Pharmacologie des anti-inflammatoires non stéroïdiens UE Appareil Locomoteur 2013/2014
|
|
- Céline Desroches
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Pharmacologie des anti-inflammatoires non stéroïdiens UE Appareil Locomoteur 2013/2014 Dr. Youssef Bennis Service de Pharmacologie Clinique CHU d Amiens
2 Physiopathologie de l inflammation et cibles thérapeutiques
3 Physiopathologie de l inflammation Infection, Trauma, Hypoxia Lee HN & Surh YJ. Biochem Pharmacol. 2012;84(10):
4 Physiopathologie de l inflammation aiguë : les 3 phases
5 Physiopathologie de l inflammation aiguë : les 3 phases Alessandri AL et al. Pharmacol Ther. 2013;139(2): Phase 1 : phase productive activation des cellules résidentes (endothéliales, épithéliales, dendritiques ) expression de molécules d adhésion, libération de facteurs pro-inflammatoires recrutement des polynucléaires neutrophiles et des monocytes qui secrètent à leur tour de nombreux facteurs Phase 2 : phase de transition libération de médiateurs anti-inflammatoires («signaux de résolution») apoptose des polynucléaires neutrophiles qui sont phagocytés par les macrophages diminution du recrutement des PNN mais augmentation du recrutement des monocytes se transformant en macrophage et poursuivant le processus de phagocytose des PN Phase 3 : phase de résolution les macrophages sécrètent des facteurs anti-oxydant et anti-fibrotiques limitant la nécrose et la fibrose du tissu sont éliminés par voie lymphatique
6 Physiopathologie de l inflammation aiguë : de très nombreux médiateurs Lee HN & Surh YJ. Biochem Pharmacol. 2012;84(10):
7 Inflammation aiguë: intérêt des lipides pro et anti-inflammatoires Cibles thérapeutiques actuelles Lipoxins Cibles thérapeutiques futures? Serhan CN & Savill J. Nat Immunol. 2005;6(12):
8 Synthèse des prostanoïdes pro-inflammatoires Lipoxines (LX) Leukotrienes (LT) LOX 5, 15 Glucocorticoïdes AINS Thromboxane (TX) Prostaglandines (PG) Ricciotti E. & FitzGerald GA. Arterioscler Thromb Vasc Biol. 2011;31:
9 Effets des prostanoïdes pro-inflammatoires Serhan CN et al. Nat Rev Immunol. 2008;8(5):
10 Effets des prostanoïdes pro-inflammatoires AINS Funk CD. Science Nov 30;294(5548):
11 Différences entre cyclo-oxygénases 1 et 2 Remarque : existe aussi COX-3, mais rôle encore mal compris
12 Inhibition des cyclo-oxygénases 1 et 2 : effets et méfaits Jouzeau JY et al. Gastroenterol Clin Biol 2004;28:C7-C17 Botting RM. J Physiol Pharmacol. 2006;57(S5):
13 Inhibiteurs de cyclo-oxygénases : plus d une vingtaine de molécules Salicylés (ex: aspirine) Dérivés arylcarboxyliques (ex: Ibuprofene) Dérivés indoliques (ex: Indométacine) Oxicams (ex: piroxicam) Coxibs (ex: celecoxib) Warner TD et al. Proc. Natl. Acad. Sci. USA. 1999;96:
14 Activation des médiateurs de la «résolution» inflammatoire Acide gras polyinsaturés «Omega 3» Serhan CN. Am J Pathol. 2010;177(4):
15 Activation des médiateurs de la «résolution» inflammatoire Serhan CN. Et al. Nat Rev Immunol. 2008;8(5):
16 Effet anti-inflammatoire et antalgique des résolvines Modèle d arthrite aiguë chez le rongeur (injection intraplantaire d adjuvant de Freund = CFA) Evaluation de la douleur mécanique (test de von Frey) +/- 17(r)HDoHE = Précurseur de Résolvine D 30 mn après induction 3 jours après induction 14 jours après induction Lima-Garcia JF. Br J Pharmacol. 2011;164(2):
17 Effet anti-inflammatoire et antalgique des résolvines Diminution de la sensibilité à la douleur (MPE = maximum possible effect) Nat Med. 2010;16(5):592-7 Arthrite aiguë chez le rongeur Injection intra-plantaire : - d adjuvant de Freund (CFA) - de carraghénane (CRG) Diminution de l œdème Diminution du recrutement de PNN (activité myéloprexoxidase MPO) Diminution de la sécrétion de facteurs pro-inflammatoires
18 Anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS)
19
20 Voie orale: absorption rapide et quasi complète. Parfois prodrogue Existence de formes LP, parfois association forme immédiate et LP (Bi-profenid, Chrono-indocid ) Voie rectale résorption irrégulière Voie parentérale IM, + Aspégic IV et Profénid IV (douleurs postopératoires) Voies locales nombreuses: collyres, gels percutanés avec cependant possibilité de passage systémique
21 Propriétés pharmacodynamiques des AINS Action antipyrétique essentiellement les salicylés. Les AINS réduisent la fièvre d origine infectieuse, inflammatoire ou néoplasique, en inhibant la synthèse de PGE2 (induite par des cytokines, notamment l interleukine-1), dans l aire préoptique de l hypothalamus (centre de la thermorégulation) Action antalgique (antalgiques du palier I) s exprime à faibles doses. Action importante périphérique au niveau du site inflammatoire quand les douleurs sont dues à un excès de nociception où les PG jouent un rôle pathogène: douleurs de l appareil locomoteur, céphalées, douleurs postopératoires, douleurs dentaires, dysménorrhées, colique hépatique, colique néphrétique... Action anti-inflammatoire souvent à posologies plus élevées, agissent surtout sur la composante vasculaire de l inflammation, responsable de la classique tétrade : œdème, douleur, rougeur et chaleur. Leur action est rapide, mais simplement suspensive. L action anti-inflammatoire disparaît rapidement après l arrêt de l AINS. Ne modifient pas l évolution des rhumatismes inflammatoires chroniques. Action anti-agrégante. Tous les AINS anti-cox-1 interfèrent avec les fonctions plaquettaires. Cependant, les anti-cox-2 sélectifs présenteraient moins d interférences. L effet anti-agrégant de l aspirine ne nécessite que de faibles doses (75 à 250 mg/jour) et persiste une semaine après l arrêt du traitement, du fait de l inhibition irréversible de la cyclooxygénase plaquettaire
22 Propriétés pharmacodynamiques des AINS Faure S. Actual Pharm. 2009;489:53-58
23 Propriétés pharmacocinétique des AINS Absorption digestive rapide et importante (biodisponibilité %) Fixation à l albumine importante (>95%) pour la plupart des AINS, d où risque d interactions (AVK, sulfamides hypoglycémiants, phénytoïne) Distribution large et diffuse incluant les tissus articulaires, diffusion facilitée dans les tissus inflammatoires Passage BHE, placenta, lait Métabolisme hépatique fréquent et important (90%) Excrétion rénale sous la forme de métabolites Compétition possible au niveau des phénomènes de sécrétion et de réabsorption rénale Demi-vie variable : Courte 2 à 6h : ibuprofène, flurbiprofène, kétoprofène, acide niflumique, diclofénac) moyenne 10-18h: diflunisal, sulindac, fenbufène, naproxène longue 1-4 j : oxicams, phénylbutazone AINS LP pour effet prolongé d AINS à courte demi-vie (Chrono-Indocid, BiProfenid, Cebutid LP, Voltarène LP, Lodine LP)
24 Indications thérapeutiques des AINS Les AINS sont indiqués dans de très nombreuses pathologies, en particulier dans les spécialités suivantes : En rhumatologie, en cas de rhumatismes inflammatoires chroniques, d arthroses douloureuses et invalidantes, d affections abarticulaires (tendinites, lombalgies, périarthrite), d arthrites microcristallines (goutte). En neurologie, contre les céphalées. En ORL et stomatologie, en cas de douleurs dentaires. En traumatologie, pour calmer les douleurs. En gynécologie, en cas dysménorrhées. En urologie, en cas de colique néphrétique. En cancérologie, contre les douleurs et les hypercalcémies. En cardiovasculaire pour prévenir les accidents ischémiques (action antiplaquettaire).
25 Effets indésirables des AINS Digestifs Cutanés, muqueux, «intolérance» Rénaux Hématologiques Neurosensoriels Gynéco-obstétricaux Infectieux
26 Effets indésirables digestifs des AINS Thiéfin G & Bannwarth B. Gastroenterol Clin Biol 2004;28:C96-C102
27 Effets indésirables digestifs des AINS Fréquents, généralement dose-dépendants, communs à tous les AINS anti-cox-1 et à toutes les formes galéniques et voie d administration (orale, rectale, parentérale). Liés à l inhibition de la synthèse des PG dont certaines ont un rôle protecteur sur la muqueuse digestive (PGI2). Les effets digestifs mineurs comprennent épigastralgies, nausées, douleurs abdominales, troubles du transit (10 à 40 % des cas traités avec 5 à 10 % d arrêts de traitement). Intérêt des Anti-Cox2 sélectifs (coxibs)? Silverstein FE et al. JAMA. 2000;284(10): Bombardier C et al. N Engl J Med. 2000;343(21):1520-8
28 Effets indésirables cutanéo-muqueux des AINS Retrouvé assez fréquemment avec les AINS, en particulier l acide méfénamique (fréquence de 10 à 15 %) et le sulindac (fréquence de 5 à 10 %). Prurit, éruptions variées parfois sévères (toxidermies bulleuses), stomatites, bronchospasme, rhinite, œdème de Quincke = Hypersensibilité de mécanisme immunoallergique ou terrain particulier (excès de leucotriènes ou sensibilité excessive de leurs récepteurs) syndrome de Widal = asthme + polypose nasosinusienne, hypersensibilité (oedème de Quincke et/ou urticaire) à l aspirine et aux AINS Lésions de phototoxicité avec gels cutanés de kétoprofène (éviter exposition solaire même modérée)
29 Effets indésirables rénaux des AINS Insuffisance rénale aiguë (IRA) d origine hémodynamique (fonctionnelle) liée à la perte d autorégulation de la filtration glomérulaire Facteurs favorisants: Insuffisance cardiaque, déshydratation, diurétiques, traitement concomitant par inhibiteur de l enzyme de conversion, syndrome néphrotique, cirrhose décompensée Inhibition de la biosynthèse des prostaglandines (PGE2, PGI2) intervenant dans le maintien du flux sanguin rénal, et plus particulièrement dans la vasodilatation compensatoire produite par la PGE2 en réponse à l action de la noradrénaline ou de l angiotensine II. Néphrites interstitielles, Hyperkaliémie La durée de traitement et la dose n interviennent que peu dans ce cas, habituellement réversible après arrêt de l AINS, mais parfois de manière incomplète. Les deux isoformes de la COX sont exprimées dans les reins sous forme constitutive et inductible. Les inhibiteurs sélectifs de la COX-2 peuvent causer une rétention sodique et réduire le débit de filtration glomérulaire comme les AINS non sélectifs.
30 Effets indésirables cardiovasculaires des AINS Complications à type d infarctus du myocarde ou d accident vasculaire cérébral ischémique (coxibs +++ justifiant, mais risque au long cours avec tous les AINS, risque moindre pour le naproxène, plus important avec le diclofénac?) Cause : déséquilibre dans la production du thromboxane A2 (TXA2) et de la prostacycline (PGI2) L aspirine, à faibles doses, inhibe sélectivement la formation du TXA2 à partir des plaquettes sans inhiber la synthèse endothéliale de la PGI2
31 Effets indésirables cardiovasculaires des AINS
32 Effets indésirables cardiovasculaires des AINS
33 Autres effets indésirables des AINS Risque infectieux Masquage des symptômes d une infection Diminution des défenses immunitaires Les IM favoriseraient les nécroses tissulaires: fasciites nécrosantes, abcés Hématologiques Anémie hypochrome microcytaire amenant à découvrir un saignement digestif Très rarement, accidents médullaires: neutropénies, thrombopénies, agranulocytoses, anémies érythroblastopéniques (phénylbutazone +++) Neurosensoriels Surtout avec l indométacine et l aspirine céphalées, vertiges, acouphènes, pfs troubles du sommeil ou du comportement Gynécologiques Effet tocolytique: augmentation de la durée de gestation, ralentissement du travail risque de fermeture prématurée du canal artériel IRA néonatale, majoration du risque d hémorragies puerpérales et néonatales CI à partir du 6 ème mois Hépatotoxicité surtout avec le nimésulide (Nexen ) hépatites plus fréquentes et plus sévères qu avec les autres AINS
34 Contre-indications Ulcère digestif en évolution Insuffisance hépatique ou rénale sévère 3ème trimestre de la grossesse Allaitement ATCD syndrome de Widal Varicelle limitation d utilisation des autres «coxibs» si facteurs de risque CV (HTA dyslipidémie, diabète et tabagisme, CI si antécédent d accident de thrombose artérielle Certaines interactions
35 Interactions médicamenteuses
36 Interactions médicamenteuses
37 Omega 3 et dérivés
38 Rev Prescrire 2013;33(355): Apport alimentaire en DHA/EPA Prévention cardiovasculaire Inefficace Maladies inflammatoires (PR, Crohn, Asthme ) Données cliniques insuffisantes (cf. Yates CM et al. Pharmacol Ther Nov 4) Nombreux compléments alimentaires sur le marché mais pas de preuves d efficacité clinique! Intérêt des métabolites de DHA/EPA (resolvines, protectines) dans l inflammation? Evaluation chez l Homme? Dose? Modalités d administration? Affaire à suivre
39 Pharmacologie des anti-arthrosiques UE Appareil Locomoteur 2013/2014 Dr. Youssef Bennis Service de Pharmacologie Clinique CHU d Amiens
40 Définition de l arthrose Définie selon l OMS par «la résultante des phénomènes mécaniques et biologiques qui déstabilisent l équilibre entre la synthèse et la dégradation du cartilage et de l os sous-chondral» Caractérisée par une dégradation du cartilage associée à des remaniements de l os sous-chondral, une production d ostéophytes et des épisodes limités d inflammation synoviale. C est donc une maladie de l articulation et pas seulement une maladie du cartilage
41 Physiopathologie de l arthrose Source : Collège Français des Enseignants en Rhumatologie
42 Traitements pharmacologiques de l arthrose Antalgiques simples au long cours (paracétamol jusqu a 4g par jour) au cours de poussées plus douloureuses (AINS sur une durée la plus courte possible en tenant compte des risques digestifs et cardiovasculaires, notamment chez la personne âgée) Anti-arthrosiques à action lente Glucosamine sulfate, Chondroïtine sulfate, Diacéréine, Insaponifiable d avocats et de soja le but est de «reconstituer» un liquide synovial efficace Effet antalgique nulle à modeste au long cours selon les essais cliniques (par cures de 3 mois répétées deux fois par an) Effet préventif sur la destruction du cartilage non démontré Intérêt pour réduire la consommation d AINS car meilleure tolérance Injections intra-articulaires Se pratiquent sous contrôle scopique ou échographique. Bonne efficacité d 1 injection de corticoïde sur 3 mois. Contre-indiquées en cas d infection locale ou générale, de matériel intra-articulaire. Injections d'acide hyaluronique en cours d'évaluation mais les premiers essais randomises montrent des résultats plutôt décevants. Biothérapie : anti-tnfα, anti-il-1 Evaluation en cours
UTILISATION ET PRECAUTION D EMPLOI DES AINS Professeur Philippe BERTIN, Chef de Service de Rhumatologie, CHU Limoges Octobre 2009
UTILISATION ET PRECAUTION D EMPLOI DES AINS Professeur Philippe BERTIN, Chef de Service de Rhumatologie, CHU Limoges Octobre 2009 Objectifs pédagogiques : 1 ) Connaître les mécanismes d action des AINS
Plus en détailAnti-Inflammatoires Non stéroïdiens
Pharmacologie Clinique des Anti-Inflammatoires Non stéroïdiens Effets indésirables Aude FERRAN Plan Toxicité digestive Ulcères» Physiopathologie : effets locaux et systémiques» Cas du cheval Augmentation
Plus en détailE04a - Héparines de bas poids moléculaire
E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique
Plus en détailDouleurs des mains. Douleurs des mains les plus fréquentes: pertinence, causes, traitements. C.Zenklusen septembre 2013
Douleurs des mains Douleurs des mains les plus fréquentes: pertinence, causes, traitements C.Zenklusen septembre 2013 Causes de douleurs aux mains Articulations (origine articulaire) Nerfs (origine nerveuse)
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailLes anti-inflammatoires non stéro. Les antalgiques non opiacés.
Les anti-inflammatoires non stéro roïdiens et stéro roïdiens. Les antalgiques non opiacés. (bases pharmacologiques) DCEM1 Pr.. Laurent Monassier Pharmacologie DCEMI Ce que nous allons voir 1 ère partie:
Plus en détailL arthrose, ses maux si on en parlait!
REF 27912016 INFORMER UPSA BROCH ARTHROSE V2 08-12.indd 2 30/08/12 11:48 Qu est-ce que l arthrose? L arthrose est une maladie courante des articulations dont la fréquence augmente avec l âge. C est une
Plus en détailBien vous soigner. avec des médicaments disponibles sans ordonnance. juin 2008. Douleur. de l adulte
Bien vous soigner avec des médicaments disponibles sans ordonnance juin 2008 Douleur de l adulte Douleur de l adulte Ce qu il faut savoir La douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable,
Plus en détailAlgorithme d utilisation des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS)
Algorithme d utilisation des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) Édition Conseil du médicament www.cdm.gouv.qc.ca Coordination Anne Fortin, pharmacienne Élaboration Conseil du médicament Fédération
Plus en détailDr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges. Membre enseignant chercheur EA 4021
Dr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges Membre enseignant chercheur EA 4021 Rhumatisme inflammatoire chronique Prévalence des SA ies en Europe = 1 à 2% Age moy : 26 ans, ratio homme/femme:
Plus en détailDr Ottaviani Service de Rhumatologie Hôpital Bichat Staff du 23 Mai 2014
Obésité et rhumatismes inflammatoires Dr Ottaviani Service de Rhumatologie Hôpital Bichat Staff du 23 Mai 2014 Obésité 1 Obesity Trends* Among U.S. Adults BRFSS, 1985 (*BMI 30, or ~ 30 lbs overweight for
Plus en détailLe diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers
Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers Les spondylarthopathies 0.2% de la population en France Arthrites Réactionnelles rares S. Ankylosante
Plus en détail1 - Que faut-il retenir sur les anticoagulants oraux?
La nouvelle convention pharmaceutique offre l opportunité aux pharmaciens d accompagner les patients traités par anticoagulants oraux au long cours afin de prévenir les risques iatrogéniques. Les anticoagulants
Plus en détailNOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Version 3.0, 04/2013
NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Version 3.0, 04/2013 1 NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR ALEVE 220 mg, comprimés pelliculés Naproxène sodique Veuillez lire attentivement cette notice avant de
Plus en détailHémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants. Docteur Christine BOITEUX
Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants Docteur Christine BOITEUX Théorie Endocardites et anticoagulation POUR Thromboses Emboles septiques CONTRE Favorise emboles septiques et diffusion
Plus en détailFibrillation atriale chez le sujet âgé
Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailObésité et psoriasis Données actuelles et questions au spécialiste en nutrition
Obésité et psoriasis Données actuelles et questions au spécialiste en nutrition Emilie MONTASTIER, Carle PAUL Endocrinologie, Nutrition, Dermatologie Université Paul Sabatier, Hôpital Larrey UMR CNRS 5165,
Plus en détailPharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux
Pharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux Dr A.Lillo-Le Louët, Centre Régional de Pharmacovigilance (CRPV) Paris-HEGP Avec avec Dr P.Lainé, CRPV - Angers Préambule Directeur du Centre Régional
Plus en détailObservation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas
Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie
Plus en détailhttp://www.aroma-zone.com - contacts@aroma-zone.com
HUILE ESSENTIELLE DE BASILIC TROPICAL Revigorante et vitalisante, tonique puissante du système nerveux. Digestive, antispasmodique. Stress, fatigue, dépression, insomnie Flatulence, indigestion, nausée,
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 10 mai 2006
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 10 mai 2006 METOJECT 10 mg/ml, solution injectable en seringue pré-remplie 1 seringue pré-remplie en verre de 0,75 ml avec aiguille : 371 754-3 1 seringue pré- remplie
Plus en détailHTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice
HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive
Plus en détailQuoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?
Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,
Plus en détailActualisation de la prescription en biologie rhumatologie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux
Plus en détailNouveaux Anticoagulants. Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV
Nouveaux Anticoagulants Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV Plan Petit rappel d hémostase Anticoagulant oraux classiques Les nouveaux anticoagulants (NAC) Dosage? Comment passer de l'un à l'autre
Plus en détailOPTI JOINT. le complément alimentaire pour des articulations souples & un cartilage sain
OPTI JOINT le complément alimentaire pour des articulations souples & un cartilage sain Pas moins de 1 chien sur 5 âgés de plus d un an sont confrontés à des problèmes d articulations Quels chiens sont
Plus en détailFiche Produit Profils Médicalisés PHMEV
Guide méthodologique développé par l équipe de projets ci-dessous : Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV EQUIPE PROJET Chef de projet : Maryline CHARRA, Pharmacien Conseil Responsable de la mission
Plus en détailTraiter la goutte sans être débordé
Fédération des médecins omnipraticiens du Québec Traiter la goutte sans être débordé Hélène Demers et Michel Lapierre Vous voulez traiter et prévenir la goutte? Lisez ce qui suit! Les différentes phases
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailUn diabète de type 2. Vers un programme Sport Santé pour les personnes vivant avec. Atelier animé par :
Vers un programme Sport Santé pour les personnes vivant avec Un diabète de type 2 Atelier animé par : Pr Martine Duclos CHU Montpied, Clermont-ferrand Dr Julien Aucouturier UFR STAPS, Lille Séminaire interactif
Plus en détailContraception après 40 ans
Contraception après 40 ans Stratégies de choix des méthodes contraceptives chez la femme. Recommandations pour la pratique clinique Décembre 2004. ANAES/AFSSAPS Un vaste choix contraceptif Contraception
Plus en détailLa polyarthrite rhumatoïde est-elle une maladie courante parmi la patientèle d'un rhumatologue?
Association Française des Polyarthritiques & des Rhumatismes Inflammatoires Chroniques 9, rue de Nemours - 75011 Paris E-mail : afp@nerim.net - www.polyarthrite.org Tél. : 01 400 30 200 - Fax : 01 400
Plus en détailVous et votre traitement anticoagulant par AVK (antivitamine K)
Ce carnet a été réalisé sous la coordination de l Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps). Vous et votre traitement anticoagulant par AVK (antivitamine K) Carte à découper
Plus en détailAnatomie. Le bassin inflammatoire. 3 grands cadres. 4 tableaux. Spondylarthrite ankylosante. Spondylarthrite ankylosante 26/10/13
Anatomie Enthésopathies Docteur Emmanuel Hoppé Service de Rhumatologie CHU Angers 18.10.2013 Symphyse pubienne Coxo-fémorales Bursopathies Sacroiliaques 4 tableaux 3 grands cadres Douleur lombofessière
Plus en détailS o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique
Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailLes anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008
Les anticoagulants PM Garcia Sam Hamati sofomec 2008 1 Les anticoagulants sofomec 2008 point de vue HAS AVK = 13% des hospitalisations pour accidents iatrogènes 17 000 hospitalisations / an /France pas
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailLes formes cliniques. Maxime Breban
Reconnaître la Spondylarthrite en 2011 Les formes cliniques Maxime Breban maxime.breban@apr.aphp.fr Qu'est-ce que les rhumatismes inflammatoires? Inflammation chronique des articulations Maladies complexes
Plus en détailLa prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde Vivre avec une polyarthrite rhumatoïde Décembre 2008 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant
Plus en détailGrossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours
Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)
Plus en détailPoint d Information. Le PRAC a recommandé que le RCP soit modifié afin d inclure les informations suivantes:
Point d Information Médicaments à base d ivabradine, de codéine, médicaments contenant du diméthyl fumarate, du mycophénolate mofétil/acide mycophénolique, de l octocog alpha, spécialité Eligard (contenant
Plus en détailLES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS
LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailTRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND
TRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND PHYSIOPATHOLOGIE DE L HYPERGLYCEMIE DU DT2 Tube digestif Pancréas endocrine α β Tissu adipeux cellules β insuline cellules
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailNOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR
NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR LANSOPRAZOLE TEVA 15 mg GÉLULES GASTRO-RÉSISTANTES LANSOPRAZOLE TEVA 30 mg GÉLULES GASTRO-RÉSISTANTES lansoprazole Veuillez lire attentivement cette notice avant de
Plus en détailAssurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab
Plus en détailLe VIH et votre cœur
Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Que dois-je savoir au sujet de mon cœur? Les maladies cardiovasculaires représentent une des cause les plus courante de décès, elles incluent: les maladies coronariennes,
Plus en détailLa migraine : une maladie qui se traite
La migraine : une maladie qui se traite L évolution natuelle de la migraine Maladie fluctuante+++ Modification des symptômes avec l âge ++ : Moins de crises sévères Caractère pulsatile moins fréquent Plus
Plus en détailSYNOPSIS INFORMATIONS GÉNÉRALES
Evaluation de l utilisation d un anticoagulant anti-xa direct oral, Apixaban, dans la prévention de la maladie thromboembolique veineuse chez les patients traités par IMiDs au cours du myélome : étude
Plus en détailassurance collective Denis Gobeille, M.Sc. R.I., CRHA Conseiller en assurance collective
Les forces du changement en assurance collective Denis Gobeille, M.Sc. R.I., CRHA Conseiller en assurance collective La pénurie de main-d œuvre ralentira la croissance D ici 2030, il manquera 363 000 travailleurs
Plus en détailHumira Solution pour injection dans un injecteur prérempli
Humira Solution pour injection dans un injecteur prérempli ABBOTT OEMéd Qu est-ce que Humira et quand doit-il être utilisé? Humira est un médicament qui limite le processus inflammatoire dans le cadre
Plus en détailANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailLa maladie de Still de l adulte
La maladie de Still de l adulte Syndrome de Wissler-Fanconi La maladie Le diagnostic Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur Cette fiche est destinée
Plus en détailPréfaces... 6. Introduction... 8
Préfaces... 6 Introduction... 8 Comment aborder une problématique musculosquelettique chronique?... 10 Termes importants... 12 La douleur... 14 Repérage anatomique... 24 Les principaux syndromes musculosquelettiques...
Plus en détailLES ANTIMIGRAINEUX. Médicaments de la crise et médicaments de fond
LES ANTIMIGRAINEUX Migraine : maladie qui peut être handicapante selon fréquence, durée, intensité des crises, signes d accompagnement (digestifs), retentissement sur la vie quotidienne, professionnelle,
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailMaternité et activités sportives
Maternité et activités sportives L obstétricien est de plus en plus souvent interrogé sur les avantages et les risques de maintenir ou de débuter une APS ou de loisir pendant la grossesse. Transformations
Plus en détail1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :
1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche
Plus en détailSérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde
1 ETSL Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde TP 1 GABIN-GAUTHIER 13/11/2009 I. LA MALADIE... 2 II. TECHNIQUES QUALITATIVES... 2 1. PRINCIPE... 2 2. MODE OPERATOIRE... 3 2.1. WRST ou Waaler Rose
Plus en détailTECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING
TECHNIQUES D AVENIR Jonathan LONDNER, Aurélie HAUTIER Centre Régional de Traitement des Grands Brûlés Service de chirurgie Plastique, Hôpital de la Conception, Marseille. DIAGNOSTIC DÉTERSION BOURGEONNEMENT
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailLES OMEGA 3 OU LES ACIDES GRAS ESSENTIELS D ORIGINE MARINE
LES OMEGA 3 OU LES ACIDES GRAS ESSENTIELS D ORIGINE MARINE Pourquoi les Oméga 3 : Les huiles de poisson riches en EPA et DHA constituent les principaux apports en acides gras poly-insaturés de la famille
Plus en détailNOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Asaflow 80 mg, comprimés gastro-résistants Asaflow 160 mg, comprimés gastro-résistants. Acide acétylsalicylique
NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Asaflow 80 mg, comprimés gastro-résistants Asaflow 160 mg, comprimés gastro-résistants Acide acétylsalicylique Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser
Plus en détailTRAITEMENT DE LA POLYARTHRITE RHUMATOIDE
TRAITEMENT DE LA POLYARTHRITE RHUMATOIDE RÉVOLUTION DES PRINCIPES DE TRAITEMENT Mise à disposition de nouvelles molécules Traitements de fond classiques ( Méthotrexate, Salazopyrine ) : plus efficaces
Plus en détailArthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes
Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014
Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes
Plus en détailLANCEMENT DE IPRAALOX, 20 mg Pantoprazole
COMMUNIQUE DE PRESSE LANCEMENT DE IPRAALOX, 20 mg Pantoprazole Paris, le 7 Mars 2012 Sanofi annonce la mise à disposition dans les officines de Ipraalox 20 mg, à base de pantoprazole, une nouvelle marque
Plus en détailLes Nouveaux Anticoagulants Oraux (NAC) Société STAGO -HOTEL MERCURE 22 Novembre 2012 - Troyes
Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NAC) Société STAGO -HOTEL MERCURE 22 Novembre 2012 - Troyes 1 Marché global des anticoagulants Un Marché en explosion: 6 milliards de $ en 2008 9 milliards de $ attenduen
Plus en détailPoint d information Avril 2012. Les nouveaux anticoagulants oraux (dabigatran et rivaroxaban) dans la fibrillation auriculaire : ce qu il faut savoir
Point d information Avril 2012 Les nouveaux anticoagulants oraux (dabigatran et rivaroxaban) dans la fibrillation auriculaire : ce qu il faut savoir Le dabigatran (PRADAXA), inhibiteur direct de la thrombine,
Plus en détailÉpidémiologie des maladies interstitielles diffuses
Épidémiologie des maladies interstitielles diffuses 3 à 5/100 000 habitants Augmente avec l age 175 /100 000 >70 ans Notre file active toutes les maladies interstitielles confondues plus de 120 patients
Plus en détailRecommandations après le retrait des associations dextropropoxyphène/paracétamol et dextropropoxyphène/paracétamol/caféine
Groupe Référent Médecins Généralistes de l Afssaps Mise au point Prise en charge des douleurs de l adulte modérées à intenses Recommandations après le retrait des associations dextropropoxyphène/paracétamol
Plus en détailMigraine : traitement de la crise. Comment utiliser les triptans?
Migraine : traitement de la crise Comment utiliser les triptans? 6 ème congrès national de lutte contre la douleur 19-20 Mars Alger Alain Serrie Service de Médecine de la douleur, médecine palliative et
Plus en détailEn considérant que l effet anticoagulant du dabigatran débute dans les 2 heures suivant la prise du médicament :
Informations sur le dabigatran (Pradaxa md ) Préambule : Ce document présente plusieurs informations utiles pour les prescripteurs afin de les aider lors de l utilisation du dabigatran (Pradaxa md ). L
Plus en détailLE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie
Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel LE GRAND LIVRE Du diabète Vivre avec le diabète à tout âge Traiter et surveiller la maladie Prévenir les complications, 2012 ISBN : 978-2-212-55509-7
Plus en détailUne discipline en pleine évolution
Sommaire Berger/Phanie et Airelle-Joubert/Phanie Maladies rhumatismales : des coûts conséquents Douleur : un symptôme toujours présent Lombalgies : la plainte la plus fréquente Arthrose : un problème de
Plus en détailInformations sur le rivaroxaban (Xarelto md ) et l apixaban (Eliquis md )
Informations sur le rivaroxaban (Xarelto md ) et l apixaban (Eliquis md ) Préambule Ce document présente plusieurs informations utiles pour les prescripteurs afin de les aider lors de l utilisation du
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailLivret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation
Livret des nouveaux anticoagulants oraux Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT
Plus en détailLa maladie de Berger Néphropathie à IgA
Néphropathie à IgA La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer
Plus en détailTraitement actuel de la migraine
Traitement actuel de la migraine Pr M. AIT- KACI - AHMED Chef du Service de Neurologie E.H.S Ali Aït Idir (Alger) Alger, 04 Juin 2009 Importance du sujet 1. Sur le plan médical - 12 à 15 % de la population
Plus en détail{ Introduction. Proposition GIHP 05/12/2014
Etude descriptive des accidents hémorragiques sous Nouveaux Anticoagulants Oraux au Service d Accueil des Urgences du CHU de Besançon entre janvier 2012 et janvier 2014 { Dr Claire KANY SAMU Besançon KEPKA
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 18 novembre 2009
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 18 novembre 2009 LEDERTREXATE 5 mg, solution injectable B/1 ampoule de 2 ml (Code CIP : 315 012-5) LEDERTREXATE 25 mg, solution injectable B/1 ampoule de 1 ml (Code CIP
Plus en détailNurofen 400 Fastcaps, 400 mg capsules (molles) Ibuprofène
NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Nurofen 400 Fastcaps, 400 mg capsules (molles) Ibuprofène Veuillez lire attentivement cette notice avant de prendre ce médicament. Elle contient des informations importantes
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailCéphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS
Céphalées 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée EPU DENAIN -14 novembre 2006 Dr Kubat-Majid14 novembre 2006 Dr KUBAT-MAJID Céphalées 1 Mise au point sur la migraine
Plus en détailDenis Gobeille, M.Sc. R.I., CRHA Conseiller en régime d assurance collective
Le budget santé d une entreprise Denis Gobeille, M.Sc. R.I., CRHA Conseiller en régime d assurance collective Notre mission Faire de l assurance collective un outil de gestion de la santé Objectif: Outiller
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux sont arrivé! Faut il une surveillance biologique?
Les nouveaux anticoagulants oraux sont arrivé! Faut il une surveillance biologique? Références : Pr Samama Journée de Biologie Praticienne Décembre 2011 I. Gouin-Thibault Journée de Biologie Clinique 2012
Plus en détailStatistiques sur les assurances collectives de l Université du Québec
Statistiques sur les assurances collectives de l Université du Québec 2012 Direction des relations du travail et de la rémunération globale Novembre 2013 Table des matières 1.0 Assurance accident maladie...
Plus en détailTout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN Docteur Antoine MONET Centre d Imagerie Fonctionnelle Clinique Saint Augustin Jeudi 25 Septembre 2008 Un peu d histoire
Plus en détailVivez votre féminité sans souffrir.
Vivez votre féminité sans souffrir. PERDOFEMINA (lysinate d ibuprofène) est un médicament pour les adultes et les enfants à partir de 12 ans. Pas d utilisation prolongée sans avis médical. Ne pas administrer
Plus en détail