|
|
- Yvette Labrie
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Les cyberrelations: Relations initiées sur Internet Par Rachelle Belleau Étudiante au doctorat en Psychologie
2 Plan de la présentation: Présentation Introduction: Internet comme nouveau médiam Motifs d utilisation d d Internet d pour trouver un partenaire Pertinence d éd étudier les couples dont la relation est initiée e par Internet Caractéristiques ristiques des relations sur Internet Aspects positifs Aspects négatifsn Encore en 2008? Le profil des utilisateurs d Internetd Caractéristiques ristiques des relations de couple formées sur Internet Cybersexe Cyberintimidation
3 Introduction Évolution des technologies de communication Après s la pornographie, l industrie l des sites de rencontre sur Internet est la deuxième plus lucrative Plus d un d million de Canadiens révélaient r avoir utilisé des sites de rencontres en (Bryne & Lenton, 2001) En Psychologie: Intérêt porté sur la formation de relations par Internet, la dissolution de relations interpersonnelles, surtout dans les relations conjugales En 2008
4
5 Petit questionnaire Utilisation d Internet 1. Avez-vous déjà utilisé Internet dans le but de faire des connaissances? (Oui: 1 pt) 2. Avez-vous déjà utilisé Internet dans le but de trouver un partenaire amoureux? (Oui: 1 pt) 3. Avez-vous déjà développé une relation de couple qui a été initiée sur Internet? (Oui: 1 pt)
6 . Personnalité 1. Êtes-vous quelqu un qui prenez généralement l initiative quand vous rencontrez de nouvelles personnes? (Non: 1 pt) 2. Préférez-vous généralement les activités de groupe ou les activités solitaires? (solitaires: 1 pt) 3. Êtes-vous plutôt timide et solitaire ou sociable et aimant être avec les gens? (introverti vs extraverti) (introverti: 1 pt)
7 4. Êtes-vous plus à l aise de discuter avec une personne lorsque c est anonyme qu en tête à tête? (Internet: 1pt) 5. Êtes-vous plus à l aise de vous confier à une personne lorsque c est anonyme qu en tête à tête? (Internet: 1pt) 6. Trouver des points en commun est plus important pour choisir un partenaire amoureux que l apparence physique? (point en commun: 1pt)
8 De façon générale, g les rencontres sur Internet se font dans le but de: trouver un partenaire sexuel ou amoureux dans la vie réelle; r séduire de façon superficielle et s adonner s au cybersexe s investir dans une relation amoureuse de nature strictement virtuelle socialiser ou se faire de nouveaux amis La proportion des internautes voulant développer d une relation à long terme varie d une d étude à l autre. (16% selon étude UQTR)
9 Motifs d utilisation d d Internet d dans la recherche d un d partenaire amoureux L augmentation du nombre de personnes vivant seules (Statistiques Canada, 2000a, dans Brym et Lenton, 2001); La diminution du temps libre engendrée e par l augmentation de la pression au travail (Byrm et Lenton, 2001); Le faible coût t d utilisation d d Internet d (Ellison, Heino et Gibbs, 2006);
10 La plus grande mobilité géographique de la population (Statistiques Canada, 2000b, dans Brym et Lenton, 2001); La diminution de la stigmatisation sociale associée e au fait de s inscrire s à un site de rencontres (Baker, 2002; 2005; St. John, 2002) Le fait que la séduction s et la création de relations amoureuses dans le milieu de travail soient de plus en plus malvenues puisque notre société est devenue plus sensible au harcèlement sexuel (Luck et Mikich, 2000, dans Brym et Lenton, 2001; Ellison, Heino et Gibbs, 2006).
11 Pertinence d éd étudier les relations initiées sur Internet De façon générale: g Les cyberrelations amicales et amoureuses seraient plus faciles à établir et évolueraient plus rapidement (McKenna, 1999) La manière dont l individu l se présente sur Internet diffère de celle observée dans les relations en face à face (Walther, 1999; 1996)
12 Présentation de soi basée e sur ce que la personne croit être plutôt que sur la réalitr alité (Cornwell & Lundgren, 2001) Présentation d une d image de soi plus positive sur Internet (Walther, 1999) on dira qu il y a présentation sélective s de soi. Développement d un d préjug jugé favorable envers l autre l plus important (McKenna, 1999)
13 Pertinence d éd étudier les relations suite L absence de proximité physique réelle r augmenterait le degré de romantisme dans la relation (Levine, 2000) Sentiment de sécurits curité procuré par l anonymat l désinhiberait et favoriserait les échanges d idd idées ainsi que la création rapide de l intimitl intimité et favorise les contacts sociaux (Parks & Floyd, 1996) caractère re hyper personnel des relations sur Internet Les relations initiées par Internet sont perçues par les protagonistes comme étant tant véritables v et profondes. (Brennan & coll. 1992; Bruckman, 1992; Organ, 1993)
14 D autres auteurs sont d avis d que: Les relations initiées par Internet semblent moins sérieuses et nécessitent n moins d implication d (Corwell & Lundgren, 2001) Il y a davantage de fausses représentations dans les cyberrelations et de mensonges (Cornwell & Lundgren, 2001) L apparence physique joue un rôle secondaire dans les relations amoureuses initiées par Internet contrairement à ce qui se passe dans les relations traditionnelles (Cooper & Sportolari, 1997)
15 L absence d indices d relationnels habituels appauvrit la relation (ton de la voix, gestuelle, expressions faciales, comportement, etc.) (Parks & Floyd, 1996) Source de désillusions d plus importante que dans les relations initiées de façon traditionnelle (Adamse & Motta, 1999)
16
17 Le profil des utilisateurs d Internet Profil socio-démographique: 68% sont des hommes 80% sont célibatairesc 70% habitent en zone urbaine. Plus de la moitié d entre eux sont âgés s entre 30 et 50 ans et détenaient d un diplôme d éd études collégiales. D autres sondages plus récents r ont aussi corroborés ces profils. Certaines caractéristiques ristiques ont antérieurement été relevées: es: Anxiété sociale, timidité,, solitude, dépression. d Toutefois, est-ce aussi vrai en 2008?
18 En 2008: Les caractéristiques ristiques mentionnées es ne peuvent être généralisées à tous les internautes puisqu ils ils ne forment pas un groupe homogène. L utilisation d Internet d semble être plutôt un outil d aide supplémentaire aux comportement sociaux dits plus traditionnels Toutefois, il est possible de croire que les gens présentant ces caractéristiques ristiques peuvent s investir s davantage et se révéler r davantage que ce qu ils feraient en face à face dans la vie de tous les jours.
19 En 2008: Popularité et accessibilité des sites de rencontres sur Internet (Réseau Contact, Mon classeur, etc.) Remise en question du modèle traditionnel de formation et d éd évolution des relations intimes.
20
21 Et les couples formés s sur Internet? De façon générale, g entre 50 et 70% des couples s étant rencontrés s par Internet sont toujours ensemble après s plus de 2 ans. (semblable en FTF) Étude québécoise par Bouchard et Lussier (2006): Environ 33 % de leur échantillon de couples formés sur Internet étaient ensemble depuis 2 à 10 ans. 96% de ces couples considéraient que ces relations étaient importantes à leurs yeux et désiraient faire des efforts pour que cette relation perdure. 84% se disaient satisfaits de leur relation ce qui laissent croire que les cyberrelations sont susceptibles de mener à une relations sérieuse s et satisfaisante à l extérieur de la réalitr alité virtuelle.
22 Étude de Bouchard et Lussier, suite La deuxième partie de l él étude consistait à étudier les rencontres en personnes qui font suite à des contacts établis sur Internet: Résultats: Les rencontres ont lieu dans un délai d relativement court après s le contact initial:
23
24 De façon générale, g les rencontres en personnes ont lieu à l intérieur d une d période p variant de 1 à 10 séances s de clavardage pour 40% des répondants, r alors que 20% le font après s plus de 40 contacts. En moyenne, les participants rencontrent 10 personnes en face à face en vue de trouver un partenaire potentiel.
25 L âge moyen des personnes rencontrées es est de 32,89 ans, allant de 16 à 62 ans. Lors d un d premier contact, 62% des répondants affirment que l autre l personne correspondait à l impression qu ils s en s étaient faits sur Internet. 69% des participants ont indiqué que l une l des relations qu ils ont établies avec un correspondant à débouché sur une relation intime qui se poursuivait toujours
26 Études réalisr alisée à l UQTR, 2008 Par David Brochu, Johanie BéchardB chard-plourde, Rachelle Belleau, Yvan Lussier et Carmen Lemelin L étude vise à examiner les divergences sur le plan de la personnalité entre de jeunes adultes qui ont eu recours à Internet pour faire la rencontre d un d partenaire amoureux et ceux qui n ont n pas fait appel à cette technologie Échantillon: 1343 Étudiants (Femmes = 951, Hommes = 392) de 5e secondaire et de cégep, c âgés entre 16 et 20 ans
27 Les jeunes adultes qui ont déjàd utilisé Internet pour rencontrer un partenaire amoureux présentent davantage de névrotisme n (anxiété,, dépression, d colère) et moins d amabilitd amabilité (altruisme, sensibilité) que ceux qui ne l ont l jamais utilisé à cette fin. Ceux ayant utilisé Internet trouvent aussi plus désirable et plus rassurant d avoir d une vie de couple. Ils ont vécu v davantage de relations qu ils considèrent sérieuses s et ont connu un plus grand nombre de partenaires sexuels différents. Ils seraient davantage infidèles.
28 2 e étude réalisr alisée e par Rachelle Belleau, David Brochu, Yvan Lussier et Carmen Lemelin La présente étude vise à documenter les relations de couple de jeunes couples ayant pris naissance sur Internet. Échantillon de 651 étudiants (146 hommes et 505 femmes) âgés s de 16 à 20 ans. Les participants ont répondu r à des questionnaires sur l ajustement l conjugal, la violence conjugale, les stratégies d adaptation d et la communication.
29 Résultats: Les partenaire ayant établi leur relation de couple par le biais d Internet d utilisent plus de stratégie d évitement lorsqu ils font face à des difficultés conjugales que ceux qui ont fait la rencontre de leur partenaire en face à face. Dans les relations initiées par Internet, les répondants rapportent davantage un mode de communication asymétrique (demandes incessantes d un partenaire et retrait de l autre) l et une moins bonne communication mutuelle, comparativement à ceux ayant rencontré leur partenaire en personne. Finalement, il n y n y a aucune différence significative entre les jeunes adultes ayant initié leur relation par Internet et ceux l ayant l initié dans un tout autre contexte en ce qui a trait à leur satisfaction conjugale.
30 De façon générale, g dans la littérature: Environ 30 % des relations initiées par Internet se développent d dans la vie réelle r Absence de données sur les relations de couple formées par Internet Absence de données comparatives en fonction du mode de rencontre (sites de rencontre, salles de discussion, etc.)
31 Absence de modèles explicatifs concernant la formation et l él évolution des relations de couple formées par Internet Aucune données sur la personnalité,, les caractéristiques ristiques psychologiques et motivationnelles des personnes qui forment des couples par Internet Pourtant, il a été démontré que la personnalité joue un rôle déterminant d dans l ajustement l conjugal (Bouchard et coll., 1999) De même que l attachement l et la communication (Bégin et coll., 1997)
32 Un nouveau média, m de nouveaux phénom nomènes: nes: Le Cybersexe Pratique du cybersexe vs cyberdépendance En psychologie on va s ints intéresser particulièrement rement : aux traitements des cyberdépendance et des personnes ayant des conduites sexuelles compulsives sur Internet. aux impacts du Cybersexe Outil pour les personnes ayant des conduites sexuelles compulsives Infidélit lités s dans le couple (définition de l infidélité*)
33 La Cyberintimidation: Un danger potentiel des cyberrelations Sondage mené par le Réseau R éducation-médias dias (2005): 34 % des élèves canadiens ont déjàd été victimes de cyberintimidation, dont 27 % sur Internet Phénom nomène ne particulièrement rement présent chez les jeunes Textos (SMS), couriels, blogs, MSN, etc. La distance entre l agresseur l et la victime
34 Merci de votre attention, Avez-vous des questions?
www.cyberactionjeunesse.ca
www.cyberactionjeunesse.ca CyberAction Jeunesse Canada 2011 Présentation de l organisme Projet pilote Prévention (approche en amont) Mission Objectif CyberAction Jeunesse Canada 2011 Plan de la présentation
Plus en détailAdapté avec la permission du Ministère de l Éducation, Nouveau Brunswick
Adapté avec la permission du Ministère de l Éducation, Nouveau Brunswick SONDAGE SUR L ATTITUDE DES PARENTS ENVERS L ÉDUCATION EN MATIÈRE DE SANTÉ SEXUELLE Nota : Vous pouvez transmettre ce sondage de
Plus en détailSondage sur le phénomène de la cyberintimidation en milieu scolaire. Rapport présenté à la
Sondage sur le phénomène de la cyberintimidation en milieu scolaire Rapport présenté à la Mars 2008 Tables des matières Contexte et objectifs.... 2 Page Méthodologie.3 Profil des répondants...6 Faits saillants..10
Plus en détailObservatoire Gleeden de l infidélité
16 janvier 2014 N 111 730 Enquêtes auprès d un échantillon national représentatif de 804 Français âgés de 18 ans et plus Contacts : 01 72 34 94 64 / 94 13 François Kraus / Anne-Sophie Vautrey Prenom.nom@ifop.com
Plus en détailAnalyse des besoins sociaux
La commune de Le Verger réalise une analyse sur les besoins sociaux de sa population. Afin d améliorer la qualité de vie et de services sur notre commune, nous vous remercions par avance de remplir ce
Plus en détailAttirez-vous les Manipulateurs? 5 Indices
Attirez-vous les Manipulateurs? Claire Parent 1 Attirez-vous les Manipulateurs? Claire Parent Mini livre gratuit Sherpa Consult Bruxelles, Mai 2012 Tous droits de reproduction, d'adaptation et de traduction
Plus en détailVoici des exemples de cyberintimidation :
LEXIQUE COMMUN DÉFINITIONS Cette section est créée dans le but de disposer d un vocabulaire commun à l ensemble des personnes touchées par le plan de prévention et d intervention pour contrer l intimidation
Plus en détailSurfer Prudent - Tchats. Un pseudo peut cacher n importe qui
Tchat Un tchat est un outil de communication sur Internet qui permet de parler en temps réel avec un ou plusieurs internautes. Un tchat est aussi appelé messagerie instantanée. Un pseudo peut cacher n
Plus en détailMaladie d Alzheimer Que faire?
Maladie d Alzheimer Que faire? Que faire? Les changements que vous constatez vous rendent probablement inquiet ou anxieux. Maintenant que vous savez que vous avez la maladie d Alzheimer, vous vous préoccupez
Plus en détailCONFERENCE DE PRESSE
Union nationale des associations familiales CONFERENCE DE PRESSE RESEAUX SOCIAUX : Quelles sont, dès 8 ans, les pratiques de nos enfants? Quel est le rôle des parents? Résultats de l enquête réalisée par
Plus en détailHARCÈLEMENT CRIMINEL. Poursuivre quelqu un, ce n est pas l aimer!
HARCÈLEMENT CRIMINEL Poursuivre quelqu un, ce n est pas l aimer! Qu est-ce que c est? Le harcèlement criminel est un crime. Généralement, il s agit d une conduite répétée durant une période de temps qui
Plus en détail«ENFANTS ET INTERNET» BAROMETRE 2011 de l opération nationale de sensibilisation :
avec le soutien de «ENFANTS ET INTERNET» BAROMETRE nationale de sensibilisation : Génération Numérique Fiche technique Le cinquième baromètre et a été réalisé par Calysto dans le cadre de sensibilisation
Plus en détailLA RUMEUR Enquête 1 / Leïla, 3ème
Enquête 1 / Leïla, 3ème OBJECTIFS PÉDAGOGIQUES DU MODULE Insister sur l'impact possible d' «une simple rumeur» Sensibiliser aux risques du cyberharcèlement et aux différents types de cyberviolences ZOOM
Plus en détail«Est-ce que mon enfant est à risques?» Sécurité sur la rue
«Est-ce que mon enfant est à risques?» Sécurité sur la rue 1. Est-ce que votre enfant sait ce qu est un inconnu? 2. Est-ce que votre enfant connaît la différence entre un bon et un mauvais inconnu? 3.
Plus en détailComportements addictifs
Comportements addictifs Les cyberdépendances Addictions comportementales, Qu est-ce que c est? L addiction, au sens général, peut se définir par une envie incontrôlable et répétée, de consommer un produit
Plus en détailC est quoi l intimidation?
C est quoi l intimidation? Définition de l intimidation (Olweus, 1996) : «Un élève est intimidé ou victimisé lorsqu il est exposé de façon répétée et soutenue à des gestes négatifs de la part d un ou de
Plus en détailSOMMAIRE. AVRIL 2013 TECHNOLOGIE ÉTUDE POINTS DE VUE BDC Recherche et intelligence de marché de BDC TABLE DES MATIÈRES
AVRIL 2013 TECHNOLOGIE ÉTUDE POINTS DE VUE BDC Recherche et intelligence de marché de BDC TABLE DES MATIÈRES Faits saillants du sondage 2 Contexte et méthode de sondage 3 Profil des répondants 3 Investissements
Plus en détailL effet WOW en négociation gagnant-gagnant!
L effet WOW en négociation gagnant-gagnant! Jasmin Bergeron, MBA, Ph.D. Conférencier et professeur Directeur d un programme de MBA Université du Québec à Montréal T: 514 514-978-0795 info@jasminbergeron.com
Plus en détailInternet et prévention. Communiquer sur la santé sexuelle en direction des jeunes internautes
Internet et prévention Communiquer sur la santé sexuelle en direction des jeunes internautes Journées Annuelles de Santé Publique 1 décembre 2011 I- CONTEXTE : les jeunes français (15-24 ans) et Internet
Plus en détailLa contribution des pères au développement de leur enfant
Activité 1 La contribution des pères au développement de leur enfant Le père: Un rôle en évolution Théorie de l évolution Question de survie! Homme Animaux Christine Gervais, Ph. D., Professeur au département
Plus en détail4720.5560.46 (septembre 2009) 30 %
4720.5560.46 (septembre 2009) 30 % Prévenir le jeu excessif chez les adolescents C est toujours gagnant! Pourquoi ce dépliant? [ ] Le rôle des parents est déterminant dans la prévention du jeu excessif
Plus en détailEnquête de satisfaction ABC Portage Juillet 2012
Enquête de satisfaction ABC Portage Juillet 2012 Méthodologie et déroulement Afin de faire évoluer et d améliorer la qualité de ses services, La société ABC Portage a mis en place une enquête de satisfaction
Plus en détailÊTRE OU NE PAS ÊTRE TON AMI?
ÊTRE OU NE PAS ÊTRE TON AMI? PROFESSIONNELS ET RÉSEAUX SOCIAUX: RÉFLEXIONS SUR LES RISQUES ET LES ENJEUX ÉTHIQUES Association des Intervenants en Toxicomanies du Québec (AITQ) Hôtel Delta, Trois-Rivières
Plus en détailFiche de synthèse sur la PNL (Programmation Neurolinguistique)
1 Fiche de synthèse sur la PNL (Programmation Neurolinguistique) La programmation neurolinguistique (PNL) fournit des outils de développement personnel et d amélioration de l efficacité relationnelle dans
Plus en détailLe VIGOR L inventaire des victimes de leurs objectifs, options et risques
Le VIGOR L inventaire des victimes de leurs objectifs, options et risques Un outil de planification de la sécurité pour aider les personnes victimes de violence à évaluer les risques et décider comment
Plus en détail1/ LES CARACTÉRISTIQUES DU CYBER-HARCÈLEMENT
LE CYBER-HARCÈLEMENT Avec l utilisation massive des nouvelles technologies, le harcèlement entre élèves peut se poursuivre, voire débuter, en dehors de l enceinte des établissements scolaires. On parle
Plus en détailTravailleurs étrangers temporaires. Vos droits sont protégés
Travailleurs étrangers temporaires Vos droits sont protégés Bienvenue au Canada! Le Canada est un ardent défenseur des droits de la personne, au pays comme à l étranger. Cette brochure a été préparée pour
Plus en détailNobody s Unpredictable
Connaissance qu a le public de la Banque du Canada (Comparaison des résultats de l enquête téléphonique et de l enquête en ligne) Enquête de décembre 2010 commandée par la Banque du Canada Nobody s Unpredictable
Plus en détailPOURQUOI RESSENTONS-NOUS DES ÉMOTIONS?
POURQUOI RESSENTONS-NOUS DES ÉMOTIONS? Pourquoi vivons-nous des émotions? Voilà une excellente question! Avez-vous pensé: «Les émotions nous rendent humains» ou : «Elles nous permettent de sentir ce qui
Plus en détail9.11 Les jeux de hasard et d argent
9.11 Les jeux de hasard et d argent Maud Pousset, Marie-Line Tovar 288 Les jeux de hasard et d argent (JHA) constituent une activité ancienne et répandue, mais longtemps interdite. Leur offre s est étoffée,
Plus en détailDate de diffusion publique : 4 septembre, 2012
En règle générale, les Canadiens sont confiants de pouvoir reconnaître les signes d une urgence médicale, mais ils sont moins certains d avoir les compétences nécessaires pour intervenir. Quatre Canadiens
Plus en détailApprenez à votre enfant la Règle «On ne touche pas ici».
1. Apprenez à votre enfant la Règle «On ne touche pas ici». Près d un enfant sur cinq est victime de violence sexuelle, y compris d abus sexuels. Vous pouvez empêcher que cela arrive à votre enfant. Apprenez
Plus en détail3. Obsessionnelle 2. Possessive 1. Vigilance (Normale)
3. Obsessionnelle 2. Possessive 1. Vigilance (Normale) Deux types de trahison: sexuelle et affective Première cause de violence chez les jeunes couples Danielle Bédard, sexologue, Cégep Marie-Victorin
Plus en détailSexe au présent : le plus grand sondage mené auprès des hommes gais et bisexuels au Canada
Sexe au présent : le plus grand sondage mené auprès des hommes gais et bisexuels au Canada Webinaire de CATIE Le 5 février 2015 Ordre du jour Qui sommes-nous? Il était une fois «Sexe au présent» Qu avons-nous
Plus en détailDOSSIER FLASH «ASK.FM»
DOSSIER FLASH «ASK.FM» Les élèves nous parlent de plus en plus de ce réseau social qui se nomme «Ask.fm», à ne pas confondre avec le moteur de recherche «Ask». Selon les dires des jeunes que nous rencontrons,
Plus en détailTable des matières. 1. Mesures législatives Loi sur la protection des personnes recevant des soins Généralités 3 Principaux éléments 3
OFFICE DE PROTECTION DES PERSONNES RECEVANT DES SOINS RAPPORT STATISTIQUE 2007-2008 1 Table des matières 1. Mesures législatives Loi sur la protection des personnes recevant des soins Généralités 3 Principaux
Plus en détailPourquoi le Canada a besoin de services bancaires postaux
Pourquoi le Canada a besoin de services bancaires postaux Symposium international sur les services bancaires postaux John Anderson 613-290-0016 andersjs1@gmail.com «Ils sont des millions à ne pas avoir
Plus en détailLe rapport des femmes à la beauté
1 Le rapport des femmes à la beauté Etude CSA pour Madame Figaro Rapport d étude octobre 2014 Julie GAILLOT, Directrice de clientèle julie.gaillot@csa.eu / 01 57 00 59 06 Marek KUBISTA Chargé d études
Plus en détailChaque Jour, les enfants sont victimes d intimidation.
Chaque Matin... Chaque heure de MIDI... Chaque AprÈs-midi... Chaque Jour, les enfants sont victimes d intimidation. Apprenez comment vous pouvez faire cesser l intimidation. Les communautés et les écoles
Plus en détailOrientations. gouvernementales. en matière. d agression. sexuelle. Plan d action
Orientations gouvernementales en matière d agression sexuelle Plan d action Édition produite par : La Direction des communications du ministère de la Santé et des Services sociaux Pour obtenir d autres
Plus en détailSafersurfing Sécurité sur les réseaux sociaux
Safersurfing Sécurité sur les réseaux sociaux En collaboration avec École et TIC Mentions légales Éditeur Auteur Photos educa.ch Prévention Suisse de la Criminalité www.skppsc.ch büro z {grafik design},
Plus en détailLa salle de classe en ligne de l Apprentissage en ligne :
La salle de classe en ligne de l Apprentissage en ligne : 5 les cinq meilleurs outils pour l engagement des apprenantes et apprenants L importance de motiver les étudiantes et étudiants envers leurs cours
Plus en détailSondage d opinion auprès des Canadiens Perception à l égard des couples de même sexe PROJET 12717-014
Sondage d opinion auprès des Canadiens Perception à l égard des couples de même sexe PROJET 12717-014 Table des matières Contexte et objectifs... 6 Méthodologie... 8 Résultats détaillés 1. Perception
Plus en détailDossier de suivi de stage d observation en entreprise en classe de 3 ème
Année scolaire 2014 2015 Dossier de suivi de stage d observation en entreprise en classe de 3 ème STAGE 3 ème Du 02/02/2015 au 06/02/2015 Nom et prénom de l élève : Classe de : Projet d orientation : Nom
Plus en détailSondage auprès des employés du réseau de la santé et des services sociaux du Québec - Rapport sommaire -
Sondage auprès des employés du réseau de la santé et des services sociaux du Québec - Rapport sommaire - Juin 2009 1 Objectifs Réalisée par CROP pour le compte de l Association québécoise d établissements
Plus en détailSondage de fin d études secondaires 2010
Sondage de fin d études secondaires 2010 Qu est-ce que t en penses? Secteur francophone Ministère de l Éducation Le Sondage de fin d études secondaires 2010 Qu est-ce que t en penses? se trouve sur le
Plus en détailÊtre seul. Jean-Louis Pan Ké Shon* Données sociales. La société française 2002-2003
Être seul Jean-Louis Pan Ké Shon* Données sociales. La société française 2002-2003 * Au moment de la rédaction de cet article, Jean-Louis Pan Ké Shon faisait partie de la division Conditions de vie des
Plus en détailLES DANGERS QUE L ON PEUT
LES DANGERS QUE L ON PEUT ENCOURIR SUR INTERNET Table des matières Introduction...1 1 Des pourcentages étonnants et assez effrayants...1 2 La commission nationale de l informatique et des libertés (C.N.I.L.)...2
Plus en détailLa trousse financière pour les nouveaux arrivants. Feuilles de travail
La trousse financière pour les nouveaux arrivants Investissements Feuilles de travail Ottawa Community Loan Fund Fonds d emprunt Communautaire d Ottawa 22 O Meara St., Causeway Work Centre, Ottawa, ON
Plus en détailTrouver un job grâce au numérique : les défis du marché du recrutement en ligne
Observatoire Orange - Terrafemina Trouver un job grâce au numérique : les défis du marché du recrutement en ligne Sondage de l institut CSA avec Fiche technique du sondage L institut CSA a réalisé pour
Plus en détail4. Les traces que je laisse avec mon ordinateur. Expression Ce que je dis. Audience Qui je connais
Maîtriser son identité numérique 1 1. Définition de l identité numérique 2. Je choisis ma photo et mon pseudo 3. Gérer son profil 4. Les traces que je laisse avec mon ordinateur Définition : 10 mn Photo
Plus en détailGUIDE D ÉLABORATION DE PROJETS ET DE PLANS D ACTION EN PRÉVENTION DE LA CRIMINALITÉ MINISTÈRE DE LA SÉCURITÉ PUBLIQUE
GUIDE D ÉLABORATION DE PROJETS ET DE PLANS D ACTION EN PRÉVENTION DE LA CRIMINALITÉ MINISTÈRE DE LA SÉCURITÉ PUBLIQUE JANVIER 2004 2 Auteures Sylvie Gagnon, M.A., Consultante en programmes et en développement
Plus en détailBienvenue à notre sondage en ligne pour l examen du Code canadien de déontologie professionnelle des psychologues
Bienvenue à notre sondage en ligne pour l examen du Code canadien de déontologie professionnelle des psychologues Conformément à l engagement de la Société canadienne de psychologie (SCP) d effectuer des
Plus en détailENFANTS ET INTERNET BAROMETRE 2009-2010 de l opération nationale de sensibilisation : Un clic,déclic le Tour de France Des Etablissements Scolaires
ENFANTS ET INTERNET BAROMETRE de l opération nationale de sensibilisation : Un clic,déclic le Tour de France Des Etablissements Scolaires 1 Fiche technique Le quatrième baromètre et a été réalisé par Calysto
Plus en détailDifférents facteurs impliqués dans l addiction
Différents facteurs impliqués dans l addiction Facteurs génétiques Neurobiologiques Circuits, métabolisme, neuroadaptation Développement Puberté Maturation cérébrale Sexe Comportement Tempérament Personnalité
Plus en détailL enfant sensible. Un enfant trop sensible vit des sentiments d impuissance et. d échec. La pire attitude que son parent peut adopter avec lui est
L enfant sensible Qu est-ce que la sensibilité? Un enfant trop sensible vit des sentiments d impuissance et d échec. La pire attitude que son parent peut adopter avec lui est de le surprotéger car il se
Plus en détailGUIDE DE CONSOLIDATION D ÉQUIPE POUR LES ÉQUIPES DE SOINS PRIMAIRES DE L ONTARIO
GUIDE DE CONSOLIDATION D ÉQUIPE POUR LES ÉQUIPES DE SOINS PRIMAIRES DE L ONTARIO Janvier Module 2009 10 : Gérer les conflits Modifié en décembre 2010 Révisé en décembre 2012 Révisé en décembre 2012 1 Objectif
Plus en détailServices financiers. Ce que veulent les femmes. Synthèse de l étude. Société Générale 6 Octobre 2011. Philippe GARDES
Services financiers Ce que veulent les femmes Synthèse de l étude Société Générale 6 Octobre 2011 Philippe GARDES Une date dans l évolution des droits des femmes 13 juillet 1965 La loi réformant les régimes
Plus en détailEtude sur les usages de la lecture de bande dessinée Numérique / izneo - Labo BnF
Etude sur les usages de la lecture de bande dessinée Numérique / izneo - Labo BnF Table des matières Contexte...1 Sélection des participants...2 Méthodologie :...5 Questionnaire :...5 Résultats concernant
Plus en détailLe guide s articule autour de quatre thèmes, qui sont incontournables pour bien documenter une situation d aliénation parentale ou de risque:
GUIDE D ENTREVUE TROUSSE DE SOUTIEN À L ÉVALUATION DU RISQUE D ALIÉNATION PARENTALE Véronique Lachance Marie-Hélène Gagné Ce guide d entrevue a été conçu pour vous aider à documenter les situations familiales
Plus en détailCOUPLE ET PROBLÈMES SEXUELS
COUPLE ET PROBLÈMES SEXUELS Introduction Christine Reynaert et Pierre Collart ont tous deux activement participé à l ouverture de centres spécialisés dans le traitement de troubles sexuels (voir analyse
Plus en détailLa recherche et vous. Pourquoi accepter ou refuser de participer à un projet de recherche?
La recherche et vous Pourquoi accepter ou refuser de participer à un projet de recherche? La recherche et vous Dépôt légal - octobre 2012 Bibliothèque et archives nationales du Québec Bibliothèque et archives
Plus en détail«Le Leadership en Suisse»
«Le Leadership en Suisse» Table des matières «Le Leadership en Suisse» Une étude sur les valeurs, les devoirs et l efficacité de la direction 03 04 05 06 07 08 09 11 12 13 14 «Le Leadership en Suisse»
Plus en détailRAPPORT SUR LE SONDAGE DES INTERVENANTS. Réseau canadien pour la prévention du mauvais traitement des aînés
RAPPORT SUR LE SONDAGE DES INTERVENANTS Réseau canadien pour la prévention du mauvais traitement des aînés Rapport sur le sondage des intervenants janvier 2015 Table des matières 1. Points saillants 3
Plus en détailEntre mal-être et bien être : comment vont les étudiants. Premiers résultats. Damien BERTHILIER Président La Mutuelle des Étudiants LMDE-EPSE
Entre mal-être et bien être : comment vont les étudiants Premiers résultats Damien BERTHILIER Président La Mutuelle des Étudiants LMDE-EPSE Objectifs de l enqul enquête Mieux identifier la souffrance psychique
Plus en détailDébroussailler les paiements mobiles :
UN LIVRE BLANC DE CHASE PAYMENTECH Débroussailler les paiements mobiles : ce que les commerçants canadiens doivent savoir Utilisation de la technologie mobile pour les paiements Depuis quelques mois, on
Plus en détailRévélatrice de talents. Développement personnel
Révélatrice de talents Développement personnel Révélatrice de talents Une entreprise à votre écoute pour vous accompagner de manière professionnelle dans tous vos projets Le développement personnel Notre
Plus en détailÉcoutez ce qui se dit sur l épargne-retraite au Canada
MARS 2014 ÉCHEC ET MAT! LES RÉGIMES D ÉPARGNE EN MILIEU DE TRAVAIL : UNE SOLUTION GAGNANTE POUR LES CANADIENS EN VUE DE LA RETRAITE Notre 6 e sondage annuel Indice canadien de report de la retraite montre
Plus en détaillapleiade@ville-commentry.fr
lapleiade@ville-commentry.fr Comprendre les principaux risques L exposition aux images choquantes Aujourd hui, vous risquez 1 fois sur 3 d'être confrontés à des images choquantes sur le Net, que ce soit
Plus en détailSondage public 2012 sur les services policiers
Sondage public 2012 sur les services policiers 2 Sixième sondage public depuis 1995. Le sondage est conçu pour faire comprendre les perceptions des citoyens sur la criminalité i et la sécurité et mesurer
Plus en détailLes aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie.
Les aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie. Sarah CAILLOT, Psychologue Réseau Breizh IMC- Pôle MPR St-Hélier (Rennes)- Journée Inter-régionale
Plus en détailGuide pratique pour lutter contre le cyber-harcèlement entre élèves
Guide pratique pour lutter contre le cyber-harcèlement entre élèves AVANT-PROPOS A l occasion des premières Assises Nationales sur le harcèlement à l École des 2 et 3 mai 2011, Luc CHATEL, ministre de
Plus en détailSONDAGE AUPRÈS DES INFIRMIÈRES
Page 1 of 10 SONDAGE AUPRÈS DES INFIRMIÈRES Le Groupe de travail canadien sur la malnutrition (GTCM) a mené une étude à l échelle nationale de 2010 à 2013 afin de déterminer la prévalence de la malnutrition
Plus en détailDivulgation 2.0 : approche comportementale. Comment détecter ou prévenir cette démarche compulsive amplifiée par les outils de mobilitédirectement
Divulgation 2.0 : approche comportementale. Comment détecter ou prévenir cette démarche compulsive amplifiée par les outils de mobilitédirectement connectés aux médias sociaux? Agenda La divulgation compulsive
Plus en détailBienvenue à la conférence en ligne Violence au travail : présentation des résultats du sondage mené auprès de trois secteurs professionnels
Bienvenue à la conférence en ligne Violence au travail : présentation des résultats du sondage mené auprès de trois secteurs professionnels Conférencier : Richard Boyer, Ph. D., chercheur au Centre de
Plus en détailEst-ce que les parents ont toujours raison? Épisode 49
Est-ce que les parents ont toujours raison? Épisode 49 Fiche pédagogique Le thème du 49 e épisode dirige l attention sur une question fondamentale lorsqu il s agit de développer la pensée des enfants,
Plus en détailGuide d intervention sur. l intimidation. destiné aux intervenants - 1 -
Guide d intervention sur l intimidation destiné aux intervenants - 1 - Rédaction Linda Laliberté : Mélanie Blais : Michèle Gariépy : Joanie Charrette : Espace Bois-Francs InterVal Pacte Bois-Francs organisme
Plus en détailÀ l attention des parents (Le conseil étudiant travaillera à produire un questionnaire pour les élèves de l école.)
À l attention des parents (Le conseil étudiant travaillera à produire un questionnaire pour les élèves de l école.) REMETTRE CE DOCUMENT AU SECRÉTARIAT DE L ÉCOLE OU NOUS LE FAIRE PARVENIR PAR COURRIEL
Plus en détailFORT BOYARD INSCRIPTION PAR LA POSTE
FORT BOYARD INSCRIPTION PAR LA POSTE Veuillez noter qu il est préférable de vous inscrire en ligne, cela dit voici comment procéder pour nous soumettre votre inscription par la poste : CONDITIONS ET DOCUMENTS
Plus en détailRéseaux sociaux sur Internet
Réseaux sociaux sur Internet Quel rôle pour la relation entre les Coopératives d HLM et leurs adhérents? Hervé Parent 11 mai 2011 Cadrage Internet pour l immobilier et l habitat : données clés Le point
Plus en détailDISPOSITIF FEMMES EN TRES GRAND DANGER BILAN D UNE ANNÉE D EXPÉRIMENTATION
DISPOSITIF FEMMES EN TRES GRAND DANGER BILAN D UNE ANNÉE D EXPÉRIMENTATION 30 téléphones portables disponibles 27 femmes ont été admises au dispositif. Le bénéfice du TGD pendant une durée de 6 mois a
Plus en détailUn seul droit de la famille pour toutes les femmes.
2 Protection de l enfance et droit de la famille FR 002 LE DROIT DE LA FAMILLE ET LES FEMMES EN ONTARIO Un seul droit de la famille pour toutes les femmes. Renseignez-vous sur vos droits. Protection de
Plus en détailBaromètre Image des Assureurs
Contacts : Alain RENAUDIN / Frédéric ALBERT Shanghai Paris Toronto Buenos Aires 2005-5 édition www.ifop.com Baromètre Image des Assureurs Introduction 1 Les objectifs et la méthodologie Cette 5ème édition
Plus en détailLa question suivante était bien sur comment créer un groupe d étude avec des compagnons distants de plusieurs milliers de km? La réponse fût: Skype.
Je voudrais partager avec vous l expérience de notre groupe d étude avec la technologie Skype. Pour autant que je sache c est le premier groupe d étude à utiliser Skype hebdomadairement et d une manière
Plus en détailComment les Québécois utilisent-ils et cherchent-ils sur Internet?
Comment les Québécois utilisent-ils et cherchent-ils sur Internet? Étude réalisée par Skooiz.com en Mai 2009 Introduction Internet évoluant sans cesse, il est important de vérifier si ses utilisateurs
Plus en détailY A-T-IL COUPLE? Introduction. Pour qu il y ait couple, il faut du temps
Introduction Y A-T-IL COUPLE? Au fil des siècles et au fil des années, la société se transforme et avec elle, la valeur accordée à la réussite sociale, à la famille mais surtout à l amour. Dans le monde
Plus en détailLes approches de réduction des méfaits trouvent un certain appui dans la population québécoise*
INSTITUT NATIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC Les approches de réduction des méfaits trouvent un certain appui dans la population québécoise* Denis Hamel, statisticien Unité Connaissance-surveillance MISE
Plus en détailDEBAT PHILO : L HOMOSEXUALITE
Ecole d Application STURM Janvier-Février 2012 CM2 Salle 2 Mme DOUILLY DEBAT PHILO : L HOMOSEXUALITE Sujet proposé par les élèves et choisi par la majorité. 1 ère séance : définitions et explications Réflexion
Plus en détailLe networking? Ce n est pas un lâcher de cartes de visite! Son réseau : il faut le construire, le développer, l entretenir et le faire fru-cti-fier!
Comment faire savoir son savoir-faire? Savoir donner de la visibilité à ses compétences et à sa Valeur Ajoutée! Le temps perdu ne se rattrape jamais Comment bien gérer le temps pour ne plus en perdre,
Plus en détailÉtude de référence sur la satisfaction de la clientèle : consommateurs à domicile
Résumé du rapport Étude de référence sur la satisfaction de la clientèle : consommateurs à domicile Numéro de contrat : 90030-121581/001/CY Contrat attribué le : 2013-01-18 Préparé pour : Office national
Plus en détailPréparez votre atelier Vinz et Lou : «Rencontre avec des inconnus- Pseudo / Le chat et la souris Pas de rendez-vous»
Préparez votre atelier Vinz et Lou : «Rencontre avec des inconnus- Pseudo / Le chat et la souris Pas de rendez-vous» Blog, chat, forum, messagerie instantanée, réseaux sociaux OBJECTIF L objectif de cet
Plus en détailLE RÉSEAU SOCIAL COURS PSY 1951B RELATIONS INTERPERSONNELLES (2004-05) LE RÉSEAU SOCIAL
LE RÉSEAU SOCIAL COURS PSY 1951B RELATIONS INTERPERSONNELLES (2004-05) LE RÉSEAU SOCIAL Menu 1. Définitions 2 La mesure du réseau social a) la «cartographie» du réseau social b) les indices 3. L approche
Plus en détailRépublique Algérienne Démocratique et Populaire
République Algérienne Démocratique et Populaire Journée mondiale des Télécommunications Séminaire protection des enfant dans le cyberespace Hôtel El-Jazaïr Alger, le 17 Mai 2009. L ENFANT ET INTERNET «pour
Plus en détailLe référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation. Septembre 2008
Le référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation Septembre 2008 Louis Plamondon Centre de recherche de l institut universitaire de gériatrie
Plus en détailInterview de Hugo, coordinateur de l espace de coworking de La Cordée Perrache (Lyon)
12/06/2013 Interview de Hugo, coordinateur de l espace de coworking de La Cordée Perrache (Lyon) Coop alternatives 47, rue de la Garde 69005 Lyon - 06 48 03 74 14 - contact@coop-alternatives.fr This document
Plus en détailAgence Thomas Marko & Associés. Du 3 au 8 septembre 2010.
Octobre 00 Nobody s Unpredictable Sondage effectué pour : Agence Thomas Marko & Associés Echantillon : 000 personnes, constituant un échantillon national représentatif de la population française âgée de
Plus en détailSONDAGE SUR LA CULTURE FINANCIERE D UNE POPULATION D INTERNAUTES MAROCAINS
SONDAGE SUR LA CULTURE FINANCIERE D UNE POPULATION D INTERNAUTES MAROCAINS Service Education des Epargnants &Habilitation des Intervenants Sondage sur la culture financière d une population d internautes
Plus en détailEncourager les comportements éthiques en ligne
LEÇON Années scolaire : 7 e à 9 e année, 1 re à 3 e secondaire Auteur : Durée : HabiloMédias 2 à 3 heures Encourager les comportements éthiques en ligne Cette leçon fait partie de Utiliser, comprendre
Plus en détailBilan de l enquête de satisfaction 2012
Biogenouest Génomique Bilan de l enquête de satisfaction 12 BILAN DE L ENQUETE DE SATISFACTION 12 Plate-forme Génomique santé Rennes Villejean Taux de réponses reçues par plate-forme : Plate-forme concernée
Plus en détail