FÉDÉRATION DE L'ENSEIGNEMENT SECONDAIRE CATHOLIQUE rue Guimard BRUXELLES. Programme
|
|
- Melanie Simoneau
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 FÉDÉRATION DE L'ENSEIGNEMENT SECONDAIRE CATHOLIQUE rue Guimard BRUXELLES Programme Construction gros- oeuvre 2 ème degré professionnel Humanités professionnelles et techniques
2 La FESeC remercie les membres du groupe à tâche qui ont travaillé à l élaboration du présent programme. Elle remercie également les nombreux enseignants qui l ont enrichi de leur expérience et de leur regard constructif. Elle remercie enfin les personnes qui en ont effectué une relecture attentive. Photo de couverture réalisée par J.C. ADAM de l Institut d enseignement secondaire Saint-Luc à Liège
3 TABLE des MATIERES 1. Présentation générale Orientation Statut et rôle du programme Du Profil de Qualification au Programme Le Profil de Qualification Le Profil de Formation Le programme Comment lire le programme Les compétences générales Des activités aux compétences spécifiques 3 2. Grille horaire 5 3. Objectifs généraux 5 4. Approche pédagogique Exemples de situations d apprentissage Exemples d activités d intégration 8 5. Indications méthodologiques 9 6. Programme du 2 ème degré professionnel 11 Construction gros œuvre, 2 ème degré professionnel 1
4 1. PRESENTATION GENERALE 1.1. Orientation Ce programme du 2 ème degré professionnel option «Construction-gros œuvre» ne représente en fait qu une étape de la formation. Celle-ci doit être poursuivie au 3 ème degré professionnel option de base groupée «Ouvrier qualifié en construction-gros œuvre». Le programme constitue un minimum de compétences considérées comme indispensables pour poursuivre la formation dans les meilleures conditions au 3 ème degré Statut et rôle du programme Le décret définissant les missions prioritaires de l enseignement fondamental et de l enseignement secondaire du 24 juillet 1997 prévoit (article 39) que le «Gouvernement détermine les profils de formation et les soumet à la sanction du conseil de la Communauté». C est la première fois dans notre pays que la société civile exprime explicitement ses attentes à l égard de l école en fixant, par les voies d un décret, les compétences et les savoirs à atteindre par les élèves du secondaire en fin de premier degré et au terme des humanités. Disponibles sur le site AGERS de la Communauté Française ( les profils de formation rédigés par des groupes de travail composés de représentants des milieux professionnels et de représentants des réseaux d enseignement, s attachent à définir, pour chaque métier, les compétences et les savoirs à maîtriser et sur lesquels devra porter la certification. Leur rédaction a été supervisée par la Commission Communautaire des Professions et des Qualifications. Les textes ont été approuvés par le Conseil général de concertation (intercaractères), le Gouvernement les a fixés, le Parlement les a confirmés après les avoir amendés. Ils n ont pas de prétention méthodologique, même si l articulation des compétences et des savoirs qu ils prévoient n est pas neutre. Ce sont les programmes «référentiels de situations d apprentissage, de contenus d apprentissage, obligatoires ou facultatifs, et d orientations méthodologiques qu un Pouvoir organisateur définit afin d atteindre les compétences fixées», qui proposent la mise en œuvre des documents «compétences». Leur approbation par la Commission des programmes et par le Ministre qui a l enseignement secondaire dans ses attributions confirme que, correctement mis en œuvre, ils permettent effectivement d acquérir les compétences et de maîtriser les savoirs définis dans le document Compétences Terminales. Les programmes s imposent donc, pour les professeurs de l enseignement secondaire catholique, comme documents de référence puisqu ils s inscrivent dans la logique décrétale des compétences à atteindre et qu ils explicitent les visées éducatives et pédagogiques telles qu elles s expriment dans Mission de l Ecole Chrétienne et dans le Projet pédagogique de la FESeC. Construction gros œuvre, 2 ème degré professionnel 2
5 1.3. Du Profil de Qualification au Programme Le Programme de l option groupée «CONSTRUCTION GROS ŒUVRE» constitue la 3 ème étape des travaux de la Commission Communautaire des Professions et des Qualifications (CCPQ). Il vient donc après le Profil de Formation qui lui-même découle du Profil de Qualification Le Profil de Qualification Le profil de qualification est un référentiel qui décrit les fonctions, les activités et les compétences exercées par des travailleurs accomplis tels qu ils se trouvent dans l entreprise. - Une fonction est un grand sous-ensemble de tâches qui concourent, au sein d une activité productive, à assurer un certain type de résultat. L ouvrier qualifié en construction gros œuvre, par exemple, doit généralement remplir les fonctions suivantes : maçonner, coffrer, ferrailler, poser des éléments préfabriqués, - Une activité est l opération par laquelle un travailleur réalise une partie d une fonction (une partie de l activité de production). - Une compétence est une aptitude requise pour réaliser certains actes. La compétence exige de la part du travailleur des acquis qui peuvent être de quatre types : Les connaissances qui sont les informations, les notions, les procédures acquises, mémorisées et reproductibles par un individu dans un contexte donné. Les capacités cognitives qui sont les opérations mentales, les mécanismes de la pensée que l individu met en œuvre quand il exerce son intelligence. Les habiletés qui sont les perceptions, les mouvements, les gestes acquis et reproductibles dans un contexte donné qui s avèrent efficaces pour atteindre certains buts dans le domaine gestuel (physique et manuel). Les attitudes qui sont des comportements sociaux ou affectifs acquis par l individu et mobilisables dans des domaines de la vie domestique ou professionnelle Le Profil de Formation Le Profil de Formation est le référentiel qui présente l ensemble des compétences à acquérir en vue de l obtention du certificat de qualification (CQ6). Il est évident qu au terme de sa formation, l élève ne pourra maîtriser toutes les compétences du Profil de Qualification. Un classement des compétences se justifie donc. Les compétences du Profil de Formation sont classées de la manière suivante : - CM (compétences à maîtriser) ; elles sont à maîtriser en fin de formation ; Construction gros œuvre, 2 ème degré professionnel 3
6 - CEF (compétences à exercer) ; elles peuvent être exercées au cours de la formation, mais la maîtrise ne peut être certifiée qu à l issue d une formation ultérieure à la formation CQ6 ; - CEP (compétences à exercer) ; elles peuvent également être exercées au cours de la formation, mais la maîtrise ne pourra être acquise qu à travers l activité PROFESSIONNELLE elle-même Le Programme Le programme est le «référentiel de situations d apprentissage, de contenus d apprentissage obligatoires ou facultatifs, et d orientations méthodologiques qu un pouvoir organisateur définit afin d atteindre les compétences fixées par le Gouvernement pour une année, un degré ou un cycle». (Définition du décret mission). Il constitue donc l ultime étape des travaux de la CCPQ, il vient après le profil de formation qui est lui-même précédé du Profil de Qualification. Le programme est écrit par un groupe de professeurs de construction gros œuvre de l enseignement libre catholique Comment lire le programme? Les compétences générales La présentation du programme sous forme de tableaux devrait favoriser sa lecture dans sa totalité. Le programme du 2 ème degré présente les compétences générales à atteindre à l issue du degré. Elles constituent les objectifs généraux des cours techniques et pratiques. Ces compétences générales résultent des fonctions du Profil de Formation Des activités aux compétences spécifiques Les compétences générales sont segmentées en activités. Elles sont mentionnées en caractères gras au-dessus de chaque tableau. Les différents tableaux correspondent donc à une activité technologique et/ou pratique. Par exemple : - appliquer les connaissances relatives aux maçonneries ; - lire le plan des exercices de maçonnerie ; - implanter/tracer les réalisations ; - aménager le poste de travail pour une maçonnerie au sol ; - exécuter les maçonneries en appareil d une demi-brique ; -.. Construction gros œuvre, 2 ème degré professionnel 4
7 Les différents tableaux comportent 6 colonnes : 1 ère colonne : Les compétences spécifiques que les cours mettent en œuvre. Ce sont les connaissances, les capacités cognitives, les attitudes, les habiletés (savoir-faire) que les cours mettent en pratique. 2 ème colonne : Les conditions de mise en œuvre et ressources. Pour rendre les compétences «opératoires» le programme propose des situations d apprentissage (exercices pratiques). Ces exercices pratiques ne constituent qu un support. Ils devraient permettre d atteindre la maîtrise de la compétence. Ces exercices peuvent être remplacés par d autres du même niveau. Les ressources indispensables pour exercer certaines compétences sont également mentionnées dans cette 2 ème colonne. Il s agit des données, des moyens, des éléments, que l élève doit avoir à sa disposition. 3 ème et 4 ème colonnes : La catégorisation des savoirs et compétences en cours pratiques (PP) et en cours techniques (CT). Afin d assurer une meilleure intégration et coordination des cours techniques (technologie et dessin technique), le programme propose le décloisonnement de ces deux cours. Le décloisonnement présente des avantages : - il permet au professeur d intervenir au moment opportun. Afin d éviter la rengaine bien connue : cette partie de matière sera vue par mon collègue professeur de ; - il permet de construire un ensemble technologique homogène, sans risque de redites inutiles et contradictoires. 5 ème colonne : Le classement des compétences (CM) ou (CE). Les CM (compétences à maîtriser) sont des compétences que le programme présente comme devant être maîtrisées par les élèves, en fin de degré ou de cycle. Les CE (CEF et CEP, compétences à exercer) sont les compétences que le programme présente comme pouvant être exercées par l élève, au cours du degré ou du cycle. La certification portera exclusivement sur les compétences à maîtriser (CM). En fin de formation, il faudra donc attester que l élève a atteint les compétences du programme. Quant aux compétences à exercer, leur évaluation n interviendra pas dans la certification. 6 ème colonne : La référence au Profil de Formation (R.P.F.) Cette dernière colonne fait référence à la numérotation utilisée pour le Profil de Formation. Construction gros œuvre, 2 ème degré professionnel 5
8 2. GRILLE HORAIRE Option «CONSTRUCTION GROS OEUVRE» Construction gros œuvre Travaux pratiques 6 périodes par semaine 16 périodes par semaine 3. OBJECTIFS GENERAUX Au terme du 2 ème degré, l élève sera capable de : Réaliser à partir d un minimum de directives, en utilisant l outillage de base adéquat (outils, matériel, machines), en prenant en compte les impératifs de qualité, sécurité et hygiène des travaux ordinaires d une construction traditionnelle de type «maison unifamiliale» à un seul niveau tels que : - maçonnerie de murs pleins et creux avec fermeture de baie ; - coffrage, ferraillage et bétonnage d éléments simples. La réalisation supposera : - la lecture des plans d ensemble et de détail ; - le tracé et l implantation des réalisations ; - le montage d un échafaudage sur tréteaux (hauteur m) ; - le choix, le maniement et l entretien des outils manuels de base et du matériel indispensable ; - l utilisation et la maintenance de 1 er niveau des machines. Elle passera par les compétences suivantes : - maçonner, en appareil d une demi-brique, des murs en briques ordinaires, briques de construction rapide, blocs mi-lourds, comprenant des trumeaux, angles, jonctions, croisements, sur une hauteur de m ; - maçonner, en appareil d une demi-brique, des murs pleins et creux en briques ordinaires, briques de construction rapide, blocs mi-lourds, comprenant des trumeaux, angles, jonctions, avec fermeture de baie, sur une hauteur d étage ; y compris la pose des éléments préfabriqués tels que linteaux, seuils, couvre murs, ; - maçonner, en appareil croisé (une brique d épaisseur) des murs comportant des trumeaux, angles et battées sur une hauteur de m ; - coffrer, ferrailler, bétonner des éléments simples ; - s intégrer dans la vie professionnelle. 4. APPROCHE PEDAGOGIQUE Ce programme, comme tous les programmes actuels, précise des orientations méthodologiques, des contenus et des situations d apprentissage qui doivent permettre aux élèves d atteindre les compétences fixées dans le Profil de Formation. Construction gros œuvre, 2 ème degré professionnel 6
9 En quoi est-il neuf? Il colle davantage à la réalité du métier puisque cfr supra, les compétences à atteindre ont été définies en CCPQ avec les représentants de la profession. Il propose de travailler dans une logique d apprentissage (élève-acteur) plutôt que selon une logique d enseignement (professeur- diffuseur de savoirs) : c est l élève qui, avec l aide du professeur, doit construire son propre savoir. L essentiel de la démarche doit donc partir de situations d apprentissage concrètes qui ont du sens pour l élève et qui doivent l amener à se poser des questions. Cela n empêche pas d avoir quelquefois recours à une démarche plus frontale - pour préciser ou définir certaines notions, pour expliquer certaines théories, pour opérer une synthèse, - mais toujours en lien étroit avec les travaux pratiques qui sont au point de départ de l apprentissage. On ne peut admettre un cours théorique déconnecté de la pratique ; il faut partir de situations d apprentissage telles que celles proposées ci-dessous à titre d exemples. Maîtriser une compétence, c est maîtriser à la fois des savoirs, savoir-faire et savoir-être dans une situation donnée. C est une démarche globale où la somme des maîtrises partielles ne garantit pas nécessairement la maîtrise du tout. Pour l évaluation finale, en fin de degré, l élève devrait être placé devant une situation lui permettant de faire la preuve qu il maîtrise cette compétence globale. C est dans cette perspective que nous proposons également ci-dessous une activité d intégration c est-à-dire, l équivalent de ce qu on peut attendre d un élève lors d une épreuve de qualification Exemples de situations d apprentissage C est l élève qui est acteur de la situation et non l enseignant. La situation d apprentissage va (doit) permettre à l élève d exercer les compétences comprises dans quelques activités (2-3 au max.). Situation 1. Préparer le coffrage de marches servant à recouvrir un escalier en maçonnerie. Le contexte : L élève dispose du plan complet dans les 3 vues de l escalier. Tous les outils (mesurage, traçage, coffrage, ) sont à la disposition de l élève. Le stock des matériaux est suffisant. L élève travaille seul. La tâche : Réaliser le coffrage de marches. La consigne : L escalier, en maçonnerie de briques, que tu viens de terminer doit être recouvert de quelques marches en béton, toutes identiques. Réalise le coffrage d une marche. Construction gros œuvre, 2 ème degré professionnel 7
10 Cette situation d apprentissage devrait permettre à l élève de mettre en œuvre les ressources suivantes : - lire des dimensions de la marche ; - dessiner à main levée le croquis de la marche ; - réaliser le bordereau des bois nécessaires ; - choisir et utiliser les outils ; - préparer et assembler les bois ; - vérifier la qualité de son travail ; - Situation 2. Dans le même ordre d idée, on pourrait demander de préparer le ferraillage des marches servant à recouvrir l escalier en maçonnerie dont il est question ci-dessus. Situation 3. Réaliser le tracé et le compassement d un mur creux comprenant un retour d angle et au moins une baie de porte. Le contexte : L élève dispose du plan de l exercice dans les 3 vues. Tous les outils de mesurage et de traçage sont à disposition. La surface de travail est plane, horizontale et permet un traçage aisé. L élève travaille seul. L élève dispose de quelques matériaux modèles. La ligne de construction est définie par le professeur. La consigne : Tu dois réaliser le traçage et le compassement (de la 1 ère assise) d un mur creux comportant un angle et une baie de porte. Cette situation d apprentissage devrait permettre à l élève de mettre en œuvre les ressources suivantes : - lire un plan de maçonnerie dans les 3 vues ; - choisir et utiliser les instruments de mesure et de traçage ; - réaliser le tracé au sol (tracé de parallèles et de perpendiculaires) ; - vérifier l exactitude du tracé ; - compasser la 1 ère assise de briques et de blocs. Situation 4. Maçonner, en appareil croisé, sur une hauteur de 8 assises un mur comportant des angles droits. Le contexte : Le tracé est réalisé et vérifié. Deux élèves travaillent ensemble. Tous les outils de maçonnerie sont à disposition. Le stock de matériaux (briques, sable, ) est suffisant. Construction gros œuvre, 2 ème degré professionnel 8
11 La tâche : Réaliser un bac à fleurs en appareil croisé d une brique d épaisseur. La consigne : Pendant les vacances d été, tes parents te demandent de réaliser un bac à fleurs. Ton papa précise qu il souhaite que ton ouvrage soit beau et solide. Cette situation d apprentissage devrait permettre aux deux élèves de mettre en œuvre les ressources suivantes : - maîtriser les connaissances de base relatives à l appareil croisé ; - travailler en équipe ; - aménager le poste de travail ; - compasser la 1 ère assise ; - maçonner un mur d une brique d épaisseur ; - vérifier la qualité du travail ; -.. A vous d imaginer d autres situations d apprentissage dans le même esprit Exemples d activités d intégration L activité d intégration apparaît comme l activité (production) finale dans laquelle plusieurs compétences doivent être mobilisées pour résoudre un problème (dans le sens large du terme c est-à-dire pour ce qui nous concerne : exercice important, petit ouvrage, ) complexe contextualisé. L élève est acteur, cela signifie que la mobilisation des ressources (connaissances, savoirfaire, attitudes, ) est effectuée par celui-ci. Cette activité doit être articulée autour d une situation nouvelle pour l élève. Activité d intégration 1. Réaliser un fragment de façade comportant au moins une baie, établi sur une assise de blocs de 29 cm d épaisseur (simulant la dernière assise des maçonneries enterrées). Coffrer d équerre avec le fragment de façade une poutre au sol à l extrémité de laquelle prend appui une colonne carrée. Le contexte : L élève dispose du plan complet de l ouvrage dans les 3 vues. Tous les outils de traçage, de maçonnerie, de coffrage, ) sont à disposition. Le stock de matériaux (briques, blocs, voliges, poutrelles, ) est suffisant. La surface de travail est plane et horizontale. La durée est déterminée par le professeur en fonction de l importance de l exercice. La tâche : Réaliser un ensemble cohérent composé de travaux de maçonnerie et de coffrage. La consigne : Tu dois réaliser un fragment de Construction gros œuvre, 2 ème degré professionnel 9
12 Cette activité d intégration devrait permettre aux élèves de mobiliser plusieurs activités comprises dans le programme, par exemple : - lire un plan de maçonnerie et de coffrage ; - implanter et tracer l ouvrage ; - aménager les postes de travail (maçonnerie et coffrage) ; - préparer les mortiers ; - utiliser l outillage à main ; - exécuter des maçonneries en appareil d une demi-brique ; -. A vous d imaginer d autres activités d intégration dans le même esprit. 1. INDICATIONS METHODOLOGIQUES - Il serait souhaitable que les cours pratiques et techniques d une même année soient confiés à un seul professeur. - Une collaboration entre les différents professeurs, y compris ceux des cours généraux, est indispensable. Tous les professeurs de l option groupée utiliseront la même terminologie et emploieront les mêmes conventions pendant toute la formation. - Idéalement, un programme de formation est un outil de travail et de réflexion pour les enseignants. Cet outil doit être ouvert, évolutif et perfectible. - L ordre des activités (mentionnés en caractères gras au-dessus de chaque tableau) est théorique, il doit être adapté à chaque réalisation. - Au sein d un même cours et au sein d un même degré, l ordre dans lequel l énoncé des compétences est proposé ne constitue en aucune façon une suite à respecter obligatoirement par le professeur. - En dehors des moments d évaluation, les compétences doivent être, dans la mesure du possible, entraînées plusieurs fois. - Les élèves auront la possibilité de s exercer à l acquisition des compétences au travers des ouvrages cités dans le programme. D autres réalisations qui intègrent l acquisition de ces mêmes compétences peuvent évidemment être mises en œuvre. - Afin d assurer une meilleure insertion de l élève dans la vie active, il faut créer autour de celui-ci un environnement tel qu il permet de développer le sens critique au niveau de l analyse et de l exécution du travail, le sens des responsabilités et de la conscience professionnelle, le travail en équipe, - Il est essentiel d inculquer aux élèves dès le début de la formation : des habitudes d ordre et des méthodes rationnelles de travail ; le respect des règles de sécurité et d hygiène indispensables. Construction gros œuvre, 2 ème degré professionnel 10
13 - Au début de la formation, la méthode de travail est fournie aux élèves, ceux-ci se contentent de respecter l ordre chronologique des opérations. Par après, il est essentiel que l élève recherche lui-même le mode opératoire, il doit penser son travail. Cette méthode de travail sera toujours vérifiée par le professeur avant le début des travaux. - Avant de commencer un travail, il est important de s assurer que les élèves ont bien reçu la formation en matière de sécurité. Cette approche doit s envisager tant en cours techniques qu en travaux pratiques. - Au cours de sa formation, l élève commettra des erreurs. Qu elles soient toujours l occasion d une analyse positive afin de ne plus les répéter. - Bien qu aucune disposition légale ne le prévoie explicitement, il peut être utile d organiser des stages d observation en 4 ème année (maximum 10 jours). Construction gros œuvre, 2 ème degré professionnel 11
14
15 PROGRAMME DU DEUXIEME DEGRE PROFESSIONNEL COMPETENCES GENERALES (Objectifs généraux) Au terme du 2 ème degré, l élève sera capable de réaliser à partir d un minimum de directives, en utilisant l outillage de base adéquat (outils, matériel, machines), en prenant en compte les impératifs de qualité, sécurité et hygiène des travaux ordinaires d une construction traditionnelle de type «maison unifamiliale» à un seul niveau tels que : - maçonnerie de murs pleins et creux avec fermeture de baie ; - coffrage, ferraillage et bétonnage d éléments simples. La réalisation supposera : - la lecture des plans d ensemble et de détail ; - le tracé et l implantation des réalisations ; - le montage d un échafaudage sur tréteaux (hauteur m) ; - le choix, le maniement et l entretien des outils manuels de base et du matériel indispensable ; - l utilisation et la maintenance de 1 er niveau des machines. Elle passera par les compétences suivantes : - maçonner, en appareil d une demi-brique, des murs en briques ordinaires, briques de construction rapide, blocs mi-lourds, comprenant des trumeaux, angles, jonctions, croisements, sur une hauteur de m ; - maçonner, en appareil d une demi-brique, des murs pleins et creux en briques ordinaires, briques de construction rapide, blocs mi-lourds, comprenant des trumeaux, angles, jonctions, avec fermeture de baie, sur une hauteur d étage. Y compris la pose des éléments préfabriqués tels que linteaux, seuils, couvre-murs, ; - maçonner, en appareil croisé (une brique d épaisseur) des murs comportant des trumeaux, angles et battées sur une hauteur de m ; - coffrer, ferrailler, bétonner des éléments simples ; - s intégrer dans la vie professionnelle. 13
16 A. Maçonner, en appareil d une demi-brique, des murs en briques ordinaires, briques de construction rapide, blocs mi-lourds, comprenant des trumeaux, angles, jonctions, croisements, sur une hauteur de +/- 1,5 m. Appliquer les connaissances de base relatives aux maçonneries réalisées à l aide de produits en terre cuite (briques et blocs) - Identifier et caractériser les briques ordinaires et les briques de construction rapide (terre cuite) : citer les différentes parties (faces) d une brique ; citer les principales catégories de briques ; - Par exemple : pleines perforées, donner leurs usages les plus courants ; citer, de mémoire, les modules usuels des briques pleines pour maçonnerie ordinaire ; énumérer les qualités d une bonne brique ; citer les constituants d une brique ; énumérer dans l ordre chronologique les stades de fabrication d une brique ; établir la relation longueur-largeur ; déterminer la longueur de coupe d ¼, ½, ¾ ; préciser l épaisseur d un mur en unité de brique ; lire dans un tableau de référence, la quantité de briques - Le tableau est à disposition et le module est précisé. nécessaires par m² et par m³ ; déterminer la quantité de briques nécessaires pour réaliser l ouvrage ; - En collaboration avec le professeur de mathématique : calculer les surfaces élémentaires. déceler, par des moyens simples, les défauts éventuels - Briques à disposition des matériaux ; citer les principales catégories de briques de parement. - Par exemple : moulées à la main, moulées à la machine, étirées, - Caractériser l appareil d une demi-brique : X 7.5. citer les règles générales à observer pour obtenir un bon appareil ; représenter l appareil d une demi-brique pour : un trumeau ; un retour d angle ; une jonction ; un croisement ; 14
17 citer les dimensions courantes des joints horizontaux et - Dimensions à respecter lors des compassages. verticaux. - Compasser horizontalement en fonction d une longueur X donnée. - Compasser verticalement en fonction d une hauteur X donnée. - Caractériser le jointoiement : X différencier le jointoiement et le rejointoiement ; citer et identifier les différents types de joints ; - Tels que : plats, rentrants, débordants. expliquer la marche à suivre pour jointoyer. Appliquer les connaissances de base relatives aux maçonneries en blocs en béton Compétences spécifiques Conditions de mise en œuvre T.P. C.T. Classe R.P.F. - Identifier et caractériser les matériaux artificiels non cuits (blocs en béton) : - A l exception, des blocs spéciaux : blocs emboîtés, blocs acoustiques, blocs drainants, blocs reconnaître les différents types de blocs (blocs de béton compact, blocs de béton léger, blocs de béton cellulaire) ; décoratifs,.. - Les connaissances relatives aux blocs de béton cellulaire seront abordées au 3 ème degré. citer les principales caractéristiques des blocs lourds et mi-lourds ; donner leurs usages les plus courants ; citer, de mémoire, les formats usuels des blocs de béton compact et de béton léger ; déceler les défauts apparents ; - Tels que : fendillements, écornures, fissures, 3.1. expliquer la fabrication des blocs en béton. - Par la méthode de compression et de vibration - Concevoir l appareillage des blocs de béton compact (et des blocs de béton léger) dans : un mur trumeau ; un retour d angle ; une jonction ; un croisement ; - Pour le format : 39x x19 cm et l appareil d une demi-brique. X
18 citer les dimensions courantes des joints horizontaux et verticaux déterminer les dimensions des morceaux de blocs - Pour le format : 39 x x 19 cm. compasser horizontalement en fonction d une longueur donnée compasser verticalement en fonction d une hauteur donnée - Caractériser le jointoiement et le rejointoiement : X différencier jointoiement face au travail et derrière le travail. Appliquer les conventions de dessin technique - Utiliser l écriture normalisée et/ou conventionnelle : - A exercer au fur et à mesure dans les différents dessins. lire dans un tableau les caractéristiques - Tableau à disposition. dimensionnelles des caractères ; tracer au crayon les caractères de l alphabet en écriture droite et/ou inclinée. - Identifier, choisir et utiliser les traits conventionnels. - A exercer au fur et à mesure dans les différents dessins. - Choisir et utiliser la représentation conventionnelle - A exercer au fur et à mesure dans les différents des matériaux dans un dessin. dessins. - Citer les échelles usuelles des plans de construction. - Rechercher une dimension connaissant l échelle. - En collaboration avec le professeur de mathématiques. - Rechercher une échelle connaissant une dimension. - Résoudre une transposition d échelles. - Rechercher une cote manquante. 16
19 Dessiner des figures géométriques planes Compétences spécifiques Conditions de mise en œuvre T.P. C.T. Classe R.P.F. - Les compétences doivent également préparer à la réalisation des tracés d atelier (Implantation / tracé). - Utiliser les instruments de dessin : disposer du matériel indispensable ; manier les instruments de dessin ; entretenir le matériel de dessin. - Dessiner aux instruments les tracés fondamentaux perpendiculaires, parallèles, angles : tracer un segment de droite de longueur donnée ; prendre la mesure d un segment de droite ; abaisser une perpendiculaire à une droite ; élever une perpendiculaire à une droite ; diviser un segment ; construire la parallèle à une distance donnée ; tracer des angles aigus et obtus ; mesurer un angle inférieur à un angle plat ; construire la bissectrice d un angle. - Dessiner aux instruments les figures géométriques planes utilisées en construction. - A exercer dans des exemples concrets. - En collaboration avec le professeur de mathématiques. - Appliquer les formules de calcul des surfaces. - A exercer dans des exercices concrets. - En collaboration avec le professeur de mathématiques. X X X CM CM CM 17
20 Utiliser le mécanisme des 3 vues - Appliquer les conventions de représentation européenne. - Centrer les 3 vues sur un format normalisé. - Utiliser le mécanisme des 3 vues au travers - Dessins aux instruments et/ou logiciels d exercices simples. spécifiques. - Appliquer les formules de calcul des volumes. - En collaboration avec le professeur de mathématiques. - Réaliser le croquis d éléments de forme parallélépipédique. - Croquis à main levée de briques, de blocs, Lire le plan des exercices de maçonnerie (7.1.) - Lire un plan de maçonnerie dans les 3 vues : - A exercer en relation avec les travaux X pratiques. lire les cotes et rechercher par calcul une dimension au départ de l échelle ; différencier les traits et les signes conventionnels ; identifier les matériaux en fonction de leur - La découverte des symboles est progressive. représentation conventionnelle ; localiser et identifier les éléments composants dans les 3 vues ; compasser une maçonnerie horizontalement et verticalement ; évaluer la quantité des matériaux nécessaires ; - Tableau de référence à disposition rédiger le bordereau des matériaux. - Bordereau type à disposition. 18
21 Implanter/tracer les réalisations (7.1.) - Relever les dimensions de l exercice. - Plan de l exercice à disposition et consignes X spécifiques. - Identifier les instruments de traçage et de mesure. - Tels que : mètre, équerre, règle, crayon, X - Choisir et utiliser les outils de traçage et de mesure. - Identifier (repérer) l alignement de base. - Au début de la formation, l alignement de base X CM est défini. - Reporter les distances (longueurs). - Tracer un alignement. - Tracer des angles droits. - Équerre et méthode X - Compasser horizontalement (à sec) la 1 ère assise. X - Expliquer la marche à suivre pour le traçage des ouvrages. X CM Aménager le poste de travail pour une maçonnerie au sol (3) - Pour les exercices, par exemple : trumeau, angle, jonction, en appareil d une demibrique. - Préparer l outillage et le matériel approprié : - La découverte et l identification de l outillage X nommer et reconnaître les outils individuels nécessaires aux travaux courants de maçonnerie et de jointoyage ; et du matériel sont progressives. - Le petit outillage individuel : coffre, truelle, règle, niveau, expliquer le maniement des outils individuels ; préciser les opérations d entretien ; rappeler et appliquer les mesures de sécurité et d hygiène. - Identifier les matériaux adéquats. - La découverte et l identification de l outillage et du matériel sont progressives. X CM 19
22 - Utiliser les moyens de transport : porter, soulever, manipuler les charges pondéreuses en 1.1. toute sécurité physiologique (ergonomique) ; charger correctement une brouette. - Approvisionner le poste de travail : disposer les outils, la cuvelle à mortier, les matériaux aux endroits adéquats et à portée de main ; vérifier la stabilité des empilements (empilages) ; 1.1. utiliser les moyens de protection individuels. - Tels que : bottines, gants, Respecter les quantités de matériaux nécessaires. - A exercer de manière progressive durant la X 7.4. formation. - Maintenir en bon état l aire de travail et son (ses) accès. - Trier et stocker les déchets en fonction de leur nature Préparer les mortiers traditionnels à maçonner et à jointoyer (7.2.) - Citer les sortes de sables naturels, leurs caractéristiques et leurs utilisations. - Citer les sortes de sables artificiels, leurs caractéristiques et leurs utilisations. - Préciser les qualités d un bon sable à maçonner et à jointoyer. - Différencier liant hydraulique et liant aérien. - Identifier les liants par lecture des emballages Localiser sur une carte les gisements de craie, de marne et - En collaboration avec le professeur de sciences de calcaire dur. humaines. - Citer les ciments couramment utilisés pour maçonner et pour jointoyer. 20
23 - Citer les formes commerciales des ciments. - Préciser les précautions à prendre lors de l entreposage et de la conservation des ciments. - Différencier prise et durcissement. - Citer les catégories de chaux et leurs utilisations. - Citer les emplois des mortiers. - Énumérer les composants des mortiers traditionnels. - Les adjuvants ne sont pas pris en compte. - Expliquer leur rôle. - Définir un mortier bâtard. - Expliquer les avantages de l addition de chaux aérienne et de chaux hydraulique. - Rappeler la composition (dosage) en volume du X mortier à maçonner. - Rappeler la composition (dosage) en volume du X mortier à jointoyer. - Décrire les phases de la préparation du mortier. - Préparation à la main et à la machine. - Expliquer l incidence du non-respect du dosage sur la qualité du mortier. - Évaluer l ouvrabilité du mortier. - A exercer au fur et à mesure de la formation. X CE - Donner le délai de mise en œuvre du mortier - Dans les conditions normales de température et traditionnel. d humidité. - Citer les précautions élémentaires à prendre lors de travaux de maçonnerie : pendant les fortes chaleurs ; par temps de pluie ; par temps de gel. 21
24 Exécuter les maçonneries en appareil d une demi-brique - Préparer le mortier. - Préparation à la main et à la machine. - Voir activité spécifique. - Transporter les briques et le mortier Maçonner à la règle et à la ficelle (à plein bain de mortier) des murs comprenant : disposition à redans et en besace ; trumeaux ; angles droits ; jonctions droites ; croisements droits. - Assurer les compassages horizontaux et verticaux en fonction des matériaux et du plan. - Appareiller la maçonnerie et assurer les liaisonnements. - Respecter l aplomb, l horizontalité, la planéité et les - Murs en briques ordinaires. - Murs en briques de construction rapide. - Murs en blocs mi-lourds. - Les profils sont placés par le professeur. - Voir aussi implantation et tracé dimensions. - Découper les morceaux de briques et blocs : - Découpe à la truelle et au ciseau à briques tracer l élément à découper ; utiliser le matériel de découpe ; exécuter la découpe en veillant aux règles de sécurité. - Les moyens de protection individuels sont mis en œuvre. - Jointoyer : choisir l outillage adéquat ; réaliser des joints à plat et en retrait ; brosser les maçonneries. - Évaluer son travail X X X CM CM CM 22
25 B. Maçonner, en appareil d une demi-brique, des murs pleins et creux en briques ordinaires, briques de construction rapide, blocs mi-lourds, comprenant des trumeaux, angles, jonctions, avec fermeture de baie, sur une hauteur d étage. Y compris la pose des éléments préfabriqués tels que linteaux, seuils, couvre-murs, Appliquer les connaissances de base relatives aux maçonneries en élévation (au-dessus du sol) - Les maçonneries enterrées ne sont pas prises en compte. - Reconnaître les différents types de murs (pleins, creux, mixtes). - Utiliser la terminologie relative aux murs. - Par exemple : façade, pignon, allège, refend, - Caractériser les murs creux : - Constitués d une maçonnerie de parement, d une coulisse isolée, d un mur porteur et des membranes d étanchéité. utiliser la terminologie correcte ; expliquer sa composition et ses fonctions ; préciser les épaisseurs courantes des parties ; préciser l utilité des éléments composant un mur creux ; expliquer et schématiser un pont thermique ; décrire les types de remplissage de la coulisse ; identifier les panneaux d isolation thermique ; - Par exemple : laine minérale, mousse synthétique, verre cellulaire. L étude des isolants thermiques sera abordée au 3 ème degré. reconnaître et différencier les sortes de crochets de liaison ; préciser la disposition des crochets ; décrire la pose des crochets chevillés ; expliquer la pose des panneaux d isolation. 23
26 - Caractériser l étanchéité au pied du mur creux : reconnaître une membrane d étanchéité ; préciser les fonctions des membranes d étanchéité ; montrer, à l aide d un croquis, la position des - Quelques cas sont envisagés. membranes d étanchéité contre l humidité ascensionnelle ; expliquer les raccords aux angles. - Découvrir les baies extérieures dans les murs creux : - Baies sans volets mécaniques. - Pieds droits en briques ordinaires et blocs. - Linteau : plate-bande, cornière métallique. - Arrière-linteau : rectiligne en B.A. utiliser la terminologie correcte ; définir l utilité et la fonction de la baie ; citer et identifier les éléments de la baie ; donner la dimension courante des battées ; justifier la fonction des battées ; préciser la position des blochets ; expliquer la fermeture de la baie ; déterminer les longueurs de l arrière-linteau et de la cornière métallique ; expliquer l étançonnement ou l étaiement du rouleau ; compasser le rouleau de briques ; - Briques posées verticalement. déterminer, à partir du niveau de référence, le - Plan à disposition. niveau de pose des linteaux ; respecter le sens de pose de l arrière-linteau ; expliquer le compassement des trumeaux en briques. 24
27 - Caractériser l étanchéité au niveau du linteau : préciser la fonction de la membrane d étanchéité ; montrer, à l aide d un croquis, la position de la membrane et le pliage de celle-ci ; justifier l utilité des joints verticaux ouverts. - Expliquer la marche à suivre pour construire un mur creux isolé. - Caractériser les murs intérieurs (de refend et cloisons) : rappeler les fonctions de murs de refend et des cloisons ; citer les épaisseurs minimums ; expliquer la réalisation du liaisonnement dans le cas de maçonnerie de nature différente (ancrages métalliques, rainures d attente, pièces profilées, ). - Murs réalisés avec des blocs mi-lourds ou des riques de construction rapide. - Pour la jonction des murs intérieurs et extérieurs. - - Découvrir les baies intérieures : utiliser la terminologie correcte ; citer et identifier les éléments d une baie intérieure ; déterminer la longueur du linteau ; déterminer, à partir du niveau de référence, le niveau de pose du linteau ; préciser la position des blochets. - Plan à disposition. X CM 25
28 Lire le plan des exercices de maçonnerie - A exercer en relation avec les travaux pratiques. Lire et interpréter un plan de maçonnerie : - Fragment de construction d une hauteur X identifier les éléments composants et citer leur(s) onction(s) ; différencier les éléments du plan (vues en élévation, vues en plan, coupes, détails) ; justifier l utilité des coupes, des vues en plan et des détails ; établir la correspondance entre les différentes vues ; différencier les signes et symboles conventionnels ; identifier et différencier les matériaux en fonction de leur représentation conventionnelle ; lire les dimensions et/ou les cotes ; lire les cotes de niveaux ; calculer une différence de niveau ; rechercher les dimensions des baies ; rechercher la hauteur d un mur d allège ; compasser horizontalement la façade et les linteaux ; d étage avec baies. - La découverte des symboles et des signes est progressive. - Utilisation des signes et symboles du FFC. - Linteaux : plate bande. compasser verticalement la façade ; évaluer la quantité des matériaux nécessaires ; - Tableau de référence à disposition. rédiger le bordereau des matériaux. 26
29 Réaliser des dessins aux instruments et des croquis à main levée - A exercer en relation avec les travaux pratiques. - Extraire un ou plusieurs élément(s) des différentes - Par exemple : linteaux, seuils, couvre murs, vues. murs creux, - Esquisser et représenter les éléments : - Dessins aux instruments et croquis à main levée. choisir la vue de face ; - Vue la plus évocatrice de l objet. rechercher les coupes et les vues ; dessiner les vues et les coupes en respectant le rapport des dimensions ou l échelle. - Coter les dessins et les croquis : positionner correctement les cotes ; respecter l unité de mesure. 27
30 Implanter/tracer les ouvrages - Relever les dimensions de l ouvrage par lecture du - Plan de l ouvrage à disposition et consignes X plan. spécifiques. - Choisir et utiliser les outils de traçage et de mesure. - Compasser horizontalement la 1 ère assise. - Tracer les alignements de base et les angles droits. - Pour murs pleins et murs creux. - Identifier les instruments de report des niveaux. - Grande règle, niveau à bulle, niveau d eau à X fioles. - Choisir et utiliser les instruments de report des X niveaux. - Positionner et régler les profils. - Identifier et repérer les niveaux de référence. - S il ne figure pas sur le plan, le niveau est X CM précisé. - Reporter les niveaux sur les profils. - Compasser verticalement (report des assises sur les X CM profils. - Vérifier la précision du tracé (traçage et report des niveaux) Monter et démonter un échafaudage sur tréteaux (12) - Citer les différentes sortes d échafaudages. - Les différencier sommairement. - Caractériser les échafaudages sur tréteaux : - C.-à-d. : tréteaux, plancher de travail et protections. lire et interpréter les documents techniques des - Documents à disposition. fabricants ; préciser et justifier le choix des éléments du plancher ; donner l écartement maximum entre les tréteaux ; citer la largueur minimum du plancher de travail ; 28
31 décrire le dispositif de protection (garde-corps) pour une plate forme de travail située à plus de 2 m ; préciser les moyens pour stabiliser un échafaudage ; citer les opérations d entretien ; préciser les règles de sécurité pour le montage et le démontage. - Monter un échafaudage sur tréteaux : - Hauteur inférieure à 2 m positionner les tréteaux entre eux (en fonction de la longueur des planches) et par rapport au mur ; stabiliser les tréteaux ; - Sur une assise stable et de niveau. régler la hauteur de l aire de travail ; placer le plancher de travail ; - Plancher, en état, à disposition. équiper, si nécessaire, le plancher de travail de gardecorps ; vérifier et assurer la stabilité de l ensemble ; placer, en toute sécurité, une échelle ou un escabeau. - Les connaissances relatives aux échelles sont précisées dans l activité : «Utiliser l outillage collectif et les machines». - Démonter un échafaudage sur tréteaux : respecter les règles de sécurité ; vérifier, nettoyer, entretenir et stocker les éléments ; éliminer les éléments défectueux. CE Installer le poste de travail sur échafaudage (3) - Installer le poste de travail sur échafaudage : répartir les matériaux et la cuvelle à mortier de façon à éviter tout déséquilibre de la plate forme ; éviter les surcharges de matériaux sur la plate-forme ; contrôler la stabilité de l empilage ; respecter la largeur ergonomique nécessaire pour le maçon ; assurer un accès à l aire de travail ; - Il s agit de l accès au pied de l échafaudage et sur celui-ci. 29
32 débarrasser l aire de travail de tout déchet ; trier et stocker les déchets en fonction de leur nature Utiliser les machines et l outillage collectif - Identifier l outillage collectif et les machines usuelles. - Outillage collectif : échelle, niveau d eau à fioles X profils, étançons, - Machines usuelles : bétonnière, foreuse, - Citer les caractéristiques. - Préciser les domaines d utilisation. - Expliquer la façon d utiliser les machines. - Citer les précautions à prendre lors de l utilisation. - Pour bétonnière, échelle, foreuse, X - Utiliser les moyens de protections individuels et X collectifs - Utiliser correctement l outillage et les machines. - Préciser les opérations d entretien et assurer celui-ci. - Maintenance de premier niveau pour les machines. X - Ranger l outillage et les machines. Exécuter des murs extérieurs creux isolés avec fermeture de baie (en appareil d une demi-brique) - Exécution des maçonneries sur une assise de blocs (39x29x19 cm) afin de simuler la partie supérieure de la maçonnerie enterrée et permettre la pose de la membrane d étanchéité. -Maçonner entre profils des murs extérieurs creux isolés : - Les murs comprennent : angles droits, jonctions X CM droites, baies rectangulaires, trumeaux, battées. poser les membranes d étanchéité au pied du mur ; maçonner le mur intérieur porteur ; - Réalisé en blocs mi-lourds et/ou briques de construction rapide. monter l échafaudage ; - Voir activité ad hoc. 30
33 compasser à sec les briques de parement ; tracer les ouvertures des baies ; - Prise en compte du compassage à sec et des dimensions lues sur le plan. positionner et placer les crochets de liaison ; placer les blochets de fixation ; poser l arrière linteau préfabriqué ; - Voir activité spécifique. placer la membrane d étanchéité au niveau du linteau ; mettre en place les panneaux isolants ; - Isolants rigides ou semi-rigides. CE maçonner le parement en briques ; - Réalisé en briques ordinaires. compasser horizontalement les trumeaux en respectant les règles de l appareillage ; étayer la plate bande ; compasser et maçonner le linteau en briques ; - Linteaux en plate-bande avec assise de champ. respecter l aplomb, l horizontalité, la planéité et les dimensions ; exécuter les découpes (briques et blocs) en respect des règles de sécurité. - Les moyens de protection individuels sont mis 7.6. en œuvre. - Rejointoyer le parement en briques : vider les joints ; rejointoyer ; brosser la façade. - Nettoyer le poste de travail. - Évaluer son travail
34 Exécuter des murs intérieurs avec fermeture de baie (en appareil d une demi-brique) - Exécution des maçonneries sur une assise de blocs (39x19x19 cm) afin de simuler la partie supérieure de la maçonnerie enterrée et permettre la pose de la membrane d étanchéité. - Maçonner entre profils des murs intérieurs, porteurs ou - Les murs comprennent : angles droits, jonctions X CM non : droites, baies rectangulaires, trumeaux, poser la membrane d étanchéité au pied du mur ; maçonner le mur de refend et/ou la cloison ; tracer l ouverture de la baie ; - Prise en compte des dimensions du plan. monter l échafaudage ; - Voir activité ad hoc. placer les blochets de fixation ; poser le linteau préfabriqué ; - Voir activité spécifique. respecter l aplomb, l horizontalité, la planéité et les dimensions ; exécuter les découpes en respect des règles de sécurité. - Les moyens de protection individuels sont mis en œuvre. - Jointoyer à plat en cours d exécution Évaluer son travail Exécuter des maçonneries en appareil croisé - Concevoir les appareils «type croisé» : - Murs en briques ordinaires d une brique 7.5. citer les règles de l appareillage ; d épaisseur. expliquer la marche à suivre ; - Appareil croisé «état belge» et «régional». rechercher graphiquement les appareils. - Sur feuille quadrillée de préférence. - Maçonner, à la règle et à la ficelle (à plein bain de X CM mortier), des murs d une brique d épaisseur comprenant : disposition à redans ; about droit, trumeau ; 32
35 angle droit ; jonction droite ; - Au minimum liaison mur d une brique d épaisseur avec un mur d une demi brique battée. d épaisseur. - Assurer les compassages horizontaux et verticaux en X CM fonction des matériaux et du plan. - Appareiller les maçonneries et assurer les liaisonnements. - Maçonner une voûte plate-bande en une brique - La hauteur de la voûte est égale à une panneresse d épaisseur : situer le niveau inférieur de la plate-bande ; - Plan à disposition. étayer la voûte ; compasser horizontalement ; - Nombre impair de briques. exécuter la plate-bande en respectant le tracé. - Découper les morceaux de briques en respectant les règles de sécurité. - Découpe à la truelle et au ciseau à brique. - Les moyens de protection individuels sont mis en œuvre. - Jointoyer le parement Nettoyer le poste de travail. - Évaluer son travail Poser de petits éléments simples préfabriqués (8) - Mettre en œuvre manuellement de petits éléments - Par exemple : linteaux, dalles, couvre-murs, préfabriqués : nettoyer la surface de pose ; manipuler les éléments avec soin et précautions ; placer, si nécessaire, la membrane d étanchéité ; poser les éléments ; - Respect du plan (de pose) et/ou des consignes. respecter l horizontalité, la pente minimum et les saillies ; nettoyer le poste de travail ; évaluer son travail X CM 33
Mur double - appui plancher béton sur linteau Cellumat. 1/Détail: mur double appui hourdis béton sur linteau Cellumat
Détails 1. Mur double - appui plancher béton sur linteau Cellumat 1/Détail: mur double appui hourdis béton sur linteau Cellumat Crochet type mur sec Mortier Membrane d'étanchéite Chaînage béton Brique
Plus en détailB1 Cahiers des charges
B1 Cahiers des charges B1 cahiers des charges 35 B.1 Cahiers des charges Ce chapitre contient les cahiers des charges. Pour plus d informations, nous réfèrons au paragraphe B.3. Mise en oeuvre et B.4 Détails
Plus en détailLa Chapelle de la Ferme d Ithe
La Chapelle de la Ferme d Ithe Le Tremblay-sur-Mauldre / Jouars-Pontchartrain (78 Yvelines) Une dizaine de jeunes, âgés de 17 à 20 ans, ont inauguré, durant les deux dernières semaines de juillet, une
Plus en détailProgramme. Electricien installateurmonteur. installatrice-monteuse. Humanités professionnelles et techniques
FÉDÉRATION DE L'ENSEIGNEMENT SECONDAIRE CATHOLIQUE rue Guimard 1 1040 BRUXELLES Programme Electricien installateurmonteur / Electricienne installatrice-monteuse 3 e degré professionnel Humanités professionnelles
Plus en détailMACONNERIE/GROS OEUVRE
GIDE AVANT METRE MACONNERIE/GROS OEVRE MET 2 ORDRE D EXECTION Infrastructure Maçonnerie soubassement : murs, poteaux, poutres, chaînages, enduit d étanchéité, escaliers Maçonnerie superstructure : Dallage
Plus en détailMur Hybride, bien plus qu un simple mur
Mur Hybride, bien plus qu un simple mur Correction des ponts thermiques Maçonnerie de type a RT 2012 Mur Hybride R = 1,45 Pose rapide Porotherm GF R20 Th+ Mur Hybride énergie économie écologie émotion
Plus en détailVersion 1. Demandeur de l étude : VM - BETON SERVICES 51 Boulevard des Marchandises 85260 L'HERBERGEMENT. Auteur * Approbateur Vérificateur(s)
Département Enveloppe et Revêtements Division HygroThermique des Ouvrages N affaire : 12-007 Le 10 avril 2012 Réf. DER/HTO 2012-093-BB/LS CALCUL DES COEFFICIENTS DE TRANSMISSION SURFACIQUE UP ET DES COEFFICIENTS
Plus en détailLES ESCALIERS. Les mots de l escalier
Les mots de l escalier L escalier :ouvrage constitué d une suite régulière de plans horizontaux (marches et paliers) permettant, dans une construction, de passer à pied d un étage à un autre. L emmarchement
Plus en détailLe maçon à son poste de travail
Fiche Prévention - E2 F 03 14 Le maçon à son poste de travail Partie 2 : la protection face au vide La réalisation de murs en maçonnerie est une opération courante sur les chantiers du bâtiment (maison
Plus en détailUn pavillon se compose de murs et d'un toit qui peuvent être réalisés de différentes façons suivant le budget donné :
Un pavillon se compose de murs et d'un toit qui peuvent être réalisés de différentes façons suivant le budget donné : l'assemblage de parpaings le moulage dans un coffrage donnant une forme circulaire
Plus en détailEnseignement secondaire de Type I PROGRAMME. Electricien Installateur en résidentiel/ Electricienne Installatrice en résidentiel
ENSEIGNEMENT PROVINCIAL ET COMMUNAL CPEONS CONSEIL DES POUVOIRS ORGANISATEURS DE L'ENSEIGNEMENT OFFICIEL NEUTRE SUBVENTIONNE A.S.B.L. Rue des Minimes 87-89 - 1000 BRUXELLES Téléphone : 02/504.09.10 Télécopie
Plus en détailLibre-Service de l agence ISOPAR Garges-lès-Gonesse
Libre-Service de l agence ISOPAR Garges-lès-Gonesse 60 Tarif Public H.T. (réservé aux professionnels) Verre cellulaire FOAMGLAS T4+ FOAMGLAS S3 FOAMGLAS F FOAMGLAS TAPERED FOAMGLAS BOARD PANNEAU READY
Plus en détailMAQUETTE DE MAISON EN BOIS ET EN BRIQUES
évolutions possibles Dossier réalisé par Christian BÉGUÉ Cyril LASCASSIES HPY version d' août 00 Table des matières A) IMPLANTATION DE LA MAISON... )Travail à faire :... )Matériel nécessaire :... B & C)
Plus en détailTerminologie et définitions
IV.70 OUVERTURES EXTÉRIEURES IV.701.1 IV.701 TERMINOLOGIE ET DÉFINITIONS RELATIVES AUX FENÊTRES ET PORTES EXTÉRIEURES IV.701.1 Terminologie et définitions extrémités inférieure et supérieure de la porte
Plus en détailProtection des structures et constructions à ossature bois par plaques de plâtre
D01 Protection au feu des structures Protection des structures et constructions à ossature bois par plaques de plâtre Généralités et principes La stabilité au feu des structures évite, en cas d incendie,
Plus en détailLE GÉNIE PARASISMIQUE
LE GÉNIE PARASISMIQUE Concevoir et construire un bâtiment pour qu il résiste aux séismes 1 Présentation de l intervenant Activité : Implantation : B.E.T. structures : Ingénierie générale du bâtiment. Siège
Plus en détailPrincipe d assemblage Structure modulaire CAPENA bassin rectangulaire avec escalier Hauteur panneaux 1,2 ou 1,5 mètres Montage sur pieds
Principe d assemblage Structure modulaire CAPENA bassin rectangulaire avec escalier Hauteur panneaux 1,2 ou 1,5 mètres Montage sur pieds CAPENA GmbH - PISCINES - Gruber Strasse 6-85551 KIRCHHEIM Allemagne
Plus en détailMise en œuvre et détails techniques
B3 Mise en œuvre et détails techniques B3 mise en œuvre et détails techniques 101 B.3.0 Généralités La partie B.3 reprend la technique de mise en œuvre, les conseils pratiques et les détails techniques.
Plus en détailESCALIERS. passer des dénivellations supérieures à 7%
ESCALIERS passer des dénivellations supérieures à 7% 2 définitions essentielles : Contremarche et giron Le rapport H/G donne la pente d une volée de marches ex : 16 cm / 32 cm = 50% Emmarchement, emprise,
Plus en détailSALLE DE BAIN, DOUCHE, PLAN DE TRAVAIL CUISINE, PISCINE... Collage et jointoiement. L Epoxy facile
SALLE DE BAIN, DOUCHE, PLAN DE TRAVAIL CUISINE, PISCINE... Collage et jointoiement L Epoxy facile DOMAINES D EMPLOI Recommandé pour salle de bain, douche, plan de travail cuisine, piscine, bassins thermaux,
Plus en détailMuret Laurentien MC. Classique et Versatile
Muret Laurentien MC Classique et Versatile Le muret Laurentien par son look classique s agence à toutes nos gammes de pavé. Qualités et caractéristiques Intégration particulièrement harmonieuse du muret
Plus en détailC0nstruire une mais0n. Sommaire
Sommaire Page 2 : Le terrain Page 3 : Les raccordements Page 4 : Les fondations Page 5 : La chape Page 6 : Les murs Page 8 : Les planchers Page 9 : Le toit Page 10 : La charpente Page 12 : Les tuiles C0nstruire
Plus en détailPour réaliser facilement vous-même, cloisons et aménagements. Conseils de pose
Pour réaliser facilement vous-même, cloisons et aménagements Conseils de pose Conseils de pose Vous avez des idées Cloison de séparation Aménagements de cuisine Habillage de baignoire et aménagements de
Plus en détailCAP SERRURIER METALLIER
NOM : Prénom : Diplôme préparé : CERTIFICAT D APTITUDE PROFESSIONNELLE CAP SERRURIER METALLIER Session : 20.. / 20.. 40.80.32.00 ou FAX 40.80.32.14 Première CAP PFMP de découverte et de mise en pratique
Plus en détailCours de Structures en béton
Cours de Structures en béton Chapitre 12 DETAILS DE CONSTRUCTION Section 12.3 Les murs 12.3.1 Le mur extérieur en béton armé 12.3.2 Le mur extérieur en maçonnerie traditionnelle 12.3.3 Le mur extérieur
Plus en détail74 cm - 89 cm INSTRUCTIONS DEMONTAGE KOMPACT
74 cm - 89 cm Français INSTRUCTIONS DEMONTAGE KOMPACT KOMPACT - www.arke.ws Avant de procéder à l assemblage, déballer tous les éléments de l escalier et les distribuer sur une surface suffisamment large.
Plus en détailSchlüter -KERDI-BOARD Support de pose, panneau de construction, étanchéité composite
Support de pose, panneau de construction, étanchéité composite Le support de pose universel pour carrelages Important! Qu il s agisse d'une mosaïque ou de carreaux de grand format, la qualité d un revêtement
Plus en détailLes dimensions mentionnées sont pour la plupart reprises dans la réglementation (STS54, NBN EN 3509), RGPT, arrêté royal du 07/07/97)
Préliminaires Les dimensions mentionnées sont pour la plupart reprises dans la réglementation (STS54, NBN EN 3509), RGPT, arrêté royal du 07/07/97) Ces obligations assurent la sécurité dans les escaliers
Plus en détailC O N S E I L. C a s t o r a m a. La moquette page 2 La préparation page 2&3 La pose. La pose «spécial escalier» page 6 La finition page 6
40.03 POSER UNE MOQUETTE C O N S E I L C a s t o r a m a La moquette page 2 La préparation page 2&3 La pose pages 3&4&5 La pose «spécial escalier» page 6 La finition page 6 page 1/6 - Fiche Conseil n 40.03
Plus en détailNotice de pose NOTICE DE POSE 1-2. 1. Fond: 2. IMPORTANT:
Panneaux de terrasse TimberStar Notice de pose NOTICE DE POSE 1-2 Veuillez lire l intégralité de la notice de pose avant de commencer le montage! Les panneaux de terrasse TimberStar peuvent être sciés,
Plus en détailFiche Technique d Évaluation sismique : Construction basse en Maçonnerie Non-armée, Chaînée, ou de Remplissage en Haïti
.0 RISQUES GEOLOGIQUES DU SITE NOTES. LIQUÉFACTION : On ne doit pas trouver de sols granulaires liquéfiables, lâches, saturés, ou qui pourraient compromettre la performance sismique du bâtiment, dans des
Plus en détailGUIDE D INSTALLATION. La première enveloppe pare air et perméable à la vapeur d eau AVANTAGES
GUIDE D INSTALLATION La première enveloppe pare air et perméable à la vapeur d eau AVANTAGES Possède une résistance thermique élevée Réduit la circulation d air à travers les murs Évite la formation d
Plus en détailGUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA CONSTRUCTION DE PETITS BÂTIMENTS EN MAÇONNERIE CHAÎNÉE EN HAÏTI
GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA CONSTRUCTION DE PETITS BÂTIMENTS EN MAÇONNERIE CHAÎNÉE EN HAÏTI M T P T C M I C T Septembre 2010 MTPTC : Ministère des Travaux Publics, Transports et Communications MICT
Plus en détailSTAGE : ELECTRICIEN INSTALLATEUR-MONTEUR
MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ENSEIGNEMENT DE PROMOTION SOCIALE DE REGIME 1 DOSSIER PEDAGOGIQUE UNITE DE FORMATION STAGE
Plus en détailVII Escaliers et rampes
VII Escaliers et rampes 1. Généralité et terminologie des escaliers Les escaliers permettent de franchir une dénivellation et de relier les différences de niveaux d une construction ou d un jardin. A son
Plus en détailLE TRAVAIL EN HAUTEUR
F I C H E P R E V E N T I O N N 0 2 «H Y G I E N E S E C U R I T E» LE TRAVAIL EN HAUTEUR STATISTIQUES Avec près d une centaine d agent victime de chutes de hauteur durant les 5 dernières années dans les
Plus en détailCe guide se divise en six chapitres, dont quatre sont dédiés à une catégorie de bâtiment :
INTRODUCTION Constructions de pointe et d usage courant, les escaliers métalliques doivent répondre à d autres exigences, que celle de pouvoir passer d un niveau à un autre. L un des principaux points
Plus en détailSommaire Table des matières
Notice de montage 1 Sommaire Table des matières I. Mise en garde... 3 II. Avant de commencer... 4 1. Préparer vos outils... 4 2. Pièces nécessaires pour le montage de votre porte Keritek... 5 III. Étape
Plus en détailINTRO. Comment appliquer une peinture en façade? Caisse à outils. Matériaux nécessaires
Comment appliquer une peinture en façade? NIVEAU DE DIFFICULTÉ DÉBUTANT Confirmé EXPERT Caisse à outils Une combinaison ou tenue de travail adaptée Une bâche Des gants et lunettes de protection Une bande
Plus en détailFONTANOT CREE UNE LIGNE D ESCALIERS IMAGINÉE POUR CEUX QUI AIMENT LE BRICOLAGE.
STILE FONTANOT CREE UNE LIGNE D ESCALIERS IMAGINÉE POUR CEUX QUI AIMENT LE BRICOLAGE. 2 3 Magia. Une gamme de produits qui facilitera le choix de votre escalier idéal. 4 06 Guide pour la sélection. 16
Plus en détailÉLECTROMÉCANIQUE. Électricité 4 4 Mécanique 4 4 T.P. Électricité 4 - T.P. Mécanique 4 - T.P. Électromécanique - 8 Total 16 16
SUITES AU 3 e ÉLECTROMÉCANIQUE 2 e degré Technique de Qualification Électricien(ne) automaticien(ne) Mécanicien(ne) automaticien(ne) Technicien(ne) en électronique Technicien(ne) en usinage Technicien(ne)
Plus en détailLes cours d ébénisterie sont susceptibles de se donner du lundi au vendredi de 17h30 à 21h20 et le samedi (horaire décalé).
ébéniste Les cours d ébénisterie sont susceptibles de se donner du lundi au vendredi de 17h30 à 21h20 et le samedi (horaire décalé). ACTIVITE Dans un souci d esthétique, du respect du style ou de sa recherche,
Plus en détailMontant H.T. Montant T.V.A 20,00% Montant T.T.C.
PARIS LE 15/07/2015 mario.marques356@gmail.com http://www.cifidf.fr/ REF. CHANTIER M. Mme LAGRAA 44 RUE DE MARINES 95750 CHARS M. Mme LAGRAA 42 AV. HENRI BARBUSSE 92700 COLOMBES DEVIS N 05873635 TRAVAUX
Plus en détailPRÉGYMÉTALTM. Mise en œuvre CONTRE-CLOISONS PRINCIPES DE POSE POINTS SINGULIERS ACCROCHAGES & FIXATIONS LOCAUX HUMIDES LOCAUX TRÈS HUMIDES
PRÉGYMÉTALTM Mise en œuvre Caractéristiques techniques pages 90 à 9 PRINCIPES DE POSE A POINTS SINGULIERS 7 A 0 ACCROCHAGES & FIXATIONS LOCAUX HUMIDES LOCAUX TRÈS HUMIDES TRAÇAGE ET POSE DES RAILS CONTRE-CLOISONS
Plus en détailChauffe-eau électrique Chaffoteaux
Chauffe-eau électrique Chaffoteaux Guide de montage Difficulté : Durée de l intervention : 1h30 à 2h00 Besoin d informations? Contactez-nous au 01 47 55 74 26 ou par email à Sommaire Introduction... 2
Plus en détailColle époxydique multi usages, à 2 composants
Notice Produit Edition 20 01 2014 Numéro 9.11 Version n 2013-310 01 04 02 03 001 0 000144 Colle époxydique multi usages, à 2 composants Description est une colle structurale thixotrope à 2 composants,
Plus en détailBien utiliser son échelle : généralités
Bien utiliser son échelle : généralités Les échelles et escabeaux sont des moyens d'accès en hauteur. Les échafaudages sont des moyens de travailler en hauteur. La norme EN 131 n'étant pas doublée d'une
Plus en détailOrganiser, plannifier
Dossier HABITAT - Organiser, plannifier Organiser, plannifier 010-011 Les métiers et l organisation Situation de départ : Les travaux de la maison vont commencer, qui doit intervenir en premier, comment
Plus en détailMINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE
MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ENSEIGNEMENT DE PROMOTION SOCIALE DE REGIME 1 DOSSIER PEDAGOGIQUE UNITE DE FORMATION DROIT
Plus en détailLES CENTRES DE FORMATION Ytong
GUIDE DE POSE Outil indispensable sur vos chantiers, ce guide vous apportera un éclairage différent sur les techniques de mise en œuvre du béton cellulaire Ytong. Toutefois, il ne remplace pas le D.T.U
Plus en détailUNITE PROFESSIONNELLE UP 3 Pose, installation et maintenance d un ouvrage
Ministère de la jeunesse, de l éducation nationale et de la recherche C O N T R O L E E N C O U R S D E F O R M A T I O N Nom et prénom du candidat : Diplôme postulé : Etablissement de formation : Entreprise
Plus en détailContenu : Pose d escalier préfabriqué monobloc en béton Rédaction : Hediger Damien / Etudiant ETC 3 ème année Date : 1 er octobre 2008
Page 1 / 5 Rapport technique / domaine du bâtiment Contenu : Pose d escalier préfabriqué monobloc en béton Rédaction : Hediger Damien / Etudiant ETC 3 ème année Date : 1 er octobre 2008 Introduction Dans
Plus en détailAcoustique et thermique
Chapitre 3 Acoustique et thermique 1. Préambule 2. Étude de systèmes constructifs 29 Chapitre 3 Acoustique et thermique 1. Préambule Les bonnes solutions thermiques n améliorent pas forcément l acoustique!
Plus en détailcommunes du pays de brouilly. Four du hameau de Chardignon Saint-Lager
Schéma de restaurationvalorisation du petit patrimoine des communes du pays de brouilly. Four du hameau de Chardignon Saint-Lager SOMMAIRE 1) ÉDIFICE PRÉSENTE... 3 A) DÉNOMINATION ET POSITION GÉOGRAPHIQUE...
Plus en détail26/02/2011. Structure principale sur mur porteur et ferme intermédiaire. Charpente traditionnelle. Structure principale. Structure principale.
Pièces constitutives d une charpente Charpente traditionnelle Structure principale Structure principale sur mur porteur et ferme intermédiaire 2 1 5 4 3 1 - Panne 2 - Panne faitière 3 - Sablière 4 - Chevron
Plus en détailAnnexe I b. Référentiel de certification
Annexe I b Référentiel de certification Page 15 sur 45 CORRESPONDANCE ENTRE ACTIVITÉS ET COMPÉTENCES ACTIVITÉS ET TÂCHES A1. S ORGANISER, S INTEGRER à une EQUIPE A1-T1 Préparer son intervention et/ou la
Plus en détailConstruction. Sarnavap 5000E SA. Pare-vapeur. Description du produit. Tests
Notice Produit Edition 09.2012 Identification no4794 Version no. 2012-208 Sarnavap 5000E SA Pare-vapeur Description du produit Sarnavap 5000E SA est un pare-vapeur auto-adhésif pour système en adhérence
Plus en détailMétropolines 2 / / 2
Métropolines 2 / / 2 Systèmes intercontemporains, pragmatiques, clairs Métropolines 2 : un nouveau système de cloison multiple, fonctionnel et pragmatique qui permet de réaliser tous les scénarios et de
Plus en détail- Grille d'autodiagnostic Restaurants
- Grille d'autodiagnostic Restaurants L objectif de ce document est de permettre aux exploitants de se forger un aperçu du niveau d accessibilité de leur établissement face aux obligations de mise en conformité
Plus en détailEnseignement professionnel. 2 ème degré. Electricité. Institut Saint-Joseph (Ecole Technique)
Enseignement professionnel 2 ème degré Electricité Institut Saint-Joseph (Ecole Technique) Deuxième degré professionnel Electricité Grille Horaire ELEC 3 4 A. FORMATION OBLIGATOIRE Religion 2 Français
Plus en détailACTIVITES PROFESSIONNELLES DE FORMATION : BACHELIER EN MARKETING
MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ENSEIGNEMENT DE PROMOTION SOCIALE DE REGIME 1 DOSSIER PEDAGOGIQUE UNITE DE FORMATION ACTIVITES
Plus en détailELECTRICIEN INSTALLATEUR - MONTEUR
MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ENSEIGNEMENT DE PROMOTION SOCIALE DE REGIME 1 DOSSIER PEDAGOGIQUE SECTION ELECTRICIEN INSTALLATEUR
Plus en détailGUIDE D'INSTALLATION. Lave-Vaisselle
GUIDE D'INSTALLATION Lave-Vaisselle SOMMAIRE 1/ CONSIGNES DE SECURITE Avertissements importants 03 2/ INSTALLATION DE VOTRE LAVE-VAISSELLE Appareil non encastré 04 Appareil encastré 04 Appareil encastré
Plus en détailN 5 SUPERSTRUCTURE. Enveloppe Seconde œuvre. Arezou MONSHIZADE MOBat
N 5 SUPERSTRUCTURE Enveloppe Seconde œuvre Arezou MONSHIZADE MOBat SUPERSTRUCTURE: Eléments constructifs SUPERSTRUCTURE Murs et baies Plancher Toiture Couverture +Seconde oeuvre INFRASTRUCTURE Sol Semelles
Plus en détailVu le dahir du 7 kaada 1371 (30 Juillet 1952) relatif à l urbanisme et, notamment, son article 18 ;
Décret n 2-64-445 du 21 chaabane 1384 (26 décembre 1964) définissant les zones d habitat économique et approuvant le règlement général de construction applicable à ces zones. (B.O. n 2739 du 28-4-1965,
Plus en détailProduits préfabriqués lourds
Fiche Prévention - E4 F 13 14 Produits préfabriqués lourds Manutention, stockage et transport Les produits préfabriqués lourds sont nombreux et communément utilisés sur les chantiers de gros œuvre. Parmi
Plus en détailRéussir l assemblage des meubles
Réussir l assemblage des meubles Assemblages en ligne Systèmes d accrochage de meuble LES BONS CONSEILS POUR FAIRE SOI-MÊME! 1 Les différents types d assemblage Les assemblages en angle ou en croix permettent
Plus en détailMurs poutres & planchers
Murs poutres & planchers Henri RENAUD Deuxième édition Groupe Eyrolles, 2002, 2005, ISBN 2-212-11661-6 8. Structure porteuse : murs, planchers, charpente Eléments porteurs ou de liaisons qui contribuent
Plus en détailGLOSSAIRE DU BÉTON ARMÉ
GLOSSAIRE DU BÉTON ARMÉ Accessoires Articles, à l'exception des barres d'armature; par exemple, les supports de barre. Adhérence Force de liaison entre l'acier d'armature et le béton. Armature en cisaillement
Plus en détailSTAGE : TECHNICIEN EN BUREAUTIQUE
MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ENSEIGNEMENT DE PROMOTION SOCIALE DE REGIME 1 DOSSIER PEDAGOGIQUE UNITE DE FORMATION STAGE
Plus en détailISOLER LES MURS PAR L EXTÉRIEUR
Lisez aussi : Fiche 1 INTRODUCTION + Fiche 2 MAÎTRISER L ÉTANCHÉITÉ ET PROTÉGER L ISOLANT + Fiche 10 AMÉLIORER LA VENTILATION RÉNOVER POUR CONSOMMER MOINS DÉNERGIE : GUIDE PRATIQUE ISOLER LES MURS PAR
Plus en détailles escaliers La pose Guide d installation pour bricoleurs Préparation des outils Prêt à installer Moulé à votre style de vie
les escaliers La pose Guide d installation pour bricoleurs Préparation des outils Prêt à installer Moulé à votre style de vie Guide d installation d un escalier pour bricoleurs L escalier représente souvent
Plus en détailLe chantier compte 4 étapes :
02 Bien mettre en place le 03 béton désactivé La technique du béton désactivé consiste à mettre en valeur les granulats en éliminant la couche superficielle du mortier en surface. Un chantier de béton
Plus en détaildes giratoires en béton
Chapitre Réalisation des giratoires en béton.1 Les giratoires en béton à dalles courtes.1.1 Les joints et leur calepinage.2 Les giratoires à dalles courtes goujonnées.3 Les giratoires en béton armé continu.
Plus en détailConseils pour la conception et la réalisation d ouvrages en béton cellulaire
Conseils pour la conception et la réalisation d ouvrages en béton cellulaire 2+ 1Introduction Le présent manuel est un guide qui a pour but d attirer l attention du concepteur et du constructeur d ouvrages
Plus en détailBâtir un mur en briques de terre compressée. Livret stagiaire
Bâtir un mur en briques de terre compressée Livret stagiaire Sommaire Planning 3 La construction en terre 4 Historique 4 Les particularités du bâti en terre crue 4 La Brique de Terre Compressée (BTC) 5
Plus en détailPROGRAMME D HABILETÉS EN FAUTEUIL ROULANT (WSP-F)
PROGRAMME D HABILETÉS EN FAUTEUIL ROULANT (WSP-F) LIGNES DIRECTRICES POUR LE PARCOURS À OBSTACLES VERSION 4.1 CANADIENNE-FRANÇAISE Les activités d entraînement et d évaluation du WSP-F 4.1 peuvent se dérouler
Plus en détailTortuire-Terrasse Pont et parking. Dilat 40/60. Edition 3/2010. ... Système de joint de dilatation mécanique pour parking
Tortuire-Terrasse Pont et parking Dilat 40/60... Système de joint de dilatation mécanique pour parking Edition 3/2010 Toutes les nouveautés, les catalogues à jour consultables et téléchargeables sur www.danialu.com
Plus en détailINSTRUCTIONS POSE ET FINITION DES PANNEAUX DE GYPSE GA-216-2013
INSTRUCTIONS POSE ET FINITION DES PANNEAUX DE GYPSE GA-216-2013 Ce document est susceptible d être révisé ou retiré de la circulation en tout temps. L état du document devra être vérifié par l utilisateur
Plus en détail(B.O. n 2739 du 28-4-1965, page 489) LE PREMIER MINISTRE,
DECRET N 2-64-445 DU 21 CHAABANE 1384 (26 DECEMBRE 1964) DEFINISSANT LES ZONES D HABITAT ECONOMIQUE ET APPROUVANT LE REGLEMENT GENERAL DE CONSTRUCTION APPLIABLE A CES ZONES (B.O. n 2739 du 28-4-1965, page
Plus en détail1/4 N 13824*03. N de l autorisation. Le cas échéant, n de la déclaration préalable 1 effectuée au titre du code de l urbanisme :
MINISTÈRE CHARGÉ DE LA CONSTRUCTION Demande d autorisation de construire, d aménager ou de modifier un établissement recevant du public (ERP) Cette demande vaut également demande d approbation d un Agenda
Plus en détailSAINT-LUC TOURNAI ÉBÉNISTERIE. Enseignement Secondaire Professionnel
SAINT-LUC TOURNAI ÉBÉNISTERIE Enseignement Secondaire Professionnel 1 Sommaire Historique 5 Introduction 5 Deuxième Degré Professionnel 7 Formation en 3 ème 9 4 ème 11 Troisième Degré Professionnel 13
Plus en détailDOSSIER 1 AMÉNAGER LA CLASSE DES TOUT-PETITS
DOSSIER 1 AMÉNAGER LA CLASSE DES TOUT-PETITS L agencement des espaces de la classe de tout-petits et de l école Les espaces et les équipements de l école sont conçus pour être au service des apprentissages
Plus en détailINTRO. Comment poser des meubles de cuisine? NIVEAU DE DIFFICULTÉ MATÉRIAUX NÉCESSAIRES CAISSE À OUTILS
Comment poser des meubles de cuisine? NIVEAU DE DIFFICULTÉ DÉBUTANT CONFIRMÉ EXPERT CAISSE À OUTILS MATÉRIAUX NÉCESSAIRES Un niveau à bulle Un maillet en caoutchouc Une visseuse Un tournevis Une perceuse
Plus en détailL HABITAT. Technologie 5ème
L HABITAT LES FONCTIONS CLORE: air, eau RESISTER: poids propre, charges d exploitation, charges climatiques (neige, vent) ISOLER: thermique, acoustique CHAUFFER l hiver RAFFRAICHIR l été PROCURER: hygiène,
Plus en détailCCPQ ÉLECTRICIEN INSTALLEUR ÉLECTRICIENNE INSTALLATRICE PROFIL DE QUALIFICATION ÉLECTRICITÉ ÉLECTRONIQUE 1/5
CCPQ Bd Pachéco - 19 - boîte 0 1010 Bruxelles Tél. : 02 210 50 65 Fax : 02 210 55 33 Email : ccpq@profor.be www.enseignement.be INDUSTRIE ÉLECTRICITÉ ÉLECTRONIQUE ÉLECTRICIEN INSTALLEUR ÉLECTRICIENNE INSTALLATRICE
Plus en détailPoser du carrelage mural
Poser du carrelage mural Le carrelage est un revêtement traditionnel pour les murs des cuisines et des salles de bains. Outre son aspect décoratif, il assure une parfaite protection contre les projections
Plus en détailIndications pour une progression au CM1 et au CM2
Indications pour une progression au CM1 et au CM2 Objectif 1 Construire et utiliser de nouveaux nombres, plus précis que les entiers naturels pour mesurer les grandeurs continues. Introduction : Découvrir
Plus en détailLes portes intérieures
Les portes intérieures TECHNOLOGIE 2è DEGRE Wilmotte Bernard Institut Saint-Joseph de Saint Hubert Généralités 2 Description 2 Relevé des dimensions 3 Les genres de portes 3 Systèmes de suspension ou de
Plus en détail= RÉALISATION DE QUALITÉ DURABLE
PAVÉS EN BETON CONCEPTION APPROPRIÉE + MISE EN OEUVRE PROFESSIONNELLE = RÉALISATION DE QUALITÉ DURABLE 10 règles de base pour une mise en œuvre correcte de revêtements de pavés en béton 1 2 3 4 5 6 7 8
Plus en détailINBTP-TECHNOBAT-LECON_011
CIRCULATIONS VERTICALES INBTP-TECHNOBAT-LECON_011 1 PROGRAMME LECONS LECON_001 [T] Présentation Notions de Technobat LECON_002 [T] Technobat Tropicale Les classes énergétiques LECON_003 [T] Les matériaux
Plus en détailProjet : Ecole Compétences Entreprise ECONOMIE TECHNICIEN/TECHNICIENNE EN COMPTABILITE
Projet : Ecole Compétences Entreprise SECTEUR 7 ECONOMIE ORIENTATION D' ETUDES : TECHNICIEN/TECHNICIENNE EN COMPTABILITE Outils pédagogiques construits selon l approche FORMATION EN COURS DE par les compétences
Plus en détailFiche Technique pour un bâtiment modulaire à ossature en bois de 54 m²
Fiche Technique pour un bâtiment modulaire à ossature en bois de 54 m² Cahier de charge NON définitif. Adaptations possibles selon l arrivée de nouveaux matériaux bois ou la mise en œuvre de techniques
Plus en détailContre-châssis Scrigno Gold Base pour plaques de plâtre
Contre-châssis Scrigno Gold Base pour plaques de plâtre Description Le Contre-châssis Scrigno Gold Base version plaques de plâtre est destiné à des cloisons intérieures en plaques de plâtre pour une épaisseur
Plus en détailMISAPOR verre cellulaire
MISAPOR verre cellulaire Remblai allégé pour ouvrage en génie civile 2015-03 Suisse: Allemagne: France: MISAPOR AG Löserstrasse 2 CH-7302 Landquart Téléphone +41 81 300 08 08 Fax +41 81 300 08 09 info@misapor.ch
Plus en détailBanc d études des structures Etude de résistances de matériaux (RDM) et structures mécaniques
Banc d études des structures Etude de résistances de matériaux (RDM) et structures mécaniques Descriptif du support pédagogique Le banc d essais des structures permet de réaliser des essais et des études
Plus en détailMARCHE PUBLIC DE PRESTATIONS DE SERVICES CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PRATICULIERES (CCTP)
MARCHE PUBLIC DE PRESTATIONS DE SERVICES CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PRATICULIERES (CCTP) Pouvoir adjudicateur Institut d'etudes Politiques de Rennes Représentant du pouvoir adjudicateur Monsieur le
Plus en détailCONNAISSANCES DE GESTION DE BASE
MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ENSEIGNEMENT DE PROMOTION SOCIALE DE REGIME 1 DOSSIER PEDAGOGIQUE UNITE DE FORMATION CONNAISSANCES
Plus en détailRéférentiel Handicap. Référentiel Handicap. 2 e seuil de bonification. Logement collectif neuf. Logement individuel neuf
2 e seuil de bonification page 1/5 identification du/des logement(s) concerné(s) Nom du bailleur Nom de l opération Logement individuel neuf Adresse de l opération Référence du/des logement(s) concerné(s)
Plus en détailSTAGE : TECHNICIEN EN INFORMATIQUE
MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ENSEIGNEMENT DE PROMOTION SOCIALE DE REGIME 1 DOSSIER PEDAGOGIQUE UNITE DE FORMATION STAGE
Plus en détail