POLICE FÉDÉRALE DIRECTION DE L'INFORMATION POLICIÈRE OPÉRATIONNELLE APPUI À LA POLITIQUE POLICIÈRE SERVICE DONNÉES DE GESTION

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1 POLICE FÉDÉRALE DIRECTION DE L'INFORMATION POLICIÈRE OPÉRATIONNELLE APPUI À LA POLITIQUE POLICIÈRE SERVICE DONNÉES DE GESTION Analyse de l'enquête Locale de Sécurité 211 pour les zones de police de typologie 2 Ed. responsable: Police Fédérale - CGO, Rue Fritz Toussaint, 8 5 Bruxelles ELLEN VAN DEN BOGAERDE ISABELLE VAN DEN STEEN ANNELIES DE BIE PASCAL MARCHAND sous la direction de PATRIZIA KLINCKHAMERS MICHEL CROQUET -1-

2 Table des matières 1 Introduction 4 2 Méthodologie de l enquête Une enquête postale et par internet Zones de police participantes L échantillon Pré-stratification Taux de réponse 7 Post-stratification Profil des répondants Comparaison entre la population et l échantillon selon l âge et le sexe Répartition de l échantillon selon les zones de police participantes Profil des répondants: autres caractéristiques personnelles 9 3 Problèmes de quartier «Considérez-vous les faits suivants comme un problème dans votre quartier?» En général Problème de quartier «vitesse non adaptée au trafic» selon les caractéristiques personnelles Priorités Cohésion sociale Généralités Cohésion sociale selon la durée de résidence dans son quartier 14 4 Sentiment d'insécurité Apparition d'un sentiment d'insécurité général Répartition globale Sentiment d'insécurité général selon les caractéristiques personnelles Sentiment d'insécurité selon l'aspect de son quartier Comportements d'évitement 18 5 Victimisation et déclaration Victimisation Aperçu de la victimisation selon le type de délit (Tentative de) cambriolage selon le type d'habitation Déclaration Aperçu des déclarations/plaintes selon le type de délit «Chiffre noir (Dark number)» 22-2-

3 5.3 Satisfaction des victimes par rapport à l'intervention de la police 23 6 Fonctionnement policier de sa propre zone En règle générale: «Les services de police (de sa propre zone) font du bon/mauvais travail» Satisfaction à propos de la police de sa propre zone «Les services de police de sa propre zone sont-ils faciles ou difficiles à contacter?» L'agent de quartier «Connaissez-vous votre agent de quartier?» «L'agent de quartier est-il facile à contacter?» 28 «Comment connaissez-vous votre agent de quartier?» «Vouloir davantage de contacts avec l'agent de quartier» 29 7 Dernier contact policier Contact personnel avec la police de sa propre zone durant les 12 derniers mois Raison du dernier contact policier Lieu du dernier contact policier Satisfaction concernant le dernier contact policier Satisfaction selon la raison du contact Satisfaction par rapport au contact policier 34-3-

4 1 Introduction Le présent rapport reprend l'analyse des résultats de l'enquête locale de sécurité (ELS). Cette enquête s'est déroulée entre juin 211 et avril 212 en collaboration avec différents partenaires, tant au niveau local que fédéral. L'enquête du Moniteur de sécurité (MS) est réalisée depuis plusieurs années première édition en 1997 sous la coordination du service Données de Gestion de la Direction de l information policière opérationnelle de la Police fédérale (CGOP/B). En 211, le projet aurait dû en être à sa huitième édition au moment où les zones de police se préparaient à la rédaction de leur nouveau plan zonal de sécurité pour Malheureusement, l'enquête du Moniteur de sécurité n'a pas pu, pour des raisons budgétaires, être lancée. Il a donc été nécessaire, à très court terme, d envisager une solution d'urgence. C'est pour répondre aux besoins des zones de police que l'enquête locale de sécurité a été développée. L'Enquête locale de sécurité ne remplace pas le Moniteur de sécurité. Il s'agit néanmoins de deux instruments complémentaires. Le Moniteur de sécurité établit, au-delà des données locales, un aperçu national de la victimisation, de la sécurité et de la police. L'Enquête locale de sécurité est un instrument complémentaire centré sur les besoins locaux spécifiques en matière de gestion de la sécurité. Le choix de participer à l'enquête locale de sécurité s'est fait sur base volontaire. Les données ont été récoltées au niveau local avec le soutien méthodologique de CGOP/B. Le présent rapport reprend l'analyse des résultats des différentes zones de police de typologie 2 qui ont participé à l'enquête. IMPORTANT! Etant donné que nous ne disposons pas de données pour toutes les zones de police, les résultats ne concernent que les zones de police de typologie 2 qui ont participé à l'enquête. Les résultats ne sont PAS généralisables aux autres zones de police de typologie 2. Le premier chapitre de ce rapport d'analyse est consacré à la méthodologie de l'enquête. La méthode de travail, la population, l'échantillon et le taux de réponse y sont examinés. Des informations complémentaires peuvent être retrouvées dans la note méthodologique. Dans les chapitres suivants, les différents modules du questionnaire sont traités successivement et leurs résultats sont présentés: problèmes de quartier, sentiment d'insécurité, victimisation et déclaration, fonctionnement de sa propre zone de police, dernier contact avec la police. -4-

5 2 Méthodologie de l enquête 2.1 Une enquête postale et par internet L'Enquête locale de sécurité a cherché, autant que possible, à être réalisée en gestion propre par les zones de police et les communes. Le choix s'est donc porté sur un questionnaire papier avec la possibilité de le compléter directement sur Internet. La préparation et l'envoi (via la poste ou distribué par du personnel local), la récolte et l'enregistrement des réponses ont été réalisés par les zones de police et les communes. La conduite du projet, l appui méthodologique, le traitement statistique et les formations ont été pris en charge par CGOP/B. Les premiers questionnaires ont été envoyés début octobre 211. Les dernières réponses ont été enregistrées en février 212. Pour garantir une certaine uniformisation et une bonne qualité des données, des règles d'encodage ont été rédigées. Ainsi, certains questionnaires incomplets, dans lesquels un certain nombre de questions n'étaient pas complétées ou étaient doublement encodées, ou lorsque le sexe et l'âge n étaient pas indiqués, ont été écartés du résultat final. -5-

6 2.2 Zones de police participantes 15 des 21 zones de police de typologie 2 existantes ont participé à l Enquête locale de sécurité 211. Lokale Veiligheidsbevraging - Politiezones typologie 2 Enquête Locale de Sécurité - Zones de police de typologie 2 Province Provincie Zones de police participantes de typologie 2 Deelnemende Politiezones van typologie 2 Autres zones de police de typologie 2 Andere politiezones van typologie L échantillon Pré-stratification Ce sont les registres de population qui ont servi de base au tirage de l'échantillon. Pour reproduire la meilleure image possible de la répartition des habitants des zones de police et des communes, ce sont les citoyens âgés de 15 ans et plus, représentatifs des catégories d'âge et de sexe, qui ont été sélectionnés. Pour les zones pluricommunales, le nombre d habitants au sein des communes respectives a aussi été tenu en compte. -6-

7 2.3.2 Taux de réponse Ce rapport d analyse concernant les zones de police de typologie 2 est basé sur 447 enquêtes valides. Le taux de réponse à savoir le pourcentage d'enquêtes valides par rapport au nombre total de questionnaires envoyés atteint en moyenne 35,4%, mais varie fortement entre les différentes zones de police avec des taux allant de 24,5% à 57,7%. Il s'agit d'un taux de réponse correct, supérieur au taux minimum attendu, lequel est de 25% des enquêtes complétées Post-stratification Comme expliqué précédemment, nous avons visé à représenter le mieux possible la population réelle des communes et zones de police participantes en réalisant une pré-stratification de l'échantillon. Il y a, néanmoins, toujours des personnes qui ne participent pas à l'enquête, soit parce qu'elles refusent de participer, soit parce qu elles ont déménagé ou encore parce que, malades, elles n ont pas la force de participer, etc. La composition du groupe de personnes qui, en définitive, complètent le questionnaire et le renvoient, peut évidemment différer de la population réelle. Ces écarts ont été corrigés grâce à la post-stratification. En fonction du fait qu'un sous-groupe de population est sous- ou surreprésenté dans l'échantillon, un poids supérieur ou inférieur est alors attribué à ce groupe de répondants. Cette pondération a été effectuée selon les catégories d'âge et de sexe, ainsi que selon la commune, la zone de police et la province 1. Par la suite, les analyses de ce rapport seront traitées en tenant compte de cet échantillon pondéré. 1 Davantage d'informations concernant la pondération peuvent être consultées dans la note méthodologique. -7-

8 2.4 Profil des répondants Comparaison entre la population et l échantillon selon l âge et le sexe Le graphique ci-dessous montre dans quelle mesure l'échantillon des personnes qui participent effectivement à l'enquête diffère ou non de la répartition réelle de la population selon l'âge et le sexe. Répartition de la population et de l'échantillon - ZP typologie 2 % ,8 11,5 17,6 13, 25,6 26,4 26,9 21,7 2,3 22, ans ans ans 5-64 ans 65+ ans Répartition de la population Répartition de l'échantillon dem A. et dem B. Dans l échantillon des zones de police de typologie 2, les jeunes sont une catégorie d âge un rien sous-représentée. À l inverse, on retrouve un peu plus de personnes âgées dans l échantillon qu il n y en a réellement présentes dans la population. En ce qui concerne la catégorie ans, l écart est minimal. En ce qui concerne le sexe, la répartition entre hommes et femmes est parfaitement représentative: l échantillon comme la population réelle des zones de police de typologie 2 participantes sont composés de 48% d hommes et 52% de femmes. Une pondération selon l'âge et le sexe des répondants, appelée post-stratification, est appliquée pour corriger ces différences de répartition. Ceci signifie qu un poids plus grand pour les jeunes et moins grand pour les personnes âgées est alloué à chaque répondant selon que sa catégorie est sous- ou surreprésentée dans l'échantillon, de façon à ce que celui-ci représente le plus correctement la répartition des catégories d âge dans la population. -8-

9 2.4.2 Répartition de l échantillon selon les zones de police participantes Le tableau ci-dessous reproduit l échantillon des 15 zones de police de typologie 2 qui ont participé à l Enquête locale de sécurité 211. L échantillon global de ces 15 zones participantes a fait l objet, comme expliqué supra, d une post-stratification selon la répartition de la population dans ces différentes zones. Le chiffre indiqué ici ne reprend pas le nombre de citoyens ayant effectivement participé au sein d'une zone (qui doit être au minimum de 35) mais bien le nombre d'enquêtes pondéré selon la distribution de la population dans les différentes zones de police par rapport à l'ensemble. Tableau: dem C. Fréquences % Total HAZODI 5, LA LOUVIERE 5,76 62 LOKALE POLITIE MECHELEN 3,73 39 POLITIE SINT-NIKLAAS 3, POLITIEZONE GAOZ 4, PZ AALST 3, PZ BRUGGE 44 SCHAERBEEK ST.JOSSE EVERE 15, UCCLE/W-B/AUDERGHEM 11, VLAS 7, ZONE DE POLICE DU TOURNAISIS 6,7 7 ZONE MONTGOMERY 11, ZP ARLON/ATTERT/HABAY/MARTELANGE 1,92 2 ZP DISON/PEPINSTER/VERVIERS 3,6 376 ZP NAMUR 5, Total Profil des répondants: autres caractéristiques personnelles Les citoyens ont également été interrogés sur une série d'autres caractéristiques personnelles (hors sexe et âge) dans le but de facilement réaliser des analyses détaillées et d'avoir une vue de la composition par catégorie des citoyens ayant participé à l'enquête Répartition de l échantillon selon le diplôme le plus élevé Près d un quart (24%) des répondants ne disposent pas d un diplôme ou ont suivi les cours jusqu à l enseignement primaire ou secondaire inférieur. 34% ont un diplôme de l enseignement secondaire supérieur. Enfin, 42% ont suivi des études supérieures à l université ou dans une haute école. -9-

10 Répartition de l échantillon selon la situation professionnelle En ce qui concerne la répartition selon la situation professionnelle, la plupart des répondants sont des salariés (43%). Les pensionnés représentent environ un quart (24%) et les étudiants un peu plus d un dixième (11%) de l échantillon. Les autres catégories reprennent les indépendants (8%), les chômeurs/demandeurs d emploi (7%) ou encore les autres catégories (près de 8%) Répartition selon le type de logement Les répondants habitent essentiellement une maison en rangée (35%) ou une maison trois ou quatre façades (34%). 3% occupent un studio ou un appartement Répartition de l échantillon selon la durée de résidence dans son quartier Les réponses suivantes ont été données à la question «Depuis combien de temps habitez-vous dans le quartier où vous êtes actuellement?». Plus de la moitié des habitants des zones de police de typologie 2 participantes habitent depuis plus de dix ans dans le quartier où ils sont actuellement (58%). 15% y habitent depuis plus de 5 ans mais moins de ans. 22% habitent depuis plus d 1 an mais moins de 5 ans dans leur quartier actuel. 5% des habitants sont nouveaux dans le quartier: ils y habitent depuis moins d un an «Quel est, selon vous, l aspect de votre quartier?» La plupart des citoyens considèrent leur quartier comme plutôt soigné (62%). 13% estiment même que leur quartier est «très soigné». À l'inverse, 23% des répondants trouvent leur quartier «plutôt pas soigné» (17%), voire «pas soigné du tout» (6%). --

11 3 Problèmes de quartier 3.1 «Considérez-vous les faits suivants comme un problème dans votre quartier?» En général % de répondants considérant "tout à fait" et "un peu" ces items comme un problème de quartier ,4 Vitesse non adaptée au trafic 49,2 Conduite agressive dans la circulation 45,4 Dépôts clandestins et détritus traînant dans la rue 43,6 Parking sauvage 4,5 Cambriolage Problèmes de quartier - ZP typologie 2 36,9 Nuisances sonores 28,7 28, 27,7 Nuisances causées par des groupes de jeunes Vol dans les voitures Vandalisme et graffitis 22,7 Vol de vélos 2,2 2, Nuisances liées à la consommation d'alcool Accident de circulation 15,5 15,3 Personnes importunées dans la rue Vol à la tire 13,5 Bagarres Graphique : Enquête locale de sécurité 211 Zones de police typologie 2 Tableau qrt A.1. Les habitants des zones de police de typologie 2 qui ont participé à l enquête considèrent surtout la vitesse non adaptée au trafic comme un problème dans leur quartier: 64% ont répondu «un peu» ou «tout à fait» à cette question. Cette problématique se distingue nettement au-dessus des autres. Nous retrouvons, respectivement, de la deuxième à la cinquième position: la conduite agressive dans la circulation (49%), les dépôts clandestins et détritus traînant dans la rue (45%), le parking sauvage (44%) et les cambriolages (4%). Ensuite, les nuisances sonores sont encore mentionnées par 37% des répondants comme problématiques dans le quartier. Les problèmes de quartier suivants apparaissent pour (un peu) moins de 3% dans les réponses: autour de 28% en ce qui concerne les «nuisances causées par des groupes de jeunes», «le vol dans les voitures» et «vandalisme et graffitis». Le «vol de vélo», les «nuisances liées à la consommation d'alcool et de drogues» et les «accidents de circulation» sont mentionnés dans grosso modo un cinquième des cas. Les derniers problèmes de quartier atteignent environ 15% ou moins. -11-

12 3.1.2 Problème de quartier «vitesse non adaptée au trafic» selon les caractéristiques personnelles En ce qui concerne la vitesse non adaptée au trafic le problème de quartier le plus souvent signalé par les citoyens, une analyse plus détaillée selon les caractéristiques personnelles (âge, sexe, formation, activité professionnelle) a été réalisée. Ce sont surtout les personnes des catégories d âge ans et 5-64 ans qui considèrent la vitesse non adaptée au trafic comme «tout à fait» ou «un peu» problématique dans leur quartier (67%). Ce phénomène touche moins les jeunes de la catégorie ans (58%). Les femmes estiment davantage la vitesse non adaptée au trafic comme «tout à fait» ou «un peu» problématique que les hommes: 65% de femmes contre 63% d hommes. Les répondants qui ont un diplôme de l enseignement secondaire supérieur ou de l enseignement supérieur (université, haute école) ressentent un peu plus la vitesse non adaptée au trafic comme problématique: environ 65% contre 62% de personnes qui ont un diplôme de l enseignement primaire, du secondaire inférieur ou qui n ont pas de diplôme et ont répondu «tout à fait» et «un peu» problématique à ce sujet. Selon l activité professionnelle, ce sont surtout les salariés et les pensionnés environ un tiers qui ressentent la vitesse non adaptée au trafic comme «tout à fait» ou «un peu» problématique dans le quartier. Les autres catégories (indépendant, étudiant, sans emploi/demandeur d'emploi) atteignent environ les 6%. 3.2 Priorités Il a également été demandé aux citoyens des zones de police de typologie 2 participantes de classer les problèmes de quartier en fonction de la priorité avec laquelle les services de police doivent agir. Nous obtenons ainsi un classement très net. Le problème de quartier «vitesse non adaptée au trafic», lequel était déjà le plus souvent mentionné par les répondants, revient aussi en première position dans la liste des priorités (42%). Les autres problèmes de quartier qui figuraient dans le top 5 se retrouvent aussi dans les actions prioritaires à mener par la police. L'ordre est néanmoins un peu différent. Le cambriolage, cité en cinquième position comme problématique, prend la deuxième place dans l'ordre des priorités (38%). Aux troisième, quatrième et cinquième place, nous retrouvons respectivement les dépôts clandestins (27%), la conduite agressive dans la circulation (23%) et le parking sauvage (22%). Viennent ensuite les nuisances sonores avec 19%. Les autres problèmes de quartier sont moins cités commes prioritaires: «Vol dans les voitures», «Vandalisme et grafittis» et «Nuisances causées par des groupes de jeunes» atteignent encore 14% pour les premiers mentionnés et 13%. Les problèmes de quartier restants sont cités moins d une fois sur dix, les bagarres étant le moins souvent mentionnées. -12-

13 Problèmes de quartier cités comme priorité (n 1, 2 ou 3) - ZP typologie 2 Vitesse non adaptée au trafic Cambriolage Dépôts clandestins Conduite agressive dans la circulation Parking sauvage Nuisances sonores Vol dans les voitures Vandalisme et graffitis Nuisances causées par groupes de jeunes Personnes importunées dans la rue Nuisances liées à la consommation d'alcool Vol de vélos Vol à la tire Accident de circulation Bagarres qrt B.3. % La plupart du temps, les citoyens citent comme phénomène à résoudre en priorité celui qu'ils jugent comme le plus problématique dans leur quartier. Le classement est grosso modo similaire mais pas automatiquement identique. Le répondant doit, en fin de compte, sur base des phénomènes de quartier qu il a indiqués comme problématiques, citer trois choix, lesquels, comparés au classement des problématiques ressenties, peuvent différer lorsqu on en arrive aux priorités. -13-

14 3.3 Cohésion sociale Généralités Il a été demandé aux personnes qui ont répondu à l enquête de donner leur avis en matière de cohésion sociale sur base de l'hypothèse: «Les habitants de votre quartier sont prêts à aider les autres voisins». 37% des habitants des zones de police de typologie 2 participantes disent être d'accord avec cette affirmation. 28% constatent, dans une large mesure, une cohésion sociale dans leur quartier, répondant qu ils sont «tout à fait d accord» avec cette assertion. 14% des citoyens restent neutres par rapport à cette affirmation, ils ne se disent ni «d'accord» ni «pas d'accord». Un certain nombre de citoyens considèrent que les personnes du voisinage ne sont pas prêtes à aider les autres: 6% ne sont «pas vraiment d'accord» avec cette affirmation sur la cohésion sociale et 3% ne sont «pas du tout d'accord» Cohésion sociale selon la durée de résidence dans son quartier 75 7 Cohésion sociale selon la durée de résidence dans son quartier - ZP typologie 2 69,9 % Tout à fait et un peu d'accord ,8 59, 6,5 39, Moins d'un an Plus d un an mais moins de 5 ans Plus de 5 ans mais moins de ans Plus de ans Ne sait pas qrt E

15 Le graphique montre que la cohésion sociale augmente avec le nombre d'années de résidence dans son quartier. Pour les personnes qui sont nouvelles dans leur quartier elles y habitent depuis moins d un an environ la moitié estiment que les gens qui y vivent sont prêts à aider les autres («tout à fait d accord» ou «d accord»). On ne recense pas de différence significative entre les habitants qui y vivent depuis plus d un an et moins de cinq ans et ceux qui y vivent depuis plus de cinq ans et moins de dix ans. En ce qui concerne les personnes qui habitent depuis plus de dix ans dans le quartier, la cohésion sociale augmente et approche les 7%. -15-

16 4 Sentiment d'insécurité 4.1 Apparition d'un sentiment d'insécurité général Répartition globale Un dixième des habitants des zones de police de typologie 2 participantes se sentent «toujours» (3%) ou «souvent» (7%) en insécurité. Pour 28%, ce sentiment survient «parfois». Plus de la moitié (6%) des répondants affirment cependant être «rarement» (36%) ou ne se sentir «jamais» (24%) en insécurité Sentiment d'insécurité général selon les caractéristiques personnelles Lorsqu on examine le profil des citoyens qui déclarent se sentir «toujours» ou «souvent» en insécurité, aucune différence significative n est constatée sur le plan de la catégorie d âge à laquelle on appartient. Les femmes (12%) se sentent un peu plus «toujours» ou «souvent» en insécurité que les hommes (9%). Dans les zones de police de typologie 2 participantes, les personnes qui ont suivi un enseignement supérieur se sentent moins en insécurité (7%) que celles qui ne disposent généralement pas de diplôme ou qui ont suivi une formation moins poussée (12%). Lorsqu on prend en compte la profession des répondants, on constate que ce sont les chômeurs ou les demandeurs d emploi qui se sentent le plus en insécurité: 15% ont répondu «toujours» ou «souvent» à la question du sentiment d insécurité. À l inverse, les salariés se sentent moins «toujours» ou «souvent» en insécurité (9%), comparé aux autres catégories d emploi. -16-

17 Sentiment d'insécurité selon le niveau de formation - ZP typologie 2 Sentiment d'insécurité selon l'activité professionnelle - ZP typologie % toujours & souvent en insécurité ,5 12,2 7,4 % toujours & souvent en insécurité ,8 12,5,7, 15,1 12,1 Enseignement secondaire inférieur ou moindre Enseignement secondaire supérieur Enseignement supérieur Graphique: Enquête locale de sécurité 211 Zones de police typologie 2 Tableau ins A.2.3. Salarié Indépendant Etudiant Pensionné Sans emploi, chercheur d'emploi Graphique: Enquête locale de sécurité 211 Zones de police typologie 2 Tableau ins A.2.4. Autre Sentiment d'insécurité selon l'aspect de son quartier D'après les résultats, il apparaît clairement qu'il existe un lien entre l'aspect peu soigné de son quartier et un sentiment d'insécurité élevé. L évaluation par les répondants qui ont déclaré se sentir «toujours» ou «souvent» en insécurité n atteint que 4% chez ceux qui considèrent leur quartier comme «très soigné». Pour ceux qui estiment que leur quartier n est «pas du tout soigné» le sentiment d insécurité s élève à 33%. Sentiment d'insécurité selon l'aspect de son quartier - ZP typologie 2 4 % toujours & souvent en insécurité ,4 7,7 15,9 33,5 11,3 Très soigné Plutôt soigné Plutôt pas soigné Pas du tout soigné Ne sait pas ins A

18 4.2 Comportements d'évitement Le sondage à propos des comportements d évitement indique que 41% des répondants affirment qu ils évitent «toujours» ou «souvent» d ouvrir à des inconnus lorsqu on leur pose la question: «Dans quelle mesure adoptez-vous les comportements suivants?» Les répondants ayant des enfants de moins de 15 ans déclarent éviter, dans 37% des cas, pour des raisons de sécurité, que ceux-ci quittent la maison. Les comportements d évitement suivants concernent environ un répondant sur cinq: «éviter de partir quand il fait noir» (22%) et «éviter certains lieux de la commune» (21%). La question de la sécurité dans les transports en commun fait encore partie des propositions les plus souvent citées au sujet du comportement d évitement: une personne sur dix (11%) affirme éviter «toujours» ou «souvent» de prendre les transports en commun parce qu elle ne s y sent pas en sécurité. Comportement d'évitement - ZP typologie , 37,3 % toujours & souvent ,8 2,8 11,5 Éviter d'ouvrir à des inconnus Empêcher les enfants de quitter la maison Éviter de partir quand il fait noir Éviter certains lieux de la commune Eviter de prendre transports en commun ins B

19 5 Victimisation et déclaration 5.1 Victimisation Aperçu de la victimisation selon le type de délit Victimisation - ZP typologie 2 % Dégâts à la voiture 18,2 Menace Vol de vélo 7,7 8,2 Vol dans la voiture Autre 6,7 7,2 Tentative de cambriolage (sans vol) Cambriolage avec vol Délit de fuite dans la circulation Vol sans violence Escroquerie 6,1 5,7 5,2 4,7 4,2 Violence physique 3,5 Vol avec violence 2,8 Atteinte aux moeurs Vol de voiture Vol de moto / mobylette 1,2 1,6 2, vic A.1. Il a été demandé à tous les répondants d'indiquer de quelles infractions il/elle ou quelqu'un du ménage a été victime au cours des douze derniers mois. Le graphique ci-dessus en donne un bon aperçu. Concernant les zones de police de typologie 2 participantes, les «Dégâts à la voiture» ressortent clairement du lot: près d un cinquième (18%) des ménages des zones de police de ce type en ont été victimes. Dans le «top 4», on retrouve respectivement de la 2 e à la 4 e place les «menaces» (8,2% des ménages), le «vol de vélos» (7,7%) et le «vol dans une voiture» (7,2%). 6,7% des répondants ont déclaré avoir été victime d un délit autre que ceux mentionnés (conflit de voisinage, vol de remorque, insultes, incendie criminel, nuisances sonores, etc.). -19-

20 Environ six pour cent des ménages ont subi, dans les douze derniers mois, une tentative de cambriolage (sans vol) (6,1%). 5,7% ont également été victime d effraction (cambriolage avec vol). Dans environ cinq pour cent des cas, un répondant ou quelqu un de son ménage a été victime d un délit de fuite dans la circulation (5,2%). Un petit cinq pour cent ont été victime d un vol sans violence (4,7% des ménages). Pour 4,2%, une personne du ménage a fait l objet d une escroquerie. Dans 3,5% des ménages, un membre de la famille a été victime de violence physique. Les autres délits atteignent moins de trois pour cent des ménages: «vol avec violence» (2,8%), «atteinte aux mœurs» (2%), «vol d une voiture» (1,6%) et, enfin, «vol de moto/mobylette» (1,2%) (Tentative de) cambriolage selon le type d'habitation Les studios ou les appartements représentent plus souvent l objectif des cambriolages que les maisons trois ou quatre façades ou les maisons en rangée. Dans environ huit pour cent des cas, en ce qui concerne les zones de police de typologie 2 participantes, le ménage où le cambriolage a eu lieu habite un studio ou un appartement (8,5% pour être précis). Pour les personnes qui habitent une maison trois ou quatre façades ou une maison en rangée, les taux atteignent respectivement 4,1% et 4,8%. S agissant des tentatives de cambriolage, les mêmes constatations sont établies: celles-ci ont lieu surtout chez les répondants qui habitent un studio ou un appartement (7,5%) et moins chez ceux qui occupent une maison 3 ou 4 façades (5,5%) ou une maison en rangée (5,3%). Pour les deux catégories de délits, une importante partie des répondants ont également affirmé habiter dans un autre type de logement (logement social, maison de repos, chambre, etc.) (7,5% de cambriolages, 7,9% de tentatives de cambriolages). 5.2 Déclaration Aperçu des déclarations/plaintes selon le type de délit Pour les répondants (ou une personne de leur ménage) victimes d'une infraction, il a également été demandé s'ils avaient déposé une plainte auprès de la police. Les faits qui se produisent le plus ne sont pas spécialement ceux qui sont le plus déclarés à la police. Dans le paragraphe précédent, nous avions constaté que les dégâts à la voiture dans les zones de police de typologie 2 participantes étaient l'infraction la plus fréquemment rencontrée par les répondants. Il s'agit néanmoins d une infraction qui connaît un des plus bas taux de déclaration. À l inverse, les vols de voiture font souvent l objet d une déclaration. -2-

21 Déclarations/plaintes - ZP typologie 2 % Vol de voiture Cambriolage avec vol 82,4 84,3 Vol de moto / mobylette 75,4 Vol avec violence 67,1 Violence physique Vol dans la voiture Vol sans violence 59,2 57,6 57, Délit de fuite dans la circulation Autre Vol de vélo Tentative de cambriolage (sans vol) 52,8 49,2 45,5 43,6 Dégâts à la voiture Menace Atteinte aux moeurs Escroquerie 32,5 31,5 29,9 27,2 décl A.1 Un certain nombre de délits contre le patrimoine sont le plus souvent déclarés: le «vol de voiture» (84%), le «cambriolage avec vol» (82%) et le «vol de moto/mobylette» (75%). Vient ensuite le «vol avec violence» qui est déclaré deux fois sur trois (67%). La «violence physique» (59%), le «vol dans la voiture» (58%), et le «vol sans violence» (57%) font l objet d une déclaration dans près de soixante pour cent des cas. Le «délit de fuite» est déclaré dans un peu plus de la moitié des cas (53%). Les faits de «vols de vélos» et les faits de «tentative de cambriolage (sans vol)» font l objet d une déclaration à la police dans un peu moins de la moitié des cas: respectivement 45% et 44%. Les autres infractions connaissent un taux de pourcentage avoisinant les trente pour cent: les «dégâts à la voiture» (32%), les «menaces» (31%), l «atteinte aux mœurs» (3%) et l «extorsion» (27%). -21-

22 «Chiffre noir (Dark number)» Lorsqu un membre du ménage du répondant a été victime d un délit et que ce fait n a pas été déclaré à la police, il n est pas repris dans les statistiques policières de la criminalité enregistrée. Ces informations resteraient donc inconnues des responsables politiques si une enquête telle que l Enquête locale de sécurité ne demandait pas au répondant si le fait dont il/un membre de son ménage a été victime a été déclaré à la police. De cette manière, on obtient un aperçu de ce qu on appelle le «chiffre noir (dark number)» Déclaration (PV) = Statistiques policières de criminalité ex. 4% Pas de déclaration à la police = Chiffre noir ex. 6% Enquête Locale de Sécurité = image réelle de la criminalité (%) * * pour les ZP partiçipantes Sur base du taux de déclaration des différents délits, il est possible de calculer le pourcentage de non-déclarations et donc le chiffre noir. Lorsque, pour certaines formes de criminalité, le taux de déclaration est faible, le «chiffre noir» sera élevé. Et vice versa. C est ainsi que l on peut constater que le chiffre noir pour les vols de voiture, lesquels sont déclarés dans 84% des cas comme le graphique decl A.1. ci-dessus le montre atteint «à peine» 16%. À l inverse, le chiffre noir pour les types de délits les moins déclarés est élevé. Ainsi, le nombre de faits d extorsion dans les statistiques de criminalité n apparaissent que pour 27%, à savoir le pourcentage d affaires d extorsion déclarées. Il y a donc bien 73% des extorsions auxquelles les ménages sont confrontés qui ne sont pas déclarées et donc pas enregistrées. Elles sont maintenant mises au jour par toutes les potentielles victimes, tant celles qui ont établi une déclaration que celles qui ne l ont pas fait. -22-

23 5.3 Satisfaction des victimes par rapport à l'intervention de la police Il a été demandé aux répondants qui avaient eu un contact avec la police dans le cadre d'une victimisation d'évaluer ce contact. Le niveau de satisfaction a donc été demandé aux victimes par rapport aux actions entreprises par la zone de police à propos du dernier délit qui leur est survenu. Un tiers de ces répondants ont déclaré être satisfaits, un sur dix même très satisfait. À l inverse, près d un cinquième des victimes des zones de police de typologie 2 participantes ne sont pas satisfaites de l intervention de la police: 11% se déclarent «insatisfait» et 8% sont «très insatisfait». 26% des citoyens qui ont eu un contact avec la police de leur zone dans le cadre d une victimisation se sont exprimés de manière neutre: «ni satisfait, ni insatisfait». Enfin, 11% ont répondu «ne sait pas». 6 Satisfaction des victimes p/r à l'intervention de la police - ZP typologie ,3 % 3 25,8 2,3 11,2 8,1 11,3 Très satisfait Satisfait Ni satisfait, ni insatisfait Insatisfait Très insatisfait Ne sait pas decl B

24 6 Fonctionnement policier de sa propre zone 6.1 En règle générale: «Les services de police (de sa propre zone) font du bon/mauvais travail» Appréciation globale du fonctionnement policier de sa propre zone - ZP typologie ,7 % ,4 7,5 Très bon travail Bon travail Mauvais travail Très mauvais travail Ne sait pas pol A.1. 1,8 23,6 Les habitants des zones de police de typologie 2 participantes donnent dans l ensemble une bonne évaluation à leur police locale. Environ 2 répondants sur 3 estiment que la police de leur propre zone accomplit du bon à très bon travail: 6% répondent «bon travail» et 7,4% affirment «très bon travail». À l'opposé, un certain nombre de citoyens considèrent que leur police locale ne fonctionne pas (si) bien. Il s agit cependant d une minorité, environ neuf pour cent: 7,5% estiment que la zone de police accomplit du «mauvais travail» et près de deux pour cent (1,8%) répondent du «très mauvais travail». Un groupe important de citoyens n ont pas d avis sur le bon travail ou non de leur police locale: près d un quart répond «ne sait pas». -24-

25 6.2 Satisfaction à propos de la police de sa propre zone Dans les zones de police de typologie 2 participantes, les citoyens sont surtout satisfaits à propos de l'attitude et du comportement de la police: 6% se disent «satisfait» à «très satisfait». Près de quarante pour cent des répondants disent être (très) satisfaits à propos de la «fonction d'exemple» de leur police (39%) et du fait qu'elle «traite chacun sur un pied d'égalité» (38%). Concernant la «présence en rue» et «l information donnée sur les activités», environ un tiers des répondants ont déclaré être satisfaits et très satisfaits: les réponses atteignent respectivement 35% et 33%. Satisfaction à propos de la police de sa propre zone - ZP typologie ,7 % Très satisfait et satisfait ,9 38,1 35,3 32, L'attitude et le comportement Etre une fonction d'exemple Traiter chacun sur un pied d'égalité La présence en rue L'information donnée sur les activités pol C

26 6.3 «Les services de police de sa propre zone sont-ils faciles ou difficiles à contacter?» Les services de police de sa propre zone sont-ils faciles ou difficiles à contacter? - ZP typologie % ,8 3 25,6 2 11,7,3 Très facile Facile Difficile Très difficile Ne sait pas pol C.3. 2,6 La moitié des répondants des zones de police de typologie 2 participantes considèrent que les services de police de leur propre zone sont faciles à contacter. Environ un dixième estime que ce contact est même très facile (12%). À l'inverse, un dixième des répondants affirment que leur police est difficile à contacter. Une minorité (2,6%) considère que ce contact est très difficile. Un groupe important ne se prononce pas: environ un quart des personnes interrogées (26%) répondent «ne sait pas» à la question de savoir si la police de leur zone est facile ou difficile à contacter. -26-

27 6.4 L'agent de quartier «Connaissez-vous votre agent de quartier?» Connaissez-vous votre agent de quartier? - ZP typologie 2 28,7 Oui, mais seulement de vue ou de nom Oui, j'ai parfois des contacts avec l'agent de quartier Oui, j'ai souvent des contacts avec l'agent de quartier 58,8 Non,9 1,7 pol D.1. La plupart des habitants des zones de police de typologie 2 participantes ne connaissent pas leur agent de quartier. À la question «Connaissez-vous votre agent de quartier?», 59% ont répondu «non», 29% des citoyens le connaissent uniquement de nom ou de vue. Plus d un dixième (11%) répondent qu ils ont de temps à autre un contact avec l agent de quartier. Une minorité 1,7% affirment avoir régulièrement contact avec lui. La catégorie d âge des personnes qui, pour la plupart, ne connaissent pas l agent de quartier est celle des jeunes de ans, avec 7% de réponses «non» à la question de savoir s ils le connaissent. Viennent ensuite les 65 ans et plus, avec 62% et encore la catégorie des 5-64 ans avec 58%. L'agent de quartier est un petit peu mieux connu chez les et ans. Les femmes (61%) connaissent un peu moins bien l agent de quartier que les hommes (57% de réponses «non»). Il est encore moins connu chez les personnes qui ont suivi des études supérieures (62% d «enseignement supérieur» contre 56% pour les autres). Selon la situation professionnelle, ce sont surtout les étudiants qui ne connaissent pas l agent de quartier: 72% contre 5 à 6%. -27-

28 6.4.2 «L'agent de quartier est-il facile à contacter?» % L'agent de quartier est-il facile à contacter? - ZP typologie 2 6,7 22,7 16,7 Oui Non Ne sait pas A la question de savoir si l'agent de quartier est facile à contacter, 61% des répondants n'ont pas d'opinion (réponse: ne sait pas). Probablement les citoyens qui n'ont jamais eu l'occasion d'avoir un contact avec lui. 23% affirment: «oui, l agent de quartier est facile à contacter». 17% répondent «non». pol D «Comment connaissez-vous votre agent de quartier?» Comment connaissez-vous votre agent de quartier? - ZP typologie ,5 5 4 % ,9 14,3 4,8 3,5 2,3 Contact personnel direct Autre Journal de la commune Carte de visite Site web Journal de la Police pol D.3. Les habitants des zones de police de typologie 2 participantes qui connaissent leur agent de quartier le connaissent surtout dans plus de la moitié des cas par un contact direct personnel (53%). 14% des répondants connaissent l agent de quartier par le journal communal. Dans une moindre mesure, on le connaît via une carte de visite (4,8%), via le site web (3,5%) ou via le journal de la police (2,3%). 17% des citoyens connaissent encore l agent de quartier d une autre manière (domiciliation, plainte, bouche à oreille, convocation, rencontre en rue, etc.) que celles énoncées dans la liste de propositions du questionnaire. -28-

29 6.4.4 «Vouloir davantage de contacts avec l'agent de quartier» Souhaiteriez-vous avoir davantage de contacts avec votre agent de quartier? - ZP typologie ,2 5 4 % 3 24,9 2,7 6,1 Oui Non Uniquement en cas de problème Ne sait pas pol D.4. Un quart des habitants des zones de police de typologie 2 participantes souhaitent avoir plus de contacts avec leur agent de quartier. À l inverse, environ un répondant sur dix (11%) n en éprouve aucun besoin. La plupart des citoyens admettent cependant souhaiter plus de contacts avec l agent de quartier en cas de problème: 58%. Vouloir davantage de contacts avec son agent de quartier selon le sexe - ZP typologie 2 Vouloir davantage de contacts avec son agent de quartier selon le niveau de formation - ZP typologie ,6 59,9 56, 8 % 7 61, , ,9 27,2 2 % ,1 24,6 28, Enseignement secondaire inférieur ou moindre Enseignement secondaire supérieur Enseignement supérieur Femme Oui Uniquement en cas de problème Homme Oui Uniquement en cas de problème Graphique: Enquête locale de sécurité Zone de police typologie 2 Tableau pol D.4.2. Graphique: Enquête locale de sécurité 211-Zone de police typologie 2 Tableau pol D

30 Le désir d'avoir davantage de contacts avec son agent de quartier augmente avec l'âge. Les répondants de plus de 5 ans répondent deux fois plus «oui» au besoin d'avoir un contact plus régulier avec l'agent de quartier que les plus jeunes (15-24 ans): près de 3% contre 15%. Ce sont plus souvent les hommes (27%) que les femmes (23%). En cas de problème, on constate cependant l inverse: les femmes souhaiteraient davantage de contacts avec l agent de quartier (61%) que les hommes (55%). Une constatation similaire apparaît lorsqu on examine le niveau de formation. Le souhait d établir plus de contacts avec l agent de quartier augmente en fonction du niveau de formation de 2% à plus de 25% pour atteindre 28%. Toutefois, dans le cas de figure où l on est en présence de problèmes, les personnes avec un niveau de diplôme moindre (maximum secondaire supérieur) éprouvent plus le besoin de contact avec l agent de quartier. Au niveau de l activité professionnelle, les personnes qui souhaitent plus de contacts avec l agent de quartier sont le moins souvent des étudiants (16% contre 2 à 3%). Les citoyens qui ne souhaitent de contact qu en cas de problème sont un peu plus souvent des gens sans profession/demandeurs d emploi (64% contre 53 à 58%). -3-

31 7 Dernier contact policier 7.1 Contact personnel avec la police de sa propre zone durant les 12 derniers mois Près de 4% des habitants des zones de police de typologie 2 participantes ont eu, au cours des douze derniers mois, pour l une ou l autre raison, un contact avec la police de leur zone. Dans 27% des cas, le citoyen a pris contact lui-même tandis que, dans 12% des situations, le contact a été initié par les services de police. 58% des personnes interrogées n'ont pas eu de contact personnel avec la police locale. Une petite proportion ne le savait plus très bien (3%). 7.2 Raison du dernier contact policier Raison du dernier contact policier - ZP typologie 2 2,8 5,4 5,3 6,9 Contravention Accident de voiture Contrôle par la police 2,7 2,9 3,3 13,2 Demande d'aide Demande d'acte administratif Demande d' information Déclaration (porter plainte) Objets perdus ou trouvés Contact social non formel 9,1 Prévention, surveillance Autre 28,4 2,2 ctc B

32 Aux répondants ayant eu un contact avec la police de leur zone au cours des douze derniers mois, il a été demandé quelle était la raison du dernier contact. La plupart des citoyens des zones de police de typologie 2 participantes ont eu contact avec la police pour établir une déclaration/enregistrer une plainte: 28%. Dans 13% des cas, une aide a été demandée à la police. Près d une fois sur dix (9%) le contact avait trait à un acte administratif (p. ex. perte de carte d identité ou de permis de conduire, etc.). Dans 7% des cas, il s agissait d un contrôle par la police. Une infraction, un accident de circulation représentent 5% des raisons du contact avec les services de police. Les autres situations ont été moins souvent citées: «objet perdu/trouvé», «contact social/non formel», «prévention/surveillance» et «demande d informations» atteignent les 2 à 3%. Une fois sur cinq (21%), les répondants ont indiqué une autre raison d avoir eu un contact avec la police de leur propre zone (déménagement, décès, incendie, inondation, permis de port d arme, voiture mal garée, tapage nocturne, etc.). 7.3 Lieu du dernier contact policier Lieu du dernier contact policier - ZP typologie % , 3,4 2 16,4 Bureau de police Lieu privé Voie publique ou lieu accessible au public, Par poste, téléphone ou mail ctc C.1.,2 Autre Très souvent les contacts avec la police locale ont lieu au bureau de police: 41%. Dans 3% des cas, ce contact s est cependant déroulé dans un lieu privé: chez le répondant, chez des amis, etc. 16% des citoyens ont eu contact avec la police sur la voie publique ou un lieu accessible au public (magasin, café, etc.). Un dixième des citoyens ont eu contact avec la police par téléphone ou par la poste ou encore par

33 7.4 Satisfaction concernant le dernier contact policier Satisfaction selon la raison du contact Somme Très salisfait et insatisfait ( %) Satisfaction concernant le dernier contact policier selon la raison du contact - ZP typologie 2 86, 85,3 8,9 76,7 72,1 71,1 67,9 63,1 58,5 57,1 Contact social non formel Prévention, surveillance Demande d'acte administratif Objets perdus ou trouvés Autre Demande d' information Accident de voiture Déclaration (porter plainte) Demande d'aide Contrôle par la police 52,6 Contravention 67,2 Moyen ctc D.1. Le graphique ci-dessus donne un aperçu du lien entre la raison du dernier contact avec la police de sa propre zone et la satisfaction à propos de ce contact. En moyenne, environ deux répondants sur trois se disent «satisfaits» à «très satisfaits» du dernier contact policier: 67%. Les citoyens qui, pour les raisons suivantes, ont eu contact avec la police locale ont, plus souvent que la moyenne, affirmé être (très) satisfaits: «contact social/non formel» (86%), «prévention, surveillance» (85%), «acte administratif» (81%) et «objets perdus/trouvés» (77%). Ceux qui ont eu un contact avec la police pour d autres raisons (conseil technoprévention, déménagement, mauvais stationnement, etc.) sont, plus que la moyenne, (très) satisfaits: 72%. Les citoyens se disent un peu moins (très) satisfaits que la moyenne du contact policier à la suite d une déclaration/plainte (63%), une demande d aide (58%), un contrôle par la police (57%) ou une infraction (53%). -33-

34 7.4.2 Satisfaction par rapport au contact policier Satisfaction p/r au contact policier - ZP typologie ,6 69,2 67,1 % très satisfait et satisfait L'attitude et le comportement des policiers L'accessibilité par téléphone Le temps consacré à votre problème 6,7 Disponiblité au commissariat de police 53,5 La rapidité d'intervention ctc E.1. Les citoyens des zones de police de typologie 2 participantes qui ont eu un contact au cours des douze derniers mois avec les services de police de leur propre zone sont surtout (très) satisfaits de l attitude et du comportement de la police (72%), mais également de l accessibilité par téléphone (69%) et du temps que les fonctionnaires de police ont consacré au problème (67%). 61% d entre eux étaient (très) satisfaits de la disponibilité au commissariat de police et environ la moitié (53%) étaient (très) satisfaits de la rapidité de l intervention de la police. En examinant l évaluation de la rapidité de l intervention avec un score de satisfaction, comme mentionné ci-dessus, de 53% selon la raison du contact avec la police, on constate que les citoyens sont tout de même davantage (très) satisfaits que la moyenne à propos de la rapidité d intervention lorsqu il s agit de «prévention/surveillance» (69%) ou de «contact social/informel» (67%). Par contre, lorsqu'il s'agit d un contrôle par la police ou d une demande d'information, la satisfaction «n est que», respectivement, de 37% et 36% de (très) satisfaits à propos de la vitesse d'intervention. -34-

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