Introduction. La gestion locale des risques. Christian JEANDEMANGE. Bernard SACQUEPEE. Jean-Luc WYBO. Animateur, Lieutenant-colonel, ENSOSP

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1 Introduction Animateur, Lieutenant-colonel, ENSOSP L atelier s appuiera sur une expérience dans la commune de Wickerschwihr (Alsace) qui a mobilisé la population sur les conduites à adopter en cas de secousses telluriques. La réponse comprend quatre temps : l anticipation (préparation des acteurs), l alerte, l action, et le retour d expérience. La gestion locale des risques Maire de Wickerschwihr L idée a germé avec l un de mes amis architecte urbaniste s intéressant à un décret obligeant les maires à informer la population sur les risques naturels ou technologiques. Wickerschwihr, petite commune peu dotée financièrement, devait imaginer une procédure reposant sur le bénévolat. 12 personnes ont procédé à l analyse urbanistique profonde de la commune et à l établissement de la procédure d urgence en cas de secousse tellurique (travail de heures au total). Parmi eux figuraient des membres du conseil municipal et des habitants volontaires ou désignés comme l instituteur et le chef des sapeurs pompiers. Responsable scientifique, École des mines de Paris L École des mines a travaillé sur la sécurité civile et pour projet portant sur 3 plans, destiné aux préfets, maires et patrons d entreprise : les menaces, les vulnérabilités, et les capacités d action. Il faut en effet 1

2 dégager les compétences requises pour chaque menace, soigner la gestion de la crise qui influera sur l image du territoire concerné, et enfin se connaître pour mieux travailler ensemble et augmenter ses capacités d action. Par exemple, des plans ont été montés pour gérer une grippe extrêmement dangereuse (pas encore survenue) pour anticiper plutôt que de traiter dans l urgence. La phase d anticipation est essentielle et si la grippe fait finalement peu de victimes, elle aura servi à mettre en place de bons plans d anticipation. L expérience montre que la planification est cruciale, mais sans confrontation réelle à l événement, il est impossible de savoir si tout a été prévu. Or, les collectivités ont tendance à garder les plans dans les placards jusqu au jour J. Il faut savoir remettre en cause ce qui a été prévu. Par exemple, le revirement total dans la gestion de la grippe A critiqué par les médias ne me choque pas : la qualité des bons décideurs réside dans cette capacité à inverser l ordre initial. Au moment de l étude, Wickerschwihr comptait 180 foyers, soit plus de 500 personnes. Nous avons choisi le risque sismique, catastrophe la plus brutale et terrible, inscrite dans l histoire de l Alsace. Pour une approche la plus fine possible, nous sommes partis des critères les plus terribles : un hiver par -15 C avec 25 cm de neige, en début de week-end, la nuit, dans une échelle EMS L objectif était de déterminer rapidement le nombre de blessés légers, graves, et le nombre de morts. Toute la population a été impliquée, jusqu aux enfants de l école. Nous avons réfléchi selon des approches telles que : quelles sont les fonctions d un village? Quel serait le coût de la reconstruction? Tous les services de l État ont également été impliqués (EDF, Télécom, DDE, services de la navigation ). Notre plan repose sur un réseau de correspondants : le village a été découpé en une dizaine de secteurs comptant chacun 3 responsables : un responsable en chef, un responsable, et un responsable adjoint. Tout notre système repose sur ces 3 niveaux pour pallier les absences éventuelles d un responsable au moment de la catastrophe. Des casiers sont installés dans chaque secteur renfermant toutes les informations sur les habitations et les habitants du secteur. Cette expérience date de 1990 et elle est toujours d actualité. L implication de la population est donc majeure pour la mise à jour des informations. Comment lancer ce type d expérience sans effrayer la population? Se préoccuper d un problème potentiel n effraie pas la population mais la rassure. 1 European Macrosismic Scale : mesure de l intensité d un séisme à partir de ses effets sur l homme, l environnement, les objets et les bâtiments. 2

3 J ai travaillé sur le plan de continuité d activité de l ENSOSP, pour qui les services départementaux d incendie et de secours sont un «client». Pour approcher au plus près la réalité, nous avons émis le souhait d interroger nos confrères des autres départements. En apprenant nos intentions, nos interlocuteurs ont d abord reculé : ils ne voulaient pas effrayer. La peur de faire peur est profondément ancrée en nous alors que les problématiques sont les mêmes pour tous. Dans nos recherches pour monter le plan d évaluation de la vulnérabilité, une des grandes préfectures réfléchissait à la meilleure procédure d évacuation de sa population. Les correspondants de quartier semblent être la meilleure méthode : ils servent à relayer l alerte d une façon crédible. Nous étudions également le phénomène de peur : comment réagit la population face à un danger? Comment arriver à transformer la peur en une réaction pertinente? En effet, la peur déclenche l action, mais cette dernière doit être pertinente. Les correspondants locaux sont également en charge du suivi de leur groupe pour recenser les victimes. Ces petites organisations locales sont plus faciles à monter qu une grande organisation générale. Par ailleurs, la population française ne veut pas «être un mouton», elle veut avoir son rôle. Elle est donc bien placée pour remonter des signaux faibles. L implication locale de la population rend plus efficace la remontée de l alerte. L alerte est primordiale et ne doit souffrir d aucune perte de temps. Une fois l alerte donnée, le travail est complètement coordonné, hiérarchisé, spécialisé. Cependant, nos intervenants doivent être autorisés à douter pour produire de la réflexion et réagir face à l imprévu de la réalité. Quel est le rôle de vos boîtes dans l alerte? Elles sont positionnées dans la rue et chaque chef de secteur en a la clé. Elles sont mises à jour régulièrement. Nous avons expérimenté notre plan le 22 février 2003, lors d un séisme de magnitude 5.9 (épicentre à Aubervilliers). Spontanément, les gens sont sortis et ont rejoint leur point refuge, les correspondants ont fait leur tournée et m ont amené leur rapport. La culture du risque est acquise. Quel est le plan en cas d inondation? Nous avons déterminé la hauteur d eau maximum potentielle : 7 cm. Les points hauts (église, école, mairie) suffiraient pour mettre la population à l abri. Ma question renvoyait au multirisque et à l aspect automatique des réactions. L EPCF ne permet-il pas une approche multirisque avec la notion de doute en plus? La plupart des départements français sont exposés à des risques multiples. Une approche de sécurité multirisque comporte plusieurs caractéristiques, dont : 3

4 - une cellule de petite taille (5 à 7 personnes) - la présence de correspondants formés dans les quartiers ; le simple fait d avoir des correspondants évite la panique ; c est le phénomène de résilience, nous avons besoin d un repère sur lequel nous appuyer dans un premier temps pour démarrer l action. Je travaille en Picardie dans une commune de habitants qui garde en mémoire la catastrophe d Abbeville et la réaction catastrophique du maire : les élus locaux ont une responsabilité primordiale en cas de catastrophe. Il est difficile de partager la culture du risque, il faut tenir un discours de vérité pour instaurer une confiance. Pour les zones de danger nucléaire, avez-vous réfléchi à la protection minimale de la population comme la distribution de comprimés d iode stable? Wickerschwihr est exposé à quatre risques : technologiques, d inondations, sismiques, et nucléaires. J ai été gentiment prié de ne pas m occuper du nucléaire Notre préfecture a reçu la même réponse. La France est un pays très nucléarisé et le risque me semble relativement bien maîtrisé tant que les centrales nucléaires ne sont pas privatisées. Une simple famille ne peut pas prendre la responsabilité de la distribution des comprimés d iode stable, il faut un intermédiaire qui ait une légitimité locale (le correspondant) et qui les distribuera au bon moment, sinon le résultat pourrait être pire que de ne rien faire. La connaissance mutuelle des acteurs est primordiale pour l action ; elle génère de la confiance et se construit aussi par la plaisanterie. Par ailleurs, impliquer directement la population concernée permet de se poser les questions que les spécialistes ne se seraient pas posées. J habitais Nantes quand la région a été victime de l incendie du dépôt d engrais de la Matrama qui a provoqué un nuage toxique. Une partie de la ville a été évacuée alors qu il suffisait de confiner la population, et les habitants les plus proches de l incendie n ont même pas été informés. Je travaille aujourd hui dans une cellule de risques majeurs à Brest et j ai instauré le fait que les structures d accueil doivent être équipées pour recevoir un public donné (évacuation d une maison de retraite vers une autre, d une école vers une autre ). Le cas de Nantes est systématiquement abordé avec nos officiers supérieurs car il pose un problème crucial de communication. Chaque interlocuteur doit rester dans son registre de communication : technique, scientifique, sociale, politique. Les sapeurs pompiers ne font que de la communication technique. 4

5 Retours d expérience Après la gestion d un risque, il est primordial d en faire un retour d expérience et de le partager. Je me suis intéressé aux retours d expériences sur la guerre du Golfe. Frédéric Guelton a écrit un livre qu il a dû intituler La guerre américaine du Golfe car il n a pu obtenir que des sources américaines sur le sujet. C est dommage de ne pouvoir échanger nos expériences. Notre commune a connu une gestion des risques catastrophiques avec une alerte à l anthrax : 50 personnes se sont précipitées pour les secours et ont donc constitué 50 victimes potentielles! Comment motivez-vous des bénévoles sur les fonctions de correspondants locaux? Comment se déroule leur formation? Comment faites-vous vivre la dynamique des réseaux de correspondants bénévoles? Je ne rencontre aucun obstacle sur la motivation de l équipe bénévole. Elle se réunit une à deux fois par an, ce qui donne lieu à une rencontre conviviale. Chaque crise révèle les bonnes volontés. Certains habitants préviennent la mairie d un risque potentiel d inondations dès que la commune située plus haut connaît de fortes pluies. Ma recommandation est simple : intégrez dans le dispositif les personnes qui ont spontanément proposé leur aide lors d une précédente crise car elles seront efficaces. La finalité du programme Pégase 2 est que la population s organise en attendant les secours et fasse remonter l information. En cas de séisme, la commune ne sera pas seule. La circulation de l information à l intérieur de la commune n est pas un problème pour nous. Cependant, nous nous sommes aperçus qu en cas de catastrophe, nous serions seuls car tous les accès à la commune passent par des ponts. Nous devrons donc nous organiser avec des bateaux et des vélos, mais nous ne pourrons pas compter sur les nouveaux moyens de communication (téléphonie, Internet ), ils ne fonctionneront plus. Nous avons donc prévu de pouvoir être autonomes pendant 3 à 4 jours. Toutefois, nous avons omis un sujet sur lequel nous devrons retravailler : les animaux domestiques. En cas d événements nationaux, on peut également être confronté au phénomène de «l insularité continentale». Par exemple, lors de la finale de la Coupe du monde de football en juillet 1998, le centre d appels des pompiers n a pas sonné le temps du match et s est mis à crépiter dès la fin du match : d habitude, je m appuie sur mon réseau d amis pour faire remonter les alertes, mais cette fois, j étais seul! 2 Nouveau programme (avril 2009) d accompagnement des entreprises pour développer les compétences des animateurs sécurité et prévention des risques professionnels 5

6 Il faut tirer partie de chaque expérience et l analyser. Le meilleur moyen d apprendre est de faire des exercices : ils réunissent les acteurs, ils les font travailler ensemble, et mettent les plans à l épreuve de la réalité. Par exemple, nous avons réalisé un exercice à l aéroport de Roissy en simulant un départ de feu dans un bâtiment de réparation d Airbus. Un employé a été nommé responsable, et devait contacter 3 numéros. Comme aucun n était joignable, il se sent seul et appelle ses amis : en 5 minutes, il avait remonté un réseau et a finalement pu évacuer 300 personnes dans des temps incroyables. Mais à son arrivée, le chef des sapeurs pompiers a souhaité voir le directeur d Air France pour comprendre le bâtiment : il avait, lui aussi, été évacué! Le plan a donc été réajusté et prévoit maintenant deux responsables. Bon à savoir : les sapeurs pompiers offrent des formations sous forme d exercices au sein des écoles de service public. Ce document est une synthèse de conférence, les propos des intervenants ne sont pas repris dans leur intégralité mais condensés. Réalisation de la synthèse 6

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