XXV ème Journée Scientifique d EPITER
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- Virgile St-Amour
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1 Association pour le développement de l Epidémiologie de Terrain XXV ème Journée Scientifique d EPITER 19 mars 2010 Ministère de la santé et des sports Salle Laroque, Paris RESUMES DE LA SESSION "POINT GRIPPE" Modérateur : Bruno Hubert E p i t e r Château de Vacassy 12, rue du Val d Osne St-Maurice cedex Tél. : +33 (0) Fax : +33 (0) epiter@epiter.org 1
2 Evolution des systèmes de surveillance de la pandémie grippale en métropole et principaux résultats Isabelle Bonmarin, Danielle Ilef, Marc Gastellu-Etchegorri, pour l ensemble du personnel InVS/Cire ayant participé à la surveillance InVS, 12 rue du Val d Osne St Maurice Dès l alerte fin avril 2009, des systèmes spécifiques ont complété les systèmes de surveillance de la grippe saisonnière mis en place par l Institut de veille sanitaire (InVS) et ses partenaires. Nous en présentons l évolution et les principaux résultats. Méthodes Dans les premières semaines, tous les cas possibles ont été signalés en temps réel à l InVS à partir d un dispositif basé sur les SAMU-Centres 15. Après la confirmation des premiers cas à transmission autochtone, la surveillance s est focalisée sur les cas groupés survenant en collectivité. La circulation du virus sur le territoire confirmée, la surveillance reposait sur les réseaux sentinelles en médecine de ville (réseaux Sentinelles, Grog et SOS médecins) ou à l hôpital (réseau Oscour ), ainsi que sur la surveillance des cas hospitalisés, limitée dès novembre aux patients admis en réanimation/usi ou décédés. Les prélèvements effectués sur un mode aléatoire par les médecins du réseau Grog a permis d étudier la proportion de ceux positifs par PCR pour le virus A(H1N1) La surveillance des virus circulants notamment en matière de résistance et de mutations, a été assurée par les 2 CNR Influenzae. La mortalité directe liée à la grippe A(H1N1) 2009 a été suivi principalement par l analyse des certificats de décès en temps réel par les Ddass et au suivi actifs des cas hospitalisés. L ensemble des données individuelles recueillies par l InVS ont été saisies sur une base unique sécurisée et ouverte aux partenaires régionaux et CNR. L InVS assurait également une veille internationale. Toutes les informations étaient colligées dans un bulletin hebdomadaire. Depuis le 25 avril, en métropole, plus de 4 millions de personnes ont consulté pour un syndrome grippal, 1325 cas graves et 302 décès ont été signalés. La proportion de prélèvements positifs est restée inférieure à 10% jusqu à mi-octobre pour atteindre 50% en semaine 49 et 50 et décroître depuis. Conclusion La surveillance de la pandémie grippale AH1N en France s est constamment adaptée à une situation épidémiologique en mouvement et a contribué à ajuster les mesures de contrôle de l épidémie. 2
3 Surveillance épidémiologique de l'épidémie de grippe A(H1N1) 2009 dans les armées françaises : adaptation des systèmes de surveillance au contexte pandémique Novel influenza A(H1N1) outbreak surveillance in French military forces : improvement of surveillance systems towards pandemic Kristel Gache 1, A. Mayet 1, V. Pommier de Santi 2, G. Manet 1, C. Ligier 1, P. Nivoix 2, N. Faure 2, R. Haus-Cheymol 1, M. Piarroux 2, A. Dia 2, S. Duron 1, M. Tanti 2, F. De Laval 2, K. Camara 1, B. Queyriaux 3, E. Nicand 4, C. Decam 2, H. Chaudet 2, J.B. Meynard 1, X. Deparis 2, R. Migliani 1 1. Département d épidémiologie et de santé publique Nord, École du Val-de-Grâce, Paris 2. Département d épidémiologie et de santé publique Sud, Institut de médecine tropicale du Service de santé des armées, Marseille. 3. Direction centrale du Service de santé des armées, Vincennes. 4. Service de biologie médicale, Hôpital d'instruction des armées du Val-de-Grâce, Paris. Correspondant : Aurélie Mayet Département d Épidémiologie et de Santé Publique Nord, Ecole du Val-de-Grâce. Ilot Bégin, 69 avenue de Paris Saint Mandé. France Tel Fax aurelie_marie@hotmail.fr Une épidémie de grippe à virus variant A(H1N1) a été détectée au Mexique en avril 2009 et s'est propagée au reste du monde en 9 semaines. Les armées françaises ont dû adapter leurs outils de surveillance au contexte pandémique. L objectif de ce travail est de donner les résultats de cette surveillance. Sujets et méthodes Deux systèmes pérennes de surveillance de la grippe existent dans les armées, dont un saisonnier : le système militaire d'observation de la grippe (SMOG). La menace pandémique a conduit à réactiver ce dernier de façon précoce, puis à mettre en place un système de surveillance quotidienne des infections respiratoires, des cas confirmés de grippe A(H1N1) 2009 et des arrêts de travail de moins de 15 jours. En métropole, la hausse d'incidence des infections respiratoires a été observée dès septembre, avec un pic correspondant à la première vague épidémique fin novembre (401 cas p selon le SMOG). Les indicateurs sont revenus aux valeurs saisonnières début janvier Le taux d incidence des consultations attribuables à la grippe A(H1N1) 2009 dans les armées entre septembre et décembre était estimé à cas p Pour les unités stationnées hors-métropole, les données faisaient état d'un pic d'incidence (400 cas p ) à la mi-août. Conclusions Les tendances mesurées par les réseaux militaires de surveillance de la grippe en métropole sont identiques à celles observées à l'échelon national. Pour les unités stationnées outre-mer, le pic observé en août correspond à l épidémie dans l hémisphère Sud. L'estimation du taux d'incidence des consultations attribuables à la grippe pandémique dans les armées lors du pic épidémique apparaît bien inférieure à l'estimation à l'échelon national, conséquence de la structure d'âge particulière de la population militaire. 3
4 Un outil de modélisation de l'impact régional de la pandémie A(H1N1) 2009 Pascaline Loury, Jonathan Giovannelli, Pascal Chaud, Bruno Hubert Cire Pays-de-la-Loire et Cire Nord-Pas-de-Calais Contexte La pandémie de grippe A(H1N1) 2009 a fait craindre une pression très forte sur le système de soins. La conception d un outil d estimation des besoins de recours aux soins a été initiée pour répondre aux sollicitations des structures sanitaires régionales, en particulier en termes de poids sur les médecins de ville et les services de réanimation lors du pic épidémique. Méthodologie La répartition hebdomadaire des cas durant la vague épidémique est déduite d une distribution supposée normale, permettant l estimation du nombre de consultations ambulatoires et de lits de réanimation nécessaires par semaine. Les paramètres de distribution ainsi que les taux d attaque et les durées moyennes de séjour ont été estimés par l analyse de la bibliographie disponible. Deux scénarios ont été envisagés, l un «planification» caractérisé par un taux d attaque de 15%, l autre «surveillance», avec un taux d attaque de 7.5%. Les prévisions ont été comparées aux observations fournies par le réseau unifié Sentinelle/Grog pour 3 régions. Les taux d attaque observés sont de 5%, inférieurs aux scénarios. La forme des courbes épidémiques est variable selon les régions. Les taux d admission en réanimation sont de 20 cas par million en Pays-de-la-Loire, 17 en Nord-Pas-de-Calais, bien inférieurs aux 55 cas et 110 par million respectivement prévus par les scénarios «surveillance» et «planification». Le pic de cas hospitalisés en réanimation adulte dans les Pays-de-la-Loire a concerné 18 lits occupés, alors que le scénario «planification» en attendait 85 impliquant des déprogrammations d activités. Discussion La limite principale de l outil utilisé en temps réel est l hypothèse d adéquation de la courbe épidémique à une loi normale qui n a pas été vérifiée dans toutes les régions, à cause notamment des vacances scolaires. La détermination de paramètres raisonnables n a pas suffisamment fait confiance aux données observées dans l hémisphère sud. En effet, les taux d admission en réanimation observés dans nos régions étaient inférieurs aux 30 cas par million observés en Australie-Nouvelle-Zélande. Conclusion A l avenir l outil proposera plusieurs lois de distribution et sera testé dans des contextes d épidémie saisonnière. 4
5 Investigation d un épisode de cas groupés de grippe A(H1N1)2009 au collège de Quint-Fonsegrives, Haute-Garonne, Juin 2009 LiseGrout 1,2, Guinard A 1, Durand C 1, Izopet J 3, Mansuy JM 3, Marchou B 4, Schwoebel V 1 1 Cire Midi-Pyrénées, Institut de Veille Sanitaire 2 Programme de formation à l épidémiologie de terrain (Profet), Institut de Veille Sanitaire, Ecole des Hautes Etudes en Santé Publique. 3 Laboratoire de virologie, Centre Hospitalier Universitaire de Purpan (Toulouse) 4 Service des Maladies Infectieuses et Tropicales, Centre Hospitalier Universitaire de Purpan (Toulouse) Auteur correspondant : Lise Grout Cire Midi-Pyrénées - Drass Midi-Pyrénées 10 chemin du Raisin Toulouse Cedex 9 Téléphone : Mail : grout@cict.fr En juin 2009, le premier épisode de cas groupés de grippe A(H1N1)2009 en France sans notion de voyage a été signalé dans une classe de sixième de la périphérie de Toulouse. Une investigation a été menée pour décrire l épidémie et analyser la sensibilité de la définition clinique officielle d un cas possible de grippe A(H1N1)2009. Méthodes Une étude de cohorte rétrospective à été menée. Tous les élèves de la classe et huit adultes y intervenant ont été interrogés à l aide d un questionnaire standardisé et des prélèvements naso-pharyngés ont été réalisés. Un cas possible était défini comme tout élève ou intervenant de la classe ayant eu au moins un signe général (fièvre, asthénie ou courbatures) et au moins un signe respiratoire (toux, dyspnée) depuis le 01/06/2009. Un cas confirmé était une personne avec une PCR positive pour la grippe A(H1N1)2009. Les sensibilité, spécificité et valeurs prédictives positive et négative de la définition clinique d un cas possible de grippe A(H1N1)2009 ont été calculées en considérant la PCR comme référence. Parmi les 30 élèves, 18 répondaient à la définition de cas possible (taux d attaque de 60%), 15 à celle de cas confirmés dont 20% étaient asymptomatiques (3/15). Aucune chaîne de transmission n a été identifiée. La sensibilité de la définition clinique était de 47%, sa spécificité de 80% chez les élèves. La sensibilité atteignait 80% en ajoutant "céphalées" et "rhinorrhée" à la liste des symptômes possibles de la définition de cas, sans diminution de la spécificité. Conclusion Cette investigation a mis en évidence une proportion non négligeable de cas asymptomatiques et la faible sensibilité de la définition clinique de cas parmi les enfants. Cette épidémie sans notion de voyage a été un évènement marquant en France. Elle a contribué à faire évoluer la surveillance de la grippe A(H1N1)2009 du suivi des cas importés vers une surveillance populationnelle. 5
6 Investigations de cas groupés de grippe A(H1N1)v dans des centres de vacances de Haute-Savoie Geneviève Dennetiere 1,.N Encrenaz 2, B. Morel 2, B. Fabres 2 1 DDASS Haute-Savoie 2 CIRE Rhône-Alpes Introduction Courant juin 2009 la surveillance de la grippe en France a été complétée par le suivi des cas groupés. En Haute Savoie, département qui accueille le plus grand nombre de séjours d enfants en France, cinq clusters sont survenus dans des colonies de vacances durant l été. Documenter les modalités de transmission du virus et analyser la définition clinique de la grippe AH1N1(v) au sein de collectivités d enfants. Méthodes Une investigation épidémiologique de deux de ces clusters a été réalisée avec la définition de cas clinique suivante : température>38 5 ou asthénie ou courbatures et toux. Dans un cluster, trois malades ont eu un prélèvement naso-pharyngé afin de confirmer le diagnostic de grippe A H1N1(v) par PCR. L analyse descriptive porte sur des cas confirmés et des cas probables Dans l autre cluster, l ensemble des participants a été prélevé. Les VPP de différentes définitions de cas ont été calculées. Pour l un des clusters, parmi 32 participants, 22 (72%) ont été malades le surlendemain de leur arrivée sur le lieu du séjour. Parmi ces participants, 28 avaient voyagé ensemble et quatre étaient venus par leurs propres moyens, aucun de ceux-ci n a été malade. Compte tenu de la cinétique particulière de l épidémie, la contagion au cours du trajet en TGV pouvait être retenue avec l hypothèse d une contamination aérienne à partir d un enfant malade dès le départ du train. Pour le second cluster, 31 sur 43 participants avaient une PCR positive. La VPP de différentes définitions cliniques variaient de 71 à 76%. Discussion La description de ces clusters a permis d objectiver la forte contagiosité du virus A H1N1(v) en collectivité d enfants et de confirmer la possibilité dans certaines circonstances d une contamination aérienne d un nombre élevé de personnes. Elle montre également que la faible VPP de la définition de cas cliniques est susceptible de retarder l identification précoce de clusters. 6
7 Estimation de l'intervalle intergénérationnel de la grippe pandémique A/H1N à partir de cas groupés Pierre-Yves Boëlle La détermination de l'intervalle intergénérationnel (qui sépare l'infection chez le cas primaire de l'infection chez le cas secondaire) est essentiel pour déterminer la vitesse de dissémination d'une maladie transmissible. L'observation de séries de cas groupés permet de déterminer cette distribution par le biais de modèles probabilistes appropriés. Dans cette optique, les cas groupés rapportés à l'invs au début de la pandémie A/H1N ont été analysés. A partir de 219 cas groupes observés pendant 15 jours, totalisant 1760 cas non primaires, l'intervalle de génération a été estimé à 3 jours [2.4, 3.6] avec un écarttype de 1.3 jours[1.1, 1.6]. Le taux de reproduction moyen par infecté était de 0.8 [0.6, 1.1]. Ces estimations montrent que l'intervalle de génération dans les séries de cas groupés pour la grippe A/H1N sont comparables à celles qui ont été estimées pour la grippe saisonnière et d'autres pandémies. 7
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