Physique des particules
|
|
- Daniel Bibeau
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Les expériences du laboratoire Leprince- Ringuet Ecole polytechnique / IN2P3- CNRS Henri.Videau@in2p3.fr 1 Astronomie gamma Physique des particules Un labo d'environ 100 personnes dont 40 physiciens et thésards
2 2 Un brin d'histoire: fondé en 1936 par Louis Leprince-Ringuet quand il devient professeur de physique à l'x (après Fabry) Etude des rayons cosmiques, chargés, découverte du K A partir de 1960 physique des particules sur accélérateurs (CERN) Depuis 1990, retour vers les cosmiques, mais les photons
3 Savoir, savoir faire, faire savoir, savoir faire faire, savoir faire savoir 3 Des activités diverses mais focalisées dans des collaborations mondiales, dans des lieux autour du monde: CERN Genève DESY Hambourg RHIC Brookhaven SLAC San Francisco Namibie satellite inconnu
4 4 pour Des groupes de physique avec un important support technique en mécanique en électronique en informatique administratif Concevoir Construire Opérer Analyser Publier nos expériences des technologies
5 Physique des particules 5 ILC H1 CMS Phenix BaBar Aleph NA50
6 La problèmatique de la physique des particules aujourd'hui 6 Modèle Standard, d'excellentes prédictions (pour mille) ALEPH dans un cadre peu satisfaisant Au-delà, un monde ouvert plein de possibilités la supersymétrie les supercordes et les dimensions supplémentaires
7 SLAC BaBar SLAC (1) 7 Violation de CP dans B J/ K* symétries
8 CERN HIGGS Συπερσυµητριε (1) 8 Calorimètre électromagnétique Alvéoles Upper Level Readout Reconstruction H4 Liaison série services logiciels CMS CERN Genève Laboratoire Leprince-Ringuet Ecole polytechnique / IN2P3- CNRS
9 DESY (2) 9 Collisions électron-proton Le luminomètre grand q 2 grand p t Leptoquarks? Analyse ROOT H1
10 RHIC Brookhaven Le plasma de quarks et de gluons PHENIX (2) 10 Vu par la suppression des quarkonias observés en paires de µ Electronique du bras nord du spectromètre à µ NA50 Laboratoire Leprince-Ringuet Ecole polytechnique / IN2P3- CNRS
11 Amérique/ Asie/ Europe International Linear Collider (2) La prochaine génération d'accélérateurs Un collisionneur linéaire e + e - du Z au TeV 11 pour 2015 un état initial bien défini en énergie et polarisation La physique du Higgs masse, largeur, nombres quantiques rapport d'embranchements, nature Une physique de précision masse du top, consistance quantique Une fenêtre sur les alternatives au MS
12 Amérique/ Asie/ Europe Un nouveau concept de détecteur Un détecteur dense et granulaire (2) 12 CALICE Une collaboration mondiale pour un R&D en calorimétrie Calorimètre Si-W Calorimètre digital Software Laboratoire Leprince-Ringuet Ecole polytechnique / IN2P3- CNRS
13 (1) 13 Astronomie gamma GLAST Das fliegende Kalorimeter Celeste HESS Imageurs Cerenkov Atmosphériques CAT Les sources? Les mécanismes?
14 Centrale solaire de Thémis Pyrénées orientales CAT >250 GeV CELESTE Crabe >30 GeV gamma hadron 14 Markarian 421 Markarian 501 1ES hadron avec µ hadron
15 Gamsberg, Namibie High Energy Stereoscopic System HESS LEA (MPI Heidelberg +...) >40 GeV 15 Grain fin Stéréoscopie (4-16) Electronique rapide
16 16 HESS centre galactique supernova pulsar +...
17 SLAC GLAST Lancement en 2007 Gamma ray Large Area Space Telescope Structures composites Calorimètre Cs-I 17 Le ciel de 10 MeV à 1 TeV
18 Un métier qui couvre une très large palette, de la construction de détecteurs à l'interprétation des résultats. connaissance des erreurs Un travail en boucle où s'entrelacent les innovations technologiques et les perspectives (méta)physiques 18 dans un milieu restreint, totalement mondialisé, très compétitif et en évolution très rapide malgré de grandes constantes de temps
Le savoir-faire du Centre d Études Nucléaires de Bordeaux-Gradignan au service d une mission spatiale internationale
Le savoir-faire du Centre d Études Nucléaires de Bordeaux-Gradignan au service d une mission spatiale internationale La naissance de la mission internationale GLAST Observer des étoiles et des planètes,
Plus en détailFig. 1 Le détecteur de LHCb. En bas à gauche : schématiquement ; En bas à droite: «Event Display» développé au LAL.
LHCb est l'une des expériences installées sur le LHC. Elle recherche la physique au-delà du Modèle standard en étudiant les mésons Beaux et Charmés. L accent est mis entre autres sur l étude de la violation
Plus en détail8/10/10. Les réactions nucléaires
Les réactions nucléaires En 1900, à Montréal, Rutherford observa un effet curieux, lors de mesures de l'intensité du rayonnement d'une source de thorium [...]. L'intensité n'était pas la même selon que
Plus en détailRayonnements dans l univers
Terminale S Rayonnements dans l univers Notions et contenu Rayonnements dans l Univers Absorption de rayonnements par l atmosphère terrestre. Etude de documents Compétences exigibles Extraire et exploiter
Plus en détailQuelques liens entre. l'infiniment petit et l'infiniment grand
Quelques liens entre l'infiniment petit et l'infiniment grand Séminaire sur «les 2» au CNPE (Centre Nucléaire de Production d'électricité) de Golfech Sophie Kerhoas-Cavata - Irfu, CEA Saclay, 91191 Gif
Plus en détailLes rayons cosmiques primaires chargés
Les rayons cosmiques primaires chargés Historique de leur découverte Spectre en énergie Composition: abondance Electrons/positons Muons Antiprotons Processus d accélération Expériences Ballons (BESS) Satellites
Plus en détailOù est passée l antimatière?
Où est passée l antimatière? CNRS-IN2P3 et CEA-DSM-DAPNIA - T1 Lors du big-bang, à partir de l énergie disponible, il se crée autant de matière que d antimatière. Alors, où est passée l antimatière? Existe-t-il
Plus en détailContribution à l analyse des premières données de l expérience CMS au LHC.
Faculté des Sciences appliquées MA2 - Physique Contribution à l analyse des premières données de l expérience CMS au LHC. Promoteurs : Sparenberg Jean-Marc et Vanlaer Pascal Alaluf David Mémoire de fin
Plus en détailSujets de mémoires Master Physique Institut de Physique Nucléaire (FYNU/CP3) Année Académique 2008-2009
Sujets de mémoires Master Physique Institut de Physique Nucléaire (FYNU/CP3) Année Académique 2008-2009 FYNU/CP3 expérimental : Physique des interactions fondamentales et des particules élémentaires Le
Plus en détailLaboratoire franco-chinois. Physique atomique et moléculaire, optique quantique, information quantique, nano-photonique, métrologie, atomes froids
PHYSIQUE FONDAMENTALE 18 localisation*: physique fondamentale france chine Groupement manipulation quantique d atomes et de photons (QMAP) Physique atomique et moléculaire, optique quantique, information
Plus en détailDOSSIER DE PARTENARIAT
Le Centre de Calcul de l IN2P3 fête ses vingt ans à Lyon Devenez partenaire de cet événement! Jeudi 26 octobre 2006 DOSSIER DE PARTENARIAT Centre de Calcul de l IN2P3/CNRS 27 Boulevard du 11 Novembre 1918
Plus en détailThèse présentée par. Détermination du flux de muons atmosphériques avec le télescope à neutrinos ANTARES
UNIVERSITE PARIS CEA/IRFU/SPP APC DIDEROT (Paris 7) Thèse présentée par Claire Picq Détermination du flux de muons atmosphériques avec le télescope à neutrinos ANTARES Pour l obtention du titre de Docteur
Plus en détailEnvironnement logiciel LHCb
Environnement logiciel LHCb A. Tsaregorodtsev CPPM, Marseille Journées informatiques de l IN2P3 et du DAPNIA Cargèse, 26 Juillet 2001 Plan Introduction de l expérience LHCb Défis logiciels Solution GAUDI
Plus en détailQu est-ce qu un ordinateur quantique et à quoi pourrait-il servir?
exposé UE SCI, Valence Qu est-ce qu un ordinateur quantique et à quoi pourrait-il servir? Dominique Spehner Institut Fourier et Laboratoire de Physique et Modélisation des Milieux Condensés Université
Plus en détailLa vie des étoiles. La vie des étoiles. Mardi 7 août
La vie des étoiles La vie des étoiles Mardi 7 août A l échelle d une ou plusieurs vies humaines, les étoiles, que l on retrouve toujours à la même place dans le ciel, au fil des saisons ; nous paraissent
Plus en détailReconstruction et identification des électrons dans l expérience Atlas. Participation à la mise en place d un Tier 2 de la grille de calcul.
Université Denis Diderot, Paris 7 Mémoire présenté pour obtenir l habilitation à diriger des recherches par Frédéric DERUE LPNHE - Laboratoire de Physique Nucléaire et de Hautes Énergies IN2P3 - CNRS ;
Plus en détailLe satellite Gaia en mission d exploration
Département fédéral de l économie, de la formation et de la recherche DEFR Secrétariat d Etat à la formation, à la recherche et à l innovation SEFRI Division Affaires spatiales Fiche thématique (16.12.2013)
Plus en détailASTROPHYSIQUE. Aurélien Barrau et Gaëlle Boudoul sont chercheurs à l Institut des sciences nucléaires de Grenoble (CNRS/université Joseph-Fourier).
ASTROPHYSIQUE EN DEUX MOTS Des trous noirs aussi petits que le noyau d un atome, mais aussi lourds qu une montagne pourraient avoir été créés dans les premières phases de l Univers. Dans les années soixantedix,
Plus en détailActivité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction
Activité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction Objectifs : Extraire et exploiter des informations sur l'absorption des rayonnements par l'atmosphère terrestre. Connaitre des sources
Plus en détailFavoriser la création d emplois et la croissance dans l industrie et l innovation
Un leadership fort Favoriser la création d emplois et la croissance dans l industrie et l innovation Le gouvernement Harper tient sa promesse de rétablir l équilibre budgétaire en 2015. Le Plan d action
Plus en détailCurriculum Vitae. 38 100 Grenoble
Curriculum Vitae Nom : Mariane Mangin-Brinet née 11 juillet 1973 1 enfant Téléphone: +33-(0)4-76-28-40-46 (L.P.S.C.) Email : mariane@lpsc.in2p3.fr Adresse professionnelle: LPSC - 53, avenue des Martyrs
Plus en détailLe second nuage : questions autour de la lumière
Le second nuage : questions autour de la lumière Quelle vitesse? infinie ou pas? cf débats autour de la réfraction (Newton : la lumière va + vite dans l eau) mesures astronomiques (Rœmer, Bradley) : grande
Plus en détailMeasurements of B Meson Lifetime Ratios with the LHCb Detector
Measurements of B Meson Lifetime Ratios with the LHCb Detector THÈSE N O 5280 (2012) PRÉSENTÉE le 30 mars 2012 À LA FACULTÉ DES SCIENCES DE BASE LABORATOIRE DE PHYSIQUE DES HAUTES ÉNERGIES PROGRAMME DOCTORAL
Plus en détailLa physique quantique couvre plus de 60 ordres de grandeur!
La physique quantique couvre plus de 60 ordres de grandeur! 10-35 Mètre Super cordes (constituants élémentaires hypothétiques de l univers) 10 +26 Mètre Carte des fluctuations du rayonnement thermique
Plus en détailJean-François Boulicaut & Mohand-Saïd Hacid
e siècle! Jean-François Boulicaut & Mohand-Saïd Hacid http://liris.cnrs.fr/~jboulica http://liris.cnrs.fr/mohand-said.hacid Laboratoire d'informatique en Image et Systèmes d'information LIRIS UMR 5205
Plus en détailPanorama de l astronomie
Panorama de l astronomie 7. Les étoiles : évolution et constitution des éléments chimiques Karl-Ludwig Klein, Observatoire de Paris Gaël Cessateur & Gilles Theureau, Lab Phys. & Chimie de l Environnement
Plus en détailLE COSMODETECTEUR : UN EXEMPLE DE CHAÎNE DE MESURE
LE COSMODETECTEUR : UN EXEMPLE DE CHAÎNE DE MESURE Enseignement : 1 ère STL Mesures et instrumentation Thème : Instrumentation : Instruments de mesure, chaîne de mesure numérique Notions et contenus :
Plus en détailChapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire
Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire - Notre Galaxie - Amas stellaires - Milieu interstellaire - Où sommes-nous? - Types de galaxies - Interactions entre galaxies Notre Galaxie
Plus en détailI - Quelques propriétés des étoiles à neutrons
Formation Interuniversitaire de Physique Option de L3 Ecole Normale Supérieure de Paris Astrophysique Patrick Hennebelle François Levrier Sixième TD 14 avril 2015 Les étoiles dont la masse initiale est
Plus en détailTravailler ensemble : Coopération, Collaboration, Coordination
Travailler ensemble : Coopération, Collaboration, Coordination Emmeric DUPONT Comment travailler dans un environnement de plus en plus irrationnel complexe et contraint? 20 ans de la SCM, Paris, 11-12
Plus en détailA Study of Beam-Beam Effects in Hadron Colliders with a Large Number of Bunches
A Study of Beam-Beam Effects in Hadron Colliders with a Large Number of Bunches THÈSE N O 4211 (2008) PRÉSENTÉE LE 4 DÉCEMBRE 2008 À LA FACULTÉ SCIENCES DE BASE LABORATOIRE DE PHYSIQUE DES HAUTES ÉNERGIES
Plus en détail- I - Fonctionnement d'un détecteur γ de scintillation
U t i l i s a t i o n d u n s c i n t i l l a t e u r N a I M e s u r e d e c o e ffi c i e n t s d a t t é n u a t i o n Objectifs : Le but de ce TP est d étudier les performances d un scintillateur pour
Plus en détailAtlas de la lumière. Peter von Ballmoos Centre d'etude Spatiale des Rayonnements, Toulouse
Atlas de la lumière Peter von Ballmoos Centre d'etude Spatiale des Rayonnements, Toulouse Grâce aux développements instrumentaux de la deuxième moitié du XX ème siècle, de nouvelles fenêtres sur l Univers
Plus en détailInteractions des rayonnements avec la matière
UE3-1 : Biophysique Chapitre 2 : Interactions des rayonnements avec la matière Professeur Jean-Philippe VUILLEZ Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailbulletin de la société française de physique
NUMERO 92 Nouvelle série Abonnement : 250 F, le numéro : 60 F Publication pentannuelle : DÉCEMBRE 1993 AU SOMMAIRE Société Française de Physique Siège social et Administration 33, rue Croulebarbe 75013Paris-Tél.:47.07.32.98
Plus en détailLE CATALOGUE MESSIER
LE CATALOGUE MESSIER Le Français Charles Messier ( 1730-1817 ), surnommé le furet des comètes par Louis XV, fut l un des plus brillants astronomes de son époque. De nos jours, il est surtout connu pour
Plus en détailGaz moléculaire et formation stellaire dans les galaxies proches : maintenant et à l'époque ALMA Jonathan Braine
Gaz moléculaire et formation stellaire dans les galaxies proches : maintenant et à l'époque ALMA Jonathan Braine Laboratoire d'astrophysique de Bordeaux Scénario de base Le gaz moléculaire se forme par
Plus en détailLes Environnements Radiatifs
INTRODUCTION Les composants électroniques sont sensibles à l environnement dans lequel ils évoluent et de nombreux facteurs peuvent être à l origine de leur dysfonctionnement. C est le cas des radiations
Plus en détailLe pâle écho lumineux du Big Bang vu par le satellite Planck
Le pâle écho lumineux du Big Bang vu par le satellite Planck Alain Riazuelo Institut d astrophysique de Paris riazuelo AT iap.fr Gap, 21 août 2014 Préc. Suiv. FS Fin Plan 1. Introduction (rapide!) à la
Plus en détailL informatique à l IN2P3 et le rôle du Chargé de Mission
L informatique à l IN2P3 et le rôle du Chargé de Mission Giovanni Lamanna Réunion du comité des DUs 29 avril 2013 Plan - Présentation du Charge de Mission pour l Informatique - Lettre de mission: défis
Plus en détailPROSPECTIVES IN2P3-IRFU
Version du 30 mars 2012 PROSPECTIVES IN2P3-IRFU INFORMATIQUE Contributeurs: Nicolas Arnaud (LAL) - Edouard Audit (Irfu - SAp) Volker Beckmann (APC) Dominique Boutigny (CC-IN2P3) Vincent Breton (LPC Clermont
Plus en détailMartin Pohl. CAP Space Projects. Martin Pohl Journée de réflexion du DPNC 18 juin 2012 DEPARTEMENT DE PHYSIQUE NUCLEAIRE ET CORPUSCULAIRE.
CAP Space Projects Martin Pohl Journée de réflexion du DPNC 18 juin 2012 Page 1 CAP Genève Science Astrophysique de haute énergie Cosmologie Physique des particules Physique des astro-particules: Rayons
Plus en détailNUAGES INTERSTELLAIRES ET NEBULEUSES
NUAGES INTERSTELLAIRES ET NEBULEUSES P. Sogorb I. INTRODUCTION Les milliards d étoiles qui forment les galaxies, baignent dans un milieu interstellaire qui représente, dans le cas de notre Galaxie, 10
Plus en détailJeunes en Apprentissage pour la réalisation de Nanosatellites au sein des Universités et des écoles de l enseignement Supérieur
PROJET JANUS Jeunes en Apprentissage pour la réalisation de Nanosatellites au sein des Universités et des écoles de l enseignement Supérieur Contact : alain.gaboriaud@cnes.fr OBJECTIFS Satellites Etudiants
Plus en détailUne pseudo-science : 1. Pourquoi l astrologie n est pas une science reconnue?
Une pseudo-science : 1 Pourquoi l astrologie n est pas une science reconnue? Les revendications des astrologues sont rejetées par la communauté scientifique. Néanmoins, l astrologie est populaire. Même
Plus en détailnucléaire 11 > L astrophysique w Science des étoiles et du cosmos
LA COLLECTION w 1 w L atome 2 w La radioactivité 3 w L homme et les rayonnements 4 w L énergie 5 w L énergie nucléaire : fusion et fission 6 w Le fonctionnement d un réacteur nucléaire 7 w Le cycle du
Plus en détailComplément: Sources naturelles de rayonnement
Complément: Sources naturelles de rayonnement 1 Notions de dose Dose absorbée en 1 point (D) unité: Jkg -1 ou gray (Gy) valeur moyenne de l énergie impartie (déposée) à la matière par unité de masse à
Plus en détailPhysique quantique et physique statistique
Physique quantique et physique statistique 7 blocs 11 blocs Manuel Joffre Jean-Philippe Bouchaud, Gilles Montambaux et Rémi Monasson nist.gov Crédits : J. Bobroff, F. Bouquet, J. Quilliam www.orolia.com
Plus en détailw L atome w De l infiniment grand à l infiniment petit
w 1 w L atome AU CŒUR DE LA MATIÈRE : LES ATOMES PROPRIÉTÉS PHYSICO-CHIMIQUES DE LA MATIÈRE LE NOYAU ATOMIQUE, UN AUTRE MONDE, UNE AUTRE PHYSIQUE 2 w SOMMAIRE L atome AU CŒUR DE LA MATIÈRE : LES ATOMES
Plus en détailGrid Technology. ActiveMQ pour le grand collisionneur de hadrons (LHC) Lionel Cons Grid Technology Group Information Technology Department
DB GT CF Grid ActiveMQ pour le grand collisionneur de hadrons (LHC) Lionel Cons Grid Group Information Department Journée de la communauté FUSE, Paris, 2010 CERN IT Department CH-1211 Geneva 23 Switzerland
Plus en détailLE LIVRE DES KINS L épopée Galactique du libre-arbitre.
LE LIVRE DES KINS L épopée Galactique du libre-arbitre. CHÂTEAU ROUGE DE L EST : LE TOURNANT. CHAMBRE DE LA NAISSANCE: AMORCE LA GRAINE. GENÈSE DU DRAGON. ONDE ENCHANTÉE DU DRAGON ROUGE (I) POUVOIR DE
Plus en détailEnergie Nucléaire. Principes, Applications & Enjeux. 6 ème - 2014/2015
Energie Nucléaire Principes, Applications & Enjeux 6 ème - 2014/2015 Quelques constats Le belge consomme 3 fois plus d énergie que le terrien moyen; (0,56% de la consommation mondiale pour 0,17% de la
Plus en détailVers le Big Data? Exemple de la gestion des données astronomiques au Centre de Données astronomiques de Strasbourg
Vers le Big Data? Exemple de la gestion des données astronomiques au Centre de Données astronomiques de Strasbourg Plan Les données astronomiques L'exemple du CDS Et plus particulièrement le travail des
Plus en détailRadio sources: données utiles pour la mesure et l'optimisation des équipements EME
Radio sources: données utiles pour la mesure et l'optimisation des équipements EME Franck F5SE, kozton@free.fr Avant-propos Le flux est donné en Jansky (Jy), ainsi qu'en db (W/m²/Hz), ou en db(j/m ). 6
Plus en détailÉquivalence masse-énergie
CHPITRE 5 NOYUX, MSSE ET ÉNERGIE Équivalence masse-énergie. Équivalence masse-énergie Einstein a montré que la masse constitue une forme d énergie appelée énergie de masse. La relation entre la masse (en
Plus en détailQuelques aspects de l intégration du premier prototype de ligne d ANTARES
Quelques aspects de l intégration du premier prototype de ligne d ANTARES Stage expérimental, MIP deuxième année Cédric Roux Laboratoire d accueil : Centre de Physique des Particules de Marseille 163,
Plus en détailCampus PLM de Córdoba
Campus PLM de Córdoba CENTRE DE FORMATION EN GESTION DE CYCLE DE VIE DE PRODUIT (PRODUCT LIFECYCLE MANAGEMENT PLM) VERS LA GESTION DE L'INDUSTRIE ET DE L INNOVATION Campus PLM de Córdoba I 1 LE MODELE
Plus en détailRetour d'expérience CC-IN2P3
Dominique Boutigny Retour d'expérience CC-IN2P3 ANF - Datacentres Le CC-IN2P3 au CNRS Centre de calcul dédié Institut National de Physique Nucléaire et de Physique des Particules Le CC-IN2P3 centralise
Plus en détailA retenir : A Z m n. m noyau MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE
CP7 MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE 1 ) Relation d'équivalence entre la masse et l'énergie -énergie de liaison 2 ) Une unité d énergie mieux adaptée 3 ) application 4
Plus en détailLe monde fascinant des galaxies
Le monde fascinant des galaxies Introduction Au XVIIIe siècle, l'anglais Thomas Wright étudie la Voie lactée et montre que le Soleil se trouve à l'intérieur d'un disque plat constitué d'étoiles: c'est
Plus en détailLes moments de force. Ci-contre, un schéma du submersible MIR où l on voit les bras articulés pour la récolte d échantillons [ 1 ]
Les moments de force Les submersibles Mir peuvent plonger à 6 000 mètres, rester en immersion une vingtaine d heures et abriter 3 personnes (le pilote et deux observateurs), dans une sphère pressurisée
Plus en détailPrésentation de la Grille EGEE
Présentation de la Grille EGEE Introduction aux grilles La grille EGEE Exemples d applications en physique des particules et en sciences de la vie Le cercle vertueux Conclusion Guy Wormser Directeur de
Plus en détailMOND avec ou sans matière noire
MOND avec ou sans matière noire Luc Blanchet Institut d Astrophysique de Paris, GRECO, 98 bis boulevard Arago, 75014 Paris, France Françoise Combes Observatoire de Paris, LERMA, 61 avenue de l Observatoire,
Plus en détailÉtude et modélisation des étoiles
Étude et modélisation des étoiles Étoile Pistol Betelgeuse Sirius A & B Pourquoi s intéresser aux étoiles? Conditions physiques très exotiques! très différentes de celles rencontrées naturellement sur
Plus en détailChapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission
1re B et C 11 Réactions nucléaires, radioactivité et fission 129 Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1. Définitions a) Nucléides (= noyaux atomiques) Les nucléides renferment les
Plus en détailEnergie nucléaire. Quelques éléments de physique
Energie nucléaire Quelques éléments de physique Comment produire 1 GW électrique Nucléaire (rendement 33%) Thermique (38%) Hydraulique (85%) Solaire (10%) Vent : 27t d uranium par an : 170 t de fuel par
Plus en détail2015 : L Odyssée de la Lumière un voyage dans le cosmos du 17 mars au 30 août 2015 à la Cité des sciences et de l industrie
dossier de presse mars 2015 2015 : L Odyssée de la Lumière un voyage dans le cosmos du 17 mars au 30 août 2015 à la Cité des sciences et de l industrie 2015 est l Année internationale de la lumière. À
Plus en détailAtelier : L énergie nucléaire en Astrophysique
Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Elisabeth Vangioni Institut d Astrophysique de Paris Fleurance, 8 Août 2005 Une calculatrice, une règle et du papier quadrillé sont nécessaires au bon fonctionnement
Plus en détailMon métier, mon parcours
Mon métier, mon parcours Les métiers de la Physique Le domaine Sciences, Technologies, Santé Alexis, chargé de recherche diplômé d un Master Physique du rayonnement et de la matière et d un Doctorat en
Plus en détailLa physique aujourd hui : objet, énigmes et défis
O. FASSI-FEHRI - La physique aujour d hui : objet, énigmes et défis 85 La physique aujourd hui : objet, énigmes et défis Omar FASSI-FEHRI (*) 1. Introduction Le sujet dont je vais essayer de vous entretenir
Plus en détailSource : htp://genevalunch.com/guest-bloggers/files/2010/07/cern_dominique_bertolla_aerial-view.jpg LA BELGIQUE ET LE CERN
Source : htp://genevalunch.com/guest-bloggers/files/2010/07/cern_dominique_bertolla_aerial-view.jpg LA BELGIQUE ET LE CERN Février 2012 TABLE DES MATIERES 1. EXECUTIVE SUMMARY page 3 2. LA GOUVERNANCE
Plus en détailUn miroir brisé qui fait le bonheur des physiciens
La mesure du très subtil La violation de parité dans les interactions faibles Un miroir brisé qui fait le bonheur des physiciens La mesure de la violation de parité dans les interactions faibles, phénomène
Plus en détailM6 MOMENT CINÉTIQUE D UN POINT MATÉRIEL
M6 MOMENT CINÉTIQUE D UN POINT MATÉRIEL OBJECTIFS Jusqu à présent, nous avons rencontré deux méthodes pour obtenir l équation du mouvement d un point matériel : - l utilisation du P.F.D. - et celle du
Plus en détail- MANIP 2 - APPLICATION À LA MESURE DE LA VITESSE DE LA LUMIÈRE
- MANIP 2 - - COÏNCIDENCES ET MESURES DE TEMPS - APPLICATION À LA MESURE DE LA VITESSE DE LA LUMIÈRE L objectif de cette manipulation est d effectuer une mesure de la vitesse de la lumière sur une «base
Plus en détailPrésentation Fête de la science au Parc du Radôme
p. 1 / 5 Présentation Fête de la science au Parc du Radôme La Fête de la Science est une manifestation nationale organisée par le Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche. Cette manifestation
Plus en détailPROBLÈMES DE RELATIVITÉ RESTREINTE (L2-L3) Christian Carimalo
PROBLÈMES DE RELATIVITÉ RESTREINTE (L2-L3) Christian Carimalo I - La transformation de Lorentz Dans tout ce qui suit, R(O, x, y, z, t) et R (O, x, y, z, t ) sont deux référentiels galiléens dont les axes
Plus en détailSeconde Sciences Physiques et Chimiques Activité 1.3 1 ère Partie : L Univers Chapitre 1 Correction. Où sommes-nous?
Où sommes-nous? Savoir où nous sommes dans l Univers est une question fondamentale à laquelle les scientifiques de toutes les époques ont apporté des réponses, grâce aux moyens qui étaient les leurs. Pour
Plus en détailComment dit-on qu'une étoile est plus vieille qu'une autre ou plus jeune qu'une autre?
Comment dit-on qu'une étoile est plus vieille qu'une autre ou plus jeune qu'une autre? Comment peut-on donner un âge à l'univers? Dans l'univers, il y a beaucoup de choses : des étoiles, comme le Soleil...
Plus en détailPhotons, expériences de pensée et chat de Schrödinger: une promenade quantique
Photons, expériences de pensée et chat de Schrödinger: une promenade quantique J.M. Raimond Université Pierre et Marie Curie Institut Universitaire de France Laboratoire Kastler Brossel Département de
Plus en détailNotre galaxie, la Voie lactée
Chapitre 1 Notre galaxie, la Voie lactée Misha Haywood Au début du XX e siècle, alors que notre galaxie était encore désignée comme un «univers-île», expression forgée par Alexander V. Humboldt, un astronome
Plus en détailRemise des Prix de la culture scientifique et technique 1999
Remise des Prix de la culture scientifique et technique 1999 Dossier de presse du 27 octobre 1999 SOMMAIRE - Communiqué de presse du 27 octobre 1999 p.3 - Organisation des Prix de la culture scientifique
Plus en détail= b j a i φ ai,b j. = ˆBa i φ ai,b j. = a i b j φ ai,b j. Par conséquent = 0 (6.3)
I Commutation d opérateurs Chapitre VI Les relations d incertitude I Commutation d opérateurs Un des résultats importants établis dans les chapitres précédents concerne la mesure d une observable  : une
Plus en détailLes femmes en Physique. Marie Curie (Nobel en Physique 1903 et en Chimie 1911) Irène Joliot-Curie (Nobel en chimie 1935) (radioactivité artificielle)
Les femmes en Physique Marie Curie (Nobel en Physique 1903 et en Chimie 1911) (radioactivité naturelle) Irène Joliot-Curie (Nobel en chimie 1935) (radioactivité artificielle) Lise Meitner ϕ nucléaire (fission)
Plus en détailÉlue Correspondant le 25 avril 1994, puis Membre le 30 novembre 2004 dans la section Sciences mécaniques et informatiques
Odile Macchi Élue Correspondant le 25 avril 1994, puis Membre le 30 novembre 2004 dans la section Sciences mécaniques et informatiques Odile Macchi est directeur de recherche émérite au CNRS. Formation
Plus en détailLes lières. MSc in Electronics and Information Technology Engineering. Ingénieur civil. en informatique. MSc in Architectural Engineering
Ingénieur civil Ingénieur civil Les lières MSc in Electronics and Information Technology Engineering MSc in Architectural Engineering MSc in Civil Engineering MSc in Electromechanical Engineering MSc
Plus en détailLe Soleil. Structure, données astronomiques, insolation.
Le Soleil Structure, données astronomiques, insolation. Le Soleil, une formidable centrale à Fusion Nucléaire Le Soleil a pris naissance au sein d un nuage d hydrogène de composition relative en moles
Plus en détaila. Fusion et énergie de liaison des noyaux b. La barrière Coulombienne c. Effet tunnel & pic de Gamov
V. Les réactions r thermonucléaires 1. Principes a. Fusion et énergie de liaison des noyaux b. La barrière Coulombienne c. Effet tunnel & pic de Gamov 2. Taux de réactions r thermonucléaires a. Les sections
Plus en détailLa place de l homme dans l univers. par Trinh Xuan Thuan *
La place de l homme dans l univers par Trinh Xuan Thuan * Je voudrais présenter ce sujet en deux volets : le premier s intitulerait «le fantôme de Copernic», montrant comment l homme a rapetissé de plus
Plus en détaildu 3 au 6 juin 2014 Université Paris- Diderot
du 3 au 6 juin 2014 Université Paris- Diderot NOEMA CTA SPHERE actualité (p.5) Prix Jeune Chercheur Prix de thèse Concours «Découvrir l Univers» Conférences Grand Public Jean- Marc Bonnet- Bidaud 0630056728
Plus en détailLes défis des Universités Européennes. Patrick Aebischer, Président de l EPFL
Les défis des Universités Européennes Patrick Aebischer, Président de l EPFL Présentation ANRT-FutuRIS, 16.09.2010 Contexte Europe Constat Prédominance des Universités américaines et anglaises dans les
Plus en détailL'astrophotographie au Cercle
L'astrophotographie au Cercle Introduction générale à l'astrophotographie Le matériel Les différents domaines: imagerie sur trépied, du ciel profond... Réaliser des images sur trépied Réaliser des images
Plus en détailPar Richard Beauregard. Novembre 2011
Par Richard Beauregard Novembre 2011 La lutte contre le bruit et autres parasites lumineux Le temps d exposition versus le compositage Les images de prétraitement L'image de précharge (Offset ou Bias)
Plus en détailCLAIRE : Premières lumières d une lentille gamma
THÈSE présentée à l UNIVERSITÉ TOULOUSE III - PAUL SABATIER U.F.R P.C.A en vue de l obtention du grade de DOCTEUR DE l UNIVERSITÉ TOULOUSE III Spécialité : Instrumentation Astrophysique par Hubert Halloin
Plus en détailNos héritages arabes dans le ciel étoilé
1 Nos héritages arabes dans le ciel étoilé par Roland Laffitte, mardi 5 août Les deux tiers des noms d étoiles sont d origine arabe : ils sont parvenus à nous notamment par les traductions médiévales des
Plus en détailAssemblée générale. Nations Unies A/AC.105/C.1/L.320
Nations Unies A/AC.105/C.1/L.320 Assemblée générale Distr. limitée 30 octobre 2012 Français Original: anglais et russe Comité des utilisations pacifiques de l espace extra-atmosphérique Sous-Comité scientifique
Plus en détailLes équations n ont pas de préjugés
Stéphane Durand Professeur de physique Cégep Édouard-Montpetit DossierAstronomie Big Bang, expansion de l'univers, antimatière, trou noir, quarks, quanta. Comment les physiciens ont-ils imaginé ces idées?
Plus en détail3 - Description et orbite d'un satellite d'observation
Introduction à la télédétection 3 - Description et orbite d'un satellite d'observation OLIVIER DE JOINVILLE Table des matières I - Description d'un satellite d'observation 5 A. Schéma d'un satellite...5
Plus en détailChapitre 9 : Applications des lois de Newton et Kepler à l'étude du mouvement des planètes et des satellites
I- Les trois lois de Kepler : Chapitre 9 : Applications des lois de Newton et Kepler à l'étude du mouvement des planètes et des satellites Les lois de Kepler s'applique aussi bien pour une planète en mouvement
Plus en détailAucune frontière entre. Jean-Louis Aimar
Jean-Louis Aimar Aucune frontière entre la Vie et la Mort 2 2 «Deux systèmes qui se retrouvent dans un état quantique ne forment plus qu un seul système.» 2 3 42 Le chat de Schrödinger L expérience du
Plus en détailDIFFRACTion des ondes
DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène
Plus en détail