Organisation Internationale pour la Promotion des Médecines Traditionnelles O.I. PRO.ME.TRA

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1 Organisation Internationale pour la Promotion des Médecines Traditionnelles O.I. PRO.ME.TRA Editions METRAF B.P 6134, Dakar 1 Etoile, Senegal Tel.: (221) Fax: (221) prometra@prometra.org Website:

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3 Organisation Internationale pour la Promotion des Médecines Traditionnelles O.I. PRO.ME.TRA Editions METRAF METRAF Edition B.P 6134, Dakar 3 Etoile, Senegal Tel.: (221) Fax: (221) prometra@prometra.org Website:

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5 Organisation Internationale PRO.ME.TRA SOMMAIRE TITRE RITUEL DU CERCLE D UNION ET HYMNE I. INTRODUCTION II. III. IV. PRO.ME.TRA OBJECTIFS ET MISSIONS HISTORIQUE DESCRIPTION DE PRO.ME.TRA INTERNATIONAL IV.1 Le Travail au niveau institutionnel IV.2 Le Travail au niveau administratif IV.3 Inter relation PRO.ME.TRA / METRAF IV.4 Les Représentations nationales IV.5 CEMETRA : Centre Expérimental des Médecines Traditionnelles IV.6 Association «Malango» des Guérisseurs du département de Fatick IV.7 Les Réunions thématiques V. APTITUDES ET CAPACITES DE PRO.ME.TRA V.1 Capacité fonctionnelle administrative V.2 Aptitude et capacité de recherche V.3 Communication V.3.1 Médecine Verte V.3.2 REJOMETRA en Afrique V.3.3 Autres moyens de communication VI. ACTIVITES DE PRO.ME.TRA VI.1 Formation FAPEG : Formation d Autoperfectionnement des guérisseurs VI.2 «Voies du Souvenir et de Connexion Spirituelle» VI.2.1 Voies du Souvenir VI.2.2 Voies de Connexion Spirituelle VI.3 VI.4 VI.5 Xoy : Rituel de voyance publique Les Protections des droits de propriété intellectuelle des savoirs traditionnels Réhabilitation de la biodiversité et culture de plantes médicinales VI.5.1 Au CEMETRA VI.5.2 La pépinière de Diakhao PAGE

6 VII. VIII. IX. TITRE IMPLICATION DE PRO.ME.TRA DANS LA LUTTE CONTRE LE VIH/SIDA VII.1 Conférence de Mars 1999 VII.2 Implication de PROMETRA dans les Conférences Internationales sur le VIH/SIDA GENERALITES SUR LA MEDECINE TRADITIONNELLE LES PARTENAIRES DE RECHERCHE PAGE X. LES ORGANISMES D APPUI 60 XI. XII. XIII. LES OEUVRES ET PUBLICATIONS DE PROMETRA INTERNATIONAL PERSPECTIVES CONCLUSION

7 RITUEL DU CERCLE D UNION Je rends hommage à DIEU, au levant, au zénith, au couchant, aux esprits de cette terre, d Afrique et du monde. Que nos cœurs se rapprochent, ainsi que nos mains. Le cercle d union que nous formons nous relie au passé et nous prolonge vers l avenir. Nos grands parents le faisaient, nous sommes en train de le faire aujourd hui, pour permettre aux générations futures de perpétuer ce rituel. Rappelons-nous la grandeur de ce symbole, inspirons nous de la profondeur de ce geste et restons convaincus que, main dans la main, nous serons capables de relever tous les défis. Je vous remercie Rituel du cercle d union par les guérisseurs du CEMETRA 7

8 PRO.ME.TRA HYMNE ENSEMBLE Du levant au couchant ensemble Retour à la terre des ancêtres Afrique bourgeon de l humanité Accueille tes enfants ensemble Ensemble pour construire L Afrique Tolérante Ensemble pour construire L Afrique de la paix Ensemble pour construire L Afrique libre Frères de la diaspora, frères d Afrique Ensemble reconciliés Frères de la diaspora, frères d Afrique Ensemble pour pardonner A la gloire du soleil au zenith Acclamons l esprit Tamango Au pied du Kilimandjaro Debout un peuple uni Ensemble pour construire L Afrique Tolérante Ensemble pour construire L Afrique de la paix Ensemble pour construire L Afrique libre 8

9 I - INTRODUCTION En cent ans, l Homme est passé de la connaissance empirique à la conquête de l espace. La technique est allée vite, trop vite, et l homme psychologique n a pas suivi. Après avoir difficilement assimilé ce que l on appelle «le progrès technique» que l homme maîtrise d ailleurs de moins en moins, il est apparu des données nouvelles qui sont de nature à dérouter les raisonnements les plus logiques, car elles ne peuvent s intégrer dans aucune méthode conceptuelle classique. L Homme du XXI ème siècle ne sait plus où il en est. Les valeurs qui justifiaient son existence s effondrent, le laissant sur le promontoire de l inconnu. Partout dans le monde, la science, en général, et la santé en particulier, ont des malaises notoires avec des comportements discutables et des attitudes préoccupantes. Au nord, la santé s adonne à des pratiques déshumanisantes et mécanistes. Nous assistons à une super spécialisation de plus en plus sophistiquée, réduisant les organes humains à des pièces mécaniques. Il y a quelques temps, on parlait d Oto-Rhino-Laryngologie (O.R.L). Aujourd hui, on parle aisément d Otologie, de Rhinologie, de Laryngologie. Les contacts humains entre malades et médecins se font rares, voire inutiles et, bientôt, les malades rentreront par une porte et sortiront par l autre sans contact humain, avec un résultat paraclinique complet et une ordonnance à exécuter. Au Sud, dans les pays en développement, la santé moderne se caractérise par des insuffisances de médecins, de personnels paramédicaux, de moyens logistiques, d une pénurie d hôpitaux et d une pléthore de médicaments inaccessibles. De manière plus globale, les produits synthétiques et biochimiques, dont les coûts sont élevés, ne répondent pas aux premières attentes, mais contribuent, de plus en plus, à créer des résistances avec des germes pathogènes plus virulents, à creuser le fossé entre le Nord et le Sud et à générer des disparités irréversibles. A ce constat préoccupant, s ajoutent de nouvelles maladies iatrogènes, et des maladies émergentes comme la fièvre Ebola et le VIH/SIDA qui hypothèquent l avenir de l Afrique et du Tiers Monde. Face à cette évidence, l Homme ressent un besoin profond de s inspirer de son passé pour construire son avenir. Depuis quelques décennies, on parle de médecine douce, d homéopathie, de médecine énergétique, de Transe-Tepsichoré-Thérapie, d ethnomédecine, de naturothérapie et de manière plus générale, de médecines traditionnelles. Partout, l Homme perd ses repères. La volonté de donner un sens cartésien à tout, l éloigne du sens de la vie qui est vibrante et vivifiante, ce qui fausse les 9

10 bases de plusieurs hypothèses de recherches et d inventions qui le desservent. L Homme du XXI e siècle a besoin de changer son fusil d épaule. Il requiert de poser les bases d une science plus humaine, nécessaires à ramener l harmonie entre les corps physiques et les corps subtils : fondement de son développement intégral. Le dernier siècle a rendu les temps nouveaux et futurs très vulnérables. Nous devons à la vérité de reconnaître qu après la deuxième guerre mondiale, il y a eu des progrès technologiques cruciaux. Les moyens de communication, la mondialisation de l économie et les déséquilibres politiques sont préoccupants. On assiste à l émergence du spectre des exterminations massives (guerres et génocides) avec un risque permanent d embrasement général, sous-tendu par une menace atomique exponentielle. Les dangers de tous genres n épargnent aucun Homme, aucun Etat. Le terrorisme, fortement développé, dispose de moyens jamais atteints et frappe au cœur même des puissances dominantes. Dans la recherche de solutions aux problèmes et défis qui interpellent notre planète et notre espèce, l Organisation Internationale PRO.ME.TRA, dotée de représentations à travers le monde, met en place des réseaux multiples et variés ainsi qu un ensemble de stratégies pour apporter et continuer d apporter sa modeste contribution à cette grande œuvre. II PRO.ME.TRA - OBJECTIFS ET MISSIONS Pour permettre à PRO.ME.TRA d exercer librement et avec facilité ses missions et ses objectifs, le Gouvernement du Sénégal lui a octroyé une validité diplomatique. 10

11 Cérémonie de signature de l Accord de Siége entre le Gouvernement du Sénégal représenté par le Ministre d Etat, Ministre des Affaires Etrangères, M. Cheikh Tidiane GADIO et l Organisation Internationale pour la Promotion des Médecines Traditionnelles (PROMETRA) représentée par son Président Dr Erick GBODOSSOU En effet, le 04 Août 2004, cette validité diplomatique est scellée par la signature d un Accord de Siége entre le Gouvernement et l Organisation Internationale pour la Promotion des Médecines Traditionnelles (PRO.ME.TRA). A. Objectif PRO.ME.TRA est une Organisation Internationale ayant pour objectif général de promouvoir les Médecines Traditionnelles et de tisser les liens entre les cultures à travers le monde. Les objectifs spécifiques de PRO.ME.TRA se résument comme suit : organiser au niveau national, les leaders des religions anciennes, les chefs de cultes traditionnels et les guérisseurs afin de leur permettre de jouer pleinement leur rôle, apporter une assistance technique dans les projets liés à la réhabilitation des Médecines Traditionnelles, des religions anciennes et de la spiritualité universelle, poser les bases d une science peu connue, par une meilleure vulgarisation de la rationalité des pratiques africaines, aider la science conventionnelle à élargir son domaine d action par une contribution dans le traitement des affections dites incurables et contribuer au rapprochement des deux médecines, redéfinir certaines pratiques discutables de la médecine moderne, dont la survaccination, l accouchement horizontal, 11

12 lutter contre toutes pratiques traditionnelles pouvant nuire à la santé de la mère et de l enfant, et de manière plus générale, à la santé des populations, favoriser les échanges d expériences en matière de médecines traditionnelles dans la sous région, en Afrique et à travers le monde, dans un souci de réhabilitation des valeurs culturelles, former les guérisseurs en véritable agents IEC Information- Education-Communication auprès de leur population locale par la méthode FAPEG, méthode pédagogique de Formation et d autoperfectionnement des guérisseurs mise au point par PRO.ME.TRA, impliquer les guérisseurs à tous les niveaux pour relever les défis sanitaires qui interpellent l Afrique et le monde, aider à la mise en place des cadres juridiques nécessaires à la pratique des médecines traditionnelles, aider les gouvernements à mettre en place des stratégies pour l introduction judicieuse des médecines traditionnelles dans les systèmes de santé nationaux et permettre à chaque citoyen de faire le choix de sa médecine, organiser des voyages d études et de formation pour étudiants et chercheurs, créer des structures de conditionnement des médicaments à base de plantes médicinales ou d équipements sanitaires sur la base de recherches rigoureuses crédibles et conformes à l éthique internationale, tisser des liens et créer des réseaux entre toutes organisations, associations, institutions ou structures oeuvrant dans le sens de la réhabilitation des cultures et civilisations indigènes en Afrique et dans le monde, étudier les religions traditionnelles, de manière générale, et celles africaines de manière particulière, promouvoir les recherches relatives à la spiritualité et favoriser ses applications pratiques pour une humanité meilleure et plus éclairée, permettre l intégration panafricaine et servir d instrument de relations internationales, Apporter sa contribution dans la formation de jeunes leaders africains. 12

13 PRO.ME.TRA appuie la jeunesse et l école par des dons et oeuvre pour la formation de futurs leaders africains B. Missions PRO.ME.TRA est autant un organisme de Recherche culturelle, de pratique médicale, de diffusion scientifique, qu un instrument d intégration africaine et de relations internationales à travers la revalorisation des médecines traditionnelles, des religions anciennes et de la spiritualité universelle. Ces missions doivent permettre de donner un avenir au Tiers Monde et singulièrement de concourir à la réhabilitation des sciences indigènes, qui, de par leur histoire, se perdent et se perdent à grand pas. C est l une des raisons pour lesquelles son action est symbolisée par ce logo. 13

14 LA JARRE est un symbole fondamental dans les traditions indigènes. C est avant tout le vase d abondance inépuisable, d où le liquide s écoule comme d une source. C est pourquoi, il est attribué aux divinités fluviales. La jarre est aussi le breuvage d immortalité, et en conséquence de la vie. Les jarres sont encore les substituts des gardiens de l espace sur les aires sacrificielles, (les xamb des lébu pratiquant le ndëp au Sénégal). La jarre reste aussi l instrument de la boisson conventionnelle. Elle contient entre autre l EAU : source de vie, moyen de purification et centre de régénération. La jarre comme le vagin, la matrice, est source de vie. C est pourquoi, dans certaines traditions anciennes, les enfants morts étaient ramenés à l attitude fœtale et enfermés dans une jarre ; une sorte de retour aux sources. Certains mythes racontent qu à la porte de Dieu, il y a 2 jarres. Une jarre à gauche qui contient les biens et une jarre à droite qui contient les maux. LA JARRE PERCEE DE TROUS Les cinq derniers siècles ont porté un coup fatal aux sociétés indigènes à travers le monde. En effet, avant le XV e siècle, il y avait un équilibre entre les continents et un respect mutuel entre les cultures et les civilisations. L Afrique, singulièrement, a été saignée à blanc et saigne toujours depuis l ère des explorateurs, jusqu à l essor économique actuel en passant par l esclavage et la colonisation. Faut-il le rappeler, l esclavage a décimé plus de 80% de la population active du continent africain. Au lendemain de l esclavage, ce continent fragilisé a été découpé, en morceaux, par les colonisateurs. Aujourd hui, les termes de l échange économique entre le Nord et le Sud accentuent davantage les déperditions de l Afrique. Tous ces coups, ces grands coups ont percé la jarre de plusieurs trous. Le sang s écoule, la vie s en va. L avenir de l Afrique devient hypothétique. L Afrique aujourd hui couvre à peine1% de l économie mondiale. La disparition de l Afrique, la destruction totale des populations africaines ne changeront pas grand chose à l évolution du monde. C est préoccupant! La jarre est percée. Que faire? Pour espérer un avenir pour l Afrique, PRO.ME.TRA invite toutes ses filles, tous ses fils, dans un élan collectif à fermer un trou de la jarre avec un doigt. Seulement un doigt sur les dix. Ainsi, cette jarre sera encore capable de jouer pleinement son rôle et ressusciter de ses cendres l Afrique. C est là le sens de la devise de PRO.ME.TRA : «Mboga Com» : «Tous ensemble dans l honneur, la dignité et la fierté, nous devons unir nos efforts et collectivement fermer les trous de cette jarre». 14

15 III HISTORIQUE L origine de PRO.ME.TRA remonte à 1971, sous l initiative du Pr Henri Colomb, soutenu par les professeurs Hervé De Lauture et Paul Corréa par le lancement des programmes ayant pour ambition, la réhabilitation des Médecines Traditionnelles et des valeurs de civilisations indigènes. IV - DESCRIPTION DE PRO.ME.TRA INTERNATIONAL IV.1 - LE TRAVAIL AU NIVEAU INSTITUTIONNEL En 1987, l équipe de PRO.ME.TRA a effectué un voyage d étude aux Etats Unis d Amérique, à l Université de Tulane à la New Orléans (Louisiane) sous la direction du Pr Robert Franklin, à l Ecole de Médecine de Morehouse à Atlanta (Georgia), sous la direction du Pr Charles Finch et au Bureau Central de l USAID à Washington. A cette occasion, les travaux de PRO.ME.TRA ont été présentés et un projet de recherche collaborative, avec les universités cidessus mentionnées, a été établi. Cette équipe de recherche triangulaire a réalisé une importante étude, dénommée «Enquête CAP, sur les Connaissances, les Attitudes et les Pratiques des guérisseurs de Malango, du personnel paramédical et médical de la région de Fatick et de la population du Sine. Cette enquête a permis de se rendre compte que : les guérisseurs jouissent d une importante notoriété auprès des populations, 90% de la population s adressent aux guérisseurs pour leurs problèmes de santé 67% des médecins conventionnels reconnaissent orienter des malades vers les guérisseurs 59% des patients envoyés aux guérisseurs par leurs collègues de la médecine conventionnelle concernent les affections liées à la santé de la mère et de l enfant 81% des guérisseurs ont des connaissances poussées sur les maladies psychosomatiques, l asthme, les dermatoses, et certaines maladies dites incurables tels que le diabète, l hépatite virale etc. Ces résultats, fort encourageants, ont permis de réaliser un projet de recherche opérationnelle utilisant les guérisseurs dans la dissémination sanitaire auprès des populations dans les domaines de la Planification Familiale Naturelle (PFN) et dans la lutte contre les maladies diarrhéiques de l enfant (LCMDE). 15

16 En 1997, à travers le projet «Rôle de la Religion et de la Spiritualité dans la réhabilitation médicale des personnes handicapées», PRO.ME.TRA a élargi ses relations et son partenariat avec l Institut FETZER à Kalamazoo dans le Michigan. Bien après, des relations institutionnelles ont été tissées avec le National Council of International Health (NCIH) à Washington, devenu le Global Health Council (GHC), avec le Cosaan Foundation à Atlanta, l association internationale «le Corps à Vivre» dont le siège est à Paris (France), l association européenne pour une politique de vie, et l association internationale «Energie et Vie», (AIEV), dont le siège est en France. IV. 2 - LE TRAVAIL AU NIVEAU ADMINISTRATIF Par lettre n 00381/PR/CAB/INFO du 24 juillet 1985, le Président de la République du Sénégal, Son Excellence le Président Abdou DIOUF, a demandé, après avoir écrit : «vos travaux ont suscité en moi un intérêt tout particulier», à ce que son gouvernement exploite le résultat des recherches de PRO.ME.TRA, en vue de leur introduction judicieuse dans le système de santé national. Audience accordée à PRO.ME.TRA. International par son Excellence le Président de la République du Sénégal M e Abdoulaye WADE, en mai

17 ORGANIGRAMME DE PROMETRA INTERNATIONAL 17

18 IV. 3 - INTER RELATION PROMETRA/METRAF GIE METRAF Groupement Inter Economique Médecines et Traditions Africaines PROMETRA International Activités génératrices de revenus - Projets d entreprises - Phytothérapie - Autres FONDATION METRAF Grants Partenaires Bailleurs Autres projets et organisation de médecines traditionnelles et de sciences endogènes Le Groupement d Intérêt Economique : Médecines et Traditions Africaines a pour mission d exécuter et de mener des activités génératrices de revenus multiples et variés. Les recettes du GIE METRAF sont totalement versés dans le compte de la Fondation METRAF. Cette Fondation se chargera de financier, au niveau planét airedes projets de Médecines Traditionnelles, des sciences et pratiques endogènes. 18

19 Atlan IV. 4 - Les Représentations Nationales en 2006 PROMETRA INTERNATIONAL BP: 6134 Dakar Sénégal prometra@prometra.org Organisation pour la Promotion des Médecines Traditionnelles Président : Dr Erick V. A. Gbodossou ANTENNES DE PROMETRA AFRIQUE Bénin Jacques Apollinaire Batanon, Pres. 01 BP 3955 Cotonou, Benin - prometra@intnet.bj Tél.: (229) / Burkina Faso Joseph Dabogo SIA, Pres. 09 BP 633 Ouagadougou 09, Burkina Faso - prometrabf@yahoo.fr Tél.: (226) / Cameroun Edward Fai Fominyen Ngu, Pres. PO Box 1608 Yaounde, Cameroon - faifominyen@yahoo.fr Tél.: (237) / ANTENNES DE PROMETRA - EUROPE PROMETRA Espagne Ekoue Lonlon Creppy, Pres Camralud Firgas Las Palmas samcreppy@yahoo.es Tél.: Côte d Ivoire Yangni Angate, Pres. 08 BP: 925 Abidjan 08, Côte d ivoire - yangate@ariso.ci Tél.: (225) / Gabon Amavi Ayao, Pres. BP Libreville, Gabon Tél.: (241) / amavi@voila.fr PROMETRA France Fritz Antonio, Pres. 125 Avenue du Général Leclerc Paris - France antonio.syl@volla.fr Ghana Togbega Dabra VI, Pres. PO Box WJ 153 Weija Accra, Ghana - tdrdabra@yahoo.co.uk Tél.: (233) / ANTENNES DE PROMETRA CARRAIBES Guinée Mohamed Kerfalla Camara, Pres. 050 BP 27 Conakry, Guinée - lazacamara@yahoo.fr Tél.: (224) / Guinea-Bissau Jorge Pinto, Pres. Bairo Dehamedalai BP: 1101 Bissau, Guinée-Bissau (245) Kenya Jeff Odera, Pres. - P.O. Box Nairobi, Kenya - prometrake@yahoo.com Tél.: (254) / Mali Djibril Coulibaly, Pres. BP 1746 Bamako, Mali Tél.: (223) / djibcou@yahoo.fr Mozambique Narciso Mahumana, Pres. Rua da Kongwa n 27, 1st Floor, Maputo City - Mozambique Téléfax:(258) (01) Mobile (258) (82) / narcizinho@yahoo.com.br PROMETRA Guadeloupe Sonia Biaiany, Pres. 28 Cité Faloge Basse Terre metragwad@wanadoo.fr PROMETRA Haiti Joanem Joseph, Pres. 649 Rue Estenio Vincent Croix des Bouquets Tel PROMETRA Martinique Clémire Joseph, Pres. 24 A rue de la liberté, BP 2 Petit Bourg Rivière Salée Tel RDC Congo Mvumbi Lelo, Pres. Cité Solongo nord 3728 Lemba Kinshasa, Dem Rep of Congo - prometrardc@yahoo.fr Tél.: (243) Sénégal Boury Niang, Pres. Route de Kaolack, BP 547 Mbour, Sénégal -Tél.:(221) promesene@sunumail.sn South Africa Baba Credo Mutwa, Pres. PO Box 2292 Pretoria, South Africa - kmossan@medunsa.ac.za Tel: Togo Locoh Lonlon, Pres. BP 8321 Lomé, Togo Tel. (228) ANTENNE DE PROMETRA - USA PROMETRA USA Michele Ozumba, Pres. 100 Auburn Avenue, #200 Atlanta, Georgia USA info@prometra-usa.org Tel: Fax: Ouganda Sekagya Yahaya Hills, Pres. PO Box Kampala, Ouganda - prometrauganda@softhome.net Tel: (256)

20 L Organisation Internationale pour la Promotion des Médecines Traditionnelles O.I. PRO.ME.TRA s étale en «tache d huile» avec des représentations nationales à travers le monde, gérées par des bureaux autonomes oeuvrant pour les mêmes causes, celle de la Promotion des Médecines Traditionnelles, des cultures, des connaissances endogènes et de la spiritualité universelle dans le respect des valeurs de civilisation. IV. 5 - CEMETRA - Centre Expérimental des Médecines Traditionnelles de Fatick au Sénégal - un service d accueil, - un bureau médical moderne, - un laboratoire d analyses, - six (6) unités de soins tenues par les guérisseurs, - dix (10) unités d hospitalisation, - une pharmacie de plantes médicinales, - une salle de conférence, de formation et d échanges, - une bibliothèque, - une tribune, - une salle de réception, - des salles annexes pour les rituels et les bains thérapeutiques, - soixante (60) hectares de jardin botanique, - une mini centrale d énergie solaire, - un aménagement pour groupe électrogène avec une cuve d alimentation autonome, 20

21 - une salle de radiographie, - 15 cases de consultations des guérisseurs réparties dans les 15 chefs lieux de communautés rurales de la région de Fatick, - un bureau d Etude, - un secrétariat, - un service du personnel subalterne, - douze (12) édifices annexes. Itinéraire du malade au CEMETRA de Fatick Janvier 1989 : Création et Inauguration du Centre Expérimental des Médecines Traditionnelles de Fatick au Sénégal Le CEMETRA qui abrite des unités de soins tenues par des guérisseurs et un hôpital moderne tenu par un médecin diplômé d Etat L accueil du Malade L enregistrement: numéro d ordre et coordonnées motif de consultation antécédents itinéraire avant l accès au CEMETRA Unité de soins chargée de la prise en charge Le fichier: Double (chef de famille) Simple 21

22 L envoi du malade au niveau de la structure moderne Le médecin conventionnel au service des traditions L interrogatoire (anamnèse) passe en revue l histoire de la maladie, ses antécédents, ses collatéraux, avant de passer à l examen physique. Le Dr en médecine ne donne jamais un médicament moderne. Il fait un diagnostic avant, pendant et après le traitement octroyé par le guérisseur. L examen clinique passe en revue le fonctionnement des différents appareils Différentes constantes: - tension artérielle - pouls - cycle respiratoire - température - poids L équipement du laboratoire du CEMETRA de Fatick est assez fiable pour avoir des résultats. Les différents examens cliniques permettent au médecin de confirmer ou d infirmer son diagnostic. 22

23 Une fois le diagnostic moderne posé, le médecin oriente le malade vers les guérisseurs. Le guérisseur ignore absolument le diagnostic posé par le médecin. Il a lui même ses méthodes de diagnostic. Le traitement utilisé par le guérisseur est multiple et varié 23

24 Le traitement peut se faire sous forme de bain. Le malade repasse dans la structure moderne pour une évaluation de l évolution clinique et paraclinique de l affection. Ce contrôle permet de conclure s il y a aggravation, stagnation, amélioration ou guérison de la maladie spécifique. CEMETRA est déjà un centre de référence connu et apprécié au niveau mondial et il tend à devenir un centre d excellence. Après dix (10) ans de fonctionnement ( ) il a reçu familles venant de plusieurs nations et de 3 continents (Afrique, Europe, Amérique). Des études, par collaboration sérieuses, ont montré que les guérisseurs de Malango, exerçant au CEMETRA, ont eu 65% de guérison totale, 25% d amélioration quantifiable (c est à dire = 90% de bons résultats). Le reste se répartit en stagnation et aggravation. Faut-il le rappeler? Depuis son ouverture, ce centre n a jamais renvoyé un malade même si ce dernier est sorti des hôpitaux conventionnels avec la mention «on ne peut plus rien». Ce centre n est pas seulement une structure de recherche, de diffusion scientifique, ou de valorisation d une culture. Il reste aussi une structure de formation, d encadrement et de voyages d études pour étudiants et chercheurs venant d Afrique, d Europe et d Amérique. 24

25 IV. 6 - Association «MALANGO» des guérisseurs du dé partement de Fatick PRO.ME.TRA a organisé les guérisseurs en plusieurs étapes. Des visites avaient été rendues aux habitants de 168 villages, sur les 264 que compte la région de Fatick, en accord avec les autorités locales, les notables, les chefs de village. Cette dynamique ayant aidé à distinguer les guérisseurs des charlatans, l Association des Guérisseurs du Sine, dénommée MALANGO était née en 1985 et est forte de plus de 550 membres. L équipe des enquêteurs avait, dans un premier temps, enregistré une liste interminable de «guérisseurs». Finalement, ce sont les enfants de l âge préscolaire qui ont joué un rôle essentiel dans le processus de sélection de bons guérisseurs. Devant les enfants, l équipe a procédé par des questions du genre : «j ai un malade mental à la maison et je voudrais savoir où je peux trouver un guérisseur pour son cas». La réponse livrée par l enfant était toujours la même : «Allez dans le village X et demandez après Monsieur ou Madame Y, c est d ailleurs lui qui a soigné le fou errant Z de notre village». Cette stratégie a permis aux enquêteurs de constater que les vrais guérisseurs ne figuraient sur aucune de leurs listes. C est sur cette base, et avec beaucoup d humilité que les enquêteurs se sont rapprochés de ces guérisseurs. Après plusieurs mois ou années de persévérance, ils ont été acceptés. Une fois cette étape franchie, les guérisseurs eux-mêmes convaincus de la bonne foi de l équipe, ont indiqué les coordonnées de certains de leurs confrères. Il a fallu quatorze ans ( ) pour identifier tous les guérisseurs des 264 villages seereer que compte la région de Fatick. Les Guérisseurs ont pu être organisés en une association pyramidale suivant le schéma ci-après : 25

26 Structure de l Association des guérisseurs du Sine Malango : Organisation des guérisseurs du Sine Saloum, région de Fatick, au Sénégal en une association forte de 550 membres reconnue par les autorités officielles et dénommée «Malango» qui signifie «ce qu il faut et qui convient». PRO.ME.TRA a alors créé son logo qui est représenté par une jarre percée de trous avec comme devise MBOGA-COM : Tous ensemble dans la dignité et la fierté pour ce qu il faut et qui convient. En 1985 : l association des guérisseurs du Sine au Sénégal est née et reconnue par les autorités compétentes sous le nom de Malango «ce qu il faut et qui convient». 26

27 : Le promoteur des projets de réhabilitation des médecines traditionnelles a été invité à l OMS (Organisation Mondiale de la Santé) AFRO à Brazzaville, par le professeur Alfred Quenum, son Directeur Général. Ce voyage d étude avait pour objet de faire des séances de travail avec les techniciens de cette organisation et de mettre en place un programme de mise en valeur des médecines traditionnelles en Afrique. Par ailleurs, le Dr GBODOSSOU a élaboré un projet pilote à exécuter au Sénégal. Ce projet de médecines traditionnelles est accepté et enregistré sous le numéro OMS/AFRO-ICP-RPD-002. Son financement dans sa phase I devait durer cinq (05) ans. Quelques mois après l octroi du budget de mise en place, le Pr Quenum décède et le Pr Monekosso, son remplaçant n ayant pas les mêmes ambitions pour les médecines traditionnelles, le projet reste sans suite : Au-delà des réunions mensuelles, tous les derniers dimanche du mois, plusieurs activités ont marqué la vie de Malango. IV. 7 - LES REUNIONS THEMATIQUES Chaque année, depuis 1979, des réunions thématiques sont organisées par PRO.ME.TRA. Pendant deux (02) jours, non-stop, guérisseurs, médecins, chercheurs, autorités, journalistes se retrouvent autour d une même table pour discuter d un thème d intérêt commun. Plusieurs thèmes ont fait l objet de séminaire atelier parmi lesquels : - où en est la médecine traditionnelle? - comment valoriser la médecine traditionnelle? - quelle stratégie pour l introduction judicieuse de cette pratique dans le système de santé national? Ces différentes réunions ont amené PRO.ME.TRA à décider de créer un cadre pour permettre aux guérisseurs de Malango d exercer librement leur art, sous le contrôle d une rigueur scientifique. Cette réalisation permettra de manière pratique d évaluer les connaissances, les attitudes et les pratiques des guérisseurs avec des paramètres scientifiques. Si l évaluation n est pas concluante, c est-à-dire si cette médecine n a pas de bons résultats, alors il faut tourner la page. Si au contraire, cette médecine est utile avec de bons résultats alors PRO.ME.TRA devra œuvrer à sa promotion, à son expansion, à sa diffusion et à sa défense, sur la base d études sérieuses, crédibles et rigoureuses. 29/01/1989 Inauguration officielle du Centre Expérimental des Médecines Traditionnelles CEMETRA 27

28 Sous l arbre à palabre, médecins, guérisseurs, chercheurs sont au coude à coude. Personne ne domine personne Réunions thématiques avec les guérisseurs dans les années 79 28

29 V APTITUDES ET CAPACITES DE PROMETRA PROMETRA International dispose d une capacité fonctionnelle importante avec un siège fixe et des équipements de pointe. Il dispose d un personnel compétent et de haut niveau. Il a des représentations nationales officielles et fonctionnelles dans 22 pays dans le monde. Ses capacités fonctionnelles sont nombreuses et variées. V.1 Capacité fonctionnelle administrative PROMETRA International dispose de moyens matériels de pointe et d un personnel qualifié et expérimenté pour assurer un bon fonctionnement de son administration. V.1.1 Le Personnel comprend : des compétences multiformes, pluridisciplinaires ayant des expériences spécifiques de plus de dix ans dans des domaines aussi variés comme l Administration, la Communication, la Recherche, les Relations Humaines, les Médecines Traditionnelles, l Agronomie, la Santé, le Marketing, la Gestion, la Formation... V.1.2 Equipement et matériel La couverture énergétique est assurée 24h sur 24. En effet le réseau d alimentation électrique est doublé d un groupe électrogène qui prend la relève automatiquement au besoin. L office de PROMETRA édifié sur 340 m² est un immeuble R + 3 (Rez-de-chaussée + 3 étages) spacieux et fonctionnel. Chaque bureau est équipé de matériel spécifique de pointe conforme aux attentes de chaque service et de chaque secteur. La culture du travail concerté, coordonné et en équipe évite les doubles emplois et optimise le rendement des activités. V.2 Aptitudes et capacités de recherche Implication des guérisseurs dans la recherche de solutions thérapeutiques au VIH/SIDA. Pour ce faire, PRO.ME.TRA a mis sur pied 2 grands comités: - un Comité Scientifique et Juridique International, formé d éminents juristes, chercheurs et professeurs de renommée internationale. - Ces deux comités sont unifiés et sont chargés de mettre en œuvre une recherche rigoureuse et crédible devant conduire à la recherche d une solution africaine à la pandémie du VIH/SIDA et à d autres affections qui hypothèquent l avenir de l Afrique. 29

30 Réunion périodique du Comité Scientifique et Juridique International - un comité de sages formé par de grands guérisseurs africains et spiritualistes mondialement connus Réunion du comité des sages africains 30

31 Recherches et inventions L Organisation Internationale pour la Promotion des Médecines Traditionnelles O.I PRO.ME.TRA est aussi un organisme de recherche culturelle, de pratique médicale et de diffusion scientifique qui a à son actif, plusieurs brevets d invention et projets d études sérieuses connues et appréciées. 1. Etude CAP Connaissance, Attitudes et Pratiques (1987) des guérisseurs, des médecins et de la population de Fatick par une équipe triangulaire comprenant, l Ecole de Médecine de Morehouse, Atlanta, Georgia-USA, l Université de Tulane, New Orléans, Louisiane-USA et PROMETRA au Sénégal. Cette étude a révélé que 68,90% de la population reconnaissent aller de temps en temps chez les guérisseurs : 2,20% les consultent rarement et 13,60% ne s adressent jamais à eux. Ce qui signifie que 86,40% de la population s adressent aux guérisseurs 31

32 La même équipe triangulaire de chercheurs, dans le cadre de cette étude faite en 1991 et 1992, est arrivée à la conclusion suivante : 90% des patients ont de bons résultats. 64,70% des patients ayant consulté les guérisseurs de Malango ont noté une guérison complète de leurs affections, 25,30% des patients ont noté une amélioration quantifiable, 8,20% n ont noté aucune amélioration avec un état stagnant, 1,80% ont vu une aggravation de leur maladie. 2. Implication des guérisseurs dans la planification familiale naturelle et la lutte contre les maladies diarrhéiques de l enfant Ces travaux de recherche ont permis : - de faire une étude socio-anthropologique qualitative des acquis préalables des guérisseurs dans ces domaines spécifiques, - de faire une étude épidémiologique quantitative sur ces différents acquis, - d élaborer un programme de formation en tenant compte de ces acquis, - de faire la formation des guérisseurs-formateurs. 3. Implication des guérisseurs dans la prévention La couverture sanitaire, en Afrique et dans le Tiers Monde, est encore insuffisante aussi bien en structures, en moyens logistiques qu en personnel. A cela s ajoute le coût élevé des soins et des médicaments dans un contexte socio-économique préoccupant. Par ailleurs, 85% de nos populations s adressent aux guérisseurs qui sont peu ou pas utilisés, officiellement, dans les systèmes sanitaires nationaux. 32

33 La méthode FAPEG Formation d Autoperfectionnement des guérisseurs répond à la fois à un besoin et à un manque, en même temps qu il vise à apporter des solutions concrètes et durables aux problèmes de santé concernant surtout les couches les plus vulnérables de nos populations : la mère et l enfant. Il s agit d impliquer les guérisseurs traditionnels dans : 1) le contrôle de la fécondité par la planification familiale naturelle, d une part, et par la réhabilitation des techniques d accouchement traditionnelles, d autre part, 2) une meilleure prise en charge des maladies diarrhéiques de l enfant, 3) la prévention des maladies sexuellement transmissibles et du VIH/SIDA 4. Rôle de la religion et de la spiritualité dans la réhabilitation médicale des personnes handicapées Le projet de PRO.ME.TRA a été le seul retenu, en dehors des USA, sur les 119 projets soumis à l Institut Fetzer basé à Kalamazoo dans le Michigan. Cette étude a abouti aux résultats suivants : Religion des guérisseurs 33

34 4.2 - Place de dieu dans le système thérapeutique des guérisseurs Cause ultime/condition de possibilité DIEU Eléments responsables Djinn Mauvais sort Rap Tuur Esprit Simple maladie Dieu Handicap Diagnostic et suggestion du traitement Diagnostic clinique Communication avec le malade Rêve Voyance Pratiques rituelles /institutionnelles FA/Tuur Cause ultime/condition de possibilité Dieu Traitement Succès Echec Cause ultime/condition de possibilité Dieu Espoir / compensation 34

35 5. Implication des guérisseurs africains dans la recherche de solutions thérapeutiques aux VIH/SIDA, Diabètes, Hépatites Virales, Dermatoses et Paludisme. En initiant des travaux de Recherche sur le VIH/SIDA, le diabète, l hépatite virale, les dermatoses, et le paludisme, l O.I PRO.ME.TRA apporte la preuve formelle de la capacité des guérisseurs africains à embrasser, de par leurs compétences multiples et variées, des domaines pathologiques qui demeureraient à tort, l apanage exclusif de la médecine moderne. Une fois encore, des savoirs endogènes revalorisent la sagesse d une culture thérapeutique et tentent de répondre, comme jadis, aux questions de santé des populations. Une telle attitude, aussi modeste soit-elle sur l échiquier de l expérimentation scientifique, atteste, au regard du cadre de recherche mis en place et des méthodes d investigation adoptées, de la raison d être des médecines traditionnelles et d un de ses organismes qu est le Centre Expérimental des Médecines Traditionnelles (CEMETRA) de Fatick au Sénégal, centre de référence internationale, initié par PRO.ME.TRA. Nous osons croire que les résultats de cette présente recherche pluridisciplinaire, augure une ère nouvelle incrustant davantage dans les mentalités, la nécessité d une meilleure prise en compte du génie humain dans sa vision holistique de l art de guérir. V.3 - Communication V.3.1 Médecine Verte Médecine Verte est un périodique international de recherche et d information scientifique, créé en 1999, diffusé dans le monde en version française et anglaise, par le biais des différentes représentations. Les évènements qui jalonnent les médecines traditionnelles de par le monde y sont relatés. V.3.2 REJOMETRA en Afrique REJOMETRA (Réseau des Journalistes pour la Promotion des Médecines Traditionnelles) Aujourd hui, REJOMETRA existe dans plusieurs pays. Ces associations de journalistes organisés en réseaux sont partenaires de PRO.ME.TRA. Ils reçoivent la formation nécessaire pour leur permettre de mieux informer, de porter plus loin la voix des guérisseurs, ainsi que leurs messages sanitaires, religieux et spirituels en direction des populations et de toutes les couches de la population. 35

36 REJOMETRA -Réseau des Journalistes en médecines traditionnelles- SENEGAL, en visite au CEMETRA de Fatick V.3.3 Autres moyens de communication PROMETRA International dispose de plusieurs autres moyens de communication parmi lesquels, on peut citer : des boîtes - un réseau de communication reliant toutes les représentations nationales - la gestion d un list-serv au niveau planétaire sur les médecines traditionnelles - la collaboration avec African Learning Channel - la gestion d un service audio-visuel avec possibilité de réalisation de films documentaires 36

37 VI LES ACTIVITES DE PROMETRA Conscient de ses nouvelles responsabilités, PRO.ME.TRA s est donné comme tâche pressante : 1) d impliquer les guérisseurs africains dans la prévention contre le VIH/ SIDA, et toutes autres maladies endémo-épidémiques. 2) de mener une étude importante impliquant les guérisseurs dans la recherche de solutions thérapeutiques au VIH/SIDA et toutes autres affections. Dès lors, les guérisseurs restent les meilleurs messagers, les meilleurs vecteurs d informations sanitaires auprès des populations. C est la raison pour laquelle, PRO.ME.TRA a mis au point un manuel pédagogique d autoperfectionnement des guérisseurs dite méthode FAPEG. VI.1 Formation FAPEG : Formation d Auto-Perfectionnement des guérisseurs C est une méthode active et participative qui permet de former les guérisseurs, quelle que soit leurs zones géographiques, leurs langues, en de véritables agents IEC -Information, Education, Communication- dans les domaines spécifiques : - prévention au VIH/SIDA - planning familial naturel - maladies affectant la santé de la mère et de l enfant. Après une étude épidémiologique et socio-anthropologique sur les acquis préalables des guérisseurs organisés, un matériel pédagogique est élaboré. Sous la supervision et l animation d un formateur, les leaders de guérisseurs, sont formés dans plusieurs pays tels que : le Sénégal, le Bénin, le Burkina Faso, le Togo, le Cameroun, l Ouganda, l Afrique du Sud, le Ghana, la Guinée Conakry, le Gabon. Cette méthode a été présentée à plusieurs conférences en France, au Japon, au Burkina Faso, à Genève (Suisse), à Durban (Afrique du Sud) et aux Etats Unis. Dans un souci d aider les guérisseurs à jouer pleinement leur rôle, PRO. ME.TRA et les représentations ont organisé et formé les guérisseurs. Dans cette perspective, PRO.ME.TRA a mis au point une méthode de formation culturelle et géographiquement spécifiée, destinée aux praticiens des médecines traditionnelles. Le but de cette méthode FAPEG est de s assurer que les guérisseurs comprennent et partagent le «Bon message». En tant que «Bons messagers», ils restent des vecteurs incontournables pour transmettre les messages éducatifs et sanitaires auprès de la majorité de la population africaine. 37

38 L utilisation judicieuse de leur sagesse et de leur connaissance est cruciale, nécessaire et impérieuse, si l on veut améliorer la vie des africains. Dr Gbodossou, lors de la formation FAPEG en janvier 2001 au Bénin Pendant la période , plus de 5000 leaders de guérisseurs ont bénéficié de la formation par la méthode FAPEG dans plusieurs pays. Phase II de la formation FAPEG en Décembre2003 au Bénin 38

39 Les guérisseurs à la quête du savoir, ici lors d une préparation à la formation FAPEG au Togo VI.2 - «Voies du Souvenir et de Connexion Spirituelle» L instinct et le génie ont toujours guidé les hommes à relever les défis de leur époque et à trouver les solutions aux différents problèmes individuels, collectifs et mondiaux qui mettent en cause et en péril l espèce humaine et le devenir de l humanité. VI.2.1 Voies du Souvenir L esclavage a été l activité la plus déshumanisante de la nature créatrice qui s inscrit de manière cuisante dans la mémoire et dans la conscience collective de l humanité. La traite des noirs a décimé la race, la richesse, la culture et la civilisation noire. Les conséquences sont évidentes dans le devenir de l Afrique, de la diaspora et du monde, et le besoin de se souvenir reste incontournable. L Europe est hantée par le «fantôme» de millions d âmes et le besoin de se souvenir y est tout aussi pressant. Le projet «Voies du Souvenir», initié par PROMETRA International vise à combler le fossé creusé par 500 ans de l histoire négro-africaine marquée entre autre par l esclavage. Il cherche à mettre un «pont» sur l Océan Atlantique et permettre la rencontre et des échanges entre sœurs et frères utérins. Le projet ambitionne de fermer les plaies inscrites dans la conscience collective des hommes et du monde afin de contribuer à ramener l harmonie entre les cœurs et les esprits. 39

40 VI.2.2 «Voies de Connexion Spirituelle» Les Hommes et le monde se sont écartés depuis plusieurs millénaires de leur en-soi, qui se manifeste aujourd hui plus que jamais comme un besoin universel d équilibre pressant. Les religions, un besoin pour contenir l agressivité innée des Hommes, n ont pas atteint leurs objectifs. Le monde est en quête, aujourd hui, de voies et moyens permettant de ramener l harmonie entre les corps physiques et les corps subtils que seule la spiritualité peut apporter. C est pourquoi le projet «les Voies de connexion spirituelle» a pour objectifs de : - mettre en place un collège de grands maîtres spirituels, - élaborer des documents relatifs aux moyens de communication avec la transcendance, - élaborer des prospectus et des films documentaires spécifiques, - mettre en place des structures d accueil, d hébergement, d information, de prise en charge à tous les points de vue au Bénin : pays d implantation du projet, - diffuser l information par tous les moyens disponibles et préparer les récipiendaires, quelle que soit la couleur de leur peau, à faire un pèlerinage spirituel profitable et bénéfique. LES VOIES DU SOUVENIR cherchent à : - identifier les sites historiques essentiels de la traite, les protéger autant que possible en tant que patrimoine universel, - faire une relecture de l histoire, - retracer l itinéraire de la traite des esclaves et mettre en place des structures d accueil locales, - mettre en place au niveau international des structures d information et de préparation des bénéficiaires de ces souvenirs, - mettre en application «les Voies du Souvenir» et permettre à nos frères et sœurs de l autre côté de l Atlantique de retrouver leurs racines, leur mère patrie, leurs familles à travers un rituel harmonieux et progressif. ETAPE ACTUELLE DES VOIES DU SOUVENIR Le projet débute au Bénin et va s étendre en Afrique et à la Diaspora. 40

41 Une porte de Retour est matérialisée à la plage de Djegbadji à Ouidah au Bénin. La colonne de la liberté 41

42 Monument d accueil de la mère patrie Musée de la porte de retour 42

43 VI.3 - Xoy : Rituel de voyance publique Les saltigi et guérisseurs du CEMETRA lors d une cérémonie de Xoy A l approche de l hivernage ou saison des pluies (mai-juin), les grands maîtres voyants seereer appelés saltigi, membres de Malango, font un xoy qui peut se définir comme une séance publique de voyance et de prédictions. Pendant 2 jours et une nuit, les saltigi informent l opinion publique nationale sur les grands événements de l année à venir. C est l occasion pour eux de décrire les péripéties de l hivernage, la qualité de la saison, l invasion ou non d insectes ou de criquets pèlerins, l abondance ou non de la récolte. Le xoy permet aussi d informer sur les évènements importants, tels que les conflits armés internes ou externes au Sénégal, la fréquence des accidents sur certaines voies spécifiques, les différentes épidémies éventuelles de l année. Pour chaque mauvais présage les saltigi prescrivent la conduite à tenir pour éviter la catastrophe ou le pire. Le conflit sénégalo-mauritanien a été prédit dans les détails par les saltigi seereer deux (2) ans avant. L accident du bateau «le diola» a été prédit le 2 juin 2002, c est-à-dire quatre (04) mois plus tôt. 43

44 VI.4 Les protections des droits de propriété intellectuelle des savoirs traditionnels Les politiques de développement en Afrique ont toujours ignoré la dimension des connaissances scientifiques traditionnelles. Dans ce monde en pleine mutation, il est d actualité de valoriser et de protéger les savoirs traditionnels, les ressources génétiques et le folklore. Ces domaines regorgent de richesses nombreuses et variées dans le tiers monde et méritent d être protégés si nous voulons un avenir pour l Afrique. C est dans ce cadre, et convaincu que les valeurs traditionnelles ont un rôle essentiel dans le développement que l Organisation Internationale pour la Promotion des Médecines Traditionnelles : PROMETRA œuvre depuis plus de 3 décennies, pour valoriser les connaissances traditionnelles, le savoir des guérisseurs, le message des religions anciennes, la spiritualité universelle et les médecines traditionnelles. Pour rendre plus efficace au niveau international, l action de PROMETRA dans la valorisation et la protection des savoirs traditionnels, notre organisation a mené plusieurs activités : PROMETRA est expert et consultant au niveau de l Organisation Africaine pour la Propriété Intellectuelle OAPI dont le siège est à Yaoundé au Cameroun. PROMETRA International est retenue par l Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle OMPI, comme structure devant siéger au niveau des conseils intergouvernementaux de cette instance, dans le cadre des différentes rencontres qui doivent aboutir à la mise en place d un cadre juridique d application planétaire, pour la protection des savoirs traditionnels, des ressources génétiques et du folklore. Au niveau de ces différentes structures internationales de protection intellectuelle, il n existe encore aucun cadre permettant de protéger ces domaines importants relatifs aux savoirs traditionnels qui devra permettre d impulser le développement de l Afrique et du Tiers Monde, si l Afrique ne se laisse pas pirater ou distraire. C est la raison pour laquelle PROMETRA International, par la plume de son président, le Docteur Erick V.A GBODOSSOU a publié un livre bilingue français/ anglais, intitulé : «Protection des Droits de Propriété Intellectuelle : Guide Pratique», œuvre publiée par les éditions METRAF en Juillet PROMETRA est invité à participer à toutes les rencontres internationales relatives à ce domaine spécifique de protection des droits liés aux savoirs traditionnels, aux ressources génétiques et au folklore. Cette présence active permet à PROMETRA de défendre les intérêts du Tiers Monde et des détenteurs de ces savoirs. 44

45 45

46 VI.5 Réhabilitation de la biodiversité et culture de plantes médicinales VI.5.1 Au CEMETRA CEMETRA s étend sur 60 hectares. Depuis sa création PROMETRA assure chaque année, en début d hivernage (saison des pluies), le reboisement de à plantes dont la plupart sont des plantes médicinales. L affluence grandissante des patients impose aux guérisseurs d aller souvent très loin chercher des plantes médicinales. Rappelons-le, CEMETRA est implanté au Sahel et de surcroît, au bord d un bras de mer (le Sine), où la terre, saumâtre, est peu favorable à la croissance de plusieurs espèces de plantes. C est la raison pour laquelle PROMETRA a fait des études appropriées pour trouver une terre arable abritant une nappe souterraine d eau douce. Ces études nous ont conduit à Diakhao, un village situé à 22 km de Fatick. 46

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