LYCÉE ALPHONSE DAUDET. Indochine. Témoignage sur deux années de guerre. Julian SCHWALLER. CPES Classe Préparatoire aux Études Supérieures.

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1 LYCÉE ALPHONSE DAUDET Indochine Témoignage sur deux années de guerre Julian SCHWALLER CPES Classe Préparatoire aux Études Supérieures Juin 2013 Récit d un jeune soldat volontaire affecté au 6ème RIC. Il nous raconte son expérience sur le terrain du 25 avril 1948 au 19 décembre 1950, rédigé par son petit-fils dans le cadre d un travail en spécialité histoire sous la direction de M. LAVRUT, professeur d histoire.

2 Mon grand-père préfère rester anonyme. Non pas qu il ait honte, puisque son récit reflèterait celui de la plupart des volontaires sur le terrain. Disons qu il ne veut pas que son témoignage se retrouve dans les mains d un militant voulant le poursuivre. «Il y a des procès pour crime contre l humanité des décennies après les faits». Peut-être est-il trop «prudent», mais je respecte son choix puisqu il m a tout de même livré de capitales informations. Cependant, des passages que j aurais aimé raconter seront occultés. Je le nommerai GP dans son compte rendu de la guerre d Indochine. GP naît le 29 novembre 1929 à Nancy. Il est issu d une famille assez aisée. Il n a pas participé à la Seconde Guerre mondiale car il était trop jeune. Ce détail va précipiter sa décision de s engager dans l armée. En effet, il me confie que l une des grandes raisons de sa décision est le patriotisme. GP disait qu il lui fallait en quelque sorte racheter une faute : celle de ne pas avoir été là quand le pays en avait besoin. Il insiste sur la notion de patriotisme, notion qui, selon lui, est incompréhensible pour les citoyens de nos jours. Effectivement il est de plus en plus rare de voir des cas comme celui de mon grand-père. Personne dans les cours de lycées ne culpabilise de ne pas avoir participé militairement aux actions de l Etat français. Il est cependant clair que le contexte est totalement différent, actuellement nous n avons pas un Etat en crise à reconstruire, nous n avons pas non plus de crise morale et les guerres où nous sommes impliqués sont rares C est pour cela que, comme il le pense, nous ne pouvons pas aujourd hui comprendre la notion de patriotisme. Il ne se dit pas victime d enrôlement politique ou de propagande de l Etat. Pourtant ceci doit s opérer dans l inconscient de l individu. En outre, même s il en est victime, pourrait-il le déceler? Je ne sais pas si GP a été influencé par la société française de l époque, mais ce qui est certain, c est qu il existait une propagande, même pour le conflit en Indochine.

3 «INDOCHINE terre française» Il s engage le 16 décembre 1946 il avait alors 19 ans à Nancy. Outre le patriotisme, il s engage «pour changer d air», pour «l aventure» et «les voyages gratuits». A ses débuts il ne bougera pas tellement. Il va rester à Nancy environ 4 mois avant de faire son premier voyage vers l Algérie, à Oran. Il y arrive le 23 mars 1947, et y restera presque un an. GP n a rien de particulier à raconter sur cette période à Oran, mais il en garde un très bon souvenir et elle renforce la bonne image qu il avait déjà de l armée. Soudain l armée divise les volontaires en deux groupes : ceux envoyés à Madagascar et les autres en Indochine. GP est affecté en Indochine. Il est content d y partir, le cadre le satisfaisait plus que celui de Madagascar. Le voilà parti d Oran sur le Félix Roussel, un paquebot français. Le Félix Roussel entre 1948 et 1950.

4 Le voyage entre Oran et Haiphong dura du 28 mars au 25 avril 1948, soit environ un mois. Il ne se souvient pas s être franchement ennuyé. GP parlait et s amusait avec les autres volontaires sur le bateau. Les conditions de transport lui paraissaient correctes. Il se souvient d une chose : il dormait par terre. «Je n aime pas dormir dans les hamacs, alors je me servais du mien comme d oreiller, en boule, par terre». Arrivé à Haiphong, il part pour un voyage de deux jours vers Hanoi. Ils avançaient dans les terres en bateau grâce à de petits fleuves. Pendant le voyage, GP vit ses premiers combats. Quand il se rendait sur Hanoi (dans le nordest à environ 100 km de Haiphong), les vietminh faisaient feu sur le convoi français qui naviguait. Les canons français ripostaient, faisant systématiquement taire les fusils adverses. Le combat était pour le moins déséquilibré. «Il s agissait d une guérilla», d où le peu de moyens matériels des vietminh. Sa première nuit aussi l a profondément marqué : des têtes de partisans adverses sont exposées par les soldats français sur des pics. GP entendait pendant la nuit les vietminh nommer des français en criant : ils avaient obtenus des identités par le biais de leurs infiltrés. Premier jour angoissant, surtout pour un jeune homme de 21 ans «non violent», «qui n avait jamais frappé quelqu un». Malgré cela, il s habitue à la vie là-bas. Il faut dire que l ambiance conviviale dans les bases françaises était très prononcée. «On tutoyait les plus gradés pendant les repas». De sincères amitiés se lient, une grande solidarité opère. Ceci est sûrement dû à l isolement. Certes GP reçoit quelques lettres de ses parents, mais le courrier est censuré et la France est loin. Tout est différent, l amitié est tout ce qu il vous reste concrètement. Et puis il faut profiter du moment présent, la mort est un peu partout. Déjà mentionné, la France est loin. Ils ne savent pas franchement ce qui s y passe. Il n y a pas d accès à l information. Ils ont le sentiment que les métropolitains ne se soucient pas non plus des soldats en Indochine. Ils ne voient pas de journalistes à part ceux de l armée. Il en découle un sentiment d inutilité. GP parle d une «guerre inintéressante», sentiment très blessant, surtout pour des patriotes. Après 24 jours à Hanoi, GP est affecté à Nam Dinh le 21 mai Désormais, il fait partie de la 2 e compagnie du 6 e RIC (régiment d infanterie coloniale). Il est l un des seuls Français métropolitains du régiment. Alors qu il était 2 ème classe, il commandait 25 hommes! Soit un poste de sous-officier. Beaucoup de documents rendent compte du manque d encadrement : «le double de gradés aurait été nécessaire». Sur ces 25 hommes, 20 sont de très jeunes Vietnamiens âgés de 16 à 18 ans, plus 5 Sénégalais. GP dit que les Vietnamiens sous ses ordres sont des sympathisants le plus souvent catholiques «ensuite abandonnés comme les harkis». Faits véridiques puisque l association «Mémoire d Indochine» se bat depuis 2002 pour que les familles des rapatriés d Indochine soient reconnues et traitées de la même manière que les harkis d Algérie. Elle demande en particulier qu une «allocation de reconnaissance» de soit versée à chaque famille, ainsi qu une amélioration du montant des retraites des veuves, par enfant élevé. Des Français d Indochine vivent encore dans le «Centre d'accueil des Français d'indochine», le CAFI. Quant aux Sénégalais, il semblait, selon GP, qu ils ne se sentaient pas concernés. Il y a un manque total d information de l armée française sur la nature du combat. L un d eux

5 demande à GP : «On est toujours en France?». Tout cela au point où GP se demande aujourd hui s ils ont été incorporés de force ou s ils eurent une promesse en échange de leur engagement. Il les décrits comme des soldats «trouillards», qui «tiraient dans le tas au moindre bruit». Peut-être ne voulaient-ils tout simplement pas mourir pour une cause qu il leur était étrangère. GP ajoute tout de même que c étaient de «bon gars». Selon lui les coloniaux sont «bien traités», mais les préjugés raciaux fondent la hiérarchie. En effet GP me confie que les soldats issus des colonies sont tous subordonnés au rares Français métropolitains du RIC, même si leur grade est supérieur. Les Vietnamiens rangés du côté français étaient cependant potentiellement dangereux. Il y avait beaucoup d infiltrés vietminh parmi eux. GP m a raconté, par exemple, que les autorités militaires avaient voulu le remplacer par 3 hommes à la tête des 25 coloniaux jusqu alors à sa charge. Les trois remplaçants seront retrouvés assassinés le lendemain matin. GP se dit qu il a eu beaucoup de chance de travailler avec ces infiltrés à ses côtés sans être assassiné. Mais il reste lucide : «s ils ne l avaient pas fait avant, c est parce que tuer un seul français, moi, n aurait pas été un grand coup». Malgré cela, l armée ne vivait pas selon lui, dans la paranoïa. Milices catholiques autour de Hadong. Bernard, MOINET, VANDEN, France-empire, 1987, p. 168

6 GP était dans le secteur de Nam Dinh, dans le Delta du Fleuve Rouge. Toute la région était «encerclée par les vietminh». Il patrouillait dans un rayon de 20 km autour de son quartier général. En fait, il en avait deux : Kao Long et Bodé. Son rôle était de «marquer le terrain», d intercepter et de traquer les ennemis dans les environs. Ils sont autonomes et isolés de leur régiment. Il aperçoit rarement son colonel, lequel cependant transmet parfois quelques ordres. GP dénonce d ailleurs cet isolement car le manque d information a entraîné beaucoup de morts accidentelles : «il est arrivé que des français se tirent dessus». Cela ne lui ait jamais arrivé, mais il confirme le fait que «tout était classé secret défense» : ils n avaient ainsi que très peu d informations sur les déplacements et la situation géographique du reste des soldats. Les Français pouvaient ainsi se surprendre les uns les autres. Il était fréquent que cela engendre des pertes inutiles. GP parle également de nombreux matériels défectueux et d erreurs stratégiques du haut commandement. Il n en est pas témoin, mais il me raconte de nombreuses anecdotes comme la bataille de Dien Bien Phu, où les soldats ont été postés dans une «cuvette», les rendant très vulnérables aux embuscades. Ou encore les dizaines de morts accidentelles dont il a entendu parler, comme celle d un gradé tué par une branche qui lui tombe dessus à cause d un mortier français qui avait fait feu trop près. Quant à GP, il estime avoir fait une vingtaine de combats, dont deux ou trois très rudes, qui correspondent selon lui à la période où la Chine communiste aidait le vietminh, notamment matériellement. A partir de ce moment, «ce n était plus une guérilla, mais une guerre». Le contrat de GP se termina à ce même moment, lui permettant d éviter les combats les plus difficiles, même s il a été témoin de plusieurs d entre eux. GP a été à plusieurs reprises agent de transmissions. Il devait en outre transmettre des ordres oraux d une section à l autre. L une de ces missions lui a valu l attribution de la croix de guerre. Une autre action aurait dû lui valoir une décoration militaire : comme GP arrivait dans un village, une fille hurlait que son père venait de se faire enlever par les vietminh. Il se lança sans réfléchir à la poursuite des ravisseurs, les retrouva et les tua. Seulement la décoration qu il aurait dû avoir fut attribuée à un ami par l armée, pour rééquilibrer les décorations distribuées aux soldats, car certains n avaient rien.

7 «Agent de transmission, calme et courageux au cours des opérations, le 19 Janvier à BAI DUONG (Tonkin) a effectué une liaison avec une section amie durement accrochée et a remplacé au PM un gradé tué, permettant ainsi le repli d un groupe menacé d encerclement». GP parle d un certain confort dans l armée française. Les militaires ne manquaient de rien, ils mangeaient à leur faim et dormaient confortablement dans leur lit. Mais il s agit là de leur vie au QG ; GP raconte ce qui lui paraissait le plus dur à supporter : l humidité, la boue et les moustiques étaient omniprésents. J ai lu dans un livret d exposition un témoignage qui disait que «traverser les cours d eau, les longues marches dans les rizières, la boue et l humidité faisaient des ennemis redoutables». Ils étaient sans cesse en contact avec l humidité. Ils étaient parfois

8 même amenés à dormir dans l eau lors des déplacements. GP se souvient que des soldats sont retrouvés morts au petit matin, noyés en s endormant dans l eau. «On pouvait passer des jours sans avoir d eau en dessous des genoux». Quand venait la nuit, ils avaient l ordre de ne pas bouger, même lorsqu ils entendaient des coups de feu. Ceci dans le but d éviter les embuscades qui étaient fréquentes. Même quand il s agissait d une urgence, ils avaient pour consigne d attendre le lendemain matin. GP a vu beaucoup de morts il compte cinq ou six amis français métropolitains morts contre «beaucoup» de Sénégalais. Puisque c était une guérilla, ce n est pas le champ de bataille qui a fait le plus de morts sous les yeux de GP, mais les mines artisanales et les embuscades. Les combats étaient en fait plutôt rares, il pouvait se passer 8 à 10 jours sans un seul coup de feu. Mais la pression restait permanente. Le vietminh veut harceler le soldat français en luttant avec le peu de moyen qu il a. Cela semblait marcher. GP me confirme la lourdeur de l atmosphère, en plus de l humidité, ne sachant pas comment distinguer un Vietnamien d un vietminh. En effet, la caractéristique première d un adversaire, c est son uniforme. Or le soldat vietminh n en porte pas. Il est identique à la population. En plus de cela, ils attaquaient les français indirectement : embuscades et mines artisanales. En d autres termes, les Français ne peuvent savoir qui est leur ennemi ni quand il va frapper. On parle d un ennemi «invisible» mais toujours là, qui connait parfaitement son terrain de chasse, et doté d une grande détermination. GP se souvient que les mines ont été responsables de la plupart des pertes qu il a vues. Progression dans une rizière à Bui Chu, 1953.

9 GP a bien évidemment rencontré la population témoin du conflit. Il les décrit comme «pacifiques et doux». Pourtant GP sait que la population souffre énormément du conflit. Il voit la misère, la famine et des personnes effrayées. Les Vietnamiens sont en fait pris entre deux feux. Les français bombardaient et les vietminh les terrorisaient. GP ira jusqu à dire qu ils «subissaient», ils étaient impuissants face au conflit et contraints à s y exposer. Pourtant ils semblent neutres. GP ne note aucune hostilité à l égard des Français. La tendance communiste et révolutionnaire indépendantiste des vietminh ne semble pas tant déteindre sur la population. Ils vivent avec la guerre et c est tout. Pourtant GP me raconte des scènes choquantes à l encontre de cette population. Il me dit : «on fusillait des gars sans trop de raisons». Par exemple, il décide ainsi de fusiller le propriétaire d une maison quand il voit accroché au mur un portrait de Staline. «On tuait les gens facilement», sans procès, sans preuves concrètes de leur activité indépendantiste et dangereuse à l encontre des soldats français. Pourtant ces pratiques étaient répandues. Peut-être que la frustration de ne pas voir l ennemi en face de soi et la peur qu il nous tue avant que nous le fassions, poussaient les soldats à faire ces actes que nous considérons aujourd hui comme injustes et barbares. Beaucoup de civils sont donc tués par les Français à cause de ces procès express et des bombardements. GP s en défend en disant qu il est «difficile de faire la différence entre vietminh et Vietnamien». Cela reste par conséquent étonnant que la population reste neutre. Peut-être que les actes des vietminh étaient au moins tout aussi barbares que ceux des Français, ce qui aurait équilibré la balance et fait que le peuple serait plus ou moins resté neutre. Il ne faut pas oublier les tentatives d aides des Français que GP me raconte. En effet les militaires avaient de quoi manger, mais ils n avaient que très peu de surplus alimentaires. Mais lorsqu ils voulaient donner des rations alimentaires aux Vietnamiens, ceux-ci les refusaient systématiquement. Ils ne voulaient pas manger de boîtes de conserves car elles étaient trop différentes de leurs habitudes alimentaires. GP me raconte aussi que la propagande vietminh les invitait à ne pas accepter cette aide car elle leur disait que ces boîtes étaient en fait du poison. Cette guerre reste aux yeux de GP inexplicable. Il ne sait pas franchement donner de sens à ce qu il lui arrive. Lui, le jeune homme non violent, se voit exécuter des personnes, et même en tirer un certain plaisir. Il dit que l ambiance rendait «sadique», qu elle est «incomparable avec d autres guerres». Il estime avoir fait une dizaine de victimes, dont quelques prisonniers fusillés, car «on ne s encombrait pas là-bas». Malgré l ambiance pesante du conflit, GP pense que s engager a été «un des meilleurs choix» de sa vie. Son contrat prend fin le 19 décembre Son voyage du retour se fait sur le Pasteur, un autre paquebot français.

10 Le pasteur en mer. A son arrivée en France, GP se dit écœuré par l accueil réservé par les Français. Il est accueilli sous les sifflets. Il se dit blessé par ses compatriotes. Personne ne voulait franchement l écouter, même pas sa famille. «De toute façon, mes parents n auraient pas compris». «Ma mère m a jeté tous mes souvenirs». Il suit les nouvelles d Indochine comme tout le monde, à la radio, sans trop d attention. Il voulait vite tourner la page. Ce qu il a vu et fait devait rester là-bas et il devait désormais se concentrer sur son nouveau départ dans la vie civile. D autant plus que ses récits n intéressaient pas grand monde. Il avoue que son retour en France était un grand dépaysement. Il fallait dès lors se remettre au rythme de la métropole. C est en France qu il prend conscience que la guerre était jugée inintéressante. Il y a une «honte de la guerre», et une «hostilité aux combats» chez les Français. Ce manque de soutien national est peut être l une des raisons de la défaite française en Indochine, car ce manque affectait forcément la motivation des hommes sur le terrain. Ce n était pas le cas de GP qui était coupé de la France. Ce qui le frappe, notamment, c est le comportement des communistes français qui pour certains, ont préféré défendre les intérêts du vietminh et non ceux de leur propre pays. Il prend cela comme une trahison, surtout lorsqu il apprend que des communistes ont participé à des sabotages d envoi de matériel militaire destiné aux hommes en Indochine.

11 Affiche contre le sabotage communiste. A noter la situation géographique de Hanoi et Haiphong. (Nord-est) D autres évènements, beaucoup plus récents cette fois, lui «pincent le cœur». Quand il regarde les informations aujourd hui, il peut voir les interventions françaises au Mali par exemple. Hélas il y a des pertes là-bas et de précieuses secondes sont accordés aux français morts sur le champ de bataille. «Bien que ce soit très regrettable pour ces hommes, je ne peux pas m empêcher de penser à mes amis morts en Indochine, dans une guerre oubliée, et à qui on n a jamais prêté d attention dans les médias». En effet, les journalistes ne faisaient pas mention, avec précision, des opérations françaises en Indochine, et ne communiquaient guère le nombre de morts. Désormais un hommage aux soldats est fait dans les médias. C est mieux ainsi, mais il est clair que GP a des raisons de se sentir blessé.

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