Lecture d images communes Approche transfrontalière : architecture
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- Bruno David
- il y a 8 ans
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1 Lecture d images communes Approche transfrontalière : architecture Indice 1 : Images «habitat industriel» Limites chronologiques : de 1850/1860 à 1930/1940 L'Art déco ferait l'objet d'une fiche indépendante (indice non prioritaire). Objectifs du travail : Construire un "catalogue" qui met en évidence les caractéristiques du bâti : à partir de l'acquisition d'une connaissance du patrimoine bâti transfrontalier; et en fonction de catégories homogènes de famille de "bâti". Le but étant de permettre de : rapprocher les collectivités locales autour d une identité commune; mieux appréhender l'espace bâti, en vue de sa recomposition, de sa modification, de la création, dans son utilisation; de cerner l'adaptation du cadre bâti à de nouveaux usages. Préalables méthodologiques : Se mettre d accord de manière transfrontalière sur les planches thématiques photographiques à réaliser. Il ne s agit pas ici de créer une typologie de l habitat industriel. Ce n est pas l objectif attendu. L objectif est de mettre en évidence des «images communes» se retrouvant dans le territoire culturel «Beauregard». Il s agit bien d «indices», c est-à-dire de pistes à partir d une perception globale du territoire et de relevés ciblés. La deuxième moitié du XIX e siècle voit naître une architecture caractéristique en Wallonie et dans le Nord de la France (ainsi que dans une grande partie de l Europe) = courant de l éclectisme et styles néo-. L habitat industriel a suivi ce mouvement. L objectif est de voir comment cette architecture se décline dans le territoire «Beauregard». Valorisation des centres urbains intervient sur l'image de l'espace visible du public Aussi la méthode retenue sera à partir de l'observation des «signes extérieurs de ressemblance». Ceux-ci sont prioritairement la volumétrie générale, les matériaux et les éléments de façade. Les notions d implantation, les éléments de clôture et de jardins de devant, ainsi que les notions d ensembles (rangs) ne sont pas repris comme critères dominants mais déterminent des «sous-familles» par rapport aux familles dominantes. Ces familles de ressemblances, nous les nommerons plus communément "Type". (Type = outil de classification que l'on construit en rassemblant des caractères communs et en les organisant). Ces «familles» ou «types» s'organisent sur une base selon la taille des habitations avant d'être architectural ou social. Les critères retenus sont d une manière globale le nombre de niveaux, la largeur, et le nombre de travées Notre objectif n est pas de créer des types fermés mais plutôt de garder une certaine continuité entre ceux-ci. Il n y a pas, par exemple, de limite stricte entre une petite maison d employé et une maison d employé et bon nombre de bâtiments peuvent se situer à la charnière de l une ou l autre typologies. C est pourquoi nous les dénommons d une manière large : la petite maison, ou «de la petite propriété à la petite maison d'employé»; la moyenne maison, ou «de la maison d'employé à la petite maison bourgeoise»; Adus/CAUE/ESPACE ENVIRONNEMENT S:\Donnees\beaurega\act3relv\IndicesCulturels\typotransHabInd_a.doc 1
2 la grande maison, ou «de la maison bourgeoise au château», dans lequel on peut trouver plusieurs modèles et plusieurs types architecturaux : la maison groupée ou la maison isolée avec une diversité de parements extérieurs. Pour la confection des planches thématiques : classification «de proche en proche» mêlant les critères du gabarit (nombre de travées, hauteur sous corniche ), du vocabulaire architectural et de l implantation. Le rapprochement de bâtiments d images voisines est privilégié (la position des bâtiments dans l alignement ou en recul existe dans les 3 images architecturales). mélange des exemples belges et français en continuité pour montrer l identité commune mais aussi les particularités locales. Synthèse des résultats : Dans les travaux précédents, quelques similarités visuelles et quelques preuves historiques avaient été amenées pour avancer l'hypothèse d'un territoire culturel commun (architectes Danis, typologies similaires et surtout importants échanges socio-économiques (population migrant vers la France et apportant son savoir technique) et industriels (verrerie de Charleroi, sidérurgie et industrie électrique...)). La mise en évidence approfondie des similarités du vocabulaire et des compositions architecturales montre visuellement que de part et d'autre de la frontière les habitants ont vécu dans une culture architecturale similaire. Ces photos illustrent que la continuité historique le long de la Sambre marquée par les facteurs socio-économiques particuliers s'est pétrifiée dans l'architecture. Ces similarités visuelles témoignent donc probablement de bien d autres choses que des parallèles historiques fortuites. Bien que cela ne puisse pas être démontré point par point, un climat socio-économique similaire marqué par de nombreux échanges industriels s'est aussi forgé dans l'architecture du Val de Sambre. PROPOSITION DE 3 «IMAGES DOMINANTES» 1. La «petite maison», ou de la petite propriété à la petite maison d'employé Parcelle étroite : deux travées, 1 étage. Mitoyenneté ou semi-mitoyenneté, le plus souvent dans l alignement. Variation sur les matériaux employés (briques apparentes ou enduites, crépis et cimentages) et les gabarits. Elle s adresse aux habitants à revenus modestes, principalement ouvriers et petits employés. Sont reprises sous cette appellation de «petite maison» : La petite maison, habitat minimum, simple, souvent spartiate dans son style, ornements se situant généralement à la porte d entrée. La maison populaire : R+1+C, matériaux de tradition locale, implantée sur rue et en mitoyenneté, souvent accès direct salle de séjour pour les plus anciennes. Emploi restreint de la pierre et de l ornementation. La petite maison d'employé : R+1+C, matériaux produits par la Révolution industrielle. Les maisons en bande : ensembles homogènes constituant les rues de l époque industrielle. Rationalisation de la maison urbaine. R+1+C, façades en brique avec parfois ornementation : La maison jumelée ou à plusieurs logements (groupes de maisons ou barreaux) créant souvent des effets de symétrie et donnant l impression d un ensemble à l image d une maison plus noble. Cette sous-catégorie s adresse aussi à la «moyenne maison». La cité ouvrière en bande : ensemble autonome généralement construit par les patrons, rentiers ou autres pour loger leur main-d œuvre. Adus/CAUE/ESPACE ENVIRONNEMENT S:\Donnees\beaurega\act3relv\IndicesCulturels\typotransHabInd_a.doc 2
3 2. La «moyenne maison», ou de la maison d'employé à la petite maison bourgeoise Parcellaire généralement étroit et gabarit modeste : deux ou trois travées, 1 étage et souvent 1 étage de combles habitables qui se manifestent par des lucarnes. Souvent mitoyenneté ou semi-mitoyenneté et alignement. Parfois léger recul par rapport à la rue avec un jardin d'accueil, muret, grille Ornementation un peu plus importante, notamment menuiseries, lucarnes Elle s adresse principalement aux employés, contremaîtres, ingénieurs Certaines s apparentent déjà par leur physionomie générale («signes extérieurs de ressemblance») à la petite maison bourgeoise. 3. La «grande maison», ou de la maison bourgeoise au château Type villa ou maison de maître. Implantation généralement en retrait de la rue, parfois au coeur d une large parcelle ou d un parc. Souvent à l écart des quartiers ouvriers, elle domine parfois des rues nouvellement créées ou bien profite d un point de vue exceptionnel sur le site environnant. Vocabulaire architectural plus riche : elle s adresse aux cadres, professions libérales, à la bourgeoisie aisée. Parfois entrée cochère. Elle offre de nombreux vocabulaires d ornementation propres aux différentes époques : grilles, portails, murets, haies, dispositifs d entrée (escalier, marquises ). Gabarit plus important (3, 4 travées et souvent plus) combiné à une plus grande profusion décorative : elle s adresse à la grande bourgeoisie très aisée et aux «capitaines d industries». Appellation «château», souvent lorsque présence d une tourelle, symbole de puissance et de paraître, souvent construite par un industriel, et dénommée «résidence patronale» (en Belgique). Adus/CAUE/ESPACE ENVIRONNEMENT S:\Donnees\beaurega\act3relv\IndicesCulturels\typotransHabInd_a.doc 3
4 Indice I : Images «habitat industriel» Recherche d exemples transfrontaliers INTRODUCTION L art de bâtir au XIX e siècle fait preuve d une virtuosité technique. Il y a aussi, dans la production de cette époque, nombre de maisons exprimant une grande simplicité et sobriété, en fonction du statut social de l occupant c est tout l intérêt des contrastes qui renvoient à l idée du statut social et à la possibilité de définir une typologie basée sur cette diversité. Un courant architectural - que l on qualifie d éclectique, issu de la fougue industrielle du moment - est apparu et a trouvé ses lettres de noblesse dans les grandes villes et leurs faubourgs, mêlant l architecture de briques et l ornementation. Ce style est descendu dans les villes de moyenne importance mais de façon plus tempérée, avec une adaptation aux moyens de la clientèle et à l architecture traditionnelle. Implantation du bâti Les modes d implantation au regard de la période pré-industrielle n ont pas particulièrement évolué en ce qui concerne le bâti individuel. Par contre, sont apparus des modes nouveaux issus de la rentabilité, notamment dans le logement des ouvriers et employés : le rang de maisons et le groupe de maisons. La maison est sur un plan de type couloir; la proportion des logements est étriquée. De fait, c est la composition répétitive et les effets d ornements qui font l intérêt de l ensemble et marque une certaine homogénéité. Au XIX e siècle principalement, l implantation, le plus souvent strictement en front à rue, délimite et caractérise directement l espace public en créant des rues très reconnaissables et une identité spécifique des quartiers industriels. Celles-ci se complètent parfois de rangées d habitations en intérieur d îlots ou d impasses. L image de la façade reste traditionnelle et locale : soubassements de pierre bleue ou enduit, élévation de briques. L HABITAT Dans les bassins industriels wallons, l urbanisation s est faite autour des lieux de production, en grande partie à l initiative du patronat qui désirait disposer aisément de main-d oeuvre sur place. Le patron avait donc tout intérêt à assurer aux ouvriers des conditions de vie décentes. Depuis la disparition des usines qui leur ont donné naissance, les corons (au sens premier vulgarisé par Zola, le coron désigne la maison d habitation de mineurs et par extension est utilisé pour les quartiers formés par un groupe d habitations ouvrières, principalement de mineurs) sont les seuls témoins de l histoire sociale des lieux. Leur sauvegarde est donc particulièrement importante. En France, face à l afflux de population, l'accroissement du parc immobilier devient une nécessité que le Gouvernement entend prendre en charge. Il est bien question de crise du logement. Une véritable législation en matière sociale (loi " Siegfried ", 1894; loi " Strauss ", 1906; loi " Ribot ", 1908; loi " Loucheur, ) est mise en place. 10 Avril 1908 Loi facilitant l accession à la petite propriété (Loi Ribot) «L idéal HABITAT OUVRIER est la petite maison». On la trouve de la fin du XIX e s. au début du XX e siècle, en milieux rural et urbain, notamment à l extérieur des centres-villes. Le mouvement des Habitations Bon Marché (H.B.M.) naît ainsi à la fin du XIX e siècle, inspiré par le courant hygiéniste et moralisateur du Second Empire, qui y voit un moyen d'encadrer et de maîtriser la population ouvrière, potentiellement contestataire et dangereuse pour le pouvoir en place. En Belgique, une véritable politique de logement social n apparaît que dans les années 1920 dans l esprit des cités jardins anglaises. Adus/CAUE/ESPACE ENVIRONNEMENT S:\Donnees\beaurega\act3relv\IndicesCulturels\typotransHabInd_a.doc 4
5 Vu le développement industriel moins important sur le Val de Sambre belge, les exemples y sont rares, au contraire de Charleroi. Loués ou accessibles à la propriété, les logements sociaux peuvent être des maisons individuelles, jumelées ou des appartements. Alors que ces logements s'ajoutent dans le paysage urbain à ceux de quartiers vétustes et insalubres, les industriels, banquiers et négociants s'installent dans de grandes demeures bourgeoises. Elles se dressent alors au bord de larges rues nouvellement tracées jugées plus saines. Adus/CAUE/ESPACE ENVIRONNEMENT S:\Donnees\beaurega\act3relv\IndicesCulturels\typotransHabInd_a.doc 5
6 Annexe des particularités en France : LES CITES OUVRIERES : DU CORON A LA CITE-JARDIN L habitat ouvrier a marqué cette période de manière forte. L évolution du mode d habiter s est faite essentiellement au regard de techniques nouvelles employées pour la construction de masse, mais aussi et surtout, par les volontés patronales, d asseoir et d éduquer leur population ouvrière avec un sentiment généralement paternaliste. Chronologiquement, sont apparus, dans un premier temps, les corons-rues, longs, uniformes, aux maisons basses en brique brute à peine égayés d'un badigeon, avec, sur l'arrière, un jardinet séparé du logis par un chemin appelé «voyette». Plus tard, sont apparus les barreaux. Les mêmes maisons en brique, mais adossées les unes aux autres, deux par deux, et le jardinet en façade. Ensuite, la cité pavillonnaire avec plus d'espace pour circuler et un bout de jardin plus conséquent pour cultiver. Le principe des jardins ouvriers a été inventé par les curés avec le soutien des patrons, qui pensaient éloigner par le jardinage l'ouvrier de l'estaminet, et donner le goût de l'effort après le travail. L histoire dira que l organisation de ces cités a permis une cohésion sociale forte. Au XX e siècle, apparaissent les cités-jardins. Les rues sont larges et bordées d'essences variées; des équipements de loisirs et de services sont aménagés comme les kiosques à musique, les espaces verts et les magasins coopératifs, des bains douches Les façades sont plus aérées; une ornementation recherchée singularise les éléments bâtis, le plus souvent, dans un esprit régionaliste. L eau courante est amenée dans chaque logement. Implantation Généralement, elle est un ensemble groupé à proximité de l usine. Elles sont à l origine de la création de quartiers entiers et parfois même autonomes. Les cités «cheminotes», quant à elles, sont souvent indépendantes de la ville. Adus/CAUE/ESPACE ENVIRONNEMENT S:\Donnees\beaurega\act3relv\IndicesCulturels\typotransHabInd_a.doc 6
7 1. La petite maison (ou de la petite propriété à la petite maison d'employé) France Belgique Types parement/matériaux : briques apparentes Boussois Erquelinnes : rue du Port Boussois : quartier de la Glacerie, motif dentelé soulignant les linteaux = idem Hourpes Fontaine-l Évêque : ensemble bien préservé de petites maisons de rangée de la typologie ouvrière, rue de l Enseignement, n os 16 à 22 Adus/CAUE/ESPACE ENVIRONNEMENT S:\Donnees\beaurega\act3relv\IndicesCulturels\typotransHabInd_a.doc 7
8 Feignies : maison jumelée à 2 ou plusieurs logements, issue de la maison en bande Fontaine : rue de Haussy, n 26 Boussois : quartier de la Glacerie Erquelinnes : rue de Maubeuge, à l est de la rue des Combattants Feignies : rue Salengro Erquelinnes : rue Albert I er vers le nord-est, à proximité de la Maison communale (mixte petites/moyennes maisons) Adus/CAUE/ESPACE ENVIRONNEMENT S:\Donnees\beaurega\act3relv\IndicesCulturels\typotransHabInd_a.doc 8
9 Années , proche courant Art déco Maubeuge : Sous-le-Bois : même ordonnance façade mais encrassement Thuin : rue de Ragnies, n 43, exemple belge bien préservé, modèle à présenter pour restaurer l'exemple français Adus/CAUE/ESPACE ENVIRONNEMENT S:\Donnees\beaurega\act3relv\IndicesCulturels\typotransHabInd_a.doc 9
10 Type parement/matériaux : enduit, crépi, cimentage, badigeon Coron d Hourpes, motif dentelé en brique qui souligne la forme bombée des linteaux = idem Boussois Maubeuge : Sous-le-bois Leernes : rue Berteaux, ensemble crépi n os Adus/CAUE/ESPACE ENVIRONNEMENT S:\Donnees\beaurega\act3relv\IndicesCulturels\typotransHabInd_a.doc 10
11 Implantation : en retrait + muret Boussois, implantation en retrait avec muret Fontaine-l Évêque : rue du Parc, n 29 implantation en retrait avec muret Adus/CAUE/ESPACE ENVIRONNEMENT S:\Donnees\beaurega\act3relv\IndicesCulturels\typotransHabInd_a.doc 11
12 2. La «moyenne maison», ou de la maison d'employé à la petite maison bourgeoise Type parement/matériau : briques apparentes Boussois : rue Eugène Chimot, variante : présence de volets en bois Gozée (Thuin) : rue de Marchienne, n 98 variante incrustations et soubassements en pierre - mitoyenne ou semi-mitoyenne; - un étage; - façade en brique, jeux de briques (frises ou panneaux); - pierre pour les clés des linteaux des fenêtres, tablettes; - rythmes verticaux des fenêtres rectangulaires en hauteur; - corniche saillante en bois; - toiture mansardée en ardoises/éternit percée de lucarnes et/ou oeils-de-bœuf; - mise en valeur de la porte d entrée par une belle menuiserie. Adus/CAUE/ESPACE ENVIRONNEMENT S:\Donnees\beaurega\act3relv\IndicesCulturels\typotransHabInd_a.doc 12
13 Autres exemples Boussois : 2 juxtaposées rue Marcq n 14 Jeumont Lobbes : rue Paschal, mise en valeur florale (menuiserie!) Adus/CAUE/ESPACE ENVIRONNEMENT S:\Donnees\beaurega\act3relv\IndicesCulturels\typotransHabInd_a.doc 13
14 Boussois : quartier des employés de la Glacerie Thuin : t Serstevens,-n 47 Jeumont : rue Dufossez Thuin : rue Léopold II, n os 26-25/29 Adus/CAUE/ESPACE ENVIRONNEMENT S:\Donnees\beaurega\act3relv\IndicesCulturels\typotransHabInd_a.doc 14
15 Jeumont : rez modifié Thuin : rue t Sertstevens Boussois Leernes : rue A. Caebergs, n 3 Adus/CAUE/ESPACE ENVIRONNEMENT S:\Donnees\beaurega\act3relv\IndicesCulturels\typotransHabInd_a.doc 15
16 Jeumont : rue Hector Despret Erquelinnes : rue Albert I er, n 113 Variante : Implantation à front de rue 2 maisons accolées, décor des linteaux en brique polychrome, bas-reliefs, balcon en ferronneries. Variante : implantation en recul avec jardin avant, typologie plus sobre, détériorations : corniche partiellement transformée + menuiserie porte d entrée, présence Velux. - implantation : mitoyenne ou dans un alignement, en léger recul avec jardin avant; - volume général; - présence d un pignon triangulaire (avec faîte perpendiculaire à la voirie) couronnant une travée latérale; - linteaux surbaissés des ouvertures couronnés d une clé en pierre; - travées et baies de différentes dimensions; - pilastres à refends de part et d autre de la façade; - corniche débordante en bois; - toiture en ardoise/éternit. Adus/CAUE/ESPACE ENVIRONNEMENT S:\Donnees\beaurega\act3relv\IndicesCulturels\typotransHabInd_a.doc 16
17 Feignies : rue Barbusse Erquelinnes : rue Albert I er, n 113 Maison jumelée (2 maisons accolées donnant aspect extérieur plus noble) Maubeuge :-rue de Mons Merbes-le-Château : rue Haute, n os Demi-étage (intervention fenêtre à droite) Adus/CAUE/ESPACE ENVIRONNEMENT S:\Donnees\beaurega\act3relv\IndicesCulturels\typotransHabInd_a.doc 17
18 Type parement/matériau : enduit, crépi, cimentage Feignies : petite maison d employé, façade enduite Maubeuge : Sous-le-bois Merbes-Sainte-Marie : rue F. Bovesse Grand-Reng Adus/CAUE/ESPACE ENVIRONNEMENT S:\Donnees\beaurega\act3relv\IndicesCulturels\typotransHabInd_a.doc 18
19 3. La «grande maison», ou de la maison bourgeoise au château Type parement/matériau : briques apparentes Jeumont Erquelinnes : rue Albert I er, n 161 Jeumont Merbes-le-Château : rue Saint-Martin n 21 entrée cochère Adus/CAUE/ESPACE ENVIRONNEMENT S:\Donnees\beaurega\act3relv\IndicesCulturels\typotransHabInd_b.doc 19
20 Pont-sur-Sambre : Grand rue, maison mitoyenne, en retrait par rapport à la rue, deux marquises Merbes-Sainte-Marie : route Provinciale n 50, 4 façades style villa Pont-sur-Sambre : Grand rue, n 262, 4 façades, en retrait par rapport à la rue Lobbes : rue de la Gratière, n 8 Centre Arthur Regnier Adus/CAUE/ESPACE ENVIRONNEMENT S:\Donnees\beaurega\act3relv\IndicesCulturels\typotransHabInd_b.doc 20
21 Pont-sur-Sambre : Grand rue, 4 façades, en retrait par rapport à la rue, grille de clôture Merbes-Sainte-Marie : route Provinciale n 44, 4 façades, jardin avant, grille de clôture Jeumont Fontaine-Valmont : rue Albert n 4, 4 façades, jardin avant Ferrière-la-Grande : château Miroux Hantes-Wihéries : château Jaumotte Adus/CAUE/ESPACE ENVIRONNEMENT S:\Donnees\beaurega\act3relv\IndicesCulturels\typotransHabInd_b.doc 21
22 Pont-sur-Sambre : loggia au centre, 2 fines colonnes en métal Feignies : château Derkenne, autrefois enduit Merbes-le-Château : rue Saint-Martin n 53, autrefois enduite Thuin (hors centre) : château Beauregard Le château Beauregard, comme suspendu dans la verdure, avec ses tours, ses pignons, son allure imposante, possède la physionomie caractéristique des résidences patronales. Adus/CAUE/ESPACE ENVIRONNEMENT S:\Donnees\beaurega\act3relv\IndicesCulturels\typotransHabInd_b.doc 22
23 Boussois : rue Eugène Chimot Erquelinnes : rue de Maubeuge n 97 Au jeu des similitudes, on peut comparer ces deux exemples pris de part et d autre de la frontière : on notera l utilisation de faîtes perpendiculaires à la voirie, de pignons perpendiculaires parfois recoupés sous forme de croupettes, de gros linteaux en béton apparents peints en ton clair, de contrastes entre les surfaces de briques, peintes ou cimentées, de baies moins régulières que dans la période industrielle formant un jeu d ouvertures amusant, d avant-cours... Type parement/matériau : moellons et briques Château d Hourpes Adus/CAUE/ESPACE ENVIRONNEMENT S:\Donnees\beaurega\act3relv\IndicesCulturels\typotransHabInd_b.doc 23
24 Type parement/matériau : enduit, crépi, cimentage, badigeon Jeumont : rue Hector Despret Variante (toiture de tuiles?,châssis courbes, baies arrondies). Erquelinnes : Rue Albert I er, n 139 Variante (clés plus ornementées, balcon en ferronneries travaillées, baies rectangulaires à encadrements saillants. - implantation en retrait ou partiellement en retrait, muret et grille métallique; - présence d un pignon triangulaire (avec faîte perpendiculaire à la voirie) couronnant une travée latérale; - corniche débordante en bois; - pilastres à refends de part et d autre de la façade; - travées et baies de différentes dimensions; - décor enduit : motif en escalier sous le pignon, bandeaux horizontaux entre les étages. Adus/CAUE/ESPACE ENVIRONNEMENT S:\Donnees\beaurega\act3relv\IndicesCulturels\typotransHabInd_b.doc 24
25 Pont-sur-Sambre : Grand rue, n 4 façades, façade cimentée, encadrement courbe surmontant les ouvertures Jeumont Maubeuge : avenue de Ferrière Merbes-le-Château : rue Saint-Martin n 71 château Puissant Adus/CAUE/ESPACE ENVIRONNEMENT S:\Donnees\beaurega\act3relv\IndicesCulturels\typotransHabInd_b.doc 25
26 Maubeuge : rue de Val Merbes-le-Château : rue Saint-Martin, n 57, grosse bâtisse enduite 4 façades Boussois Adus/CAUE/ESPACE ENVIRONNEMENT S:\Donnees\beaurega\act3relv\IndicesCulturels\typotransHabInd_b.doc 26
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