Alliance pour une Gestion Intégrée et Responsable du bassin versant de la rivière du Diable. Diagnostic du bassin versant de la rivière du Diable

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1 AGIR pour la Diable Alliance pour une Gestion Intégrée et Responsable du bassin versant de la rivière du Diable Diagnostic du bassin versant de la rivière du Diable Enjeu no 4 : «Assurer une mise en valeur durable du potentiel récréatif de l eau» Document adopté par le Conseil de concertation en date du 1 er juin 2007 La santé de nos cours d eau, Une question d avenir!

2 Plan du document i. Membres du comité technique... 3 ii. Rappel de l enjeu No iii. Rappel de la démarche et des objectifs de la première rencontre du comité technique... Error! Bookmark not defined. iv. Liste des principales sources d informations passées en revue pour la réalisation de ce document Mise en contexte..5 Le bassin versant de la rivière du Diable...5 Le récréotourisme...6 Vers une mise en valeur durable du potentiel récréotouristique des lacs et des cours d eau? Portrait des activités récréotouristiques liées à l eau.9 La baignade...9 Le canot et le kayak...9 La voile Les embarcations motorisées Les croisières Les hydravions La pêche La villégiature riveraine Camping et camps de vacances Le secteur du parc du Mont-Tremblant Les retombées sociales et économiques du récréotourisme Diagnostic : orientations et objectifs Limiter les impacts environnementaux associés aux activités récréatives sur les lacs et les cours d eau Harmoniser les différents usages récréatifs des lacs et des cours d eau Dans une perspective de développement durable, consolider la mise en valeur récréative des lacs et des cours d eau du bassin versant Tableau 1 : Orientations et objectifs soulevés pour l'enjeu Annexe 1 25 Carte des aménagements relatifs à la pêche à la mouche sur la rivière du Diable Annexe 2 26 Localisation des itinéraires potentiels de canot et de kayak sur la rivière du Diable AGIR pour la Diable / Diagnostic pour l enjeu no 4 / document de travail 2

3 i. Membres du comité technique Mme Yolanta Bertram, Préservation Lac-Tremblant-Nord Mme Josée Bousquet, directrice générale, Tourisme Mont-Tremblant Mme Nadine Forest, Commissaire au développement touristique, Centre local de développement (CLD) des Laurentides M. Serge Léonard, Service de l environnement, Ville de Mont-Tremblant Mme Géraldine Wilson, conseillère municipale, Lac-Supérieur Mme Sandrine Desaulniers, chargée de projet, AGIR pour la Diable M. Francis Barbe, directeur, AGIR pour la Diable ii. Rappel de l enjeu No 4 ASSURER UNE MISE EN VALEUR DURABLE DU POTENTIEL RÉCRÉATIF DE L EAU. iii. Rappel de la démarche et objectifs de la rencontre du 1 er juin Le travail des comités techniques et sa validation auprès des membres du Conseil de concertation d AGIR pour la Diable s inscrivent dans la démarche amorcée vers l adoption d un Plan directeur de l eau (PDE) pour le bassin versant de la rivière du Diable. Rappelons que la première étape de cette démarche est d établir une vision consensuelle quant aux enjeux, aux orientations et aux objectifs jugés prioritaires afin d assurer une gestion durable de l eau à l échelle de ce territoire. Cette première étape revêt une importance particulière puisqu elle devra fournir des bases solides pour le développement et l adoption ultérieurs d un plan d action pour le bassin versant, lequel fera appel à la participation volontaire de chacune des parties. Quatre enjeux de départ ont été retenus par le Conseil de concertation. Ceux-ci représentent les défis fondamentaux devant être relevés à l échelle du bassin versant en matière de gestion de l eau : Enjeu 1 : Assurer le maintien de la qualité de l eau de façon à satisfaire l ensemble des besoins sociaux, économiques et écologiques ; Enjeu 2 : Assurer le maintien de la disponibilité de l eau de façon à satisfaire l ensemble des besoins sociaux, économiques et écologiques ; Enjeu 3 : Préserver les écosystèmes aquatiques, humides et riverains ; Enjeu 4 : Assurer une mise en valeur durable du potentiel récréatif de l eau. Des comités techniques réunissant des représentants de l expertise locale ont été formés afin d aborder chacun de ces enjeux. Ceux-ci ont eu pour premier mandat de préparer une proposition d orientations et d objectifs pour le bassin versant, laquelle fut ensuite déposée pour validation auprès du Conseil de concertation. AGIR pour la Diable / Diagnostic pour l enjeu no 4 / document de travail 3

4 iv. Liste des principales sources d informations passées en revue pour la réalisation de ce document BIOFILIA (2004). Programme d évaluation et de surveillance des lacs. Rapport de synthèse. Ville de Mont-Tremblant.26p. BOUCHARD, R. (2001). Power boating : Pollution our lakes?, Lake Line, vol. 20, no 4, p CANTIN, SOUCY ET OUIMET (2007). Étude environnementale sur le potentiel récréatif et touristique de l eau pour le bassin versant de la rivière du Diable. 67p. CENTRE D INFORMATION STRATÉGIQUE EN TOURISME (CIST) des Laurentides (2004). Portrait des activités récréotouristiques sur les territoires publics dans les Hautes-Laurentides. 30p. CLD DES LAURENTIDES (2002). Portrait de la zone Mont-Tremblant. Cahier d information socioéconomique. 8p. CENTRE LOCAL DE DÉVELOPPEMENT DES LAURENTIDES (2004). Profil touristique, MRC des Laurentides. 37p. COMITÉ DE TRAVAIL SUR L INDUSTRIE TOURISTIQUE DE MONT-TREMBLANT (CTIT) (2006). Mont- Tremblant et l industrie touristique, Une industrie en constante évolution. 28p. DEL DEGAN, MASSÉ & ASSOCIÉS INC (juin 2003). Plan directeur en environnement de la Ville de Mont-Tremblant. Tomes 1 et 2. ECOTEC CONSULTANTS (2004). Retombées économiques de l industrie forestière et de l industrie du récréotourisme en terres publiques dans les MRC d Antoine-Labelle et des Laurentides. 118p. GENIVAR (2005). Profil socioéconomique et caractéristique du marché du travail, MRC des Laurentides, 104 pages. GOHIER MARKETING (2006). Étude sur les villégiateurs de la MRC des Laurentides. 117p. HOLDEN, Andrew (2000). Environment and Tourism. 224 pages LAPALME, ROBERT (2006). Protéger et restaurer les lacs. Bertrand Dumont éditeur, 192 p. LÉVESQUE, STÉPHAN (1997). Impacts environnementaux des embarcations motorisées de plaisance sur les écosystèmes aquatiques, Essai (M. Env), Université de Sherbrooke, 91 p. MOSISCH, TD (1998). The impacts of power boating and water skiing on lakes and reservoirs, Lakes & Reservoirs: Research and Management, vol. 3, no 1, p MRC DES LAURENTIDES (2000). Schéma d aménagement révisé. SOCIÉTÉ DE LA FAUNE ET DES PARCS DU QUÉBEC (FAPAQ) (2002). Plan de développement régional associé aux ressources fauniques des Laurentides. Direction de l aménagement de la faune des Laurentides, 108 pages. SWARBROOKE, J. (1999). Sustainable Tourism Management. 371 pages. Tourisme Mont-Tremblant (2007). Plan stratégique de développement de l économie touristique de Mont-Tremblant p. TOURISME QUÉBEC (2000). Guide de mise en valeur des plans d eau du Québec à des fins récréotouristiques et de conservation du patrimoine. 81p. Plusieurs communications personnelles citées au cours du texte. AGIR pour la Diable / Diagnostic pour l enjeu no 4 / document de travail 4

5 Introduction Ce document synthèse vise à présenter un portrait et diagnostic sommaire de la mise en valeur actuelle du potentiel récréatif de l eau à l échelle du bassin versant de la rivière du Diable. Après une brève mise en contexte, les principales activités récréatives pratiquées sur les lacs et cours d eau du territoire, ainsi que leurs retombées économiques et sociales, seront rapidement décrites. Un diagnostic permettra ensuite d inventorier les principales préoccupations soulevées à partir des études existantes et de discussions avec plusieurs intervenants. Ces préoccupations serviront de base à la formulation d orientations et d objectifs proposés pour le bassin versant. 1. Mise en contexte Le bassin versant de la rivière du Diable D une superficie de km 2, le bassin versant de la rivière du Diable est couvert par 8 municipalités, principalement la Ville de Mont-Tremblant, Lac- Supérieur, Val-des-Lacs et Saint-Faustin-Lac-Carré. Tandis que la partie nordique du bassin est comprise dans le parc national du Mont-Tremblant, la portion habitée au sud est sous la tutelle régionale de la MRC des Laurentides. Au sud du parc de récréation et de conservation, la portion habitée du territoire se divise entre, d une part, une zone concentrant des activités urbaines, récréotouristiques et de villégiature et d autre part, une zone agricole. Principal cours d eau, la rivière du Diable y coule sur une centaine de kilomètres entre sa source dans le lac du Diable et son embouchure dans la rivière Rouge, en aval de Brébeuf. Les paysages du bassin, formés de collines boisées entourées de nombreux lacs et cours d eau, favorisent grandement les activités de plein air et de villégiature. En plus d être un milieu de vie pour une faune et une flore diversifiées, la rivière du Diable sert à l alimentation en eau potable pour Mont-Tremblant centre ville, à l irrigation de six terrains de golf riverains, à la production de neige artificielle et à la dilution des rejets de quatre stations d épuration des eaux usées. Une ressource irremplaçable pour la région, la rivière du Diable ainsi que ses principaux tributaires, les rivières Archambault, Le Boulé et Cachée, sont les hôtes de plusieurs activités récréotouristiques, dont la baignade, le canot, le kayak et la pêche sportive. Des attraits majeurs de la région, les lacs du bassin servent exclusivement aux activités récréotouristiques et à la villégiature. Avec une population totale de plus de personnes dont plus de la moitié sont des villégiateurs propriétaires, le bassin versant de la Diable accueille annuellement plus de trois millions de touristes, provenant principalement du Québec, de l Ontario et des États-Unis. Tout comme la région des Laurentides, la population du bassin connaît une croissance exceptionnelle depuis près de 10 ans ; cette tendance devrait se maintenir au cours des vingt prochaines années. AGIR pour la Diable / Diagnostic pour l enjeu no 4 / document de travail 5

6 En effet, entre 1996 et 2001, le taux de croissance de la zone de Mont- Tremblant a été de 15 % comparativement à 1,4 % pour l ensemble du Québec et l Institut de la Statistique du Québec estime que la population de la MRC des Laurentides aura augmenté de 32 % en 2026 (GENIVAR, 2005). L économie de la région est axée sur les activités de commerce et de services (82 % des personnes en emploi de la MRC des Laurentides). L importance du secteur tertiaire, particulièrement en ce qui concerne les domaines de commerce de gros et de détail, d hébergement et de restauration, est due à l exploitation des activités récréotouristiques (GENIVAR, 2005) qui représentent 50 % de l économie locale de façon directe ou indirecte (CLD des Laurentides, 2004). En effet, depuis près de 100 ans, la qualité et la diversité des plans et cours d eau associées au relief montagneux dominé par le massif du Mont- Tremblant, font du bassin versant de la rivière du Diable une destination internationale de villégiature et de récréotourisme. Le récréotourisme Selon le Centre d information stratégique en tourisme des Laurentides (CIST Laurentides, 2004), le récréotourisme est «l ensemble formé par les secteurs économiques de la récréation, c est-à-dire du loisir et du tourisme»; il s applique donc autant à la population résidante qu aux villégiateurs et aux touristes. Au Québec, la région des Laurentides se classe au premier rang pour ce qui est des activités récréotouristiques et de plein air. Ces activités récréatives sont principalement basées sur les ressources naturelles de la région (montagnes, lacs et cours d eau, forêt, paysage). D ailleurs, deux-tiers des villégiateurs possèdent une résidence secondaire dans le bassin de la Diable pour profiter de la nature et de la qualité de l air et de l eau (Gohier, 2006). Principal moteur économique, le secteur récréotouristique, englobant l hébergement et la restauration, y représente un emploi sur deux (soit environ emplois) et 23 % des entreprises. Ce secteur est également fortement créateur d'emplois avec une croissance de 300 % entre 1991 et Le développement majeur de Station Mont Tremblant explique cette croissance exceptionnelle (CLD des Laurentides, 2002 et 2004). Quoique le secteur de Mont-Tremblant Station concentre les activités et les infrastructures touristiques d importance, le secteur habité du bassin est parsemé de réseaux récréatifs, de pourvoyeurs d activités récréatives et d établissements d hébergement, principalement riverains. Au total, c est 85 % du bassin versant de la rivière du Diable qui est aménagé et préservé pour favoriser un usage récréotouristique du territoire. Il est évident que la rivière du Diable, tout comme ses principaux affluents, ainsi que tous les plans d eau du bassin de la Diable, constituent un atout important pour inciter la pratique des activités récréatives nautiques et même AGIR pour la Diable / Diagnostic pour l enjeu no 4 / document de travail 6

7 terrestres, tel que le cyclisme et la randonnée pédestre. Le bassin versant du lac Tremblant et la vallée de la rivière du Diable, où se mélangent versants boisés et activités récréatives, constituent, pour leur part, des paysages identitaires de la région (Del Degan, 2003). Les paysages de types aquatique (chutes, lacs, rivières), forestier et agro-forestier (paysages montagneux, vallées) ont d importantes valeurs économiques, écologiques et sociales (FAPAQ, 2002). Depuis quelques années, le secteur du tourisme a grandement contribué au développement socioéconomique de la région, devenant même une activité dominante (GENIVAR, 2005). Cependant, depuis 2003, certains acteurs de l économie de la région notent un ralentissement du tourisme dû, entre autres, à la remontée du dollar canadien et à certains évènements internationaux. Ainsi, le taux d occupation des hôtels serait à la baisse, entraînant des pertes de revenu considérables pour la région (CTIT Mont-Tremblant, 2006). Comme le témoigne notamment la création récente du Comité de travail sur l industrie touristique (CTIT) et le nouveau Plan d action de Tourisme Mont- Tremblant, cette situation suscite une importante réflexion dans la région quant à la manière de relancer le tourisme et de consolider la position de la région de Mont-Tremblant en tant que destination internationale. La nécessité d accroître et de diversifier l offre récréotouristique, tout en renforçant l image de la région, ressort parmi les principales recommandations avancées par ces deux organismes. Vers une mise en valeur durable du potentiel récréotouristique des lacs et des cours d eau? Le «tourisme durable» s inspire directement du rapport de la commission onusienne Brundtland sur le développement durable (Notre avenir à tous, 1987). Alors que le concept de développement durable est généralement considéré comme la réconciliation des sphères environnementales, sociales et économiques, le concept de tourisme durable tente quant à lui de réaliser cette équation dans le domaine des activités touristiques. Il existe plusieurs définitions pour ce concept, mais on peut généralement considérer que le tourisme durable : «est une forme de tourisme qui comble aujourd hui les besoins des touristes, de l industrie touristique et des communautés hôtes sans compromettre la capacité des générations futures de combler leurs propres besoins. Cette forme de tourisme, viable économiquement, est respectueuse des ressources qui seront nécessaires dans le futur, notamment les ressources naturelles et le tissu social des communautés hôtes.» (Swarbrooke, 1999). AGIR pour la Diable / Diagnostic pour l enjeu no 4 / document de travail 7

8 On retrouve aussi une façon de définir le tourisme durable dans les lignes directrices suivantes (Holden, 2000): L environnement possède une valeur intrinsèque qui dépasse sa simple valeur touristique. Les considérations à court terme ne doivent pas empêcher les générations futures d en profiter, ni menacer sa survie à long terme. Le tourisme doit être reconnu comme un facteur positif ayant le potentiel d engendrer des bénéfices tout autant pour la communauté locale que pour le visiteur. La relation entre le tourisme et l environnement doit être gérée en regard de la durabilité de l environnement à long terme. Le tourisme ne doit pas avoir d impacts dommageables sur les ressources naturelles. Les activités touristiques et le développement doivent respecter l échelle, la nature et les caractéristiques propres à l endroit où elles sont situées. Pour chaque endroit, une relation harmonieuse doit être recherchée entre les besoins des visiteurs, le lieu et la communauté hôte. Le Québec s est lui-même donné des outils afin d orienter ses actions en matière de tourisme, et ce, particulièrement pour les activités récréatives liées à l eau. En effet, un guide a été développé par Tourisme Québec (2000) pour établir des lignes directrices concernant la mise en valeur des plans d eau. Il s agit du Guide de mise en valeur des plans d eau du Québec à des fins récréotouristiques et de conservation du patrimoine. Ce guide aborde la mise en valeur des plans d eau sur des aspects très similaires au tourisme durable. En effet, celui-ci stipule que les grands principes suivants doivent être respectés afin d être en présence d une mise en valeur durable des plans d eau : 1 er principe : L accessibilité du public aux plans d eau doit être conditionnelle au maintien de la qualité de l eau, à la préservation des milieux sensibles, à la protection de la quiétude des riverains et à celle des paysages qui leur assurent un cadre de vie culturellement significatif. 2 ème principe : Les citoyens, organisations, corporations et institutions publiques partagent la responsabilité de reconnaître, de mettre en valeur et de protéger la ressource aquatique, les écosystèmes et le paysage. La planification doit donc intégrer leur contribution selon des méthodes les rendant aptes à influencer l orientation même de la mise en valeur. AGIR pour la Diable / Diagnostic pour l enjeu no 4 / document de travail 8

9 3 ème principe : L usage que l on veut faire d un plan d eau doit être envisagé dans une perspective à long terme, en préservant les divers éléments qui y sont présents et en respectant les besoins des générations actuelles et futures. 4 ème principe : Les interventions sur le plan d eau doivent viser à préserver, à rétablir ou à améliorer la santé des écosystèmes. Le bassin versant d un plan d eau constitue l unité naturelle la plus appropriée pour la gestion intégrée de ses usages. 2. Portrait des activités récréotouristiques liées à l eau Cette section présente un bref survol des différentes activités récréotouristiques liées à l eau pratiquées dans le bassin versant de la rivière du Diable, soit la baignade, le canot et le kayak, la voile, la navigation motorisée, les hydravions, la pêche, la villégiature riveraine et le camping. Le portrait de la pratique de ces activités dans le parc national du Mont-Tremblant et une estimation des retombées économiques et sociales du récréotourisme sont également abordées. Davantage d informations sur les activités récréotouristiques liées à l eau pourront être consultées dans la section du Portrait du bassin versant réservée à ce sujet. La baignade La baignade, pratiquée par 83 % des villégiateurs, est une activité très populaire dans la région de Mt-Tremblant (Gohier, 2006). À titre d exemple, durant la saison estivale, plus de 200 personnes par jour fréquentent la plage municipale du Lac Carré (Daniel Arbour et Ass., 2002). À part les sections situées immédiatement en aval des stations d épuration, la qualité de la rivière du Diable est jugée «bonne» pour les activités récréatives (AGIR pour la Diable, 2006). La qualité bactériologique des eaux de baignade est «excellente» pour la majorité des 20 plages participantes au Programme Environnement-Plage du MDDEP. Entre 2005 et 2006, on note toutefois une dégradation de la qualité des eaux pour deux plages des lacs Tremblant et aux Quenouilles (MDDEP, 2005 et 2006). Basé sur la qualité bactériologique de l eau, le Programme Environnement-Plage du MDDEP évalue la qualité des eaux de baignade des plages dites publiques qui en font la demande. Soulignons que les exploitants sont responsables de la qualité de l eau de baignade des plages qu ils gèrent. Le canot et le kayak Première rivière aménagée pour le canot-camping au Québec, la rivière du Diable, canotable sur tout son parcours, comporte des attraits pour les pagayeurs de niveaux débutant à expert. Fréquentée depuis les années 1960, la AGIR pour la Diable / Diagnostic pour l enjeu no 4 / document de travail 9

10 section la plus populaire, dans le parc du Mont-Tremblant, est parcourue par plus de personnes par année, dont la plupart réside à l extérieur du bassin versant de la Diable. Dans le parc, personnes au total pratiquent le canot ou le canot-camping sur la rivière du Diable et les principaux lacs de tête du bassin (Soucy, 2007). À la sortie du parc, après une section calme, la rivière comporte deux sections réservées aux experts. La première, débutant après la chute du canyon de la Diable, est généralement connue sous le nom du Toboggan, tandis que la seconde, débutant à la confluence de la rivière Le Boulé, est désignée Les rapides à Millette. Elles sont fréquentées par quelques centaines de pagayeurs par saison, principalement en eaux hautes, au printemps et à l automne. Les trente derniers kilomètres, plus calmes, sont praticables par des canoteurs moins expérimentés. Toutefois, ils sont actuellement peu mis en valeur. Deux propositions d itinéraires à mettre en valeur dans cette section sont présentés à l annexe 2. Généralement praticables en crue, les autres rivières du bassin (Le Boulé, Archambault et Cachée) sont peu fréquentées et réservées aux experts (FQCK, 1999). La location de canots se fait principalement dans le parc national du Mont- Tremblant. En plus de louer des canots, l entreprise Aventure Sans Fin, basée à Saint-Faustin-Lac-Carré, offre des cours et des descentes guidées en canot. Pour leur part, la plupart des camps de vacances détiennent une flotte d embarcations pour leur clientèle. Plusieurs riverains et jusqu à 42 % des villégiateurs possèdent également ces types d embarcations (Gohier, 2006). Tous les lacs se prêtent à cette activité. La voile Seuls les grands lacs, tel les lacs Tremblant, Maskinongé, aux Quenouilles, Supérieur Caché et Ouimet, de part leur superficie, offrent un potentiel pour la pratique de la voile. Le Centre nautique Pierre Plouffe sur le lac Tremblant effectue la location de plusieurs types d embarcations et offre des cours de voile. Plusieurs hôtels, centres et camps de vacances sur les lacs Maskinongé, aux Quenouilles et Ouimet possèdent des dériveurs et des planches à voile. Quoiqu aucune donnée n existe sur la pratique de ce sport de plaisance dans la région, il est à noter que 10 % des villégiateurs du secteur de Mt-Tremblant possèdent un bateau à voile (Gohier, 2006). Les embarcations motorisées Mis à part quelques lacs où leur accès est interdit, on retrouve des embarcations motorisées de tout genre sur la plupart des grands lacs du bassin versant. Les embarcations motorisées servent pour la plaisance, le ski nautique, le wakeboard et la pêche. Au moins 16 % des villégiateurs du bassin versant possèdent un bateau à moteur et jusqu à 42 % sont propriétaires d une chaloupe (Gohier, 2006). Des embarcations peuvent être louées au lac AGIR pour la Diable / Diagnostic pour l enjeu no 4 / document de travail 10

11 Tremblant au Centre nautique Pierre Plouffe et à l Hôtel du Lac (Tourisme Laurentides, 2007). Découlant de la demande des riverains, les embarcations motorisées sont interdites sur les lacs Ouimet, Gélinas, Desmarais, Forget, Dufour, Fortier à Mont-Tremblant et le lacs Carré à Saint-Faustin-Lac-Carré. Depuis 2005, en raison de problèmes avec le myriophylle à épis, ce type d embarcation est désormais interdit sur le lac Supérieur (Wilson, 2007). Des ententes réalisées entre les associations de lac et les résidants permettent également de déterminer la puissance des moteurs ainsi que les vitesses à respecter sur les lacs Tremblant, Durocher, à l île, Gagnon (bateaux à moteur électrique seulement) et le petit lac Orignal (Transport Canada, 2007). Sur les lacs ayant une superficie plus importante tel que les lacs aux Quenouilles et Maskinongé, il n'y a généralement pas de restriction (Julien, 2007). Pour sa part, l utilisation de motomarines est très peu répandue dans le bassin versant. Les municipalités gèrent l accès public aux plans d eau. Outre celles sur les lacs du parc national du Mont-Tremblant (lacs Savane, Rossi, Escalier, Monroe, Chat, etc.), des rampes de mises à l eau payantes sont en place sur les lacs Tremblant, Mercier et Joly. Les croisières Un bateau de croisière d une capacité de 80 passagers, effectue plusieurs tours sur le lac Tremblant en période estivale. Les croisières, d une durée de 70 minutes, permettent de voguer sur le lac Tremblant tout en découvrant l histoire de la région (Les croisières Mont-Tremblant, 2006). Les hydravions Depuis 2006, la compagnie d aviation Delco a établi sa base d hydravions au lac Tremblant, y effectuant plusieurs départs et arrivées par jour en période estivale (Julien, 2007). Il est à noter que les lacs Duhamel, Maskinongé, Mercier et Supérieur sont également utilisés par des hydravions privés ou commerciaux (Del Degan, 2003). La pêche Les pêches à la ligne et à la mouche sont des activités très populaires dans les Laurentides. La pêche est praticable sur l ensemble du bassin versant de la rivière du Diable, à l exception des zones de préservation du parc du Mont- Tremblant représentant 15 % du bassin de la Diable (175 km 2 ), dont le sanctuaire de pêche de la rivière Cachée (au nord du lac Tremblant). En 2005, dans les lacs du parc situés dans le bassin versant de la Diable, il y a eu prises de poissons par pêcheurs (Vermette, 2006). À l extérieur du parc du Mont-Tremblant, en l absence de contrôle sur l accès aux plans et cours d eau ainsi que sur l enregistrement des prises, on ne dispose d aucune statistique précise sur la pêche, la quantité de pêcheurs et leur répartition. Toutefois, selon une étude réalisée auprès de villégiateurs, jusqu à 28 % de AGIR pour la Diable / Diagnostic pour l enjeu no 4 / document de travail 11

12 ceux-ci pratiquent la pêche (Gohier, 2006). Pour sa part, l Association de chasse et de pêche de Mont-Tremblant organise chaque année un tournoi de pêche au lac Tremblant, attirant de 200 à 500 participants (Del Degan, 2003). Tous les lacs et rivières du bassin versant étant assujettis à la Loi sur la conservation et la mise en valeur de la faune, des limites de prises et des périodes désignées sont déterminées pour les trois zones définies au Plan de développement régional associé aux ressources fauniques des Laurentides (FAPAQ, 2002). De plus, comme sur tout le territoire, un permis de pêche québécois est obligatoire pour la pratique de la pêche. Par contre, dans le parc national du Mont-tremblant, étant donné qu il n y a aucun ensemencement des lacs et cours d eau, les quotas journaliers sont moins élevés qu en territoire non protégé. Lorsqu un lac a atteint son quota saisonnier, il est fermé à la pêche. De plus, l enregistrement obligatoire des prises dans le parc permet de s assurer que la pression de pêche respecte la capacité de support des lacs (Langlois, 2006). Les principales espèces sportives sont l omble de fontaine, le grand brochet, la truite brune et le touladi. Les espèces ensemencées sont principalement l omble de fontaine, la truite arc-en-ciel et le touladi (truite grise). L ensemencement régulier en salmonidés est essentiel au maintien de la pêche étant donné que les populations ne trouvent pas les conditions nécessaires pour se maintenir naturellement en nombre suffisant pour suffire à la demande (Nadon, 2007). En dehors du parc du Mont-Tremblant, les lacs et rivières du bassin versant sont donc régulièrement ensemencés; depuis la fin des années 1920 pour le lac Tremblant et depuis les années 1950 pour la rivière du Diable (MRNF). Le Club des Moucheurs Endiablés (CME) ensemence annuellement plus de truites matures (brunes et mouchetées) dans la rivière du Diable (entre les confluences des rivières Le Boulé et Cachée) afin de mettre en valeur le potentiel de pêche sportive qu offre cette rivière (CME, 2007). De part son potentiel exceptionnel lié à son site, la pêche à la mouche connaît un fort développement le long de la rivière du Diable depuis une dizaine d années (FAPAQ, 2002). Entre l embouchure de la rivière Le Boulé et la rivière Cachée, la rivière du Diable compte le plus long secteur de pêche à la mouche au Québec (3 km), réservé exclusivement à ce type de pêche depuis Depuis 1998, la mise en valeur du potentiel de pêche à la mouche de la rivière via divers projets d aménagements (sentiers pédestres, stationnements, 10 accès à la rivière, signalisation, publicité, ensemencements) est en grande partie attribuable au Club des Moucheurs Endiablés (CME). Selon le CME, à chaque saison, environ 200 à 300 personnes pêchent dans la Diable à titre individuel et de 300 à 400 pêchent dans le cadre d activités organisées. Une carte des aménagements relatifs à la pêche à la mouche est présentée à l annexe 1. AGIR pour la Diable / Diagnostic pour l enjeu no 4 / document de travail 12

13 Le lac Tremblant, suite aux ensemencements effectués depuis les 1920, offre un potentiel de pêche exceptionnel qui attire des pêcheurs du bassin versant, de Montréal et d ailleurs. On y retrouve entre autres, la ouananiche, le maskinongé, l éperlan arc-en-ciel et le touladi. Le lac Supérieur recèle également un potentiel de pêche pour la truite brune, mis en valeur par Les Sportifs du lac. La villégiature riveraine Avec un taux moyen de villégiature de 50 %, la population saisonnière estimée à villégiateurs excède légèrement la population permanente. Quoique leurs comportements soient très variables, les villégiateurs séjournent en moyenne une trentaine de fins de semaine par année dans leurs résidences secondaires. En moyenne, ceux-ci comptent s établir de façon permanente d ici 8 ans. La motivation pour s installer dans le secteur est à 50 % pour profiter de la nature et de la qualité de l eau et de l air et à 42 % pour pratiquer un sport (Gohier, 2006). Dans le bassin versant de la Diable, 75 % des résidences secondaires de villégiature sont riveraines. En effet, 48 % des habitations de villégiature bordent un plan d eau et 26 % y détiennent un accès. Principalement de type «unifamilial», plus de 90 % sont habitables à l année (Gohier, 2006). Les villégiateurs se concentrent donc autour des principaux plans d eau (les lacs Tremblant, Mercier, Gélinas, Duhamel, Maskinongé, Ouimet, Gauthier, Supérieur, à l Orignal, aux Quenouilles, Gagnon, etc.). Il est à noter d ailleurs que 15 % des villégiateurs pourraient se départir de leur résidence secondaire à cause de la mauvaise qualité de l eau, 28 % à cause du développement trop agressif et 16 % en raison de trop de circulation (Gohier, 2006). Camping et camps de vacances Les accommodations d hébergement du parc national du Mont-Tremblant dans le bassin de la Diable se résument à 39 terrains de campings aménagés avec services (eau courante, fosses septiques), 232 terrains de camping aménagés sans services (installations sanitaires et poste de vidange pour caravanes), 416 terrains de campings rustiques (toilettes sèches) et 5 terrains de camping de groupe (toilettes sèches), 2 chalets (eau courante, fosses septiques) et 9 refuges (toilettes sèches). À l extérieur du parc du Mont-tremblant, on retrouve un camping en bordure de la rivière du Diable, dans la ville de Mont-Tremblant. Le Camping de la Diable offrent 325 sites dont plusieurs sont situés directement sur les bandes riveraines du cours d eau. La clientèle y est majoritairement québécoise avec une plus faible proportion provenant de l Ontario (environ 15%) et de l extérieur du Canada (environ 5%) (Leduc, 2007). On retrouve deux autres sites de camping riverains, le Camping Boréal et Le camping Desjardins, tous deux offrant une centaine d emplacements. En 2006, leur taux d occupation oscille AGIR pour la Diable / Diagnostic pour l enjeu no 4 / document de travail 13

14 autour de 50 %. La clientèle est principalement saisonnière (Tourisme Québec, 2007). De plus, on compte cinq importants camps de vacances accueillant principalement une clientèle jeune. Le camp Quatre-Saisons est riverain du lac Caché (La Macaza), La Base de plein air Mont-Tremblant (140 unités) est riveraine du lac Maskinongé, le Camp Kinneret Bilium (238 unités), riverain du lac Mercier et pour leur part, la Base de plein air Le P tit Bonheur (238 unités) et le Camp Maromac (382 unités) sont tous deux riverains du Lac aux Quenouilles. Le secteur du parc du Mont-Tremblant Depuis 1991, le parc national du Mont-Tremblant a une double mission de conservation du territoire et d accès public au milieu naturel par le biais d infrastructures et d activités récréatives. Seuls la randonnée pédestre, le ski de fond, la raquette, le vélo de montagne, le canot-camping et la pêche (motorisée) sont permis. Avec près de visiteurs par année (dont en hiver), le secteur de la Diable accueille 69% de l achalandage du parc du Mont-Tremblant (Soucy, 2006). La clientèle fréquentant le parc national du Mont-Tremblant provient principalement de la ville de Montréal. En moyenne, la durée de séjour au parc est de 5,2 nuits. Pour la période 2005 à 2006, il y a eu jours-visites. Les activités les plus pratiquées sont la randonnée pédestre (pratiquée par 75% des visiteurs), la baignade (37%) et le canot (25%) (Parcs Québec, 2006). Les retombées sociales et économiques du récréotourisme Le récréotourisme se révèle être l une des plus importantes industries de la MRC des Laurentides. En 2002, les touristes (visiteurs ayant parcourus 80 km ou plus avec ou sans nuitée) y ont dépensé la somme de $ (CIST- Laurentides, 2002; Eco-Tec Consultants, 2004). En 2000, la pêche a représenté environ 30 % des dépenses reliées aux activités récréotouristiques ( $) tandis que les autres activités de plein air, comprenant, entre autres, le canot, le kayak, le vélo de randonnée et la plaisance motorisée, représentent 41 % de ces mêmes dépenses ( $) (Eco-Tec Consultants, 2004). Le domaine récréotouristique favorise aussi la création d emplois. Sur les terres publiques de la MRC des Laurentides, personnes-année d emplois sont créés à chaque année par le secteur récréotouristique, ce qui représente 47 % des emplois engendrés par ce domaine d activités pour l ensemble du Québec (Eco-Tec Consultants, 2004). En somme, le récréotourisme revêt une importance socioéconomique de premier plan pour le bassin versant de la rivière du Diable. Autant par leur qualité, leur diversité et leur accessibilité, les ressources en eau du territoire se retrouvent au cœur de ces activités. AGIR pour la Diable / Diagnostic pour l enjeu no 4 / document de travail 14

15 3. Diagnostic : orientations et objectifs À la lumière des études disponibles et des communications personnelles avec les intervenants du secteur récréotouristique, 11 objectifs à atteindre se dégagent pour l enjeu 4. Ceux-ci ont été regroupés parmi l une ou l autre des trois grandes orientations (ou principaux défis) suivantes : 1. Limiter les impacts environnementaux associés aux activités récréatives sur les lacs et les cours d eau ; 2. Harmoniser les différents usages récréatifs des lacs et des cours d eau; 3. Dans une perspective de développement durable, consolider la mise en valeur récréative des lacs et des cours d eau du bassin versant. 1. Limiter les impacts environnementaux associés aux activités récréatives sur les lacs et les cours d eau Objectif No 1 : Limiter la prolifération de plantes envahissantes due à la circulation nautique. a. Le myriophylle à épis, une plante aquatique exotique et envahissante, affecte plusieurs lacs du bassin versant, dont les lacs Duhamel, Ouimet, Mercier, Supérieur et Carré (Biofilia, 2004 et Wilson, 2007). b. La circulation des embarcations nautiques et leur passage d un lac à l autre sont d importants vecteurs de prolifération des plantes envahissantes. La régénération du myriophylle à épis, qui se reproduit par fragmentation végétative, est accélérée par le passage des hélices des bateaux motorisés. D autre part, les espèces envahissantes peuvent se coincer dans l hélice ou sur la coque des embarcations et être ainsi introduites dans d autres plans d eau, si celles-ci ne sont pas nettoyées. De plus, les bateaux à ballaste, utilisés pour faire du wakeboard, remplissent leur coque avec de l eau du lac pour produire de plus grosses vagues. Cette pratique peut favoriser la propagation d espèces envahissantes, si l eau est vidée dans un autre plan d eau. c. Au printemps et à l automne, les bateaux des riverains peuvent être introduits ou retirés de l eau par une entreprise d entreposage de bateau qui utilise la même remorque sur plusieurs lacs sans effectuer de lavage systématique (Boileau, 2007). d. La présence de myriophylle à épis dans un lac nuit considérablement à son potentiel récréatif et touristique, affectant notamment la baignade, la navigation et l aspect esthétique du lac (Lapalme, 2006). Les pertes économiques et sociales pouvant en découler ne doivent pas être AGIR pour la Diable / Diagnostic pour l enjeu no 4 / document de travail 15

16 négligées, sans compter les ressources qui devront être investies pour tenter de se débarrasser de cette plante suite à son implantation dans un lac. À titre d exemple, toute circulation nautique est actuellement interdite sur les lacs Supérieur (depuis 2005) et Ouimet (depuis 1993) dans un effort d enrayer la prolifération du myriophylle à épis (Larose- Curtis, 1999; Wilson, 2007). e. Afin d éviter l introduction de plantes nuisibles et envahissantes, la ville de Mont-Tremblant exige le lavage des embarcations aux débarcadères publics (Ville de Mont-Tremblant, 2007). Cette mesure n est cependant pas appliquée dans les autres municipalités du bassin versant, pas plus que dans le parc national du Mont-Tremblant. f. En plus de contribuer à la dégradation du potentiel récréatif des lacs, la présence d espèces envahissantes telles que le myriophylle à épis nuit aux espèces indigènes et aux populations de poissons, dont la fraie risque d être entravée (Environnement Canada, 2003). g. Bien qu elles n aient à ce jour été observées dans le bassin versant de la Diable, plusieurs autres espèces envahissantes (dydimo, chataîgne d eau, etc.) font leur apparition dans différents secteurs du Québec et sont susceptibles, à terme, de rejoindre notre région. Une approche préventive est de mise. Objectif No 2 : Limiter la perturbation des rives et du littoral par la circulation nautique a. Lorsqu elles circulent trop près des rives, à l intérieur du littoral (en eau peu profonde), les embarcations motorisées contribuent à la dégradation de la qualité de l eau et des écosystèmes aquatiques. Le brassage et la remise en suspension des sédiments déposés au fond des lacs entraînent la libération de certains polluants et du phosphore (Karam, 2004). La remise en circulation du phosphore capté dans les sédiments est un facteur additionnel pouvant contribuer à la prolifération de plantes aquatiques et d algues, voire de cyanobactéries (Karam, 2004). b. Par ailleurs, l impact des vagues générées par les embarcations motorisées contribue à l érosion des rives, ce qui engendre des apports accrus de sédiments et de nutriments aux plans d eau. La force érosive des vagues est notamment fonction de la vitesse de navigation, de la distance de la rive et du type d embarcation (Lévesque, 1997 ; Mosisch, 1998). c. Le brassage des sédiments et l érosion des rives affectent la faune aquatique de différentes façons : colmatage des sites de fraye ; turbidité AGIR pour la Diable / Diagnostic pour l enjeu no 4 / document de travail 16

17 accrue nuisant aux poissons et aux oiseaux aquatiques ; pertes d habitats, etc.(mosisch, 1998). d. Plusieurs lacs du bassin versant de la Diable sont aux prises avec des problèmes d érosion, dont les lacs Gauthier, Maskinongé et Mercier (Biofilia, 2004). Objectif No 3 : Limiter les rejets d hydrocarbures dans les plans d eau a. Les moteurs hors-bord à essence utilisés pour la pratique des différentes activités nautiques sont soit à deux temps ou quatre temps. Le moteur deux temps, de par sa combustion imparfaite et les pertes engendrées par son fonctionnement, est beaucoup plus polluant que le moteur quatre temps et rejette environ 10 à 15 fois plus de polluants dans l environnement comme le benzène et le toluène (Bouchard, 2007). Les rejets de ces polluants ont plusieurs effets nocifs sur la faune et la flore aquatique, en plus des effets possibles sur la santé humaine. b. La majorité des bateaux utilisés sur la plupart des lacs du bassin versant sont présentement de type deux temps (Léonard et Julien, 2007). Objectif No 4 : Limiter et enrayer les rejets de déchets dans les cours et plans d eau a. Plusieurs canoteurs sur la rivière du Diable dans le parc national du Mont-Tremblant abandonnent leurs déchets dans l environnement. En effet, le nettoyage d un tronçon de la rivière du Diable très populaire pour la descente en canot dans le parc du Mont-Tremblant au printemps 2006 a permis de ramasser beaucoup de bouteilles d eau vides, de canettes de bière et d emballage de nourriture vraisemblablement jetés par les plaisanciers (AGIR pour la Diable, 2006). b. Ces déchets représentent une pollution visuelle pour la pratique des activités récréatives et peuvent nuire de différentes façons à la faune et la flore (ingestion, obstruction des frayères, etc.). Objectif No 5 : Limiter l introduction par les pêcheurs d espèces piscicoles compétitrices aux espèces indigènes. a. Les ensemencements et l utilisation de poissons appâts vivants pour la pêche engendrent des impacts sur les écosystèmes aquatiques des plans et cours d eau en modifiant la structure des populations de poissons et en contribuant à l introduction d espèces compétitrices pour la nourriture et l habitat avec les espèces indigènes (Nadon, 2007). AGIR pour la Diable / Diagnostic pour l enjeu no 4 / document de travail 17

18 b. Le bassin versant de la rivière du Diable est particulièrement affecté par ces phénomènes (Nadon, 2007). c. L espèce la plus touchée est sans contredit l omble de fontaine (ou truite mouchetée), une espèce indigène locale. En effet, les populations restantes sont limitées par la présence de prédateurs et d espèces compétitrices tels que la perchaude, le crapet, la barbotte et la truite brune (FAPAQ, 2002). d. Le Club des Moucheurs Endiablés ensemence annuellement dans la Diable environ 90 % de truite brune (compétitrice) et seulement 10 % de truite mouchetée (indigène), laissant ainsi peu de chance à la population de mouchetées de se rétablir. e. Actuellement, l utilisation de poissons-appâts vivants est interdite au Québec. Cependant, le manque de sensibilisation des pêcheurs fait en sorte qu il soit difficile d assurer le respect de cette réglementation. 2. Harmoniser les différents usages récréatifs des lacs et cours d eau Objectif No 6 : Favoriser une cohabitation harmonieuse des activités récréotouristiques motorisées et non motorisées sur les plans d eau a. Deux-tiers des villégiateurs du secteur sont d avis que «les sports motorisés comme la motomarine, la motoneige et le quad sont une source de pollution par le bruit qui les dérange». D ailleurs, les villégiateurs non-motorisés sont davantage de cet avis que ceux qui sont motorisés (Gohier, 2006). b. Les villégiateurs de Mont-Tremblant et de Saint-Faustin-Lac-Carré sont respectivement à 83 % et 72 % non-motorisés (Gohier, 2006). c. Une navigation motorisée trop dense peut représenter un danger pour la sécurité nautique et nuire au développement d autres types d activités (baignade, embarcations non-motorisées). d. En vertu de lois fédérales, et suite à la demande des riverains et des municipalités respectives, toute embarcation motorisée est aujourd hui interdite sur les lacs Carré, Dufour, Forget, Fortier, Desmarais et Gélinas (Transport Canada, 2007). e. Des ententes réalisées sur une base volontaire entre les associations de lac et les résidants permettent également de contrôler la circulation motorisée ont déterminant notamment la puissance des moteurs et les AGIR pour la Diable / Diagnostic pour l enjeu no 4 / document de travail 18

19 vitesses à respecter. De telles ententes sont en vigueur pour les lacs Durocher, à l île, Tremblant, le petit lac Orignal et Gagnon. f. L Association des skieurs riverains de Tremblant fait la promotion d un Code de Courtoisie Nautique Volontaire (C.C.N.V), lequel inclut notamment le respect de limites de vitesse riveraine universelles (ASRT, 2006). g. Les lacs Duhamel, Tremblant, Mercier et Maskinongé sont utilisés par des hydravions privés et commerciaux. h. Par le biais de la presse locale et d une pétition, l Association des résidents du lac Tremblant a manifesté une forte opposition à l installation d une base d hydravions commerciale au lac Tremblant. Les principales nuisances perçues par l association est le bruit au décollage et le danger pour la circulation nautique, lesquels diminuent la qualité de vie des riverains. i. Une étude de bruit, effectuée par Transport Canada au lac Ouimet en 1997, démontre que le bruit occasionné par le décollage des hydravions dépasse grandement le seuil de confort acceptable selon les normes internationales, reconnues (Transport Canada, 1997). 3. Dans une perspective de développement durable, consolider la mise en valeur récréative des lacs et des cours d eau Objectif No 7 : Accroître l accessibilité du public aux lacs et cours d eau a. Le phénomène de privatisation des rives, qui accompagne l intensification de la villégiature et du développement immobilier riverains, restreint de plus en plus l accès du public aux plans et cours d eau (FAPAQ, 2002). b. De la vingtaine de plages dites publiques à l intérieur du bassin versant, la plupart sont en fait rattachées à des établissements hôteliers et sont réservées à leurs clients. Cinq plages sont réellement accessibles au grand public, soit celles des lacs Carré, Raynaud (Domaine Saint- Bernard), Monroe (parc du Mont-Tremblant), Tremblant et Mercier. Elles sont payantes pour la plupart. c. Quant aux rampes de mises à l eau publiques, bien qu on en compte plusieurs dans le parc national (lacs Savane, Rossi, Escalier, Monroe, Chat, etc.), on n en compte que trois (toutes payantes) à l extérieur des limites du parc, soit aux lacs Tremblant, Mercier et Joly. AGIR pour la Diable / Diagnostic pour l enjeu no 4 / document de travail 19

20 d. Hormis le secteur exclusif de pêche à la mouche sur la rivière du Diable, qui est gratuit, les prix parfois demandés pour avoir accès aux plans d eau ne sont pas justifiés et limitent le droit d usage pour les gens moins fortunés (Nadon, 2007). e. Le lac Tremblant recèle un potentiel important pour la pêche sportive. Toutefois, le nombre réduit d accès publics au lac limite de plus en plus l accès à cette ressource faunique publique. f. La mise en valeur du potentiel récréatif des lacs et cours d eau nécessite le développement et la pérennisation d accès publics. Avec la hausse de la demande et de l achalandage prévisible au cours des prochaines années, les quelques accès publics actuels risquent d être rapidement saturés. D ailleurs, la clientèle touristique de la région de Mont- Tremblant recherche avant tout l accès à l eau (Tourisme Mont- Tremblant, 2007). g. Les riverains ne sont généralement pas favorables à la création d accès publics aux plans d eau (Mossaoui et Boileau, 2006). Ceux-ci craignent les nuisances susceptibles d accompagner un achalandage accru de «leur» lac. h. «L accès public réduit aux plans d eau limite à plusieurs endroits le potentiel de développement d activités récréatives et touristiques et restreint l accès à la ressource halieutique, pourtant publique, à plusieurs adeptes de la pêche sportive. Dans une perspective de développement régional favorisant l accès du grand public à nos ressources naturelles, des actions devront être prises afin de limiter l expansion du phénomène de privatisation des rives. Des lots publics devraient toujours être conservés afin de permettre l aménagement d accès ou, si tous les terrains riverains sont privés, les municipalités ou les MRC devraient recourir à l achat de terrains» (FAPAQ, 2002). i. «De plus, il serait pertinent de localiser les accès publics déjà existants et méconnus et d aménager de nouveaux accès là où le besoin se fait sentir et où la tenure des terrains le permet, par exemple sur des terres publiques intramunicipales» (FAPAQ, 2002). Objectif No 8 : Promouvoir le potentiel récréatif nautique du parc national du Mont- Tremblant a. Le potentiel d accueil de la rivière du Diable pour le canot-camping en terme d emplacements de camping et de la disponibilité de canots en location est sous utilisé. Selon le directeur du parc national du Mont- AGIR pour la Diable / Diagnostic pour l enjeu no 4 / document de travail 20

21 Tremblant, à ce jour, seulement 23 % utilisé du potentiel de canotcamping est utilisé (Soucy, 2007). b. Le potentiel d accueil des lacs pour le canot-camping en terme d emplacements de camping est sous-utilisé (Soucy, 2007). Objectif No 9 : Développer de nouvelles activités de tourisme d aventure douce et d écotourisme a. Selon Tourisme Mont-Tremblant, peu de nouveaux attraits et activités touristiques ont vu le jour au cours des dernières années (Tourisme Mont-Tremblant, 2007). b. Les touristes et les visiteurs veulent pratiquer et combiner plusieurs activités récréatives par jour (Forest, 2007). c. «La rivière du Diable offre fort probablement plusieurs sites à potentiel élevé, tant au niveau de l exploitation de la faune aquatique que de la pratique d activités récréatives et touristiques, mais mal connus et sousexploités» (FAPAQ, 2002). d. «Le développement d excursions nautiques organisées et de qualité, visant une clientèle moins téméraire est une avenue à explorer en ce qui concerne la mise en valeur des cours d eau des Laurentides» (FAPAQ, 2002). À cet effet, les derniers 30 kilomètres de la rivière du Diable, de part leur caractère calme et naturel, recèlent un potentiel inexploité pour la descente de rivière en canot et en kayak, de type familial. Ce tronçon, considéré facile, traverse des paysages habités et agricoles. Toutefois, il manque d accès publics, d installations de mises à l eau et d information promotionnelle (AGIR pour la Diable, 2007). e. Deux Écosystèmes Forestiers Exceptionnels (EFE) sont situés dans le bassin de la Diable. Ces sites auraient avantage à être connus et pourraient même constituer des destinations intéressantes pour des excursions écotouristiques. La mise en valeur d'un écosystème forestier exceptionnel à des fins éducatives, scientifiques et même récréatives est possible en autant que cela n'altère en rien son caractère exceptionnel (FAPAQ, 2002). f. Du point du vue faunique, la présence du parc linéaire le P tit train du Nord facilite maintenant l accès à des ressources autrefois inaccessibles au public, tels que certains secteurs de la rivière du Diable, ainsi qu à divers milieux forestiers et humides situés en périphérie. Le parc linéaire pourrait donc servir d assise à la mise en valeur de la faune et de ses habitats de pair avec la pratique d activités de plein air, tels que le AGIR pour la Diable / Diagnostic pour l enjeu no 4 / document de travail 21

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