Rapport du comité d'experts

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1 Section des Unités de recherche Rapport du comité d'experts Unité de recherche : Esthétiques, musicologie et créations musicales EA 1572 de l'université Paris 8 février 2008

2 Section des Unités de recherche Rapport du comité d'experts Unité de recherche : Esthétiques, musicologie et créations musicales EA 1572 de l'université Paris 8 février 2008

3 Rapport du comité d'experts L'Unité de recherche : Nom de l'unité : Esthétiques, musicologie et créations musicales Label demandé : EA N si renouvellement : 1572 Nom du directeur : Jean-Paul OLIVE Université ou école principale : Université Paris 8 Autres établissements et organismes de rattachement : Date(s) de la visite : 7 janvier

4 Membres du comité d'évaluation Président : M. Bernard VOUILLOUX, Professeur, Université de Bordeaux 3 Experts : M. Jean-Pierre BERTIN-MAGHIT, Professeur, Université de Bordeaux 3 Mme Isabelle MOINDROT, Professeur, Université de Tours M. Charles RAMOND, Professeur, Université de Bordeaux 3 M. Christophe VIART, Professeur, Université Rennes 2 Expert(s) représentant des comités d évaluation des personnels (CNU, CoCNRS, CSS INSERM, représentant INRA, INRIA, IRD..) : M. Daniel DURNEY, Professeur, Université de Bourgogne Observateurs Délégué scientifique de l'aeres : M. Ronald SHUSTERMAN Représentant de l'université ou école, établissement principal : Mme Anne-Marie HELVETIUS, Vice-Présidente du Conseil Scientifique 3

5 Rapport du comité d'experts 1 Présentation succincte de l'unité Effectifs: 18 EC et 4 PAST/PRAG Nombre de HDR : 7, dont encadrant des thèses : 6 Nombre de thèses soutenues : 26 Durée moyenne lors des 4 dernières années : 5,3 Nombre de thèses en cours : 64 Nombre de thésards financés: 12 (dont 6 AM ; 1 CIFRE : 5 Bourses de l étranger (et de nombreux postes d enseignement) Nombre de membres bénéficiant d une PEDR : 3 Nombre de publiants : 6 sur 18 EC N.B. La notion de «publiant» s applique mal à ce domaine où le chercheur se tourne autant vers la création que vers la production des publications savantes. 2 Déroulement de l'évaluation Le dossier est prolixe sur les actions réalisées et les projets et peu éclairant sur certains points. Ainsi, la synthèse des activités scientifiques pour le quadriennal en cours (p. 9-49), composante par composante, ne respecte pas les critères de classement, notamment en matière de publications. La visite, en présence des responsables des sous-équipes et de quelques enseignants-chercheurs et doctorants, a permis de revenir sur des aspects qui étaient soit trop flous, soit absents du dossier, et que le présent rapport a intégrés. 3 Analyse globale de l unité, de son évolution et de son positionnement local, régional et européen Ayant connu différents apports et restructurations au cours de son histoire récente, l équipe est actuellement organisée en quatre sous-équipes, chacune développant plusieurs thématiques : - Laboratoire d esthétique et analyse musicales, avec quatre thématiques : esthétique musicale ; analyse et sémantique musicales ; l image musicale ; musique et société ; - Centre d informatique et composition musicales (CICM), avec cinq thématiques : informatique et composition musicales ; espaces sonores ; relations image/son et technologies ; épistémologie de la création musicale, musique et mutations technologiques ; musique et cognition ; - Laboratoire de dramaturgie musicale, sur deux thématiques : musique baroque, rhétorique, poésie et intégration ; opéra contemporain, théâtre musical ; - Analyses des discours et pratiques du champ chorégraphique, sur deux thématiques : histoire et esthétique de la danse ; processus et pratiques chorégraphiques. 4

6 On peut trouver cette fragmentation excessive au regard de la faible importance numérique de l équipe. Elle est symptomatique des effets structurels engendrés par les regroupements successifs, l ensemble qui en est issu ayant moins cherché à se définir en tant que tel qu à fournir un cadre institutionnel et une infrastructure à des «niches» de recherches plus ou moins solidement établies. Il a été noté par exemple que l axe de recherche sur la dramaturgie contemporaine relève d une méthodologie analytique et théorique plus proche du Laboratoire d esthétique et d analyse musicales que des travaux du programme «Euridice », lequel travaille sur la poétique des genres lyriques du premier baroque Aussi la mise en évidence des convergences donne-t-elle l impression de relever davantage d un souci de présentation que d une véritable dynamique collective. Certains auraient pu émerger pourtant, à travers par exemple le sujet du colloque «L écriture musicale et son expression scénique» ; là auraient pu peut-être converger les recherches en analyse et écriture, en dramaturgie, en électroacoustique (domaine dont les concepteurs du colloque pointent eux-mêmes l usage maintenant très répandu dans les arts de la scène), voire même, avec l équipe «danse», la question de la formalisation du geste corporel. Bien entendu, ce constat ne remet nullement en cause la qualité du travail entrepris par chacune des composantes, dont les réalisations sont, pour certaines d entre elles, reconnues de longue date dans le paysage français et international de la musicologie. L équipe aligne en effet de nombreux atouts : articulation étroite entre recherche théorique et pratiques expérimentales ou activités de création, dimension pluridisciplinaire des orientations de recherche, existence d une composante entièrement dévolue au domaine de la danse, peu représenté dans le champ de la recherche française, collaborations ponctuelles avec l équipe locale des arts du spectacle pour les questions touchant à la scénographie dans le champ de l ethnomusicologie, ouverture internationale concrétisée par des rencontres, des publications et des échanges, adossement à une formation en Master, avec deux spécialités, «Musicologie, créations, musique et société» (qui devrait se décliner en quatre parcours dans le prochain quadriennal) et «Danse», implication des doctorants dans les projets. 4 Analyse équipe par équipe et par projet L appréciation du bilan scientifique doit tenir compte de la place qu occupent les travaux expérimentaux et de création, comme il en va habituellement dans ce type d équipes de recherche. Si le bilan des actions réalisées donne le détail, remarquablement précis, des journées d études, des colloques, des séminaires (un élément essentiel de cette équipe) et des publications collectives, composante par composante, la spécificité de chacune de ces dernières ressort très nettement, liée qu elle est non seulement aux thématiques, mais aux supports et aux modalités de la recherche. C est le cas notamment du CICM, orienté vers la création musicale, l informatique et les nouvelles technologies et dont l implantation locale s avère particulièrement importante, tant à travers sa localisation au sein de la MSH-Paris Nord qu à travers ses actions de diffusion auprès des entreprises. On mentionnera encore la recherche entreprise à l échelle européenne dans le cadre du groupe «Euridice , l opéra baroque entre archéologie et représentation», qui conjoint approches historiques et création. Parallèlement, il convient de souligner l originalité du projet «Dramaturgie musicale contemporaine en Europe», qui explore, avec une efficacité reconnue désormais sur le plan européen, un champ de recherche émergent. Il est d ailleurs soutenu par un financement AAP «Jeunes chercheuses et jeunes chercheurs» de l ANR. Pour le prochain quadriennal, les projets proposés s inscrivent dans le prolongement des actions actuellement en cours et marquent des inflexions intéressantes. C est ainsi que : - Le Laboratoire d esthétique et analyse musicales a retenu deux grands programmes, l un sur l image musicale, comprise à travers ses processus de production et de réception, l autre sur l aura, la littéralité et le geste musical deux programmes qui connaissent de nombreuses résonances dans le champ de l esthétique musicale contemporaine. Ce laboratoire est partenaire dans ce domaine de plusieurs autres structures universitaires du même type, à Montpellier 3, à Lille 3, notamment pour la mise en place de la très prometteuse revue Filigrane, déjà riche de cinq numéros, revue qui se veut très ouverte à une recherche «désenclavée», c est-à-dire en fait ouverte aux concepts de la sociologie, de la philosophie, comme le fut jadis la première revue de musique contemporaine, dans les années 70 : Musique en jeu. 5

7 - Le CICM poursuit et approfondit les axes de recherche du quadriennal en cours et présente trois solides projets dans les domaines de la création artistique et des industries culturelles, avec de nombreux partenariats. L élargissement, qu il pratique, de son axe de recherche à la valorisation scientifique, et notamment l appoint en termes de création d outils numériques pour des sociétés de la région Île-de-France spécialisées en audiovisuel, sont un élément positif à retenir. - Le Laboratoire de dramaturgie musicale fournit une programmation détaillée des séminaires, colloques et concerts prévus dans le cadre du groupe «Euridice ». - Enfin, la sous-équipe Analyses des discours et pratiques du champ chorégraphique développe ses recherches avec le double souci de nouer de nombreux partenariats avec le monde professionnel et d être en prise sur les grands courants de la recherche internationale. 5 Analyse de la vie de l'unité Si le dossier apporte peu de précisions sur la vie interne de l équipe, les entretiens qui se sont déroulés au cours de la visite ont permis de combler partiellement cette lacune. La circulation de l information entre les différentes composantes est assurée par des séminaires communs, ainsi que par deux sites, l un intégré à l UFR des arts (pour le Laboratoire d esthétique et analyse musicales), l autre à la MSH-Paris Nord (pour le CICM). L équipe gagnerait à définir précisément ses modalités de gouvernance (représentativité des composantes, répartition des fonds, prises de décision ). 6 Conclusions Points forts : à travers ses quatre composantes, cette équipe dispose d atouts indiscutables positionnement clair et lisible sur le plan national comme sur le plan international, articulation entre théorie et pratique, activité soutenue. Points à améliorer : un certain manque de cohérence et d ouverture. Recommandations : il faut encourager cette équipe à penser davantage une véritable politique de recherche collective, destinée à pallier un certain manque de cohérence, à s ouvrir davantage qu elle ne le fait (ainsi les projets de recherche menés autour de l opéra, baroque ou contemporain, gagneraient assurément à intégrer des chercheurs en arts du spectacle) et à rendre plus lisible son fonctionnement interne. 6

8 Saint-Denis le, 18 février 2008 Monsieur J.J. AUBERT Directeur de la section des unités AERES Référence : AER_P08_009-EA1572-RS-V1 Monsieur le Directeur, Je vous prie de trouver ci-joint, la réponse de Monsieur Jean-Paul OLIVE, Directeur de l unité de recherche EA Vous souhaitant bonne réception, je vous prie d agréer, Monsieur le Directeur, l expression de ma haute considération. Le Président de l Université Pascal BINCZAK 2, rue de la Liberté Saint-Denis cedex tel Fax presidence@univ-paris8.fr

9 Volet général. EA n 1572 Esthétique, musicologie et créations musicales Succédant à l étude du dossier et à la visite dans l établissement, le rapport du comité d évaluation de l AERES rend compte, avec soin et pertinence, de l état et des activités de l équipe d accueil Esthétique, musicologie et créations musicales. De nombreux points du rapport ne demandent pas, de notre part, de réponse particulière. Sur l ensemble du rapport, cependant, trois éléments, importants à nos yeux, demandent que soit exercé notre droit de réponse : 1. La question de la cohérence de l équipe La cohérence de la structure de l équipe d accueil, qui, à certains égards, semble avoir laissé perplexe le comité d évaluation, est pourtant le résultat de deux facteurs logiques fortement coordonnés : le premier est strictement scientifique, le second est historique et lié aux relations avec le Ministère de tutelle. Du point de vue scientifique, les quatre sous-équipes correspondent à quatre champs clairement définis : -le premier (Laboratoire d esthétique et d analyses musicales), le plus large, se caractérise par l interprétation des œuvres et des productions, et leur inscription dans la société, ses pratiques sont héritées de la musicologie classique ; -le second (CICM) est clairement situé dans le champs de l informatique musicale, de ses objets et de ses méthodes ; -le troisième (Laboratoire de dramaturgie musicale) est strictement circonscrit au domaine de l opéra et du théâtre musical ; -le dernier (Laboratoire d analyse des discours et pratiques du champs chorégraphique) est un des rares laboratoires français à pratiquer la recherche en danse, et la formation Danse (une spécialité de notre Master) y est adossée. Du point de vue historique, l essentiel de la structuration correspond à des prescriptions ou des encouragements du Ministère de la Recherche : -Les deux premières entités (Laboratoire d esthétique et d analyse musicales et CICM) formaient initialement une équipe d accueil et une jeune équipe qui se sont regroupées à la demande du Ministère lors du dernier contrat quadriennal ; -Le Laboratoire d analyse des discours et pratiques du champs chorégraphique correspond à l émergence du secteur Danse et à son autonomisation progressive (deux HDR en deux ans), fruit d une volonté assumée de l UFR Arts et de l Université Paris 8 de développer ce secteur peu représenté en France. L inscription dans une équipe de musique est évidente, étant données les relations qui unissent les deux champs. -Le Laboratoire de dramaturgie musicale est le résultat de la politique d excellence encouragée par le Ministère : synthèse progressive d une ACI jeunes chercheurs (Programme Euridice) et d un programme ANR (DMCE) dans le champs scientifique lié aux études sur l art lyrique. La synthèse vient à peine d être effectuée pour le nouveau contrat quadriennal et il s agit d un des secteurs très dynamiques de notre équipe d accueil. Ce découpage ne correspond donc en rien à la constitution de niches ou à un souci de présentation, mais exprime, tout au contraire, la réalité concrète du travail de recherche au sein de l EA. 2, rue de la Liberté Saint-Denis cedex tel Fax presidence@univ-paris8.fr

10 Enfin, comme nous l avons exprimé lors de la visite du comité, ces secteurs sont à la fois extrêmement spécifiques et encouragent dans de nombreux cas des passerelles entre les souséquipes sur des thèmes particuliers qui traversent les secteurs. Il s agit même là d un des traits scientifiquement fructueux qui caractérisent l équipe et favorisent la collaboration entre enseignants-chercheurs. 2. Le nombre d enseignants-chercheurs publiants Sur ce point important, le chiffre produit par le comité d évaluation, étonnamment sévère, ne nous paraît pas correspondre à la réalité de l équipe. Plusieurs remarques doivent ici être émises : a) les critères de calcul dans ce domaine n ont pas, à notre connaissance, été communiqués (les dernières informations obtenues correspondaient pour les SHS à deux productions classées A pour les quatre années du contrat). b) le secteur de la musicologie, relativement récent et peu structuré au niveau de la publication, avec un nombre extrêmement restreint de revues, ne permet pas d évaluer les publications dans les mêmes termes que dans des domaines plus vastes et largement organisés depuis longtemps. La distinction hiérarchique des publications y est difficilement justifiable ; à part un ou deux cas, qui n ont d ailleurs pas particulièrement de renommée internationale, il n existe pas de revue installée et reconnue à grande échelle. Comment imposer, dès lors, des critères auxquels il est objectivement impossible de répondre? Il nous semble que, dans notre domaine, il est inévitable d admettre dans les publications les articles relevant de colloques et des initiatives locales, sans quoi le nombre de chercheurs publiants demeurera injustement sous-évalué, ce qui est à la fois peu réaliste, dé courageant pour les chercheurs et peu structurant pour la recherche. En revanche, comme le comité le précise, il nous semble important que les initiatives comme celle que l équipe a mise en place avec les équipes de Lille 3 et de Montpellier 3, en créant la revue Filigrane, soient vivement encouragées et financées car elles ont pour vocation de structurer le secteur et de le rendre peu à peu visible. c) dans certains cas, les publications sont mentionnées comme à paraître, ce qui veut dire qu elles ont bel et bien été rédigées, mais non encore publiées. Les chercheurs ne sont guère responsables de cette situation, largement due aux difficultés des laboratoires et des responsables à réaliser les Actes de colloques, conséquence de l absence de personnel technique et de moyens. Il est de notoriété publique que, dans nos secteurs, nous devons remplir presque toutes les tâches liées à l édition des ouvrages, ce qui, se superposant à nos autres fonctions, entraîne des retards considérables dans les réalisations. d) comme il est mentionné dans une petite note du rapport, les critères traditionnels ne suffisent pas à rendre compte de la production des chercheurs dans notre secteur ; les activités d un certain nombre de chercheurs en arts ne se limitent pas à la production de textes écrits, mais se concrétisent aussi par la création d œuvres musicales, la production de spectacles, de concerts, d enregistrements, la réalisation de mise-en-scènes. S il n est pas aisé d évaluer de telles activités selon les critères habituels, il est cependant indispensable de les prendre en compte car elles sont inhérentes à la recherche dans notre domaine. Au vu des remarques qui précèdent, l équipe considère que l ensemble des enseignantschercheurs qui la composent sont publiants et actifs. Dans le rapport complémentaire remis à l AERES, nous fournissons le détail du décompte que nous proposons qui est à disposition de l autorité de tutelle. 2, rue de la Liberté Saint-Denis cedex tel Fax presidence@univ-paris8.fr

11 3) La vie de l équipe et le mode de gestion des ressources Le rapport mentionne à deux reprises qu aucune information n a été donnée dans notre dossier sur ces points. Nous reconnaissons le bien-fondé de cette remarque : n ayant pas trouvé de rubrique spécifique sur le sujet et nous étant focalisés sur les contenus scientifiques, ce point a été oublié et nous en assumons la responsabilité. Toutefois, ce point faisant l objet d une critique dans le rapport, nous nous permettons de faire remarquer deux éléments : - le comité aurait pu demander un complément d information, nous permettant ainsi de réparer cet oubli, - le comité aurait aussi pu aborder ce point lors de sa visite, ce qui nous aurait permis de répondre en toute simplicité sur ce point qui n a pas été mentionné. Aussi, et nous l exprimons sans aucun ressentiment, il nous semble que si la responsabilité de cet oubli nous incombe en premier lieu, elle est toutefois relativement partagée. Nous souhaitons donc réparer ci-dessous cet oubli. La répartition du budget a été décidée lors de la restructuration de l équipe demandée par le Ministère lors du dernier contrat quadriennal, en réunion plénière. Elle a tenu compte de plusieurs critères : nombre d enseignants-chercheurs par sous-équipes, attributions précédentes, besoins réels (notamment en équipement). Cette répartition est respectée dans un climat de collaboration et de confiance, tous les responsables de sous-équipe détenant la signature pour les paiements. Par ailleurs, l équipe a souhaité qu un budget annuel soit réservé à l aide à la mobilité des chercheurs (particulièrement les jeunes maîtres de conférences) et à la possibilité d invitations non prévisibles dans le projet de contrat. L équipe, en partenariat avec l Ecole doctorale, participe aussi à l aide à la mobilité des doctorants, aide qui est attribuée sur dossier. Les projets financés sont en priorité ceux qui ont été mentionnés dans le projet de contrat de l équipe d accueil ; cependant, des initiatives non prévues, émanant des membres de l équipe sont aussi financées dans la mesure du possible, avec une aide complémentaire demandée au titre du BQR de l établissement. Nous fournissons dans le rapport complémentaire envoyé à l AERES les données plus précises quant à la répartition du budget. Enfin, nous terminerons par un point de détail qui n a sans doute guère d importance : le rapport mentionne que, lors de la visite du comité, étaient présents les responsables de souséquipes et quelques membres. Nous tenons à préciser qu il y avait ce jour-là 14 membres de l équipe plus un excusé (pour cause de maladie). 2, rue de la Liberté Saint-Denis cedex tel Fax presidence@univ-paris8.fr

12 Volet particulier à l attention de l AERES Les remarques sont ici les mêmes que celles mentionnées dans le volet général dont il ne nous semble pas utile de reprendre le texte. En revanche, nous mentionnons ci-dessous des informations plus précises liées aux points 2 et 3 du texte général (ces ajouts sont indiqués dans le texte du volet général). Point 2 : liste des enseignants-chercheurs Nous fournissons ci-dessous le décompte des publications tels que nous l effectuons : 1. Jean Paul Olive : 10 articles 2. Ivanka Stoianova: 1 livre, 10 articles 3. Horacion Vaggione: 10 articles 4. Isabelle Ginot: 5 articles, 1 co-édition (dictionnaire de la danse) 5. Gianfranco Vinay : 1 livre, 8 articles 6. Anne Sédes: 10 articles 7. Giordano Ferrari: 3 directions d ouvrages collectifs (avec article), 6 article, 1 production musicale 8. Joël Heuillon: 1 article, 1 édition philologique, 1 monographie à paraître, 1 direction d ouvrage (avec article) à paraître 9. Antonio La: 8 articles 10. Carmelo Agnello: 2 articles, 2 productions (mise-en-scènes d opéras), plusieurs notices 11. Evan Rothstein : 7 articles 12. Isabelle Launay: 1 livre, 4 articles 13. Christine Roquet: 3 articles 14. Guillaume Loizillon : 4 articles, 2 productions artistiques 15. Philippe Michel : 6 articles, 1 disque, plusieurs concerts 16. Olga Moll : 3 articles, 1 co-direction d ouvrage collectif 17. Christian Corre: 3 articles 18. Hubert Godard: 5 articles Les deux PRAG de notre équipe sont des enseignants-chercheurs de plein droit : les deux personnes en question ont une thèse, ont été qualifiés par le CNU 18 ème section, et témoignent d une activité de recherche. Point 3. Vie de l équipe et répartition des ressources Nous déclinons ci-dessous l attribution du budget de chaque sous-équipe, telle qu elle a été décidée en réunion de laboratoire et respectée sur toute la durée du contrat quadriennal précédent: Laboratoire d esthétique et d analyses musicales: euros Centre d informatique et de composition musicales: euros Laboratoire de dramaturgie musicale : 4200 euros 2, rue de la Liberté Saint-Denis cedex tel Fax presidence@univ-paris8.fr

13 Laboratoire d analyse du champs chorégraphique : 3000 euros Total : euros Par ailleurs, une somme de 1500 euros annuels a été réservée, sur décision de l équipe, à l aide à la mobilité des enseignants-chercheurs, somme répartie selon les cas entre les souséquipes ; cette somme peut aussi être utilisée pour l invitation de collègues étrangers dans le cadre d activités non prévues dans le contrat. Cette somme est approximative, elle dépend pour chaque année des activités concrètes des chercheurs et des projets. Jean Paul OLIVE 2, rue de la Liberté Saint-Denis cedex tel Fax presidence@univ-paris8.fr