Lecture d images communes Approche transfrontalière : architecture

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Lecture d images communes Approche transfrontalière : architecture"

Transcription

1 Lecture d images communes Approche transfrontalière : architecture Indice 1 : Images «habitat industriel» Limites chronologiques : de 1850/1860 à 1930/1940 L'Art déco ferait l'objet d'une fiche indépendante (indice non prioritaire). Objectifs du travail : Construire un "catalogue" qui met en évidence les caractéristiques du bâti : à partir de l'acquisition d'une connaissance du patrimoine bâti transfrontalier; et en fonction de catégories homogènes de famille de "bâti". Le but étant de permettre de : rapprocher les collectivités locales autour d une identité commune; mieux appréhender l'espace bâti, en vue de sa recomposition, de sa modification, de la création, dans son utilisation; de cerner l'adaptation du cadre bâti à de nouveaux usages. Préalables méthodologiques : Se mettre d accord de manière transfrontalière sur les planches thématiques photographiques à réaliser. Il ne s agit pas ici de créer une typologie de l habitat industriel. Ce n est pas l objectif attendu. L objectif est de mettre en évidence des «images communes» se retrouvant dans le territoire culturel «Beauregard». Il s agit bien d «indices», c est-à-dire de pistes à partir d une perception globale du territoire et de relevés ciblés. La deuxième moitié du XIX e siècle voit naître une architecture caractéristique en Wallonie et dans le Nord de la France (ainsi que dans une grande partie de l Europe) = courant de l éclectisme et styles néo-. L habitat industriel a suivi ce mouvement. L objectif est de voir comment cette architecture se décline dans le territoire «Beauregard». Valorisation des centres urbains intervient sur l'image de l'espace visible du public Aussi la méthode retenue sera à partir de l'observation des «signes extérieurs de ressemblance». Ceux-ci sont prioritairement la volumétrie générale, les matériaux et les éléments de façade. Les notions d implantation, les éléments de clôture et de jardins de devant, ainsi que les notions d ensembles (rangs) ne sont pas repris comme critères dominants mais déterminent des «sous-familles» par rapport aux familles dominantes. Ces familles de ressemblances, nous les nommerons plus communément "Type". (Type = outil de classification que l'on construit en rassemblant des caractères communs et en les organisant). Ces «familles» ou «types» s'organisent sur une base selon la taille des habitations avant d'être architectural ou social. Les critères retenus sont d une manière globale le nombre de niveaux, la largeur, et le nombre de travées Notre objectif n est pas de créer des types fermés mais plutôt de garder une certaine continuité entre ceux-ci. Il n y a pas, par exemple, de limite stricte entre une petite maison d employé et une maison d employé et bon nombre de bâtiments peuvent se situer à la charnière de l une ou l autre typologies. C est pourquoi nous les dénommons d une manière large : la petite maison, ou «de la petite propriété à la petite maison d'employé»; la moyenne maison, ou «de la maison d'employé à la petite maison bourgeoise»; Adus/CAUE/ESPACE ENVIRONNEMENT S:\Donnees\beaurega\act3relv\IndicesCulturels\typotransHabInd_a.doc 1

2 la grande maison, ou «de la maison bourgeoise au château», dans lequel on peut trouver plusieurs modèles et plusieurs types architecturaux : la maison groupée ou la maison isolée avec une diversité de parements extérieurs. Pour la confection des planches thématiques : classification «de proche en proche» mêlant les critères du gabarit (nombre de travées, hauteur sous corniche ), du vocabulaire architectural et de l implantation. Le rapprochement de bâtiments d images voisines est privilégié (la position des bâtiments dans l alignement ou en recul existe dans les 3 images architecturales). mélange des exemples belges et français en continuité pour montrer l identité commune mais aussi les particularités locales. Synthèse des résultats : Dans les travaux précédents, quelques similarités visuelles et quelques preuves historiques avaient été amenées pour avancer l'hypothèse d'un territoire culturel commun (architectes Danis, typologies similaires et surtout importants échanges socio-économiques (population migrant vers la France et apportant son savoir technique) et industriels (verrerie de Charleroi, sidérurgie et industrie électrique...)). La mise en évidence approfondie des similarités du vocabulaire et des compositions architecturales montre visuellement que de part et d'autre de la frontière les habitants ont vécu dans une culture architecturale similaire. Ces photos illustrent que la continuité historique le long de la Sambre marquée par les facteurs socio-économiques particuliers s'est pétrifiée dans l'architecture. Ces similarités visuelles témoignent donc probablement de bien d autres choses que des parallèles historiques fortuites. Bien que cela ne puisse pas être démontré point par point, un climat socio-économique similaire marqué par de nombreux échanges industriels s'est aussi forgé dans l'architecture du Val de Sambre. PROPOSITION DE 3 «IMAGES DOMINANTES» 1. La «petite maison», ou de la petite propriété à la petite maison d'employé Parcelle étroite : deux travées, 1 étage. Mitoyenneté ou semi-mitoyenneté, le plus souvent dans l alignement. Variation sur les matériaux employés (briques apparentes ou enduites, crépis et cimentages) et les gabarits. Elle s adresse aux habitants à revenus modestes, principalement ouvriers et petits employés. Sont reprises sous cette appellation de «petite maison» : La petite maison, habitat minimum, simple, souvent spartiate dans son style, ornements se situant généralement à la porte d entrée. La maison populaire : R+1+C, matériaux de tradition locale, implantée sur rue et en mitoyenneté, souvent accès direct salle de séjour pour les plus anciennes. Emploi restreint de la pierre et de l ornementation. La petite maison d'employé : R+1+C, matériaux produits par la Révolution industrielle. Les maisons en bande : ensembles homogènes constituant les rues de l époque industrielle. Rationalisation de la maison urbaine. R+1+C, façades en brique avec parfois ornementation : La maison jumelée ou à plusieurs logements (groupes de maisons ou barreaux) créant souvent des effets de symétrie et donnant l impression d un ensemble à l image d une maison plus noble. Cette sous-catégorie s adresse aussi à la «moyenne maison». La cité ouvrière en bande : ensemble autonome généralement construit par les patrons, rentiers ou autres pour loger leur main-d œuvre. Adus/CAUE/ESPACE ENVIRONNEMENT S:\Donnees\beaurega\act3relv\IndicesCulturels\typotransHabInd_a.doc 2

3 2. La «moyenne maison», ou de la maison d'employé à la petite maison bourgeoise Parcellaire généralement étroit et gabarit modeste : deux ou trois travées, 1 étage et souvent 1 étage de combles habitables qui se manifestent par des lucarnes. Souvent mitoyenneté ou semi-mitoyenneté et alignement. Parfois léger recul par rapport à la rue avec un jardin d'accueil, muret, grille Ornementation un peu plus importante, notamment menuiseries, lucarnes Elle s adresse principalement aux employés, contremaîtres, ingénieurs Certaines s apparentent déjà par leur physionomie générale («signes extérieurs de ressemblance») à la petite maison bourgeoise. 3. La «grande maison», ou de la maison bourgeoise au château Type villa ou maison de maître. Implantation généralement en retrait de la rue, parfois au coeur d une large parcelle ou d un parc. Souvent à l écart des quartiers ouvriers, elle domine parfois des rues nouvellement créées ou bien profite d un point de vue exceptionnel sur le site environnant. Vocabulaire architectural plus riche : elle s adresse aux cadres, professions libérales, à la bourgeoisie aisée. Parfois entrée cochère. Elle offre de nombreux vocabulaires d ornementation propres aux différentes époques : grilles, portails, murets, haies, dispositifs d entrée (escalier, marquises ). Gabarit plus important (3, 4 travées et souvent plus) combiné à une plus grande profusion décorative : elle s adresse à la grande bourgeoisie très aisée et aux «capitaines d industries». Appellation «château», souvent lorsque présence d une tourelle, symbole de puissance et de paraître, souvent construite par un industriel, et dénommée «résidence patronale» (en Belgique). Adus/CAUE/ESPACE ENVIRONNEMENT S:\Donnees\beaurega\act3relv\IndicesCulturels\typotransHabInd_a.doc 3

4 Indice I : Images «habitat industriel» Recherche d exemples transfrontaliers INTRODUCTION L art de bâtir au XIX e siècle fait preuve d une virtuosité technique. Il y a aussi, dans la production de cette époque, nombre de maisons exprimant une grande simplicité et sobriété, en fonction du statut social de l occupant c est tout l intérêt des contrastes qui renvoient à l idée du statut social et à la possibilité de définir une typologie basée sur cette diversité. Un courant architectural - que l on qualifie d éclectique, issu de la fougue industrielle du moment - est apparu et a trouvé ses lettres de noblesse dans les grandes villes et leurs faubourgs, mêlant l architecture de briques et l ornementation. Ce style est descendu dans les villes de moyenne importance mais de façon plus tempérée, avec une adaptation aux moyens de la clientèle et à l architecture traditionnelle. Implantation du bâti Les modes d implantation au regard de la période pré-industrielle n ont pas particulièrement évolué en ce qui concerne le bâti individuel. Par contre, sont apparus des modes nouveaux issus de la rentabilité, notamment dans le logement des ouvriers et employés : le rang de maisons et le groupe de maisons. La maison est sur un plan de type couloir; la proportion des logements est étriquée. De fait, c est la composition répétitive et les effets d ornements qui font l intérêt de l ensemble et marque une certaine homogénéité. Au XIX e siècle principalement, l implantation, le plus souvent strictement en front à rue, délimite et caractérise directement l espace public en créant des rues très reconnaissables et une identité spécifique des quartiers industriels. Celles-ci se complètent parfois de rangées d habitations en intérieur d îlots ou d impasses. L image de la façade reste traditionnelle et locale : soubassements de pierre bleue ou enduit, élévation de briques. L HABITAT Dans les bassins industriels wallons, l urbanisation s est faite autour des lieux de production, en grande partie à l initiative du patronat qui désirait disposer aisément de main-d oeuvre sur place. Le patron avait donc tout intérêt à assurer aux ouvriers des conditions de vie décentes. Depuis la disparition des usines qui leur ont donné naissance, les corons (au sens premier vulgarisé par Zola, le coron désigne la maison d habitation de mineurs et par extension est utilisé pour les quartiers formés par un groupe d habitations ouvrières, principalement de mineurs) sont les seuls témoins de l histoire sociale des lieux. Leur sauvegarde est donc particulièrement importante. En France, face à l afflux de population, l'accroissement du parc immobilier devient une nécessité que le Gouvernement entend prendre en charge. Il est bien question de crise du logement. Une véritable législation en matière sociale (loi " Siegfried ", 1894; loi " Strauss ", 1906; loi " Ribot ", 1908; loi " Loucheur, ) est mise en place. 10 Avril 1908 Loi facilitant l accession à la petite propriété (Loi Ribot) «L idéal HABITAT OUVRIER est la petite maison». On la trouve de la fin du XIX e s. au début du XX e siècle, en milieux rural et urbain, notamment à l extérieur des centres-villes. Le mouvement des Habitations Bon Marché (H.B.M.) naît ainsi à la fin du XIX e siècle, inspiré par le courant hygiéniste et moralisateur du Second Empire, qui y voit un moyen d'encadrer et de maîtriser la population ouvrière, potentiellement contestataire et dangereuse pour le pouvoir en place. En Belgique, une véritable politique de logement social n apparaît que dans les années 1920 dans l esprit des cités jardins anglaises. Adus/CAUE/ESPACE ENVIRONNEMENT S:\Donnees\beaurega\act3relv\IndicesCulturels\typotransHabInd_a.doc 4

5 Vu le développement industriel moins important sur le Val de Sambre belge, les exemples y sont rares, au contraire de Charleroi. Loués ou accessibles à la propriété, les logements sociaux peuvent être des maisons individuelles, jumelées ou des appartements. Alors que ces logements s'ajoutent dans le paysage urbain à ceux de quartiers vétustes et insalubres, les industriels, banquiers et négociants s'installent dans de grandes demeures bourgeoises. Elles se dressent alors au bord de larges rues nouvellement tracées jugées plus saines. Adus/CAUE/ESPACE ENVIRONNEMENT S:\Donnees\beaurega\act3relv\IndicesCulturels\typotransHabInd_a.doc 5

6 Annexe des particularités en France : LES CITES OUVRIERES : DU CORON A LA CITE-JARDIN L habitat ouvrier a marqué cette période de manière forte. L évolution du mode d habiter s est faite essentiellement au regard de techniques nouvelles employées pour la construction de masse, mais aussi et surtout, par les volontés patronales, d asseoir et d éduquer leur population ouvrière avec un sentiment généralement paternaliste. Chronologiquement, sont apparus, dans un premier temps, les corons-rues, longs, uniformes, aux maisons basses en brique brute à peine égayés d'un badigeon, avec, sur l'arrière, un jardinet séparé du logis par un chemin appelé «voyette». Plus tard, sont apparus les barreaux. Les mêmes maisons en brique, mais adossées les unes aux autres, deux par deux, et le jardinet en façade. Ensuite, la cité pavillonnaire avec plus d'espace pour circuler et un bout de jardin plus conséquent pour cultiver. Le principe des jardins ouvriers a été inventé par les curés avec le soutien des patrons, qui pensaient éloigner par le jardinage l'ouvrier de l'estaminet, et donner le goût de l'effort après le travail. L histoire dira que l organisation de ces cités a permis une cohésion sociale forte. Au XX e siècle, apparaissent les cités-jardins. Les rues sont larges et bordées d'essences variées; des équipements de loisirs et de services sont aménagés comme les kiosques à musique, les espaces verts et les magasins coopératifs, des bains douches Les façades sont plus aérées; une ornementation recherchée singularise les éléments bâtis, le plus souvent, dans un esprit régionaliste. L eau courante est amenée dans chaque logement. Implantation Généralement, elle est un ensemble groupé à proximité de l usine. Elles sont à l origine de la création de quartiers entiers et parfois même autonomes. Les cités «cheminotes», quant à elles, sont souvent indépendantes de la ville. Adus/CAUE/ESPACE ENVIRONNEMENT S:\Donnees\beaurega\act3relv\IndicesCulturels\typotransHabInd_a.doc 6

7 1. La petite maison (ou de la petite propriété à la petite maison d'employé) France Belgique Types parement/matériaux : briques apparentes Boussois Erquelinnes : rue du Port Boussois : quartier de la Glacerie, motif dentelé soulignant les linteaux = idem Hourpes Fontaine-l Évêque : ensemble bien préservé de petites maisons de rangée de la typologie ouvrière, rue de l Enseignement, n os 16 à 22 Adus/CAUE/ESPACE ENVIRONNEMENT S:\Donnees\beaurega\act3relv\IndicesCulturels\typotransHabInd_a.doc 7

8 Feignies : maison jumelée à 2 ou plusieurs logements, issue de la maison en bande Fontaine : rue de Haussy, n 26 Boussois : quartier de la Glacerie Erquelinnes : rue de Maubeuge, à l est de la rue des Combattants Feignies : rue Salengro Erquelinnes : rue Albert I er vers le nord-est, à proximité de la Maison communale (mixte petites/moyennes maisons) Adus/CAUE/ESPACE ENVIRONNEMENT S:\Donnees\beaurega\act3relv\IndicesCulturels\typotransHabInd_a.doc 8

9 Années , proche courant Art déco Maubeuge : Sous-le-Bois : même ordonnance façade mais encrassement Thuin : rue de Ragnies, n 43, exemple belge bien préservé, modèle à présenter pour restaurer l'exemple français Adus/CAUE/ESPACE ENVIRONNEMENT S:\Donnees\beaurega\act3relv\IndicesCulturels\typotransHabInd_a.doc 9

10 Type parement/matériaux : enduit, crépi, cimentage, badigeon Coron d Hourpes, motif dentelé en brique qui souligne la forme bombée des linteaux = idem Boussois Maubeuge : Sous-le-bois Leernes : rue Berteaux, ensemble crépi n os Adus/CAUE/ESPACE ENVIRONNEMENT S:\Donnees\beaurega\act3relv\IndicesCulturels\typotransHabInd_a.doc 10

11 Implantation : en retrait + muret Boussois, implantation en retrait avec muret Fontaine-l Évêque : rue du Parc, n 29 implantation en retrait avec muret Adus/CAUE/ESPACE ENVIRONNEMENT S:\Donnees\beaurega\act3relv\IndicesCulturels\typotransHabInd_a.doc 11

12 2. La «moyenne maison», ou de la maison d'employé à la petite maison bourgeoise Type parement/matériau : briques apparentes Boussois : rue Eugène Chimot, variante : présence de volets en bois Gozée (Thuin) : rue de Marchienne, n 98 variante incrustations et soubassements en pierre - mitoyenne ou semi-mitoyenne; - un étage; - façade en brique, jeux de briques (frises ou panneaux); - pierre pour les clés des linteaux des fenêtres, tablettes; - rythmes verticaux des fenêtres rectangulaires en hauteur; - corniche saillante en bois; - toiture mansardée en ardoises/éternit percée de lucarnes et/ou oeils-de-bœuf; - mise en valeur de la porte d entrée par une belle menuiserie. Adus/CAUE/ESPACE ENVIRONNEMENT S:\Donnees\beaurega\act3relv\IndicesCulturels\typotransHabInd_a.doc 12

13 Autres exemples Boussois : 2 juxtaposées rue Marcq n 14 Jeumont Lobbes : rue Paschal, mise en valeur florale (menuiserie!) Adus/CAUE/ESPACE ENVIRONNEMENT S:\Donnees\beaurega\act3relv\IndicesCulturels\typotransHabInd_a.doc 13

14 Boussois : quartier des employés de la Glacerie Thuin : t Serstevens,-n 47 Jeumont : rue Dufossez Thuin : rue Léopold II, n os 26-25/29 Adus/CAUE/ESPACE ENVIRONNEMENT S:\Donnees\beaurega\act3relv\IndicesCulturels\typotransHabInd_a.doc 14

15 Jeumont : rez modifié Thuin : rue t Sertstevens Boussois Leernes : rue A. Caebergs, n 3 Adus/CAUE/ESPACE ENVIRONNEMENT S:\Donnees\beaurega\act3relv\IndicesCulturels\typotransHabInd_a.doc 15

16 Jeumont : rue Hector Despret Erquelinnes : rue Albert I er, n 113 Variante : Implantation à front de rue 2 maisons accolées, décor des linteaux en brique polychrome, bas-reliefs, balcon en ferronneries. Variante : implantation en recul avec jardin avant, typologie plus sobre, détériorations : corniche partiellement transformée + menuiserie porte d entrée, présence Velux. - implantation : mitoyenne ou dans un alignement, en léger recul avec jardin avant; - volume général; - présence d un pignon triangulaire (avec faîte perpendiculaire à la voirie) couronnant une travée latérale; - linteaux surbaissés des ouvertures couronnés d une clé en pierre; - travées et baies de différentes dimensions; - pilastres à refends de part et d autre de la façade; - corniche débordante en bois; - toiture en ardoise/éternit. Adus/CAUE/ESPACE ENVIRONNEMENT S:\Donnees\beaurega\act3relv\IndicesCulturels\typotransHabInd_a.doc 16

17 Feignies : rue Barbusse Erquelinnes : rue Albert I er, n 113 Maison jumelée (2 maisons accolées donnant aspect extérieur plus noble) Maubeuge :-rue de Mons Merbes-le-Château : rue Haute, n os Demi-étage (intervention fenêtre à droite) Adus/CAUE/ESPACE ENVIRONNEMENT S:\Donnees\beaurega\act3relv\IndicesCulturels\typotransHabInd_a.doc 17

18 Type parement/matériau : enduit, crépi, cimentage Feignies : petite maison d employé, façade enduite Maubeuge : Sous-le-bois Merbes-Sainte-Marie : rue F. Bovesse Grand-Reng Adus/CAUE/ESPACE ENVIRONNEMENT S:\Donnees\beaurega\act3relv\IndicesCulturels\typotransHabInd_a.doc 18

19 3. La «grande maison», ou de la maison bourgeoise au château Type parement/matériau : briques apparentes Jeumont Erquelinnes : rue Albert I er, n 161 Jeumont Merbes-le-Château : rue Saint-Martin n 21 entrée cochère Adus/CAUE/ESPACE ENVIRONNEMENT S:\Donnees\beaurega\act3relv\IndicesCulturels\typotransHabInd_b.doc 19

20 Pont-sur-Sambre : Grand rue, maison mitoyenne, en retrait par rapport à la rue, deux marquises Merbes-Sainte-Marie : route Provinciale n 50, 4 façades style villa Pont-sur-Sambre : Grand rue, n 262, 4 façades, en retrait par rapport à la rue Lobbes : rue de la Gratière, n 8 Centre Arthur Regnier Adus/CAUE/ESPACE ENVIRONNEMENT S:\Donnees\beaurega\act3relv\IndicesCulturels\typotransHabInd_b.doc 20

21 Pont-sur-Sambre : Grand rue, 4 façades, en retrait par rapport à la rue, grille de clôture Merbes-Sainte-Marie : route Provinciale n 44, 4 façades, jardin avant, grille de clôture Jeumont Fontaine-Valmont : rue Albert n 4, 4 façades, jardin avant Ferrière-la-Grande : château Miroux Hantes-Wihéries : château Jaumotte Adus/CAUE/ESPACE ENVIRONNEMENT S:\Donnees\beaurega\act3relv\IndicesCulturels\typotransHabInd_b.doc 21

22 Pont-sur-Sambre : loggia au centre, 2 fines colonnes en métal Feignies : château Derkenne, autrefois enduit Merbes-le-Château : rue Saint-Martin n 53, autrefois enduite Thuin (hors centre) : château Beauregard Le château Beauregard, comme suspendu dans la verdure, avec ses tours, ses pignons, son allure imposante, possède la physionomie caractéristique des résidences patronales. Adus/CAUE/ESPACE ENVIRONNEMENT S:\Donnees\beaurega\act3relv\IndicesCulturels\typotransHabInd_b.doc 22

23 Boussois : rue Eugène Chimot Erquelinnes : rue de Maubeuge n 97 Au jeu des similitudes, on peut comparer ces deux exemples pris de part et d autre de la frontière : on notera l utilisation de faîtes perpendiculaires à la voirie, de pignons perpendiculaires parfois recoupés sous forme de croupettes, de gros linteaux en béton apparents peints en ton clair, de contrastes entre les surfaces de briques, peintes ou cimentées, de baies moins régulières que dans la période industrielle formant un jeu d ouvertures amusant, d avant-cours... Type parement/matériau : moellons et briques Château d Hourpes Adus/CAUE/ESPACE ENVIRONNEMENT S:\Donnees\beaurega\act3relv\IndicesCulturels\typotransHabInd_b.doc 23

24 Type parement/matériau : enduit, crépi, cimentage, badigeon Jeumont : rue Hector Despret Variante (toiture de tuiles?,châssis courbes, baies arrondies). Erquelinnes : Rue Albert I er, n 139 Variante (clés plus ornementées, balcon en ferronneries travaillées, baies rectangulaires à encadrements saillants. - implantation en retrait ou partiellement en retrait, muret et grille métallique; - présence d un pignon triangulaire (avec faîte perpendiculaire à la voirie) couronnant une travée latérale; - corniche débordante en bois; - pilastres à refends de part et d autre de la façade; - travées et baies de différentes dimensions; - décor enduit : motif en escalier sous le pignon, bandeaux horizontaux entre les étages. Adus/CAUE/ESPACE ENVIRONNEMENT S:\Donnees\beaurega\act3relv\IndicesCulturels\typotransHabInd_b.doc 24

25 Pont-sur-Sambre : Grand rue, n 4 façades, façade cimentée, encadrement courbe surmontant les ouvertures Jeumont Maubeuge : avenue de Ferrière Merbes-le-Château : rue Saint-Martin n 71 château Puissant Adus/CAUE/ESPACE ENVIRONNEMENT S:\Donnees\beaurega\act3relv\IndicesCulturels\typotransHabInd_b.doc 25

26 Maubeuge : rue de Val Merbes-le-Château : rue Saint-Martin, n 57, grosse bâtisse enduite 4 façades Boussois Adus/CAUE/ESPACE ENVIRONNEMENT S:\Donnees\beaurega\act3relv\IndicesCulturels\typotransHabInd_b.doc 26

Villa dite Saint-Cloud

Villa dite Saint-Cloud Villa dite Saint-Cloud 54 boulevard Frédéric-Garnier Royan Dossier IA17046390 réalisé en 2014 Copyrights Copyrights Auteurs (c) Région Poitou-Charentes, Inventaire du patrimoine culturel Enquêteur : Suire

Plus en détail

CONNAISSANCE DU PATRIMOINE ARCHITECTURAL ET URBAIN RAPPORT DE PRÉSENTATION

CONNAISSANCE DU PATRIMOINE ARCHITECTURAL ET URBAIN RAPPORT DE PRÉSENTATION ARCHITECTURAL ET URBAIN ZPPAUP Montpellier Gambetta Clemenceau Figuerolles Rapport de présentation Juillet 2006 Page 73 Zone de Protection du Patrimoine Architectural, Urbain et Paysager SECTEUR GAMBETTA

Plus en détail

Maison, actuellement bureaux

Maison, actuellement bureaux Maison, actuellement bureaux 95 avenue du Grand-Port Chourdy-Pont Rouge Aix-les-Bains Dossier IA73002139 réalisé en 2013 Copyrights Copyrights Auteurs Région Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine

Plus en détail

Ensemble d habitations

Ensemble d habitations Ensemble d habitations C o l l i n e S a i n t - D e n i s à L a g n y s u r M a r n e Une démarche architecturale à l épreuve du temps Ces maisons furent construites au début de la seconde moitié du XX

Plus en détail

Municipalité de Saint-Marc-sur- Richelieu

Municipalité de Saint-Marc-sur- Richelieu Plania Municipalité de Saint-Marc-sur- Richelieu Chapitre 11 Dispositions particulières applicables à certaines zones P031607 303-P031607-0932-000-UM-0023-0A Municipalité de Saint-Marc-sur-Richelieu 102

Plus en détail

Vu le dahir du 7 kaada 1371 (30 Juillet 1952) relatif à l urbanisme et, notamment, son article 18 ;

Vu le dahir du 7 kaada 1371 (30 Juillet 1952) relatif à l urbanisme et, notamment, son article 18 ; Décret n 2-64-445 du 21 chaabane 1384 (26 décembre 1964) définissant les zones d habitat économique et approuvant le règlement général de construction applicable à ces zones. (B.O. n 2739 du 28-4-1965,

Plus en détail

PLAN DE SITUATION C'est le plan qui localise votre terrain PCMI 1. SAINT DENIS - Bellepierre Parcelle AY 592. Ech : 1/ 2000 ème

PLAN DE SITUATION C'est le plan qui localise votre terrain PCMI 1. SAINT DENIS - Bellepierre Parcelle AY 592. Ech : 1/ 2000 ème PERMIS DE M. X. Plan de situation. Plan de masse 3. Coupe 4. Notice descriptive. Façades et plan de toiture. Insertion graphique 7. Photo dans le paysage proche 8. Photo dans le paysage lointain Mise à

Plus en détail

Le financement du projet

Le financement du projet Le financement du projet Comment financer mon projet? 14 Votre budget doit faire l objet d une étude approfondie. Pour vous aider à établir votre plan de financement, faites appel à l Association Départementale

Plus en détail

Octobre 2007 : pourquoi la réforme des demandes d autorisation d urbanisme?

Octobre 2007 : pourquoi la réforme des demandes d autorisation d urbanisme? Octobre 2007 : pourquoi la réforme des demandes d autorisation d urbanisme? Objectifs : prise en compte de l insatisfaction et de l attente des usagers réduire le nombre d autorisations simplifier les

Plus en détail

Regard sur le béton. Maison «Mannaz» à Wasseiges

Regard sur le béton. Maison «Mannaz» à Wasseiges Regard sur le béton Maison «Mannaz» à Wasseiges La maison «Mannaz» s implante dans la campagne de la Hesbaye, ouverte sur son paysage et ancrée dans son patrimoine bâti. L architecte Yves Delincé traduit

Plus en détail

(B.O. n 2739 du 28-4-1965, page 489) LE PREMIER MINISTRE,

(B.O. n 2739 du 28-4-1965, page 489) LE PREMIER MINISTRE, DECRET N 2-64-445 DU 21 CHAABANE 1384 (26 DECEMBRE 1964) DEFINISSANT LES ZONES D HABITAT ECONOMIQUE ET APPROUVANT LE REGLEMENT GENERAL DE CONSTRUCTION APPLIABLE A CES ZONES (B.O. n 2739 du 28-4-1965, page

Plus en détail

LE W, UN ÎLOT VIVANT DANS LA VILLE

LE W, UN ÎLOT VIVANT DANS LA VILLE LE W, UN ÎLOT VIVANT DANS LA VILLE Habitat, bureaux, commerces : le W conjugue les trois fondamentaux de l urbain. Dans cet esprit, Vauban Immobilier, Scharf Immobilier, GIPA et Rive Gauche CB Richard

Plus en détail

LES ESCALIERS. Les mots de l escalier

LES ESCALIERS. Les mots de l escalier Les mots de l escalier L escalier :ouvrage constitué d une suite régulière de plans horizontaux (marches et paliers) permettant, dans une construction, de passer à pied d un étage à un autre. L emmarchement

Plus en détail

AGORA 2014 Appel à idées Habiter les toits à Bordeaux Et pour compléter

AGORA 2014 Appel à idées Habiter les toits à Bordeaux Et pour compléter AGORA 2014 Appel à idées Habiter les toits à Bordeaux Et pour compléter 1 SOMMAIRE Vues générales des toits 3 Type de charpentes, de la plus simple à la plus sophistiquée quelques coupes transversales

Plus en détail

UN NOUVEAU CADRE DE VIE...

UN NOUVEAU CADRE DE VIE... UN NOUVEAU CADRE DE VIE... Résider sur la rive d un parc Située au cœur du nouveau quartier résidentiel Rives de Seine, la résidence Rive de Parc est une réalisation exceptionnelle à plusieurs titres.

Plus en détail

Vocabulaire maisons Maisons Paysannes de Charente

Vocabulaire maisons Maisons Paysannes de Charente Vocabulaire maisons Maisons Paysannes de Charente Définition de la maison C est l abri qui permet aux humains de vivre décemment. Elle se compose de 4 murs et d un toit qui nous apparaissent ainsi : -

Plus en détail

Le château de Versailles Architecture et décors extérieurs

Le château de Versailles Architecture et décors extérieurs Le château de Versailles Architecture et décors extérieurs Les rois de France viennent régulièrement chasser à Versailles à partir du XVI ème siècle. Henri IV y amène son fils, le futur Louis XIII. Devenu

Plus en détail

Un état descriptif de 1776 nous permet de mesurer la qualité de la conservation du bâtiment conçu par Mathurin Cherpitel.

Un état descriptif de 1776 nous permet de mesurer la qualité de la conservation du bâtiment conçu par Mathurin Cherpitel. L Hôtel du Châtelet L Hôtel du Châtelet Dès le 18 ème siècle, l Hôtel du Châtelet est considéré comme une des plus belles demeures de Paris par les voyageurs qui en font la description à la fin du siècle.

Plus en détail

Usine de décolletage Anthoine Emile et ses fils actuellement Sté M.B.A. décolletage

Usine de décolletage Anthoine Emile et ses fils actuellement Sté M.B.A. décolletage Usine de décolletage Anthoine Emile et ses fils actuellement Sté M.B.A. décolletage 50 rue Jeanne-d'arc avenue de Saint-Martin rue des Rânes Sallanches Dossier IA74000771 réalisé en 2005 Copyrights Copyrights

Plus en détail

Décrète : Ce règlement est applicable aux zones définies à l'article premier. Fait à Rabat, le 21 chaabane 1384 (26 décembre 1964). Ahmed Bahnini.

Décrète : Ce règlement est applicable aux zones définies à l'article premier. Fait à Rabat, le 21 chaabane 1384 (26 décembre 1964). Ahmed Bahnini. Décret n 2-64-445 du 21 chaabane 1384 (26 décembre 1964) définissant les zones d'habitat économique et approuvant le règlement général de construction applicable à ces zones.( BO n 2739 du 28 Avril 1965)

Plus en détail

VILLE DE COLMAR. Règlement. PLAN D OCCUPATION DES SOLS Modification n 9. Approuvée par délibération du Conseil Municipal du Le Maire

VILLE DE COLMAR. Règlement. PLAN D OCCUPATION DES SOLS Modification n 9. Approuvée par délibération du Conseil Municipal du Le Maire VILLE DE COLMAR PLAN D OCCUPATION DES SOLS n 9 Règlement Approuvée par délibération du Conseil Municipal du Le Maire SOMMAIRE TITRE I : Dispositions générales page 3 TITRE II : Dispositions applicables

Plus en détail

2 Pour les puits de lumière :

2 Pour les puits de lumière : CHAPITRE V LES USAGES ET BÂTIMENTS PRINCIPAUX SECTION I RÈGLE GÉNÉRALE Domaine d'application 59. Les normes contenues dans le présent chapitre s'appliquent à toutes les zones. Dispositions générales aux

Plus en détail

LOCALITÉ DE CLEMENCY ZONES CENTRALES -TYPE 12

LOCALITÉ DE CLEMENCY ZONES CENTRALES -TYPE 12 PROJET D AMÉNAGEMENT PARTICULIER DE LA COMMUNE DE KÄERJENG PROJET D AMÉNAGEMENT PARTICULIER - QUARTIER EXISTANT DE LA COMMUNE DE KÄERJENG LOCALITÉ DE CLEMENCY ZONES CENTRALES -TYPE 12 VERSION POUR AVIS

Plus en détail

PROCES VERBAL DE DESCRIPTION

PROCES VERBAL DE DESCRIPTION SELARL SICARD MORIN Huissiers de Justice Associés près le Tribunal de Grande Instance de SAINTES 15-17, Faubourg Taillebourg BP. 14 17412 SAINT JEAN D ANGELY Tél : 05 46 32 04 98 Fax : 05 46 32 11 28 PROCES

Plus en détail

Références : Loi n 79-1150 du 29 décembre 1979 modifiée par la loi n 95-101 du 2 février 1996 (article 53).

Références : Loi n 79-1150 du 29 décembre 1979 modifiée par la loi n 95-101 du 2 février 1996 (article 53). Objet : Publicité, enseignes et pré-enseignes. Références : Loi n 79-1150 du 29 décembre 1979 modifiée par la loi n 95-101 du 2 février 1996 (article 53). Le décret n 96-946 du 24 octobre 1996 pris en

Plus en détail

la parfaite adéquation des réponses aux problèmes posés.

la parfaite adéquation des réponses aux problèmes posés. V o t r e r é p o n s e i m m o b i l i è r e Qui est? Créé en 1993, intervient en Ile-de-France, sur des problématiques logements et tertiaires. Depuis sa création, la société construit chacune de ses

Plus en détail

Vous ouvrez ou exploitez un établissement qui reçoit du public

Vous ouvrez ou exploitez un établissement qui reçoit du public Vous ouvrez ou exploitez un établissement qui reçoit du public commerce, débit de boisson, restaurant, hôtel, établissement d enseignement... Ce document vous concerne v i l l e d e c h o l e t 1 Vous

Plus en détail

26/02/2011. Structure principale sur mur porteur et ferme intermédiaire. Charpente traditionnelle. Structure principale. Structure principale.

26/02/2011. Structure principale sur mur porteur et ferme intermédiaire. Charpente traditionnelle. Structure principale. Structure principale. Pièces constitutives d une charpente Charpente traditionnelle Structure principale Structure principale sur mur porteur et ferme intermédiaire 2 1 5 4 3 1 - Panne 2 - Panne faitière 3 - Sablière 4 - Chevron

Plus en détail

Immeuble, Le Square Duvernay

Immeuble, Le Square Duvernay Immeuble, Le Square Duvernay rue Duvernay rue Comte-de-Loche Quartier de la gare Aix-les-Bains Dossier IA73002041 réalisé en 2012 Copyrights Copyrights Auteurs Région Rhône-Alpes, Inventaire général du

Plus en détail

TITRE 3 - DISPOSITIONS APPLICABLES A LA ZONE A URBANISER (zone AU )

TITRE 3 - DISPOSITIONS APPLICABLES A LA ZONE A URBANISER (zone AU ) TITRE 3 - DISPOSITIONS APPLICABLES A LA ZONE A URBANISER (zone AU ) La zone AU couvre les espaces non équipés par les réseaux de viabilisation, que la commune souhaite réserver au développement de l urbanisation

Plus en détail

REGLEMENT COMMUNAL D URBANISME DE LA VILLE DE NAMUR VERSION DU 23 AOUT 2011

REGLEMENT COMMUNAL D URBANISME DE LA VILLE DE NAMUR VERSION DU 23 AOUT 2011 Vu et adopté provisoirement par le Conseil communal en séance du..par ordonnance Le Secrétaire, Mr. Van Bol L échevin de l aménagement du territoire Le Bourgmestre, Mr. Etienne Mr. Gavroy Le Collège communal

Plus en détail

REGION DE BRUXELLES-CAPITALE COMMUNE D UCCLE - PPAS 28ter Plateau Avijl

REGION DE BRUXELLES-CAPITALE COMMUNE D UCCLE - PPAS 28ter Plateau Avijl REGION DE BRUXELLES-CAPITALE COMMUNE D UCCLE - PPAS 28ter Plateau Avijl - 14 août 2008 BOA DOCUMENTS CONSTITUANT LE PPAS Le présent plan particulier d'affectation du sol se compose de : A. Cahier des notes

Plus en détail

MONTRABÉ. Résidence LIZZI SQUARE. construit au cœur des villes

MONTRABÉ. Résidence LIZZI SQUARE. construit au cœur des villes MONTRABÉ Résidence LIZZI SQUARE construit au cœur des villes "Une belle opération que la résidence Lizzi Square. Un terrain qui se prête à une architecture en cascade épousant au mieux ce versant dégagé

Plus en détail

Extérieur faubourg & Intérieur jardin

Extérieur faubourg & Intérieur jardin Extérieur faubourg & Intérieur jardin benjaminfleury Arch tecturbaniste 8 Logements 10 rue Berthier - Pantin Avril 2014 (@) atelier@benjaminfleury.com (http) /// www.benjaminfleury.com 214 rue Etienne

Plus en détail

Atelier 3 Vers le programme. Notions et définitions Présentation des terrains

Atelier 3 Vers le programme. Notions et définitions Présentation des terrains Atelier 3 Vers le programme Notions et définitions Présentation des terrains Atelier 3 - Ordre du jour Programmation (19h) Notions et définitions (19h15) Echanges avec la salle (19h45) Présentation des

Plus en détail

Ywood Les Docks Libres à Marseille

Ywood Les Docks Libres à Marseille Ywood Les Docks Libres à Marseille S. Bouquet 1 Ywood Les Docks Libres à Marseille Stéphane Bouquet NEXITY / YWOOD FR-Paris, Marseille 2 Ywood Les Docks Libres à Marseille S. Bouquet 5 ème Forum International

Plus en détail

Atelier de participation à la lecture de notre cadre de vie et de ses mutations. à destination des membres des CCATM et des CLDR

Atelier de participation à la lecture de notre cadre de vie et de ses mutations. à destination des membres des CCATM et des CLDR Atelier de participation à la lecture de notre cadre de vie et de ses mutations à destination des membres des CCATM et des CLDR Le cadre de vie, C est quoi au juste? Environnement incorporant la dimension

Plus en détail

Le Confidentiel. 0 805 405 485 Appel gratuit depuis un poste fixe. LNC.fr

Le Confidentiel. 0 805 405 485 Appel gratuit depuis un poste fixe. LNC.fr Accès en voiture : Par l autoroute A620 / E72 / E9 : Sortie 31B (Les Minimes) A 10 minutes du Capitole EN TRANSPORTS EN COMMUN : Métro : station Barrière de Paris, ligne B Bus : arrêt Amat Massot, bus

Plus en détail

Prix de vente : 398 000 Euros

Prix de vente : 398 000 Euros Visite du bien : 168328 Localisation : Spechbach-le-haut Ville proche : Mulhouse Autoroute : 8 km Aéroport : 34 km Une grande maison familiale à une quinzaine de minutes de Mulhouse! C'est a Spechbach-le-Haut

Plus en détail

Murs poutres & planchers

Murs poutres & planchers Murs poutres & planchers Henri RENAUD Deuxième édition Groupe Eyrolles, 2002, 2005, ISBN 2-212-11661-6 8. Structure porteuse : murs, planchers, charpente Eléments porteurs ou de liaisons qui contribuent

Plus en détail

Un pavillon se compose de murs et d'un toit qui peuvent être réalisés de différentes façons suivant le budget donné :

Un pavillon se compose de murs et d'un toit qui peuvent être réalisés de différentes façons suivant le budget donné : Un pavillon se compose de murs et d'un toit qui peuvent être réalisés de différentes façons suivant le budget donné : l'assemblage de parpaings le moulage dans un coffrage donnant une forme circulaire

Plus en détail

communes du pays de brouilly. Four du hameau de Chardignon Saint-Lager

communes du pays de brouilly. Four du hameau de Chardignon Saint-Lager Schéma de restaurationvalorisation du petit patrimoine des communes du pays de brouilly. Four du hameau de Chardignon Saint-Lager SOMMAIRE 1) ÉDIFICE PRÉSENTE... 3 A) DÉNOMINATION ET POSITION GÉOGRAPHIQUE...

Plus en détail

INTRODUCTION PRÉSENTATION AUX CITOYENS 28 AOÛT. - Propriétaire du 3500 St-Jacques

INTRODUCTION PRÉSENTATION AUX CITOYENS 28 AOÛT. - Propriétaire du 3500 St-Jacques INTRODUCTION PROJETS DANS LE SUD OUEST - Propriétaire du 3500 St-Jacques Bureau Bureau Commercial - Expertise en développement de projets immobiliers et gestion de propriétés - Équipe formée d architectes,

Plus en détail

PCAR n 3083 «Îlot Square Léopold» à Namur Survey & Aménagement Février 2014 Rapport d options

PCAR n 3083 «Îlot Square Léopold» à Namur Survey & Aménagement Février 2014 Rapport d options 1 Table des matières OPTIONS D AMENAGEMENT...3 I. Options relatives aux économies d énergie...3 I.1. Constructions...3 I.2 Energies renouvelables...3 II. Options relatives à l urbanisme & à l architecture...

Plus en détail

RAPPORT MISE A L ACCESSIBILITE DE 6 ECOLES PRIMAIRES. Ecole de MIRANGO I

RAPPORT MISE A L ACCESSIBILITE DE 6 ECOLES PRIMAIRES. Ecole de MIRANGO I RAPPORT MISE A L ACCESSIBILITE DE 6 ECOLES PRIMAIRES Ecole de MIRANGO I Vincent DAVID Le 21 décembre 2010 Table des matières 1- Les outils d accessibilité principalement utilisés 1-1 Les rampes d accès

Plus en détail

IMMEUBLES COLLECTIFS DE LOGEMENTS CONSTRUITS ENTRE 1949 ET 1974

IMMEUBLES COLLECTIFS DE LOGEMENTS CONSTRUITS ENTRE 1949 ET 1974 DÉPARTEMENT ÉNERGIE SANTÉ ENVIRONNEMENT Division Energie Pôle Performance Energétique des bâtiments DÉPARTEMENT ECONOMIE ET SCIENCES HUMAINES Laboratoire Services Process Innovations ESE/DE/PEB-12.039RR

Plus en détail

CHAPITRE 5 Dispositions applicables aux usages habitations

CHAPITRE 5 Dispositions applicables aux usages habitations VILLE DE SAGUENAY CHAPITRE 5 Ville de Saguenay Table des matières Dispositions applicalbles aux usages habitations TABLE DES MATIÈRES CHAPITRE 5 DISPOSITIONS APPLICABLES AUX USAGES HABITATIONS... 5-1 SECTION

Plus en détail

Garde-corps. bfu bpa upi. Base: norme sia 358. Les bâtiments doivent répondre à un besoin humain fondamental, celui de se sentir en sécurité.

Garde-corps. bfu bpa upi. Base: norme sia 358. Les bâtiments doivent répondre à un besoin humain fondamental, celui de se sentir en sécurité. bfu bpa upi Mb 9401 Garde-corps Base: norme sia 358 Les bâtiments doivent répondre à un besoin humain fondamental, celui de se sentir en sécurité. Habitations, magasins, bâtiments administratifs, écoles

Plus en détail

Surf. Totale Prestations Nb park. Etat Date dispo.

Surf. Totale Prestations Nb park. Etat Date dispo. 1 Voltaire Bureaux 20 50 mise à disposition de bureaux dans centre d'affaires- nettoyage, permanence téléphonique et domiciliation+autres services payants neuf à voir 2 Centre Bureaux 57 1 442 A quelques

Plus en détail

Hôtel de voyageurs, Hôtel de la Galerie, puis Grand Hôtel de la Galerie, puis Métropole Hôtel, actuellement Hôtel Métropole

Hôtel de voyageurs, Hôtel de la Galerie, puis Grand Hôtel de la Galerie, puis Métropole Hôtel, actuellement Hôtel Métropole Hôtel de voyageurs, Hôtel de la Galerie, puis Grand Hôtel de la Galerie, puis Métropole Hôtel, actuellement Hôtel Métropole 11 place Carnot 179 rue du Casino Centre historique Aix-les-Bains Dossier IA73001168

Plus en détail

Évry (91) - Architectes : Cabinet Îles. Souriez, vous êtes chez vous

Évry (91) - Architectes : Cabinet Îles. Souriez, vous êtes chez vous Évry (91) - Architectes : Cabinet Îles Souriez, vous êtes chez vous Pavillons-sous-Bois (93) - Architecte : Antoine Daudré-Vignier Magnanville (78) - Architecte : Christophe Chaplain L esprit MDH Promotion

Plus en détail

SECAL CPAUP. Cahier de prescriptions architecturales, urbaines et paysagères

SECAL CPAUP. Cahier de prescriptions architecturales, urbaines et paysagères SECAL ZAC de DUMBEA SUR MER CPAUP Cahier de prescriptions architecturales, urbaines et paysagères NOVEMBRE 2014 ZAC de DUMBEA SUR MER I CPAUP- NOVEMBRE 2014 2 TABLE DES MATIERES INTRODUCTION...5 I- Implantation...6

Plus en détail

RÉGLEMENT ZONE DE PROTECTION DU PATRIMOINE ARCHITECTURAL URBAIN ET PAYSAGER C O M M U N E D E L A R E O L E DEPARTEMENT DE LA GIRONDE

RÉGLEMENT ZONE DE PROTECTION DU PATRIMOINE ARCHITECTURAL URBAIN ET PAYSAGER C O M M U N E D E L A R E O L E DEPARTEMENT DE LA GIRONDE Avril 2008 DEPARTEMENT DE LA GIRONDE C O M M U N E D E L A R E O L E ZONE DE PROTECTION DU PATRIMOINE ARCHITECTURAL URBAIN ET PAYSAGER RÉGLEMENT Délibération du Conseil Municipal Enquête publique Avis

Plus en détail

Quelle surface indiquer sur la déclaration? Quel nombre de pièces indiquer sur la déclaration?

Quelle surface indiquer sur la déclaration? Quel nombre de pièces indiquer sur la déclaration? Quelle surface indiquer sur la déclaration? Quel nombre de pièces indiquer sur la déclaration? Quelle surface indiquer sur la déclaration? Le détail de la surface totale de votre local est à indiquer dans

Plus en détail

L ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN 2003 : UNE ANALYSE TERRITORIALISÉE DES PROFILS D OCCUPATION DES PARCS ET DES QUARTIERS

L ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN 2003 : UNE ANALYSE TERRITORIALISÉE DES PROFILS D OCCUPATION DES PARCS ET DES QUARTIERS ATELIER PARISIEN D URBANISME - 17, BD MORLAND 75004 PARIS TÉL : 01 42 71 28 14 FAX : 01 42 76 24 05 http://www.apur.org Observatoire de l'habitat de Paris L ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN

Plus en détail

La Règue Verte 54 logements THPE à structure béton et enveloppe à ossature bois

La Règue Verte 54 logements THPE à structure béton et enveloppe à ossature bois Forum Bois Construction Beaune 2011 La Règue verte - 54 logements THPE à structure béton et enveloppe à ossature bois B. Dayraut 1 La Règue Verte 54 logements THPE à structure béton et enveloppe à ossature

Plus en détail

usine de petit matériel électrique

usine de petit matériel électrique Usine de petit matériel électrique dite Lampes Visseaux, puis Claude, Paz et Visseaux, puis I.T.T. puis G.T.E., actuellement Sylvania Lighting International France (S.L.I. France) 22 rue Berjon Lyon 9e

Plus en détail

Montant H.T. Montant T.V.A 20,00% Montant T.T.C.

Montant H.T. Montant T.V.A 20,00% Montant T.T.C. PARIS LE 15/07/2015 mario.marques356@gmail.com http://www.cifidf.fr/ REF. CHANTIER M. Mme LAGRAA 44 RUE DE MARINES 95750 CHARS M. Mme LAGRAA 42 AV. HENRI BARBUSSE 92700 COLOMBES DEVIS N 05873635 TRAVAUX

Plus en détail

PROCES VERBAL DE CONSTAT DESCRIPTIF

PROCES VERBAL DE CONSTAT DESCRIPTIF PROCES VERBAL DE CONSTAT DESCRIPTIF L an DEUX MILLE QUINZE, et le DIX SEPT AVRIL A la requête de : Madame Valérie MAIK veuve RELIGA, Née le 28 novembre 1927 à OPALNICA, 105 Route de Cassel 59940 NEUF BERQUIN

Plus en détail

ANNEXE 1 RECOMMANDATIONS

ANNEXE 1 RECOMMANDATIONS ANNEXE 1 RECOMMANDATIONS 1 Le règlement de la ZPPAUP comprend, hormis des prescriptions, des recommandations concernant l implantation des constructions, leur aspect extérieur et aménagement de leurs abords

Plus en détail

MACONNERIE/GROS OEUVRE

MACONNERIE/GROS OEUVRE GIDE AVANT METRE MACONNERIE/GROS OEVRE MET 2 ORDRE D EXECTION Infrastructure Maçonnerie soubassement : murs, poteaux, poutres, chaînages, enduit d étanchéité, escaliers Maçonnerie superstructure : Dallage

Plus en détail

CAHIER DES PRESCRIPTIONS ARCHITECTURALES

CAHIER DES PRESCRIPTIONS ARCHITECTURALES CAHIER DES PRESCRIPTIONS ARCHITECTURALES Toute nouvelle construction venant s'inscrire dans le paysage naturel ou urbain de ST LAURENT DU PONT doit s'y intégrer en évitant toute agressivité et en respectant

Plus en détail

DEMANDE DE PERMIS EN MATIÈRE DE PATRIMOINE

DEMANDE DE PERMIS EN MATIÈRE DE PATRIMOINE LE PROCESSUS Consultez nos lignes directrices utiles à la conservation du patrimoine. Communiquez avec le personnel responsable du programme de conservation du patrimoine au 506-658-2835 et prenez rendez-vous

Plus en détail

notions d architecture en technologie en 5 ème 5 et 6 décembre 2011

notions d architecture en technologie en 5 ème 5 et 6 décembre 2011 Académie de Versailles / PAF 2011-2012 notions d architecture en technologie en 5 ème 5 et 6 décembre 2011 Conseil d architecture d urbanisme et de l environnement des Hauts-de-Seine programme Lundi 5

Plus en détail

Dossier. de presse. Aubervilliers (93) "Les Parisiennes" Pose de la 1 re pierre

Dossier. de presse. Aubervilliers (93) Les Parisiennes Pose de la 1 re pierre Dossier de presse Aubervilliers (93) Pose de la 1 re pierre "Les Parisiennes" Un programme de 128 logements BBC dont 53 en locatif intermédiaire et social et 75 en accession sociale Groupe Gambetta Service

Plus en détail

Appartements T2 T3 T4

Appartements T2 T3 T4 Appartements T2 T3 T4 GROS ŒUVRE Terrassements généraux Fondations adaptées en fonction de l étude de sol et calcul Bureau d Étude Technique (BET). Refend séparatif entre logements : B.A. de 18 cm en RDC

Plus en détail

Opération Programmée d Amélioration de l Habitat du syndicat ARLYSERE 2012-2016

Opération Programmée d Amélioration de l Habitat du syndicat ARLYSERE 2012-2016 Opération Programmée d Amélioration de l Habitat du syndicat ARLYSERE 2012-2016 Vous êtes propriétaires et vous souhaitez réaliser des travaux? Bénéficiez des conseils gratuits et de nouvelles aides financières

Plus en détail

Commune X. Quelles nouvelles exigences pour l accessibilité de la voirie? Les prescriptions techniques de l arrêté du 15 janvier 2007

Commune X. Quelles nouvelles exigences pour l accessibilité de la voirie? Les prescriptions techniques de l arrêté du 15 janvier 2007 Commune X Quelles nouvelles exigences pour l accessibilité de la voirie? Les prescriptions techniques de l arrêté du 15 janvier 2007 Centre d'études Techniques de l'équipement Méditerranée Les cheminements

Plus en détail

Présentation renouveau école Georges Pamart

Présentation renouveau école Georges Pamart MAIRIE DE QUERENAING DEPARTEMENT DU NORD REPUBLIQUE FRANCAISE LIBERTE EGALITE FRATERNITE Arrondissement de Valenciennes - Canton de Valenciennes Sud www.querenaing.fr Présentation renouveau école Georges

Plus en détail

3. Ligne Eaux-Vives - Moillesulaz

3. Ligne Eaux-Vives - Moillesulaz 200 3. Ligne Eaux-Vives - Moillesulaz Se développant sur 3,991 km, la ligne des Vollandes relie Les Eaux- Vives à Annemasse en France par Moillesulaz (carte nationale 1/100000). 201 Bâtiment des voyageurs

Plus en détail

CONSTRUCTION DE 31 LOGEMENTS 852 Avenue de Dunkerque 59160 Lomme

CONSTRUCTION DE 31 LOGEMENTS 852 Avenue de Dunkerque 59160 Lomme CONSTRUCTION DE 31 LOGEMENTS 852 Avenue de Dunkerque 59160 Lomme Réunion Publique du 20 Décembre 2013 Intervenants: Gildas ROBIC, Directeur Général Adjoint Habitat David Ponchel, Responsable Développement

Plus en détail

LA GRAND-PLACE DE BRUXELLES ET SES ABORDS UN PATRIMOINE MONDIAL

LA GRAND-PLACE DE BRUXELLES ET SES ABORDS UN PATRIMOINE MONDIAL Estrategias relativas al Patrimonio Cultural Mundial. La Salvaguarda en un Mundo Globalizado: Principios, Prácticas y Perspectivas LA GRAND-PLACE DE BRUXELLES ET SES ABORDS UN PATRIMOINE MONDIAL Pascale

Plus en détail

IMMOBILIER D ENTREPRISE

IMMOBILIER D ENTREPRISE La transformation de bureaux en logements : un premier bilan PAR BRIGITTE JOUSSELLIN 1 Entre 1994 et 1998, plus de 500 000 m 2 de surfaces d activités ont été transformées en logements, permettant de résorber

Plus en détail

Le logement dans tous ses états. Définition : le logement et l'habitat

Le logement dans tous ses états. Définition : le logement et l'habitat Le logement dans tous ses états 17/10/ 2012 Définition : le logement et l'habitat Le logement est un produit : une maison, un appartement, un type 3, un duplex L'habitat est un service : l'espace produit

Plus en détail

EXTENSIONS ECOLOGIQUES

EXTENSIONS ECOLOGIQUES www.josefapricoupenko.com Louise Ranck, Latitude 48 www.latitude48.net EXTENSIONS ECOLOGIQUES www.josefapricoupenko.com 27 mars 2010 Extensions écologiques, Joséfa Pricoupenko 1 Structure associative créée

Plus en détail

Restructuration des façades d un immeuble de bureau avenue Parmentier à Paris

Restructuration des façades d un immeuble de bureau avenue Parmentier à Paris Restructuration des façades d un immeuble de bureau avenue Parmentier à Paris Dossier de presse Novembre 2014 L agence PARC Architectes Démarche de l agence Les bâtiment livrés & à venir Réalisations de

Plus en détail

Règlement régional d urbanisme Arrêté du Gouvernement de la Région de Bruxelles-Capitale du 21 novembre 2006.

Règlement régional d urbanisme Arrêté du Gouvernement de la Région de Bruxelles-Capitale du 21 novembre 2006. Règlement régional d urbanisme Arrêté du Gouvernement de la Région de Bruxelles-Capitale du 21 novembre 2006. Titre VI PUBLICITES ET ENSEIGNES INTRODUCTION GÉNÉRALE CARACTERISTIQUES DES CONSTRUCTIONS ET

Plus en détail

DISPOSITIONS APPLICABLES A LA ZONE N

DISPOSITIONS APPLICABLES A LA ZONE N DISPOSITIONS APPLICABLES A LA ZONE N CARACTERE DE LA ZONE Zone faisant l objet d une protection en raison soit de la qualité des sites, des milieux naturels, des paysages et de leur intérêt notamment du

Plus en détail

C0nstruire une mais0n. Sommaire

C0nstruire une mais0n. Sommaire Sommaire Page 2 : Le terrain Page 3 : Les raccordements Page 4 : Les fondations Page 5 : La chape Page 6 : Les murs Page 8 : Les planchers Page 9 : Le toit Page 10 : La charpente Page 12 : Les tuiles C0nstruire

Plus en détail

Brochure technique. Garde-corps. bpa Bureau de prévention des accidents

Brochure technique. Garde-corps. bpa Bureau de prévention des accidents Brochure technique Garde-corps bpa Bureau de prévention des accidents Eviter les chutes dans les bâtiments Les garde-corps remplissent une fonction importante dans les bâtiments: ils protègent des chutes

Plus en détail

Rosemont- La Petite-Patrie. Îlots de chaleur urbains. Tout. savoir! ce qu il faut

Rosemont- La Petite-Patrie. Îlots de chaleur urbains. Tout. savoir! ce qu il faut Rosemont- La Petite-Patrie Îlots de chaleur urbains Tout savoir! ce qu il faut Qu est-ce qu un îlot de chaleur? Un îlot de chaleur désigne une élévation localisée des températures, particulièrement des

Plus en détail

Organiser, plannifier

Organiser, plannifier Dossier HABITAT - Organiser, plannifier Organiser, plannifier 010-011 Les métiers et l organisation Situation de départ : Les travaux de la maison vont commencer, qui doit intervenir en premier, comment

Plus en détail

PIG Programme d Intérêt Général Communauté de Communes Les Hauts du Lyonnais. Réunion Publique du 27/06/2013

PIG Programme d Intérêt Général Communauté de Communes Les Hauts du Lyonnais. Réunion Publique du 27/06/2013 PIG Programme d Intérêt Général Communauté de Communes Les Hauts du Lyonnais Réunion Publique du 27/06/2013 1 Sa durée est de 3 ans de Juin 2013 à Mai 2016. Le périmètre de l opération concerne les 10

Plus en détail

SOMMAIRE TITRE 1 : DISPOSITIONS GENERALES 2

SOMMAIRE TITRE 1 : DISPOSITIONS GENERALES 2 SOMMAIRE TITRE 1 : DISPOSITIONS GENERALES 2 Article 1 : Champ d application territorial... 3 Article 2 : Portées respectives du règlement à l égard des autres législations relatives à l occupation des

Plus en détail

Epargne immobilière Nue-propriété Immobilier neuf. Nice. au pied de la Corniche Fleurie

Epargne immobilière Nue-propriété Immobilier neuf. Nice. au pied de la Corniche Fleurie Epargne immobilière Nue-propriété Immobilier neuf Nice au pied de la Corniche Fleurie Nice, le charme éternel de la Baie des Anges Les siècles passent et Nice garde intacte sa légendaire douceur de vivre.

Plus en détail

Etat de conservation : établissement industriel désaffecté ; restauré

Etat de conservation : établissement industriel désaffecté ; restauré Département : IA000251 Aire d'étude : Limoges Adresse : Emile-Zola (rue) 2, 12 Dénomination : usine de chaussures Destinations : immeuble de bureaux ; immeuble à successives et actuelles Appellation et

Plus en détail

L E S F A Ç A D E S C O M M E R C I A L E S D U C E N T R E D E L I È G E. Guide des bonnes pratiques

L E S F A Ç A D E S C O M M E R C I A L E S D U C E N T R E D E L I È G E. Guide des bonnes pratiques L E S F A Ç A D E S C O M M E R C I A L E S D U C E N T R E D E L I È G E Guide des bonnes pratiques TABLE DES MATIÈRES ÉDITO I m p o r t a n c e d e l a f a ç a d e c o m m e r c i a l e P r i n c i p

Plus en détail

Grilles de défense - Garde-corps - Balcons - Portails et clôtures Oeil de boeuf - Marquise - Barres d appui - Mains courantes - Etendoir - Grilles

Grilles de défense - Garde-corps - Balcons - Portails et clôtures Oeil de boeuf - Marquise - Barres d appui - Mains courantes - Etendoir - Grilles Grilles de défense - Garde-corps - Balcons - Portails et clôtures Oeil de boeuf - Marquise - Barres d appui - Mains courantes - Etendoir - Grilles ouvrantes Fabrication française standard et sur mesure

Plus en détail

Expertise vénale Expertise d'un bâtiment existant avant et après travaux

Expertise vénale Expertise d'un bâtiment existant avant et après travaux Gudrun Xpert - sa Avenue des Arts 50 BE - 1000 Bruxelles tel. 02/515 12 40 98947-07 /VEN Client Mevr Kathleen Van Limburg Vredestraat 25 BE - 1080 Brussel Avenue des arts 50 Belgique - 1000 Bruxelles 11/123.45.67

Plus en détail

Décrets, arrêtés, circulaires

Décrets, arrêtés, circulaires Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L ÉGALITÉ DES TERRITOIRES ET DU LOGEMENT Arrêté du 14 mars 2014 fixant les dispositions relatives à l accessibilité des logements destinés à l

Plus en détail

main-d oeuvr mploi Profil économique opulation active construction résidentielle logement

main-d oeuvr mploi Profil économique opulation active construction résidentielle logement Profil économique VILLE DE MONTRÉAL Arrondissement de Rivière-des-Prairies Pointe-aux-Trembles chômage mploi logement établissements d affaires localisation de l emploi revenus d emploi professions main-d

Plus en détail

SOMMAIRE. Des dallages de caractère pour des piscines très exclusives RUSTIQUE BULLÉE 04 ABBAYE 12 PIERRE DU LOT 10 COLLÉGIALE 16

SOMMAIRE. Des dallages de caractère pour des piscines très exclusives RUSTIQUE BULLÉE 04 ABBAYE 12 PIERRE DU LOT 10 COLLÉGIALE 16 2011 Des dallages de caractère pour des piscines très exclusives De l atmosphère restituée des anciennes bâtisses à l esprit de modernité des maisons contemporaines, les dallages et margelles PIERRA signent

Plus en détail

- Grille d'autodiagnostic Restaurant

- Grille d'autodiagnostic Restaurant - Grille d'autodiagnostic Restaurant L objectif de ce document est de permettre aux exploitants de se forger un aperçu du niveau d accessibilité de leur établissement face aux obligations de mise en conformité

Plus en détail

PROJET DE RESTAURATION DE L ANCIEN COUVENT DE LA VISITATION. Monument Historique. Place de la République 72000 LE MANS

PROJET DE RESTAURATION DE L ANCIEN COUVENT DE LA VISITATION. Monument Historique. Place de la République 72000 LE MANS PROJET DE RESTAURATION DE L ANCIEN COUVENT DE LA VISITATION Monument Historique Place de la République 72000 LE MANS 01 PRÉSENTATION DE LA VILLE Le Mans Paris Rennes Nantes Le Mans À seulement 50 minutes

Plus en détail

Décrets, arrêtés, circulaires

Décrets, arrêtés, circulaires Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DES TRANSPORTS, DE L ÉQUIPEMENT, DU TOURISME ET DE LA MER Arrêté du 15 janvier 2007 portant application du décret n o 2006-1658 du 21 décembre 2006

Plus en détail

Menuiseries du bâtiment

Menuiseries du bâtiment D. Mugniery C. Pruvost Menuiseries du bâtiment Portes et fenêtres Volets Parquets Escaliers Revêtements muraux Agencement Graphisme de couverture : Maud Warg Maquette intérieure : Maud Warg Mise en pages

Plus en détail

Immeuble collectif AQC

Immeuble collectif AQC AQC Immeuble collectif Comment bien utiliser votre assurance construction «Dommages-Ouvrage»? Ce document est édité par l Agence Qualité Construction, association dont la mission est d améliorer la qualité

Plus en détail

Domaine. à Bayonne. Une nouvelle vie pour un nouveau quartier

Domaine. à Bayonne. Une nouvelle vie pour un nouveau quartier Domaine du Moulin à Bayonne Une nouvelle vie pour un nouveau quartier ** * Ceci n est pas un label. Cet immeuble fera l objet d une demande de label BBC-effinergie, Bâtiment Basse Consommation, auprès

Plus en détail

Plan Local d Urbanisme

Plan Local d Urbanisme COMMUNAUTE URBAINE DE DUNKERQUE Plan Local d Urbanisme C A H I E R D E R E C O M M A N D A T I O N S A R C H I T E C T U R A L E S U R B A I N E S E T P A Y S A G E R E S Approuvé le 9 février 2012 PLU

Plus en détail

La réglementation et les obligations qui en découlent

La réglementation et les obligations qui en découlent Accessibilité en milieu urbain La réglementation et les obligations qui en découlent Actualités : les BEV La norme Afnor NF P 98-351 relative aux caractéristiques et essais des dispositifs podotactiles

Plus en détail