A) ALLERGIES EN MILIEU PROFESSIONNEL EN BRETAGNE
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- Mireille Cantin
- il y a 8 ans
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1 ELABORATION DU PRSE 2 15/09/09 Contribution élaborée par les Drs COTTIN et LOZACHMEUR sur «Les allergies en milieu professionnel» et «Environnements physiques de travail» PREAMBULE Cette contribution réalisée par deux médecins du travail concerne le contexte professionnel et régional uniquement. SPECIFICITE DE CE CONTEXTE : Géographique : façade maritime et activité agricole ; tourisme : activités de plein air ; structure géologique particulière (socle granitique) Agriculture : élevage (volailles, bovins, porcs), céréales, légumes, traitements phytosanitaires Mer : pêche, coquillages (huitres surtout), activité du nautisme (fabrication, réparation, maintenance) Industriel : agroalimentaire (produits agricoles et de la mer), sous traitance automobile BTP PME, TPE : métiers de bouche, activités de services ; 85 % du tissu économique breton est constitué d entreprises de moins de 10 salariés. A) ALLERGIES EN MILIEU PROFESSIONNEL EN BRETAGNE TYPES Allergies cutanées : eczéma, urticaires Allergies respiratoires : rhinite, asthme, pneumopathies d hypersensibilité et leurs complications LA DIFFICULTE : réaction individuelle à un contact collectif en milieu de travail GRAVITE : médicale et sociale (perte de son travail pour inaptitude médicale et difficultés de reconversion) 1/7
2 DESCRIPTION DES AGENTS EN CAUSE ET ACTIVITES Multiples et en évolution, intriqués avec environnement Réparation navale et auto : résines époxy Activité de service : coiffeurs, esthéticiennes (parfums, produits colorants, permanentes, shampooing, nickel ) Activités médicosociales : secteur de la santé, ADMR, services aux personnes, activités de soins à domicile : produits de nettoyage, désinfection, savons BTP : ciments encore, résines époxy Produits d hygiène/industrie agroalimentaire (savons biocides) Produits d origine végétale dont farines, céréales, sarrasin (boulangers, agroalimentaires, horticulture, maraîchers ou distributeurs) Produits d origine animale : agroalimentaire ETAT DES LIEUX 1) Maladies professionnelles : Les tableaux RG Eczéma : 28 tableaux dans le régime général Urticaire : 1 Asthme : 15 Broncho alvéolites : 3 Insuffisances respiratoires chroniques avec altérations des EFR : 6 Pneumopathies fibrosantes et pneumoconioses : 9 2) Nombre de cas (toute allergie confondue) reconnu en Bretagne en 2007 : 48 cas sur MP Ciments (9), amines aromatiques sels et dérivés (2), résines époxy (3), lésions eczématiformes du Tb 65 (22), affections respiratoires allergiques (12) 3) Les secteurs du bâtiment, coiffure et santé sont les plus exposés au risque de dermatoses professionnelles (ciments et produits chimiques) Les secteurs les plus exposés au risque d affections respiratoires sont les secteurs agricole et de l agroalimentaire (exposition poussières végétales et animales) 4) Conclusion : On peut considérer devant ces chiffres qu il y a une probable sous déclaration PREVENTION 1) Ce qui est fait : Information des professions concernées : - sur les risques (plaquettes d information à destination des salariés ex : coiffure, bâtiment, bois, nettoyage en agroalimentaire, sensibilisation sur la lecture de l étiquetage des produits, information délivrée par le Médecin du Travail en CHSCT, lors des visites médicales, «ordonnances de prévention» du Professeur Géraud 2/7
3 Sur la : - prévention collective : aspiration, stockage, conditionnements, méthodes de travail, les bonnes pratiques de travail et de nettoyage ; il existe une aide financière attribuée par la CRAM de Bretagne pour l achat d aspirateur industriel pour les boulangers afin de diminuer le risque d allergie respiratoire - prévention individuelle : gants et masques (les bons), hygiène, vêtements de travail Dispositions législatives ou réglementaires : Etiquetage des substances potentiellement allergisantes Document unique sur l évaluation des risques professionnels Limitation de l empoussièrement Obligation de mise à disposition des EPI 2) Pistes de travail : Poursuivre les actions sur les secteurs les plus touchés En particulier actions de : - sensibilisation auprès des apprentis (bâtiment, coiffure) des élèves dans les professions de santé, des agences intérimaires) - prévention collective avec incitation, sur la limitation de la dispersion des poussières à la source (préférer le vrac en silo aux sacs pour la farine par exemple), aspiration des poussières avec des cahiers des charges de maintenance, entretien des locaux Réfléchir sur l utilisation des produits biocides, des produits d entretien et sur les procédures de nettoyage en milieu agroalimentaire et de soins ainsi que leur élimination Sensibiliser les concepteurs et bureaux d étude sur la conception de machines, locaux de travail vis-à-vis de la dispersion des allergènes ou de la nécessité de ne pas utiliser des produits connus pour leur pouvoir allergisant Etre vigilant sur les secteurs émergents : services aux personnes, travail à domicile, la chaîne du bio/écolo (matériaux, traitements phytosanitaires ), la mise en place d une veille permettrait de suivre les risques émergents Les équipements de protection individuelle : le bon équipement à la bonne taille pour le bon travail ; malgré le marquage CE, en pratique le choix n est pas facile ; une aide au repérage du bon EPI en fonction de la situation de travail pourrait être développée. 3/7
4 B) LES ENVIRONNEMENTS PHYSIQUES DE TRAVAIL DEFINITION préalable de l environnement physique de travail et choix orienté des axes de travail : Pour l INRS, il s agit d agents physiques qui constituent l environnement des salariés et qui peuvent avoir des répercussions sur les conditions de travail ou la santé des personnes exposées. «Les agents physiques peuvent agir sur le corps humain, qui s adapte en permanence à son environnement Les facultés de réaction du corps peuvent être dépassées dans certains cas : contraintes fortes, exposition de longue durée ou très intense (par exemple le coup de soleil)». Ces agents sont : le bruit, les vibratons, la chaleur et le froid, la pression atmosphérique, électricité et rayonnements ; il existe des valeurs limites d exposition. Pour le Ministère du Travail, il s agit des températures, de l éclairage, de l aération, des poussières, des substances et des vibrations. Le lien avec les spécificités du contexte régional de travail déjà évoquées peut être un critère de choix AGENTS EN CAUSE ET ACTIVITES Le champ d investigation est vaste ; nous avons sélectionné certains environnements soit pour leur importance dans le contexte des activités professionnelles en Bretagne, soit par la méconnaissance des risques induits. LES AMBIANCES THERMIQUES Sources d inconfort avec un risque d accidents accru et/ou de TMS - Le travail à l extérieur : Air et parfois le travail dans l eau : agriculture, mer, BTP, tourisme, pêche et ostréiculture - Le travail en ambiance froide : Agroalimentaire, chambres froides et rayons frais en grande distribution avec souvent une répartition du froid sur l ensemble des locaux et non sur la seule activité concernée - Le travail en ambiance chaude : Agroalimentaire, sous traitance automobile (presses, moules de plasturgie), métiers de bouche (boulangerie par exemple) LA MANUTENTION Manuelle encore fréquente dans un grand nombre de secteurs : BTP, ostréiculture, grande distribution, agroalimentaire Activité de conditionnement, déconditionnement (on change de taille de carton ; on dépalettise pour repalettiser afin de répondre à des critères de démarche qualité par exemple ; beaucoup de manutention des produits en agroalimentaire, grande distribution, sous traitance automobile, activité ostréicole) 4/7
5 LES CONTRAINTES POSTURALES Travail debout en permanence par exemple LES CONTRAINTES DE TEMPS Le temps représente une donnée physique. L utilisation qui en est faite peut avoir de fortes répercussions sur l organisation du travail et contribuer à générer stress et TMS. LES EXPOSITIONS AUX POUSSIERES, FUMEES et AEROSOLS Peuvent aussi relever de l exposition chimique ou biologique du poste de travail en fonction de leur mode d action mais certains auteurs les considèrent comme des risques physiques. Agriculture : poussières de végétaux, poils, laine et plumes, déjections des animaux, ramassage des volailles Agroalimentaire : abattoirs de volailles (plumes, déjections), de porcs, de bovins (poils) Mer : activité de fabrication, réparation, aménagement de bateaux, voile : fibres de laine de verre, de carbone, matériaux résistants au feu BTP : isolants, les anciens (laine de verre), et les nouveaux (cellulose, laine de mouton, chanvre) Carrières : granit, activité de taille, silice Les poussières de bois : cf PRSE 1 Le tribu de l amiante : arsenal, BTP LES EXPOSITIONS AU BRUIT, AUX VIBRATIONS, VARIATIONS DE PRESSION ATMOSPHERIQUE La Bretagne ne semble pas se distinguer sur ces expositions. LES EXPOSITIONS AUX RAYONNEMENTS Les UV Le travail à l extérieur : mer, agriculture, tourisme, BTP Particularités bretonnes : phénotype peau claire, risque accru de lésions cutanées pré néoplasiques ou néoplasiques ; yeux clairs, risque d atteinte rétinienne (DMLA) de plus l hypermétropie, facteur de prédisposition est fréquente en Bretagne ; rappelons que la DMLA est la 1 ère cause de cécité des plus de 50 ans en France. Exposition sous estimée au niveau professionnel ; les mesures de prévention sont simples mais peu respectées (vêtements de travail, lunettes de soleil, casquette). Ionisants Des évolutions, pas seulement bretonnes Les professions de santé : la multiplication d actes de radiologie interventionnelle dans les secteurs de la médecine les plus divers, la mobilité des appareils et du personnel rendent difficiles l évaluation des doses reçues et les moyens de protection ne sont pas toujours adaptés au travail à accomplir ; le personnel n est pas toujours formé à la gestion du risque et le sous estime. 5/7
6 Radon Lié à la structure géologique de la Bretagne ; possible exposition dans les carrières et traitement des minéraux en plus des locaux de travail N est pas au cœur de l évaluation des expositions professionnelles pour les entreprises Est un facteur de risque du cancer broncho-pulmonaire Des actions sont entreprises : arrêté du 08/12/08 : gestion du risque lié au radon dans les lieux de travail NOUVELLES TECHNOLOGIES Difficultés des mesures d exposition, hors possibilités d effets à court, moyen et long terme justifiant une traçabilité des expositions Ondes électromagnétiques : téléphone portable, wifi comme partout et tout le temps ; machines électriques Nanoparticules : évaluation des expositions connues? méconnues?, quels risques? MALADIES PROFESSIONNELLES EN 2007 TMS : Affections chroniques du rachis lombaire provoquées par la manutention : 200 Amiante et cancer broncho-pulmonaire primitif : 189 Silicose : 30 Lésions chroniques du ménisque : 29 Surdité : 27 Chocs et vibrations : 12 Bois : sur MP sont des affections biomécaniques à multiples facteurs de risques de l environnement physique de travail : ambiance thermique contraignante, manutention, contraintes posturales, gestes répétés ou amplitude de mouvements inadaptée (voir ergonomie du poste de travail), contrainte de temps PREVENTION 1) Ce qui est fait : Information des professions concernées : - sur les risques : le plan canicule par exemple, information des travailleurs exposés aux rayonnements ionisants aux risques de TMS ; information par les médecins du travail lors des CHSCT, en entretien individuel Sur la : - prévention collective : aspiration, aération et ventilation des locaux, conditions de stockage, types de conditionnements, méthodes de travail, les bonnes pratiques de travail ; le projet FROILOC développé par la CRAM et le CEMAGREF a abouté à la mise en place de système de froid localisé en agroalimentaire sur certaines lignes de produits, de même, des systèmes de rafraichissement d air sont mis en place dans les ateliers de quelques entreprises industrielles 6/7
7 - prévention individuelle : gants et masques (les bons), hygiène, vêtements de travail adaptés au froid (veste chaude mais qui diminue la mobilité), protection contre les UV Dispositions législatives ou réglementaires : Code du Travail : article L Mines et carrières, réglementation Document unique sur l évaluation des risques professionnels Limitation de l empoussièrement Respect des VLE Obligation de mise à disposition des EPI 2) Pistes de travail : Poursuivre les actions sur les secteurs les plus touchés En particulier actions de : - sensibilisation auprès des apprentis (bâtiment), des agences intérimaires sur la protection contre les UV par exemple - prévention collective avec incitation sur les ambiances thermiques en agroalimentaire, dans l industrie, sur l exposition aux rayonnements ionisants dans le domaine de la santé Réfléchir sur l harmonisation des pratiques de conditionnement dans la Grande Distribution et l agroalimentaire ou l industrie des pièces détachées pour éviter des efforts de manutention inutiles d un bout à l autre de la chaîne Sensibiliser les concepteurs et bureaux d étude sur la conception de machines de façon à réduire les émissions de chaleur, améliorer l ergonomie de certains appareils de radiologie interventionnelle dans le but de réduire les expositions, améliorer la qualité de l air des locaux de travail et leur température et éviter les écueils des confinements Etre vigilant sur les agents émergents : la chaîne du bio/écolo (matériaux isolants ), les ondes et les nanoparticules ; la mise en place d une veille permettrait de suivre les risques émergents Les équipements de protection individuelle : le bon équipement à la bonne taille pour le bon travail ; malgré le marquage CE, en pratique le choix n est pas facile ; une aide au repérage du bon EPI en fonction de la situation de travail pourrait être développée SUGGESTIONS Etablissement de registres de suivi (ne serait-ce que : cancer, lien entre exposition et suivi) Diversité et importance du champ exploré donc nécessité de limiter les choix dans un souci d efficacité. 7/7
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