nettoyage nécessaires. 6
7 Une respiration avec un gaz respiratoire trop froid ou trop sec provoque rapidement un épaississement du mucus dans l épithélium respiratoire, ce qui entrave la fonction des cellules vibratiles. Les cils battent de moins en moins vite et finissent par suspendre leurs battements (pour < 30% de saturation de vapeur d eau après 35 min.). Après une heure maximum, des dégâts peuvent être décelés dans le prélèvement cellulaire. Cela peut avoir de lourdes conséquences: 1,10 Perturbation de la fonction des cils avec un mucus plus épais et des muqueuses gonflées Augmentation de la résistance des voies respiratoires et réduction de la compliance par un encombrement croissant et des incrustations Risque d alectasie à cause de l activité réduite du surfactant Complication de l échange de gaz dans les poumons Risque d infections pulmonaires élevé Les prématurés sont particulièrement menacés par ces complications. À partir de la 24ème semaine de grossesse, ils sont certes déjà viables, mais leurs poumons, leur arbre bronchique et leur clairance muco-ciliaire sont extrêmement sous-développés. De plus, ils doivent s adapter immédiatement à un environnement froid et sec. Même après la naissance, le développement ontogénétique n est pas encore achevé. Une humidification optimale du gaz respiratoire chez les prématurés et nouveau-nés sous respiration artificielle est impérativement nécessaire pour prévenir l assèchement et le durcissement des poumons. 11 7
8 V Fonctionnement de l humidificateur de gaz respiratoire AIRcon Quand un patient est ventilé pendant une longue période, il faut nécessairement prendre des mesures pour palier à la perte de chaleur et d humidité, cela afin d éviter les complications évoquées ci-dessus. Ensuite, le gaz respiratoire est administré au patient. Une résistance thermique est intégrée dans le circuit respiratoire afin que la température reste constante, tout en évitant la condensation dans le tube. L humidificateur Aircon compense cette perte de chaleur et d humidité (Fig. 3). Le gaz respiratoire froid et sec est canalisé depuis le ventilateur jusque dans la chambre d humidification. Il circule au-dessus de la surface de l eau et absorbe de la chaleur et de l humidité sous forme de vapeur d eau (processus du Pass-Over). Comme la vapeur d eau ne peut pas transporter de germes, le risque de contamination est considérablement réduit. De cette manière, l AIRcon préserve la couche de mucus de l épithélium respiratoire et maintient le mouvement des cils actifs. Les particules étrangères et les micro-organismes susceptibles de provoquer des infections pulmonaires ou d endommager les tissus pulmonaires, peuvent être évacués avec succès C 39.0 C EXP. IV Fig. 3: Humidificateur de gaz respiratoire AIRcon dans la respiration artificielle 8
9 Avantages de l humidificateur de gaz respiratoire AIRcon par rapports aux HME Atteinte de la température physiologique de 37 C avec une humidité de l air relative optimale de 100% Maintien de la clairance muco-ciliaire sur de longues périodes Réduction du risque d intubation ou d occlusion des canaux grâce à la fluidification des sécrétions Pas d agrandissement de l espace mort ou de la résistance respiratoire Convient aussi aux nouveau-nés de moins de g Aucune perte d humidité durable pendant l inspiration Fonctionnement possible avec systèmes de tuyaux chauffés ou non Gestion intelligente des alarmes Réglage individuel, les besoins des patients peuvent être pris en compte 9
10 Accessoires pour l humidification active du gaz respiratoire Chambre d humidification Dispositifs de fixation Fixation universelle: Système Autofill pratique: Un flotteur intégré stabilise indépendamment le niveau d eau. Volume constant: Le mécanisme Autofill réglé garantit un volume constant dans la chambre d humidification. Mise en place économique: Notre gamme comprend des chambres d humidification à usage unique (utilisable jusqu à 7 jours) et des chambres d humidification à usage multiple (autoclavable à 134 C). Nos dispositifs de fixation sont adaptés aux rails standards courants et connus. Fixation sable: Les dispositifs de fixation sont spécialement conçus selon les mesures des appareils et garantissent un maintien sûr et stable. 10 Systèmes de tuyaux Formation de condensat réduite: La résistance de chauffage intégrée réduit la formation de condensat qui augmente la résistance respiratoire, provoque un mauvais déclanchement de l appareil respiratoire et favorise la croissance de germes. Matériaux de haute qualité: Nous utilisons des tuyaux respiratoires conçus avec des matériaux agréés sur le plan médical. Si rien d autre n est indiqué, les matériaux ne comportent pas de latex, de PC et de DEHP. Conditionnement individuel: Nos systèmes de tuyaux pour une utilisation unique (utilisable jusqu à 7 jours) ou multiple (autoclavable à 134 C) conviennent aux nouveaunés, aux enfants et aux adultes. Nous proposons des configurations pour l utilisation clinique et à domicile. Nous conditionnons naturellement aussi des systèmes de tuyaux selon vos exigences.
11 Références 1 W. Oczenski, H. Andel et A. Werba: Atmen - Atemhilfen. Thieme, Stuttgart 2003: 274, ISBN A. Wanner, M. Salathé, T.G. O riordan: Mucociliary Clearance in the Airways. Dans: American journal of respiratory and critical care medicine, 1996, 154 (1), n 6: , ISSN N. Cauna, K.H. Hinderer: Fine structure of blood vessels of the human nasal respiratory mucosa. Dans: Ann Otol Rhinol Laryngol, 1969; 78(4):865-79, ISSN J. Rathgeber, K. Züchner, H. Burchardi: Conditioning of Air in Mechanically Ventilated Patients. Dans: Vincent JL. Yearbook of Intensive Care and Emergency Medicine, 1996: , ISSN M.P. Shelly, G.M. Lloyd, G.R. Park: A review of the mechanism and methods of humidification of inspired gases. Dans: Intens Care Med. 1988; 14:1, ISSN M.A. Sleigh, J.R. Blake, N. Liron: The Propulsion of Mucus by Cilia. Dans: Am. Rev. Respir., Dis. 1988; 137: , ISSN R. Williams, N. Rankin, T. Smith, et al. Relationship between the humidity and temperature of inspired gas and the function of the airway mucosa. Dans: Crit. Care Med, 1996, Vol. 24, n 11: , ISSN R. Estes, G. Meduri: The Pathogenesis of Ventilator- Associated Pneumonia: 1. Mechanisms of Bacterial Transcolonization and Airway Innoculation. Dans: Intensive Care Medicine. 1995; 21: , ISSN H. Schiffmann: Humidification of Respired Gases in Neonates and Infants. Dans: Respir Care Clin. 2006; 12: , ISSN S. Schäfer, F. Kirsch, G. Scheuermann et R. Wagner: Fachpflege Beatmung. Elsevier, München 2005, S , ISBN M.T. Mar tins de Araújo, S.V. Vieira, E.C. Vasquez, et al. Heated Humidification or Face Mask To Prevent Upper Airway Dryness During Continuous Positive Airway Pressure Therapy. Dans: Chest. 2000; 117: , ISSN
12 WILAmed GmbH Medizinische Geräte und Zubehör Gewerbepark Barthelmesaurach Aurachhöhe Kammerstein (Germany) Phone: Fax: info@wilamed.com Made in Germany Si vous souhaitez obtenir de plus amples informations, vous pouvez nous contacter à tout moment, ainsi que nos revendeurs agréés! Version 1.2 Stand: 17/10/2012 REF Tous droits réservés. Soumis à modification.
Fonctions non ventilatoires
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 11 : Fonctions non ventilatoires Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailL eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 %
24 L eau est le principal constituant du corps humain. La quantité moyenne d eau contenue dans un organisme adulte est de 65 %, ce qui correspond à environ 45 litres d eau pour une personne de 70 kilogrammes.
Plus en détailPARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement
PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?
Plus en détailUn environnement sans fumée pour vos enfants. Comment y parvenir?
Un environnement sans fumée pour vos enfants. Comment y parvenir? Renseignements sur la fumée secondaire et tertiaire Qu est-ce que la fumée secondaire? La fumée secondaire est une combinaison de fumée
Plus en détailTECHNIQUE DU FROID ET DU CONDITIONNEMENT DE L AIR. confort = équilibre entre l'homme et l'ambiance
TECHNIQUE DU FROID ET DU CONDITIONNEMENT DE L AIR Tâche T4.2 : Mise en service des installations Compétence C1.2 : Classer, interpréter, analyser Thème : S5 : Technologie des installations frigorifiques
Plus en détailDYSKINESIE CILIAIRE PRIMITIVE BROCHURE D INFORMATION DESTINEE AUX PATIENTS ET LEUR FAMILLE QU EST-CE QUE LA DYSKINESIE CILIAIRE PRIMITIVE?
QU EST-CE QUE LA DYSKINESIE CILIAIRE PRIMITIVE? COMMENT SE TRANSMET-ELLE? COMMENT SE MANIFESTE-T-ELLE? DYSKINESIE CILIAIRE PRIMITIVE BROCHURE D INFORMATION DESTINEE AUX PATIENTS ET LEUR FAMILLE COMMENT
Plus en détailpur et silencieux dentaire
pur et silencieux dentaire de l air pur JUN-AIR a produit son premier compresseur il y a 50 ans et développé la technologie et le design qui ont fait du compresseur JUN-AIR le choix numéro UN des cabinets
Plus en détailLes fiches repères d INTEGRANS sont réalisées par ARIS Franche-Comté dans le cadre du programme INTEGRANS. Plus d infos sur www.integrans.org.
Les fiches repères d INTEGRANS sont réalisées par ARIS Franche-Comté dans le cadre du programme INTEGRANS. Plus d infos sur www.integrans.org. Les maladies invalidantes Repères sur l asthme généralités
Plus en détailNAVA pourquoi pas. Stéphane Delisle RRT, PhD, FCCM Mohamed Ait Si M Hamed, inh. BSc.
NAVA pourquoi pas Stéphane Delisle RRT, PhD, FCCM Mohamed Ait Si M Hamed, inh. BSc. 7e Symposium en thérapie respiratoire HSCM 1 décembre 2012 Le mode NAVA o Neurally Adjusted Ventilatory Assist Neuro-Asservissement
Plus en détailOrthèse Narval O.R.M. L orthèse innovante et confortable dans le traitement du SAOS
rthèse Narval.R.M. L orthèse innovante et confortable dans le traitement du SAS Traitement du SAS par orthèse Narval.R.M. Entre 19 et 27% 1-2 des patients apnéiques traités par pression positive continue
Plus en détailQUESTIONNAIRE SUR LA SANTE RESPIRATOIRE ET ALLERGIQUE DES ECOLIERS ET LEUR ENVIRONNEMENT SCOLAIRE
Santé et pollution intérieure dans les écoles : Réseau d observation en Europe QUESTIONNAIRE SUR LA SANTE RESPIRATOIRE ET ALLERGIQUE DES ECOLIERS ET LEUR ENVIRONNEMENT SCOLAIRE A compléter par les enfants
Plus en détailLa ventilation non invasive aux soins intensifs
La ventilation non invasive aux soins intensifs Martin Lessard MD Service de soins intensifs, CHA Division de soins intensifs adultes Université Laval 3 mars 2011 BiPAP (Bi-level Positive Airway Pressure)
Plus en détailTraitement de l eau par flux dynamique
GmbH Traitement de l eau par flux dynamique afin de réduire les impuretés microbiologiques afin d empêcher l apparition de nouveaux germes dans les eaux de consommation et de process et Nouveau avec certificat
Plus en détailDu Thermostat à l ordinateur climatique. Vincent Aubret Hortimax
Du Thermostat à l ordinateur climatique Vincent Aubret Hortimax 1 Introduction 2 Régulateurs de type thermostat Applications : Idéal pour la régulation simplifiée de type Tunnels, Hall Alarme haute et
Plus en détailEau chaude sanitaire FICHE TECHNIQUE
FICHE TECHNIQUE Eau chaude sanitaire 2 5 6 6 CONNAÎTRE > Les besoins d eau chaude sanitaire > Les modes de production > La qualité de l eau > Les réseaux de distribution > La température de l eau REGARDER
Plus en détailAPRES VOTRE CHIRURGIE THORACIQUE OU VOTRE PNEUMOTHORAX
Hôpital Privé d Antony APRES VOTRE CHIRURGIE THORACIQUE OU VOTRE PNEUMOTHORAX Livret d information Hôpital Privé d Antony OPC/KINE/297 Page 1 sur 6 Intervenants Rédigé par : Nom Profession Le Visa C.DUPUY
Plus en détailUne solution simple pour vos patients complexes
Une solution simple pour vos patients complexes L appareil de ventilation mécanique leader du marché, le System One BiPAP autosv Advanced, simplifie le traitement des patients souffrant de troubles respiratoires
Plus en détailAvanttia Solar. Chaudière Hybride CONDENSATION. L innovation qui a du sens
Chaudière Hybride CONDENSATION GAZ AVEC CHAUFFE- EAU-SOLAIRE INTÉGRÉ www.marque-nf.com CIRCUIT SOLAIRE FONCTIONNANT EN AUTOVIDANGE PRÉPARATEUR SOLAIRE EN INOX CAPTEUR SOLAIRE - DRAIN L innovation qui a
Plus en détailGUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG
GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte
Plus en détailCe que les femmes enceintes doivent savoir au sujet de la grippe H1N1 (appelée grippe porcine auparavant)
Ce que les femmes enceintes doivent savoir au sujet de la grippe H1N1 (appelée grippe porcine auparavant) 3 mai 2009, 15 h HNE Sur cette page : Que dois-je faire si je contracte ce nouveau virus et que
Plus en détailA 2 7 1 4 5 1b 3 1a 6 B C 1b 1a 3
PEP S-System A 2 7 1 4 5 1b 3 1a 6 B C 1b 1a 3 ^ 1 2 3 4 5 FR FR Notice d'utilisation Veuillez lire la présente notice d utilisation avant la première mise en service. Conservez soigneusement cette notice
Plus en détailConsignes de sécurité Manipulation du dioxyde de carbone CO 2
Consignes de sécurité Manipulation du dioxyde de carbone CO 2 Le dioxyde de carbone Le dioxyde de carbone est un gaz incolore, quasiment inodore et insipide. Il est donc pratiquement indétectable par les
Plus en détailLe chauffe-eau à pompe à chaleur: fiche technique à l intention des installateurs
Le chauffe-eau à pompe à chaleur: fiche technique à l intention des installateurs 1. Bases 1.1. Fonctionnement du chauffe-eau à pompe à chaleur (CEPAC) Comme son nom l indique, un chauffe-eau pompe à chaleur
Plus en détailLE FILTRE A PARTICULES : SES PROBLEMATIQUES ET NOS SOLUTIONS
LE FILTRE A PARTICULES : SES PROBLEMATIQUES ET NOS SOLUTIONS 1. NOTIONS DE BASE 2. CAUSES POSSIBLES DE DYSFONCTIONNEMENT 3. POURQUOI NETTOYER PLUTÔT QUE CHANGER? 4. METHODOLOGIE D APPLICATION FAP-NET (réf.
Plus en détailPLAN. Intérêt des cellules souches exogènes (hématopoïétiques ou mésenchymateuses) dans la réparation/régénération
Cellules souches & appareil respiratoire : Perpectives thérapeutiques Pr Carole Planès Physiologie SMBH Bobigny EA 2363, UFR SMBH, Université Paris 13 carole.planes@avc.aphp.fr Master 2 B2PCR Respiration
Plus en détailRéussir son installation domotique et multimédia
La maison communicante Réussir son installation domotique et multimédia François-Xavier Jeuland Avec la contribution de Olivier Salvatori 2 e édition Groupe Eyrolles, 2005, 2008, ISBN : 978-2-212-12153-7
Plus en détailBrochure Patients. Les implants dentaires : Une solution naturelle et élégante pour retrouver confiance en soi.
Brochure Patients Les implants dentaires : Une solution naturelle et élégante pour retrouver confiance en soi. Les implants dentaires : la meilleure option de traitement. Qu est-ce qu un implant dentaire?
Plus en détailE LDS: refroidir intelligemment
E LDS: refroidir intelligemment REGLer surveiller OPTIMIser ECKELMANN GROUPE ECKELMANN AG, Wiesbaden. Ferrocontrol GmbH & Co. KG, Herford, ferrocontrol.de eckelmann.de E LDS: MANAGEMENT DU FROID, DE L
Plus en détailo Non o Non o Oui o Non
Enquête générale (à remplir une fois) [ ] = plusieurs réponses possibles o = une seule réponse possible Date de votre réponse à ce questionnaire Nombre de lits dans l'unité Connaissez-vous l incidence
Plus en détailÉconomie d énergie dans les centrales frigorifiques : La haute pression flottante
Économie d énergie dans les centrales frigorifiques : La haute pression flottante Juillet 2011/White paper par Christophe Borlein membre de l AFF et de l IIF-IIR Make the most of your energy Sommaire Avant-propos
Plus en détailVotre bébé a besoin de soins spéciaux
Votre bébé a besoin de soins spéciaux Ce guide se veut un document de référence afin de favoriser une meilleure compréhension de tous les aspects entourant la venue d un enfant prématuré ou malade. Il
Plus en détailFiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR
Fiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR Les produits d usage domestique comprennent les produits de nettoyage (p. ex., les nettoie-vitres et les produits de nettoyage
Plus en détail*smith&nephew IV3000 Pansement pour cathéters réactif à l'humidité. Le pansement idéal pour cathéters
Le pansement idéal pour cathéters IV3000 diminue sensiblement le risque d infection en maintenant sec le site de ponction. IV3000 est jusqu à 8 fois plus efficace en terme d évaporation d humidité que
Plus en détail2.0. Ballon de stockage : Marque : Modèle : Capacité : L. Lien vers la documentation technique : http://
2.0. Ballon de stockage : Capacité : L Lien vers la documentation technique : http:// Retrouver les caractéristiques techniques complètes (performances énergétiques et niveau d isolation, recommandation
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailPrincipales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus
Module 2 Exercice 1: Cellules souches hématopoïétiques 1. Causes de décès en Suisse (2010) La figure suivante montre les causes de décès les plus fréquentes en Suisse en 2010, telles qu elles ont été relevées
Plus en détailChapitre VI : Gestion des risques épidémiques
Chapitre VI : Fiche n VI.1 : Gale Fiche n VI.2 : Tubeculose pulmonaire (accessible dans la prochaine version) Fiche n VI.3 : Gastro-entérite Fiche n VI.4 : Infection respiratoire aigüe basse Sommaire Sommaire
Plus en détailTEPZZ 8758_8A_T EP 2 875 818 A1 (19) (11) EP 2 875 818 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN. (51) Int Cl.: A61K 33/00 (2006.01) A61P 25/06 (2006.
(19) TEPZZ 878_8A_T (11) EP 2 87 818 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN (43) Date de publication: 27.0.1 Bulletin 1/22 (1) Int Cl.: A61K 33/00 (06.01) A61P 2/06 (06.01) (21) Numéro de dépôt: 14680.3 (22)
Plus en détailAlfa Laval échangeurs de chaleur spiralés. La solution à tous les besoins de transfert de chaleur
Alfa Laval échangeurs de chaleur spiralés La solution à tous les besoins de transfert de chaleur L idée des échangeurs de chaleur spiralés n est pas nouvelle, mais Alfa Laval en a amélioré sa conception.
Plus en détailGroupe 1 somnovni 12/12/14
Recommandations HAS 2014! Pas encore parues indications VNI! Indication VNI en cas d une hypoventilation alveolaire = Hypercapnie : " PtCO2 nocturne > 50 mmhg " Et/ou d une PaCO2 diurne > 45 mmhg! Cas
Plus en détailSTOP à la Transmission des microorganismes!
STOP à la Transmission des microorganismes! M.E Gengler Vendredi 25 Avril 2014 Vous avez ditstandard? Voici les «Précautions Standard» ou PS Les Précautions Standard : la Loi Respectez les «précautions
Plus en détailEvaluation péri-opératoire de la tolérance à l effort chez le patient cancéreux. Anne FREYNET Masseur-kinésithérapeute CHU Bordeaux
Evaluation péri-opératoire de la tolérance à l effort chez le patient cancéreux Anne FREYNET Masseur-kinésithérapeute CHU Bordeaux Je déclare n avoir aucun conflit d intérêt en lien avec cette présentation
Plus en détailTransport des gaz dans le sang
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailTransport des gaz dans le sang
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailLes Infections Associées aux Soins
Les Infections Associées aux Soins Dr Catherine Sartor EOH Conception Assistance Publique Hôpitaux de Marseille Ecole IFSI, Marseille, 12 septembre 2014 Définitions 2007 Infection Nosocomiale (IN) 1999
Plus en détailLa Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques
La Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques Professeur Ibrahim Yakoub-Agha CHRU de LILLE (Illustration de J. Cloup, extraite du CD-Rom «greffe de Moelle» réalisé par la société K Noë) La moelle osseuse
Plus en détailQU EST-CE QUE LA TUBERCULOSE?
QU EST-CE QUE LA TUBERCULOSE? Information pour les patients TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION 1 LA TUBERCULOSE GÉNÉRALITÉS 1.1 Qu est-ce que la tuberculose? 1.2 La tuberculose est-elle toujours contagieuse?
Plus en détailChapitre 2 : Respiration, santé et environnement.
Chapitre 2 : Respiration, santé et environnement. Rappels : L air qui nous entoure contient 3 gaz principaux: 71% d azote, 21% d oxygène, 0,03 % de CO2 et quelques gaz rares. L eau de chaux se trouble
Plus en détailMieux informé sur la maladie de reflux
Information destinée aux patients Mieux informé sur la maladie de reflux Les médicaments à l arc-en-ciel Mise à jour de l'information: septembre 2013 «Maladie de reflux» Maladie de reflux La maladie de
Plus en détailSYSTEMES D INHALATION
SYSTEMES D INHALATION Dr LOMBRY Catherine 1 Appareillages pour l administration pulmonaire Inhalateurs pressurisés à valve doseuse; aérosols-doseurs (MDI; Metered Dose Inhaler) Inhalateurs à poudre sèche
Plus en détailAttention vague. de très grand froid
Attention vague VAGUE DE TRÈS GRAND FROID COMPRENDRE & AGIR de très grand froid Les conseils du Ministère de la Santé et de l Inpes Comprendre ce qui se passe dans mon corps en cas de vague de très grand
Plus en détailLes gencives et la santé générale. Qu est-ce qu une maladie des gencives? d autres types de problèmes de santé ou en causer de nouveaux.
Les gencives et la santé générale Nous savons tous que la prévention est l une des clés du maintien de la santé générale. Nous faisons de l exercice et nous surveillons notre alimentation pour nous aider
Plus en détailFICHE DE DONNÉES DE SECURITÉ Demand CS
01. IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIÉTÉ Nom commercial Code produit Usage envisagé LAMB97201 A UTILISER COMME INSECTICIDE UNIQUEMENT Le produit doit être utilisé conformément à l'étiquette Apparence
Plus en détailLa fonction respiratoire
La fonction respiratoire Introduction Fonction vitale : Au-delà de 3 min = atteintes graves Après 5 min = très altérés On parle de 3 phénomènes : Ventilation : respiration visible, échanges aériens intérieur
Plus en détailEau chaude Eau glacée
Chauffage de Grands Volumes Aérothermes Eau chaude Eau glacée AZN AZN-X Carrosserie Inox AZN Aérotherme EAU CHAUDE AZN AZN-X inox Avantages Caractéristiques Carrosserie laquée ou inox Installation en hauteur
Plus en détailLes solutions en Kiné Respiratoire par Portex. Améliorer la qualité de vie THÉRAPIE RESPIRATOIRE
Les solutions en Kiné Respiratoire par Portex TM Améliorer la qualité de vie THÉRAPIE RESPIRATOIRE Améliorer la qualité de vie La nécessité d une réhabilitation efficace des patients à la suite de complications
Plus en détailSécheurs par adsorption à régénération par chaleur
Sécheurs par adsorption à régénération par chaleur Des Systèmes Complets Innovants Pourquoi l air comprimé sec et propre est-il important? Dans la majorité des industries, l air comprimé est un fluide
Plus en détailGuide. Total Performance. pour les condenseurs. Services aux producteurs d énergie
Total Performance Guide pour les condenseurs Services aux producteurs d énergie La création d une industrie En 1923, Conco présentait le premier nettoyeur de tubes mécanique capable de nettoyer les tubes
Plus en détailVS2000V+CAPNO. Moniteur de paramètres vitaux À usage vétérinaire. Manuel d utilisation
VS2000V+CAPNO Moniteur de paramètres vitaux À usage vétérinaire Manuel d utilisation Sommaire Information et garantie... Propriété de la notice... Limite de garantie... Rejet des garanties... Conditions
Plus en détailVentilateur pulmonaire pour soins intensifs, réanimation et premier secours. 360 x 245 x 300 mm (sans moniteur) Cycle à temps et volume constant
SIARETRON 3000 ICU Ventilateur pour soin intensif code: 960136 Rev. 1-01/01/2009 CARACTERISTIQUES PRINCIPALES Destination d usage Ventilateur pulmonaire pour soins intensifs, réanimation et premier secours.
Plus en détailC 248-02. Nias Dual. Chaudières murales à tirage forcé, foyer étanche et ballon eau chaude sanitaire. chaleur à vivre. Nord Africa
C 248-02 made in Italy Nias Dual Chaudières murales à tirage forcé, foyer étanche et ballon eau chaude sanitaire chaleur à vivre FR Nord Africa Chaudières murales à tirage forcé, foyer étanche et ballon
Plus en détailAtrovent HFA 20 mcg/bouffée solution pour inhalation en flacon pressurisé (bromure d'ipratropium)
NOTICE ATROVENT HFA 20 MCG/BOUFFEE SOLUTION POUR INHALATION EN FLACON PRESSURISE (BPI n 0250-03 du 27.07.2005) Veuillez lire attentivement l'intégralité de cette notice avant d'utiliser ce médicament.
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailTHEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE
THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE Introduction générale : L Homme, pour vivre, a besoin de se nourrir. La nutrition fait appel à différentes fonctions que sont l alimentation, la respiration
Plus en détailde l eau chaude pour toute l a famille, disponible à tout moment. Pompe à chaleur pour la production d Eau Chaude Sanitaire pompes á chaleur
de l eau chaude pour toute l a famille, disponible à tout moment. Pompe à chaleur pour la production d Eau Chaude Sanitaire pompes á chaleur Eau chaude et confort à votre portée! La meilleure façon de
Plus en détailNiveau d assurance de stérilité (NAS) Hôpital Neuchâtelois Sylvie Schneider Novembre 2007
Niveau d assurance de stérilité (NAS) Hôpital Neuchâtelois Sylvie Schneider Novembre 2007 Plan Objectif de la stérilisation Rappel théorique Niveau d Assurance Stérilité Conséquence Destruction des micro-organismes
Plus en détailPourtant, la preuve est faite, de manière scientifique, que le tabagisme passif comporte des risques réels pour la santé.
Si plus des trois quarts des personnes se disent gênées par la fumée des autres, les risques liés au tabagisme passif restent largement sous-estimés : les non-fumeurs sont seulement 15 % à craindre, pour
Plus en détailLes renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer
Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic
Plus en détailIl est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut
Les micro-organismes de l eau impliqués dans les infections nosocomiales Depuis 2001 chez Pall, en charge de l information scientifique et réglementaire dans les domaines d applications couverts par la
Plus en détailAnnexe 3 Captation d énergie
1. DISPOSITIONS GENERALES 1.a. Captation d'énergie. Annexe 3 Captation Dans tous les cas, si l exploitation de la ressource naturelle est soumise à l octroi d un permis d urbanisme et/ou d environnement,
Plus en détailSolvants au Travail. Guide pour travailler en sécurité avec les solvants.
Solvants au Travail Guide pour travailler en sécurité avec les solvants. Qu est-ce qu un solvant? De nombreux produits chimiques utilisés pour dissoudre ou diluer d autres produits ou matériaux sont appelés
Plus en détailMICROTRON MB 550 / MB 800
MICROTRON MB 550 / MB 800 Mélangeur de laboratoire TECHNIQUE D HOMOGÉNÉISATION ET DE MÉLANGE AU LABORATOIRE POUR DES ECHANTILLONS SÉCABLES ET LIQUIDES MICROTRON - Mélangeur de laboratoire Lors de la préparation
Plus en détailagissons ensemble Octobre 2013 Fiche d information sur la gestion des risques d accidents industriels majeurs
Fiche d information sur la gestion des risques d accidents industriels majeurs Octobre 2013 Scénarios impliquant un produit toxique : Ammoniac La Brasserie Labatt du Canada, Montréal (Québec) Partenaire
Plus en détailà découvrir sur www.navoti.com Boutique - Espace info et vidéo - Ateliers et conférences
- EARTHING - Connexion à la Terre Mise à la terre et décharge électro-statique Prévention et protection de l électrosmog Se pourrait-il que la civilisation «hors-sol» dans laquelle nous vivons aujourd
Plus en détailIncitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne
Incitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne G. FALLON Energie Facteur 4 asbl - Chemin de Vieusart 175-1300 Wavre Tél: 010/23 70 00 - Site web: www.ef4.be email: ef4@ef4.be
Plus en détailInformation détaillée pour Legionella
Information détaillée pour Legionella Legionellosis est une infection de poumon une forme rare de pneumonie causé par une bactérie nommée Legionella pneumophila. Il y a deux formes de legionellosis : la
Plus en détailQu est-ce que la peste?
Département fédéral de l'intérieur DFI Office fédéral de la santé publique OFSP Unité de direction Santé publique Qu est-ce que la peste? État : 1 juin 2008 Réponses aux questions fréquemment posées concernant
Plus en détail2.7 Le bétonnage par temps chaud par temps froid
Chapitre Les bétons courants.7 Le bétonnage par temps chaud par temps froid.7.1 - Le bétonnage par temps chaud 3 Granulats Les conditions climatiques lors de la mise en œuvre ont une grande influence sur
Plus en détailLe bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose
Le bac à graisses Schéma de principe Lorsqu on a une longueur de canalisation importante entre la sortie des eaux de cuisine et la fosse septique toutes eaux, il est fortement conseillé d intercaler un
Plus en détailLASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.
LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus
Plus en détailde faible capacité (inférieure ou égale à 75 litres) doivent être certifiés et porter la marque NF électricité performance.
9.5. PRODUCTION D EAU CHAUDE sanitaire Les équipements doivent être dimensionnés au plus juste en fonction du projet et une étude de faisabilité doit être réalisée pour les bâtiments collectifs d habitation
Plus en détailConsensus Scientifique sur. les. Champs statiques
page 1/8 Consensus Scientifique sur Source : OMS (2006) les Champs statiques Résumé & Détails: GreenFacts Contexte - Les équipements d imagerie médicale par résonance magnétique (IRM), les trains et les
Plus en détailLa plaque composite nora Lunatec combi
Une association remarquable : La plaque composite nora Lunatec combi pour la fabrication efficace de semelles plantaires et de semelles orthopédiques Présentation du produit Lunatec combi 1 4 nora Lunatec
Plus en détailContrôle thermographique Tarifs et prestations :
20 rue Emile ZOLA 41200 ROMORANTIN technimursdeveloppement@gmail.com Tél : 02.54.98.50.15 Mr et Mme DUPONT 20 Rue Emile ZOLA 41200 ROMORANTIN Contrôle thermographique Tarifs et prestations : Habitations
Plus en détailLISTE DES PRODUITS ET DES PRESTATIONS REMBOURSABLES (LPPR) POUR LE TRAITEMENT DE L INSUFFISANCE RESPIRATOIRE
LISTE DES PRODUITS ET DES PRESTATIONS REMBOURSABLES (LPPR) POUR LE TRAITEMENT DE L INSUFFISANCE RESPIRATOIRE Code Désignation OXYGENOTHERAPIE A LONG TERME EN POSTE FIXE Date JO Entente préalable Surveillance
Plus en détailLES SOINS D HYGIENE l hygiène bucco dentaire. Formation en Hygiène des EMS de la Somme EOH CH ABBEVILLE JUIN 2015
LES SOINS D HYGIENE l hygiène bucco dentaire Formation en Hygiène des EMS de la Somme EOH CH ABBEVILLE JUIN 2015 1 SOINS DE BOUCHE ENTRETIEN DES PROTHESES DENTAIRES L état bucco-dentaire est souvent préoccupant
Plus en détailLe premier dispositif 4 en 1.
TETHYS H10 Le premier dispositif 4 en 1. Décontamination, nettoyage, désinfection et séchage en un seul passage pour un flux de travail plus simple, plus rapide et plus efficace. Tethys H10 est le premier
Plus en détailLAVAGE À LA MAIN Recommandé pour les pièces imprimées multicolores et les pièces délicates.
SOINS GENERAUX Lisez attentivement les étiquettes des vêtements Respectez toujours les recommandations des fabricants des machines à laver. Dissolvez bien les détergents pour que ceux-ci ne forment pas
Plus en détailQUI PEUT CONTRACTER LA FA?
MODULE 1 : COMPRENDRE LA FIBRILLATION AURICULAIRE 16 QUI PEUT CONTRACTER LA FA? La FA est plus fréquente chez les personnes âgées. Par contre, la FA dite «isolée» (c.-à-d. sans qu il y ait de maladie du
Plus en détailEt la ventilation créa l eau chaude
VENTILATION DOUBLE EFFET VMC BBC + CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE Les P r o d u i t s 75 % D ÉCONOMIES SUR LA CONSOMMATION LIÉE À L EAU CHAUDE CHAUFFAGE DE L EAU JUSQU À 62 C AVEC LA POMPE À CHALEUR 10 %
Plus en détailGUIDE D'INSTALLATION. Lave-Vaisselle
GUIDE D'INSTALLATION Lave-Vaisselle SOMMAIRE 1/ CONSIGNES DE SECURITE Avertissements importants 03 2/ INSTALLATION DE VOTRE LAVE-VAISSELLE Appareil non encastré 04 Appareil encastré 04 Appareil encastré
Plus en détail4 PROTOCOLES DE NETTOYAGE ET DE DESINFECTION A APPLIQUER 1 - PROCEDURE APPROFONDIE DE NETTOYAGE ET DE DESINFECTION DES VEHICULES
PROTOCOLE DE NETTOYAGE ET DE DESINFECTION DES TRANSPORTS SANITAIRES ET DE LEURS MATERIELS Selon les protocoles du CLIN, du SMUR 54 et du Groupe Synapse (69) Pour assurer une efficacité optimale du nettoyage
Plus en détailSéquence maladie: insuffisance cardiaque. Mieux connaître l insuffisance cardiaque Vivre avec un DAI
Séquence maladie: insuffisance cardiaque Mieux connaître l insuffisance cardiaque Vivre avec un DAI Janvier 2012 Finalité de l atelier: Présentation de la séance Cette séance a pour buts de vous permettre
Plus en détailNotre système. Immunitaire
Notre système Immunitaire Notre système Immunitaire Edito L association I.R.I.S. salue l initiative de Sara Lebien, qui en écrivant cet ouvrage et en proposant une illustration gaie et coloré a rendu l
Plus en détailLe séchage des ateliers :
Le séchage des ateliers : Quelles technologies et quels coûts énergétiques? Jacques GUILPART- MF Conseil j. guilpart@mfconseil.fr 06 43 44 66 28 www.mfconseil.fr Adam TCHAÏKOWSKI, Dessica a.tchaikowski@dessica.fr
Plus en détailSérie STP. L eau chaude ne sera plus un problème.
3 Série. L eau chaude ne sera plus un problème. Une thermo cuisinière Rizzoli est un appareil éclectique et polyvalent. Il assure la cuisson des aliments sur la plaque ou dans le four et, en outre, il
Plus en détailFauteuil dentaire monté vers le haut, Modèle CARE-22
Fauteuil dentaire monté vers le haut, Modèle CARE-22 Fauteuil dentaire monté vers le haut, Modèle CARE-22 Réf. SOC-RYS-301017 Caractéristique : Système d exploitation à main monté vers le haut, design
Plus en détailXTR. Humidificateur vapeur à électrodes
XTR Humidificateur vapeur à électrodes Facile à utiliser Facile à entretenir il suffit de remplacer le cylindre Prix abordable, utilisation économique Diffuse de la vapeur dans des conduits ou des espaces
Plus en détailContenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif)
Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif) Contenu de la formation PSE1 LE SECOURISTE : 1 h 30 Indiquer le rôle et les responsabilités d un secouriste. Indiquer les connaissances
Plus en détailFormation Bâtiment Durable :
Formation Bâtiment Durable : Rénovation à haute performance énergétique: détails techniques Bruxelles Environnement LE SYSTÈME DE CHAUFFAGE ET LA PRODUCTION D EAU CHAUDE SANITAIRE François LECLERCQ et
Plus en détail