Les services financiers et bancaires au coeur de la transition économique
|
|
- Eric Lecours
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Les services financiers et bancaires au coeur de la transition économique La mobilisation de l épargne Séssion B1- Les enjeux de l assurance : CONSTAT SUR L ÉTAT DU MARCHÉ DES ASSURANCES TUNISIEN Par Lamia BEN MAHMOUD Ministère des Finances -TUNISIE Bruxelles,20-21 FEVRIER 2008
2 Sommaire INTRODUCTION : Rôle de l assurance dans la mobilisation de l épargne CONSTAT SUR L ÉTAT DU MARCHÉ DES ASSURANCES TUNISIEN : Les chiffres clés de l économie de l épargne et de l assurance tunisienne 2
3 INTRODUCTION Rôle de l assurance dans la mobilisation de l épargne
4 L Assurance : un instrument non négligeable de ressources financières nationales l importance de l assurance comme secteur clé dans toute économie moderne s explique par le double rôle qui incombe à ce secteur : 1. Un rôle direct qui consiste à sécuriser l investisseur et tout opérateur économique quant à la pérennité de son patrimoine et son remplacement en cas de sinistre 2. Un rôle indirect 2. Un rôle indirect qui fait de l assurance un mobilisateur de l épargne et une source de financement de l économie et de dynamisation des marchés financiers: 4
5 L Assurance : un mécanisme de mobilisation de l épargne et de financement de l économie Cycle de production inversé Constitution de provisions techniques pour honorer les engagements envers les assurés Mobilisation d une épargne stabe en particulier pour l assurance vie Placements des sommes collectées dans le financement de l économie 5
6 L Assurance : une dynamique de croissance pour l économie d un pays Plus un pays présente des signes de développement économiques importants plus son marché assuranciel est mature et dominé par l assurance vie et inversement : 1- Densité(primes/hab) et taux de pénétration p en % du PIB) indicateurs objectifs pour mesurer la maturité d un marché assuranciel. tration (primes 2-l assurance vie assurance vie instrument de prévoyance sociale et en meme temps un catalyseur d une épargne d excellente qualité :stable et de longue durée. 6
7 La suprématie incontestable des pays industrialisés sur le secteur de l assurance La densité d assurance : Dans les pays industrialisés, chaque habitant dépense en moyenne 3362$ en primes d assurances dont 2026$ en assurance vie ; Dans les pays émergents, chaque habitant dépense en moyenne 60$ en primes d assurances dont 36$ en assurance vie (avec une disparité importante entre les pays). La pénétration de l assurance : Dans les pays industrialisés, la pénétration est de 9,2% dont 5,5% en moyenne en vie contre 3,7% en non-vie; En moyenne, dans les pays émergents la pénétration est de 1,4% en vie et de 1,3% en non- vie 7
8 La suprématie incontestable des pays industrialisés sur le secteur de l assurance La densité sur un échantillon de quelques pays: Royaume - Uni 6466,7 $ don t 5139,6$ VIE Suisse 5561,9 $ dont 3111,8$ VIE Danemark 4271,4 $ don t 2840,8$ VIE France 4075,4 $ don t 2922,5$VIE PAYS BAS 3828,8 $ don t 2071, $ VIE USA 3923,7$ don t 1789,5$VIE Japon 3589,6$ don t 2829,3$VIE BELGIQUE 3442,5$ dont 2427,7$ VIE 8
9 La suprématie incontestable des pays industrialisés sur le secteur de l assurance La pénétration sur un échantillon de quelques pays: : Royaume - Uni 16,5% don t 13,1% VIE Afrique du sud 16,0% dont 13,0% VIE Taiwan 14,5% dont 11,6% VIE Corée du sud 11,1% don t 7,9% VIE Suisse 11,0% don t 6,2% VIE FRANCE 11,0% don t 7,9% VIE Japon Hong kong 10,5% don t 8,3% VIE 10,5% don t 9,2% VIE 9
10 CONSTAT SUR L L ÉTAT DU MARCHÉ DES ASSURANCES TUNISIEN Les chiffres clés de l économie de l épargne et de l assurance tunisienne 10
11 État de la consommation Indicateur de la croissance économique Accélération de la consommation nationale de 9,2% en 2006 contre 7,2% en 2005 : cette accélération a concerné aussi bien la consommation privée (9,8% contre 7,4% l an passé ) que publique (6,8% contre 6,4%); La propension moyenne à consommer,calculée par référence au revenu national disponible brut (RNDB)est de 78,6% dont 63,8% pour les ménages ; La consommation moyenne par habitant s est accrue de 8,8% contre 6,4% en 2005 pour se situer à Dinars (2000 $) en moyenne ; En dépit de l accélération de la consommation, l épargne a progressé de 11,9%. Aussi, le taux d épargne s est amélioré de 0.5 point passant de 21% du RNDB à 21,4% 11
12 Constat sur l état du marché des assurances en Tunisie Présentation du secteur Nombre des entreprises 18 Cap Min Cap Disponible SA Multibranches MD 115MD SA Spécialisée MD 14MD S- Spécialisée en réassu MD 35MD S - forme mutuelle 04 1,5 MD 16MD Chiffres d affaires : 800 MD Taux de pénétration : 2% contre une moyenne de 8% Densité : 79 DT(59$) contre 555$ Un Potentiel à exploiter 12
13 Constat sur l état du marché des assurances en Tunisie Structure du CA Branche CA Part Evol vie 78,4 MD 9,8% 14,2% Non-Vie 722,7 MD 90,2% 10,9% dont : Auto 347,0 MD 43,3% 11,5% IRD 175,0 MD 21,8% 15,5% Maladie 119,6 MD 14,9% 5,6% 13
14 Constat sur l état du marché des assurances en Tunisie Une croissance régulière du CA global du marché. soit un accroissement annuel moyen de 11,2% (02-06) Le marché reste influencé par l automobile qui génère 43% des primes et dont le CA progresse selon un rythme supérieur à la moyenne du secteur (soit 11,5% contre 11,2% pour le secteur). Quant à l assurance vie, sa part dans le marché reste faible (9,8%) bien qu elle enregistre durant l année 2006 une progression importante de 23,3% par rapport à
15 Capacité du marché des assurances en Tunisie à Mobiliser de l épargne et à financer l économie Une participation limitée e dans la Mobilisation de l épargne La situation globale du marché est modestement excédentaire et son activité connaît une croissance en dessous du potentiel réel. Cette situation est reflétée par : 1-Le niveau des provisions techniques : -Ce niveau reflète l importance des ressources dont dispose un secteur des assurances et qui sont susceptibles d être placées en vue de financer l économie ; - Le volume total de ces provisions a atteint 1516,8 MD en 2006 contre 1338,5 MD en 2005, soit une augmentation de 13,3% et un taux moyen d évolution durant la période avoisinant 10,2%. 15
16 Capacité du marché des assurances en Tunisie à Mobiliser de l épargne et à financer l économie - la part des provisions techniques du secteur n a pas dépassé une moyenne de 2% de l Epargne Nationale Brute durant la période Épargne Nat Provisions Tec Variation Prov Part prov/épar 1,7% 0,1% 2,1% 2,1% En MDT 16
17 Capacité du marché des assurances en Tunisie à Mobiliser de l épargne et à financer l économie - la structure de ces provisions est constituée de soldes à CT (provisions pour sinistres à payer, provisions pour risques en cours, ) alors que les provisions à LT ayant pour origine l assurance vie ne dépassent pas un taux de 14,5 % du total des provisions, Épargne Nat Prov Tec Prov Tec Vie Part prov VIE 11,6% 13,2% 13,6% 14,5% Var Prov Vie prov VIE/épar 0,1% 0,2 % 0,3% 0,4% 17
18 Capacité du marché des assurances en Tunisie à Mobiliser de l épargne et à financer l économie 2 - Un rôle limité de l assurance l vie : La participation de l assurance vie dans l EN reste limitée, ne dépassant pas 0,4% et ce pour les raisons suivantes : - Une part dans le total du CA du secteur ne dépassant pas 10% en 2006 contre 70% dans les pays de l OCDE et entre 30% et 80% dans les pays du SUD-EST Asiatique; - Une structure dominé par les assurances temporaires liées aux crédits bancaires (crédits de logement, crédits de voiture, ) contrairement aux marchés d assurances développés où les services à caractère d épargne accaparent la part majeure. - Un faible taux de dépenses consacré par le citoyen à l assurance vie et qui n a pas dépassé une moyenne de 7,8 Dt en 2006 (5,3$) contre une moyenne mondiale estimée à 331$, à 38,3$ dans les pays africains. 18
19 Capacité du marché des assurances en Tunisie à Mobiliser de l épargne et à financer l économie Une Faible pénétration p dans l él économie : - La pénétration des services d assurance dans l économie reste modeste. Le ratio Primes/PIB est de l ordre de 2% contre une moyenne mondiale de l ordre de 8%. -L utilisation des services d assurance n est pas encore bien ancrée dans les mœurs des entreprises et des ménages tunisiens et les assurances obligatoires occupent toujours une part significative du marché : près de 50% du chiffre d affaires est généré par cette catégorie d assurance 19
20 Capacité du marché des assurances en Tunisie à Mobiliser de l épargne et à financer l économie Les raisons du faible niveau de développement d de l épargne générée g e par l assurancel : 1 - Au niveau des assurances à caractère re d éd épargne: Des produits classiques en assurance vie et peu diversifiés : Nécessité d adaptation aux besoins des citoyens et à leurs capacités financières ; Des réseaux classiques de distribution: Nécessité de recours aux réseaux bancaires et postaux en plus des intermédiaires classiques; La capacité d épargne des individus :Les PE au titre de l assurance sur la vie ne dépassent pas 1,8% de l épargne des individus qui est estimée à 10,8% de leur revenu et ce en dépit de l évolution du niveau de revenu de l individu en Tunisie, 20
21 Capacité du marché des assurances en Tunisie à Mobiliser de l épargne et à financer l économie L importance des systèmes de prévoyance sociale en Tunisie qui se caractérisent par leurs globalité et leur générosité malgré un indice démographique en détériroation ; L influence négative de la branche automobile : réticence du citoyen sur le reste des prestations d assurance. 2- Au niveau des assurances à caractère re indemnitaire : La faiblesse de la capacité de rétention du secteur :Recours fréquent à la réassurance sur le marché international : 52% en incendie et risques industriels et 70% en transport. Nécessité de renforcer les FP des compagnies d assurance pour une plus grande rétention 21
22 Perspectives d amélioration de la participation du secteur à la mobilisation de l épargne : La nécessitn cessité de promouvoir davantage l assurance vie : La fiscalité :des mesures fiscales incitatives ont été introduites et ont pratiquement abouti à défiscaliser l assurance vie de bout en bout Des mesures règlementaires : un cadre légal régissant les assurances collectives sur la vievers une complémentarité avec les systèmes de prévoyance sociale ; L introduction de la bancassurance et la postassurance L institution du principe de cantonnement pour les placements vie 22
23 Perspectives d amélioration de la participation du secteur à la mobilisation de l épargne : La diversification et l innovation :Nécessité d offrir des produits d assurance capables de concurrencer les instruments d épargne existants du point de vue rentabilité, transparence et adaptabilité àla capacité financière des assurés. Le renforcement de la capacité de rétention du marché d assurance : La consolidation de l assise financière des compagnies d assurances à travers l encouragement des groupements d assurance sur le marché local (fusion). 23
24 Merci pour votre attention 24
Analyse Financière. Tunis Re en Bourse. En toute Ré Assurance. Souscrire à l OPF
Analyse Financière Tunis Re en Bourse En toute Ré Assurance Souscrire à l OPF Mars 2010 2A n a l y s e F i n a n c i è r e I n t r o d u c t i o n e n b o u r s e : O f f r e à p r i x f e r m e Secteur
Plus en détailLES ASSURANCES DE BIENS ET DE RESPONSABILITÉ. Données clés 2010
LES ASSURANCES DE BIENS ET DE RESPONSABILITÉ Données clés 2010 Sommaire Sauf indications contraires, toutes les données ont pour origine les enquêtes de la Direction des études et des statistiques FFSA-GEMA.
Plus en détailL histoire de l assurance en Algérie
POINT DE VUE POINT OF VIEW Assurances et gestion des risques, vol. 81(3-4), octobre-décembre 2013, 285-290 Insurance and Risk Management, vol. 81(3-4), October-December 2013, 285-290 L histoire de l assurance
Plus en détailRAPPORT DE MARCHE FANAF EXERCICE (ANNEE) : 2009
RAPPORT DE MARCHE FANAF EXERCICE (ANNEE) : 2009 I. Environnement économique 2009 SMIG (Salaire Minimum Interprofessionnel Garanti) 31 625 Taux de croissance de l'économie 3,00% II. Environnement Institutionnel
Plus en détailLe secteur des assurances en Tunisie Janvier 2010
MAC SA - Intermédiaire en Bourse Green Center Bloc C, 2éme étage, 1053 Les Berges du Lac- Tunis Tunisie Tél.: + 216 71 964 102 / + 216 71 962 472 Fax: + 216 71 960 903 Email: macsa@gnet.tn www.macsa.com.tn
Plus en détailL assurance française : le bilan de l année 2012
L assurance française : le bilan de l année 2012 1 L assurance française : le bilan de l année 2012 1 2 L environnement économique et financier : accalmie et incertitude Le bilan d activité : résistance
Plus en détailà la Consommation dans le monde à fin 2012
Le Crédit à la Consommation dans le monde à fin 2012 Introduction Pour la 5 ème année consécutive, le Panorama du Crédit Conso de Crédit Agricole Consumer Finance publie son étude annuelle sur l état du
Plus en détailSolvabilité 2, pour une meilleure protection des assurés européens
Solvabilité 2, pour une meilleure protection des assurés européens Solvabilité II, contrats responsables, normes IFRS, fiscalité : conséquences de ces normes sur le devenir des opérateurs et des couvertures
Plus en détailAtelier sur la stratégie de compétitivité et du Développement du Secteur Privé. Mécanismes de financement de l entreprise en Tunisie
République Tunisienne Ministère des Finances Atelier sur la stratégie de compétitivité et du Développement du Secteur Privé Mécanismes de financement de l entreprise en Tunisie Zouari Maher Directeur de
Plus en détailELEMENTS DE COMPTABILITE NATIONALE
ELEMENTS DE COMPTABILITE NATIONALE Cours de M. Di Roberto Université Victor Segalen Bordeaux 2 Bibliographie Ce cours s inspire largement des ouvrages essentiels suivants. Merci à leurs auteurs. BOSSERELLE
Plus en détailLA CONNAISSANCE DES COMPTES FINANCIERS ET NON FINANCIERS DES ACTEURS FINANCIERS
LA CONNAISSANCE DES COMPTES FINANCIERS ET NON FINANCIERS DES ACTEURS FINANCIERS Fabrice LENGLART INSEE Comptes nationaux Bruno LONGET - Banque de France - SESOF CNIS 22 juin 2009 Plan I Place des activités
Plus en détailBASE DE DONNEES - MONDE
BASE DE DONNEES - MONDE SOMMAIRE Partie I Monnaies Partie II Epargne/Finances Partie III Démographie Partie IV Finances publiques Partie V Matières premières Partie I - Monnaies Cours de change euro/dollar
Plus en détailMémoire d Actuariat Tarification de la branche d assurance des accidents du travail Aymeric Souleau aymeric.souleau@axa.com 3 Septembre 2010 Plan 1 Introduction Les accidents du travail L assurance des
Plus en détailLES ASSURANCES DE BIENS ET DE RESPONSABILITÉ. Données clés 2012
LES ASSURANCES DE BIENS ET DE RESPONSABILITÉ Données clés 2012 Sommaire Sauf indications contraires, toutes les données ont pour origine les enquêtes de la Direction des études et des statistiques FFSA-GEMA.
Plus en détailLes perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI
Présentation à l Association des économistes québécois Le 19 mai 25 Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI Kevin G. Lynch Administrateur Fonds
Plus en détailBANQUE CENTRALE DE TUNISIE DETTE EXTERIEURE DE LA TUNISIE 2011
البنك المركزي التونسي BANQUE CENTRALE DE TUNISIE DETTE EXTERIEURE DE LA TUNISIE 2011 DECEMBRE 2012 DETTE EXTERIEURE DE LA TUNISIE 2011 DECEMBRE 2012 SOMMAIRE Pages Introduction... 5 Endettement extérieur
Plus en détailPrix de souscription : 20 DT. Aperçu sur la Société. Flash sur l opération. Recommandation
M a i 2 1 4 Prix de souscription : 2 DT Recommandation Valeur Secteur Montant de l offre Prix de l émission Flash sur l opération Souscrire AMI Assurances Assurances 31 4 DT 2 DT Nombre de titres offerts
Plus en détailLe marché de l assurance de protection juridique en Europe. Octobre 2013
Le marché de l assurance de protection juridique en Europe Octobre 2013 Le marché de l assurance de protection juridique en Europe Octobre 2013 Dans sa dernière publication, RIAD, l Association internationale
Plus en détailpoint sur l assurance française
le point sur l assurance française conférence de presse de la FFSA maison de l assurance / jeudi 29 janvier le point sur l assurance française ce qu il faut pour 2 Loi ALUR Publication Omnibus 2 L année
Plus en détailPrésentation d Helix international
31 ème Congrès international de l Ordre des Experts Comptable de Tunisie En partenariat avec «Développement économique : modèle et gouvernance de la décentralisation» Sfax, les 17 et 18 septembre 2014
Plus en détailRapport Annuel d'activités 2005
Rapport Annuel d'activités 2005 SOMMAIRE Conseil d'administration et Membres de la Direction 2 Assemblée Générale de Bâloise Assurances Luxembourg S.A. 3-5 Rapport de gestion du Conseil d'administration
Plus en détailSavoir conjuguer Bourse et immobilier
Savoir conjuguer Bourse et immobilier Questions Quel nom porte une société par actions dont l activité consiste à investir dans l immobilier les capitaux qu elle collecte? Sous quel nom désigne-t-on l
Plus en détailPrêts pour l avenir. A travers l épargne et le placement. Tout sur la planification de la prévoyance et du patrimoine.
Prêts pour l avenir. A travers l épargne et le placement. Tout sur la planification de la prévoyance et du patrimoine. Prêts pour l avenir. Et pour la réalisation de ses rêves. Avoir un but, c est bien.
Plus en détailQuelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation?
Indicateur Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation? En 2008, les pays de l OCDE ont consacré 6.1 % de leur PIB cumulé au financement de leurs établissements d enseignement.
Plus en détailLES ASSURANCES DE PERSONNES. Données clés 2011
LES ASSURANCES DE PERSONNES Données clés 211 2 Sommaire Sauf indications contraires, toutes les données ont pour origine les enquêtes statistiques de la direction des études et des statistiques FFSA-GEMA
Plus en détailLES ASSURANCES DE BIENS ET DE RESPONSABILITÉ. Données clés 2013
LES ASSURANCES DE BIENS ET DE RESPONSABILITÉ Données clés 2013 Sommaire Sauf indications contraires, toutes les données ont pour origine les enquêtes statistiques FFSA-GEMA et concernent les sociétés d
Plus en détailAssurances Mutuelles Ittihad
Assurances Mutuelles Ittihad Siège social : 15, rue de Mauritanie 1002 Tunis Belvédère Tél : (216) 71 78 45 44 / 71 78 39 95 Fax : (216) 71 78 88 10 E.mail : ami.ass @planet.tn Site Web : www.assurancesami.com
Plus en détailActifs des fonds de pension et des fonds de réserve publics
Extrait de : Panorama des pensions 2013 Les indicateurs de l'ocde et du G20 Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/pension_glance-2013-fr Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve
Plus en détailLe point sur les marchés des pensions. des pays de l OCDE OCDE
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 17 décembre 2013 à 14h30 «Etat des lieux sur l épargne en prévision de la retraite» Document N 13 Document de travail, n engage pas le Conseil Le
Plus en détail«LE Capital-Investissement : accelerateur de croissance de l economie tunisienne»
«accelerateur de croissance de l economie tunisienne» Note conceptuelle LE MOT DU PRESIDENT Le Capital-Investissement - ou Private Equity - est un des moteurs du financement de l économie réelle et du
Plus en détailCOMMUNIQUÉ DE PRESSE Argenta Bank- en Verzekeringsgroep SA
COMMUNIQUÉ DE PRESSE Argenta Bank- en Verzekeringsgroep SA Résultats exceptionnels d Argenta pour l année de crise 2011 La cinquième banque de Belgique n a pas désappris le métier du banquier de détail.
Plus en détailLes comptes nationaux et le SEC 2010
Les comptes nationaux et le SEC 2010 7 ème séminaire de la Banque nationale de Belgique pour enseignants en économie du secondaire Bruxelles, le 22 octobre 2014 Catherine RIGO Plan de l exposé Introduction
Plus en détailAXA COMMUNIQUÉ DE PRESSE
AXA COMMUNIQUÉ DE PRESSE PARIS, 6 MAI 2015 Indicateurs d activité T1 2015 Chiffre d affaires en hausse de 10% en publié, bénéficiant d effets de change positifs Variation en comparable (à taux de change
Plus en détailOBSERVATOIRE DE L EPARGNE EUROPEENNE
Conférence de presse du 22 juin 2001 Fiscalité des produits d épargne: une comparaison internationale Il n existe pas de véritable point de vue européen en matière de fiscalité des produits d épargne.
Plus en détailÉtudes. Des effets de la réglementation des produits d épargne sur le comportement de placement des ménages
Des effets de la réglementation des produits d épargne sur le comportement de placement des ménages Depuis 25 ans, la structure de l épargne financière des ménages a été singulièrement modifiée par l essor
Plus en détaildes compagnies d assurance : évolutions récentes
Les Contrôle normes IFRS de la solvabilité en assurance des compagnies d assurance : évolutions récentes - DIAF Hanoi, le 28 février 2005 Pierre THEROND Consultant JWA - Actuaires & chargé de cours à l
Plus en détailQUELLE DOIT ÊTRE L AMPLEUR DE LA CONSOLIDATION BUDGÉTAIRE POUR RAMENER LA DETTE À UN NIVEAU PRUDENT?
Pour citer ce document, merci d utiliser la référence suivante : OCDE (2012), «Quelle doit être l ampleur de la consolidation budgétaire pour ramener la dette à un niveau prudent?», Note de politique économique
Plus en détailSynthèse du marché 2 Marchés Internationaux 2 Infos marchés et secteurs 3
Semaine du 20/04/2015 au 24/04/2015 Synthèse du marché 2 Marchés Internationaux 2 Infos marchés et secteurs 3 Sur le plan international - Etats-Unis : Croissance de 2,7% attendue Sur le plan national -
Plus en détailPrésenté par OUEDRAOGO Adolphe Chef de Brigade de la CIMA. DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009
EXPERIENCE SENEGALAISE DE LA MICROASSURANCE: DEFIS ET OPPORTUNITES Présenté par OUEDRAOGO Adolphe Chef de Brigade de la CIMA DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009 2 INTRODUCTION Le thème sera abordé en cinq
Plus en détailCompagnie d Assurances et de Réassurances Tuniso-Européenne «CARTE» Siège social : Immeuble CARTE, Entrée B Lot BC4 Centre Urbain Nord, 1082 Tunis
ETATS FINANCIERS DEFINITIFS Compagnie d Assurances et de Réassurances Tuniso-Européenne «CARTE» Siège social : Immeuble CARTE, Entrée B Lot BC4 Centre Urbain Nord, 1082 Tunis La Compagnie d Assurances
Plus en détailOBJECTIF DU GUIDE 1-L ENCADREMENT JURIDIQUE DES ACTIVITES D ASSURANCE
OBJECTIF DU GUIDE Présenter au public et en particulier aux investisseurs, les règles de constitution et de fonctionnement des organismes d assurance. Arrêté n 2005-0773 du 14 décembre 2005 fixant les
Plus en détailPRODUITS D EXPLOITATION
RESULTATS FINANCIERS Les principaux résultats financiers de l exercice 2012 ont enregistré une nette augmentation par rapport à l année 2011 due essentiellement à la hausse du prix de vente moyen du brut
Plus en détailQu est-ce que la compétitivité?
Qu est-ce que la compétitivité? Le but de ce dossier pédagogique est d expliquer la notion de compétitivité d une entreprise, d un secteur ou d un territoire. Ce concept est délicat à appréhender car il
Plus en détailREPUBLIQUE TUNISIENNE Ministère de l Economie et des Finances
REPUBLIQUE TUNISIENNE Ministère de l Economie et des Finances RAPPORT ANNUEL DU SECTEUR DES ASSURANCES 2013 ANNUAL REPORT OF THE INSURANCES SECTOR 2013 2 0 1 3 RAPPORT ANNUEL DU SECTEUR DES ASSURANCES
Plus en détailINVESTIA - le 23/05/2014 1
INVESTIA - le 23/05/2014 INVESTIA - le 23/05/2014 1 Bourse des Valeurs Mobilières de Tunis Dépositaire central des titres Conseil du Marché Financier la Bourse cumulait plusieurs fonctions Gestion du marché
Plus en détailLe leasing en Tunisie : Les clefs du succés. Fethi MESTIRI Rabat - 22-25 September, 2014 -Session n.
Le leasing en Tunisie : Les clefs du succés Fethi MESTIRI Rabat - 22-25 September, 2014 -Session n. Présentation de Tunisie Leasing Nos métiers: 1/ Crédit Bail : Tunisie : Tunisie Leasing (TL) (1984) Algérie
Plus en détailNOTE D'INFORMATION SUR L'ÉMISSION OBLIGATAIRE DE $.US 1 MILLIARD SUR 10 ANS (JANVIER 2015)
NOTE D'INFORMATION SUR L'ÉMISSION OBLIGATAIRE DE $.US 1 MILLIARD SUR 10 ANS (JANVIER 2015) En vue d éclairer l opinion publique tunisienne, initiée et non initiée, sur l opportunité de l émission obligataire
Plus en détail1 er. trimestree 2014
Note de conjoncture du marché des assurances 1 er trimestree 214 PRODUCTION DU 1 er TRIMESTRE 214 : EVOLUTION DE LA PRODUCTION : Le chiffre d affaires 1 réalisé par le secteur durant le 1 er trimestre
Plus en détailROYAUME DU MAROC OFFICE DES CHANGES
ROYAUME DU MAROC OFFICE DES CHANGES www.oc.gov.ma 2007 La reproduction des informations contenues dans la présente publication est autorisée sous réserve d en mentionner expressément la source. 1 TABLE
Plus en détailPrésentation des résultats 2008 de la Banque de Tunisie
Présentation des résultats 2008 de la Banque de Tunisie Mai 2009 Rencontre avec les Intermédiaires en Bourse Plan de la rencontre Composition du groupe Banque de Tunisie Faits marquants de l année 2008
Plus en détailContent & Document Management IDC Conference 2007
Content & Document Management IDC Conference 2007 L enjeu de l information non structurée pour l entreprise Cas SCOR : L Intelligence Economique, levier de compétitivité Régis Delayat SCOR, DSI Groupe
Plus en détailLa place financière luxembourgeoise : mythes et réalités
La place financière luxembourgeoise : mythes et réalités Jean-Jacques Picard Secrétaire Général, Luxembourg for Finance jean-jacques.picard@lff.lu +352 27 20 21-1 Luxembourg for Finance Agence pour de
Plus en détailIntroduction des. comptes d épargne libre d impôt
Introduction des comptes d épargne libre d impôt Comptes d épargne libre d impôt Une nouvelle façon d épargner Les comptes d épargne libre d impôt ont été introduits par le gouvernement fédéral dans le
Plus en détailBanque nationale suisse Résultat de l exercice 2014
Communication Case postale, CH-8022 Zurich Téléphone +41 44 631 31 11 communications@snb.ch Zurich, le 6 mars 2015 Banque nationale suisse Résultat de l exercice 2014 La Banque nationale suisse (BNS) a
Plus en détailMANAGEMENT DE TRANSITION FRANCE
MANAGEMENT DE TRANSITION FRANCE EDITO «Quand le cabinet de recrutement Robert Walters a lancé l activité Management de Transition en France il y a 10 ans, beaucoup d entreprises et de candidats étaient
Plus en détailMonnaie, banques, assurances
Monnaie, banques, assurances Panorama La politique monétaire de la Banque nationale suisse en 2013 En 2013, la croissance de l économie mondiale est demeurée faible et fragile. En Europe, les signes d
Plus en détailConseil économique et social. Document établi par le Bureau central de statistique d Israël
Nations Unies Conseil économique et social ECE/CES/GE.2/214/3 Distr. générale 12 février 214 Français Original: russe Commission économique pour l Europe Conférence des statisticiens européens Groupe d
Plus en détailASSOCIATION TUNISIENNE DU CAPITAL INVESTISSEMENT
ASSOCIATION TUNISIENNE DU CAPITAL INVESTISSEMENT Juin 2011 PLAN Les Chiffres clés des acteurs Tunisiens Du Capital Investissement Approbations: Participations libérées: Participations libérées par cadre
Plus en détailCet article s attache tout d abord
Méthodes internationales pour comparer l éducation et l équité Comparaison entre pays des coûts de l éducation : des sources de financement aux dépenses Luc Brière Marguerite Rudolf Bureau du compte de
Plus en détailRoyaume du Maroc. La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers
Royaume du Maroc La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers Table des Matières 1. Données sur la masse salariale...2 1.1. Importance de la masse salariale...2 1.2. Aggravation
Plus en détailCRD 4 Compte technique par pays 27/01/2003
CRD 4 Compte technique par pays 27/01/2003 Primes Produit Provisions Provisions Autres Autres produits Frais COMPAGNIE IARD émises net des pour primes pour sinistres provisions techniques d'acquisition
Plus en détailFloored Floater sur le taux d intérêt LIBOR CHF à trois mois avec emprunt de référence «General Electric Capital Corporation»
sur le taux d intérêt LIBOR CHF à trois mois avec emprunt de référence «General Electric Capital Corporation» Dans l environnement actuel caractérisé par des taux bas, les placements obligataires traditionnels
Plus en détailCAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES
Direction Épargne et Clientèle Patrimoniale Date de diffusion : 26 janvier 2015 N 422 CAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES Dans une démarche d accompagnement auprès de vos clients, plusieurs communications
Plus en détailRETRAITES : Y A-T-IL UNE SOLUTION IDÉALE EN EUROPE POUR UN AVENIR?
RETRAITES : Y A-T-IL UNE SOLUTION IDÉALE EN EUROPE POUR UN AVENIR? Une question européenne mais traitée dans chaque Etat membre L avenir des systèmes de retraite et ses conséquences sur la zone euro, internationalise
Plus en détailLe groupe Crédit Mutuel en 2010 Un réseau proche de ses sociétaires-clients, au service des entreprises créatrices d emplois dans les régions (1)
16 mars 2011 Le groupe Crédit Mutuel en 2010 Un réseau proche de ses sociétaires-clients, au service des entreprises créatrices d emplois dans les régions (1) Résultat net total 3 026 M (+61 %) Résultat
Plus en détailAgricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005. Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005.
Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005 Summary in French Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005 Résumé Le soutien accordé aux producteurs
Plus en détailMise en place du Mécanisme de Supervision Unique (MSU)
Mise en place du Mécanisme de Supervision Unique (MSU) Mise en place du Mécanisme de Supervision Unique (MSU) 1. Le MSU est l un des piliers de l Union bancaire européenne 2. La mise en œuvre opérationnelle
Plus en détailLa place bancaire de Zurich. Faits et chiffres Edition 2015/2016
La place bancaire de Zurich Faits et chiffres Edition 2015/2016 Avant-propos Pour la région zurichoise, la place bancaire de Zurich revêt une importance décisive. Elle apporte une contribution significative
Plus en détailLIRE LA COTE BOURSIÈRE RE ET COMPRENDRE LES INDICES BOURSIERS
FORMATION DES JOURNALISTES Séminaire de Formation de la COSUMAF THÈME 4 : LIRE LA COTE BOURSIÈRE RE ET COMPRENDRE LES INDICES BOURSIERS Par les Services de la COSUMAF 1 SOMMAIRE DU THÈME 4 03 Cote Boursière
Plus en détailLe creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres
LE POINT SUR LES INÉGALITÉS DE REVENU Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres Résultats issus de la Base de données de l OCDE sur la distribution des revenus
Plus en détailRECOMMANDATION DU CONSEIL SUR LES BONNES PRATIQUES POUR AMELIORER LA SENSIBILISATION AUX RISQUES ET L'EDUCATION SUR LES QUESTIONS D'ASSURANCE
RECOMMANDATION DU CONSEIL SUR LES BONNES PRATIQUES POUR AMELIORER LA SENSIBILISATION AUX RISQUES ET L'EDUCATION SUR LES QUESTIONS D'ASSURANCE RECOMMANDATION DU CONSEIL Ces Bonnes Pratiques ont été approuvées
Plus en détail2014 RÉSULTATS ANNUELS
2014 RÉSULTATS ANNUELS Conférence de presse Paris - 25 février 2015 Certaines déclarations figurant dans ce document contiennent des prévisions qui portent notamment sur des événements futurs, des tendances,
Plus en détailLe revenu et le pouvoir d achat
Le revenu et le pouvoir d achat Le revenu & le pouvoir d achat Le revenu d une personne est la somme d argent perçue en contrepartie du travail fourni, de ses placements, d un service rendu ou d une situation
Plus en détailRégimes publics de retraite État de la situation. Perspectives des différents régimes publics de retraite. Plan
Régimes publics de retraite État de la situation Perspectives des différents régimes publics de retraite 79 e congrès de l ACFAS 10 mai 2011 Plan Portrait des régimes publics de retraite La pression démographique
Plus en détailBaloise Fund Invest: donnez des ailes à vos placements
Baloise Fund Invest: donnez des ailes à vos placements La gestion de fortune par des professionnels, pour tous les investisseurs Edition pour la Suisse Fonds de diversification des actifs BFI Dynamic (CHF)
Plus en détailInvestissements et R & D
Investissements et R & D Faits marquants en 2008-2009 - L investissement de l industrie manufacturière marque le pas en 2008 et se contracte fortement en 2009 - Très fort recul de l utilisation des capacités
Plus en détailMembre du Groupe AG2R LA MONDIALE
PIERRE DE LUNE Membre du Groupe AG2R LA MONDIALE PIERRE DE LUNE PARCE QUE VOUS SOUHAITEZ Optimiser la fiscalité de votre patrimoine Accéder à une gestion financière sur mesure Diversifier votre épargne
Plus en détailTakaful une Alternative à l'assurance Traditionnelle
Takaful une Alternative à l'assurance Traditionnelle Roland Zaatar CHEA 1 Takaful Les Principes de l Assurance Islamique Naissance du Takaful Définition Takaful vs Assurance Modèles et Structures d une
Plus en détailNotre approche de développement local
Notre approche de développement local Renforcer le pouvoir d agir des personnes et des collectivités La grande marche de la démocratie La Déclaration universelle des droits de l homme adoptée en 1948 affirme
Plus en détailPrésenté par Jean Claude Ngbwa, Secrétaire Général de la CIMA. DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009
PERSPECTIVES DES MARCHES D ASSURANCES AFRICAINS Présenté par Jean Claude Ngbwa, Secrétaire Général de la CIMA DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009 2 INTRODUCTION Le thème qui nous a été confié porte sur les
Plus en détailActivités et résultats 2011
Activités et résultats rci en bref RCI Banque est la captive financière de l Alliance Renault Nissan et assure à ce titre le financement des ventes des marques Renault, Renault Samsung Motors (RSM), Dacia,
Plus en détailLes banques suisses 2013 Résultats des enquêtes de la Banque nationale suisse
Communiqué presse Communication Case postale, CH-8022 Zurich Téléphone +41 44 631 31 11 communications@snb.ch Zurich, le 19 juin 2014 Les banques suisses 2013 Résultats s enquêtes la Banque nationale suisse
Plus en détailBULLETIN OFFICIEL DES DOUANES ET DES IMPOTS. Texte n DGI 2011/25 NOTE COMMUNE N 16/2011
BULLETIN OFFICIEL DES DOUANES ET DES IMPOTS DIFFUSION GENERALE N 2011/26/06 0.1.0.0.1.2. Documents Administratifs (IMPOTS) Texte n DGI 2011/25 NOTE COMMUNE N 16/2011 O B J E T : Commentaire des dispositions
Plus en détailAttijariwafa bank : un Groupe au service d une Afrique qui avance
Attijariwafa bank : un Groupe au service d une Afrique qui avance En bref : Président Directeur Général: Mohamed EL KETTANI Siège Social : 2. Bd Moulay Youssef - BP: 11141 20000 Casablanca - Maroc Capital:
Plus en détailSERVICOM mise sur l internationalisation. Analyste chargé de l étude. Naira KAOUACH neira.kaouach@ameninvest.com.tn
Analyste chargé de l étude Naira KAOUACH neira.kaouach@ameninvest.com.tn SERVICOM mise sur l internationalisation Contact: Tel: (+216) 71 965 400 Fax: (+216) 71 965 426 E-mail: analyse@ameninvest.com.tn
Plus en détailPrésentation pour Salon international des innovations financières Paris 04 Mars 2010
Présentation pour Salon international des innovations financières Paris 04 Mars 2010 Présentation du Groupe Attijariwafa Bank Couverture géographique de plus en plus large Attijariwafa bank, banque née
Plus en détailSecure Advantage Revenus Garantis
GUIDE QUESTIONS / REPONSES DOCUMENT NON CONTRACTUEL RÉSERVÉ À L USAGE EXCLUSIF DES CONSEILLERS FINANCIERS Avril 2015 Secure Advantage Revenus Garantis Pour envisager l avenir en toute sérénité, assurez-vous
Plus en détailRéglementation prudentielle. en assurance. Plan. - I - Les principes de la comptabilité générale et leur application à l assurance
Réglementation prudentielle en assurance Principes de comptabilité : comment lire les comptes des entreprises d assurance? Franck Le Vallois Commissaire-contrôleur des assurances Plan - I - Les principes
Plus en détailLA CRRH-UEMOA ET LES PLACEMENTS DES COMPAGNIES D ASSURANCE
LA CRRH-UEMOA ET LES PLACEMENTS DES COMPAGNIES D ASSURANCE Plan I. La CRRH-UEMOA : Quinze mois d activités opérationnelles II. Cadre institutionnel et organisation III. Règles d intervention : Critères
Plus en détail5 e Baromètre ALMA CG sur l Absentéisme*
Communiqué de presse Gennevilliers, le 05 Septembre 2013 5 e Baromètre ALMA CG sur l Absentéisme* L Absentéisme en France augmente de 18% en 2012, ce qui représente une moyenne de 16,6 jours d absence
Plus en détailLydian Webinar. La nouvelle Loi sur les Assurances
Lydian Webinar La nouvelle Loi sur les Assurances Hugo Keulers & Anne Catteau 12 juin 2014 Aperçu 1. Contexte 2. Champ d application 3. Nouvelles dispositions 4. Entrée en vigueur 2 1. Contexte Nouveau
Plus en détailLa vie est plus radieuse sous le soleil. La Financière Sun Life et vous
La vie est plus radieuse sous le soleil. La Financière Sun Life et vous Lorsqu il est question de votre avenir financier, nous pouvons vous aider. Lorsqu il s agit de votre argent, vous désirez être certain
Plus en détailChapitre 3. La répartition
Chapitre 3. La répartition 1. La répartition de la valeur ajoutée La valeur ajoutée (1) Valeur ajoutée : solde du compte de production = > VA = P CI = > Richesse effectivement créée par les organisations
Plus en détailInstitut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010. Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC
Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010 Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC 1. Présentation... 328 2. Méthodologie... 328 3. Définitions... 328 4. Sources de
Plus en détailLA GESTION DU RISQUE DE CHANGE. Finance internationale, 9 ème édition Y. Simon et D. Lautier
LA GESTION DU RISQUE DE CHANGE 2 Section 1. Problématique de la gestion du risque de change Section 2. La réduction de l exposition de l entreprise au risque de change Section 3. La gestion du risque de
Plus en détailL Assurance agricole au Sénégal
COLLOQUE FARM - Pluriagri : Assurer la production agricole Comment faire des systèmes assurantiels des outils de développement? 1 Paris, le 18 décembre 2012 Thème L Assurance agricole au Sénégal Un système
Plus en détailFinlande. Extrait de : Statistiques bancaires de l'ocde : Notes méthodologiques par pays 2010
Extrait de : Statistiques bancaires de l'ocde : Notes méthodologiques par pays 2010 Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/bank_country-200-fr Merci de citer ce chapitre comme suit : OCDE
Plus en détailAtlas économique de Paris 2013 du greffe du tribunal de commerce de Paris
Atlas économique de Paris 213 du greffe du tribunal de commerce de Paris Sommaire INTRODUCTION... 3 PARTIE 1 PARIS DANS SA GLOBALITÉ... 4 GÉOGRAPHIE DES ENTREPRISES PARISIENNES... 5 DENSITÉ DES ENTREPRISES
Plus en détailFloored Floater. Cette solution de produit lui offre les avantages suivants:
sur le taux d intérêt LIBOR CHF à trois mois avec emprunt de référence «Sony» sur le taux d intérêt EURIBOR EUR à trois mois avec emprunt de référence «Sony» Dans l environnement actuel caractérisé par
Plus en détail