Sondage sur les habitudes sexuelles des ans et le port du condom

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1 Sondage sur les habitudes sexuelles des ans et le port du condom Rapport final Présenté à la Direction des communications Ministère de la Santé et des Services sociaux Septembre 2009 Réf. : R09075v2p1MSSS(Condom).ppt , rue Drummond, bureau 620, Montréal (Québec) H3G 2S1 (514) , chemin Sainte-Foy, bureau 200, Sainte-Foy (Québec) G1V 1R8 (418)

2 Table des matières Contexte, objectifs et méthodologie abrégée 4 Faits saillants 6 Chapitre 1 : Population à l étude 10 Chapitre 2 : Attitudes relatives aux normes de comportements sexuels 12 Chapitre 3 : Attitudes relatives à l utilisation du condom 15 Chapitre 4 : Connaissances relatives aux ITS 18 Chapitre 5 : Comportements sexuels 24 Chapitre 6 : Notoriété et compréhension des campagnes récentes 41 Conclusions 52 Annexes 1. Méthodologie détaillée 2. Questionnaire Septembre

3 Contexte, objectifs et méthodologie abrégée

4 Contexte, objectifs et méthodologie abrégée Contexte et objectifs Population cible Cette étude s inscrit dans le contexte général des actions de sensibilisation du MSSS au port du condom en vue de prévenir la transmission des ITS chez les jeunes. Plus spécifiquement, l étude porte sur les comportements sexuels des jeunes de 16 à 24 ans, de même que leur attitude à l endroit du port du condom comme méthode de prévention contre les ITS. On veut également mesurer sommairement la pénétration de différentes actions de communication récentes du Ministère sur le sujet. Plus spécifiquement, les objectifs de la recherche incluent : établir un portrait des comportements sexuels des jeunes de 16 à 24 ans; mesurer leur attitude relativement aux normes de comportements sexuels et à l utilisation du condom; mesurer leurs connaissances relativement à un certain nombre d indicateurs de base concernant les ITS et leur mode de transmission; mesurer le taux de pénétration et de compréhension d un certain nombre d activités récentes du Ministère visant à sensibiliser ce groupe au port du condom. Jeunes Québécois et Québécoises âgés de 16 à 24 ans et capables de compléter une entrevue téléphonique en français ou en anglais. Échantillonnage 1002 répondants Montréal : 479 Québec : 98 Ailleurs : 425 Commentaires sur la faisabilité de l enquête Au départ, la question se posait à savoir si les jeunes accepteraient facilement ou non de participer à une enquête sur un sujet aussi délicat. En pratique, la participation a été excellente comme le montre le taux de réponse de 62 %. Bien sûr, ce taux de réponse est grandement aidé du fait que le taux d admissibilité à l enquête était faible puisque la majorité des ménages ne comptent aucun jeunes de 16 à 24 ans. Septembre

5 Contexte, objectifs et méthodologie abrégée - Suite Commentaires sur la faisabilité de l enquête - suite Par contre, en y regardant de plus près, on observe que le taux de réponse est excellent même chez les jeunes. Par exemple, une fois un jeune en ligne, 299 seulement ont refusé de faire l entrevue pour entrevues complétées. Dans les sondages réguliers auprès de l ensemble de la population adulte (par exemple lors des omnibus hebdomadaires), on compte généralement autour de 500 refus de la personne sélectionnée pour entrevues complétées. Le taux de refus de participer à cette enquête est donc beaucoup plus bas dans ce cas-ci. De façon générale, il est plus faible auprès des jeunes qu auprès de la population en général, mais ce résultat montre qu il n y a pas eu plus de refus chez les jeunes dans cette enquête que pour une autre enquête. D autres statistiques montrent aussi la grande aisance des jeunes à s exprimer sur le sujet. Ainsi, le nombre de refus de répondre pour cinq questions critiques s établit comme suit : E1 Avoir déjà eu des relations sexuelles orales ou anales au cours de sa vie : 3 refus E4 Avoir eu un partenaire sexuel régulier au cours des douze derniers mois : 0 refus E8 Avoir eu un partenaire sexuel occasionnel au cours de la même période : 0 refus E11 Avoir eu un partenaire d un soir au cours de la même période : 0 refus E13 Avoir déjà eu des relations homosexuelles : 0 refus Bien sûr certains répondants peuvent répondre non plutôt que de refuser de répondre à ces questions, mais aussi peu de refus (voire aucun refus) montre qu il n y a pas de problème de sensibilité particulière pour les jeunes pour ces questions, dans le contexte où elles ont été posées. Collecte Entrevues téléphoniques réalisées du 29 avril au 25 mai Taux de réponse : 62 %. Marge d erreur Ensemble : 3,6 % (au niveau de confiance de 95 %) ans : 5,0 % ans : 1,7 % ans : 6,8 % Septembre

6 Faits saillants

7 Faits saillants Normes comportementales Chez les ans, on considère généralement normal d avoir déjà eu des relations sexuelles à cet âge. Ainsi, 93 % des répondants disent qu au moins quelques-uns de leurs amis ont déjà eu des relations sexuelles et pratiquement les deux tiers (65 %) disent que tous ou la plupart de leurs amis ont déjà eu des relations sexuelles. Par contre, on considère aussi normal d utiliser un condom : presque les trois quarts (72 %) disent que la plupart ou toutes les personnes de leur âge utilisent un condom avec un partenaire occasionnel ou partenaire d un soir. Seulement 2 % des répondants considèrent qu aucune personne de leur âge ne le fait. Attitudes relatives à l utilisation du condom On perçoit a priori l utilisation du condom principalement comme une méthode pour éviter la propagation des ITS (76 %) beaucoup plus que comme un moyen de contraception (19 %). De plus, on considère qu il faut parler de l utilisation du condom très tôt lors d une relation sexuelle, soit : au moment où une personne commence à penser à faire l amour (41 %); au moment où une personne dit à l autre qu elle en a le goût (24 %); au moment où les personnes sont seules et commencent à se déshabiller (12 %). Les normes sociales sont donc plutôt favorables à l utilisation du condom comme moyen de prévention des ITS, mais elles ne sont pas universelles. Connaissance des ITS On sait peu quelle est l ITS la plus répandue chez les jeunes : 19 % croient que c est l herpès; 17 % la chlamydia; 16 % le VIH/SIDA; et 30 % avouent carrément n en avoir aucune idée. Seulement 6 % ont retenu la statistique de la campagne à l effet qu une personne sur trois infectée par une ITS ne le sait pas, mais lorsqu on avance une proportion, on a plus souvent tendance à la surestimer (48 %) qu à la sous-estimer (38 %), ce qui n est pas mauvais en termes de sensibilisation. De façon intéressante, la moitié des personnes interrogées mentionnent les tests contre les ITS comme étant une des conditions nécessaires pour cesser d utiliser le condom. C est même la première condition pour 37 % des répondants. La population visée connaît assez bien les principes de base, comme le fait qu il suffit d une seule relation sexuelle non protégée pour attraper une ITS (94 %) ou que le sexe oral présente aussi des risques de contracter une ITS (93 %) ou encore qu il ne suffit pas de se laver après une relation sexuelle pour éviter toute chance d attraper une ITS (88 %). Pour ce qui est du fait que le vaccin Gardasil ne protège pas contre les autres ITS et en particulier la chlamydia, seulement 73 % le savent et c est donc sans doute une information qu il faudrait véhiculer davantage pour éviter que celles qui se font vacciner croient avoir une protection qu elles n ont pas en réalité. Septembre

8 Faits saillants - Suite Comportements sexuels 77 % des répondants de cette cohorte ont déjà eu des relations sexuelles vaginales ou anales. Les proportions s établissent comme suit selon les sous-groupes d âge : ans (56 %); ans (83 %); ans (95 %). Au sein de cette cohorte, l âge de la première relation sexuelle forme une belle courbe normale autour de 16 ans alors que 7 % ont eu leur première relation sexuelle avant 14 ans et 5 % après 19 ans (parmi ceux qui en ont déjà eu). Parmi ceux qui ont déjà eu une relation sexuelle, 25 % ont eu un seul partenaire, mais à l autre extrême, 28 % en ont eu plus de cinq. En moyenne, les ans qui ont déjà eu des relations sexuelles ont eu 5,2 partenaires et la progression selon l âge s établit comme suit : ans (3,0); ans (5,1); ans (6,7). Partenaires réguliers Au cours des 12 derniers mois, 65 % des jeunes de cet âge ont eu une relation avec un partenaire régulier. La proportion est de seulement 48 % chez les ans, mais monte à près de 80 % chez les ans. Avec leur partenaire régulier, 35 % ont utilisé toujours et systématiquement un condom, alors qu à l autre extrême 25 % n en ont jamais utilisé. Parmi ceux qui en ont utilisé un mais ont cessé éventuellement de l utiliser, environ la moitié (52 %) l ont utilisé un mois ou moins (incluant ceux qui ne l ont pas utilisé du tout). 50 % de ceux qui ont dit avoir cessé d utiliser le condom avec un partenaire régulier ont d abord passé des tests contre les ITS, surtout les filles (62 %). Partenaires occasionnels 20 % des jeunes de cet âge disent avoir déjà eu un partenaire sexuel occasionnel. La proportion est de 15 % chez les ans, mais 23 % pour les plus âgés. La proportion déclarée est presque deux fois plus élevée pour les garçons (26 %) que pour les filles (14 %). 70 % de ceux qui ont déjà eu des partenaires sexuels occasionnels disent avoir utilisé systématiquement le condom lors de toutes leurs relations vaginales avec ce type de partenaire au cours des 12 derniers mois. Seulement 6 % n ont jamais utilisé le condom dans ces cas. Pour le même type de partenaire et toujours au cours des 12 derniers mois, 70 % aussi ont utilisé un condom lors de relations anales et 11 % n en ont jamais utilisé. Partenaires d un soir Un jeune de cet âge sur huit dit avoir eu un partenaire d un soir au cours des 12 derniers mois. La proportion déclarée est trois fois plus élevée chez les garçons (20 %) que chez les filles (7 %). Dans le cas de ceux qui disent avoir eu des relations avec un partenaire d un soir, 75 % disent avoir utilisé systématiquement le condom dans ces situations et 83 % l avoir utilisé la plupart du temps (75 % du temps ou plus). Relations homosexuelles Toujours pour ce groupe d âge, 4 % des jeunes admettent avoir déjà eu des relations sexuelles orales, vaginales ou anales avec une personne de leur sexe. Septembre

9 Faits saillants - Suite Notoriété et compréhension des campagnes publicitaires récentes Même si de façon spontanée très peu de répondants ont été en mesure de nous décrire les affiches de la campagne «Qu est-ce que tu vas ramener?» (2 %) ou l annonce télévisée avec les jeunes qui jouent aux quilles (9 %), de façon assistée, par contre, la pénétration de la campagne est bonne : notoriété totale de l annonce télévisée (48 %); notoriété totale de l affiche «Qu est-ce que tu vas ramener?» (37 %); pénétration totale de la campagne (69 %); Si on ajoute de plus l annonce complémentaire avec les dessins de microbes et les inscriptions «La (ITS) se donne encore», dont la notoriété assistée se situe à 18 %, la pénétration totale des activités de communication récentes s établit à 75 % et même à 78 % dans le marché francophone. Par ailleurs, presque la moitié (47 %) des jeunes qui ont vu l annonce télévisée de la campagne admettent avoir appris quelque chose. La proportion atteint même 56 % chez les ans et s élève à 56 % aussi pour ceux qui ne sont pas sexuellement actifs (qui n ont pas encore eu leur première relation sexuelle). L appréciation de la publicité télé est très positive puisque plus des trois quarts de ceux qui l ont vue (77 %) souhaiteraient la voir de nouveau. Finalement, la compréhension du message est excellente : seulement 5 % de ceux qui ont vu l annonce télévisée sont incapables de verbaliser le sens du message. Par contre, pour ceux qui le peuvent, les explications qu ils donnent, sauf exceptions, vont dans le sens général du message. Il y en a même presque un sur deux (47 %) qui dit très explicitement que le message incite au port du condom pour la prévention des ITS. Septembre

10 Chapitre 1 Population à l étude

11 Population à l étude Profil de la population à l étude La population cible est constituée des jeunes de 16 Âge à 24 ans À l intérieur de ce groupe, nous distinguons les résultats selon trois groupes de taille sensiblement égale correspondant, dans chaque cas, à des cohortes de trois ans, soit les ans, les ans et les ans. Sexe Même si en pratique les trois groupes sont sensiblement égaux en importance, dans notre échantillon d entrevues complétées, on a un peu plus de ans, car ceux-ci sont un peu plus faciles à joindre étant donné qu ils ont moins souvent accès à une automobile et qu ils sont moins souvent sondés (les sondages interrogeant souvent seulement les adultes). Par contre, les données ont été pondérées pour assurer l équilibre des trois groupes d âge. Une répartition par sexe équilibrée Occupation À l intérieur de ce groupe d âge (16-24 ans), la répartition entre les deux sexes est relativement équilibrée avec un très léger avantage pour les garçons. Surtout des étudiants Parmi les personnes interrogées, tout près de 70 % sont des étudiants, comme il est bien normal à cet âge, et un peu moins de 40 % sont des travailleurs, 7 % étant à la fois travailleurs et étudiants. Finalement, notons que 8% des entrevues ont été complétées en anglais contre 92 % en français. Cette distribution ne correspond pas cependant à la distribution par langue maternelle, plusieurs jeunes étant en mesure de compléter des entrevues dans l une ou l autre langue. Septembre

12 Chapitre 2 Attitudes relatives aux normes de comportements sexuels

13 Norme comportementale en matière de relations sexuelles QA1. «Quelle proportion de vos amis(es) vous ont déjà dit avoir eu des relations sexuelles (selon la définition donnée en introduction)?» Tous 26% (Ensemble, n : 1002) Aucun 7% Quelques-uns 19% La très grande majorité a des amis qui leur ont dit avoir déjà eu des relations sexuelles En fait, seulement 7 % des jeunes interrogés ont dit qu aucun de leurs amis ne leur avait déjà dit avoir eu des relations sexuelles. Pour les trois quarts des jeunes, c est au moins la moitié de leurs amis qui ont déjà eu des relations sexuelles. Évidemment, des écarts selon l âge La plupart 39% Environ la moitié 9% Évidemment, la situation est bien différente selon l âge des répondants puisque l on est à une période charnière de ce point de vue. Ainsi, les proportions de jeunes qui disent que tous ou la plupart de leurs amis leur ont déjà dit avoir eu des relations sexuelles passent de 41 % chez les ans pour monter jusqu à 83 % chez les ans. Selon l âge L écart entre les deux sexes n est cependant pas significatif. Aucun ou seulement quelquesuns Environ la moitié Tous ou la plupart % % % Âge ans ans ans Septembre

14 2.2 Norme relative à l utilisation du condom QA2. «D après vous, combien de personnes de votre âge utilisent le condom avec un partenaire occasionnel ou partenaire d un soir?» Toutes La plupart Environ la moitié (Excluant les NSP; n : 979) 14% 24% 48% Cumul (%) L usage du condom est perçu comme assez répandu En effet, le quart des répondants disent que toutes les personnes de leur âge utilisent systématiquement un condom avec des partenaires occasionnels ou partenaires d un soir, alors qu environ la moitié disent que la plupart d entre eux le font pour un total de 72 %. Ainsi, l utilisation du condom semble perçue comme très répandue et constitue en quelque sorte la norme. En fait, si on inclut tous ceux qui considèrent que c est la moitié ou plus qui utilisent un condom, on cumule 86 % des répondants. La norme sociale pour ce groupe d âge dans le cas des partenaires occasionnels ou partenaires d un soir est donc plutôt d utiliser un condom que de ne pas en utiliser. Il n y a pas d écart significatif selon l âge, le sexe ou la région de résidence. Cependant, la norme semble plus acquise chez ceux qui ont déjà eu des relations sexuelles que chez ceux qui n en ont jamais eu. Quelques-unes 12% 98 Aucune 2% 100 Septembre

15 Chapitre 3 Attitudes relatives à l utilisation du condom

16 3.1 Principale raison d utiliser un condom QB1. «Pour les jeunes de votre âge, quelle serait la principale raison d utiliser un condom lors de relations sexuelles?» Cumul (%) Le condom : d abord une façon d éviter les ITS Lorsqu on demande aux jeunes de 16 à 24 ans quelle est la principale raison d utiliser un condom lors de relations sexuelles, 76 % donnent des raisons en lien avec la propagation des ITS : soit, on spécifie directement que la principale raison du port du condom est d éviter les ITS (en attraper une, en donner une ou l un ou l autre) ou encore plus généralement se protéger des maladies, étant bien entendu que les maladies que l on peut attraper lors de relations sexuelles sont des ITS. La deuxième grande raison, mais beaucoup plus loin derrière, est d éviter la grossesse (19 %). La dernière mention, lorsqu on ne connaît pas assez son partenaire ou qu on ne peut lui faire confiance, est en quelque sorte une allusion indirecte aussi aux ITS tout probablement. En résumé donc, en termes de perception chez les jeunes de cet âge, la principale raison d utiliser le condom est beaucoup plus liée à la transmission des ITS qu à la limitation des grossesses. Il y a cependant certains groupes chez qui la notion de grossesse occupe une place plus importante (et donc la limitation de la propagation des ITS une place moins importante) : les anglophones (39 %); ceux qui n ont pas été rejoints par la dernière campagne des ITS (23 %). Septembre

17 3.2 Moment pour discuter de l utilisation du condom QB2. «Diriez-vous que le meilleur moment pour discuter de l utilisation du condom avec un partenaire, c est?» (n : excluant les «NSP») Cumul (%) Il faut parler de condom assez tôt Comme le montre le diagramme ci-contre, les jeunes considèrent qu il faut parler de condom assez tôt au début de la relation sexuelle. Ainsi, 41 % ont dit qu il faut en parler dès le moment où on commence à penser à faire l amour et un autre 24 % dès que l un des deux partenaires dit qu il en a le goût; 12 % disent qu il faut attendre d être seuls mais en parler dès qu on commence à se déshabiller. Au total, ces trois situations regroupent 77 % des mentions. Heureusement, seulement 9 % des répondants ont dit qu il n était pas nécessaire d en parler. Cependant, on retrouve des proportions plus importantes de jeunes qui disent qu il n est pas nécessaire d en parler parmi certains groupes, pourtant parfois plus à risque : les anglophones (21 %); les garçons (13 % vs 5 % pour les filles); ceux et celles qui ont eu leur première relation avant 14 ans (21 %); ceux et celles qui ont eu au moins un partenaire sexuel occasionnel au cours des 12 derniers mois (13 %); ceux et celles qui ont eu au moins un partenaire sexuel d un soir au cours des 12 derniers mois (14 %). Septembre

18 Chapitre 4 Connaissance relatives aux ITS

19 4.1 Connaissance des ITS les plus répandues QC1. «Quelle est l ITS la plus répandue chez les jeunes de ans?» (n : 1002) On est partagé à savoir quelle est l ITS la plus répandue chez les jeunes Comme on le voit ci-contre, 30 % avouent carrément n en avoir aucune idée, mais parmi ceux qui se prononcent, il y a trois types d infection que l on perçoit nettement comme plus fréquents : l herpès (19 %); la chlamydia (17 %); le VIH/SIDA (16 %). En résumé, donc, les jeunes sont assez ambivalents à savoir quelle est l ITS la plus répandue au sein de leur groupe d âge. Le niveau de connaissance à cet égard est donc assez mitigé. Septembre

20 4.2 Connaissance de la statistique «Une personne sur trois» QC2. «Quelle est la proportion de personnes qui sont infectées par une ITS et qui ne le savent pas selon vous?» On a tendance à surestimer un peu les risques Il y a 6 % des personnes interrogées qui ont retenu la statistique qui était véhiculée par la campagne publicitaire à savoir qu une personne sur trois infectée par une ITS ne le sait pas. Cependant, lorsqu on répond par une autre proportion, c est plus souvent par plus de 1 sur 3 (48 %) que par moins de 1 sur 3 (38 %). Les jeunes ont donc tendance à surestimer un peu la proportion de personnes infectées par une ITS qui ne le savent pas. Il y a cependant certains groupes chez qui le pourcentage de jeunes qui sous-estiment cette proportion est significativement plus élevé : les anglophones (57 %); ceux qui habitent la RMR de Montréal (où se concentrent les anglophones) (42 %); les garçons (43 % vs 32 % pour les filles); ceux qui n ont pas été rejoints par la campagne (46 %). Septembre

21 4.3 Conditions pour cesser d utiliser le condom QC3. «À quelles conditions un couple de votre âge peut-il cesser d utiliser le condom?» (n : 1002) Après avoir passé des tests pour les ITS Lorsqu ils veulent des enfants Jamais/sous aucune condition Quand les personnes jugent suffisamment se connaître et pouvoir se faire confiance Après avoir attendu assez longtemps pour savoir qu ils sont fidèles Lorsqu ils sont ensemble depuis un certain temps/lorsqu ils ont une relation stable Lorsque la fille prend la pilule Première mention % Total de trois mentions % La moitié ont parlé spontanément de tests de dépistage des ITS Lorsqu on demande aux jeunes à quelles conditions un couple de leur âge peut cesser d utiliser le condom, 37 % donnent immédiatement comme réponse : «Après avoir passé des tests pour le dépistage des ITS» et, au total, la moitié font mention de tests relatifs aux ITS comme étant l une des conditions de cessation d utilisation du condom. Une autre condition souvent évoquée fait référence au désir d avoir des enfants : évidemment, si un couple veut des enfants, il n a pas le choix d arrêter d utiliser le condom. Notons aussi qu il y a un 10 % d intransigeants qui disent qu un couple de leur âge ne peut jamais cesser d utiliser de condom, et ce, sous aucune condition. Lorsqu ils utilisent un autre moyen de contraception 2 5 Lorsqu ils sont mariés 2 2 Autre 4 7 Ne sait pas 4 4 Septembre

22 4.4 Connaissance des ITS QC4-C7. «Je vais vous lire une série d affirmations sur les ITS et vous me direz, dans chaque cas, si selon vous c est vrai ou faux.» Sauf pour la question plus technique du vaccin Gardasil, les connaissances des jeunes sont assez bonnes C4 - Être vacciné contre le VPH ou virus du papillome humain (le vaccin Gardasil) protège contre la chlamydia et certaines autres ITS C5 - Il suffit d une seule relation sexuelle non protégée pour attraper une ITS C6 - Le sexe oral ne présente pas de risque de contracter une ITS C7 - Les gens qui se lavent après une relation sexuelle ont moins de chance d attraper une ITS Vrai % Faux % NSP % Plus de 90 % des jeunes interrogés savent qu il suffit d une seule relation sexuelle non protégée pour attraper une ITS et que le sexe oral présente aussi des risques de contracter une ITS. De plus, presque 90 % savent aussi qu il ne suffit pas de se laver après une relation sexuelle pour éliminer les risques d ITS. Par contre, pour la question plus technique concernant le vaccin Gardasil, 23 % ont dit que celui-ci pourrait protéger contre la chlamydia ou d autres ITS, alors que c est faux. C est donc un aspect moins connu et qui peut créer, chez celles qui reçoivent le vaccin, l illusion d une protection plus grande que la protection réelle dont elles bénéficient. Par contre, il faut l admettre, il s agit d une question beaucoup plus technique. En résumé, donc, les connaissances des jeunes par rapport aux questions de base concernant les ITS sont assez bonnes, mais deviennent moins bonnes lorsqu on arrive à des questions plus techniques comme la protection assurée par le vaccin Gardasil ou encore, comme on l a vu plus tôt, par rapport à l ITS la plus répandue chez ce groupe d âge. Il faut noter aussi que par rapport aux groupes d âge supérieurs, les ans sont un peu moins bien informés à propos des ITS. Ainsi % d entre eux croient que le vaccin Gardasil protège contre la chlamydia et d autres ITS; 10 % ne croient pas qu il suffit d une seule relation non protégée pour attraper une ITS; 12 % croient que le sexe oral ne présente pas de danger de contracter une ITS. Septembre

23 4.4 Connaissance des ITS - Suite Il est donc important de continuer à informer les jeunes, puisque chez les ans en particulier, on observe encore certaines lacunes. Septembre

24 Chapitre 5 Comportements sexuels

25 5.1 Taux d activité sexuelle QE1. «Avez-vous déjà eu des relations sexuelles vaginales ou anales?» (Pourcentage de «oui» - excluant 3 refus) Un peu plus des trois quarts des ans disent avoir déjà eu des relations sexuelles Évidemment, comme le montre le tableau ci-contre, le taux d activité sexuelle varie grandement selon l âge à l intérieur de cette cohorte. Ainsi, il est de 56 % chez les ans, mais monte jusqu à 95 % pour les plus de 21 ans. On voit que le taux d activité sexuelle est en nette progression entre 16 et 21 ans. Par contre, le taux d activité sexuelle déclaré est le même chez les garçons et chez les filles. Les étudiants, généralement plus jeunes que les travailleurs, sont moins nombreux à déclarer avoir déjà eu des relations sexuelles (67 % pour ceux qui étudient seulement vs 95 % pour ceux qui travaillent seulement). Septembre

26 5.2 Âge de la première relation QE2. «À quel âge avez-vous eu une relation sexuelle pour la première fois?» (Ceux qui en ont déjà eu; n : 732) Une distribution normale autour de 16 ans Pour le groupe d âge étudié, on observe une distribution normale autour de 16 ans quant à l âge de la première relation sexuelle. Cette distribution est valable pour les ans. Il ne faut pas oublier que dans ce groupe, 23 % n ont toujours pas eu leur première relation sexuelle, de sorte que la courbe serait vraisemblablement légèrement décalée vers les âges plus élevés si on considérait l ensemble de la population indépendamment de son âge. Il reste que 18 % déclarent avoir eu leur première relation sexuelle avant 15 ans et qu il demeure donc important de sensibiliser les jeunes aux ITS dès le tout début du secondaire. Un peu plus de garçons que de filles (10 % vs 5 %) déclarent avoir eu leur première relation avant 14 ans mais pour le reste, les écarts entre les deux sexes ne sont pas significatifs. Moyenne : 16,2 ans Médiane : 16 ans Septembre

27 5.3 Nombre de partenaires sexuels QE3. «Avec combien de partenaires sexuels avez-vous eu des relations anales ou vaginales au cours de votre vie?» (Ceux qui ont déjà eu des relations; n : 731) Moyenne selon l âge ans : 3, ans : 5, ans : 6,7 Total des ans : 5,2 On a souvent de nombreux partenaires sexuels Malgré leur jeune âge, les trois quarts des répondants qui ont déjà eu des relations sexuelles ont eu plus d un partenaire. Il y en a même presque la moitié qui a eu plus de trois partenaires (47 % de ceux qui ont déjà eu des relations sexuelles ou 36 % de l ensemble des jeunes de cet âge). Évidemment, lorsqu on est plus jeune et donc actif sexuellement depuis moins longtemps, le nombre moyen de partenaires est moindre, mais chez les ans, par exemple, le nombre moyen de partenaires à vie atteint déjà 6,7. Les garçons déclarent en moyenne plus de partenaires sexuels que les filles (6,4 vs 3,9). En fait, 36 % des garçons déclarent avoir eu plus de cinq partenaires sexuels contre seulement 19 % des filles. Inversement, 31 % des filles déclarent avoir eu un seul partenaire sexuel contre 20 % des garçons. Étant donné que, comme on le verra plus tard, les relations homosexuelles sont plutôt rares, ces chiffres ne tiennent pas la route. Ou bien les garçons pavoisent un peu en déclarant plus de partenaires sexuels ou alors à l inverse, les filles ne déclarent pas tous leurs partenaires sexuels. Aussi, comme pour d autres phénomènes observés précédemment, les étudiants, plus jeunes que les travailleurs, déclarent en moyenne moins de partenaires sexuels (4,1 en moyenne pour ceux qui sont strictement étudiants contre 6,9 pour ceux qui se déclarent uniquement travailleurs). Septembre

28 5.4 Types de relations QE4,E8,E11. «Occurrence de certains types de relation au cours des 12 derniers mois» (Base: tous; n:1002) Une hiérarchie bien naturelle Dans la suite de l étude, nous interrogeons nos répondants sur leurs comportements sexuels avec respectivement leurs partenaires réguliers, partenaires occasionnels et partenaires d un soir, de la dernière année. Nous présentons donc tout d abord les proportions de jeunes qui ont dit avoir eu, au cours des douze derniers mois, de tels partenaires. Comme on pouvait s y attendre, beaucoup plus de jeunes ont eu des relations avec des partenaires réguliers qu il y en a qui ont eu des relations sexuelles avec des partenaires occasionnels ou partenaires d un soir. Il faut aussi souligner qu il ne s agit pas d une typologie de la population, mais plutôt que ces différents groupes se recoupent largement. Ainsi, parmi ceux qui ont eu des relations avec un partenaire d un soir, 41 % ont aussi eu des relations avec un partenaire occasionnel et 92 % avec un partenaire régulier. Il s agit donc en fait presque d une échelle mesurant le niveau d activité sexuelle plutôt que d une catégorisation des répondants en groupes distincts. Il est intéressant aussi de remarquer que sur ces trois questions nous n avons obtenu aucun refus de répondre à la question. Il ne semble donc pas y avoir eu de problèmes particuliers à mesurer ces éléments dans le contexte où nous l avons fait (vers la fin d une entrevue d une dizaine de minutes). Dans les sections qui suivent nous analysons donc en séquence les comportements adoptés avec ces trois types de partenaires. Septembre

29 5.5 Relations avec un partenaire régulier QE4. «Je vais d abord vous parler de relations sexuelles avec un partenaire régulier, soit avec une personne avec qui vous êtes en couple : une blonde ou un chum, un conjoint ou conjointe, un mari, une femme. Au cours des 12 derniers mois, avez-vous déjà eu des relations sexuelles vaginales ou anales avec au moins un partenaire régulier?» (Pourcentage de «oui» - base: tous) Presque les deux tiers ont eu un partenaire sexuel régulier au cours des 12 derniers mois Chez les ans, c est un peu moins de la moitié, mais la proportion est déjà de 71 % chez les ans et de presque 80 % chez les ans. La proportion est plus élevée pour les filles (69 %) que pour les garçons (62 %), mais il pourrait s agir là tout autant d un écart de perception de la relation qu un écart réel de comportement. Comme pour les autres questions semblables, les étudiants, en général plus jeunes que les travailleurs, ont moins souvent été engagés dans une relation sexuelle avec un partenaire régulier. Septembre

30 5.6 Utilisation du condom avec un partenaire régulier QE5. «Dans quel pourcentage de ces relations sexuelles avec votre actuel ou dernier partenaire sexuel régulier avez-vous utilisé un condom?» (Ceux qui ont eu un partenaire régulier au cours des 12 derniers mois; n : 632) Le quart n ont jamais jugé bon d utiliser un condom À l autre extrême, 35 % disent avoir utilisé un condom systématiquement lors de toutes leurs relations avec leur dernier partenaire sexuel régulier. Au total, ce sont 42 % qui disent avoir presque toujours utilisé un condom, soit dans 90 % ou plus de leurs relations, et à l inverse, ce sont 38 % qui ont utilisé un condom dans moins du quart de leurs relations sexuelles de ce type. On retrouve des proportions plus grandes de jeunes qui disent n avoir jamais utilisé de condom parmi les groupes suivants : les ans (36 %); les travailleurs (31 %); Moyenne : 55 % Médiane : 70 % ceux qui ont leur première relation sexuelle avant 16 ans (35 %); ceux qui n ont jamais eu des relations avec un partenaire occasionnel (28 %); ceux qui ont déjà eu des relations homosexuelles (50 %). À l autre extrême, on retrouve des proportions supérieures de gens qui ont utilisé systématiquement un condom parmi les groupes suivants : les ans (46 %); ceux qui ont eu leur première relation sexuelle après 17 ans (48 %); ceux qui n ont eu qu un ou deux partenaires sexuels dans leur vie (47 %); ceux qui n ont jamais eu de relations homosexuelles (36 %). Septembre

31 5.6 Utilisation du condom avec un partenaire régulier - Suite En résumé, une activité sexuelle plus importante (plus grand nombre de partenaires, première relation plus précoce, relations homosexuelles et/ou bisexuelles, etc.) semble conduire à une moindre utilisation du condom avec un partenaire régulier, mais on ne sait pas s il s agit d un effet de banalisation dû à une plus grande activité sexuelle ou encore à un effet de tissu social qui amène simultanément une plus grande activité sexuelle et une moindre importance accordée aux méthodes de protection contre les ITS. Septembre

32 5.7 Durée d utilisation du condom avec un partenaire régulier QE6. «Après combien de temps avez-vous cessé d utiliser un condom avec votre actuel ou dernier partenaire régulier?» (Ceux qui ont/ont eu un partenaire régulier au cours des 12 derniers mois mais n ont pas toujours porté le condom; n : 383) 6-12 mois 20% 2-5 mois 14% Plus d'un an 6% mois 1-2 8% 1 mois au moins 12% N'en a jamais porté 40% Moyenne : 4,2 mois Médiane : 1 mois La moitié du temps, on arrête après un mois ou moins Précisons tout d abord que les résultats ci-contre s appliquent aux gens qui ont déjà eu un partenaire régulier et incluent ceux qui n ont jamais porté de condom, mais excluent ceux qui n ont jamais cessé d en porter un (35 % de ceux qui ont déjà eu un partenaire régulier). En fait, donc, si on exclut ceux qui portent le condom systématiquement, un peu plus de la moitié (52 %) n en porteront jamais ou le porteront pendant un mois ou moins après le début de la relation. À l autre extrême, un peu plus du quart (26 %) attendent au moins six mois avant de cesser de porter le condom. Les plus jeunes (et donc les étudiants plus que les travailleurs) portent plus systématiquement le condom. Il faut dire par contre qu une relation sexuelle avec un «partenaire régulier» n est pas toujours de même nature à 24 ans et à 16 ans. Sur cette question précise, il n y a pas d écart de comportements déclarés entre les garçons et les filles. Septembre

33 5.8 Tests avant l arrêt du condom QE7. «Avez-vous passé un ou des tests de dépistage des ITS avant d arrêter d utiliser le condom?» (Ceux et celles qui ont cessé à un moment donné d utiliser le condom avec un partenaire régulier; n :260) (Pourcentage de «oui») La moitié disent avoir passé un ou des tests de dépistage avant d arrêter d utiliser le condom Comme on le voit dans le diagramme, l écart est très important entre les filles et les garçons sur cette question. Il n y a cependant pas d écart significatif selon l âge du répondant ou son occupation. Phénomène intéressant aussi, ceux qui ont déjà eu une relation sexuelle avec au moins un partenaire d un soir au cours des 12 derniers mois sont moins susceptibles d avoir passé des tests avant d arrêter d utiliser le condom (28 % vs 54 %), alors que ce devrait être le contraire puisqu ils sont en principe plus à risque. Septembre

34 5.9 Partenaire occasionnel QE8. «Si je vous dis qu un partenaire «occasionnel» est une personne avec qui vous auriez des relations sexuelles à l occasion, un amant, un «fuck friend». Au cours des 12 derniers mois, avez-vous eu des relations sexuelles vaginales ou anales avec un partenaire occasionnel?» (Base: tous - Pourcentage de «oui») Un répondant sur cinq dit avoir eu un partenaire sexuel occasionnel La proportion est moins élevée cependant chez les ans (15 %) que chez ceux qui ont plus de 18 ans (23 %). Aussi, la proportion déclarée est presque le double chez les garçons par rapport aux filles. Si on se limite à ceux qui ont déjà eu des relations sexuelles dans leur vie, 26 % disent avoir eu un partenaire sexuel occasionnel au cours des 12 derniers mois. Outre les garçons, la proportion est plus élevée chez les groupes suivants : les travailleurs (25 % vs 17 % pour les étudiants); ceux qui ont eu plusieurs partenaires sexuels au cours de leur vie (par exemple, 47 % chez ceux qui en ont eu une dizaine et 54 % chez ceux qui en ont eu 12 ou plus); ceux qui ont eu un partenaire régulier au cours des 12 derniers mois (23 %); ceux qui ont eu au moins un partenaire d un soir au cours des 12 derniers mois (77 %); ceux qui ont déjà eu des relations homosexuelles (41 %). Bref, cet indicateur est fortement corrélé avec toute une série d autres indicateurs mesurant le niveau d activité sexuelle. Septembre

35 5.10 Port du condom avec les partenaires occasionnels QE9. «Au cours des 12 derniers mois, dans quel pourcentage de vos relations sexuelles VAGINALES avec un partenaire occasionnel avez-vous utilisé un condom?» (Ceux et celles qui ont eu un/des partenaires occasionnels au cours des 12 derniers mois; n : 187) 70 % ont porté systématiquement le condom lors des relations vaginales Parmi ceux qui ont eu un partenaire occasionnel au cours des 12 derniers mois, il y en a par contre 30 % qui ont pris des risques au moins occasionnels en ne portant pas systématiquement le condom. Sur cette question, il n y a pas d écart significatif selon l âge, le sexe, l occupation, la langue d entrevue ou la région de résidence. Moyenne : 86 % Septembre

36 5.11 Port du condom avec les partenaires occasionnels - Suite QE10. «Dans quel pourcentage de vos relations ANALES avec un partenaire occasionnel avez-vous utilisé un condom?» (Ceux et celles qui admettent avoir eu de telles relations; n : 104) Une situation semblable en ce qui concerne les relations anales Comme pour les relations vaginales, 70 % de ceux qui ont eu un partenaire occasionnel au cours des 12 derniers mois disent avoir porté systématiquement le condom lors de leurs relations anales. Un autre 8 % disent avoir porté le condom la plupart du temps (plus de 75 % du temps) mais pas systématiquement. Enfin, 11 % des répondants qui admettent avoir eu de telles relations disent n avoir jamais utilisé de condom dans ce cas. Comme beaucoup moins de répondants admettent avoir eu des relations anales avec un partenaire occasionnel au cours de la dernière année, les tailles d échantillon pour les sous-groupes de répondants sont plus petites, de sorte qu aucune différence significative n a pu être démontrée entre les sous-groupes démographiques. Moyenne : 82 % Septembre

37 5.12 Partenaire d un soir QE11. «Si je vous dis qu un partenaire «d un soir» serait un(e) partenaire d aventure rencontré(e) une seule fois. Au cours des 12 derniers mois, avezvous déjà eu des relations sexuelles vaginales ou anales avec au moins un partenaire sexuel d un soir?» (Base: tous - Pourcentage de «oui») Un répondant sur huit dit avoir eu un partenaire sexuel d un soir La proportion est de 20 % pour les garçons, mais trois fois moins (7 %) pour les filles. Là aussi, étant donné que les filles déclarent moins de partenaires sexuels différents que les garçons, on peut se demander s il s agit d un comportement qui paraît moins avouable pour les filles ou s il s agit d une surdéclaration des garçons. Par ailleurs, on observe que ce comportement est moins fréquent dans le groupe des ans que chez les plus âgés et plus particulièrement les ans. Sur la base de ceux qui ont déjà eu des relations sexuelles, la proportion se situe plutôt à 17 %. De façon générale, le taux est plus élevé pour ceux qui sont plus actifs sexuellement. Par exemple, on observe les taux suivants : 39 % chez ceux qui ont eu leur première relation sexuelle avant 14 ans; un peu plus de 30 % chez ceux qui ont eu entre 5 et 11 partenaires sexuels et 48 % chez ceux qui en ont eu 12 ou plus; 50 % parmi ceux qui ont eu au moins un partenaire occasionnel au cours des 12 derniers mois; 29 % parmi ceux qui ont déjà eu des relations homosexuelles. Septembre

38 5.13 Port du condom avec les partenaires d un soir QE12. «Dans quel pourcentage de ces relations avec un partenaire d un soir avez-vous utilisé un condom?» (Ceux et celles qui ont eu un/des partenaire(s) d un soir au cours des 12 derniers mois; n : 115) Les trois quarts ont utilisé systématiquement un condom lors de leurs relations avec un partenaire d un soir Il en reste tout de même 25 % qui ont pris des risques, même si pour 8 % le risque était seulement occasionnel, ce qui veut dire qu ils ont utilisé le condom dans plus des trois quarts des relations de ce type. Compte tenu de la taille d échantillon un peu plus restreinte dans ce cas aussi, on n observe pas d écart significatif sur la question en fonction des divers descripteurs démographiques retenus pour l enquête. Septembre

39 5.14 Relations homosexuelles QE13. «Au cours de votre vie, avez-vous eu des relations sexuelles orales, vaginales ou anales avec une personne du même sexe que vous?» 4 % admettent avoir déjà eu des relations homosexuelles Les écarts selon l âge, le sexe, l occupation ou la région de résidence ne sont pas significatifs. Par contre, comme l illustre le tableau, les jeunes les plus actifs sexuellement déclarent des taux de relations homosexuelles plus élevés. Quelques groupes où le taux est plus élevé Ceux et celles qui ont eu leur première relation avant 14 ans Ceux et celles qui ont eu un grand nombre de partenaires 6 à 8 partenaires 9 à 11 partenaires 12 partenaires ou plus Ceux et celles qui ont/ont eu des partenaires occasionnels Ceux et celles qui ont/ont eu des partenaires d un soir 14 % 10 % 13 % 11 % 8 % 8 % Septembre

40 5.15 Orientation sexuelle QE14. «Avez-vous eu des relations sexuelles?» (Base : ceux et celles qui ont déjà eu des relations sexuelles avec des personnes de leur propre sexe) Ensemble (n:38) Garçons (n:14) Filles (n:24) Principalement avec des femmes % Principalement avec des hommes % Autant l un que l autre % Des résultats très approximatifs Le tableau ci-contre présente la nature des relations déclarées par les jeunes qui ont déjà eu des relations homosexuelles, mais les résultats en question sont cependant très approximatifs puisque seulement 14 garçons et 24 filles ont déclaré avoir déjà eu des relations sexuelles avec des personnes de leur propre sexe. Parmi ce groupe restreint de jeunes qui déclarent avoir déjà eu des relations homosexuelles, il y a cependant trois fois et demie plus de garçons qui déclarent avoir eu des relations principalement avec des hommes (36 %) qu il y a de filles qui déclarent avoir eu des relations principalement avec des femmes (11 %). Une orientation généralement homosexuelle a donc été plus fréquemment déclarée par les garçons que par les filles, mais encore une fois, ces résultats sont basés sur un très petit nombre de répondants et comportent donc un niveau de fiabilité nettement moindre que le reste de l étude. Septembre

41 Chapitre 6 Notoriété et compréhension des campagnes récentes

42 6.1 Notoriété spontanée des affiches QD1. «Pourriez-vous me décrire une publicité récente que vous auriez vue SUR UNE AFFICHE, sur un mur ou dans les toilettes et qui parlait de condom?» (Sondez pour 2 mentions - Vous souvenez-vous d une autre affiche?) Affiche pour une marque de condom Oui, affiche avec condom mais incapable de la décrire Affiche de la campagne «Qu est-ce que tu vas ramener?» Affiche montrant des sous-vêtements/caleçons Affiche «Tiens ton bout. Sans condom, c est non» J capote pour toi/parler, c est grandir Affiche «Oh oui, Oh oui, Oh non, Oh non» Affiche avec machine distributrice d ITS Affiche avec photo de bactérie/virus % On se rappelle très peu spontanément l affiche de la campagne récente Ainsi, seulement 2 % des personnes interrogées nous ont parlé spontanément de l affiche de la campagne «Qu est-ce que tu vas ramener?». Il faut dire par contre qu un certain nombre d autres personnes ont parlé d affiches où il était question de condom, mais en étant incapables de les décrire, leurs souvenirs en étant trop vagues. Il est donc possible qu un certain nombre d entre eux aussi aient vu l affiche de la campagne récente. Parmi ce genre d affiches, on se souvient surtout de différentes affiches pour des marques de condom. Il faut dire aussi que les deux tiers des répondants ne se souviennent d absolument aucune affiche parlant de condom. Il n y a pas non plus de sous-groupes sociodémographiques chez qui la notoriété spontanée de l affiche de la campagne serait significativement plus élevée. Affiche avec des mains levées Affiche avec condoms de toutes les couleurs Affiche qui dit : «Protégez-vous» Affiche Gardasil «Je fais tout ce que je peux» Autre Aucune/NSP Septembre

43 6.2 Notoriété spontanée de l annonce télé QD2. «Pouvez-vous me décrire une publicité récente que vous auriez vue À LA TÉLÉVISION et qui parlait du condom?» (Sondez pour 2 mentions - Quelle autre publicité sur le condom avez-vous vue?) Annonce pour une marque de condom Annonce de la campagne «Un tiers des filles» Annonce avec un gars qui se tient la tête entre les mains Annonce sur le condom, mais sans pouvoir la décrire Annonce Gardasil «Je fais tout ce que je peux» Annonce avec un gars qui se tape la tête sur le mur Annonce qui parle de se protéger contre les ITS, sans pouvoir la décrire Annonce avec enfant qui pleure au magasin Annonce avec un gars qui arrive chez une fille avec un paquet de condoms Annonce avec deux jeunes qui regardent la télé et posent des questions Autre Aucune/NSP % Près de 10 % des ans se souviennent spontanément de l annonce télévisée de la campagne C est presque cinq fois plus que pour les affiches. Cependant, là aussi, ce dont on se souvient le plus concerne une série d annonces, ou du moins ce que l on perçoit comme étant des annonces, pour des marques de condom. À titre comparatif, l annonce Gardasil avec la bande rouge et le slogan «Je fais tout ce que je peux», pourtant diffusée abondamment à la télévision, a rejoint presque cinq fois moins de ans (2 %). Dans ce cas aussi, presque les trois quarts des répondants ne se souviennent spontanément d aucune annonce télé où il était question de condom. Il faut dire aussi que la notoriété spontanée de l annonce télé est nulle chez ceux qui ont répondu au sondage en anglais, comme c est bien naturel puisque ce sont des gens qui ont généralement de la difficulté à s exprimer en français et que l annonce en question n était pas diffusée en anglais. On note aussi que deux fois plus de filles que de garçons (11 % vs 6 %) se rappellent spontanément l annonce télévisée de la campagne. L âge, la région de résidence ou l occupation n ont par contre pas d impacts significatifs. Septembre

44 6.3 Notoriété assistée de l annonce télé QD3. «Vous souvenez-vous avoir vu une annonce à la télévision où on voit des jeunes, autour de 17 ans, qui jouent aux quilles? Une fille se met à fixer un gars et ça dit : «Un tiers des filles ont les yeux bleus». Le gars se met à danser et ça dit : «Un tiers des gars dansent vraiment bien». On voit ensuite les deux dans un taxi en train de s embrasser et ça dit : «Un tiers des frenchs durent plus de 15 secondes». Puis on les voit dans un lit et ça dit : «Un tiers des lits font couic couic». Ça se termine avec la signature du gouvernement du Québec. Vous souvenez-vous avoir vu cette annonce? Diriez-vous?» (Ceux qui avaient décrit l annonce spontanément sont remis à «Oui, certain»; n :1002) 48 En réalité, l annonce télé a rejoint près d une personne sur deux dans ce groupe d âge En effet, lorsqu on décrit l annonce aux répondants et qu on leur demande s ils se souviennent de l avoir vue, la notoriété de celleci augmente considérablement, soit à 48 %. Évidemment, la notoriété est beaucoup plus grande chez les francophones (52 %) que chez les anglophones (4 %). La pénétration de la campagne de cette année a cependant été moindre que ce que nous avions mesuré l année dernière (avril 2008, campagne ITS) pour les ans, alors que la notoriété totale de l annonce télévisée était de 69 % en général et de 73 % chez les francophones. Probablement en raison du clivage linguistique selon les régions, la notoriété totale de l annonce télé est meilleure en région (57 %) qu à Montréal (40 %) et même qu à Québec (47 %). Par contre, les écarts selon le sexe, l âge ou l occupation ne sont pas statistiquement significatifs. 52 Septembre

45 6.4 Notoriété assistée de l affiche QD7. «Vous souvenez-vous avoir vu une affiche sur un mur dans un endroit public ou dans des toilettes qui parlait du condom? Il s agit d une affiche rouge où il est écrit : «Qu est-ce que tu vas ramener ce soir? Une belle brune? Un beau mec? Une chlamydia?». On y voit aussi le slogan «Le condom 100 % d accord» et une référence au site Internet «Tasjuste1vie.com». Vous souvenez-vous avoir vu cette affiche? Diriezvous?» (Ceux qui avaient décrit l affiche spontanément sont inclus avec les «Oui, certain»; n :1002) 37 Une notoriété totale de 37 % pour l affiche Même si peu de répondants ont été en mesure de nous décrire spontanément l affiche «Qu est-ce que tu vas ramener ce soir?», de façon assistée, 37 % l ont reconnue. Cette fois, c est un résultat bien supérieur à ce qui avait été obtenu lors de la mesure de la campagne du printemps 2008 où seulement 8 % avaient reconnu l affiche de la campagne lorsqu on la leur a décrite (Affiche «Oh oui, Oh oui, Oh non, Oh non»). La notoriété de l affiche est donc beaucoup plus élevée cette année, contrairement à ce qu on l on observe pour l annonce télévisée (48 % de notoriété cette année vs 69 % l année dernière pour les annonces télévisées). L écart entre les deux groupes linguistiques est moindre dans ce cas-ci que pour la pub télévisée : 38 % des francophones se souviennent des affiches de la campagne contre 24 % de ceux qui ont répondu au sondage en anglais. Les écarts selon le sexe, l âge ou l occupation des répondants ne sont pas significatifs dans ce cas-ci. 63 Septembre

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