FEDERATION BANCAIRE DE L UNION EUROPEENNE BANKING FEDERATION OF THE EUROPEAN UNION
|
|
- Ange Larrivée
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Y2071BEN FEDERATION BANCAIRE DE L UNION EUROPEENNE BANKING FEDERATION OF THE EUROPEAN UNION Comité bancaire pour les Affaires sociales européennes Banking Committee for European Social Affairs Rue Montoyer 10 - B Bruxelles - Téléphone 02/ Téléfax 02/ / GROUPEMENT EUROPEEN DES CAISSES D EPARGNE EUROPEAN SAVINGS BANKS GROUP EUROPÄISCHE SPARKASSENVEREINIGUNG Rue Marie-Thérèse, 11 - B Brussels - Telephone 02/ Fax 02/ EUROPEAN ASSOCIATION OF COOPERATIVE BANKS GROUPEMENT EUROPEEN DES BANQUES COOPERATIVES EUROPÄISCHE VEREINIGUNG DER GENOSSENSCHAFTSBANKEN Rue de la Science 23-25, Bte 9 - B-1040 Brussels - Tel. (02) Fax (02) UNI-EUROPA Rue de l'hôpital, 31/Box Brussels - Belgium Tel: (+322) Fax: (+322) uni-europa@union-network.org - Web:
2 Déclaration commune des partenaires sociaux européens du secteur bancaire sur : LA FORMATION TOUT AU LONG DE LA VIE DANS LE SECTEUR BANCAIRE Introduction À la réunion plénière du Dialogue social du secteur bancaire de juin 2001, il a été convenu d inclure le sujet de la formation tout au long de la vie dans le programme de travail de Un groupe de travail a été mis sur pied, groupe qui a rédigé cette déclaration commune. Les partenaires sociaux du secteur bancaire sont convaincus que la formation tout au long de la vie est un facteur clé à la fois pour la compétitivité des entreprises et pour l «employabilité» des travailleurs. Ils considèrent comme une contribution positive pour le secteur bancaire le «Cadre d actions pour le développement des compétences et des qualifications tout au long de la vie» rédigé conjointement par la CES, l UNICE et le CEEP (ci-après «le Cadre d actions» CES/UNICE/CEEP). Les partenaires sociaux du secteur bancaire ont recueilli, auprès des partenaires sociaux de 18 pays, des données sur les définitions, le cadre législatif et les pratiques en matière de formation tout au long de la vie dans le secteur bancaire. Ces données ont été regroupées dans un inventaire sur l apprentissage tout au long de la vie (ci-après, «l inventaire»). L objectif fondamental des partenaires sociaux est de déterminer quels facteurs contribuent à développer une culture de la formation tout au long de la vie. Les quatre thèmes clés qui ressortent de cet inventaire sont tous des éléments déterminants d une culture de la formation tout au long de la vie : 1. Définir des niveaux de compétence à l embauche, ainsi que des niveaux de qualifications et de compétences professionnelles 2. Reconnaître et valider les compétences et qualifications 3. Fournir des informations et une assistance en matière de principes, droits et responsabilités 4. Emploi et recyclage par la mobilisation des ressources Les partenaires sociaux du secteur bancaire reconnaissent que les quatre thèmes clés susmentionnés pourraient être explorés plus en détail aux niveaux évoqués dans le Cadre d actions CES/UNICE/CEEP. 1. Définir des niveaux d aptitudes d entrée, des niveaux de qualifications et de compétences professionnelles Les exigences à l embauche pour les emplois débutants dans les services financiers varient considérablement aussi bien en fonction de l emploi que du pays concerné. Le personnel des banques a besoin d un éventail de connaissances beaucoup plus large qu il y a une décennie. En outre, la gamme de produits et services que les banques peuvent vendre s est élargie à la suite de la dérégulation générale du secteur. L accès de tous les travailleurs et entreprises à la formation tout au long de la vie devrait être encouragé afin de permettre une meilleure adaptation de la formation tout au long de la vie aux besoins de qualifications présents et futurs. Ce point est particulièrement important dans le contexte actuel d un secteur financier de plus en plus complexe qui connaît des disparités dans l accès à la formation tout au long de la vie. C est pourquoi le développement des qualifications et des compétences professionnelles est une priorité pour le secteur bancaire européen, compte tenu des enjeux pour : les jeunes dans le cadre de leur orientation professionnelle et de leur insertion dans la vie active les salariés qui n ont pas les compétences nécessaires lors de l introduction de nouvelles méthodes de travail
3 les salariés dans la gestion de leur parcours professionnel et de leur capacité à rester en situation d emploi, également face à l introduction de nouvelles méthodes de travail/nouvelles technologies qui nécessitent de nouvelles qualifications. 2. Reconnaître et valider les compétences et qualifications Les partenaires sociaux considèrent la reconnaissance et la validation des compétences comme essentielles afin que chaque travailleur soit conscient de ses compétences et soit encouragé à les développer au cours de sa vie professionnelle chaque entreprise ait les instruments pour mieux identifier et gérer les compétences existant dans l entreprise. La mise en œuvre des points qui précèdent renforcera le travail en cours sur la transparence et la reconnaissance des compétences et qualifications. Les qualifications et compétences pour lesquelles les salariés du secteur bancaire sont formés et qui sont utiles dans l exercice de leurs fonctions doivent être clairement identifiées et définies. Les partenaires sociaux du secteur bancaire reconnaissent l utilité de revoir régulièrement les plans de formation de tous les salariés. Il est important que les plans de formation tiennent compte du point de vue personnel des salariés quant à leurs besoins de formation et que les employés sachent clairement quels bénéfices ils tireront, à court ou à long terme, d activités de formation spécifiques. Ce type d engagement organisationnel clair en faveur de la formation et de l amélioration des compétences et la liaison de ces deux aspects se rencontre par exemple dans les banques néerlandaises (plans personnels de formation pour chaque salarié) et dans le plan «Épargne des compétences» de l entreprise suédoise d assurances Skandia. Skandia constitue un bon exemple du bénéfice que peut retirer une institution financière du développement d une culture de formation tout au long de la vie. Skandia a créé le concept d épargne des compétences parce qu elle était convaincue que les compétences étaient la clé de la compétitivité. «Si vous pensez que la compétence est chère, essayez l incompétence». Le projet d épargne des compétences s ajoute au budget que Skandia consacre à la formation de son personnel et vise à accroître le niveau général de connaissances des salariés et donc à améliorer la rentabilité de Skandia. Ce concept repose sur trois éléments clés : un plan personnel de développement, un plan d épargne des compétences et un service d échange de compétences utilisant l internet. L élaboration du plan personnel de développement repose sur une concertation entre Skandia et le salarié. Il convient de noter que ce concept permet au personnel d acquérir des connaissances/formations tant à l intérieur qu à l extérieur du secteur financier, et qu il ne s agit donc pas uniquement de formation spécifique à l emploi. Un autre exemple est fourni par la compagnie italienne Enbicredito : il montre comment le recyclage est utilisé pour permettre à des salariés de la banque de conserver leur emploi. Enbicredito évalue les besoins de formation professionnelle dans le secteur italien de la finance et guide les salariés de ce secteur dans le choix de plans de formation ou de mobilité géographique.
4 3. Fournir des informations et une assistance en matière de principes, droits et responsabilités Il faudrait aider les banques à devenir des organismes de formation, où chacun apprend et s épanouit par le travail pour soi-même et pour le bénéfice de l entreprise. Si elle se développe dans un cadre de responsabilité mutuelle, la formation tout au long de la vie deviendra un modèle bénéfique à toutes les parties concernées, créant de la valeur ajoutée à la fois pour l employeur et pour les salariés. Les partenaires sociaux du secteur bancaire devraient prendre en considération les principes, droits et responsabilités suivants : Tous les acteurs autorités publiques au niveau national et européen, employeurs et salariés ont une responsabilité commune de collaborer en matière de formation tout au long de la vie et d aider les individus à assumer la responsabilité de leur propre formation. Les salariés ont la responsabilité et le devoir d être prêts à participer au processus de formation tout au long de la vie. Ensemble, les partenaires sociaux devraient mener un dialogue social aux niveaux appropriés et, si nécessaire, mettre en œuvre des accords au sujet de l éducation et de la formation sur les lieux de travail. Les employeurs ont la responsabilité clé de créer les conditions nécessaires au développement des compétences de leur main-d œuvre. Les partenaires sociaux encouragent les travailleurs à améliorer leurs qualifications et compétences générales. Chaque travailleur/travailleuse a le droit d être formé(e) pour assumer la fonction qu il/elle occupe. Les activités d apprentissage nécessaires pour assumer une fonction devraient avoir lieu pendant les heures de travail et être payées par l employeur. La formation tout au long de la vie peut créer des opportunités de congés de formation Les partenaires sociaux à tous les niveaux devraient examiner comment comptabiliser les investissements dans la formation et le développement des compétences et comment en rendre compte. Des opportunités de formation tout au long de la vie peuvent se présenter à l intérieur comme à l extérieur des entreprises. Tant les employeurs que les travailleurs ont donc une responsabilité commune d identifier les opportunités de la formation tout au long de la vie et d en tirer parti, responsabilité qui peut amener le travailleur à utiliser son propre temps libre ou l employeur à octroyé des congés-formation. Tout accord spécifique devrait être discuté par les partenaires sociaux au niveau approprié. 4. Emploi et recyclage par la mobilisation des ressources Des opportunités de formation et de formation tout au long de la vie devraient être proposées de façon régulière et systématique à tous les salariés quel que soit leur position ou leur type de contrat de travail. Il faut se garder de supposer que certains groupes de salariés, tels que les femmes ou les travailleurs âgés, ne s intéressent pas au développement des compétences. Les partenaires sociaux reconnaissent la nécessité de promouvoir l égalité des chances pour tous les travailleurs en termes de formation tout au long de la vie. Il faudrait veiller à ce que des travailleurs atypiques, tels que du personnel à temps partiel ou des travailleurs des équipes de nuit, ne soient exclus d opportunités de formation par le seul fait de leur horaire de travail. Les entreprises et les entreprises de formation doivent donc rester sensibles aux circonstances particulières du personnel à temps partiel et à la nécessité de choisir des heures et lieux de formation compatibles avec leurs horaires.
5 La formation tout au long de la vie permettra de développer des qualifications transférables, ce qui renforcera l employabilité des travailleurs. Free translation from the English original text. In case of doubt, the English original text will prevail exclusively *** Steen A RASMUSSEN Président du Comité du secteur bancaire pour les Affaires sociales Giancarlo DURANTE Vice-Président du Comité du secteur bancaire pour les Affaires sociales européennes européennes. Laurie Dufays Directeur adjoint Groupement européen des caisses d épargne Jean-Pierre JACOB Président du Comité des affaires sociales Groupement européen des banques coopératives Sandy BOYLE Président UNI-Europa Finance (Banque)
Compétences, qualifications et anticipation des changements dans le secteur de l électricité en Europe
Compétences, qualifications et anticipation des changements dans le secteur de l électricité en Europe Un cadre d action commun des partenaires sociaux européens du secteur de l électricité I. Introduction
Plus en détailNouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser»
Nouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser» Odile Quintin Directrice générale de la DG Education et Culture Commission européenne Bruxelles,
Plus en détailQuels risques encourez-vous si vous utilisez, achetez ou vendez une machine non-conforme?
Quels risques encourez-vous si vous utilisez, achetez ou vendez une machine non-conforme? Introduction Le matériel de construction disponible sur le marché de l Union européenne doit être conforme à la
Plus en détail10.B. Les obligations légales et réglementaires. 1. Gestion des documents de l entreprise. A. Les affichages obligatoires
Les obligations légales et réglementaires 1. Gestion des documents de l entreprise A. Les affichages obligatoires L affichage est un élément essentiel de la communication dans l entreprise et cela peut
Plus en détailAccord-cadre CES, UNICE et CEEP sur le travail à durée déterminée
Accord-cadre CES, UNICE et CEEP sur le travail à durée déterminée Préambule Le présent accord illustre le rôle que les partenaires sociaux peuvent jouer dans la stratégie européenne pour l emploi, adoptée
Plus en détailLes personnes handicapées ont les mêmes droits
Les personnes handicapées ont les mêmes droits La stratégie européenne 2010-2020 en faveur des personnes handicapées Commission européenne Égalité des droits, égalité des chances La valeur ajoutée européenne
Plus en détailAu profit des apprentis du bâtiment et des travaux publics
DOSSIER DE PRESSE PARTENARIAT CCCA-BTP et PRO BTP Au profit des apprentis du bâtiment et des travaux publics Bernard Charpenel / CCCA-BTP Signature de la convention et point presse 10 mars 2010 0 SOMMAIRE
Plus en détailL action du gouvernement espagnol et de l Institut de la jeunesse concernant le Pacte européen pour la jeunesse
L action du gouvernement espagnol et de l Institut de la jeunesse concernant le Pacte européen pour la jeunesse Institut de la jeunesse Madrid Les débuts de toute chose sont toujours petits. Cicéron La
Plus en détailCHARTE DES UNIVERSITÉS EUROPÉENNES POUR L APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE
CHARTE DES UNIVERSITÉS EUROPÉENNES POUR L APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE European University Association Association Européenne de l'université Copyright 2008 par l Association Européenne de l Université
Plus en détailSanté et sécurité des adjoints techniques territoriaux des établissements d enseignement (ATTEE)
Point réglementation N 1 Santé et sécurité des adjoints techniques territoriaux des établissements d enseignement (ATTEE) (anciennement TOS, exerçant dans les lycées et collèges) Mis à jour en septembre
Plus en détailÉNERGISER L AVENIR Étude d information sur le marché du travail 2008
Construire un avenir brillant ÉNERGISER L AVENIR Étude d information sur le marché du travail 2008 www.avenirbrillant.ca Financé par le gouvernement du Canada par l entremise du Programme des conseils
Plus en détailRECOMMANDATION DU CONSEIL SUR LES BONNES PRATIQUES POUR AMELIORER LA SENSIBILISATION AUX RISQUES ET L'EDUCATION SUR LES QUESTIONS D'ASSURANCE
RECOMMANDATION DU CONSEIL SUR LES BONNES PRATIQUES POUR AMELIORER LA SENSIBILISATION AUX RISQUES ET L'EDUCATION SUR LES QUESTIONS D'ASSURANCE RECOMMANDATION DU CONSEIL Ces Bonnes Pratiques ont été approuvées
Plus en détailRégime d assurance-maladie, de soins dentaires et d assurance-vie pour les artistes professionnels. Proposition de partenariat public-privé
Régime d assurance-maladie, de soins dentaires et d assurance-vie pour les artistes professionnels Proposition de partenariat public-privé Résumé En règle générale, les artistes et les autres professionnels
Plus en détailAVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION
AVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION NOVEMBRE 2014 La Fédération québécoise de l'autisme (FQA) est un regroupement
Plus en détailLes syndicats ci-après, affiliés aux organisations représentatives sur le plan national (art. L423-2 du Code du Travail) :
AVENANT A L ACCORD DU 20/07/2000 CONCERNANT L AMENAGEMENT ET LA REDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL RELATIF AU DISPOSITIF APPLIQUE AUX CADRES AU FORFAIT ET A CELUI CONCERNANT L UTILISATION DU COMPTE EPARGNE
Plus en détailPROPOSITIONS EN VUE DE LA TENUE DU CONGRÈS DE LA FSSS 2009 «POUR LE MEILLEUR ET POUR L AVENIR»
PROPOSITIONS EN VUE DE LA TENUE DU CONGRÈS DE LA FSSS 2009 «POUR LE MEILLEUR ET POUR L AVENIR» I - Pour la défense et la promotion des services sociaux et de santé publics pour les personnes aînées en
Plus en détailDéclaration conjointe de la CoESS et d UNI-Europa sur l harmonisation européenne des législations gouvernant le secteur de la sécurité privée
Déclaration conjointe de la CoESS et d UNI-Europa sur l harmonisation européenne des législations gouvernant le secteur de la sécurité privée Introduction Dans l Union européenne, le secteur de la sécurité
Plus en détailDE MÉTIERS ET DE L ARTISANAT DE LA HAUTE-MARNE 9, - CS 12053-52902 CHAUMONT CEDEX
L apprentissage est une forme d éducation alternée. Il a pour but de donner à des jeunes travailleurs ayant satisfait à l obligation scolaire une formation générale, théorique et pratique, en vue de l
Plus en détailExpériences avec les contrats de la communauté dans les travaux d infrastructure urbaine
v Renforcement des compétences opérationnelles dans le développement mené par la communauté 15 au 19 avril 2002 Washington, D.C. Expériences avec les contrats de la communauté dans les travaux d infrastructure
Plus en détailCONSEIL DE L'UNION EUROPÉENNE. Bruxelles, le 16 septembre 2013 (OR. en) 13152/13 Dossier interinstitutionnel: 2013/0282 (NLE) RECH 385 COEST 240
CONSEIL DE L'UNION EUROPÉENNE Bruxelles, le 16 septembre 2013 (OR. en) 13152/13 Dossier interinstitutionnel: 2013/0282 (NLE) RECH 385 COEST 240 ACTES LÉGISLATIFS ET AUTRES INSTRUMENTS Objet: DÉCISION DU
Plus en détail"High Performance Workplace Event: People mean business"
"High Performance Workplace Event: People mean business" (Cette conférence a été organisée par la Présidence britannique de l'union européenne, avec le soutien de la Commission européenne) Londres, le
Plus en détailAction de soutien à la mobilité
UNION EUROPÉENNE Fonds social européen Investit pour votre avenir PROGRAMME DEPARTEMENTAL D INSERTION 2012-2016 APPEL A PROJETS 2015 Action de soutien à la mobilité Date de lancement de l appel à projets
Plus en détailLes droits syndicaux en matière d environnement
Les droits syndicaux en matière d environnement 1. Introduction Le CPPT dispose de compétences par rapport à l environnement. Le CE n a, quant à lui, pas de compétence propre par rapport à l environnement
Plus en détailNotes de recherche de l
Notes de recherche de l DÉCEMBRE 2009 La situation du régime complémentaire de retraite de l industrie de la construction du Québec François L Italien, Doctorant, Département de sociologie, Université
Plus en détailFORTUNA di GENERALI. Fiche info financière assurance-vie pour la branche 23. FORTUNA di GENERALI 1
FORTUNA di GENERALI 1 TYPE D ASSURANCE-VIE GARANTIES Assurance-vie dont le rendement est lié à des fonds d investissement (branche 23). Fortuna di Generali garantit des prestations en cas de vie ou en
Plus en détailConseil économique et social
Nations Unies ECE/CECI/2015/4 Conseil économique et social Distr. générale 30 juin 2015 Français Original : anglais Commission économique pour l Europe Comité de la coopération et de l intégration économiques
Plus en détailCommission Moyens de Paiement, Informatique et Organisation. Groupe de travail «Standards» International Bank Account Number (IBAN) IBAN-LUX
Commission Moyens de Paiement, Informatique et Organisation Groupe de travail «Standards» International Bank Account Number (IBAN) IBAN-LUX Définition et explication de la norme Avec la collaboration de
Plus en détail»»»» CONCILIATION FAMILLE-TRAVAIL OU COMMENT RÉCONCILIER LES DEUX MONDES DANS LESQUELS NOUS ÉVOLUONS? DÉFINITION
5 Fiche de sensibilisation CONCILIATION FAMILLE-TRAVAIL OU COMMENT RÉCONCILIER LES DEUX MONDES DANS LESQUELS NOUS ÉVOLUONS? Il nous arrive fréquemment de nous interroger sur notre façon de faire les choses
Plus en détailLES OUTILS EUROPÉENS DE PROTECTION SOCIALE EN BREF
LES OUTILS EUROPÉENS DE PROTECTION SOCIALE EN BREF La présente publication est soutenue financièrement par le programme de l Union européenne pour l emploi et la solidarité sociale PROGRESS (2007-2013)
Plus en détailSuggestion d ordre du jour de Janvier
Suggestion d ordre du jour de Janvier Entreprise de moins de 300 salariés * Commandes, situation financière et exécution des programmes de production Information trimestrielle portant sur : - l évolution
Plus en détailACCORD DU 5 AVRIL 2006
MINISTÈRE DE L AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE CONVENTIONS COLLECTIVES Convention collective nationale IDCC : 7501. CRÉDIT AGRICOLE (4 novembre 1987) ACCORD DU 5 AVRIL 2006 RELATIF AUX MODALITÉS D APPLICATION
Plus en détailQualifications professionnelles par la validation des acquis. Le meilleur atout sur le marché du travail
Qualifications professionnelles par la validation des acquis Le meilleur atout sur le marché du travail Établissements d enseignement responsables des diplômes agences pour l emploi centres/bureaux de
Plus en détailDOCUMENT DE CONSULTATION
COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 10.4.2015 C(2015) 2303 final DOCUMENT DE CONSULTATION Première phase de consultation des partenaires sociaux au titre de l article 154 du TFUE concernant une consolidation
Plus en détailMÉMOIRE CONSEIL QUÉBÉCOIS DU COMMERCE DE DÉTAIL SUR LE DOCUMENT DE CONSULTATION VERS UN RÉGIME DE RENTES DU QUÉBEC RENFORCÉ ET PLUS ÉQUITABLE
MÉMOIRE DU CONSEIL QUÉBÉCOIS DU COMMERCE DE DÉTAIL SUR LE DOCUMENT DE CONSULTATION VERS UN RÉGIME DE RENTES DU QUÉBEC RENFORCÉ ET PLUS ÉQUITABLE PRÉSENTÉ À LA COMMISSION DES AFFAIRES SOCIALES AOÛT 2009
Plus en détailRéforme de la formation professionnelle
MEDEF Social mars 2015 Réforme de la formation professionnelle Compétitivité Mobilité Employabilité Edito En 2030, près de 30 % de nos métiers auront évolué. Pour relever ce défi, la formation des femmes
Plus en détailPamela Blake MSS, TSI, registrateure adjointe
Planification de la lutte contre la pandémie : quelles sont mes obligations? Points importants pour les membres de l Ordre des travailleurs sociaux et des techniciens en travail social de l Ontario Pamela
Plus en détailL apprenti. Définition du code du travail
L apprenti Définition du code du travail Salarié rémunéré qui suit une formation diplômante pour obtenir une qualification professionnelle en signant un contrat d apprentissage. Le dispositif apprentissage
Plus en détail10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive»
10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive» Préambule Si l actuelle majorité peut indéniablement se prévaloir d un très bon bilan,
Plus en détailLes autres obligations :
COMITE D ENTREPRISE OBLIGATIONS liées à la CONSULTATION du COMITE D ENTREPRISE 2012 Les autres obligations : E g a l i t é p r o f e s s i o n n e l l e H a n d i c a p S é n i o r P é n i b i l i t é
Plus en détailLa création d une agence autonome présenterait les avantages et inconvénients suivants, recensés à travers l étude:
RÉSUMÉ Contexte de l étude Le 4 septembre 2003, le Parlement européen a adopté une résolution contenant des recommandations à la Commission sur les langues européennes régionales et moins répandues les
Plus en détailCAISSE D EPARGNE Pour toutes les actions débutant le 19/02/2015
CAISSE D EPARGNE Pour toutes les actions débutant le 19/02/2015 1 2 Période de professionnalisation 3 Tutorat 4 Compte Personnel de Formation ATTENTION : CES CRITÈRES SONT SUSCEPTIBLES D'ETRE MODIFIÉS
Plus en détailLa Qualité de Vie au Travail, Pourquoi aujourd hui? C est quoi? Pour faire quoi? Comment? Jeudi 5 février 2015 Rencontre Prévention - STSM
La Qualité de Vie au Travail, Pourquoi aujourd hui? C est quoi? Pour faire quoi? Comment? Jeudi 5 février 2015 Rencontre Prévention - STSM Organisation générale Une association paritaire Un conseil d administration
Plus en détailL entrepreneur autonome SES DROITS, OBLIGATIONS ET RESTRICTIONS. Pour dissiper la confusion générale à démêler
L entrepreneur autonome SES DROITS, OBLIGATIONS ET RESTRICTIONS Le présent document s adresse particulièrement aux entrepreneurs qui n embauchent pas de salariés ou qui embauchent un salarié occasionnellement,
Plus en détailCHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD
CHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD AVANT-PROPOS Établissement public, l Agence Française de Développement exerce une mission d intérêt public, principalement à l international. CHARTE D ÉTHIQUE
Plus en détailLe financement de la microfinance à travers les fonds solidaires. Forum des Innovations Financières pour le Développement 4 mars 2010
Le financement de la microfinance à travers les fonds solidaires Forum des Innovations Financières pour le Développement 4 mars 2010 Sommaire 1. Définition des «fonds solidaires» et des entreprises solidaires
Plus en détailcontact@farabi.fr www.farabi.fr Carnet de Liaison Année scolaire :... /... Nom :... Prénom :... Classe :...
contact@farabi.fr www.farabi.fr Carnet de Liaison Année scolaire :... /... Nom :... Prénom :... Classe :... RENSEIGNEMENTS ÉLÈVE Nom Prénom Adresse Classe Tél. / L élève est autorisé à quitter l institut
Plus en détailCHARLES DAN Candidat du Bénin pour le poste de Directeur général du Bureau international du Travail (BIT)
CHARLES DAN Candidat du Bénin pour le poste de Directeur général du Bureau international du Travail (BIT) FACONNER ENSEMBLE L OIT DU FUTUR «Pour tout ce qui a été, merci. Pour tout ce qui sera, oui.» (Dag
Plus en détailLe Contrat à Durée Déterminée d Insertion (CDDI)
Le Contrat à Durée Déterminée d Insertion (CDDI) 1 Définition du CDDI un contrat de travail à durée déterminée dont le motif de recours est spécifique : favoriser le recrutement de certaines catégories
Plus en détailConférence mondiale sur les déterminants sociaux de la santé. Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé
Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé Rio de Janeiro (Brésil), 21 octobre 2011 1. À l invitation de l Organisation mondiale de la Santé, nous, Chefs de Gouvernement, Ministres
Plus en détailModifications du Code du travail par la loi N 2014-873 du 4 août 2014
FM 14/08/14 Modifications du Code du travail par la loi N 2014-873 du 4 août 2014 Article L1153-5 L employeur prend toutes dispositions nécessaires en vue de prévenir les faits de harcèlement sexuel, d
Plus en détailUne école adaptée à tous ses élèves
PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS Une école adaptée à tous ses élèves PLAN D'ACTION EN MATIÈRE D'ADAPTATION SCOLAIRE Québec Ministère de l'éducation Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS
Plus en détailConseils sectoriels pour l emploi et les compétences à l'échelle de l Union européenne
Conseils sectoriels pour l emploi et les compétences à l'échelle de l Union européenne Document de synthèse Client : Commission européenne, Direction générale Emploi, affaires sociales et égalité des chances
Plus en détailTableau comparatif des contrats d apprentissage et de professionnalisation
Tableau comparatif des contrats d apprentissage et de professionnalisation Attention : Ce document a été établit en juin 2015. Les informations qu il contient peuvent avoir évoluées en fonction des lois
Plus en détailDocument d information n o 1 sur les pensions
Document d information n o 1 sur les pensions Importance des pensions Partie 1 de la série La série complète des documents d information sur les pensions se trouve dans Pensions Manual, 4 e édition, que
Plus en détailACCORD DU 15 DÉCEMBRE 2011
MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n 3364 Convention collective nationale RÉGIME SOCIAL DES INDÉPENDANTS IDCC : 2796.
Plus en détailPropositions de réforme du MR en matière de droits de succession et donation
Propositions de réforme du MR en matière de droits de succession et donation Propositions de réforme du MR en matière de droits de succession et donation 1 Les s des droits de succession sont de la compétence
Plus en détailACCORD DISTRIBUTION CASINO FRANCE RELATIF A L EGALITE PROFESSIONNELLE ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES
ACCORD DISTRIBUTION CASINO FRANCE RELATIF A L EGALITE PROFESSIONNELLE ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES La Direction de Distribution Casino France, représentée par M. Gérard MASSUS, Directeur des Ressources
Plus en détailOuverture de compte. Auquel est lié un compte de titres personnes physiques. Société du groupe KBC
Ouverture de compte Auquel est lié un compte de titres personnes physiques Société du groupe KBC Contrat client ENTRE a) KBC Securities SA, dont le siège social est sis à 1080 Bruxelles, Avenue du Port
Plus en détailCharte. pour. de la coopération décentralisée. le développement durable
Charte de la coopération décentralisée pour le développement durable Mise en œuvre des principes de l Agenda 21 dans les coopérations transfrontalières, européennes et internationales des collectivités
Plus en détailL approche Casino en matière de développement durable?
L approche Casino en matière de développement durable? 1 Les principaux enjeux pour Casino Optimiser la conception et la gestion des magasins (énergie, paysage, ) Environnement Maîtriser les impacts du
Plus en détailDocument d information n o 4 sur les pensions
Document d information n o 4 sur les pensions Épargnes privées de retraite Partie 4 de la série La série complète des documents d information sur les pensions se trouve dans Pensions Manual, 4 e édition,
Plus en détailDirection des Ressources Humaines 14/10/04 CLASSIFICATION DU GROUPE CREDIT COOPERATIF
CLASSIFICATION DU GROUPE CREDIT COOPERATIF SOMMAIRE PREAMBULE P. 4 DISPOSITIONS GENERALES : I. Généralités P. 05 I.1. Définition de la classification P. 05 I.2. Relation classification emploi P. 05 I.3.
Plus en détailAide au recrutement, à l accueil et à l intégration des nouveaux entrants Professionnalisation et fidélisation d un salarié Tutorat
Objectifs : Être au plus près des entreprises et de leurs salariés en proposant des services et outils adaptés à leurs besoins. 12 fiches «service» synthétiques, répertoriées en 5 grands thèmes : PROFESSIONNALISATION
Plus en détail7. ECONOMIE 7.3. COMMERCE GESTIONNAIRE DE TRES PETITES ENTREPRISES
CCPQ Rue A. Lavallée, 1 1080 Bruxelles Tél. : 02/690.85.28 Fax : 02/690.85.78 Email : ccpq@profor.be www.enseignement.be 7. ECONOMIE 7.3. COMMERCE GESTIONNAIRE DE TRES PETITES ENTREPRISES PROFIL DE FORMATION
Plus en détailLes bonnes pratiques du recrutement en ligne
POUR VOUS ÉCLAIRER DANS LE COMMERCE DE DÉTAIL Les bonnes pratiques du recrutement en ligne Avant-propos Au Québec, le commerce de détail compte près de 24 000 établissements et 300 000 employés. Les jeunes
Plus en détailLe pacte de responsabilité et de solidarité
Le pacte de responsabilité et de solidarité Direccte CENTRE Direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l emploi Qu est ce que le pacte de responsabilité
Plus en détailCONVENTION DE STAGE OBLIGATOIRE EN FRANCE
CONVENTION DE STAGE OBLIGATOIRE EN FRANCE Entre : L Université Jean Moulin Lyon 3, Etablissement public à caractère scientifique, culturel et professionnel, Représentée par son Président,Monsieur Jacques
Plus en détailModèles de profils de poste et de termes de référence pour les principales tâches de suivi-évaluation
Annexe E Modèles de profils de poste et de termes de référence pour les principales tâches de suivi-évaluation Pour une gestion orientée vers l'impact Guide pratique de S&E des projets Table des matières
Plus en détailASSURANCE MALADIE OBLIGATOIRE DE BASE
ASSURANCE MALADIE OBLIGATOIRE DE BASE Convention nationale Entre Les Organismes Gestionnaires Et Les Chirurgiens Dentistes CONVENTION NATIONALE Etablie sous l égide de l Agence Nationale de l Assurance
Plus en détailPLAN DE FORMATION Formation : Le rôle du superviseur au quotidien 2014-2015
1. Contexte PLAN DE FORMATION Formation : Le rôle du superviseur au quotidien 2014-2015 Dans le passé, on recherchait des superviseurs compétents au plan technique. Ce genre d expertise demeurera toujours
Plus en détailLA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES Anne DIETRICH Frédérique PIGEYRE 2005, repères, La découverte
LA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES Anne DIETRICH Frédérique PIGEYRE 2005, repères, La découverte La GRH constitue une préoccupation permanente de toute entreprise, de tout dirigeant, qu il s agisse de
Plus en détailPrincipes anti-blanchiment de Wolfsberg pour les banques correspondantes
Principes anti-blanchiment de Wolfsberg pour les banques correspondantes 1 Préambule Le groupe de Wolfsberg d établissements financiers internationaux 1 s est accordé sur ces Principes qui constituent
Plus en détailLe point sur la couverture du risque maladie au Niger
REPUBLIQUE DU NIGER MINISTERE DE LA SANTE PUBLIQUE ET DE LA LUTTE CONTRE LES ENDEMIES Le point sur la couverture du risque maladie au Niger I PLACE ACTUELLE DE L ASSURANCE MALADIE 1. Recensement des dispositions
Plus en détailL Avenir des ACLI. Voici les étapes significatives d un processus vertueux devant mettre en question les ACLI :
BELGIË ACLI BELGIO BELGIQUE Rue Franklin 136 Franklinstraat Bruxelles 1000 Brüssel Tel :02/742.26.40-Fax :02/734.10.52 aclibelgio@skynet.be aclibelgique@skynet.be Site : http://www.acli.be Bruxelles 28/08/09
Plus en détailLe volleyball est notre sport, notre passion, notre communauté nous inspirons les Canadiens à embrasser le volleyball pour la vie
Le volleyball est notre sport, notre passion, notre communauté nous inspirons les Canadiens à embrasser le volleyball pour la vie Révision du plan stratégique de Volleyball Canada février 2009 Table des
Plus en détailSE FORMER. une passerelle vers l emploi. Personnes Handicapées AIDES ET SERVICES DE L AGEFIPH NOVEMBRE 2014. l Les bonnes questions à se poser
Personnes Handicapées AIDES ET SERVICES DE L AGEFIPH NOVEMBRE 2014 SE FORMER une passerelle vers l emploi l Les bonnes questions à se poser l Quelles démarches? l Les aides de l Agefiph dont vous pouvez
Plus en détailLa reconnaissance mutuelle
La reconnaissance mutuelle des qualifications professionnelles Entente Québec-France Une nouvelle passerelle entre le Québec et la France L Entente Québec-France Introduction Lever les obstacles à l attraction
Plus en détailCOMPOSANTE 3 Objectif 3.C
TERMES DE RÉFÉRENCE POUR LE RECRUTEMENT D UN CABINET POUR LE DÉVELOPPEMENT DE LA PLATEFORME DE GESTION DES CONNAISSANCES POUR LA REFORME DE LA GOUVERNANCE COMPOSANTE 3 Objectif 3.C Sous-objectif 3.C.02
Plus en détailPROGRAMME DE MENTORAT
CONSEIL SCOLAIRE ACADIEN PROVINCIAL PROGRAMME DE MENTORAT ÉNONCÉ PRATIQUE Le Conseil scolaire acadien provincial désire promouvoir un programme de mentorat qui servira de soutien et d entraide auprès des
Plus en détailRECUEIL DES POLITIQUES ADE08-DA ADMINISTRATION DES ÉCOLES Collectes de fonds
RÉSOLUTION 87-07 C.E. Date d adoption : 20 mars 2007 16 avril 2014 En vigueur : 21 mars 2007 16 avril 2014 À réviser avant : OBJECTIF 1. Préciser les modalités rattachées à la sollicitation et à la collecte
Plus en détailL EMPLOi. Nos prestations et notre engagement pour vous. Vos offices régionaux de placement et caisses de chômage.
PRÊT PRET À A L EMPLOi Nos prestations et notre engagement pour vous. Vos offices régionaux de placement et caisses de chômage. Une campagne de l assurance-chômage en collaboration avec la Confédération
Plus en détailSEQUENCE 06 THEME 1 : LES REPONSES DU DROIT DU TRAVAIL AU PROBLEME DE L EMPLOI... 292 I. EMPLOI : PERCEPTION DE LA SITUATION...
P9703-F1/2 291 SEQUENCE 06 THEME 1 : LES REPONSES DU DROIT DU TRAVAIL AU PROBLEME DE L EMPLOI... 292 I. EMPLOI : PERCEPTION DE LA SITUATION... 292 II. L URGENCE : LEGIFERER PAR ORDONNANCES... 295 III.
Plus en détailL EXPÉRIENCE DE FLAMANVILLE 3
ATELIER CONSTRUCTION L EXPÉRIENCE DE FLAMANVILLE 3 22 et 23 janvier 2012 CARACTÉRISTIQUES DU PROJET EPR FLAMANVILLE 3 3 I EDF I lorem ipsum I juin 2012 CARACTERISTIQUES DE L EPR Un réacteur de génération
Plus en détailMINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES. Convention collective nationale
MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n 3073 Convention collective nationale IDCC : 86. ENTREPRISES DE LA PUBLICITÉ ET
Plus en détailGuide sur les mutuelles de formation. Règlement sur les mutuelles de formation
Guide sur les mutuelles de formation Règlement sur les mutuelles de formation ÉDITION AVRIL 2008 Dans le cadre d une entente de délégation prévue par la Loi sur le ministère de l Emploi et de la Solidarité
Plus en détailSommaire. Recruter et intégrer des seniors
Fiche 5 Bonnes pratiques des entreprises en matière de maintien et de retour en activité professionnelle des seniors. Guide pour l action Recruter et intégrer des seniors Recruter des seniors, c est d
Plus en détailDes milliers d emplois à l horizon
Des milliers d emplois à l horizon Journée annuelle d admission en formation professionnelle - 17 novembre 2010 Présentation o CSMO-Auto en quelques mots o Portrait de l industrie des services automobiles
Plus en détailGestion commerciale LCA.8Z. Information : (514) 376-1620, poste 419
Gestion LCA.8Z Information : (514) 376-1620, poste 419 Programme de formation Type de sanction Attestation d études collégiales permettant de cumuler 35 unités 1/3. Buts généraux du programme Ce programme
Plus en détailDIALOGUE AVEC LES CONSTRUCTEURS DE VEHICULES
CONFÉRENCE EUROPÉENNE DES MINISTRES DES TRANSPORTS EUROPEAN CONFERENCE OF MINISTERS OF TRANSPORT 2 rue André Pascal, F-75775 PARIS CEDEX 16 TEL. 33 (0)1 45 24 97 10 / FAX: 33 (0)1 45 24 97 42 e-mail: ecmt.contact@oecd.org
Plus en détailModifications au 1 er janvier 2015
1.2015 Généralités Modifications au 1 er janvier 2015 Etat au 1 er janvier 2015 1 En bref Le présent mémento vous renseigne sur les modifications entrant en vigueur le 1 er janvier 2015 dans le domaine
Plus en détailAugust 2014. ASSOCIATION CANADIENNE DE LA CONSTRUCTION MÉMOIRE PRÉBUDGÉTAIRE 2015 Comité permanent des finances
August 2014 ASSOCIATION CANADIENNE DE LA CONSTRUCTION MÉMOIRE PRÉBUDGÉTAIRE 2015 Comité permanent des finances Résumé L Association canadienne de la construction (ACC) représente 20 000 entreprises membres
Plus en détailACCORD DISTRIBUTION CASINO FRANCE SUR LA VALIDATION DES ACQUIS ET DE L EXPERIENCE DU 6 JUIN 2006
ACCORD DISTRIBUTION CASINO FRANCE SUR LA VALIDATION DES ACQUIS ET DE L EXPERIENCE DU 6 JUIN 2006 Entre : La Direction de Distribution Casino France, représentée par M. Gérard MASSUS, Directeur des Ressources
Plus en détailCharte européenne pour la qualité des stages et des apprentissages
Charte européenne pour la qualité des stages et des apprentissages www.qualityinternships.eu Préambule Etant donné que:! la passage des jeunes des études au marché de l'emploi devient de plus en plus compliqué
Plus en détailCirculaire n 5051 du 04/11/2014
Circulaire n 5051 du 04/11/2014 Collaboration entre les Centres psycho-médico-sociaux, le Service de médiation scolaire et le Service des équipes mobiles missions et rôles Réseaux et niveaux concernés
Plus en détailTRAVAIL ET GESTION DE L EMPLOI?
INDICATIONS COMPLÉMENTAIRES E n s e l i m i t a n t à u n e présentation graphique simple et en insistant sur les déterminants de l'offre et de la demande, on expliquera l'analyse néoclassique du fonctionnement
Plus en détailAppendice 2. (normative) Structure de niveau supérieur, texte de base identique, termes et définitions de base communs
Appendice 2 (normative) Structure de niveau supérieur, texte de base identique, termes et définitions de base communs NOTE Dans les propositions de Texte identique, XXX désigne un qualificatif de norme
Plus en détailManager dans la restauration
Manager dans la restauration 2007 Je décide de poursuivre mes études en BTS Je réussis mon bac professionnel Je suis parti en stage en entreprise en Europe : une première pour moi! 3 2009 Je réalise enfin
Plus en détailÉdition du 4 mars 2011 Annule et remplace l édition précédente
1 Édition du 4 mars 2011 Annule et remplace l édition précédente TOUT SAVOIR SUR LE CONTRAT D APPRENTISSAGE 2 TOUT SAVOIR SUR LE CONTRAT D APPRENTISSAGE SOMMAIRE Qui peut embaucher un apprenti et quelles
Plus en détailCatalogue de formations Management:
Catalogue de formations Management: Tuteur formateur...page 2 Tuteur Hiérarchique...page 3/4 Réussir sa réunion management...page 5 Animer et diriger son équipe...page 6/7 Les leviers de la motivation...page
Plus en détail