L'INTERPRÉTATION DES DONNÉES FONDAMENTALES PROVENANT DU RÉSEAU HYDROGÉOLOGIQUE, DANS LE BUT D'ÉTABLIR LE RÉGIME DES EAUX PHRÉATIQUES

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1 L'INTERPRÉTATION DES DONNÉES FONDAMENTALES PROVENANT DU RÉSEAU HYDROGÉOLOGIQUE, DANS LE BUT D'ÉTABLIR LE RÉGIME DES EAUX PHRÉATIQUES I. ENEA, S. TENU ET E. PÎRVANESCU Institut de Recherches Hydrotechniques Bucarest-Roumanie Le principal phénomène du régime des eaux phréatiques est la variation dans le temps de leur niveau, en fonction des facteurs climatiques, hydrologiqucs et hydrogéologiques. L'analyse et l'interprétation des observations concernant le niveau hydrostatique permettent de tirer certaines conclusions sur le régime des eaux souterraines. À présent, dans le réseau hydrogéologique d'état de Roumanie, les observations systématiques n'envisagent que la variation du niveau des eaux phréatiques. Ces observations sont effectuées tous les trois jours, dans tous les forages des stations hydrogéologiques. Le matériel provenant d'observations est soumis à une analyse préliminaire servant aux diverses interprétations qui permettent de mettre en évidence les particularités du régime pour différentes stations et unités hydrogéologiques. Les analyses préliminaires servent à élaborer divers centralisateurs et diagrammes permettant de tirer des conclusions aussi évidentes que possible sur le régime des eaux phréatiques, notamment : des centralisateurs spéciaux pour la variation du niveau hydrostatique, où l'on inscrit tous les trois jours les valeurs mesurées du niveau, en cotes relatives, en même temps que la cote de la bouche du tuyau et celle du terrain. Ces centralisateurs sont élaborés pour chaque forage, en notant aussi les caractéristiques moyennes, maxima et minima mensuelles et annuelles; des centralisateurs pour la variation du niveau des eaux de surface, où l'on inscrit les valeurs journalières mesurées à la mire, en même temps que les caractéristiques moyennes, maxima et minima mensuelles et annuelles; des centralisateurs pour les valeurs des facteurs climatiques : précipitations, evaporation, épaisseur de la couche de glace. Les facteurs hydro-météorologiques pris en considération en dressant ces tableaux proviennent des stations hydrométriques et météorologiques les plus rapprochées de la station hydrogéologique respective. Toujours dans le cadre des analyses préliminaires, on élabore, pour chaque station hydrogéologique, des diagrammes complexes pour la variation du niveau hydrostatique en corrélation avec la variation dans le temps des niveaux des eaux de surface et des facteurs climatiques. Ceci permet de mettre en évidence, pour diverses unités hydrogéologiques, les rapports qui existent entre le régime des eaux souterraines et le régime des eaux superficielles, ainsi que les rapports entre le régime des eaux souterraines et les facteurs météorologiques. On y tient compte aussi de la nature lithologique et de la granulométrie des dépôts géologiques où se produisent les oscillations du niveau. En général, vu la période relativement brève depuis la mise en service du réseau des stations hydrogéologiques, il n'a pas encore été possible d'établir des méthodes 20

2 précises d'interprétation des observations, pour caractériser et prévoir le régime des niveaux. Cependant, là où cela a été possible, où la densité des forages et le volume des observations l'ont permis, on a dressé des cartes pour la répartition des niveaux caractéristiques annuels (minima, maxima, moyens) et l'amplitude maxima annuelle à chaque unité hydrogéologique. Ces cartes ont permis de tirer des conclusions intéressantes pour certaines zones, par exemple pour la Plaine du Danube, et d'établir quelques caractéristiques générales du régime des eaux souterraines de la région respective. On a dressé également, dans les stations hydrogéologiques de l'ordre I, des diagrammes de corrélation entre les valeurs caractéristiques absolues du niveau des eaux de surface et les valeurs caractéristiques absolues du niveau hydrostatique dans les forages de la station hydrogéologique. Ces diagrammes ont envisagé les stations hydrogéologiques de l'ordre I de la Plaine du Danube et illustré d'une façon absolument claire la dépendance du régime de la variation des niveaux des eaux phréatiques de cette zone, de la variation des niveaux du Danube, en établissant en même temps, avec assez de précision, la distance jusqu'où cette dépendance se fait ressentir. Pour caractériser aussi complètement que possible le régime des eaux souterraines en diverses unités hydrogéologiques où les exigences de cette méthode ont été satisfaites notamment les trois forages alignés dans le sens du flux souterrain, on a abordé le calcul du bilan des eaux phréatiques selon la méthode hydrodynamique des différences finies, élaborée par Kamenski et Lebedev. Cette méthode permet de calculer l'intensité de l'alimentation de la nappe phréatique par infiltrations, l'évaporation à la surface de l'horizon aquifère et le débit souterrain débouchant du réservoir et y retournant. Pour chaque station hydrogéologique où l'on fait le calcul du bilan des eaux phréatiques, on trace des diagrammes des éléments du bilan permettant d'y suivre la variation des éléments de bilan en diverses périodes de l'année. L'analyse et l'interprétation des données provenant d'observations systématiques sur les variations du niveau hydrostatique en corrélation avec les facteurs hydrologiques, météorologiques et hydrostatiques, permettent, de la sorte, d'établir certaines régularités régionales dans le régime des eaux souterraines. ANALYSE ET INTERPRÉTATION DES I'OMPAGKS EXPÉRIMENTAUX Outre les observations et les mesures envisageant la détermination du régime des eaux souterraines, les forages du réseau hydrogéologique de la République Socialiste de Roumanie créent eux aussi la possibilité de déterminer les caractéristiques de filtration des nappes aquifères envisagées dans cette étude, et leur capacité de débiter dans le temps. Ces caractéristiques sont fournies par les mesures qu'on effectue lors des pompages expérimentaux. Selon l'étude mentionnée plus haut, c'est à toutes les stations du réseau hydrogéologique qu'on effectue des pompages expérimentaux de courte durée. Ces pompages sont effectués lorsque les forages ont acquis leur forme définitive et, ultérieurement, seulement en remarquant certains désaccords avec les forages voisins ou pour en vérifier la conformité de l'exécution. C'est aux Directions de l'économie des Eaux du Comité d'état des Eaux qu'incombe le contrôle des pompages expérimentaux, ces unités étant en même temps obligées de faire parvenir à l'institut de Recherches Hydrotechniques, sous forme de fiche de pompage, toutes les mesures qu'on a effectuées pour un pompage expérimental. 21

3 Les observations et les mesures effectuées lors des pompages expérimentaux envisagent : l'heure du début du pompage; les dénivellcments qu'on obtient en certains moments préalablement établis; les débits obtenus aux mêmes moments; l'heure de la fin du pompage, devant coïncider avec le moment de revenue du niveau initial dans le puits de forage; la revenue du niveau dans le puits de forage; mesurée avec une périodicité préétablie; l'heure de la fin de la revenue. Les fiches de pompage mentionnent encore le nom de la station respective, le puits où le pompage a été exécuté, la date du pompage, la profondeur exacte du puits de forage, la position du suceur, le niveau hydrostatique initial, les heures de désensablement, les caractéristiques des agrégats au moyen desquels on a effectué le désensablement et le pompage expérimental etc. La fiche de pompage est accompagnée des trois diagrammes : Q =/(s), S f(t) et la revenue dans le temps du niveau de l'eau dans le forage. Ce matériel primaire, une fois arrivé à l'institut de Recherches Hydrotechniques, est centralisé et systématisé dans des tableaux complexes conçus à la Section d'hydrogcologie de l'institut. C'est sur ces tableaux que se fondent les analyses ultérieures, lesquelles envisagent le calcul des coefficients de filtration, les débits spécifiques, l'influence dans l'extention de la nappe. Ces analyses sont effectuées pour tous les trois échelons de dénivellement où l'on exécute le pompage expérimental, la valeur finale étant la'résultante de la moyenne arithmétrique des trois valeurs. Les paramètres mentionnés plus haut sont calculés comme suit : Le débit spécifique représente la valeur du débit à un mètre de dénivellement réalisé (<? - Q/S). Le coefficient de filtration est calculé avec la formule de Dupuit pour les forages parfaits (aussi bien dans les nappes sous pression que dans les nappes à niveau libre), et avec la formule de Forchheimer pour les forages imparfaits. Forages parfaits : nappe aquifère sous pression nappe aquifère à niveau libre K _ g log (K/r) MS K,_ 0,73 g log(rlr) S(2H-S) Forages imparfaits : nappe aquifère sous pression 0.366QjlogR-logr) j'm_ I M MS V / V2M-1 22

4 nappe aquifère à niveau libre K 0,73 ß (log R- log r) jh m M l'épaisseur de la nappe aquifère, en mètre; H la hauteur de la colonne d'eau dans la nappe, en mètres; h la hauteur de la colonne d'eau dans le puits pendant le pompage, ou le niveau dynamique, en mètres; S le dénivellement, en mètres; r le rayon du filtre, en mètres ; R le rayon d'influence, en mètres; Q le débit, en m 3 /j. / la longueur du filtre Le rayon d'influence est un élément qu'on détermine avec des formules expérimentales. Pour les conditions hydrogéologiques rencontrées dans notre pays dans la majorité des cas, on considère que les valeurs les plus proches des valeurs réelles sont celles qu'on obtient avec les formules de Sichardt et de Kusakin : (R = 10 S y/k) (Sichardt); (R = 2 S -y/kh) (Kusakin), où les termes des formules ont la signification des termes des formules mentionnées plus haut. On souligne que, pour les nappes sous pression parfaites ou imparfaites le coefficient de filtration a été calculé à l'institut de Recherches Hydrotechniques au moyen d'une règle de calcul qui élimine les appréciations faites lors du calcul du rayon d'influence permettant d'effectuer rapidement les déterminations (cette règle a été imaginée par les chercheurs de l'institut). Les formules citées plus haut ont été utilisées pour les cas où la nappe était entièrement connue. Lorsque l'épaisseur n"est pas connue, on utilise, pour le coefficient de filtration, toujours les formules de Forchheimer, en remplaçant les valeurs de H, h et M, par Ha, lia et Ma (la hauteur et respectivement l'épaisseur active de la nappe aquifère), selon la méthode de Zamarin. Les critères selon lesquels on détermine les conditions hydrauliques de gisement des nappes aquifères ont été la documentation lithologiquc et hydrogcologique qui est élaborée à chaque station hydrogéologique du réseau, ainsi que la corrélation entre Q et 5, dont la forme indique si la nappe aquifère respective est à niveau libre ou sous pression. Les résultats des analyses sont inscrits dans des tableaux centralisateurs à côté des données primaires, systématisées par unités hydrogéologiques, stations et forages hydrogéologiques effectués par périodes distinctes, et servent de matériel de base pour l'interprétation des divers facteurs. L'interprétation proprement dite des données hydrogéologiques résultant des pompages expérimentaux envisagent surtout les cartes de la répartition territoriale des débits spécifiques, et les cartes à isolignes du coefficient de filtration (les isopermes). L'une des premières zones qui a été caractérisée du point de vue hydrogéologique en partant des interprétations faites à l'institut de Recherches Hydrotechniques, est la Plaine du Danube en tant qu'unité hydrogéologique. 23

5 INTERPRÉTATION DES ANALYSES CHIMIQUES Les échantillons d'eau prélevés pendant les pompages expérimentaux ont été analysés et les principaux composants qui en ont été déterminés ont été inscrits dans les bulletins d'analyse. Chaque bulletin a été analysé séparément et, pour son interprétation, on a utilisé les méthodes les plus avancées à l'échelon mondial. La première opération en a envisagé de transformer les composants de mg/1 en mval/1. Pour vérifier l'exactitude des analyses, on a comparé la somme des mval d'anions et mval de cations, en déterminant par calcul la valeur de la dureté totale et temporaire, la valeur de la minéralisation totale (la somme des anions et des cations) et le résidu fixe, ce dernier pour le comparer au résidu expérimental. Après vérification, les analyses ont été systématisées en des centralisateurs, par unités hydrogéologiques. Vu l'utilisation complexe des eaux en divers secteurs de l'économie nationale, les critères de classification ont été eux aussi différents : la potabilité, l'emploi possible aux irrigations, le comportement à l'égard des bétons, le degré de nocivité à l'égard des plantes et des animaux. Pour la classification générale des eaux (la détermination du type d'eau) on a appliqué la formule représentative de Kurlov, qui est la représentation en pourcents de la participation des principaux composants dans une solution de l'eau respective. L'application de cette formule a permis de montrer le type d'eau, fixé par les anions et les cations prédominants et par le pourcentage des éléments nocifs, avec le danger potentiel qu'ils représentent, le Na, en premier lieu, et ensuite le Mg. Dans la composition de la formule entre aussi la minéralisation totale (a + c), permettant d'exprimer avec plus de précision le degré de salinisation des eaux. Les eaux ont été divisées en six classes, selon leur degré de potabilité, notées A, B, C, D, E, F, dont seulement les trois premières sont considérées comme potables. Ces catégories ont été déterminées selon la minéralisation totale, la dureté totale, la teneur en NaCl et en Na2SO4. La classification des eaux destinées aux irrigations a été faite selon la méthode de Priklonski, lequel divise les eaux en cinq classes, en fonction du coefficient Ka (le coefficient de Priklonski). On a calculé, au moyen de la formule de Priklonski-Lapteev, le coefficient d'irrigation Ka, en utilisant trois formules empiriques basées sur le rapport du cation de Na et les anions de Cl et de SO4 (les radicaux des acides forts). Ainsi, selon Priklonski, les eaux dont la valeur de Ka est 18, sont considérées comme adéquates pour l'irrigation. Celles dont la valeur de Ka est comprise entre six et dix-huit sont considérées comme admissibles, après l'application de certaines mesures contre la salinisation secondaire. Dans la classification des eaux destinées à l'irrigation on a employé la méthode de Thorn et Petersen, basée sur le calcul ou la détermination expérimentale de la conductance électrique de la solution (EC), exprimée en micro-mho, et la détermination de la capacité d'absorption du sodium : SARilog(Ca + Mg) Selon la conductance électrique, les eaux ont été divisées en six classes, notamment : Ci, C2, C3, C4, C5, Ce, et selon la valeur de la SAR, en quatre classes :Si, S2, S3, S4 En ce qui concerne la méthode de Thorn et Petersen, les eaux correspondent 24

6 d'autant plus à l'irrigation que leur conductance électrique et leur SAR sont basses. Les eaux les meilleures sont celles qui s'encadrent, selon leur CE et leur SAR, dans la catégorie Si. Les indices du CSR (carbonate de sodium résiduel), calculés avec la formule CSR = (CHÖ3 + CO 3 --).(Ca ++ -\ Mg + + ) ont permis d'établir l'éventuelle possibilité de formation de la minéralisation par l'échange des cations du Na2CO4, lequel est fort nocif pour les plantes. Dans l'emploi des eaux dans le secteur sootechnique on a appliqué les normes élaborées à l'institut Pasteur. Comme méthode de contrôle supplémentaire, on a choisi les critères du Budanov, basés sur le rapport entre les principaux cations et le rapport entre la minéralisation totale et la dureté totale, pour les eaux à la minéralisation dépassant 1000 mg/1. En établissant les rapports entre les cations, la méthode de Budanov vise à classifier les processus de salinisation, lesquels sont les plus dangereux. Pour évaluer le degré d'utilisation des eaux dans l'industrie, on a appliqué les critères fixés par la Section de la protection et l'épuration des eaux de l'institut de Recherches Hydrotechniques, critères qui seront compris dans un projet d'état. L'aggressivité à l'égard des bétons et le degré de corrosivité ont été apprécies selon plusieurs critères, dont : le diagramme de Mündlein, basé sur le rapport entre le CO2 libre et la dureté temporaire, la teneur enscx> et Mg, et l'établissement du ph respectif. Pour avoir une vue d'ensemble sur la répartition des divers types d'eau par unités hydrogéologiques dûment individualisées, on a tracé des diagrammes au moyen de la classification de Brodski. On a dressé aussi des cartes de la minéralisation totale maxima dans les puits de forage du réseau de la Plaine du Danube, ainsi que des cartes à isoduretés. Chaque fois qu'on a disposé d'un nombre assez grand d'analyses, on a pu suivre les variations saisonnières du chimisme, en comparant les analyses exécutées en différentes saisons. 25

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