LE FLASH. Octant. Territoires La communauté d agglomération de Rennes. Numéro 94 - Janvier 2004
|
|
- Claude Mongrain
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 LE FLASH Octant Le Verger Territoires La communauté d agglomération de Gévezé Partenay de Bretagne Clayes La chapelle des Fougeretz Betton Saint- Gilles La Chapelle- Pacé Saint-Grégoire Montgermont Thouarault L Hermitage Vezinle-Coquet Cintré Le Rheu Mordelles Saint-Jacquesde-la-Lande Chavagne Chartresde-Bretagne Noyal- Chatillon- 1 km Bruz Vernsur-Seiche Cesson- Sévigné Chantepie Noyalsur-Vilaine Thorigné- Fouillard sur-seiche Saint-Erblon Pont-Péan Saint-Armel Orgères Chevaigné Saint-Sulpicela forêt Corps-Nuds Acigné Numéro 94 - Janvier 2004 Avec habitants et emplois sur 36 communes, Métropole est la première agglomération de Bretagne, tant sur le plan démographique qu économique. Au cours de la décennie , l augmentation de population a dépassé +1,2 % par an, soit un taux supérieur à ceux observés lors des deux périodes intercensitaires précédentes. Comme ailleurs, le nombre de personnes seules a fortement augmenté et Brécé l âge moyen des habitants s est élevé. En termes d habitat, l opposition entre et sa périphérie est encore très présente. Six groupes de communes et quartiers se dégagent, par l analyse des catégories socioprofessionnelles dominantes. Le statut d occupation des logements, l activité ou le chômage accompagnent cette différenciation. Les étudiants et les cadres caractérisent le groupe le plus central, celui marqué par la présence d une agriculture forte est le plus périphérique. ISSN X - CODE SAGE : FLASH PRIX : 2,20 E n mars 1999, les 36 communes qui forment la communauté d agglomération appelée regroupaient habitants, dont dans la ville de. Seules deux autres communes dépassaient habitants lors du recensement : Bruz ( habitants) et Cesson-Sévigné ( habitants). La communauté compte emplois, dont 8 % à. La croissance de dépasse nettement celle du département, ce qui se traduit par un poids de la communauté d agglomération dans la Évolution de la population (indice 100 en 1901) Source : Insee - Recensements de la population Métropole Département d Ille-et-Vilaine 1999
2 Nord et Ouest Centre-Sud-Ouest CESSON-SÉVIGNÉ Nord SAINT-JACQUES- DE-LA-LANDE Extrarocade RENNES 3 Sud Centre 2 - Thabor - Saint-Hélier 3 - Bourg-l Évèque - La Touche - Moulin du Comte 4 - Nord - Saint-Martin - Maurepas - Patton 6 - Jeanne-d Arc - Les Longschamps - Beaulieu - Baud 7 - Francisco-Ferrer - Vern - Poterie 8 - Sud-Gare 9 - Cleunay - Arsenal - Redon 10 - Villejean - Beauregard 11 - Le Blosne 12 - Bréquigny BRUZ Centre Nord Sud-Est Intrarocade population du département de plus en plus élevé : en 1901, le territoire actuel de Métropole abritait un peu moins de 20 % des habitants du département ; cette proportion est passée à 42 % en Le dynamisme démographique se maintient En 1990, la population totale de s élevait à habitants. Entre 1990 et 1999, la croissance annuelle de la population a atteint 0,48 % à et 2,33 % dans les communes périphériques, soit 1,24 % par an en moyenne sur l agglomération. Entre 197 et 1982, le taux moyen était de 1,02 % et entre 1982 et 1990, il valait 1,0 %. L accroissement de population de la communauté est dû pour 60 % à l excédent des naissances sur les décès, tandis que le solde migratoire en explique 40 %. Dans la ville de, les naissances sont particulièrement nombreuses, ce qui permet une augmentation du nombre d habitants malgré un solde migratoire négatif. De 1990 à 1999, la croissance n est pas homogène sur les différents secteurs de Métropole : ainsi le secteur Sud a une progression de 3,4 % l an, tandis que le secteur Ouest présente un taux de 0,9 %. La population est relativement jeune En 1999, apparaît comme une agglomération jeune, puisque l âge moyen (3,6 ans) est inférieur de plus de 2 ans à la moyenne départementale (37,7 ans) et de plus de 3 ans à celle de la France métropolitaine (38,9 ans). En termes d âge moyen, ilyapeu de contraste entre ville-centre et périphérie. Néanmoins, est caractérisée par le poids des 1-24 ans, en raison du nombre élevé d étudiants qui y résident ; de leur côté, les communes périphériques se distinguent par la présence massive d enfants et d adultes en âge d être leurs parents. Le nombre des moins de 20 ans en périphérie dépasse celui de : contre ; inversement, les 60 ans et plus sont bien moins nombreux en périphérie : contre L indice de jeunesse (rapport des moins de 20 ans aux 60 ans et plus) est ainsi de 1,27 à Taille des ménages dans % et plus Source : Insee - Recensements de la population Les habitants de en 1999, selon le lieu de résidence en 1990 (en %) 7,2 6,9 4,1 11,6 18,9 40,4 même, et de 2,00 sur l ensemble des 3 autres communes, à comparer aux valeurs départementale et nationale (1,26 et 1,1). La part des moins de 20 ans dans la population de est supérieure à la valeur départementale ; c est l inverse pour la proportion des 60 ans et plus. L évolution est marquée par le vieillissement de la population à l instar de la France, voire de l Europe : de 1990 à 1999, l âge moyen s est élevé de 1,7 an dans 10,9 Même logement Autre logement de la même commune Autre commune de Ille-et-Vilaine hors Bretagne hors Ille-et-Vilaine Île de France Autres régions et étranger Découpage utilisé Le découpage utilisé pour la présente étude a pour base le découpage communal, précisé dans les communes de, Cesson-Sévigné et Saint-Jacquesde-la-Lande par le découpage en «grands quartiers» défini pour le recensement. Pour la commune de Bruz, il a été établi un découpage en 4 quartiers basé sur les IRIS afin de tenir compte de la diversité du bâti de la commune. Répartition de la population selon l âge Nombre % 0 à 4 ans à 14 ans à 24 ans à 39 ans à 49 ans à 9 ans à 74 ans ans et plus Ensemble de la population ,1 11,9 19,4 23,7 13,8 10,6 10,2,3 100,0 Ille-et-Vilaine Nombre % ,3 12,8 1,4 22,1 13,9 10,6 12,9 7,0 100,0 / Ille-et-Vilaine 40,2 39,1 3,0 4,0 41,6 42,2 33,3 31,8 42,0 2 Insee Bretagne - Flash d OCTANT - N 94 - Janvier 2004
3 l agglomération rennaise, comme dans l ensemble de l Illeet-Vilaine, mais c est 0,2 an de plus qu au niveau national. À, l accroissement a été de 1,2 an et de 2,3 ans en périphérie. Les déplacements domicile-travail en (+ 19 %) 800 (- 9 %) 100 (+ 4 %) L emploi dans la communauté d'agglomération de Agriculture Industrie Construction Tertiaire Ensemble , Population des ménages selon le mode de cohabitation dans la communauté d'agglomération de Ensemble RENNES Ménages d une personne Homme seul Femme seule Emplois occupés par des actifs résidants : (+ 20 %) Flux 1999 Communes périphériques de Métropole Familles Familles monoparentales Homme seul et enfant(s) Femme seule et enfant(s) Couples avec enfants Couples sans enfant Hors famille dans un ménage de plus d une personne 8 Taux de croissance de flux entre 1990 et (+ 26 %) ( (+28 %) De plus en plus de petits ménages La forte diminution de la taille des ménages observée depuis plusieurs recensements s est poursuivie entre 1990 et %) Hors de Hommes Femmes Ensemble (+ 42 %) Répartition (en %) De 1962 à 1990, le nombre moyen de personnes par ménage était passé, sur le territoire de, de 3,18 à 2,0 ; en 1999, il est de 2,2. Il paraît fort probable que cette baisse continue dans les prochaines années. Pour la première fois, la taille moyenne des ménages à est passée en dessous de 2 (1,98), contre 2,71 dans le reste du territoire communautaire. Cette diminution s explique en grande partie par l accroissement du nombre de ménages de une ou deux personnes. Ce phénomène se vérifie à toute échelle, du quartier à l Europe! En 1999, ces ménages représentent les deux tiers des ménages de ; on compte ainsi dix fois plus de «petits» ménages que de «grands» ménages ( personnes et plus). En dix ans à peine, la composition des ménages a fortement évolué. Près de 17 % des habitants sont des personnes seules, soit presque points de plus qu en 1990 ; la proportion d hommes seuls a d ailleurs progressé davantage que celle de femmes seules. L augmentation de la part des étudiants dans la Évolution Nombre , , , , Évolution Nombre % Nombre % (%) , ,0 12, , ,7 4, , ,0 66, , ,7 46, , ,0 6, , ,9 26, , ,1 6, , ,8 22, , ,7-3, , ,4 29, , ,3 1,4 % population intervient peu dans le développement des ménages d une personne. Allongement de la durée de la vie, mises en couple plus tardives et ruptures plus fréquentes se conjuguent pour arriver à ce résultat. Le nombre de couples sans enfant et de familles monoparentales s accroît également, tandis que les familles traditionnelles, les couples avec enfants, sont moins nombreuses et ne représentent plus que la moitié de la population. Mobilité résidentielle sur la décennie Six habitants de Métropole sur dix ont changé de logement entre 1990 et Un contraste apparaît toutefois entre la ville de et sa périphérie : 36 % des Rennais habitent er le même logement qu au 1 janvier 1990, contre 46 % pour les habitants des autres communes de l agglomération. A l inverse, la proportion de personnes ayant changé de logement dans la même ville est de 26 % à, soit 16 points de plus qu en périphérie ce qui, pour une part, est dû à un effet «taille de la commune». Chaque année, environ un Rennais sur neuf et un «périphérique» sur seize changent de logement. attire plutôt les personnes venant d une autre région ou d un autre département breton, tandis que les communes périphériques accueillent plus souvent les nouveaux arrivants en provenance d une autre commune d Ille-et-Vilaine. Dans bien des cas, le nombre de personnes résidant dans le même logement qu en 1990 est inversement proportionnel à l importance des constructions neuves : La Chapelle-Thouarault et L Hermitage ont vu peu de constructions neuves, tandis que le quartier Nord et Ouest de Bruz est presque entièrement neuf. Le nombre d emplois augmente plus vite que la population En 1999, emplois étaient recensés sur le territoire de (nombre d actifs ayant un emploi, mesuré au lieu de travail), plus de la moitié des emplois du département. En 1990, le nombre d emplois recensés était 3 Insee Bretagne - Flash d OCTANT - N 94 - Janvier 2004
4 de , soit une progression de 12,1 %, pour une croissance de population de 11,7 %. La part de l emploi salarié dans l emploi total est élevée : 93 % en 1999, contre 92 % en 1990, et la tendance demeure à la hausse (la moyenne française est passée de 8 % à 88 %). La répartition des emplois par secteurs fait apparaître une grande évolution, voire un bouleversement. Sur la période , l emploi recule de 32 % dans l agriculture et de 11 % dans l industrie ; dans la construction, la situation est à peu près stable tandis que le tertiaire propose 19 % d emplois en plus. La comparaison de la structure des emplois de Métropole avec celle de la France métropolitaine met en lumière deux faits : # les mouvements de l industrie et du tertiaire sont de même sens, mais plus accentués, qu au niveau national ; # les activités de commerce et de services sont nettement surreprésentées dans l agglomération rennaise. Ceci est caractéristique des grandes agglomérations et va dans le sens des études concluant à une métropolisation des 1 emplois. Domicile et travail sont de plus en plus éloignés Les migrations alternantes domicile-travail connaissent une forte croissance. Excepté les déplacements à l intérieur de la villecentre, tous les mouvements augmentent et notamment ceux qui concernent les communes extérieures à. L emploi situé dans la communauté d agglomération a progressé de 12 % et le nombre d actifs qui partent ou qui arrivent dans une commune hors de pour travailler s est accru davantage : il a même presque doublé pour les habitants des communes périphériques travaillant en dehors de. o 1- Voir Insee Première n 840, mars 2002 : Onze fonctions pour qualifier les grandes villes. Le nombre d'emplois «métropolitains supérieurs» à est de 18 28, soit 9,7 % des emplois. Le chômage est concentré sur la ville de De 1990 à 1999, le nombre de chômeurs au recensement est passé de à sur le territoire de la communauté d agglomération, soit une croissance de 26 %. En 1999, la ville de concentrait chômeurs et la progression sur la décennie est voisine de la moyenne nationale (24 %). La proportion de chômeurs dans la population active s établit à 10,1 % sur, contre 9,4 % pour le département et 12,8 % pour la France métropolitaine. Le chômage est relativement bas dans toutes les communes périphériques (6,3 % en moyenne). A l inverse, la ville de est marquée par une proportion importante de chômeurs (13,3 %), notamment à Villejean-Beauregard et au Blosne où l habitat collectif social prédomine ; seul le quartier Vern-Poterie se distingue, l arrivée récente de jeunes actifs occupés ayant pour conséquence un taux de chômage peu élevé. Dans la plupart des communes périphériques, le chômage apparaît stable ou en légère progression tout en restant inférieur à la moyenne nationale ; quelques communes et le quartier Cleunay-Arsenal-Redon voient cette proportion diminuer ; il s agit de territoires marqués par l arrivée de jeunes actifs, la plupart vivant en couples biactifs. Globalement, le territoire rennais enregistre une progression du chômage, modérée dans dix quartiers (y compris Villejean- Beauregard et Le Blosne) et forte dans le centre (par rapport à la moyenne rennaise, le taux de chômage y était plus bas en 1990 et plus fort en 1999). Deux tissus urbanisés, séparés par la rocade La répartition spatiale des types de logement (individuel, collectif social, collectif privé) met en évidence deux tissus urbanisés : le tissu continu, qui occupe l espace intrarocades ( et la partie urbaine de Saint-Jacques-de-la-Lande), et le tissu discontinu qui occupe toute la périphérie. Bien entendu, il existe des espaces d habitat individuel à l intérieur de la rocade, et des immeubles en périphérie (dont beaucoup ont été construits depuis 1990), mais à l échelle des espaces ici utilisés, ces îlots particuliers sont dissimulés par la dominante qui les entoure. Si la part de l habitat collectif social dépasse 30 %, le type de la zone est ainsi défini ; sinon, c est le type majoritaire entre individuel et collectif privé qui l emporte. Compte tenu de cette définition, quatre quartiers seulement figurent dans le type habitat collectif social : # Le Blosne et Maurepas-Patton, deux quartiers où l habitat collectif social est - de peu - majoritaire ; Proportion d habitants qui résident en 1999 dans le même logement qu en 1990 En % Proportion de chômeurs parmi les actifs En % 1 10 # Villejean-Beauregard et Bréquigny, deux quartiers où l habitat collectif social est important mais cependant moins représenté que l habitat collectif privé. Ces quartiers logent un habitant de sur cinq, la taille des ménages y étant juste un peu supérieure à la moyenne. L habitat collectif privé, qui caractérise les autres quartiers rennais, abrite une proportion importante de petits ménages, tandis que les familles nombreuses sont principalement présentes en habitat individuel, qui correspond à l ensemble des 3 communes périphériques. Par ailleurs, les zones où l habitat 4 Insee Bretagne - Flash d OCTANT - N 94 - Janvier 2004
5 Évolution de la part des chômeurs parmi les actifs entre 1990 et 1999 collectif privé est dominant apparaissent comme des lieux de transition puisque moins d un habitant sur trois était déjà dans le même logement en Ce découpage favorise, par sa définition même, la perception des contrastes liés au statut d occupation ; cependant, même dans le type habitat collectif social, la proportion de locataires HLM n atteint pas la moitié des logements en moyenne, tandis que celle de propriétaires dépasse 30 % ; il y existe donc une certaine mixité de l habitat, qui qualifie également l ensemble de l agglomération rennaise. UNE TYPOLOGIE DES TERRITOIRES DE L AGGLOMERATION RENNAISE, SELON LA CATEGORIE SOCIOPROFESSIONNELLE En points Typologie des zones selon les catégories socioprofessionnelles des personnes de référence des ménages 1 Étudiants et cadres 3 Indépendants et cadres Ouvriers et indépendants 2 Étudiants 4 Employés, ouvriers, et inactifs autres qu étudiants 6 Ouvriers et agriculteurs Communes ou quartiers caractérisés par une présence plus forte d une catégorie socioprofessionnelle que la moyenne de. La catégorie socioprofessionnelle (CS) de la personne de référence est traditionnellement utilisée comme indicateur explicatif des différences de mode de vie, de rapport au travail ou de consommation. La typologie selon les CS met en évidence une structuration du territoire communautaire, en particulier en périphérie, plus fine que celle obtenue par le seul type d habitat. Elle permet de distinguer six groupes de quartiers et communes, et fait apparaître l existence de grands territoires ou de zones plus petites qui, par leur éloignement à notamment, ont des caractéristiques proches. Le groupe central, habitat privilégié des étudiants et cadres Le groupe 1 comprend les zones les plus centrales de la communauté : les quartiers Centre, Thabor/Saint-Hélier et Jeanne d'arc-les Longschamps- Beaulieu-Baud, ainsi que le quartier Nord et Ouest de Bruz, soit 4 % de la surface de Métropole et 18,2 % de sa population. Les cadres et professions intellectuelles supérieures sont surreprésentés, en particulier les professions libérales (beaucoup de non-salariés parmi les actifs) mais surtout les étudiants, avec les conséquences qui s en suivent : forte proportion de 1-24 ans, ménages de petite taille, parc locatif privé majoritaire, parc locatif social marginal, population fortement renouvelée. Par ailleurs, on constate une part relativement faible des retraités, et la proportion forte de personnes âgées de 7 ans et plus est compensée par une présence moins élevée des ans. Le taux d activité est faible, le taux de chômage relativement fort ainsi que la part 2 des emplois précaires. Un groupe peu actif en péricentre Le groupe 2 correspond aux quartiers rennais de Villejean- Beauregard, Nord-Saint Martin et Bourg l Évesque-La Touche- Moulin du Comte et à la partie de Cesson-Sévigné qui rassemble le centre originel, des lotissements anciens et les logements de la ZAC de Coësmes ; il rassemble 12, % de la population de sur,1 % de la surface. Il semble se rapprocher du groupe 1 par plusieurs aspects : la pyramide des âges, 2- Cependant, une bonne partie des emplois «précaires» sont des emplois de stagiaires, donc peut-être des étudiants. Les types d'habitat dominant Habitat individuel Habitat collectif social Habitat collectif privé Poids du type en population totale Poids de la classe en nombre de ménages Taille moyenne des ménages Part de la population dans le même logement qu'en 1990 Propriétaire Répartition par statut d'occupation (en %) Locataire vide non HLM Locataire vide HLM Autres 42, 3,6 2,73 46,0 67,8 18,8 9,6 3,8 20,1 19,7 2,27 39,6 31, 17,9 44,6 6,0 37,4 44,7 1,86 32,3 3,1 43,4 12, 9,0 Ensemble 100,0 100,0 2,2 39,6 46,1 29,6 17,8 6, Insee Bretagne - Flash d OCTANT - N 94 - Janvier 2004
6 les taux d activité et de chômage, la proportion d emplois précaires et une part importante des étudiants (mais moindre que dans le groupe 1). Ce qui caractérise ce groupe est la sousreprésentation de toutes les catégories socioprofessionnelles d actifs, les retraités étant dans la moyenne. Un tiers des logements font partie du locatif privé, un cinquième du locatif social et un bon tiers sont occupés par leurs propriétaires ; la mobilité résidentielle est un peu moins forte que dans le groupe précédent. Au nord, des communes périphériques aisées Les communes du groupe 3 forment une demi-ceinture continue au nord de, de Pacé à Acigné, et logent 12,7 % de la population de Métropole sur 24,7 % de sa surface. La première caractéristique de ce groupe est la présence massive des catégories socioprofessionnelles dites supérieures : indépendants, employeurs, cadres et professions intellectuelles supérieures représentent 30 % des ménages, soit 10 ou 1 points de plus que dans les cinq autres groupes ; les professions intermédiaires sont également bien représentées. La proportion d emplois précaires s avère très faible ; 70 % des ménages sont propriétaires occupants et la stabilité résidentielle est importante. On rencontre beaucoup de familles avec enfants, souvent constituées depuis assez longtemps d après l âge des enfants. Un habitat populaire pour certains quartiers périphériques de Le groupe 4 comprend les quartiers de Maurepas-Patton, de Sud Gare, du Blosne, de Bréquigny et de Cleunay- Arsenal-Redon ; il rassemble 24, % de la population de sur 4, % de la surface. Il est caractérisé par une forte proportion de logements HLM (3 %), un taux de chômage supérieur à 14 % - le plus fort parmi les six groupes - et une part élevée de salariés en emplois précaires (17 %), composés surtout de travailleurs intérimaires ou en CDD. Outre les ouvriers et employés, est aussi présente la catégorie inactif autre qu étudiant, souvent des femmes au foyer, ce qui caractérise bien les quartiers populaires. Le quartier Centre-Sud-Ouest de Bruz se rattache à ce groupe ; il comprend une proportion importante de petits collectifs HLM construits à la fin des années 70. Au sud, une vaste zone périurbaine aux caractéristiques moyennes Le groupe est le plus important en termes de communes comme en termes de population ; il rassemble 28,3 % de la population de sur 4,3 % de la surface. Il s agit d un territoire essentiellement périphérique, mais qui inclut aussi le quartier rennais Vern-Poterie. Les logements sont le plus souvent occupés par leurs propriétaires (plus de 60 %) et les ménages dont la personne de référence est travailleur indépendant (artisan, commerçant, chef d entreprise) ou ouvrier sont surreprésentés. À l inverse, la proportion d emplois précaires est inférieure à 12 %, le taux de chômage s établit à 7 % ; c est ici qu on trouve le moins de 1-24 ans, mais le plus de retraités. Pour le reste, ce groupe est dans la moyenne de, ce qui tient pour une bonne part à son poids. Des communes rurbaines en limite de communauté Le groupe 6 est très périphérique, puisqu il se compose de communes toutes situées aux limites de, totalisant 16,4 % de sa surface ; sa faible population (3,8 % de la population de ) le rend également marginal. Cependant ses caractéristiques, quoique proches de celles du groupe, sont bien affirmées : les trois quarts des ménages sont propriétaires et la population est très stable, plus d un habitant sur deux habitait le même logement en Les agriculteurs sont trois fois plus nombreux que sur Métropole hors et on compte deux fois plus d ouvriers que dans l ensemble de la communauté d agglomération. Ce groupe se distingue aussi par la relative jeunesse de sa population (âge moyen : 34 ans contre 3,6 en moyenne sur ) due surtout au grand nombre de jeunes enfants. Il s agit donc de communes assurant la transition entre la périphérie de l agglomération rennaise et le monde plus rural environnant. Cette note rédigée en 2003 ne prend pas en compte l'entrée de Bourgbarré et Nouvoitou dans la communauté d'agglomération de er au 1 janvier Répartition des personnes de référence des ménages par catégorie socioprofessionnelle (en %) Groupe Agriculteurs exploitants Artisans commerçants chefs d'entreprise Cadres et professions intellectuelles supérieures Professions intermédiaires Employés Ouvriers Retraités Étudiants ou élèves Inactifs autres qu'étudiants ou élèves 1 Étudiants, cadres 2 Étudiants 3 Indépendants, cadres 4 Employés, ouvriers, inactifs non étudiants Ouvriers, indépendants 6 Ouvriers, agriculteurs 0,0 3,0 17, 13,9 8,9 6,0 16,1 30,1 4, 0,1 2,8 12,1 1,1 11,2 10,6 22,9 20,7 4, 1,2,6 23,1 20,7 10,4 13,4 22,3 1,3 2,0 0,0 3,0 9,8 16, 17,3 18,0 22,9 6, 6,0 0,8 4,7 12, 20,6 11,3 19,8 2,4 1,4 3, 3,6 4, 9,6 19,6 7,9 29,0 23,6 0,4 1,8 0, 3,7 13,8 17,3 12,1 14,6 22,0 11,7 4,3 0,0 2,8 12,7 1,7 13,4 12, 20,8 16,9,2 hors 1,2,2 1,9 20,0 9,9 18,4 24,0 2,7 2,7 INSEE Bretagne 36, place du Colombier CS RENNES Cedex Tél. : Fax : Pour tout renseignement : Bureau d information - Tél. : e INSEE 2004 Dépôt légal : 1 trimestre 2004 Imprimerie : Média Graphic - Directeur de la Publication : Bernard LE CALVEZ Rédactrice en chef : Laurence LUONG Composition : Jean-Paul MER Cette note a été rédigée par : Jacques DARLOT, de l'audiar 6 Insee Bretagne - Flash d OCTANT - N 94 - Janvier 2004
Bellevue - Chantenay - Sainte-Anne
Mendès France Croix Bonneau - Bourderies auriers Mairie de Chantenay Plessis Cellier - Roche Maurice Boucardière - MallèveJean Macé Salorges - Cheviré - zone portuaire E QUARTIER Sainte- Anne, contrasté,
Plus en détailSaint-Vallier-de-Thiey Bar-sur-Loup. Grasse. Grasse-sud
PROVENCE-ALPES-COTE D'AZUR 17 rue Menpenti 13387 MARSEILLE CEDEX 1 Tél. : 4 91 17 57 57 Fax : 4 91 17 59 59 http://www.insee.fr TERRITOIRE CA POLE AZUR PROVENCE 5 communes, 2 chefs lieux de cantons, unité
Plus en détailFICHE SIGNALETIQUE. Cœur de Flandre. 1. Profil Territoire. 2 Profil Fiscal
FICHE SIGNALETIQUE Pays Cœur de Flandre Consultable sur www.sigale.nordpasdecalais.fr Le pays a été reconnu le 9 mars 2004 et le premier contrat a été signé le 15 décembre 2004. Il comporte 45 communes
Plus en détailLes parcs de logements et leur occupation. dans l Aire Urbaine de Lille et sa zone d influence. Situation 2005 et évolution 1999-2005
Les parcs de logements et leur occupation dans l Aire Urbaine de Lille et sa zone d influence Situation 2005 et évolution 1999-2005 Décembre 2008 Le territoire d étude 2 Agence de développement et d urbanisme
Plus en détailLes salariés de l économie sociale et solidaire
L'Économie sociale et solidaire Les salariés de l économie sociale et solidaire L'EMPLOI SALARIÉ L ESS, un employeur déterminant de l économie régionale 20 Relative précarité de l emploi dans l ESS 22
Plus en détailStéphanie Dupays. du fait de stratégies individuelles ou familiales ou bien de contraintes liées aux changements
En un quart de siècle, la mobilité sociale a peu évolué Stéphanie Dupays En 2003, un homme âgé de 40 à 59 ans sur trois a une position sociale identique à celle de son père au même âge. Ce chiffre cache
Plus en détailDescription des variables de la base de données. a. Attractivité démographique pour les différents types de population
Description des variables de la base de données a. Attractivité démographique pour les différents types de population Sources : Recensements de 1962 à 2006 et Clap 2007 - a01_popmoy62, a01_popmoy68, a01_popmoy75,
Plus en détailmain-d oeuvr mploi Profil économique opulation active construction résidentielle logement
Profil économique VILLE DE MONTRÉAL Arrondissement de Rivière-des-Prairies Pointe-aux-Trembles chômage mploi logement établissements d affaires localisation de l emploi revenus d emploi professions main-d
Plus en détailL ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN 2003 : UNE ANALYSE TERRITORIALISÉE DES PROFILS D OCCUPATION DES PARCS ET DES QUARTIERS
ATELIER PARISIEN D URBANISME - 17, BD MORLAND 75004 PARIS TÉL : 01 42 71 28 14 FAX : 01 42 76 24 05 http://www.apur.org Observatoire de l'habitat de Paris L ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN
Plus en détailLes durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes
Revenus Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Marie-Émilie Clerc, Pierre Lamarche* Entre 2005 et 2011, l endettement des ménages a fortement augmenté, essentiellement du fait de la hausse
Plus en détailLes seniors dans l agglomération nantaise et leurs modes d hébergement
Les seniors dans l agglomération nantaise et leurs modes d hébergement Agence d urbanisme de la région nantaise AURAN - 88.07 n Le nombre de seniors dans l Agglomération nantaise progresse et plus particulièrement
Plus en détailavez-vous pensé à l accueil de jour?
Personnes âgées : avez-vous pensé à l accueil de jour? Pour favoriser le maintien à domicile, le Département encourage l accueil de jour Ille-et-Vilaine, la vie à taille humaine Vous avez plus de 60 ans,
Plus en détailL observation du parc existant et de ses évolutions récentes informe sur les équilibres sociaux et démographiques.
LE PARC DE LOGEMENTS À PARIS Le parc existant La construction neuve Le marché immobilier Juillet 2007 Préfecture de Paris / DULE / Bureau de l habitat Section analyse et prospective habitat 1. INTRODUCTION
Plus en détailL emploi des seniors
L emploi des seniors dans la branche des laboratoires de biologie médicale Observatoire des métiers des Professions Libérales 52 56 rue Kléber 92309 LEVALLOIS PERRET Cedex Tél. 01 46 39 38 64 Fax 01 46
Plus en détailÉvolution du tissu artisanal en Bretagne
du tissu artisanal en Bretagne Alors que le nombre d entreprises artisanales bretonnes a baissé depuis 1990, 28 000 emplois salariés supplémentaires ont été créés dans le secteur en 14 ans. La taille des
Plus en détailDOCUMENT DE TRAVAIL : ENQUÊTE ANNUELLE SUR LES DANS LES PME DE SEINE-SAINT SAINT DENIS (Données 2012)
Février 2014 DOCUMENT DE TRAVAIL : ENQUÊTE ANNUELLE SUR LES MOUVEMENTS D EMPLOI D DANS LES PME DE SEINE-SAINT SAINT DENIS (Données 2012) Délégation au DéveloppementD Économique, à l Emploi, à la Formation
Plus en détailP opulation. ATLAS DES POPULATIONS IMMIGRÉES en Ile-de-France / Regards sur l immigration / Population 2. Photo : Philippe Desmazes/AFP
P opulation Photo : Philippe Desmazes/AFP Près de 40 % des immigrés résidant en métropole vivent en Ile-de-France en 1999. Environ 15 % de la population francilienne est immigrée, c est une proportion
Plus en détailLa mobilité professionnelle revêt
Mobilité professionnelle 17 Du changement de poste au changement d entreprise, en passant par la promotion : la mobilité des Franciliens Les salariés franciliens, notamment les cadres, ont une propension
Plus en détailLe marché des bureaux dans le pays de Lorient en 2013
n 65 juin 2014 Le marché des bureaux dans le pays de Lorient en 2013 Observatoire n 4 Contact : Gilles Poupard 02 97 12 06 31 Sommaire Rappel de la démarche 5 Principaux résultats 2013 7 1. Le marché des
Plus en détailLes travailleurs frontaliers franc-comtois dans l Arc jurassien suisse
Les travailleurs frontaliers franc-comtois dans l Arc jurassien suisse A nalysé à travers les chiffres du recensement de la population de 2007, le travailleur frontalier comtois réside principalement dans
Plus en détailMarché de l occasion et exigences de rénovation énergétique. Rencontre de l Observatoire 21 mai 2015
Marché de l occasion et exigences de rénovation énergétique Rencontre de l Observatoire 21 mai 2015 Logements neufs / logements d occasion 7 700 logements d occasion vendus en 2013 dans l aire urbaine
Plus en détailSECTEUR SANITAIRE ET SOCIAL
SECTEUR SANITAIRE ET SOCIAL Etat du tissu associatif et bilan de l emploi du secteur non lucratif en 2013 En bref Le Centre de ressources DLA (CRDLA) du champ social, médico-social et santé poursuit son
Plus en détailPanorama. de l économie sociale et solidaire
Panorama de l économie sociale EN FRANCE ET DANS LES RÉGIONS Réalisée par l Observatoire National de l Economie Sociale et Solidaire, cette nouvelle édition du «Panorama de l économie sociale en France
Plus en détailLa motorisation des ménages continue de s accroître au prix d un vieillissement du parc automobile
La motorisation des ménages continue de s accroître au prix d un vieillissement du parc automobile Marina Robin, CGDD, SOeS Avec 32,7 millions de véhicules, le parc automobile des ménages métropolitains
Plus en détailSociologie des joueurs en ligne
Mars 2013 Sociologie des joueurs en ligne Enquête ARJEL 2012 Autorité de régulation des jeux en ligne 2 Propos introductifs à l enquête sur la sociologie des joueurs Au-delà de la publication trimestrielle
Plus en détailLe marché des bureaux dans l agglomération rennaise
Bureaux Le marché des bureaux dans l agglomération rennaise Cet observatoire dresse un bilan rapide de l année écoulée et permet de mettre en évidence les tendances de l année 2015. L offre neuve est désormais
Plus en détailSYNTHÈSE. En 2012, la province Sud compte 16 700 personnes. Le maintien à domicile : solution privilégiée des personnes âgées
SYNTHÈSE BP 823-98845 Nouméa Nouvelle-Calédonie (687) 27 54 81 isee@isee.nc www.isee.nc Directeur de la publication Alexandre Gautier Conception et réalisation Département publications Synthèse N 3 Édition
Plus en détailL emploi des jeunes dans les entreprises de l économie sociale et solidaire
L emploi des jeunes dans les entreprises de l économie sociale et solidaire Contexte régional Créé en 2010 par l Atelier Centre de ressources régional de l économie sociale et solidaire et la Chambre régionale
Plus en détailles évolutions récentes
DE L ADEUS les évolutions récentes dans le BAS-RHIN : des territoires plus spécialisés et plus interdépendants 92 DéCEMBRE 2012 TRANSVERSAL Illustration : ADEUS, 2012 Depuis le milieu des années 1970,
Plus en détailI. Les dossiers de prêt à la fin de l année 1995 : un premier bilan encourageant. II. Élargissement du public et fréquentation en hausse dans les ADIL
LA REFORME DE L AIDE A L ACCESSION Un premier bilan Résumé I. Les dossiers de prêt à la fin de l année 1995 : un premier bilan encourageant II. Élargissement du public et fréquentation en hausse dans les
Plus en détailOTT Observatoire du Travail Temporaire. L intérim dans le secteur du BTP
L intérim dans le secteur du BTP Septembre 2005 Sommaire Introduction page 3 I Données de cadrage du secteur du BTP page 4 A) Evolution du nombre de intérimaires et du taux de recours à l intérim pages
Plus en détailpublication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques
Dares Analyses Novembre 2011 N 081 publication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques L EMPLOI DE TRAVAILLEURS HANDICAPÉS DANS LES ÉTABLISSEMENTS DE 20 SALARIÉS
Plus en détailLes Franciliens utilisent autant les transports en commun que la voiture pour se rendre au travail
ILE-DE-FRANCE à la page à la page N 353 - Avril 11 Population Les Franciliens utilisent autant les transports en commun que la voiture pour se rendre au travail Les Franciliens utilisent autant la voiture
Plus en détailGESTION, ADMINISTRATION
GESTION, ADMINISTRATION A vec 73 5 emplois et 9,8 % des actifs, les métiers de la gestion et de l administration des entreprises constituent le troisième domaine professionnel dans la région, un rang identique
Plus en détailIMMOBILIER D ENTREPRISE
La transformation de bureaux en logements : un premier bilan PAR BRIGITTE JOUSSELLIN 1 Entre 1994 et 1998, plus de 500 000 m 2 de surfaces d activités ont été transformées en logements, permettant de résorber
Plus en détailEnquête globale transport
Enquête globale transport N 15 Janvier 2013 La mobilité en Île-de-France Modes La voiture L EGT 2010 marque une rupture de tendance importante par rapport aux enquêtes précédentes, en ce qui concerne les
Plus en détailADIL 05 Agence Départementale d Information sur le logement -
ADIL 05 Agence Départementale d Information sur le logement - Observatoire des Loyers du Parc Privé des Communes de Briançon, Embrun et Gap Cette étude, à destination des professionnels de l immobilier,
Plus en détailCet article s attache tout d abord
Méthodes internationales pour comparer l éducation et l équité Comparaison entre pays des coûts de l éducation : des sources de financement aux dépenses Luc Brière Marguerite Rudolf Bureau du compte de
Plus en détail«Vieillir en pavillon : mobilités et immobilités des personnes âgées dans l espace périurbain»
LADYSS (UMR 7533) CNRS - Université Paris 1 LISST-Cieu (UMR 5193) CNRS - Université Toulouse-Le Mirail CIRTA Institut d Aménagement Régional - Université Aix-Marseille 3 Programme de recherche Vieillissement
Plus en détailBILAN ÉCONOMIQUE ET SOCIAL DU VAL D OISE 1998-1999 LES ÉQUIPEMENTS COMMUNAUX
BILAN ÉCONOMIQUE ET SOCIAL DU VAL D OISE 1998-1999 LES ÉQUIPEMENTS COMMUNAUX 1 - Des communes inégalement desservies en terme d équipements 2 - Des pôles majeurs d attraction en terme d équipements 3 -
Plus en détailImmobilier de bureaux
Immobilier de bureaux Observatoire Nantais de l Immobilier Tertiaire L année en chiffres Nantes Métropole AURAN Édito 5 ans déjà! En 2009, le CINA décidait d organiser la collecte des transactions du marché
Plus en détailLes palmarès du bonheur professionnel
Les palmarès du bonheur professionnel Viavoice Le Nouvel Observateur Octobre 2013 Viavoice Paris. Études Viavoice & conseil 9 rue Huysmans, 75 006 Mieux Paris. comprendre + 33 (0)1 40 l opinion 54 13 90
Plus en détailLe baromètre. Dauphine-Crédit Foncier. de l immobilier résidentiel. Tendance globale
Le baromètre Dauphine-Crédit Foncier de l immobilier résidentiel Tendance globale N. 3 Juin 2011 Kevin Beaubrun-Diant, co-responsable de la chaire «Ville et Immobilier», Université Paris-Dauphine. Cette
Plus en détailSeptembre 2010 - N 87 L édition 2010 du Game Fair en Loir-et-Cher Profil des visiteurs et impact économique. Enquête réalisée du 18 au 20 juin 2010
Septembre 10 - N 87 L édition 10 du Game Fair en Loir-et-Cher Profil des visiteurs et impact économique Enquête réalisée du 18 au juin 10 Depuis 1987, le Game Fair a élu domicile dans le cadre prestigieux
Plus en détailDRAVEIL élabore son PLU
DRAVEIL élabore son PLU Réunion publique de quartier DANTON -LA VILLA DOMAINE DE VILLIERS Plan Local d Urbanisme VILLE DE DRAVEIL 10 JUIN 2010 La ville dans son contexte Situation géographique 19kmausuddeParis
Plus en détailLE MARCHÉ DES BUREAUX DE L'AGGLOMÉRATION DE TOURS
200 OBSERVATOIRE DE L'IMMOBILIER D'ENTREPRISE LE MARCHÉ DES BUREAUX DE L'AGGLOMÉRATION DE TOURS en compte propre au sein de l'agglomération de Tours Sommaire & Chiffres clés Editorial 200 : Une année de
Plus en détailL évolution des parts modales des déplacements domicile-travail
Thème : Transport durable Orientation : Faire évoluer les pratiques de mobilité L évolution des parts modales des déplacements domicile-travail par aire urbaine et département hors aires urbaines La part
Plus en détailCompas études. compas. Les enjeux du vieillissement. n 7 - juin 2013
n 7 - juin 2013 Compas études compas Au service du sens Les enjeux du vieillissement La population française vieillit. Ce phénomène n est pas nouveau mais le processus va s accélérer dans les années à
Plus en détailElectriciens du bâtiment
Observatoire Régional de la Formation et de l Emploi (ORFE) La famille professionnelle Electriciens du bâtiment Caractéristiques Tendances 1982-1999 Directeur de la publication : Jean-Claude GAPIN-FREHEL,
Plus en détailDocument d analyse Edition janvier 2014
Les cahiers de l observatoire de la MdEF janvier 2014 Document d analyse Edition janvier 2014 Dossiers thématiques Territoires Evolution de la population lyonnaise depuis 1968 (p. 2 et 3) Lyon et les déplacements
Plus en détailGestion de comptes. - Rapport d étude. Auteur Pôle Banque Finance et Assurance. N étude 1400127. Février 2014. Gestion de comptes
Gestion de comptes - Rapport d étude Auteur Pôle Banque Finance et Assurance N étude 1400127 Février 2014 1 Gestion de comptes Sommaire 1. La méthodologie 3 2. Les résultats de l étude 6 3. Annexes 12
Plus en détailFM/BS N 110157 Contact Ifop: Frédéric Micheau / Bénédicte Simon Département Opinion et Stratégies d'entreprise
FM/BS N 110157 Contact Ifop: Frédéric Micheau / Bénédicte Simon Département Opinion et Stratégies d'entreprise 35 rue de la gare 75019 Paris Tél : 01 45 84 14 44 Fax : 01 45 85 59 39 pour Les Français
Plus en détailBac BEP CAP. Certification. Tertiaire. Sanitaire et social alidation. Parti. Parcours. Réussite VAE. Titre professionnel. Diplôme. Durée parco BEP CAP
ac Parcours Sanitaire et social alidation des personnes ayant passé un jury au cours de l année 2009 en Bretagne MARS 2012 Certification Bac Réussite Sanitaire et social Validation Parcours Certification
Plus en détailPANORAMA. Economie sociale et solidaire dans l'entente. Décembre 2013. Chiffres-clés des entreprises et des emplois de l ESS
Economie sociale et solidaire dans l'entente PANORAMA Décembre 2013 Chiffres-clés des entreprises et des emplois de l ESS L économie sociale et solidaire (ESS) rassemble les entreprises qui cherchent à
Plus en détail12ème. *Source : Centre d Analyse Stratégique «Les secteurs de la nouvelle croissance : une projection à l horizon 2030», Rapport n 48, janvier 2012
2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2013-T1 2013-T2 2013-T3 2013-T4 2014-T1 2014-T2 2014-T3 2014-T4 Fiche Synthèse Sectorielle juillet 2015 Activités juridiques, comptables,
Plus en détailConcepteur de lieux de vie. Programmes PINEL
Programmes SERI-OUEST 30 ans de réalisation immobilière SERI-OUEST propose une offre diversifiée et adaptée à la demande, en résidence principale, résidence secondaire et pour l investissement locatif.
Plus en détailDU GRAND LYON MISE A JOUR 31/12/2012. Avril 2013
OBSERVATOIRE DE L'IMMOBILIER D'ENTREPRISE SUR LE POLE ECONOMIQUE OUEST DU GRAND LYON MISE A JOUR 31/12/2012 Avril 2013 TECHLID L Espace EDEL-Ouest - 185, allée des Cyprès 69760 Limonest : 04 72 17 03 33
Plus en détailFocus. Lien entre rémunération du travail et allocation de chômage
Focus Lien entre rémunération du travail et allocation de chômage Introduction Le travailleur qui devient chômeur et qui est admissible sur base de prestations de travail se voit, en application du principe
Plus en détailContrat de plan Régional de Développement des Formations Professionnelles 2011-2015. Diagnostic Régional Emploi Formation Midi-Pyrénées
Contrat de plan Régional de Développement des Formations Professionnelles 2011-2015 Diagnostic Régional Emploi Formation Midi-Pyrénées Mai 2011 Contrat de plan Régional de Développement des Formations
Plus en détailéclairages QUI SONT LES ALLOCATAIRES INDEMNISÉS PAR L ASSURANCE CHÔMAGE? Près de 3 demandeurs d emploi sur 5 sont couverts par l Assurance chômage
éclairages ÉTUDES ET ANALYSES N 5 AVRIL 213 QUI SONT LES ALLOCATAIRES INDEMNISÉS PAR L ASSURANCE CHÔMAGE? L Unédic a réalisé une étude pour approfondir la compréhension de la population des allocataires
Plus en détailQUI SONT LES IMMIGRÉS?
QUI SONT LES IMMIGRÉS? Près de 15 immigrés en Alsace en 1999 Étrangers, immigrés : deux notions différentes Les notions d immigré et d étranger ne sont pas équivalentes. Les définitions qu en donne le
Plus en détailpublication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques
Dares Analyses FÉVRIER 2014 N 016 publication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques L EMPLOI DANS LES TRÈS PETITES ENTREPRISES EN DÉCEMBRE 2012 Les entreprises
Plus en détailL ARTISANAT EN REGION CENTRE
L ARTISANAT EN REGION CENTRE 1 842 communes 2 457 516 habitants (est. 1.1.2) 32 813 entreprises artisanales employant 9 113 salariés (eff. moyen : 2,7) Dreux Nogent le Rotrou CHARTRES Châteaudun Pithiviers
Plus en détailInégalités de salaires et de revenus, la stabilité dans l hétérogénéité
Inégalités de salaires et de revenus, la stabilité dans l hétérogénéité Gérard Cornilleau Des inégalités contenues, des classes moyennes fragiles Le débat sur les salaires n est plus aujourd hui dominé
Plus en détailRapport d utilité sociale
Rapport d utilité sociale Aiguillon construction, c est : Édito Une Entreprise Sociale pour l Habitat implantée dans l Ouest depuis 1902. Filiale du groupe Arcade, Aiguillon est constructeur et gestionnaire
Plus en détailLe marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 2014. Accelerating success.
Le marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 214 Accelerating success. PERSPECTIVES Une année 215 dans la continuité > Après le creux de 213, l activité sur le marché des bureaux francilien
Plus en détailPersonnes handicapées :
Personnes handicapées : mieux vivre au quotidien Pour connaître les aides et services du Département d Ille-et-Vilaine aux personnes handicapées Ille-et-Vilaine, la vie à taille humaine La solidarité avec
Plus en détailTABLEAU DE BORD EMPLOI FORMATION
G R E F TABLEAU DE BORD EMPLOI FORMATION PAYS DE RENNES Contrat de Projets ÉDITION 2013 PRÉFET DE LA RÉGION BRETAGNE Etat-Région G R E F A D émographie le plus peuplé de. A l inverse de la région, une
Plus en détailSynthèse. Dynamique de l emploi. L0Z-Secrétaires
L0Z-Secrétaires Synthèse En moyenne sur la période 2007-2009, 484 000 personnes exercent le métier de secrétaire, assurant des fonctions de support, de coordination, de gestion et de communication. Les
Plus en détailLa création d entreprise en milieu rural
La création d entreprise en milieu rural Une définition du milieu rural Définir le monde rural à partir de la taille des communes nous paraît insuffisant. En effet, il est important de prendre en compte
Plus en détailUn climat des affaires incertain
AVRIL 2015 Un climat des affaires incertain Au premier trimestre, 39 % des TPE-PME rhônalpines ont observé une baisse de chiffre d affaires par rapport à la même période de 2014 et seulement 24 % une hausse.
Plus en détailPRÉSENTATION DES QUESTIONS DE LA FEUILLE DE LOGEMENT
PRÉSENTATION DES QUESTIONS DE LA FEUILLE DE LOGEMENT Chacune des questions de la feuille de logement fait l'objet d'une fiche recto-verso. Ces fiches ont vocation à être mises en ligne sur le site web
Plus en détailGarder et faire garder son enfant
Garder et faire garder son enfant Nathalie Blanpain* L arrivée d un enfant au sein d un foyer est pour ses parents un événement majeur générateur de changements en termes de rythme de vie et d organisation,
Plus en détailIntervenant : Séverin Poutrel, BURGEAP
Capacités d accueil, aménagements commerciaux, mutabilité foncière : des outils concrets pour construire un SCOT intégrant les vulnérabilités énergétiques et climatique Intervenant : Séverin Poutrel, BURGEAP
Plus en détailI) Evolution de la demande d emploi mensuelle
Document rédigé le 27/04/2015 LES ESSENTIELS DE L EMPLOI - Chiffres de mars 2015 Plan : I) Evolution de la demande d emploi mensuelle (pages 1 et 2) - Catégorie A - Catégorie ABC - Entrées et sorties/offres
Plus en détailL état de la pauvreté en France
Notes de l Observatoire N 1, octobre 2013 L état de la pauvreté en France Combien compte-t-on de pauvres en France? Comment évolue leur nombre? Qui est le plus concerné par la crise? A l heure où une partie
Plus en détailLa diffusion des technologies de l information et de la communication dans la société française
La diffusion des technologies de l information et de la communication dans la société française Étude réalisée par le Centre de Recherche pour l'étude et l'observation des Conditions de Vie (CREDOC) pour
Plus en détailCHAPITRE 2. Population, ménages et familles
CHAPITRE 2 Population, ménages et familles Les faits saillants Enquête sur les conditions de vie en Haïti Distribution spatiale, structure par âge et par sexe de la population Le taux d urbanisation de
Plus en détailFamille multirésidence : recensement et sources alternatives
Famille multirésidence : recensement et sources alternatives Groupe de travail sur la rénovation du questionnaire de recensement Pascale BREUIL Chef de l Unité des Etudes Démographiques et sociales 28/09/2011
Plus en détailCe dossier est édité par l Observatoire de l Association Nationale pour la Formation Automobile
Ce dossier est édité par l Observatoire de l Association Nationale pour la Formation Automobile Service études et prospectives 2 rue Capella Rond point Vega 44483 Carquefou Cedex 02.28.01.08.01 observatoire@anfa-auto.fr
Plus en détailÉLÉMENTS DE CONNAISSANCES SOCIODÉMOGRAPHIQUES
FÉVRIER 2 Observatoire de la formation ÉLÉMENTS DE CONNAISSANCES SOCIODÉMOGRAPHIQUES 4 ème promotion de surveillants pénitentiaires Graphique : Evolution de la part des hommes et des femmes 4 ème 4 ème
Plus en détailL IMPACT DE LA MUTUALISATION SUR LES RESSOURCES HUMAINES
ANNEXES L ISTE DES ANNEXES ANNEXE I : ANNEXE II : ANNEXE III : ANNEXE IV : ÉVOLUTION DES DEPENSES DES COMMUNES ET DES EPCI DE 2006 A 2013 OUTILS JURIDIQUES DE MUTUALISATION A DISPOSITION DES ACTEURS LOCAUX
Plus en détailMise de jeu 2 La certification des formations
Mise de jeu 2 La certification des formations Une formation certifiante délivre un diplôme reconnu par le RNCP Le plus souvent, les formations certifiantes ou qualifiantes sont celles qui mènent à «un
Plus en détailEtude statistique des données fournies par la CCIJP
Etude statistique des données fournies par la CCIJP Sommaire Introduction : Stagnation du nombre de cartes accordées en 2012... 4 1. Dans quels secteurs d activité les journalistes encartés travaillent-ils?
Plus en détailArtiscope. Les chiffres clés de l emploi dans l Artisanat en Région Centre Au 31 décembre 2013 (2ème Semestre 2013 - Année 2013)
Observatoire des Métiers et de l Artisanat Région Centre Juin 214 Artiscope Les chiffres clés de l emploi dans l Artisanat en Région Centre Au 31 décembre 213 (2ème Semestre 213 - Année 213) La révision
Plus en détailSchéma de secteur de la côtière rhodanienne
Livre 1 Schéma de secteur de la côtière rhodanienne Le rapport de présentation Document arrêté par le conseil syndical du 25 février 2014 Le rapport de présentation Document 1 Diagnostic... 8 Document
Plus en détailB Le diplôme est-il un bon passeport pour l'emploi?
B Le diplôme est-il un bon passeport pour l'emploi? a) Le diplôme facilite l'accès à l'emploi typique 1. Les sortants du système éducatif sont de plus en plus diplômés. En 1979, sur 742 000 sortants du
Plus en détailOrigine sociale, offre de formation et niveau atteint dans le secondaire
note d information 06.15 MAI www.education.gouv.fr/stateval Dans les régions à forte tradition ouvrière, l offre en CAP et BEP prédomine largement. La part des élèves sortant sans niveau de qualification
Plus en détailCOMMUNICATION PREPAREE PAR M. BRUNO ROBINE AU NOM DE LA COMMISSION DE L EMPLOI ET DU DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE
COMMUNICATION PREPAREE PAR M. BRUNO ROBINE AU NOM DE LA COMMISSION DE L EMPLOI ET DU DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE 4 MAI 2004 LA SITUATION DE L EMPLOI ET DE LA CONJONCTURE ECONOMIQUE EN REGION D ILE-DE-FRANCE
Plus en détailLes allocataires des minima sociaux: CMU, état de santé et recours aux soins
études résultats et N 603 octobre 2007 Les allocataires des minima sociaux: CMU, état de santé et recours aux soins Une enquête a été effectuée par la DREES au deuxième trimestre 2006 auprès de personnes
Plus en détailMigration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas
Migration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas Prise de position de Caritas_mars 2011 Migration: un plus pour la Suisse En bref: Quel est l effet de
Plus en détailTarbes. Zone d emploi de. Contribution au diagnostic du PRDF par zone d emploi AVRIL 2006
PLAN RÉGIONAL DE DÉVELOPPEMENT DES FORMATIONS MIDI-PYRÉNÉES (PRDF) 7-11 Zone d emploi de Tarbes AVRIL 6 Contribution au diagnostic du PRDF par zone d emploi Fonds social européen Dernières tendances en
Plus en détailDiplômes et insertion professionnelle
Diplômes et insertion professionnelle Béatrice Le Rhun, Pascale Pollet* Les conditions d accès à l emploi des jeunes qui entrent sur le marché du travail varient beaucoup selon le niveau de diplôme. Les
Plus en détailjçíçêáë~íáçå=éí=ãçäáäáí =W=ÇÉë= ÅçãéçêíÉãÉåíë=éäìë=ê~íáçååÉäë=\==
= = ëééíéãäêé=omnm= Fiche n MQ= jçíçêáë~íáçå=éí=ãçäáäáí =W=ÇÉë= ÅçãéçêíÉãÉåíë=éäìë=ê~íáçååÉäë=\== = = L Enquête Nationale Trports et Déplacements (ENTD) réalisée en 27- est l occasion de faire le point
Plus en détailProtection individuelle
Protection individuelle Franchise annuelle Ce plan n'est plus offert 200 $ 900 $ depuis le 1er mars 2015 1 006 $ / / 18-24 87,88 $ 71,71 $ - 39,35 $ 37,08 $ 63,91 $ 25-29 91,38 $ 74,47 $ - 41,04 $ 38,86
Plus en détailL image du statut d auto-entrepreneur Principaux résultats du sondage. Sondage TNS Sofres pour la Fondapol Juin 2010
L image du statut d auto-entrepreneur Principaux résultats du sondage Sondage TNS Sofres pour la Fondapol Juin 2010 Sommaire p. 4 L'image du statut d'autoentrepreneur Présenta)on des résultats - Juin 2010
Plus en détailLe budget, c est combien? C est quoi?
Le budget, c est combien? C est quoi? Pourquoi cette plaquette? Parce que l équipe municipale prélève et gère, dans la recherche de l intérêt commun, une partie de vos ressources, nous sommes comptables
Plus en détailAQUITAINE. Suivi de la Demande touristique 2010 1 ~
SUIVI DE LA DEMANDE TOURISTIQUE AQUITAINE ANNEE 2010 Note dee conjoncture TNS SOFRES-CRTA Suivi de la Demande touristique 2010 CRTAA DIRECCTE Aquitaine TNS T SOFRES 1 ~ SOMMAIRE AVERTISSEMENT METHODOLOGIQUE...
Plus en détailFiche d information à l intention des parents. Volet 2 Les options résidentielles
Centre de réadaptation en déficience intellectuelle de Québec (CRDI de Québec) 7843, rue des Santolines Québec (Québec) G1G 0G3 Téléphone : 418 683-2511 Télécopieur : 418 683-9735 www.crdiq.qc.ca Fiche
Plus en détail