Enquête inter-régionale de prévalence des infections urinaires, des infections pulmonaires, des infections cutanées en EHPAD

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1 ARLIN Auvergne ARLIN Languedoc-Roussillon ARLIN PACA ARLIN Réunion Mayotte ARLIN Rhône-Alpes Enquête inter-régionale de prévalence des infections urinaires, des infections pulmonaires, des infections cutanées en EHPAD Octobre Novembre 2011 PROTOCOLE Prévalence des infections urinaires, pulmonaires, cutanées en EHPAD septembre

2 Groupe de travail Région Rhône-Alpes Dr Vincent médecin hygiéniste - ARLIN Rhône-Alpes, Saint Genis Laval Mme Khouider cadre en hygiène hospitalière - ARLIN Rhône-Alpes, Saint Genis Laval Dr Bonnand - pharmacien hygiéniste Groupe ACPPA, Francheville Mme Attali infirmière hygiéniste Groupe ACPPA, Francheville Dr Armand - pharmacien hygiéniste - Equipe d hygiène interehpad Drôme- Ardeche, Valence Dr Bertin-Hugault - directeur médical groupe Korian, Lyon Dr Gavazzi médecin gériatre - CHU de Grenoble, Grenoble Mme Patissier directrice EHPAD Michel Lamy, Anse Pr Fabry Université Claude Bernard Lyon 1, Lyon Région Auvergne Dr Baud médecin hygiéniste - ARLIN Auvergne, Clermont Ferrand Mme Besson cadre en hygiène hospitalière- ARLIN Auvergne, Clermont Ferrand Région PACA Dr Delaroziere - médecin hygiéniste ARLIN PACA, Marseille Mme Lory - cadre en hygiène hospitalière ARLIN PACA, Marseille Région Languedoc-Roussillon Dr Richaud-Morel pharmacien hygiéniste ARLIN Languedoc-Roussillon, Montpellier Mme Boudot - cadre en hygiène hospitalière ARLIN Languedoc-Roussillon, Montpellier CCLIN Sud-Est Dr Bernet médecin hygiéniste CCLIN Sud-Est, Saint Genis Laval Prévalence des infections urinaires, pulmonaires, cutanées en EHPAD septembre

3 Sommaire 1 Introduction 4 2 Objectifs 5 3 Cible 5 4 Sensibilisation 5 5 Formation 6 6 Quand? 6 7 Comment? 6 8 Définition des infections Infection urinaire Infection respiratoire basse (Infection pulmonaire) Infection de la peau et des tissus mous (Infection cutanée) 9 9 Données recueillies pour l enquête La fiche «EHPAD» La fiche «Infecté» La fiche «Autre traitement antibiotique» Identification des résidents infectés Recueil et saisie des données Qualité des données Anonymat et confidentialité Charge de travail demandé par l enquête Analyse des données Analyse par l établissement Analyse par les antennes régionales du CCLIN, analyse interrégionale Restitution des données Calendrier prévisionnel Evaluation de l impact de l enquête 13 Prévalence des infections urinaires, pulmonaires, cutanées en EHPAD septembre

4 1 Introduction Le problème infectieux en Etablissements d Hébergement pour Personnes Agées Dépendantes (EHPAD) existe, lié à la conjonction de trois facteurs principaux : des résidents fragiles au système immunitaire affaibli par l âge, une vie en collectivité dans un environnement qui reste un lieu de vie, des moyens spécifiques dédiés à l hygiène généralement faibles. Dans la littérature internationale, le taux de prévalence des infections dans les établissements d hébergement pour personnes âgées s échelonne entre 1,6% et 32,7%(1). En France, HALT, enquête de prévalence européenne réalisée un jour donné entre juin et septembre 2010 et ayant inclus 65 EHPAD, trouve un taux de prévalence des infections de 4,0% (Réseau d Alerte d Investigation et de Surveillance des Infections nosocomiales, sous presse). En 2008, une enquête réalisée sur 22 EHPAD des départements de la Drôme et de l Ardèche donne un taux de prévalence de 5,9%(2). Au préalable, l étude «PRIAM» menée à l initiative de l Observatoire du Risque Infectieux en Gériatrie (ORIG) dans 577 EHPAD a révélé un taux de prévalence de 11,2% [IC 95% : 10,9%-11,5%]. Cette enquête était de type enquête prévalence périodique répétée sur 5 périodes différentes entre 2006 et 2007 (3). Ces deux dernières études, s appuyant sur une méthodologie largement validée, permettent d avoir une estimation fiable de l ampleur du risque infectieux dans ces établissements. L enquête nationale de prévalence 2006, qui a inclus patients de plus de 65 ans, montrait un taux de prévalence de 4,2% dans les services de soins de longues durées(4). La prévention des infections dans les EHPAD repose généralement sur les cadres de santé et les médecins coordonnateurs de chaque établissement. Il est donc indispensable de proposer une enquête «efficace» : peu consommatrice de temps-personnels et fournissant des résultats directement exploitables. Pour cela, il a été décidé de restreindre l enquête à la prévalence des trois infections associées aux soins les plus fréquentes en EHPAD : les infections urinaires, les infections respiratoires basses et les infections cutanées. On ne peut exclure le bon usage des antibiotiques de la prévention du risque infectieux car la réduction de l incidence des bactéries multi-résistantes passe également par un usage raisonné des antiinfectieux. Il paraît important, dans un objectif de sensibilisation, d inclure dans cette enquête des items portant sur la prescription des antibiotiques au sein de l EHPAD. Une enquête de prévalence des infections en EHPAD paraît d autant plus intéressante qu elle est suivie d un plan d action spécifique, adapté aux résultats fournis par l enquête. Afin d apporter une aide au plus grand nombre d EHPAD (doté ou non de temps dédié de personnel formé à l hygiène), cette enquête sera associée à la diffusion d outils spécifiques permettant la mise en place d un plan d actions adapté aux résultats issus de l étude. Enfin, cette enquête sera proposée dans l inter-région Sud-Est par cinq des Antennes Régionales de Lutte contre les Infections Nosocomiales (ARLIN) du CCLIN : l ARLIN Rhône-Alpes, l ARLIN Auvergne, l ARLIN PACA, l ARLIN Languedoc-Roussillon et l ARLIN Réunion. Bibliographie 1. Nicolle L. Infection control in long-term care facilities Clinical Infectious Disease. 2000;31(3): Armand N, Faure C, Comte C, Hajjar J. Enquête de prévalence des infections réalisées en 2008 dans les établissements hébergeant des personnes âgées dépendantes en Drôme-Ardèche. HygieneS. 2010;XVIII(3): Chami K, Gavazzi G, De Wazière B, Lejeune B, Piette F, Lietard C, et al. Prévalence des infections dans les Etablissements d hébergement pour personnes âgées dépendantes : analyse régionale, enquête Priam, France Bulletin Epidémiologique Hebdomadaire. 2009;31-32: Lietard C, Lejeune B, Rothan-Tondeur M, Metzger M, Thiolet J, Coignard B. Enquête nationale de prévalence des infections nosocomiales. Résultats dans la population des sujets de 65 ans et plus, France, Bulletin Epidémiologique Hebdomadaire. 2009;31-32(25 août 2009): HALT, ECDC. Etude européenne de la prévalence des infections liées aux soins et de la consommation des antibiotiques dans les institutions de soins chroniques. Projet HALT. Guide de l'utilisateur cited; Available from: Prévalence des infections urinaires, pulmonaires, cutanées en EHPAD septembre

5 2 Objectifs Objectif principal Connaître la prévalence des infections urinaires (IU), pulmonaires ou infections respiratoires basses (IP) et cutanées (IC) associées aux soins en Etablissement d Hébergement de Personnes Agées Dépendantes (EHPAD). Objectifs secondaires Recueillir des indicateurs d alerte des Infections IU, IP, IC. Proposer des actions permettant de prévenir les IU, IP, IC. 3 Cible Critères d inclusion des EHPAD Cette enquête est proposée à tout EHPAD ayant signé une convention tripartite ou en cours de signature : - public ou privé, - dépendant ou non d un établissement de soins, - disposant ou non de personnel formé à l hygiène, - disposant de temps de médecin pour valider les fiches «infecté», Les unités de soins de longue durée (USLD), parfois appelées «longs séjours», peuvent participer mais l étude ne leur est pas directement dédiée. Critères d exclusion des EHPAD Seront exclus de l enquête : - les établissements n ayant pas signé de convention tripartite. - les établissements ne disposant pas de temps médical pour valider les fiches «infecté» Critères d inclusion des résidents L ensemble des résidents de l EHPAD, présent le jour de l enquête, sauf critères individuels d exclusion (cf. ci-dessous) doit être inclus par l établissement participant. Critères d exclusion des résidents Seront exclus de l enquête : - les résidents en accueil de jour, - les résidents entrant après 8H le jour de l enquête, - les résidents hospitalisés le jour de l enquête, - les résidents en permission le jour de l enquête. 4 Sensibilisation Un courrier a été envoyé par chaque ARLIN de l interrégion Sud-Est au cours du 1 er trimestre 2011 à tous les EHPAD des régions participantes, comprenant : - une lettre de présentation du projet, - un résumé du protocole de l enquête, - une feuille d engagement à l enquête. Le protocole, le guide de l enquêteur et les fiches de recueil sont disponibles et téléchargeables sur le site du CCLIN Sud-Est (pages des antennes régionales) : ARLIN Rhône-Alpes : ARLIN Auvergne : ARLIN PACA : ARLIN Languedoc-Roussillon : ARLIN Réunion : pour diffusion et reprographie par chaque établissement. Prévalence des infections urinaires, pulmonaires, cutanées en EHPAD septembre

6 Les ARLIN s engagent à fournir une assistance technique et méthodologique aux EHPAD. 5 Formation La formation des EHPAD à la méthodologie de l enquête sera assurée par chaque ARLIN lors de sessions de formation qui seront organisées en septembre 2011 dans chaque région (calendrier des formations disponible sur les pages ARLIN du site CCLIN Sud-Est). Ces formations seront destinées en priorité aux médecins et infirmiers coordonnateurs ainsi qu aux directeurs des EHPAD souhaitant réaliser l enquête de prévalence. Les diaporamas de cette formation seront consultables sur les mêmes pages que les documents et sur le site EHPAD du CCLIN Sud-Est. A l échelon de chaque établissement, le responsable de l enquête assurera ensuite la formation des enquêteurs si nécessaire. 6 Quand? La période retenue pour l enquête est du lundi 3 octobre 2011 au mercredi 30 novembre Chaque EHPAD participant devra donc réaliser l enquête au cours de cette période. Le principe d un jour donné est retenu. Toutefois, selon la taille de l établissement et le nombre d enquêteurs disponibles, la période d enquête pour un EHPAD donné pourra se prolonger sur une semaine. L important étant que pour chaque service (ou unité de soins) l enquête se déroule sur une seule journée. Les IU, IP, IC des résidents de chaque service ne seront comptabilisées que le jour où l enquête est réalisée dans le service (cf chapitre 12 Recueil et saisie des données). 7 Comment? Dans chaque établissement, une personne doit être responsable de la réalisation de l enquête, de sa préparation jusqu à la diffusion des résultats. Cette personne peut être le médecin coordonnateur, l infirmier coordonnateur, le cadre de l établissement ou l hygiéniste de l établissement. Si l EHPAD dispose de temps de praticien ou d infirmier hygiéniste, ces personnes seront systématiquement associées à l organisation de l enquête. Une information doit être réalisée auprès des responsables de chacun des services concernés par l enquête. Le responsable de l enquête : Avant l enquête - Informe le responsable de la structure et les personnels de l établissement du déroulement de l enquête, - Organise la diffusion de l information aux résidents et aux familles sur le déroulement de l enquête (affiche), - Désigne des enquêteurs (le référent peut également être enquêteur) - Remplit la fiche établissement, - Fait valider les fiches «infecté» et «autres traitements antibiotiques» par un médecin exerçant dans l établissement, - Complète et relit la fiche établissement (données manquantes, données aberrantes ), - Organise la saisie des fiches, - Edite le rapport automatisé, - Organise la diffusion des résultats dans l EHPAD, Le jour de l enquête - Définit par service la liste des résidents inclus Prévalence des infections urinaires, pulmonaires, cutanées en EHPAD septembre

7 Le plus proche possible du jour de l enquête - Fait confirmer par le correspondant médical les diagnostics d infection colligés par les enquêteurs ; cette confirmation peut également être réalisée par le médecin traitant du résident infecté. - Fait confirmer par le correspondant médical les prescriptions d antibiotiques et les indications de prescription recueillies sur la fiche «Autre traitement antibiotique» ; cette confirmation peut également être réalisée par le médecin traitant du résident sous antibiotique. - Valide le contenu des fiches : il vérifie les données aberrantes, complète les données manquantes. Si aucune information ne peut être trouvée pour un item, la possibilité est laissée, lors de la saisie, de cocher «inconnu». Cette possibilité permet, lors de l analyse, de faire la différence entre les données manquantes (non répondu) et les données inconnues. - Organise le traitement des données (saisie, analyse et édition du rapport et poster). Dans les deux mois suivant l enquête - Organise la restitution des résultats et propose des pistes d amélioration, des plans d actions. - Programme le suivi des réajustements (réévaluer). - Archive les fiches papiers de l enquête. Les enquêteurs Les enquêteurs peuvent être le directeur, le médecin coordonnateur ou l infirmier coordonnateur, l hygiéniste de l établissement, le cadre infirmier ou les infirmières de l établissement. Le référent de l enquête peut également être enquêteur. Si l EHPAD dispose d un «référent hygiène», ils seront logiquement impliqués dans le projet, ainsi que tous les autres membres de l équipe. Leur rôle : - Repérer les résidents présumés infectés et/ou les résidents sous antibiotiques le jour de l enquête, - Relever les données sur la fiche «infecté» ou sur la fiche «Autre traitement antibiotique», - Faire valider le jour de l enquête, chaque fiche «Infecté» par un médecin. Ce rôle peut également être tenu par le responsable de l enquête, selon l organisation de chaque EHPAD. Le correspondant médical Le correspondant médical confirme, le jour de l enquête si possible, les diagnostics d infections colligées par les enquêteurs ainsi que les prescriptions et les indications de prescription d antibiothérapie recueillies sur la fiche «autre antibiotique». 8 Définition des infections Les définitions retenues pour les infections ciblées ici sont tirées de la dernière enquête nationale de prévalence (mai 2006) et du guide Surveiller et Prévenir les Infections Associées aux Soins de septembre L érysipèle et l intertrigo des plis n ayant pas été recueillis séparément lors de l enquête nationale de prévalence (infections confondues dans les infections de la peau et des tissus mous), nous avons retenu pour ces deux infections respectivement la définition de Mac Geer (McGeer et al. Definition of infection for surveillance in long term care facilities. American Journal of Infection Control 19(1);1991:1-7) et de l ouvrage d infectiologie «Pilly» (E. Pilly. Dermohypodermite aiguës bactériennes ; de l érysipèle à la fasciite nécrosante. In E. Pilly. Maladies Infectieuses et tropicales. Collège des Universitaires des Maladies Infectieuses et tropicales. 22 e Ed. Paris 2010 : 580p.) Prévalence des infections urinaires, pulmonaires, cutanées en EHPAD septembre

8 8-1 Infection urinaire Présence des signes cliniques suivants Fièvre ( 38 C) ou frisson ; Hypothermie ( 36,5 C) Tension sus-pubienne ou douleurs des flancs Incontinence récente ou majoration ; Dysurie ; Pollakiurie Somnolence Aggravation/apparition d une désorientation non expliquée par ailleurs Aggravation/apparition de la dépendance non expliquée par ailleurs Urine purulente et/ou présence de nitrites à la bandelette Au moins 3 signes cliniques si pas d uroculture ou résultats négatifs et résident non sondé Au moins 2 signes cliniques si pas d uroculture ou résultats négatifs et résident sondé Au moins un signe clinique si uroculture positive, résident sondé ou non ET Présence d une ECBU* positive : Sans sondage vésical Leucocyturie 10 4 leucocytes/ml et uroculture 10 3 microorganismes/ ml et au plus deux micro-organismes différents Avec sondage vésical (en cours ou dans les 7 j précédents) uroculture 10 5 microorganismes/ ml et au plus deux micro-organismes différents *Il est impératif de réaliser une ECBU chaque fois que cela est possible 8-2 Infection respiratoire basse (Infection pulmonaire) Présence d au moins deux des signes cliniques Aggravation ou apparition récente d une toux Aggravation ou apparition récente d un encombrement bronchique Fièvre ( 38 C) Douleur thoracique Aggravation ou apparition récente de signes cliniques à l auscultation (râles crépitants, sibilants, ronchi) Modification de la fréquence respiratoire (tachypnée 25 au repos) Expectoration purulente Aggravation de l état mental ou de la dépendance non expliquée par ailleurs Pneumonie ET Signes radiologiques : présence d une image parenchymateuse récente ou évolutive Signe bactériologique : germe retrouvé à l examen invasif des voies respiratoires inférieures (lavage broncho-alvéolaires ) Bronchite aiguë ou trachéo-bronchite aiguë Présence d au moins trois des signes cliniques suivants Aggravation ou apparition récente d une toux Aggravation ou apparition récente d un encombrement bronchique Fièvre ( 38 C) Expectoration purulente Modification de la fréquence respiratoire (tachypnée 20 au repos) Aggravation ou apparition récente de signes cliniques à l auscultation (râles crépitants, sibilants, ronchi) Aggravation de l état mental ou de la dépendance non expliquée par ailleurs ET Diagnostic radiologique : image parenchymateuse évocatrice de pneumonie Prévalence des infections urinaires, pulmonaires, cutanées en EHPAD septembre

9 8-3 Infection de la peau et des tissus mous (Infection cutanée) Présence de signes cliniques Ecoulement purulent, pustules, vésicules ou furoncle OU deux des symptômes suivants Douleur localisée Sensibilité ; Gonflement ; Rougeur ; chaleur Infection de la peau ET Diagnostic bactériologique soit germe isolé (bactérie, champignon ) de la culture du site infecté soit germe isolé à partir d une hémoculture recherche d antigène positive dans le sang ou le tissu affecté cellules géantes multinuclées observées lors d un examen microscopique des tissus taux d anticorps élevé (IgM) ou taux IgG x4 sur deux prélèvements successifs Infection d escarre Présence de deux des symptômes suivants : Rougeurs ; Sensibilité ; Gonflement des bords de la plaie ET Diagnostic bactériologique Soit germe isolé de la culture du liquide obtenu par aspiration ou biopsie du bord de l ulcère Soit germe isolé à partir d une hémoculture RT\ORIG\ORIG\RECHERCHES\PRIAM-2\ENQUETE NATIONALE 1\RAPPORT\Rapport Intertrigo des plis Erosion linéaire, bordée de squames décollées, souvent suintantes, fétides et prurigineuses ET Erysipèle Fièvre ; Frissons ; Malaise ; Syndrome pseudo grippal Placard inflammatoire isolé de survenue brutale, sans nécrose Adénopathies satellites, une lymphangite 9 Données recueillies pour l enquête 9-1 La fiche «EHPAD» La fiche établissement est remplie une seule fois par EHPAD participant. Elle identifie l EHPAD par un code identifiant unique, spécifique de cette enquête et dont la correspondance avec la raison sociale est connue seulement des ARLIN et du CCLIN Sud-Est. Ce code sera envoyé aux EHPAD par les organisateurs de l antenne, quelques temps avant le début de l enquête. La fiche «EHPAD» Prévalence des infections urinaires, pulmonaires, cutanées en EHPAD septembre

10 documente le type et le statut juridique de l établissement, le nombre de lits, décrit les résidents présents dans l institution. Des items décrivant les mesures de prévention des IU, IP et IC de l EHPAD seront recueillis dans cette fiche. L analyse des résultats locaux et régionaux de l enquête permettra d orienter les établissements dans leur politique future de prévention d infections ciblées. 9-2 La fiche «Infecté» Cette fiche ne sera remplie que pour les résidents présentant une infection urinaire IU et/ou infection respiratoire basse - IP et/ou infection cutanée IC active ou toujours sous traitement le jour de l enquête. Les IU ou IP traitées par traitement antibiotique récurrent le jour de l enquête ne feront pas l objet d une fiche «Infecté» mais ces traitements seront relevés dans la fiche «Autres traitements antibiotiques» Chacune de ces fiches «Infecté» doit être, le jour de l enquête, revue par un médecin qui confirmera ou rejettera le diagnostic d infection. Remplir une fiche papier par résident infecté. Sur cette fiche «Infecté» sera recueilli également le traitement antibiotique de l infection en cours. Les traitements antibiotiques prescrits pour d autres indications (infections des voies aériennes supérieures, conjonctivites, diarrhées, prophylaxie d infections ) seront comptabilisés sur une fiche indépendante (fiche «Autres traitements antibiotiques»). NB : traitement récurrent Les traitements antibiotiques récurrents prescrits pour une IU ou une IP seront notés dans la fiche «Autres traitements antibiotiques». Ce type de traitement sera exclu de l analyse des prescriptions d antibiotiques. Résidents pour lesquels une fiche «Infecté» doit être complétée Les résidents qui présentent des signes/symptômes d une IU, IP, IC le jour de l enquête. 9-3 La fiche «Autres traitements antibiotiques» Dans cette fiche seront colligés traitements antibiotiques prescrits de manière prophylactique ou prescrits pour une infection autre qu une infection urinaire, cutanée ou pulmonaire. NB : Les traitements prophylactiques prescrits pour une infection urinaire notamment seront recueillis dans cette fiche (l infection n étant pas active, le résident ne sera pas considéré comme «infecté» le jour de l enquête). 10 Identification des résidents infectés Le jour de l enquête, l enquêteur se rend dans le service pour rencontrer les personnels du service préalablement avertis de l heure de passage. Il recherche, avec l aide du personnel, les résidents présentant une IU, IP ou une IC ainsi que les résidents sous traitement antibiotiques. Plusieurs sources de données peuvent être confrontées : dossier soignant, dossier médical, entretien avec le personnel paramédical de l établissement, entretien avec les médecins traitant des résidents. Pour orienter le dépistage des résidents infectés, l enquêteur devra rechercher notamment : - une température >37,8 C, - un traitement antibiotique par voie générale, - la prescription d examens bactériologiques, de prélèvements bactériologiques à visée diagnostique, d examens d imagerie (radiographie pulmonaire) récents. Prévalence des infections urinaires, pulmonaires, cutanées en EHPAD septembre

11 Si le résident présente l une des infections ciblées par l enquête, une fiche «infecté» sera complétée. Lorsque l enquêteur n est pas médecin ou n exerce pas dans l EHPAD (professionnel hygiéniste par exemple), le diagnostic d infection sera confirmé le jour de l enquête (ou au plus tôt) par le médecin traitant ou à défaut par le médecin coordonnateur ou tout autre médecin exerçant dans l EHPAD (correspondant médical). 11 Recueil et saisie des données Le recueil des données sera réalisé par chaque EHPAD entre le 3 octobre et le 30 novembre 2011, au maximum sur une semaine et maximum un jour par service.. Exemple : L enquête ne doit pas se dérouler sur plus d une semaine dans l EHPAD. Ainsi dans l EHPAD Beauséjour qui compte 3 étages, les trois étages doivent être inclus dans l enquête la même semaine. Exemple : L enquête se déroule semaine 41 dans l EHPAD Beauséjour. Les enquêteurs choisissent de réaliser l enquête le 11 octobre au 1 er étage, le 13 octobre au 2 e étage et le 14 octobre au 3 e étage. Si une infection urinaire se déclare le 14 octobre chez un résident du premier étage, elle ne sera pas prise en compte dans l enquête (au premier étage seules seront colligées les infections présentes ou sous traitement le 11 octobre). Les fiches papier remplies pour l enquête seront saisies par les établissements. Il revient à chaque EHPAD (rôle du référent), lors de la saisie, d effectuer la validation des données recueillies. Cette validation consiste en la vérification d absence de données manquantes ou aberrantes. La saisie s effectuera grâce à un programme de saisie disponible sur Internet. Chaque établissement disposera d un login et d un mot de passe, envoyés avant le début de l enquête par son ARLIN afin de pouvoir accéder à ce programme. La date limite de saisie des données est fixée au 15 décembre. Cet outil permettra de saisir les données, de les valider partiellement (contrôles à la saisie) et d éditer les résultats sous forme de rapport et/ou de poster. Un module permettra également d importer les données sous forme de fichier Excel afin de laisser la possibilité aux EHPAD d analyser leurs données à loisir. En fonction de ses résultats, chaque EHPAD pourra secondairement s orienter vers des outils spécifiques, en ligne sur le site EHPAD du CCLIN Sud-Est, lui permettant de mettre en place un plan d action adapté aux problèmes mis en évidence par l enquête dans leur EHPAD (taux d IU, IP ou IC élevés). Il est demandé à chaque EHPAD d inscrire, au bas du poster de résultats, une phrase sur le plan d action envisagé en fonction de ses résultats. Les établissements qui seraient dans l impossibilité d utiliser Internet pour saisir leurs données devront s adresser à leur ARLIN, afin de définir ensemble la solution la plus adaptée à leur situation. Des bases de données régionales et interrégionales seront constituées afin de réaliser des analyses à plus large échelle. 12 Qualité des données La qualité de l enquête dépend de la qualité des données recueillies. L objectif d une validation secondaire des infections est d estimer l erreur de codage sur les infections recueillies par les enquêteurs ainsi que l erreur éventuelle de saisie. Pour cette démarche, un échantillon de fiches «Infecté» sera tiré au sort sur la région Rhône-Alpes. Les membres du groupe de travail «Prévalence EHPAD» se déplaceront dans les EHPAD concernés et, si possible en présence du médecin, valideront sur dossier les infections tirées au sort. Prévalence des infections urinaires, pulmonaires, cutanées en EHPAD septembre

12 Une validation à trois niveaux sera alors réalisée pour chaque fiche «infecté» tirée au sort : Niveau 1 - Validation de l infection à partir des données de la fiche «infecté» (critères cochés), du dossier et de la confirmation du médecin responsable des fiches «Infecté». - Validation de l infection à partir des données de la fiche «Infecté» (critères cochés) et du dossier (médecin absent ou ne se souvient plus du cas). Niveau 2 - Validation de l infection à partir de la fiche «infecté» (critères cochés) et des infos données par le médecin (dossier incomplet, mauvaise traçabilité). Niveau 3 - Pas de validation de l infection : pas de critère coché sur la fiche «infecté» ou critères insuffisants, pas d éléments de preuve dans le dossier, et le médecin ne se souvient pas du cas ou il est absent. Echantillon prévisionnel pour la région Rhône-Alpes: Estimation des erreurs de codage : 10% des dossiers ; sur 200 EHPAD participants avec en moyenne 80 résidents : un échantillon de 25 dossiers d infections est à revoir soit une trentaine d EHPAD. 13 Anonymat et confidentialité L EHPAD participant sera identifié dans une base de données informatisée à l aide du seul code anonymat envoyé à l EHPAD en début d enquête. Une déclaration à la CNIL (Commission nationale de l informatique et des libertés) a été réalisée : le numéro de dossier est disponible à l ARLIN Rhône- Alpes. Aucune donnée nominative concernant les résidents ne sera renseignée sur Internet ni envoyée aux ARLIN. Chaque fiche «infecté» sera identifiée par un numéro unique, attribué lors de la saisie informatique. Il est indispensable, de reporter sur la fiche papier ce numéro informatique, lors de la saisie des fiches papier, afin de pouvoir réaliser éventuellement une validation secondaire des données saisies. Ces fiches papier seront gardées dans les EHPAD au minimum 6 mois afin de pouvoir permettre un éventuel retour aux données sources. La fiche d information des résidents et/ou des familles, à apposer dans chaque EHPAD participant, est disponible en annexe de ce document. 14 Charge de travail demandée par l enquête Les ARLIN proposeront aux EHPAD de leur région une demi-journée de formation, en septembre 2011, afin de présenter le protocole de l enquête et l outil informatique de saisie. Le remplissage de la fiche établissement et des fiches résidents infectés nécessitera, selon la taille de l EHPAD, au maximum une demi-journée. La saisie des fiches ne prendra pas plus de 30 minutes pour un établissement de 100 lits. 15 Analyse des données 15-1 Analyse par établissement Les résultats locaux seront produits directement et de manière standardisée par le responsable de l enquête, grâce au module d analyse automatique présent sur la page Internet de saisie des données. Les résultats seront disponibles sous forme de rapport et de poster. Si nécessaire, les données de l enquête pourront être exportées vers tout autre logiciel pour une analyse plus personnalisée. Prévalence des infections urinaires, pulmonaires, cutanées en EHPAD septembre

13 15-2 Analyse par les antennes régionales du CCLIN, analyse interrégionale Chaque antenne sera responsable de l analyse des données régionales. Une analyse interrégionale pourra être réalisée par le CCLIN Sud-Est après fusion des bases de données régionales. 16 Restitution des données Localement, une rétro-information devra être effectuée au personnel de l établissement. L établissement pourra intégrer ses résultats dans sa communication interne ou externe pour illustrer sa politique de prévention du risque infectieux. La communication de ses résultats est du ressort exclusif de l établissement et sous son entière responsabilité. Les résultats régionaux et interrégionaux de l enquête seront disponibles sur le site EHPAD du CCLIN Sud-Est et sur les pages Internet des antennes régionales. Les résultats régionaux et interrégionaux seront présentés dans les régions à l occasion de journées régionales EHPAD de prévention du risque infectieux. Localement, l analyse des résultats de l enquête doit permettre d orienter la politique de prévention du risque infectieux dans l établissement. Le responsable de l enquête participera à la mise en place du plan d action découlant de l analyse des résultats de ce travail. 17 Calendrier prévisionnel Courrier d'information aux EHPAD avec résumé du protocole Fiches de recueil fournies àpour développement informatique 1er mail de relance et inscription aux formations Test de l'outil de saisie Documents finalisés : Protocole, guide de l'enquêteur, fiches de recueil 2e mail de relance et inscription aux formations Rédaction des supports de formation Formation des EHPAD Mise en ligne des documents Recueil, saisie, analyses locales Analyse de la qualité des données Rapport d'analyses régionales Jan Fev Mar Avr Mai Juin Juil Aout Sept Oct Nov Dec Mars La date limite de saisie des données est fixée au 15 décembre Passée cette date, les données saisies ne seront pas prises en compte par les ARLIN pour les analyses. 18 Evaluation de l impact de l enquête Au cours du second semestre 2012, une évaluation de l impact de l enquête sera réalisée, sous forme de questionnaire envoyé aux établissements participants. Prévalence des infections urinaires, pulmonaires, cutanées en EHPAD septembre

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