MEDEF Actu-Eco. Semaine du 13 au 17 janvier 2014 n 145 SOMMAIRE

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1 MEDEF Actu-Eco Semaine du 13 au 17 janvier 2014 n 145 SOMMAIRE FRANCE 1. Croissance du PIB au 3 ème trimestre 2013 : -0,1% (après +0,6% au 2 ème trimestre) et +0,2% sur un an 2. Comptes des entreprises au 3 ème trimestre 2013 : repli du taux de marge, au plus bas depuis le 4 ème trimestre Comptes des ménages au 3 ème trimestre 2013 : légère diminution du pouvoir d achat et du taux d épargne, sur fond d une modeste progression de la consommation 4. Dette des administrations publiques à la fin du 3 ème trimestre 2013 : 1 900,8 milliards d euros, soit -11,4 milliards d euros sur un trimestre, +82,8 milliards d euros sur un an 5. Nouvelle estimation de l emploi salarié marchand au 3 ème trimestre 2013 : postes sur un trimestre, postes sur un an 6. Production industrielle en novembre 2013 : +0,2% sur un mois, +0,1% en moyenne mobile sur trois mois 7. Demandes d emploi en novembre 2013 : sur un mois, sur un an 8. Déficit commercial en novembre 2013 : -62,5 milliards d euros en glissement sur douze mois 9. Moral des ménages en décembre 2013 : un modeste redressement de l indice après son repli de novembre INTERNATIONAL 10. Tendances récentes des marchés BRÈVE : La Banque de France confirme son estimation d une croissance de +0,5% du PIB au 4 ème trimestre * * * 1 MEDEF Actu-Eco semaine du 13 au 17 janvier 2014

2 2007Q3 2007Q4 2008Q1 2008Q2 2008Q3 2008Q4 2009Q1 2009Q2 2009Q3 2009Q4 2010Q1 2010Q2 2010Q3 2010Q4 2011Q1 2011Q2 2011Q3 2011Q4 2012Q1 2012Q2 2012Q3 2012Q4 2013Q1 2013Q2 2013Q3 1 Croissance du PIB au 3 ème trimestre 2013 : -0,1% (après +0,6% au 2 ème trimestre) et +0,2% sur un an * Les résultats détaillés des comptes nationaux, publiés fin décembre 2013, confirment la contraction du PIB au 3 ème trimestre 2013 : -0,1% en volume, après +0,6% au 2 ème trimestre (+0,5% dans la première estimation). L acquis de croissance annuelle pour 2013 est inchangé (+0,1%) Croissance annualisée du PIB (volume, %) +0,2-0,1 sur un trimestre sur un an Cette contraction du PIB au cours de l été 2013 recouvre: - une nette décélération de la consommation des ménages (+0,1%, après +0,4%) ; - un recul des investissements (-0,4%), aussi bien dans le logement (-0,6%), les entreprises (-0,4%) que dans les administrations publiques (-0,2%) ; - une hausse des importations de biens et services (+0,9%) et un fort repli des exportations (-1,3%). %, volume PIB Consommation des ménages FBCF totale, dont : Investissements des entreprises Investissements des ménages (logements) Exportations (biens et services) Importations (biens et services) 2012 T4-0,2 0,0-0,6-0,4-1,0-0,8-1, T1-0,1-0,1-0,9-0,8-1,3-0,3 +0, T2 +0,6 +0,4-0,4 +0,1-1,7 +1,9 +1, T3-0,1 +0,1-0,4-0,4-0,6-1,3 +0, (acquis) +0,1 +0,3-2,3-1,9-3,8 +0,2 +0,9 * La baisse de -0,1% du PIB au 3 ème trimestre 2013 résulte donc : - d une contribution nulle de la demande intérieure hors stocks ; - d une contribution négative des échanges extérieurs (-0,6 point) ; - d une contribution positive de la variation de stocks (+0,5 point). 2 MEDEF Actu-Eco semaine du 13 au 17 janvier 2014

3 2 Comptes des entreprises au 3 ème trimestre 2013 : repli du taux de marge, au plus bas - depuis le 4 ème trimestre 1985 * Selon les comptes nationaux publiés par l INSEE, la valeur ajoutée des sociétés non financières a baissé de -0,3% au 3 ème trimestre 2013 (après +0,9% au 2 ème ). Sur un an, elle aura augmenté de +0,5%. * La marge brute s est contractée de - 2,1%, (+1,7% au 2 ème trimestre). Sur un an, elle a baissé de -2,3%. Cette contraction au cours de l été est le résultat combiné : - de la poursuite de la hausse des rémunérations (+0,4%, après +0,6%). La progression des salaires versés a ralenti (+0,2%, après +0,6%), recouvrant une baisse de l emploi (-0,2%) et une nouvelle amélioration du salaire moyen par tête (+0,4%) ; - de l alourdissement des impôts sur la production (+0,8%, après +0,9% au 2 ème trimestre). * Au total, le taux de marge a reculé de 28,2 à 27,7% de la valeur ajoutée au 3 ème trimestre 2013, son plus bas niveau depuis Le taux de marge moyen des 3 premiers trimestres 2013 est inférieur de -3,8 points à celui de Et la moyenne du taux de profit distribuable avant impôt inférieure de plus de 4 points à celle de 2007 % de la valeur ajoutée Rémunérations chargées dont salaires et traitements bruts versés Marge brute (EBE) dont profit distribuable avant impôts (1) 2012 T3 67,6 51,0 28,5 24, T4 68,0 51,2 28,0 24, T1 67,9 51,3 28,0 24, T2 67,7 51,1 28,2 24, T3 68,2 51,4 27,7 24, ,5 48,9 31,8 28, ,0 49,3 31,4 26, ,8 50,8 29,1 24, ,9 50,8 30,0 25, ,3 50,8 29,1 25, ,8 51,1 28,3 24, (3T) 67,9 51,2 28,0 24,5 (1) autofinancement +revenus distribués + impôts directs * La part des rémunérations (chargées) s est redressée de +0,5 point au 3 ème trimestre avec 68,2% de la valeur ajoutée. La moyenne des trois premiers trimestres de 2013 dépasse de 3,4 points celle de 2007, dont les 2/3 imputables aux salaires et traitements bruts versés (51,2% de la valeur ajoutée contre 48,9% en 2007). * En euros courants, l EBE des sociétés au 3 ème trimestre 2013 reste inférieur de quelque 12% à son niveau du 1 er trimestre Dans le même temps, les rémunérations (chargées) ont augmenté de 9%, soit 3,5 fois plus vite que la valeur ajoutée. 3 MEDEF Actu-Eco semaine du 13 au 17 janvier 2014

4 * L épargne brute des sociétés (autofinancement) s est repliée au 3 ème trimestre 2013 (-12,7%, après +4,1% au trimestre précédent). Leurs investissements ont légèrement baissé (-0,1% au 1 er trimestre 2013), de sorte que le taux d investissement est resté stable : 19% de la valeur ajoutée. Il est inférieur de 0,7 point à celui de Au total, baisse de l épargne brute et stagnation des investissements dans la valeur ajoutée expliquent le recul du taux d autofinancement de 66,9% à 58,5% entre le 2 ème et le 3 ème trimestre Le taux d autofinancement moyen des trois premiers trimestres de 2013 est inférieur de plus de 20 points à celui de % valeur ajoutée (sociétés non financières) Epargne brute (A) Investissements (B) Taux d'autofinancement (A/B) 2012T3 13,1 19,2 68,0 2012T4 11,9 19,2 61,8 2013T1 12,3 19,1 64,4 2013T2 12,7 19,0 66,9 2013T3 11,1 19,0 58, ,6 19,7 84, ,9 20,2 68, ,8 18,3 75, ,1 19,3 83, ,3 19,8 72, ,8 19,4 65, (3T) 12,0 19,0 63,2 * Dans l industrie manufacturière, les données de branches font apparaître un recul des marges au 3 ème trimestre 2013 de -4% (après +8% au trimestre précédent). Elles auront néanmoins augmenté de +7,7% sur un an. Au total, le taux de marge des trois premiers trimestres de 2013 s est établi à 22,8% de la valeur ajoutée, niveau inférieur de près de 6 points à celui de 2007 (28,4%). 4 MEDEF Actu-Eco semaine du 13 au 17 janvier 2014

5 3 Comptes des ménages au 3 ème trimestre 2013 : légère diminution du pouvoir d achat et du taux d épargne, sur fond d une modeste progression de la consommation * Les comptes nationaux détaillés mettent en évidence un ralentissement du revenu disponible brut des ménages au 3 ème trimestre 2013 (+0,1% en valeur, après +0,4% au 2 ème trimestre et +1,2% au 1 er trimestre), qui recouvre : - une décélération des revenus salariaux (+0,3%, après +0,5% au trimestre précédent) ; - un dynamisme persistant des prestations sociales (+0,7%, après +0,8%) ; - une accélération des impôts sur le revenu et le patrimoine (+1,9%, après +1,4%), «pour partie sous l effet des mesures décidées dans la loi de finances pour 2013 : non-indexation du barème de l impôt sur le revenu, création d une tranche à 45% et baisse du plafond du quotient familial» T T T T T3 Evolution en valeur (%) Revenu Disponible Brut (RDB) -0,1-0,7 +1,2 +0,4 +0,1 Impôts sur le revenu et le patrimoine +5,2 +6,7-5,0 +1,4 +1,9 Prix à la consommation +0,1 +0,2 +0,3-0,1 +0,2 Salaires bruts +0,5 +0,2 +0,4 +0,5 +0,3 Prestations sociales +1,0 +0,8 +0,6 +0,8 +0,7 Evolution en pouvoir d'achat (%) Revenu Disponible Brut (RDB) -0,3-0,9 +0,9 +0,5-0,1 RDB par unité de consommation -0,4-1,1 +0,7 +0,3-0,2 Salaires bruts +0,4 0,0 +0,1 +0,6 +0,1 Prestations sociales +0,9 +0,6 +0,3 +0,9 +0,5 Ratios Taux d'épargne (% du RDB) 15, ,8 15,9 15,7 Taux d'épargne financière (% du RDB) 6,4 5,7 6,6 6,9 6,7 * Compte tenu de l accélération des prix des dépenses de consommation (+0,2%, après -0,1%), le pouvoir d achat du RDB s est légèrement contracté au 3 ème trimestre 2013 (-0,1%, après +0,5%). Par unité de consommation 1, il a baissé de -0,2% (+0,3% au trimestre précédent). Cette légère baisse du pouvoir d achat recouvre un gain de +0,5% pour les prestations sociales (+0,9% au 2 ème trimestre) et de +0,1% pour la masse des salaires versés (après +0,6%). * Compte tenu de la baisse du pouvoir d achat, la modeste progression de la consommation des ménages au 3 ème trimestre 2013 a été rendue possible par une baisse de l épargne, passée de 15,9% à 15,7% du RDB au 3 ème trimestre (moyenne = 15,5%). Le taux d épargne financière (42,9% de l épargne totale), c est-à-dire hors logement, est passé de 6,9% à 6,7% au 3 ème trimestre Système de pondération tenant compte de la composition du ménage (nombre de personnes, âge) 5 MEDEF Actu-Eco semaine du 13 au 17 janvier 2014

6 2006T3 2006T4 2007T1 2007T2 2007T3 2007T4 2008T1 2008T2 2008T3 2008T4 2009T1 2009T2 2009T3 2009T4 2010T1 2010T2 2010T3 2010T4 2011T1 2011T2 2011T3 2011T4 2012T1 2012T2 2012T3 2012T4 2013T1 2013T2 2013T T T T T4 4 Dette des administrations publiques à la fin du 3 ème trimestre 2013 : 1 900,8 milliards d euros, soit -11,4 milliards d euros sur un trimestre, +82,8 milliards d euros sur un an * La dette publique au sens de Maastricht (dette brute), détenue à hauteur de 79,4% par l Etat, s est établie à 1 900,8 milliards d euros au 30 septembre 2013, soit 92,7% du PIB. * Entre fin juin et fin septembre 2013, la dette publique s est réduite de -11,4 milliards d euros (-0,6%). Elle s inscrit néanmoins en hausse de +82,8 milliards d euros sur un an Dette des administrations publiques (% du PIB) 92,7 95,1 91,0 0 Sources : INSEE, Budget 2014 Prévisions de finances publiques pour La baisse du 3 ème trimestre recouvre : - une réduction de l endettement de l Etat de 9,2 milliards d euros. Par ailleurs, celui des organismes divers d administration centrale a baissé de 1,3 milliard d euros ; - une diminution de la dette des administrations de la sécurité sociale de 1 milliard d euros ; - une quasi-stagnation de la dette des administrations publiques locales (+0,1 milliard d euros). *Sur plus longue période, la dette publique s est alourdie de +689,2 milliards d euros entre le 31 décembre 2007 et le 30 juin * Pour l avenir, la Loi de Finances 2014 prévoit un nouvel alourdissement de la dette cette année (95,1% du PIB). Selon la trajectoire gouvernementale, la dette commencerait à se réduire en 2015 (94,7%) pour atteindre (91% du PIB) au dernier trimestre 2017, à un niveau donc encore supérieur à celui de Pour mémoire, selon les dernières prévisions de la Commission européenne, la dette publique en Allemagne représenterait 77,1% du PIB en Dette publique (au 31 décembre de chaque année) Milliards d euros * 2013T3/2012T4 2013T3/2007T4 Total 1 211, , , ,8 +67,0 +689,2 En point de PIB (*) 64,2 82,5 85,8 90,2 92,7 dont Etat 932,8 1244,8 1335,3 1439,9 1509,8 +69,9 +577,0 Organismes divers d'adm. centrale 22,8 14,1 10,4 9,9 8,6-1,3-14,2 Administrations publiques locales 135,5 161,1 166,6 173,7 169,8-3,9 +34,3 Administrations de sécurité sociale 120,3 175,0 204,6 210,3 212,6 +2,3 +92,3 / (*) 30 septembre MEDEF Actu-Eco semaine du 13 au 17 janvier 2014

7 5 Nouvelle estimation de l emploi salarié au 3 ème trimestre 2013 : postes sur un trimestre, postes sur un an * L INSEE vient de publier une deuxième estimation de l emploi salarié dans le secteur marchand non agricole au 3 ème trimestre Par rapport à celle du mois de novembre dernier, cette nouvelle estimation fait état : - d une réduction plus importante des effectifs au 2 ème trimestre 2013 : postes, (contre ) ; - d une moindre baisse des effectifs au 3 ème trimestre 2013 : postes, (contre ). Ainsi, sur les deux trimestres, les effectifs salariés auront baissé de , davantage que dans la première estimation ( ). * Sur un an, les effectifs du 3 ème trimestre 2013 se sont contractés de postes. Emploi salarié du secteur marchand non agricole milliers en fin de trimestre (cvs) 2013 T T3 / 2013 T T3 / 2012 T3 Total, dont: ,1-15,6-132,6 Intérim 523,1 +5,0 +3,0 Total hors intérim, dont: ,0-20,6-135,6 Industrie 3 197,4-14,6-56,6 Construction 1 397,4-6,7-27,6 Tertiaire marchand, dont: ,2 +0,6-51,3 Commerce 2 989,8-8,2-38,4 Services marchands 7 780,4 +8,8-12,9 * Sectoriellement, la contraction des emplois salariés entre le 2 ème et le 3 ème trimestre 2013, recouvre : - une progression des emplois intérimaires ( postes), après la baisse du trimestre précédent (-3 300) ; - une diminution des emplois dans l industrie ( postes), ininterrompue depuis le 3 ème trimestre 2011, et dans la construction (-6 700) ; - une interruption de la baisse des emplois dans le tertiaire marchand hors intérim, après quatre trimestres consécutifs de baisse (+600 postes). Cette modeste hausse provient de la progression des emplois dans les services marchands (+8 800), faisant plus que compenser les pertes d emploi dans le commerce (-8 200). 7 MEDEF Actu-Eco semaine du 13 au 17 janvier 2014

8 Production industrielle en novembre 2013 : +0,2% sur un mois, +0,1% en moyenne mobile sur trois mois * L indice de la production dans l industrie manufacturière a progressé de +0,2% en novembre 2013, après +0,3% en octobre. Cette progression se retrouve dans les industries agroalimentaires (+0,1%), dans la fabrication de matériel de transport (+1,3%) et plus encore dans la cokéfaction et le raffinage (+22,2%, en raison de la reprise d activité d une raffinerie). En revanche, la fabrication d équipements s est repliée de -1,4%. 120 Indice de production dans l'industrie manufacturière en France (base 100 en 2005, moyenne mobile sur trois mois) * En moyenne mobile sur les trois derniers mois connus (septembre, octobre, novembre 2013), l activité manufacturière peine à franchement se redresser : elle a progressé de +0,1% par rapport aux trois mois précédents (+0,3% sur un an). Elle reste inférieure de 17% à son niveau du printemps Cette modeste progression de la production industrielle des trois derniers mois recouvre des évolutions sectorielles contrastées : - un repli dans les industries agricoles et alimentaires (-0,3%), dans la métallurgie (-0,7%) et, de façon encore plus marquée, dans la cokéfaction et le raffinage (-9,4%) ; - une progression de +1,3% dans la fabrication d équipements et la fabrication de matériels de transport. 8 MEDEF Actu-Eco semaine du 13 au 17 janvier 2014

9 nov.-07 févr.-08 mai-08 août-08 nov.-08 févr.-09 mai-09 août-09 nov.-09 févr.-10 mai-10 août-10 nov.-10 févr.-11 mai-11 août-11 nov.-11 févr.-12 mai-12 août-12 nov.-12 févr.-13 mai-13 août-13 nov.-13 nov.-07 mai-08 nov.-08 mai-09 nov.-09 mai-10 nov.-10 mai-11 nov.-11 mai-12 nov.-12 mai-13 nov Demandes d emploi en novembre 2013 : sur un mois, sur un an * Le nombre de demandeurs d emploi inscrits à Pôle emploi en catégorie A (sans emploi) en France métropolitaine a augmenté de au mois de novembre 2013 (+0,5%), après en octobre (-0,6%), pour atteindre personnes. Par catégorie d âge, le nombre de demandeurs d emploi a augmenté de chez les jeunes de moins de 25 ans entre fin octobre et fin novembre 2013, malgré les emplois aidés (emplois d avenir), et de chez les ans. Il a continué de s alourdir chez les 50 ans et plus (+9 200). * En ajoutant les personnes en activité réduite (catégories B et C), le nombre total de demandeurs d emploi a baissé de -0,1% (-6 900) pour atteindre Evolution mensuelle des demandeurs d'emplois inscrits à Pôle Emploi +80 en catégorie A (milliers, CVS) Demandeurs d'emplois inscrits à Pôle Emploi (milliers, CVS) 4 876,1 A,B,C , A Source : DARES * Entre novembre 2012 et novembre 2013, le nombre de demandeurs d emploi a augmenté de personnes (+5,6%). Cette hausse recouvre : - par sexe : une progression plus importante chez les hommes (+6,2%, soit personnes) que chez les femmes (+5%, soit ) ; - par tranche d âge : un accroissement de +0,3% chez les moins de 25 ans (+1 400) et de +5% chez les ans ( ). Les 50 ans et plus sont toujours les plus touchés (+11,7%, soit ) ; - par région : l augmentation du nombre de demandeurs d emploi inscrits en catégorie A (+5,6% sur un an) concerne toutes les régions de la France (Métropole et DOM). La progression est allée de +3% à la Réunion à +11,5% en Guyane, en passant par +7,4% en Île-de-France, +7,7% dans les Pays de la Loire et en Languedoc- Roussillon 9 MEDEF Actu-Eco semaine du 13 au 17 janvier 2014

10 nov.-07 févr.-08 mai-08 août-08 nov.-08 févr.-09 mai-09 août-09 nov.-09 févr.-10 mai-10 août-10 nov.-10 févr.-11 mai-11 août-11 nov.-11 févr.-12 mai-12 août-12 nov.-12 févr.-13 mai-13 août-13 nov.-13 nov.-07 févr.-08 mai-08 août-08 nov.-08 févr.-09 mai-09 août-09 nov.-09 févr.-10 mai-10 août-10 nov.-10 févr.-11 mai-11 août-11 nov.-11 févr.-12 mai-12 août-12 nov.-12 févr.-13 mai-13 août-13 nov.-13 * L ancienneté moyenne des inscriptions à Pôle Emploi est toujours plus élevée : 508 jours en novembre 2013, contre 475 jours un an plus tôt (+7%). Elle dépasse de 33% son dernier point bas d avril-mai 2009 (383 jours). * Le nombre de demandeurs d emploi de longue durée (un an ou plus) pour les catégories A, B et C a progressé de +13,4% sur un an en novembre 2013 pour atteindre ( ), soit 41,7% du total des demandeurs d emploi. Ils se répartissent ainsi : 7,6% de moins de 25 ans, 62,1% de ans et 30,2% de 50 ans et plus. Sur ces demandeurs d emploi de longue durée, 50,8% sont inscrits à Pôle emploi depuis 2 ans ou plus : avec une ancienneté de 2 à 3 ans et avec une ancienneté de 3 ans ou plus (+17,4% sur un an pour ces derniers) Ancienneté moyenne des inscriptions à Pôle Emploi (nombre de jours, CVS-CJO) 508 Demandeurs d'emploi selon l'ancienneté de l'inscription à Pôle Emploi 600 (milliers, CVS-CJO) 582,0 3 ans et plus , à 3 ans Source : DARES 10 MEDEF Actu-Eco semaine du 13 au 17 janvier 2014

11 Total Agroalimentaire Industrie* Energie Zone Euro Asie Europe hors UE Amérique Afrique PMO** 8 Déficit commercial en novembre 2013 : -62,5 milliards d euros en glissement sur douze mois * Le déficit FAB-FAB des échanges de marchandises s est nettement creusé en novembre 2013, passant de -4,8 milliards d euros en octobre à -5,7 milliards d euros. Cette dégradation de la balance commerciale est imputable au net repli des exportations (-2,1%), en raison de moindres livraisons de matériels de transport qu en octobre, et du recul de celles de machines industrielles. Les exportations sont ainsi retombées à leur plus bas niveau depuis septembre De leur côté, les importations ont légèrement progressé (+0,2%), en raison d approvisionnements énergétiques plus soutenus qu en octobre. * Au-delà des aléas mensuels, le déficit commercial, en glissement sur douze mois, est passé de -67,8 milliards d euros en novembre 2012 à -62,5 milliards d euros en novembre *En données FAB-CAF (permettant une analyse sectorielle ou géographique), le déficit commercial s est réduit de 4,4 milliards d euros pour s établir à 80,2 milliards d euros en novembre ,2 Solde commercial FAB-CAF (milliards d'euros, glissement sur douze mois) +11,5-25,8 Secteurs -65,9-41,8-23,2-10,5-2,0 nov-12 Zones géographiques +0,5 +2,1 nov-13 Source : Douanes (*) Industrie manufacturière hors IAA et produits pétroliers raffinés et coke / (**) Proche et Moyen Orient Cette évolution recouvre : - Par secteur : une réduction de 3,2 milliards d euros du déficit énergétique (82% du déficit total) et d un milliard d euros du déficit industriel ; - Par zone géographique : une quasistagnation du déficit de nos échanges avec la zone euro (52% du déficit total), une réduction de 1,9 milliard d euros de celui avec l Asie et de 2,1 milliards d euros de celui avec l Amérique. 11 MEDEF Actu-Eco semaine du 13 au 17 janvier 2014

12 décembre-07 juin-08 décembre-08 juin-09 décembre-09 juin-10 décembre-10 juin-11 décembre-11 juin-12 décembre-12 juin-13 décembre-13 décembre-07 juin-08 décembre-08 juin-09 décembre-09 juin-10 décembre-10 juin-11 décembre-11 juin-12 décembre-12 juin-13 décembre-13 décembre-07 avril-08 août-08 décembre-08 avril-09 août-09 décembre-09 avril-10 août-10 décembre-10 avril-11 août-11 décembre-11 avril-12 août-12 décembre-12 avril-13 août-13 décembre-13 9 Moral des ménages en décembre 2013 : un modeste redressement de l indice après son repli de novembre * La confiance des ménages s est légèrement améliorée en décembre Néanmoins, l indice synthétique reste nettement inférieur à sa moyenne de longue période ( ) Indicateur synthétique de confiance des ménages (données CVS) Moyenne * Cette légère amélioration du moral des ménages provient d un modeste regain d optimisme au sujet de la situation économique générale en France : - redressement des perspectives concernant le niveau de vie en France ; - moindres inquiétudes à propos de l évolution du chômage. Concernant leur situation personnelle, l opinion des ménages est quasiment inchangée, qu il s agisse : - de leur situation financière future. Le nombre de ménages considérant qu il est opportun de faire des «achats importants» est inchangé par rapport à novembre, mais à un niveau très inférieur à sa moyenne ; - de leur capacité d épargne. La proportion de ménages considérant le moment comme opportun pour épargner est quasi stable, sur un niveau proche de sa moyenne de longue période. Perspectives d'évolution du niveau de vie en France (solde d'opinions, points) Perspectives d'évolution du chômage (solde d'opinions, points) Moyenne Moyenne MEDEF Actu-Eco semaine du 13 au 17 janvier 2014

13 10 Tendances récentes des marchés 2,6 2,5 2,4 2,3 2,2 2,1 2,0 1,9 1,8 1,7 1,6 Taux de rendement des obligations d'etat à 10 ans (%) France Allemagne 2,34 1,83 Taux de rendement des obligations d'etat à 10 ans de la Grèce 11 (%) ,93 1,40 1 euro =... dollar 1,39 1,38 1,37 1,36 1,35 1,34 1,33 1,32 1, Prix du baril de pétrole brut Mer du Nord (brent) ,7 dollars euros 78,4 75 Cours des matières premières hors pétrole et métaux précieux 195 (100 = 1988) 190 dollars Cours de l'once d'or (en dollars) euros MEDEF Actu-Eco semaine du 13 au 17 janvier 2014

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