Afrique du Sud FICHE PAYS. Données générales. Superficie : km² (terres arables 13 %)
|
|
- André Caron
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Afrique du Sud Source : «GEOATLAS.com 2009 Graphi-Ogre» Données générales Superficie : km² (terres arables 13 %) Capitale administrative : Pretoria Capitale judiciaire : Bloemfontein Capitale législative : Le Cap (siège du parlement) Capitale économique : Johannesburg Monnaie : rand (ZAR), taux de change très fluctuant : 1 EUR ~ 12 ZAR (mars 2013). Source : «GEOATLAS.com 2009 Graphi-Ogre» Langue : anglais (+ 10 autres langues officielles dont le zulu, 23,8 % de la population, le xhosa 17,6 %, l afrikaans 13,3 %, le pedi 9,4 %). Population : 51,77 millions d habitants (recensement de 2011). Croissance annuelle estimée : + 1,3 % (+ 7% depuis le recensement de 2007). Démographie : âge moyen (23 ans). Moins de 15 ans (31 %), ans (61,4 %), plus de 65 ans (7,6 %) (2011). Espérance de vie : 57,7 ans pour les hommes et 61,4 ans pour les femmes (l espérance de vie, qui a beaucoup reculé depuis les années 80 en raison du SIDA 18,8 % de la population adulte est porteuse du VIH remonte avec l utilisation accrue de rétroviraux). Taux d alphabétisation des adultes : 88 %. Population active : 18,77 millions. Taux de chômage : 29,8 %. Principales agglomérations : Johannesburg (3,88 millions), Pretoria / Tshwane (2,34 millions), Durban / Ethekwini (3,46 millions), Le Cap (3,49 millions), Port Elizabeth (1,05 million). Infrastructures : L Afrique du Sud concentre la majeure partie des infrastructures de transport en Afrique subsaharienne ( km de réseau routier dont km de routes urbaines, km de routes nationales asphaltées, km d autoroutes ou routes à 4 voies, km de voies ferrées soit le 10 e réseau au monde). Les principaux aéroports du pays (Johannesburg, Durban et Le Cap) ont été entièrement modernisés pour la Coupe du monde de football en 2010 et des projets d expansion des principaux ports (Durban, Cape Town, Richard s Bay) sont en cours. L Afrique du Sud dispose de liaisons aériennes directes avec de nombreux pays d Afrique subsaharienne et du Moyen-Orient. Les infrastructures de télécommunication sont bonnes à l échelle de l Afrique et s améliorent rapidement grâce aux différents câbles sousmarins récemment mis en service ou en cours d installation (Seacom, EASSY, WACS) UBIFRANCE
2 Données politiques Type de régime République, régime présidentiel. Le pays est dominé par l ANC (African National Congress), au pouvoir depuis 1994, de tendance socialiste allant, selon les courants, du centre à l extrême gauche. Le principal parti d opposition est le DA (Democratic Alliance), parti de centre droit, essentiellement concentré dans la région du Cap. Durée du mandat présidentiel : 5 ans. Les dernières et prochaines élections Dernières élections : législatives et présidentielles (avril 2009), municipales (2011). Prochaines élections : législatives et présidentielles (2014). Les principaux dirigeants : Titre et noms des principaux dirigeants Président : Jacob Zuma (élu en 2009) ; Vice-président : Kgalema Mothlanthe ; Président de l Assemblée nationale : Max Sisulu (nommé en 2009) ; Président du Conseil national des provinces : Mninwa Johannes Mahlangu. Données économiques en 2012 PIB Principaux indicateurs économiques par pays Indicateurs Pays France Mds ZAR 262 Mds EUR Mds USD Mds EUR Déficit public en % du PIB 5,2 % 4,8 % Dette publique en % du PIB 42 % 89,9 % PIB par habitant EUR EUR Taux de croissance 2,5 % 0 % Taux d inflation 5,7 % 1,9 % Taux de chômage 29,8 % 10,8 % Sources : Commission européenne, INSEE, Ministère de l économie, Banque de France. Situation économique du pays L Afrique du Sud est la première économie d Afrique (près de 25 % du PIB du continent et 30 % du PIB de l Afrique subsaharienne) ; l Afrique du Sud est également considérée comme le pays le plus développé du continent. En raison des problèmes politiques liés à l apartheid et aux sanctions internationales, le pays a longtemps connu une croissance très irrégulière, particulièrement dans les années Son économie s est développée principalement autour de l exploitation et de la transformation de ressources naturelles abondantes (charbon, or, platine, autres métaux, produits agricoles) puis le pays s est constitué un important secteur de services, notamment financiers, la Bourse de Johannesburg étant la première du continent africain UBIFRANCE
3 Après quelques années de croissance élevée (+ 5,4 % en 2006 et + 5,1 % en 2007), tirée par les hausses de l investissement et de la consommation privée, alimentée elle-même par une croissance forte du crédit, un ralentissement a commencé à se faire sentir en 2008 (+ 3,1 % en termes réels) et l Afrique du Sud a connu une croissance négative en 2009 (- 1,8 %) du fait des répercussions de la crise mondiale. Cette récession n a cependant duré que 2 trimestres et la croissance est repartie à la hausse : 2,9 % en 2010, 3,1 % en 2011 et 2,5 % en Les prévisions de croissance du gouvernement pour les prochaines années sont : 2,7 % en 2013, 3,5 % en 2014 et 3,8 % en Le secteur financier sud-africain est solide et reste bénéficiaire. L exposition directe des banques sud-africaines à la crise a été très limitée en raison d une réglementation stricte. Les défis structurels de l économie sud-africaine restent nombreux. La gestion de l héritage de l apartheid est l un des plus délicats, avec les problèmes liés aux inégalités et au niveau de qualification de la population, la discrimination positive (notamment le BBBEE Broad Based Black Economic Empowerment) n ayant pas répondu complètement aux attentes. En matière d environnement des affaires, la législation sud-africaine est relativement libérale. Elle est considérée par les observateurs comme assez favorable (le rapport Doing Business 2013 de la Banque mondiale classe l Afrique du Sud au 39 e rang mondial, en recul de 4 places par rapport à 2012). L insécurité, mais surtout la pénurie de travailleurs qualifiés, constituent des contraintes majeures pour les entreprises. Situation financière du pays L Afrique du Sud connaît des déséquilibres extérieurs récurrents (déficit des comptes courant de 6,1 % en 2012, qui la rendent dépendante des entrées de capitaux dont la majeure partie est à court terme, ce qui exacerbe la volatilité du rand. Il est prévu que la dette extérieure sud-africaine aujourd hui modérée et soutenable (40 % du PIB en 2012) augmente de façon importante rapidement (45 % du PIB en ). L inflation, qui avait connu des niveaux élevés jusqu au 3 e trimestre 2008, a baissé (elle est passée de 13,6 % en août 2008 à 5,7 % fin 2012). Elle a cependant tendance à repartir à la hausse, sous l effet, notamment, des augmentations des tarifs administrés (énergie) et de l inflation importée (matières premières). Politiques fiscale et économique du pays La politique économique sud-africaine a été marquée ces dernières années par une grande orthodoxie. Les autorités ont lancé en 2006 une initiative en faveur de la croissance accélérée et partagée (ASGI-SA) visant, via un programme de projets publics, à lutter contre les contraintes à la croissance et à favoriser la création d emplois. Les élections générales de 2009 n ont pas occasionné de changement de cap majeur de la politique économique, même si les attentes sur le plan social et sur le thème de la redistribution sont plus grandes que jamais. Fin 2010, le nouveau programme lancé par le ministre du Développement économique Ebrahim Patel et dénommé «New Growth Plan» a confirmé ces orientations. Le budget repose sur des hypothèses de croissance assez optimistes : + 2,7 % pour l exercice 2013 (année civile), ce qui demeure prudent et prend en compte les difficultés de la zone euro (1 er partenaire commercial de l Afrique de Sud), puis + 3,5 % en 2014 et, surtout, + 3,8 % en 2014, soit une performance ambitieuse qui constituerait la plus importante progression d activité depuis la crise de Sur la base de ces hypothèses, le déficit budgétaire devrait connaître une résorption progressive : - 4,6 % en , - 3,9 % en et - 3,1 % en contre - 5,5 % en Sur le plan des infrastructures, les autorités ont enfin pris, à la fin de la dernière décennie, la mesure de l insuffisance des investissements réalisés depuis la fin de l apartheid. Plusieurs programmes publics de grande ampleur ont ainsi été lancés dans les transports (autoroutes, trains, aéroports, notamment dans la perspective de la Coupe du monde de football de 2010), et dans la production d électricité (nouvelles méga-centrales au charbon de Medupi et Kusile). Pour la période avril 2012-mars 2015, les grands projets d infrastructure annoncés représentent 83 Mds EUR dont 35 % pour l énergie, 30 % pour les transports, 12 % pour les infrastructures sanitaires et les télécommunications et le reste pour des projets de moindre envergure, notamment dans l éducation, la santé, etc UBIFRANCE
4 Accords politiques, juridiques et multilatéraux Les accords multilatéraux L Afrique du Sud tend à se poser en défenseur des intérêts africains ainsi qu en leader des principales économies émergentes, notamment au sein du forum IBSA (Inde, Brésil, Afrique du Sud). Succès diplomatique important, le pays a été invité en 2011 à rejoindre le groupe informel des BRIC (Brésil, Russie, Inde, Chine) pour constituer les BRICS. Principale économie d Afrique, l Afrique du Sud fait partie du G20. Elle a présidé en 2006 le groupe des pays en développement aux Nations Unies (G77). Membre de l OMC depuis 1995, l Afrique du Sud est membre signataire de la convention de la MIGA pour les investissements. Les accords régionaux Sur la scène régionale, l Afrique du Sud a signé deux accords majeurs de coopération régionale : La SACU (Southern Africa Customs Union), union douanière de l Afrique australe créée en 1910 qui comprend outre l Afrique du Sud, le Botswana, le Lesotho, la Namibie et le Swaziland. La SADC (Southern African Development Community), communauté pour le développement de l Afrique australe : l Afrique du Sud y a adhéré en Elle comporte 15 membres. Ceux-ci s engagent notamment à la suppression progressive des droits de douane en vue de créer une zone de libre-échange et une union douanière. La SADC ne représente que 11 % des exportations sud-africaines et 2 % de ses importations. La SADC, la Comesa et l EAC ont signé mi-2011 un accord en vue de créer une zone de libre-échange allant du Cap au Caire, regroupant la moitié des pays de l Union africaine, 58 % de son PIB et 57 % de sa population. L Afrique du Sud et l Union européenne L accord sur le commerce, le développement et la coopération (ACDC) de 2004 met en œuvre la libéralisation des échanges de marchandises, de services et de capitaux. Selon un calendrier asymétrique, l Union européenne s est engagée à libéraliser environ 95 % de ses importations en provenance d Afrique du Sud sur une période de dix ans, tandis que l Afrique du Sud le fera pour 86 % des positions tarifaires en douze ans. L Afrique du Sud a rejoint en mars 2007 les négociations APE entre l Union européenne et la SADC. Le pays n est cependant pas favorable à la conclusion d accords intérimaires alors que plusieurs pays de la SADC ont, pour leur part, décidé de signer avec l Union européenne mi Les accords bilatéraux Différents accords de protection des investissements et différentes conventions fiscales ont été conclus depuis 1994 par l Afrique du Sud. Ainsi, avec la France, des conventions bilatérales de protection et de promotion des investissements et de non double imposition ont été signées en Commerce extérieur Importations en 2012 : 835,61 Mds ZAR soit 79,35 Mds EUR Exportations en 2012 : 719,93 Mds ZAR soit 68,18 Mds EUR Poids de la France dans les importations de l Afrique du Sud : l Afrique du Sud (2012). 2,7 % des importations de UBIFRANCE
5 État des lieux du commerce extérieur En 2012, le commerce bilatéral entre la France et l Afrique du Sud s est élevé à plus de 2,7 Mds EUR, en recul après le niveau record atteint en 2011, en raison de la baisse simultanée des livraisons d aéronefs par la France et de minerais par l Afrique du Sud. Néanmoins la valeur des exportations françaises vers l Afrique du Sud est restée globalement conforme à la tendance observée sur la dernière décennie et proche du deuxième record après celui de 2011 (2005 avec M EUR). Avec un total de M EUR en 2012, les exportations françaises sont semblables à celles vers l Égypte (1 719 M EUR) ou Taïwan (1 913 M EUR). Au sein de l Afrique sub saharienne, l Afrique du Sud se situe au premier rang des clients de la France devant le Nigeria (1 346 M EUR) et le Sénégal (872 M EUR). Sur l année, les équipements mécaniques, électriques et informatiques ont constitué le premier poste d exportation (30,1 % du total) devant les matériels de transport (18,9 % du total). Les produits chimiques, parfums et cosmétiques ont représenté le troisième poste de nos ventes (16,5 % du total). Rapportées aux évolutions constatées sur la décennie, la structure des exportations françaises vers l Afrique du Sud demeure stable. Pour le futur, à noter d une part, la forte progression de l industrie agroalimentaire (+ 27,9 %), et d autre part l imminence de grands contrats dans les secteur de l énergie nucléaire et des transports ferroviaires. En 2012, l Afrique du Sud est le 41 e client de la France avec 0,4 % des exportations françaises. Avec 2,7 % de part de marché, la France se classe au troisième rang européen loin derrière l Allemagne (9,9 %) et le Royaume-Uni (4,4 %). Les exportations sud-africaines vers la France se sont établies à 838,1 M EUR en 2012, en contraction de 12,5 % par rapport à Les produits issus des industries extractives, charbon en tête, constituent l essentiel de nos importations (27,9 % du total) suivis par les produits métallurgiques et métalliques (17,6 % du total) et les produits agricoles (8,4 % du total). L Afrique du Sud est le 58 e fournisseur de la France et représente 0,2 % des importations françaises. L excédent commercial que la France enregistre avec l Afrique du Sud s élève à M EUR et constitue le 11 e excédent commercial de la France derrière celui avec la Turquie (1 235 M EUR) et devant celui avec le Mexique (917 M EUR). L Asie est aujourd hui devenue la 1 re zone d échange avec l Afrique du Sud (40 % du commerce extérieur du pays) ; la Chine s est hissée depuis 2009 au rang de 1 er partenaire commercial (1 er client et 1 er fournisseur) du pays. Ventilation en 2012 des exportations françaises vers l Afrique du Sud Ventilation en 2012 des importations françaises en provenance d'afrique du Sud Autres 16% Produits pharmaceutiques 12% Produits chimiques, parfums et cosmétiques 16% Produits agro alimentaires 7% Équipements mécaniques, électriques et électroniques 30% Matériel de transport 19% Produits métallurgiques et métalliques 18% Autres 20% Produits chimiques 7% Automobiles 9% Produits agro alimentaires 18% Produits des industries extractives 28% UBIFRANCE
6 Historiquement l aéronautique et les équipements électriques figurent aux premier rang de nos exportations. South African Airways, considérée comme la meilleure compagnie africaine reste un très bon client d AIRBUS mais d autres compagnies ont vu le jour : KULULA, COMAIR, MANGO, etc. Les produits pharmaceutiques se positionnent en troisième position avec 221,5 M EUR, en progression de 20 % par rapport à Le charbon (houille) constitue traditionnellement le premier poste des ventes sud-africaines, suivi par les produits sidérurgiques et les véhicules automobiles. Les ventes d automobiles (essentiellement des modèles Mercedes fabriqués par le constructeur allemand dans son usine sud-africaine) se hissent désormais au 4 e rang, avec un volume équivalent à celui de nos propres exportations automobiles vers l Afrique du Sud. On note également les bonnes performances en croissance des produits agricoles et agroalimentaires (+ 25,9 %) et chimiques (+ 21,9 %). Les secteurs porteurs et la présence française Rang Secteurs Poids de l offre française 1 Santé (équipements médicaux et produits pharmaceutiques) 8,5 % 2 Équipements électriques (HT et BT) 3,3 % 3 Cosmétiques et parfumerie 17,4 % 4 Équipements agricoles et viticoles 5 % 5 Matériel de transport ND Sources : Statistics South Africa, GIA et estimations SER à Johannesburg. La santé en Afrique du Sud est un secteur dual avec un secteur public peu performant mais en cours de modernisation et un secteur privé qui soigne 20 % de la population et qui est de niveau international. Les chaînes de cliniques privées sud-africaines ont en effet investi en Europe, au Moyen-Orient ou en Afrique. Elles sont friandes de nouveautés technologiques et la France a une image particulièrement positive dans ce secteur. La France a une longue tradition et une très bonne image dans le secteur de l électricité sud-africain. La centrale nucléaire de Koeberg, la seule du continent africain, est française et donne lieu, depuis sa construction, à un partenariat étroit entre les deux pays. 80 % des turbines en fonctionnement dans le pays sont d origine Alstom et le groupe français est largement impliqué dans la construction des deux mégacentrales au charbon de Medupi et Kusile. La France suit de très près les investissements annoncés pour les prochaines années dans le nucléaire (9 600 MW), les énergies renouvelables ( MW) et pour le renouvellement du parc actuel de génération. Dans un contexte d augmentation rapide des tarifs de l électricité, les entreprises françaises s intéressent également au marché de l efficacité énergétique. Comme partout ailleurs dans le monde, la France dispose d une image de premier plan et d une présence forte dans le domaine de la parfumerie, des cosmétiques et produits de beauté. Dans un pays où la classe moyenne se développe rapidement et où l apparence physique est très importante, la demande reste forte pour ce type de produits. Les tendances récentes favorisent les dermocosmétiques et produits traitants, ainsi que les produits ethniques. La classe moyenne est estimée à 12 M de personnes soit la taille du marché belge. L agriculture commerciale sud-africaine est principalement de type industriel et extensif, mécanisée et fortement exportatrice. Par ordre d importance en valeur, les principales productions agricoles à l export sont les agrumes, le maïs, le vin, le raisin de table, les pommes et les poires, la laine et le sucre. L agriculture et l agroindustrie sud-africaines disposent de nombreux avantages comparatifs et la demande intérieure progresse régulièrement offrant à ce secteur des perspectives de croissance et des opportunités pour les investisseurs. Ce secteur est constamment à la recherche de solutions plus performantes pour diminuer les coûts, augmenter les rendements, avec une nouvelle préoccupation concernant l environnement. Les produits et les équipements en provenance de France sont parmi les leaders sur des positions comme les vins et les spiritueux, les produits laitiers, les équipements viti-vinicoles, les équipements de transformation, etc UBIFRANCE
7 En ce qui concerne le matériel de transport, ALSTOM est actuellement soumissionaire privilégié d un appel d offres de PRASA (compagnie ferroviaire étatique passagers) de près de 4,5 Mds EUR (fourniture de voitures) et l automobile reste l un des secteurs industriels les plus développés avec sept principaux constructeurs sur place (dont Renault). Le gouvernement sud-africain a mis en place un ensemble d incitations fiscales pour favoriser la croissance de la production locale, l arrivée de nouveaux producteurs sur le marché local et l augmentation du taux d intégration locale. Les opportunités sont donc nombreuses pour les sous-traitants du secteur, les fournisseurs d équipements et de technologie pour cette industrie. Parmi les autres secteurs porteurs, on peut citer en particulier : l agroalimentaire (produits finis et équipements) ; le matériel et les intrants agricoles et agroalimentaires ; les 1 re et 2 e transformations du bois ; la mécanique et la plasturgie, les traitements de surface ; les matériaux de construction innovants, le second œuvre du bâtiment ; la sécurité des biens et des personnes ; les énergies renouvelables et l efficacité énergétique ; les biens de consommation non alimentaires ; les technologies de l information et de la communication ; les équipements et les services liés à la formation. Les investissements étrangers Par ses implantations d entreprises, la France se situe au huitième rang des pays investisseurs. La modestie de notre présence économique au regard des fortes positions occupées en Afrique par les entreprises françaises, s explique largement par l histoire. Les entreprises françaises ont surtout privilégié leur zone traditionnelle d influence des pays francophones, mais elles ont aussi respecté l embargo international pendant la période de l apartheid. Le développement des entreprises françaises en Afrique du Sud démarre de fait après 1994 et l on peut maintenant constater une nette accélération de ce mouvement depuis quelques années. Le nombre des entreprises françaises installées en Afrique du Sud a régulièrement augmenté au cours des cinq dernières années, et on recensait environ 245 implantations françaises fin La France détient environ 1,5 % des stocks d IDE en Afrique du Sud, loin après le Royaume-Uni, les États-Unis, l Allemagne ou les Pays-Bas. Au total, les entreprises françaises emploient environ salariés dans le pays. Les investissements En 2012, près des deux-tiers des stocks d investissements se concentraient sur les domaines industriels : gaz industriels (Air liquide), pharmacie (Sanofi-Aventis, Ceva, Virbac), chimie et pétrole (groupe Total), équipements électriques (Schneider Electric), électronique (Thalès, Gemalto), ciment (Lafarge), matériaux de construction (Saint Gobain), BTP (Solétanche, Colas), construction automobile (Renault), équipements automobiles (Faurecia, Valeo, Inergy), cosmétiques et produits d hygiène (L Oréal, Mane, Givaudan), agroalimentaire (Danone, Lactalis Parmalat, Evialis, Royal Canin), aéronautique (Turbomeca, Eurocopter, ATE). Les services connaissent un développement qui mérite d être souligné : services financiers (BNP Paribas, Natixis, Société Générale, Coface), hôtellerie (Accor, Sodexo), ingénierie (Ingerop, Artelia, Technip, Dassault Systèmes), transports urbains (RATP), logistique (Bolloré, AGS), eau et environnement (Suez et Veolia), maintenance industrielle (Alstom), distribution de carburants (Total), medias (groupe Lagardère), négoce agroalimentaire (Louis Dreyfus). La communauté française compte environ personnes dont plus de la moitié réside dans la province du Gauteng (agglomération de Johannesburg et de Pretoria). Sa taille est sans commune mesure avec les puissantes communautés formées par les Britanniques ( ), les Portugais ( , en majorité en provenance d Angola et du Mozambique) ou les Allemands ( ) UBIFRANCE
8 Environnement des affaires et conseils pratiques Les usages du pays Lorsque l on souhaite prendre rendez-vous avec une personne, il faut prêter attention à la position de celle-ci au sein de l organisation ou de l entreprise et bien identifier quels sont ses pouvoirs. Les personnes ayant un certain pouvoir de décision sont relativement plus accessibles qu en Europe et seront plus en mesure de traiter les demandes. Il est recommandé de confirmer les rendez-vous par . Les rencontres avec les partenaires sud-africains ont lieu plutôt le matin ou le midi, l après-midi étant assez court. Il est courant de se réunir lors d un petit-déjeuner pris tôt. Les administrations comme les entreprises ferment totalement pendant la trêve des confiseurs, du 15 décembre au 20 janvier. Les Sud-africains sont généralement ponctuels. Lors d un rendez-vous d affaires, une tenue correcte est de rigueur (port de la chemise et de la cravate pour les hommes). Dans certains secteurs comme le tourisme ou les nouvelles technologies, les cadres n hésitent cependant pas à adopter une tenue plus détendue. Lors des déplacements, il est conseillé de se renseigner sur le temps nécessaire pour se rendre d un endroit à un autre dans l agglomération de Johannesburg et de Pretoria du fait d un trafic plutôt dense. L utilisation d un GPS lors de la location d un véhicule est vivement conseillée. Les pratiques commerciales du pays Mode de règlement De manière générale, la facturation des importations s effectue en dollars américains. Toutefois, l euro commence progressivement à trouver sa place comme mode de règlement. L Afrique du Sud, qui offre aujourd hui des moyens de paiement tout à fait similaires à ceux de l Europe ou des États- Unis, est un pays solvable qui a une réputation de bon payeur. Il convient néanmoins de rester prudent lors de relations commerciales naissantes avec un acheteur sud-africain. Il est donc recommandé de commencer par un crédit documentaire puis, dans un second temps, de poursuivre par des paiements contre remise documentaire ou par virement Swift. L utilisation du chèque est fortement déconseillée. Droit des contrats Le système juridique sud-africain étant fortement inspiré du système anglo-saxon de la Common Law et du droit romain hollandais (Roman Dutch Law), il n existe pas de code régissant le droit des contrats en Afrique du Sud. L accord des volontés, entériné dans le contrat, fait loi. Il est donc primordial d y faire figurer tous les détails de l opération, de la façon la plus exhaustive possible. Les parties sont aussi libres de choisir quel droit sera applicable à leur contrat, notamment en cas d interprétation de certaines clauses ou de litiges pouvant survenir entre elles, ainsi que la juridiction compétente (chambre d arbitrage, tribunaux locaux ou Chambre de commerce internationale, etc.). Règlementations de base Du fait de l accord sur le commerce, le développement et la coopération (ACDC) entre l Union européenne (UE) et l Afrique du Sud, de nombreux produits agricoles et agroalimentaires d origine UE bénéficient d un accès préférentiel au marché sud-africain avec des droits de douane réduits ou nuls. Cet accord a débuté le 1 er janvier 2000, avec une pleine mise en œuvre depuis 2012 conformément au calendrier défini. L accord ACDC exclut de fait certains secteurs sensibles, tandis que d autres ne sont encore que partiellement libéralisés. Par ailleurs, les vins et spiritueux font l objet d un accord spécifique conclu en 2002, mais non ratifié à ce jour par l Afrique du Sud. Bien que non-ratifié par le parlement sud-africain, l accord est mis en œuvre. Le principal intérêt pour les vins UE consiste en la reconnaissance et protection des IGP et AOP et la reconnaissance des pratiques œnologiques UBIFRANCE
9 Enfin les négociations concernant un accord relatif aux produits de la pêche ont été suspendues. Les standards et normes sont établis par le South African Bureau of Standards et sont généralement conformes aux normes internationales ISO et IEC, ou au Codex Alimentarius pour les produits alimentaires. Ils sont généralement peu contraignants et si certaines entreprises françaises ont pu être affectées par le passé, elles ont généralement trouvé rapidement des solutions pour gérer ces contraintes. Certains produits sont soumis à des contrôles particuliers et requièrent des certificats sanitaires ou phytosanitaires, des licences d importation ou sont soumis à enregistrement préalable, sans que cela constitue de réelles barrières à l importation. Règles de communications lors des contacts professionnels et personnels : les Sud-africains sont généralement ouverts et accueillants mais n ont pas de tropisme particulier pour la France. Lors des discussions, peu de sujets sont réellement tabous, mais il est recommandé d éviter ou de n aborder qu avec la plus extrême prudence l histoire du pays et en particulier l Apartheid. La pratique des affaires est très infuencée par le mode anglosaxon. Les agendas des Sud-Africains sont chargés et le fait d accorder un rendez-vous montre un intérêt a priori de leur part. Lors des entretiens, les préambules sont réduits au strict minimum et il est recommandé d aller droit au but et de présenter rapidement son offre et ses propositions. Suite à un premier contact, il convient d assurer le suivi et de communiquer rapidement les éléments complémentaires éventuellement demandés. Ce suivi doit être régulier et il ne faut pas hésiter à insister en cas d absence de retour ou de réaction rapide des Sud-africains, qui tient souvent à leur emploi du temps très chargé. Un premier contact sur place n est pas suffisant et il convient de revenir rencontrer ses interlocuteurs à intervalles réguliers, car la confiance ne s obtient que si l on démontre que l on est fiable et présent sur le long terme. En matière de commerce international, le paiement de «faveurs» peut s avérer une pratique courante afin de favoriser la conclusion d une affaire. Une quelconque facilité (matérielle ou pécuniaire) peut être attendue en échange de services fournis par l administration, ou par d autres entreprises. Ainsi, certaines entreprises qui travaillent régulièrement à l international peuvent être invitées à payer des pots-de-vin en vue de gagner des contrats, ou des «pourboires» afin d obtenir un traitement prioritaire de leur dossier au sein des administrations. L entreprise doit cependant être consciente que pratiquer la corruption peut être dangereux d une part parce que certains pays la condamnent fortement aux travers de mesures anti-corruption, d autre part parce que la corruption peut avoir des implications directes sur la gestion de l entreprise. Le manager international doit être très attentif à tracer une ligne distincte entre «la voie raisonnable» pour faire du commerce international, et des pratiques relevant directement de la corruption. Les pots-de-vin ouvrent la voie vers une performance de mauvaise qualité et à la perte de repères moraux parmi le personnel de l entreprise. La corruption mène à la propagation de pratiques commerciales contraires à l éthique. C est pourquoi l OCDE a adopté une convention, en décembre 1997, sur la lutte contre la corruption qui établit des normes juridiquement contraignantes tendant à faire de la corruption d agents publics étrangers dans les transactions commerciales internationales une infraction pénale et prévoit un certain nombre de mesures visant à mettre en œuvre efficacement cette infraction. Notre Agence souscrit aux principes de cette convention et invite l ensemble de ses clients à prendre connaissance du décret n du 28 septembre 2000 portant publication de cette Convention et à en mesurer les enjeux dans le cadre de leurs pratiques professionnelles UBIFRANCE
10 UBIFRANCE vous propose quatre gammes complètes de produits et services d accompagnement pour vous aider à identifier les opportunités des marchés et à concrétiser vos projets de développement international. Gamme Conseil : pour obtenir la bonne information sur les marchés étrangers et bénéficier de l expertise des spécialistes d UBIFRANCE. Gamme Contact : pour identifier vos contacts d affaires et vous faire bénéficier de centaines d actions de promotion à travers le monde. Gamme Communication : pour communiquer à l étranger sur votre entreprise, vos produits et votre actualité. Volontariat International en Entreprise (VIE) : pour optimiser votre budget ressources humaines à l international Retrouver le détail de nos produits sur : Ubifrance Toute reproduction, représentation ou diffusion, intégrale ou partielle, par quelque procédé que ce soit, sur quelque support que ce soit, papier ou électronique, effectuée sans l autorisation écrite expresse d Ubifrance, est interdite et constitue un délit de contrefaçon sanctionné par les articles L et L du code de la propriété intellectuelle. Clause de non-responsabilité : Ubifrance ne peut en aucun cas être tenu pour responsable de l utilisation et de l interprétation de l information contenue dans cette publication dans un but autre que celui qui est le sien, à savoir informer et non délivrer des conseils personnalisés. Les coordonnées (nom des organismes, adresses, téléphones, télécopies et adresses électroniques) indiquées ainsi que les informations et données contenues dans ce document ont été vérifiées avec le plus grand soin. Toutefois, Ubifrance ne saurait en aucun cas être tenu pour responsable d éventuels changements. Auteur : UBIFRANCE Afrique du Sud- Bureau de Johannesburg Adresse : Augusta House Inanda Greens Business Park, 54 Wierda Road west, 2196 Sandton Afrique du Sud Adresse postale : Po Box , Benmore2010, Afrique du Sud Adresse mèl : johannesburg@ubifrance.fr Rédigée par : Jacques Torregrossa Revue par : Arnaud Zerkovitz Version originelle du : 1 er mars 2011 Version mise à jour le : 20 mars 2013 Prestation réalisée sous système de management de la performance certifiée BVC ISO 9001 : UBIFRANCE
LA ROUMANIE en bref. Mars - Avril 2014
LA ROUMANIE en bref Mars - Avril 2014 Une économie dynamique 7ème pays de l UE en termes de population 2ème dans l Europe Centrale et orientale PRINCIPAUX INDICATEURS Population : 19 millions habitants
Plus en détailAnalyse prospective des marchés à l export, par secteur et par pays
Analyse prospective des marchés à l export, par secteur et par pays Octobre 2012 RESULTATS DE L ANALYSE DES COUPLES PAYS/SECTEURS PORTEURS EN FAVEUR DU COMMERCE EXTERIEUR DE LA FRANCE SOMMAIRE Résumé 2
Plus en détailMISSION D AFFAIRES PACA EN RUSSIE
vous proposent, dans le cadre du programme consulaire régional, une : MISSION D AFFAIRES PACA EN RUSSIE du 23 au 29 Juin 2013 Prospections personnalisées à Moscou et/ou Saint-Pétersbourg Secteurs : agroalimentaire
Plus en détailINVESTIR EN FRANCE s 2015 mar Réalisation :
INVESTIR EN FRANCE LA FRANCE RÉUNIT TOUTES LES CONDITIONS DE SUCCÈS POUR VOTRE INVESTISSEMENT Une grande économie au cœur de l Europe, une porte d accès vers la Méditerranée et l Afrique : 5 e économie
Plus en détailÉtude de cas sur les incitations fiscales
RÉALISER LE POTENTIEL D INVESTISSEMENTS RENTABLES EN AFRIQUE Séminaire de haut niveau organisé par l'institut du FMI en coopération avec l'institut multilatéral d'afrique TUNIS,TUNISIE,28 FÉVRIER 1ERMARS2006
Plus en détailLes perspectives économiques
Les perspectives économiques Les petits-déjeuners du maire Chambre de commerce d Ottawa / Ottawa Business Journal Ottawa (Ontario) Le 27 avril 2012 Mark Carney Mark Carney Gouverneur Ordre du jour Trois
Plus en détailCroissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés
POUR DIFFUSION : À Washington : 9h00, le 9 juillet 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À DIFFUSION Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés La croissance
Plus en détailAgricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005. Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005.
Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005 Summary in French Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005 Résumé Le soutien accordé aux producteurs
Plus en détailRégion Haute-Normandie. Plan régional pour l internationalisation des entreprises en Haute-Normandie
Région Haute-Normandie Plan régional pour l internationalisation des entreprises en Haute-Normandie Novembre 2013 ! "# $"% &%'' $ (')#!*+,*'-#&+,./ 0 $1&/2+,(.'1&/2+,(.'' 3,/,// 4 (553 5#+' 2 '+ 0 6 #
Plus en détailLes moyens de paiement en Inde
Les moyens de paiement en Inde 2010 - Ubifrance et les Missions Economiques Introduction Actualisation au 31 mai 2010 Prestation réalisée sous système de management de la qualité certifié AFAQ ISO 9001
Plus en détailLiban. Source : «GEOATLAS.com 2009 Graphi-Ogre»
Liban Source : «GEOATLAS.com 2009 Graphi-Ogre» Données générales Superficie : 10 452 km² Capitale : Beyrouth (1,5 million d habitants). Monnaie : livre libanaise (LBP), indexée sur le dollar américain.
Plus en détailCAC 40 : LES ENTREPRISES FEMINISEES
OBSERVATOIRE SKEMA DE LA FEMINISATION DES ENTREPRISES FRANÇAISES CAC 40 : LES ENTREPRISES FEMINISEES RESISTENT-ELLES MIEUX A LA CRISE BOURSIERE? Professeur Michel Ferrary SKEMA Business School 1 Michel
Plus en détailFICHE PAYS. Données générales. Données politiques
«GEOATLAS.com 2009 Graphi-Ogre» Corée du Sud Données générales Capitale : Séoul Monnaie : won (KRW) Taux de change won/euro : en novembre 2012 le taux de change est d environ 1 400 KRW pour 1 EUR Langue
Plus en détailDUXTON ASSET MANAGEMENT
DUXTON ASSET MANAGEMENT Afrique : Un élément clef dans un (ou environnement) agricole global et diversifié Point de vue des investisseurs sur les potentialités de l agriculture africaine et problèmes à
Plus en détailClimat des investissement et développement des entreprises pour l Emergence
Climat des investissement et développement des entreprises pour l Emergence Mamadou Lamine BA, Directeur Environnement des Affaires APIX Promoteur African Investment Academy 3 ème Salon international des
Plus en détailLE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE?
LE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE? Françoise Lemoine & Deniz Ünal CEPII Quel impact de l expansion chinoise sur l économie mondiale? Rencontres économiques, 18 septembre
Plus en détailInvestissements et R & D
Investissements et R & D Faits marquants en 2008-2009 - L investissement de l industrie manufacturière marque le pas en 2008 et se contracte fortement en 2009 - Très fort recul de l utilisation des capacités
Plus en détailLes Flux Financiers Illicites et la Question des Transferts nets de Ressources en Provenance de l Afrique, 1980-2009
Les Flux Financiers Illicites et la Question des Transferts nets de Ressources en Provenance de l Afrique, 1980-2009 Rapport Conjoint Banque Africaine de Développement ET Global Financial Integrity Mai
Plus en détailFAITES AFFAIRE AVEC L ALLEMAGNE, PREMIÈRE ÉCONOMIE DE L UNION EUROPÉENNE
FAITES AFFAIRE AVEC L ALLEMAGNE, PREMIÈRE ÉCONOMIE DE L UNION EUROPÉENNE - Occasions d affaires et secteurs d intérêt - Chambre canadienne allemande de l industrie et du commerce à Montréal Montréal 24
Plus en détailà la Consommation dans le monde à fin 2012
Le Crédit à la Consommation dans le monde à fin 2012 Introduction Pour la 5 ème année consécutive, le Panorama du Crédit Conso de Crédit Agricole Consumer Finance publie son étude annuelle sur l état du
Plus en détailRépondre aux nouveaux enjeux de la filière automobile française. Dossier de presse
Répondre aux nouveaux enjeux de la filière automobile française Dossier de presse Octobre 2014 Après de trop longues années de crise, un léger vent d optimisme souffle enfin sur notre industrie automobile.
Plus en détailArgentine FICHE PAYS. Données générales. Données politiques. Superficie : 2 780 400 km 2. Capitale : Buenos Aires. Monnaie : Peso argentin (ARS)
Données générales Superficie : 2 780 400 km 2 Argentine Capitale : Buenos Aires Monnaie : Peso argentin (ARS) Langue : Espagnol Population : 40 091 359 habitants (recensement de 2010) Démographie : Âge
Plus en détail75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-2010
75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-21 L économie canadienne depuis la fondation de la Banque du Canada Première édition : le 11 mars 21 Mise à jour : le 16 decembre 21 1 La Banque du Canada, fondée en
Plus en détailINVESTIR EN FRANCE : Réalisation
INVESTIR EN FRANCE LA FRANCE RÉUNIT TOUTES LES CONDITIONS DE SUCCÈS POUR VOTRE INVESTISSEMENT En 2014, 1 014 décisions d investissement en France ont créé ou maintenu 26 535 emplois. 1 er pays en Europe
Plus en détailGuide export Le marché russe en toute simplicité avec la CCIFR!
Guide export Le marché russe en toute simplicité avec la CCIFR! LE MARCHÉ RUSSE EN TOUTE SIMPLICITÉ AVEC LA CCIFR! Vous êtes une société française en quête d opportunités de croissance à l international?
Plus en détailGHANA. Les relations commerciales de la Belgique avec le
Les relations commerciales de la Belgique avec le GHANA Cette note est également disponible sur le site internet de l Agence pour le Commerce extérieur : www.abh-ace.be P a g e 1 TABLE DES MATIÈRES 1 La
Plus en détailMission de prospection multisectorielle JAPON
en partenariat avec organise une : Mission de prospection multisectorielle Du lundi 27 au vendredi 31 octobre 2014 A Tokyo et Kobe JAPON [Tapez un texte] 3 ème PIB mondial en 2014 Zoom sur le Japon Superficie
Plus en détailCONDITIONS DEFINITIVES EN DATE DU 05 MAI 2008 CONCERNANT DES BONS D'OPTION WARRANTS SUR ACTIONS ET INDICE AVEC REGLEMENT EN ESPECES
CONDITIONS DEFINITIVES EN DATE DU 05 MAI 2008 CONCERNANT DES BONS D'OPTION WARRANTS SUR ACTIONS ET INDICE AVEC REGLEMENT EN ESPECES Emetteur : Calyon Financial Products (Guernsey) Limited Garant : Calyon
Plus en détailPrésentation Macro-économique. Mai 2013
Présentation Macro-économique Mai 2013 1 Rendement réel des grandes catégories d actifs Janvier 2013 : le «sans risque» n était pas une option, il l est moins que jamais Rendement réel instantané 2,68%
Plus en détailLes mesures en faveur de
Les mesures en faveur de l attractivité Invest in France La France est une destination de premier ordre pour les investissements directs étrangers. Elle accueille sur son sol plus de 0 000 entreprises
Plus en détail125 700 m² LE MARCHÉ LOCATIF - 3T 2014 LA DÉFENSE. Demande placée. Taille des transactions 2010 2011 2012 2013 3T2014 2010 2011 2012 2013 3T2014
LE MARCHÉ LOCATIF - 3T 2014 LA DÉFENSE Demande placée 125 700 m² +41% : confirme son retour en grâce sur le marché locatif, en dépit d un 3 ème trimestre 2014 beaucoup moins flamboyant que le précédent,
Plus en détailLe capital-investissement en Afrique
Neuvième Forum pour le développement de l'afrique Le capital-investissement en Afrique Document de travail Neuvième Forum pour le développement de l'afrique Des finan cements innovants pour l a transformation
Plus en détailUne innovation majeure dans le secteur de l assurance santé au Maroc
Une innovation majeure dans le secteur de l assurance santé au Maroc Une couverture exceptionnelle pour les particuliers au Maroc ASSUR-PLUS Santé International est un contrat d assurance santé international
Plus en détailAperçu du rôle que tient EDC dans le succès canadien à Hong Kong et en Chine élargie
Aperçu du rôle que tient EDC dans le succès canadien à Hong Kong et en Chine élargie Exportation et développement Canada Juin 2012 Quelques mots sur EDC Organisme de crédit à l exportation du Canada créé
Plus en détailPoint d actualité. Conseil Economique, Social & Environnemental Régional. Séance plénière 2 février 2015
Conseil Economique, Social & Environnemental Régional Point d actualité Séance plénière 2 février 2015 Rapporteur général : Jean-Jacques FRANCOIS, au nom du Comité de Conjoncture CONTEXTE GÉNÉRAL A la
Plus en détailContrat de la filière Automobile Le contrat de filière a été présenté par Monsieur Claude CHAM, vice- président du comité stratégique de la filière
Contrat de la filière Automobile Le contrat de filière a été présenté par Monsieur Claude CHAM, vice- président du comité stratégique de la filière automobile, à Monsieur Arnaud Montebourg, ministre du
Plus en détailhttp://www.societeoffshore.fr - http://www.societeoffshore.fr - http://www.societeoffshore.fr Situation générale
République des Seychelles Situation générale 1. Géographie La Républiques des Seychelles est un archipel composé de 115 îles, situé au nord-est de Madagascar. L île la plus importante est l île de Mahé.
Plus en détailDeuxième Examen global de l Aide pour le commerce
Deuxième Examen global de l Aide pour le commerce Activités de la Banque africaine de développement 2008-2009 Groupe de la Banque Africaine de Développement GROUPE DE LA BANQUE AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT
Plus en détailCanada-Inde Profil et perspective
Canada-Inde Profil et perspective Mars 2009 0 L Inde et le Canada : un bref profil Vancouver Calgary Montréal Toronto INDE 3 287 263 km² 1,12 milliard 1 181 milliards $US 1 051 $US Source : Fiche d information
Plus en détailConsultations prébudgétaires 2011-2012
Présenté au Comité permanent des finances de la Chambre des communes 12 août 2011 Sommaire Dans le cadre des consultations prébudgétaires du Comité permanent des finances de la Chambre des communes, le
Plus en détailDIVERSITÉ CULTURELLE JOURS FÉRIÉS Pour en savoir Plus, veuillez vous adresser à :
Le Manitoba en bref Le Manitoba : Province du Canada depuis 1870. Manitoba signifie «lieu où vit l Esprit» dans les langues des peuples autochtones de la province. Chef politique : Premier ministre (Greg
Plus en détailLes difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues à moins que les tensions financières s amplifient
PRÉSENTATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE Association des économistes québécois de l Outaouais 5 à 7 sur la conjoncture économique 3 avril Les difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues
Plus en détailCOALITION D ENTREPRISES SUD-AFRICAINES CONTRE LE HIV/SIDA (SABCOHA)
COALITION D ENTREPRISES SUD-AFRICAINES CONTRE LE HIV/SIDA (SABCOHA) Octobre 2005 Responsable du Programme: Brad Mears Tel : +27 11880 4821 E-mail: brad@sabcoha@co.za Site Web : www.sabcoha.co.za 1 Analyse
Plus en détailL INVESTISSEMENT DES CABINETS D AVOCATS EN AFRIQUE
L INVESTISSEMENT DES CABINETS D AVOCATS EN AFRIQUE Dans un contexte de plus en plus mondialisé où la stratégie internationale prend une importance grandissante, l implantation sur le continent africain
Plus en détailRetour à la croissance
Après une forte amélioration de ses résultats au T4 2010 et la finalisation de ses programmes d investissement et de réorganisation, Eurofins réaffirme ses objectifs à moyen terme 28 janvier 2011 A l occasion
Plus en détailCOMPRENDRE, EVALUER ET PREVENIR LE RISQUE DE CORRUPTION
COMPRENDRE, EVALUER ET PREVENIR LE RISQUE DE CORRUPTION Philippe Montigny, Président, ETHIC Intelligence EIFR Paris, le 3 juillet 2013 1 Le monde a changé La responsabilité d une entreprise peut être engagée
Plus en détailOFFRE DE FINANCEMENT
OFFRE DE FINANCEMENT ENTREPRISES EN DEVELOPPEMENT P.3 Financement de la Balance Clients (en TTC) P.3 Financement en Invoice Discounting (en TTC) P.4 Financement des Créances Commerciales (en TTC) P.5 Financement
Plus en détailVendre à l international : comment sécuriser vos contrats. 30/05/2013 Aéroport - Aulnat
Vendre à l international : comment sécuriser vos contrats 30/05/2013 Aéroport - Aulnat Intervenants : - Stéphane PELLENARD, juriste, Laboratoires THEA - David PONCHON, Directeur Délégué aux opérations
Plus en détailEn Afrique, les opportunités d emploi offertes aux femmes proviennent à 92 % de l économie informelle (estimation). JORGEN SCHYTTE/Still Pictures
En Afrique, les opportunités d emploi offertes aux femmes proviennent à 92 % de l économie informelle (estimation). JORGEN SCHYTTE/Still Pictures 1 Introduction I Cette étude considère l urbanisation comme
Plus en détailPARTENARIAT ENTRE LE SYSTEME DES NATIONS UNIES ET LE SENEGAL POUR UN DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL INCLUSIF ET DURABLE
PARTENARIAT ENTRE LE SYSTEME DES NATIONS UNIES ET LE SENEGAL POUR UN DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL INCLUSIF ET DURABLE Par Madame F. Bintou DJIBO, COORDONNATRICE DU SYSTÈME DES NATIONS UNIES AU SENEGAL Plan
Plus en détailPROJET DE LOI. NOR : MAEJ1231044L/Bleue-1 ----- ÉTUDE D IMPACT
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère des affaires étrangères PROJET DE LOI autorisant l approbation de l avenant à la convention entre le Gouvernement de la République française et le Gouvernement de la République
Plus en détailCOMMUNIQUÉ DE PRESSE
COMMUNIQUÉ DE PRESSE La croissance mondiale des investissements publicitaires se poursuit : les achats publicitaires devraient croître de 4,8% en 2012. Un chiffre en légère progression par rapport aux
Plus en détailÀ Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 JUSQU À PUBLICATION. Courants contraires
POUR DIFFUSION : À Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À PUBLICATION Courants contraires La baisse
Plus en détailLe commerce extérieur de la Suisse en 2013
Le commerce extérieur de la Suisse en 2013 Résumé L excédent commercial suisse affiche un nouveau record en 2013, à 26,6 Mds CHF (environ 4,5% du PIB). Recevant près de 55% des exportations suisses, l
Plus en détailLE VIE VOLONTARIAT INTERNATIONAL EN ENTREPRISE >>>
>>> LE VIE VOLONTARIAT INTERNATIONAL EN ENTREPRISE SERVICE COMMUN UNIVERSITAIRE D INSERTION ET D ORIENTATION Campus centre-ville Site Ste Marthe 74 rue Louis Pasteur 84029 AVIGNON CEDEX 1 Tél. + 33 (0)4
Plus en détailChapitre 2 : La logistique. Pour le commerce international, les modes de transport utilisés sont :
I) La chaine logistique internationale. A. Le concept de logistique. Chapitre 2 : La logistique. Les activités de logistique et de transport permettent de gérer l ensemble des flux de matières et de produits,
Plus en détailLe Kent : la région idéale pour faire des affaires
Le Kent : la région idéale pour faire des affaires Le Kent est le tremplin idéal pour nouer des liens commerciaux avec le Royaume-Uni. Le Kent, un comté situé non loin de Londres, est aussi la région d
Plus en détailLe FMI et son rôle en Afrique
Le FMI et son rôle en Afrique M a r k P l a n t, V a l e r i a F i c h e r a, N o r b e r t F u n k e D a k a r, l e 3 n o v e m b r e 2 0 1 0 Sommaire Comment fonctionne le FMI? Comment l Afrique a-t-elle
Plus en détailLe FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc
Note d information au public (NIP) n 08/91 POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Le 23 juillet 2008 Fonds monétaire international 700 19 e rue, NW Washington, D. C. 20431 USA Le FMI conclut les consultations de 2008
Plus en détailRégime de fiscalité. L année fiscale indienne commence le 1 er avril et s achève le 31 mars de l année suivante. Fiscalité des entreprises
La fiscalité en Inde 2010 - Ubifrance et les Missions Economiques Introduction. Actualisation au 3 juin 2010 Prestation réalisée sous système de management de la qualité certifié AFAQ ISO 9001-2008 Régime
Plus en détailGroupe SOEXIMEX. Secteur d activité. SOEXIMEX Un acteur majeur du commerce international. Histoire Chiffres clés Activités
SOEXIMEX Un acteur majeur du commerce international La SOEXIMEX a été fondée en 1963. Son siège social se situe à Saint-Denis, au nord de Paris. Aujourd hui considérée comme un acteur majeur du commerce
Plus en détailFiche-action n 5.1 Accompagner les chefs d entreprise dans la définition de leur stratégie d export
Fiche-action n 5.1 Accompagner les chefs d entreprise dans la définition de leur stratégie d export ACTION : - Nature (nationale/régionale) ; - Descriptif du contenu (éventuelles sous-actions ou phases
Plus en détailStratégie de la Banque africaine de développement pour l intégration de l Afrique australe
Page 1 NOTE DE SYNTHESE N 24 Réalisée par Djenno Ngoua Melissa Stratégie de la Banque africaine de développement pour l intégration de l Afrique australe Le Traité d Abuja instituant en 1991 la Communauté
Plus en détailSuccès commercial avec la Russie Les 10 Principes de Base
Succès commercial avec la Russie Les 10 Principes de Base Les 10 Principes de Base Introduction Tout d abord, une bonne nouvelle: vendre en Russie n exige en général pas plus de préparation ni d informations
Plus en détailOBJECTIF DU GUIDE 1-L ENCADREMENT JURIDIQUE DES ACTIVITES D ASSURANCE
OBJECTIF DU GUIDE Présenter au public et en particulier aux investisseurs, les règles de constitution et de fonctionnement des organismes d assurance. Arrêté n 2005-0773 du 14 décembre 2005 fixant les
Plus en détailRÉSULTATS 2013 Excellente année de croissance profitable : chiffre d affaires et EBITDA ajusté historiques
COMMUNIQUE DE PRESSE RÉSULTATS 2013 Excellente année de croissance profitable : chiffre d affaires et EBITDA ajusté historiques Points clés Paris-Nanterre, le 18 février 2014 Chiffre d affaires net record
Plus en détailDécouvrez les clés de la réussite sur les marchés britannique et irlandais
Rencontres professionnelles E-COMMERCE Royaume-Uni et Irlande Londres et Dublin Du 16 au 18 septembre 2014 Découvrez les clés de la réussite sur les marchés britannique et irlandais VOUS ÊTES... Un e-commerçant
Plus en détailSBM Offshore OIL & GAS* sdv.com. Logistique. Imagination. *Pétrole et Gaz
SBM Offshore OIL & GAS* sdv.com Logistique. Imagination. *Pétrole et Gaz SDV, UN SERVICE DE PROXIMITÉ ET UNE PERFORMANCE ASSURÉE La puissance de notre réseau : Notre présence dans 102 pays garantit un
Plus en détailLes réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export
Les réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export Depuis 2012, un ensemble d actions est engagé au service du renforcement
Plus en détailTendances récentes dans les industries automobiles canadiennes
N o 11 626 X au catalogue N o 26 ISSN 1927-548 ISBN 978--66-2984-5 Document analytique Aperçus économiques Tendances récentes dans les industries automobiles canadiennes par André Bernard Direction des
Plus en détailDWS Investments Société de gestion du Groupe Deutsche Bank
DWS Investments Société de gestion du Groupe Deutsche Bank Le Groupe Deutsche Bank Culture d excellence depuis 1870 Banque d investissement internationale de premier plan, dotée d un solide réseau de clientèle
Plus en détailL industrie agricole et agroalimentaire canadienne et l économie mondiale en 2013-2014
L industrie agricole et agroalimentaire canadienne et l économie mondiale en 2013-2014 Introduction L économie canadienne est tributaire des exportations, en particulier dans les secteurs agricoles et
Plus en détailTHESAURUS ENTREPRISES PUBLIQUES
THESAURUS ENTREPRISES PUBLIQUES I. SECTEURS D ACTIVITES - Aéronautique - Agriculture - Assurances - Banques (épargne, office des chèques postaux) - Bâtiment et génie civil - Communications - Postes - Télécommunications
Plus en détailMarchés immobiliers : conjoncture et perspectives
Marchés immobiliers : conjoncture et perspectives CB Richard Ellis 16 septembre 2008 Contexte économique Environnement international o L économie mondiale tourne au ralenti (incertitudes financières, inflation,
Plus en détailRégime de l utilisation de terres en Chine
Régime de l utilisation de terres en Chine La première Constitution chinoise en 1954 a stipulé qu en Chine le sol en milieu urbain appartient à l État, en milieu rural il appartient aux collectivités locales.
Plus en détailOccasions d affaires en Fédération de Russie
Occasions d affaires en Fédération de Russie Justine Hendricks Vice-présidente, Groupe des ressources Énoncé des occasions d affaires La Russie est un marché exigeant qui offre des occasions d affaires
Plus en détailD A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S
REGARD SUR L EPIDEMIE DU VIH D A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S Photo: ONUSIDA Levier de la riposte au sida, l ONUSIDA s emploie à bâtir l action politique et à promouvoir les droits de tous les
Plus en détailLes investissements internationaux
Conclusion : Doit-on réguler les IDE? Les investissements internationaux Introduction : Qu est ce qu un investissement direct à l étranger (IDE)? I) L évolution des IDE 1 Les IDE : une affaire entre riches
Plus en détail(en millions d euros) 2013-2014 2012-2013
supplémentaires.. POLITIQUE D INVESTISSEMENTS (en millions d euros) 01-01 01-01 Investissements corporels et incorporels et investissements chez les clients 9 1 Acquisitions de titres de participations
Plus en détailEco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1
Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit
Plus en détailCinq ans après le début de la crise financière, l économie
52 5 L immobilier d entreprise allemand et les investisseurs Par Marcus Cieleback, directeur de recherche, PATRIZIA Immobilien AG. 5.1/ SITUATION GÉNÉRALE Cinq ans après le début de la crise financière,
Plus en détailCOMMENTAIRE. Services économiques TD LES VENTES DE VÉHICULES AU CANADA DEVRAIENT DEMEURER ROBUSTES, MAIS LEUR CROISSANCE SERA LIMITÉE
COMMENTAIRE Services économiques TD LES VENTES DE VÉHICULES AU CANADA DEVRAIENT DEMEURER ROBUSTES, MAIS LEUR CROISSANCE SERA LIMITÉE Faits saillants Les ventes de véhicules au Canada ont atteint un sommet
Plus en détailDécryptage des pouvoirs économiques et politiques du continent africain à travers 5 titres de référence
BROCHURE TARIFAIRE 2015 AFRICA Africa Intelligence Décryptage des pouvoirs économiques et politiques du continent africain à travers 5 titres de référence L abonnement à Africa Intelligence comprend l
Plus en détailInsertion des jeunes diplômés promotion 2013 Enquête CGE 2014
Insertion des jeunes diplômés promotion 2013 Enquête CGE 2014 P a g e 1 INTRODUCTION Dans le cadre de l enquête sur l insertion des jeunes diplômés diligentée par la Conférence des Grandes Ecoles et réalisée
Plus en détailATELIER DE RESTITUTION DU 27 NOVEMBRE 2014 ETUDE SECTEUR AGROALIMENTAIRE PROGRAMME EDEC
Ministère Chargé du Commerce Extérieur ATELIER DE RESTITUTION DU 27 NOVEMBRE 2014 ETUDE SECTEUR AGROALIMENTAIRE PROGRAMME EDEC Présentation du secteur agroalimentaire (IAA) Le secteur des industries agroalimentaires
Plus en détailRÉSULTATS DE LA 1ÈRE SÉRIE D ENQUÊTES AFROBAROMÈTRE AU TOGO 3e Dissemination 26 Juin 2013
RÉSULTATS DE LA 1ÈRE SÉRIE D ENQUÊTES AFROBAROMÈTRE AU TOGO 3e Dissemination 26 Juin 2013 [Include National Partner logo] www.afrobarometer.org www.crop-africa.org 1 [Include National Partner logo] Afrobaromètre:
Plus en détailReporting ISR Situation au 30/06/2015 ALM ETHIS VALEURS
Reporting ISR Situation au /6/15 Code ISIN : FR1263764 Le fonds a obtenu le label Novethic 14. Le Label ISR Novethic est attribué aux fonds d Investissement Socialement Responsable (ISR) dont la gestion
Plus en détailVADEMECUM COMMERCE EXTÉRIEUR DÉCOUVREZ L APP DE S-GE!
Edition 2015 VADEMECUM COMMERCE EXTÉRIEUR DÉCOUVREZ L APP DE S-GE! Sommaire LE MOT DU DIRECTEUR 3 SERVICES DE SWITZERLAND GLOBAL ENTERPRISE 4 Export Promotion 4 Import Promotion 4 Invest Promotion 5 RÉSEAU
Plus en détailCréer une filiale à l étranger Approche & Exemples LE TOUR DU MONDE EN 8H - 21 JUIN 2011
Créer une filiale à l étranger Approche & Exemples LE TOUR DU MONDE EN 8H - 21 JUIN 2011 PRESENTATION Le groupe ALTIOS International Une société leader dans le conseil et le développement opérationnel
Plus en détailACCÉLÉRER METTRE FIN À L ÉPIDÉMIE DE SIDA D ICI À 2030
ACCÉLÉRER METTRE FIN À L ÉPIDÉMIE DE SIDA D ICI À 2030 Mettre fin à l épidémie de sida ces mots renferment de tels espoirs et de telles promesses. Grâce à des engagements mondiaux et à des objectifs précis,
Plus en détailL ACCOMPAGNEMENT BANCAIRE DES ENTREPRISES CANADIENNES DANS LEUR EXPANSION EN EUROPE
L ACCOMPAGNEMENT BANCAIRE DES ENTREPRISES CANADIENNES DANS LEUR EXPANSION EN EUROPE CARREFOUR EUROPE 6 NOVEMBRE 2013 Présenté par: Équipe internationale, Banque Nationale du Canada 1 Contexte Situation
Plus en détailLe marché informatique en France 2011 et tendances 2012
Le marché informatique en France 2011 et tendances 2012 Juin 2012 Sextant Expertise 27, Boulevard des Italiens 75002 Paris Tél. : 01 40 26 47 38 www.sextant-expertise.fr Société inscrite à l ordre des
Plus en détailProgression soutenue du chiffre d affaires au T1 2015 Croissance de 5,6% à données comparables. * * * HotelServices : +7,6% - HotelInvest : +4,8%
Communiqué de presse Paris, le 16 avril 2015 Progression soutenue du chiffre d affaires au Croissance de 5,6 à données comparables * * * HotelServices : +7,6 - HotelInvest : +4,8 L activité au 1 er trimestre
Plus en détailTunisie FICHE PAYS. Données générales. Données politiques. Superficie : 162 155 km². Capitale : Tunis (Gouvernorat de Tunis)
Source : «GEOATLAS.com 2009 Graphi-Ogre» Tunisie Données générales Superficie : 162 155 km² Capitale : Tunis (Gouvernorat de Tunis) Monnaie : le Dinar Tunisien (1 EUR= 2,18 DT le 1 er mars 2015) Langue
Plus en détailAPPROCHE AU DÉVELOPPEMENT COMMERCIAL À L INTERNATIONAL
international business experts APPROCHE AU DÉVELOPPEMENT COMMERCIAL À L INTERNATIONAL OUTILS ET CLÉS DE SUCCÈS Par Jalal Benbrahim, MD - Wink Consulting OBJECTIF DU SÉMINAIRE Partager les éléments à prendre
Plus en détailLes facteurs de compétitivité sur le marché mondial du vin Veille concurrentielle 2012. 18 juin 2013 Vinexpo 2013, Bordeaux
Les facteurs de compétitivité sur le marché mondial du vin Veille concurrentielle 2012 18 juin 2013 Vinexpo 2013, Bordeaux 1 Les facteurs de compétitivit titivité sur le marché mondial du vin Veille concurrentielle
Plus en détailBanque Européenne. pour la Reconstruction et le Développement. Tunisie
Banque Européenne pour la Reconstruction et le Développement Tunisie Marie-Alexandra Veilleux Chef du Bureau de la BERD en Tunisie Sommaire 1. à la BERD 2. Les opérations de la BERD 3. 25 avril 2014 Banque
Plus en détail