DOSSIER DE PRESSE. Le moustique tigre en Gironde : point de situation

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "DOSSIER DE PRESSE. Le moustique tigre en Gironde : point de situation"

Transcription

1 DOSSIER DE PRESSE Le moustique tigre en Gironde : point de situation Avril 2014

2 Sommaire Mieux connaître le moustique tigre p.3 Des gestes simples pour se protéger efficacement p.4 Les acteurs impliqués dans la surveillance renforcée du moustique tigre en Gironde p.6 Le chikungunya et la dengue p.9 Annexes p.10 Contacts presse p.10 2

3 Mieux connaître le moustique tigre Aedes albopictus est surnommé «moustique tigre», en raison de zébrures qui parcourent son corps effilé. Cependant, d autres espèces de moustiques sont plus ou moins zébrées également et peuvent être confondues avec Aedes albopictus. Les moustiques se développent en quatre étapes : œuf, larve, nymphe et adulte. Les larves de moustiques ont besoin d eau stagnante pour se développer. En période hivernale, il n y a plus de risque de piqûres puisque le moustique entre en période de repos. Tous les moustiques n occupent pas la même niche écologique. Aedes albopictus se développe surtout dans de petites quantités d eau : des soucoupes de pots de fleurs, des vases et tout récipient contenant de l eau stagnante. L Aedes a une activité principalement le jour avec une recrudescence d activité le matin et en fin de journée. C est donc dans la journée qu il faut se protéger. Une procédure a été établie pour permettre au grand public de signaler à l EID Atlantique les moustiques tigre observés. Cette procédure est téléchargeable en ligne sur les sites de l ARS et de l EID Atlantique. Il convient de respecter cette procédure pour contribuer à la détection précoce d'aedes albopictus et la mise en œuvre de mesures de contrôle coordonnées dans notre région. 3

4 Des gestes simples pour se protéger efficacement Il n existe pas de vaccin contre la dengue, ni contre le chikungunya. Pour limiter au maximum les risques d infection, il est important de : 1. Eviter la prolifération des moustiques potentiellement vecteurs de ces maladies Pour cela, il faut éliminer régulièrement tous les lieux de reproduction des moustiques qui se trouvent à l extérieur et à l intérieur des maisons : soucoupes sous les pots de fleur, réservoirs d eau Se protéger, c est d abord éliminer les gîtes d accueils potentiels du moustique. Pour éliminer les moustiques, il ne faut pas leur offrir de lieux de vie, ni de reproduction. Le moustique tigre se déplace peu. Celui qui nous pique est né chez nous. C est donc à chacun d entre nous d être vigilants pour détruire les larves. Pourquoi les moustiques aiment-ils vivre près de nos maisons? Parce qu ils y trouvent : de la nourriture pour le développement de leurs œufs, en nous piquant, des endroits pour pondre dans les eaux stagnantes, des lieux de repos à l ombre des arbres. Les produits anti-moustiques (insecticides et répulsifs) ne permettent pas d éliminer durablement les moustiques. Il est donc nécessaire de limiter leurs lieux de ponte et de repos. Ces gestes simples réduisent de 80% le risque de présence du moustique à proximité du domicile, et donc de piqûre. Pour limiter les lieux de repos des moustiques adultes, il faut : débroussailler et tailler les herbes hautes et les haies, élaguer les arbres, ramasser les fruits tombés et les débris végétaux, réduire les sources d humidité (limiter l arrosage), entretenir votre jardin. Pour éliminer les larves de moustiques, il faut : Éliminer les endroits où l eau peut stagner : petits détritus, encombrants, pneus usagés (vous pouvez les remplir de terre si vous ne voulez pas les jeter), déchets verts. Changer l eau des plantes et des fleurs une fois par semaine, ou si possible supprimer les soucoupes des pots de fleur, remplacer l eau des vases par du sable humide. Vérifier le bon écoulement des eaux de pluie et des eaux usées et nettoyer régulièrement gouttières, regards, caniveaux et drainages. Couvrir les réservoirs d eau avec un voile moustiquaire ou un simple tissu : bidons d eau, citernes, bassins. Couvrir les piscines hors d usage et évacuer l eau des bâches ou traiter l eau : eau de Javel, galet de chlore. 4

5 2. Se protéger contre les piqûres de moustiques La prévention individuelle passe par l utilisation de moyens de protection physiques et chimiques La dengue et le chikungunya se transmettent d homme à homme principalement par l intermédiaire de moustiques du genre Aedes. Lors d une piqûre, le moustique prélève le virus sur une personne infectée. Après un délai d'incubation chez le moustique de l'ordre de quelques jours et à l occasion d une autre piqûre, le moustique peut transmettre le virus à une personne saine. Eviter les piqûres de moustiques, c est protéger notre santé et celle de notre entourage Contrairement au moustique vecteur du paludisme, l Aedes a une activité principalement diurne avec une recrudescence d activité le matin et en fin de journée. C est donc dans la journée qu il faut se protéger. Aucune mesure n'est efficace à 100% et c'est la somme de mesures individuelles et collectives qui permet de faire diminuer la transmission. Voir en annexe la plaquette d information sur le moustique tigre pour le grand public «Moustique tigre Aedes albopictus Nuisances et maladies» Pour se protéger des piqûres, il faut : Porter des vêtements longs et protéger les pieds et chevilles, ce sont des mesures très efficaces pour réduire l'exposition aux piqûres. L imprégnation des vêtements par des insecticides renforce cette protection (avantages : persistance du produit, coût et sécurité d emploi puisque le contact avec la peau est fortement réduit). Utiliser des répulsifs cutanés, ils contiennent un principe actif qui éloigne les insectes sans toutefois les tuer (à appliquer sur toutes les parties découvertes du corps (à l exception des muqueuses et des lésions cutanées étendues), visage compris, durée de la protection entre 6 à 12 heures selon la concentration du produit et de la température extérieure, à renouveler en fonction de la transpiration ou des bains et des douches, l utilisation de crèmes solaires diminue l efficacité de protection des répulsifs et réciproquement). Des précautions d emploi sont à respecter notamment chez l enfant et chez la femme enceinte. L emploi de moustiquaires de berceau est le moyen prioritaire de protection efficace des jeunes enfants et la protection par le port de vêtements couvrants est particulièrement recommandée. Dans l habitat, il est possible d équiper portes et fenêtres de moustiquaires afin de réduire la présence de moustiques. Cette barrière physique peut être complétée par le traitement systématique, à l aide d insecticides, des rideaux de portes, voilages, fenêtres et séparations intérieures ainsi que par l utilisation de répulsifs domestiques comme les diffuseurs électriques. Les tortillons fumigènes ne doivent être utilisés qu à l extérieur ou dans une pièce correctement aérée. Les moustiques n aimant pas les endroits frais, la climatisation est également un bon moyen de protection individuelle. 5

6 Les acteurs impliqués dans la surveillance renforcée du moustique tigre en Gironde La Préfecture, l Agence régionale de santé Aquitaine (ARS Aquitaine), le Conseil général, les communes et les professionnels de santé du département se mobilisent pour lutter contre la prolifération du «moustique tigre». Suite à la parution de l'arrêté interministériel du 31 janvier 2014, le département de la Gironde est désor - mais classé dans la liste des départements où le moustique constitue une menace pour la santé des popula - tions. La Direction Générale de la Santé (courrier du 20 février 2014) a par ailleurs placé la Gironde au niveau 1 du plan anti-dissémination du chikungunya et de la dengue qui en comporte 6 : Niveau 0 0.a absence d Aedes albopictus 0.b présence contrôlée: observation d œufs sur un piège pondoir suivi d une intensification du piégeage les semaines suivantes et d un traitement visant à l élimination ou à une non-prolifération du moustique. Niveau 1 Aedes albopictus implantés et actifs (Niveau actuel de la Gironde) Niveau 2 Aedes albopictus implantés et actifs et présence d un cas humain autochtone infecté par le virus du chikungunya ou de la dengue. Niveau 3 Aedes albopictus implantés et actifs et présence d un foyer de cas humains autochtones (définition de foyer: au moins 2 cas groupés dans le temps et l espace). Niveau 4 Aedes albopictus implantés et actifs et présence de plusieurs foyers de cas humains autochtones (foyers distincts sans lien épidémiologique ni géographique entre eux). Niveau 5 Aedes albopictus implantés et actifs et épidémie. Ce passage au niveau 1 entraîne la mise en place d'une déclinaison départementale du plan anti-dissémination du chikungunya et de la dengue. Rappel de la chronologie pour la Gironde 2010 : Mise en place du système de surveillance entomologique, sous l autorité du Ministère de la santé et en lien avec l ARS Aquitaine (opérateur l EID Atlantique) ; réseau de pièges pondoirs répartis sur des sites à risque d importation : densification du réseau de pièges, détection d Aedes Albopictus sur l Aire des Landes (A62) à Saint-Michel de Rieufret. Traitement anti-adultes efficace : 4 septembre, un particulier signale la présence d un «moustique tigre» sur la commune de Pessac. Un réseau de surveillance renforcée, mis en place sur le secteur et dans les alentours, confirme l implantation du moustique : Passage de la Gironde au niveau 0b. Avril-Août 2013 : Mise en œuvre d une surveillance entomologique renforcée. 23 août, réapparition de l espèce et capture de moustiques adultes sur la commune de Pessac (60 pièges pondoirs installés). 6 septembre 2013 : Extension de la présence de l espèce à la commune de Talence. Opérations de traitement anti-larvaires et anti-adultes. Octobre 2013 : Réapparition d œufs d Aedes albopictus dans 7 pièges pondoirs malgré les traitements. Bilan 2013 : Le moustique Aedes albopictus apparaît actif et implanté sur le département, dans une zone agglomérée regroupant plus de habitants, justifiant le passage de la Gironde au niveau 1. 6

7 Les acteurs concernés par la mise en œuvre de ce plan Le Préfet est responsable de la définition des actions de lutte contre les moustiques Un arrêté relatif aux modalités de mise en œuvre du plan anti-dissémination du chikungunya et de la dengue dans le département sera signé par le Préfet de la région Aquitaine, Préfet de la Gironde, prochainement. Cet arrêté entérinera la déclinaison départementale du plan national. Une cellule départementale de gestion, placée sous l'égide du Préfet, sera parallèlement mise en place pour permettre la coordination de tous les acteurs impliqués dans la surveillance et la lutte contre le moustique-tigre. Le Conseil général assure la surveillance entomologique et finance à 100% la lutte contre le moustique tigre Compétence départementale depuis 1964, la démoustication menée en Gironde est dite «de confort» dans le respect des écosystèmes existants. La démoustication est alors une démarche volontaire des communes qui décident d'adhérer au dispositif proposé. A ce titre, les dépenses sont assurées par moitié par le Conseil général, l'autre moitié reste à la charge des communes. En 2014, ce sont presque 40 communes concernées par ce dispositif mis en place avec l' l Etablissement public Interdépartemental pour la Démoustication du littoral atlantique (EID). La lutte contre le moustique tigre correspond à une démoustication de type «sanitaire» qui est obligatoire pour toutes les communes en Gironde. Dans le cadre de ce plan, à la suite de la confirmation de l implantation du «moustique tigre» sur l agglomération bordelaise, le Conseil général met en œuvre un dispositif renforcé de surveillance du moustique Aedes albopictus. Ce plan prévoit la pose de près de 250 pièges pondoirs répartis sur plusieurs communes du département, particulièrement autour des établissements de santé. Le Conseil général sera chargé de mettre en œuvre si nécessaire à la demande de l ARS Aquitaine des opérations de lutte anti-vectorielle dans l environnement d un cas confirmé ou suspect virémique de chikungunya ou de dengue limité autour des zones habitées concernées. Le Conseil général a décidé de confier ces opérations de suivi entomologique et de lutte contre le moustique Aedes albopictus pour leur mise en œuvre à l établissement public interdépartemental pour la démoustication du littoral atlantique (EID Atlantique). L opérateur du Conseil général sera ainsi chargé d entretenir et de relever une série de pièges afin de : connaître l évolution de l implantation du moustique, évaluer le degré d implantation du moustique dans la zone d implantation connue, assurer une veille et un conseil auprès du public concernant l identification à la demande. Site internet de l EID : Une procédure a d ores et déjà été établie pour permettre au grand public de signaler à l EID Atlantique les moustiques tigres observés. Cette procédure est téléchargeable en ligne sur les sites de l ARS et de l EID Atlantique (Rubrique Les moustiques / Les moustiques importés) Il convient de respecter cette procédure pour contribuer à la détection précoce d'aedes albopictus et la mise en œuvre de mesures de contrôle coordonnées dans notre région. Pour l ensemble de ce dispositif, les budgets pour le suivi à la charge du Département, s élèvent à Pour mémoire, les moyens départementaux pour la démoustication en 2014 s élèvent à Une subvention à l EID Atlantique de au titre de la démoustication de confort auquel il convient d ajouter pour la démoustication de confort sur la presqu île d Ambès (4 communes concernées). Ce type d action est financé à 50 % par les communes et à 50 % par le Conseil général de la Gironde. Le passage en niveau 1 induit un coût supplémentaire de financés intégralement par le Conseil général. 7

8 L Agence Régionale de Santé assure l organisation du signalement des cas suspects de chikungunya et de dengue dans le cadre de la surveillance épidémiologique coordonnée par l Institut de Veille sanitaire Dès que le moustique est déclaré implanté dans un département, l ARS assure l information et la sensibilisation des praticiens déclarants potentiels du département, pour la mise en œuvre du signalement accéléré des cas suspects de chikungunya et de dengue. Pour la Gironde, l ARS va préciser aux médecins généralistes et hospitaliers, pédiatres et laboratoires de biologie médicale la procédure de déclaration et de diagnostic accélérés des cas suspects de chikungunya et de dengue. Une information sera également adressée aux pharmaciens plus particulièrement sur les moyens de protection individuelle. En présence de cas suspects ou devant tout cas confirmé : L ARS réalisera une investigation épidémiologique des cas suspects : Dans le cadre du plan départemental, l ARS recevra les signalements et validera les cas suspects, en s appuyant sur la cellule de l InVS en région (Cire). Elle suivra ensuite les demandes de confirmation biologique. Elle s assurera que les mesures de protection individuelle pendant la période virémique (potentiellement contagieuse) des malades suspects ou confirmés ont été recommandées. Elle signalera tout cas suspect ou confirmé au Conseil général et à son opérateur de lutte anti-vectorielle, pour mise en œuvre du contrôle entomologique et des actions de lutte anti-vectorielle adéquates. La cellule de l InVS en région (Cire) diffusera un bilan hebdomadaire des cas suspects et confirmés aux acteurs de la surveillance dans le cadre de son «Point épidémio». Le chikungunya et la dengue La transmission de la dengue et du chikungunya Il n y pas de transmission directe de personne à personne du virus de la dengue et du chikungunya Le moustique n est pas, en lui-même, porteur du virus de la dengue ou du chikungunya. Il ne peut le transmettre que s il a piqué, au préalable, une personne déjà infectée. Il n y a pas, actuellement, d épidémie de chikungunya ou de dengue en France métropolitaine. Cependant, à partir du moment où le moustique est présent le risque existe, mais il n est pas systématique et repose sur la conjonction de plusieurs facteurs : il faut tout d abord que le moustique, lors d une piqûre, prélève du sang contenant le virus sur une personne malade (par exemple une personne malade revenant d une zone où circule le virus). A l occasion d une autre piqûre, le moustique peut en - suite, sous certaines conditions, transmettre le virus à une personne saine. Il faut donc prendre les mesures de protection collective et individuelle (voir des gestes simples pour se protéger efficacement) nécessaires pour limiter la prolifération des moustiques et prendre en charge les personnes qui seraient susceptibles d être infectées pour prévenir toute épidémie. 8

9 Comment se manifeste la dengue? La dengue est une maladie virale transmise par la piqûre des moustiques du genre Aedes (moustique tigre). La dengue provoque de fortes fièvres accompagnées de maux de tête, de courbatures et d une sensation de fatigue. Si dans la majorité des cas il n y a pas de complications, la maladie peut cependant évoluer vers des formes sévères (dengue hémorragique en cas d infections répétées). Il n existe pas de traitement antiviral spécifique de la dengue, ni de vaccin. La prise en charge est donc centrée sur la surveillance et les traitements symptomatiques pour soulager la douleur et la fièvre. L aspirine est toutefois contre indiquée par son action anti-agrégante plaquettaire, elle peut aggraver la situation. Comment se manifeste le chikungunya? Le chikungunya provoque de fortes fièvres accompagnées de maux de tête. La fièvre élevée apparaît brutalement accompagnée de douleurs articulaires pouvant être intenses, touchant principalement les extrémités (poignets, chevilles, phalanges). L évolution est le plus souvent favorable, sans séquelle, mais elle peut aussi évoluer vers une phase chronique marquée par des arthralgies (douleurs articulaires) persistantes. L immunité acquise est durable. Il n existe pas de traitement antiviral spécifique, ni de vaccin. Le traitement est symptomatique (anti-douleurs, médicaments contre la fièvre). Il est nécessaire d expliquer à la personne infectée par la dengue ou le chikungunya et à son entourage les mesures de protection pour éviter la transmission d une de ces deux maladies par des moustiques (Aedes) au domicile. 9

10 Annexes La plaquette d information sur le moustique tigre pour le grand public «Moustique tigre Aedes albopictus Nuisances et maladies» Des supports à votre disposition Des plaquettes d information (téléchargeables sur le site Internet de l ARS Aquitaine / Rubrique Votre santé / Environnement et santé / Le moustique tigre Aedes albopictus : Une surveillance renforcée en Aquitaine) : «Moustique tigre Aedes albopictus Nuisances et maladies» Des sites Internet - ARS Aquitaine : (Rubrique Votre santé / Environnement et santé / Le moustique tigre Aedes albopictus : Une surveillance renforcée en Aquitaine) - Préfecture de Gironde : - Conseil général de la Gironde : - EID Atlantique : En savoir plus sur la dengue et le chikungunya - Ministère chargé de la santé : (Rubrique dossiers de A à Z / chikungunya et dengue) - Institut de veille sanitaire (InVS) : (Rubrique Dossiers thématiques / Maladies infectieuses / Maladies à transmission vectorielle) Contacts presse Agence régionale de santé d Aquitaine Véronique Seguy ou Séverine Huguet / veronique.seguy@ars.sante.fr ou severine.huguet@ars.sante.fr Préfecture de la Gironde Sophie BILLA sophie.billa@gironde.gouv.fr Département de la Gironde Brigitte Botte b.botte@cg33.fr Laurent Gazal l.gazal@cg33.fr 10

DISCOURS MOUSTIQUE AEDES

DISCOURS MOUSTIQUE AEDES DISCOURS MOUSTIQUE AEDES Il existe différents types de moustiques, dont le moustique tigre (nom scientifique Aedes albopictus), reconnaissable à sa silhouette noire et à ses rayures blanches, sur l abdomen

Plus en détail

1.1.2 : Indiquer la voie de pénétration du microorganisme

1.1.2 : Indiquer la voie de pénétration du microorganisme Situation n 2 : EN QUOI L EPIDEMIE DE CHIKUNGUNYA APPORTE T- ELLE DES CHANGEMENTS DANS NOTRE VIE QUOTIDIENNE? Séance n 1 : Le chikungunya Objectif : Prévenir le risque infectieux Tout d un coup, Adeline

Plus en détail

DOSSIER QUESTIONS-RÉPONSES SUR LA DENGUE EN GUYANE ÉTABLI PAR L'INPES.

DOSSIER QUESTIONS-RÉPONSES SUR LA DENGUE EN GUYANE ÉTABLI PAR L'INPES. DOSSIER QUESTIONS-RÉPONSES SUR LA DENGUE EN GUYANE ÉTABLI PAR L'INPES. Document validé par la DGS, l'affsaps, le SDD et la DSDS de la Guyane. Le 15 novembre 2006. Direction de la Santé et du Développement

Plus en détail

La lutte contre le paludisme

La lutte contre le paludisme FICHES DE DIALOGUE Fiche n 1 La lutte contre le paludisme Montrez le premier dessin Question : Que voyez-vous sur cette image? Réponse : Un enfant qui a l air très malade. Il grelotte et transpire. Des

Plus en détail

Bienvenue sur la planète des insectes!

Bienvenue sur la planète des insectes! Bienvenue sur la planète des insectes! Les Entomonautes c/o Youssef Guennoun 49 bis rue du Borrégo 75020 Paris entomonautes(at)gmail.com Des milliards de petites bêtes Les insectes constituent 75 % de

Plus en détail

Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes

Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault

Plus en détail

Parasites externes du chat et du chien

Parasites externes du chat et du chien Parasites externes du chat et du chien Identification, prévention et traitement Les tiques Les tiques transmettent des maladies parfois mortelles. La prévention est la meilleure arme. 1 - Où les trouve-t-on?

Plus en détail

Gestion de la crise sanitaire grippe A

Gestion de la crise sanitaire grippe A Gestion de la crise sanitaire grippe A Sommaire de la présentation Nature du risque lié au virus A H1N1 Plan gouvernemental de pandémie grippale Mesures de protection Historique de la grippe La grippe

Plus en détail

Le test de dépistage qui a été pratiqué à la

Le test de dépistage qui a été pratiqué à la élever CommenT UN enfant ayant une drépanocytose Q Le test de dépistage qui a été pratiqué à la maternité vient de révéler que votre bébé est atteint de drépanocytose. Aujourd hui, votre enfant va bien,

Plus en détail

MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME

MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES

Plus en détail

+ Questions et réponses

+ Questions et réponses HÉPATITE B L hépatite B c est quoi? L hépatite B est un type de maladie du foie causée par le virus de l hépatite B, une des formes les plus courantes de l hépatite virale (les autres sont le virus de

Plus en détail

gale - Brochure d information -

gale - Brochure d information - gale La - Brochure d information - Qu est-ce que la gale? La gale est une infection de la peau causée par un parasite. Celui-ci creuse un petit tunnel (sillon) dans la partie superficielle de la peau et

Plus en détail

CONSEILS AUX VOYAGEURS

CONSEILS AUX VOYAGEURS CONSEILS AUX VOYAGEURS Vous devez prochainement partir en mission à l étranger Au cours de votre séjour, vous pouvez être confronté à différents risques : risques infectieux : paludisme, diarrhées, hépatites,

Plus en détail

Nouveaux produits antiparasitaires aux extraits naturels pour chiens et chats.

Nouveaux produits antiparasitaires aux extraits naturels pour chiens et chats. Nouveaux produits antiparasitaires aux extraits naturels pour chiens et chats. - VETOFORM - Laboratoire DAZONT Contact presse Johann Fourmond / Marie Gesrel Agence RELEASE PRESSE Tel : 02 99 65 05 47 Port

Plus en détail

Rhume ou grippe? Pas d antibiotiques!

Rhume ou grippe? Pas d antibiotiques! Brochure d information En utilisant mal une ressource, elle devient inefficace! Rhume ou grippe? Pas d antibiotiques! z6creation.net Une initiative européenne en matière de santé. Rhume ou grippe? Pas

Plus en détail

Ensemble nous aurons l air meilleur!

Ensemble nous aurons l air meilleur! Les bons gestes au quotidien pour préserver la qualité de notre air Ensemble nous aurons l air meilleur! Saviez-vous que nous avons besoin d un litre et demi d eau et de 14 000 litres d air par jour pour

Plus en détail

Pandémie : pas de fermetures de classes Évaluation de la situation au 13 novembre 2009

Pandémie : pas de fermetures de classes Évaluation de la situation au 13 novembre 2009 Erziehungsdirektion des Kantons Bern Direction de l'instruction publique du canton de Berne Amt für Kindergarten, Volksschule und Beratung Office de l'enseignement préscolaire et obligatoire, du conseil

Plus en détail

313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013

313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013 313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013 SOMMAIRE 1 - La vaccination, comment ça marche? 3, 4 et 5 2 - Les vaccins détériorent-ils LA protection naturelle contre les maladies? 6 3 - Avec autant de vaccins,

Plus en détail

GUIDE PRATIQUE N 1 HERPES ASSOCIATION HERPES. Agissons contre l herpès

GUIDE PRATIQUE N 1 HERPES ASSOCIATION HERPES. Agissons contre l herpès GUIDE PRATIQUE N 1 HERPES ASSOCIATION HERPES Agissons contre l herpès L Herpès : une maladie très répandue En France, on estime qu environ 10 millions de personnes sont porteuses du virus de l herpès à

Plus en détail

Fiche technique n 1 : le logement construction des boxes.

Fiche technique n 1 : le logement construction des boxes. Bâtiments d élevage : Pourquoi? Aspects climatiques : Fiche technique n 1 : le logement construction des boxes. - le porc est sensible aux brusques changements du climat, - surexposition au soleil : déshydratation

Plus en détail

L EAU POTABLE : COMMENT LA PRÉSERVER Bien que l eau soit une ressource renouvelable, il ne faut pas pour autant la gaspiller. Les Québécois sont les

L EAU POTABLE : COMMENT LA PRÉSERVER Bien que l eau soit une ressource renouvelable, il ne faut pas pour autant la gaspiller. Les Québécois sont les L EAU POTABLE : COMMENT LA PRÉSERVER Bien que l eau soit une ressource renouvelable, il ne faut pas pour autant la gaspiller. Les Québécois sont les deuxièmes plus grands consommateurs d eau potable, juste

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

Ensemble de documents d orientation sur la maladie à virus Ebola

Ensemble de documents d orientation sur la maladie à virus Ebola Ensemble de documents d orientation sur la maladie à virus Ebola Août 2014 l enfance aux enfants Organisation mondiale de la Santé 2014 Tous droits réservés. Les appellations employées dans la présente

Plus en détail

Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON

Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON 20-14 Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON Chaque personnel navigant est responsable de la mise à jour des ses vaccins. 1 - VACCINATION OBLIGATOIRE La vaccination contre la fièvre jaune (vaccination anti-amarile)

Plus en détail

La vaccination, une bonne protection

La vaccination, une bonne protection Vaccin contre l hépatite A et l hépatite B La personne qui reçoit ce vaccin se protège contre l hépatite A, l hépatite B et leurs complications. L hépatite A et l hépatite B sont des infections du foie

Plus en détail

LUTTE ANTI-VECTORIELLE EN ETABLISSEMENT DE SANTE

LUTTE ANTI-VECTORIELLE EN ETABLISSEMENT DE SANTE LUTTE ANTI-VECTORIELLE EN ETABLISSEMENT DE SANTE 13.05 Objectif Le risque lié à la présence d ectoparasites et d agents nuisibles dans les établissements de santé est réel pour les patients et pour le

Plus en détail

DOMAINE «ENVIRONNEMENT EXTERNE»

DOMAINE «ENVIRONNEMENT EXTERNE» DOMAINE «ENVIRONNEMENT» DOMAINE : ENVIRONNEMENT EMPLOI-REPERE : EMPLOYE(E) D ENTRETIEN ET PETITS TRAVAUX (A) HOMME-FEMME TOUTES MAINS (A) Les conditions de réalisation de l intervention (lieu, équipements,

Plus en détail

Les contre-indications au don de sang

Les contre-indications au don de sang Les contre-indications au don de sang Souvent, les donneurs s interrogent sur les raisons pour lesquelles tout le monde ne peut pas donner son sang. Le don de sang est une démarche d assistance à autrui,

Plus en détail

MESURES PRÉVENTIVES Pour les travailleurs qui peuvent entrer en contact avec des punaises de lit.

MESURES PRÉVENTIVES Pour les travailleurs qui peuvent entrer en contact avec des punaises de lit. MESURES PRÉVENTIVES Pour les travailleurs qui peuvent entrer en contact avec des punaises de lit. Introduction Au cours de la dernière décennie, il y a eu une augmentation exponentielle du nombre d infestation

Plus en détail

La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.

La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium

Plus en détail

Rougeole, Oreillons Rubéole et Coqueluche

Rougeole, Oreillons Rubéole et Coqueluche Rougeole, Oreillons Rubéole et Coqueluche Comment protéger vos enfants? La seule protection efficace : la vaccination R.O.R COQUELUCHE ANNUAIRE Livret élaboré en partenariat avec : Conseil Général du Loir-et-Cher

Plus en détail

PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement

PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?

Plus en détail

Le Livre des Infections Sexuellement Transmissibles

Le Livre des Infections Sexuellement Transmissibles Le Livre des Infections Sexuellement Transmissibles sommaire Qu est-ce qu une IST? p. 5 La blennorragie gonococcique p. 7 La chlamydiose p. 8 L hépatite B p. 9 L herpès génital p. 10 Les mycoplasmes et

Plus en détail

Conseils aux voyageurs

Conseils aux voyageurs Conseils aux voyageurs Informations issues du site du Ministère des Affaires Etrangères en France : http://www.diplomatie.gouv.fr/ Entrée / Séjour : Un visa d entrée est nécessaire pour les ressortissants

Plus en détail

Chapitre VI : Gestion des risques épidémiques

Chapitre VI : Gestion des risques épidémiques Chapitre VI : Fiche n VI.1 : Gale Fiche n VI.2 : Tubeculose pulmonaire (accessible dans la prochaine version) Fiche n VI.3 : Gastro-entérite Fiche n VI.4 : Infection respiratoire aigüe basse Sommaire Sommaire

Plus en détail

POLITIQUE EN VACANCES C EST POSSIBLE!

POLITIQUE EN VACANCES C EST POSSIBLE! Nos engagements POLITIQUE EN VACANCES C EST POSSIBLE! SOMMAIRE NOTRE POLITIQUE ENVIRONNEMENTALE L environnement au cœur des préoccupations de chacun. Nos actions réalisées. Nos actions en cours de réalisation

Plus en détail

Dracunculose Association Française des Enseignants de Parasitologie et Mycologie (ANOFEL)

Dracunculose Association Française des Enseignants de Parasitologie et Mycologie (ANOFEL) Dracunculose Association Française des Enseignants de Parasitologie et Mycologie (ANOFEL) 2014 1 Table des matières Introduction... 3 1. Historique et actualité... 3 2. Agent pathogène et cycle... 4 3.

Plus en détail

Contre les Insectes en Général

Contre les Insectes en Général les Insectes en Général Nettoyant, désodorisant Le Bicarbonate De Soude a bien des vertus! Derrière sa poudre blanche, fine et sans odeur se cache un puissant insecticide biodégradable et non toxique pour

Plus en détail

Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014

Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Nadège Caillere, Cire Océan Indien Dr Joao Simoes, Cellule de veille, d alerte et de gestion

Plus en détail

GROUPE DE PAROLE SUR L HYGIENE ET LA PRESENTATION

GROUPE DE PAROLE SUR L HYGIENE ET LA PRESENTATION GROUPE DE PAROLE SUR L HYGIENE ET LA PRESENTATION Programme d éducation et de motivation à l hygiène pour les patients en psychiatrie Cécile GABRIEL-BORDENAVE C.H. St Egrève (38) Problèmes d hygiène corporelle

Plus en détail

La reconnaissez- vous?

La reconnaissez- vous? La reconnaissez- vous? Qu est ce qu une puce? C est un insecte piqueur sans ailes de couleur brune mesurant quelques millimètres et ayant la capacité de sauter 30 fois sa longueur. L espèce Cténocephalidès

Plus en détail

La Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques

La Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques La Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques Professeur Ibrahim Yakoub-Agha CHRU de LILLE (Illustration de J. Cloup, extraite du CD-Rom «greffe de Moelle» réalisé par la société K Noë) La moelle osseuse

Plus en détail

Maladies transmises sexuellement (MTS)

Maladies transmises sexuellement (MTS) Maladies transmises sexuellement (MTS) La sexualité est une dimension normale et saine de la vie De nos jours, de nombreuses infections se transmettent par les relations sexuelles. On les appelle infections

Plus en détail

Les potagers Neerstalle

Les potagers Neerstalle Les potagers Neerstalle Une initiative de Marc COOLS, Échevin de l Environnement et des Propriétés communales, avec le soutien du Collège des Bourgmestre et Échevins d Uccle Une action menée par le Service

Plus en détail

Questions et réponses au sujet des punaises des lits

Questions et réponses au sujet des punaises des lits Questions et réponses au sujet des punaises des lits Que sont les punaises des lits? Les punaises des lits se trouvent partout dans le monde et le nombre de cas signalés au Canada augmente rapidement depuis

Plus en détail

Vous et votre traitement anticoagulant par AVK (antivitamine K)

Vous et votre traitement anticoagulant par AVK (antivitamine K) Ce carnet a été réalisé sous la coordination de l Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps). Vous et votre traitement anticoagulant par AVK (antivitamine K) Carte à découper

Plus en détail

Mise en place de référents grippe au sein d un centre hospitalier

Mise en place de référents grippe au sein d un centre hospitalier Mise en place de référents grippe au sein d un centre hospitalier Sophie FOUCAULT, IDE Hygiéniste, FFC Service ECLIN P.MIR, C.JACOB, Praticiens de Santé au Travail R.HUE, Praticien Hygiéniste, Service

Plus en détail

Ce que les femmes enceintes doivent savoir au sujet de la grippe H1N1 (appelée grippe porcine auparavant)

Ce que les femmes enceintes doivent savoir au sujet de la grippe H1N1 (appelée grippe porcine auparavant) Ce que les femmes enceintes doivent savoir au sujet de la grippe H1N1 (appelée grippe porcine auparavant) 3 mai 2009, 15 h HNE Sur cette page : Que dois-je faire si je contracte ce nouveau virus et que

Plus en détail

AIDE MÉMOIRE DE PROMOTION DU DON DE SANG

AIDE MÉMOIRE DE PROMOTION DU DON DE SANG CENTRE NATIONAL DE TRANSFUSION SANGUINE ---------------------------------- DIRECTION DE LA COMMUNICATION ET DE LA PROMOTION DU DON DE SANG AIDE MÉMOIRE DE PROMOTION DU DON DE SANG Pour vos dons et activités

Plus en détail

Les maladies ou infections sexuellement transmissibles (MST)

Les maladies ou infections sexuellement transmissibles (MST) Les maladies ou infections sexuellement transmissibles (MST) MST est le terme utilisé pour décrire toute maladie, toute infection transmise par un rapport sexuel avec une personne déjà contaminée, et qui

Plus en détail

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre

Plus en détail

Cahier des bonnes pratiques pour un nettoyage écologique des locaux du Conseil Général de la Gironde

Cahier des bonnes pratiques pour un nettoyage écologique des locaux du Conseil Général de la Gironde Le Conseil Général ménage votre santé! Cahier des bonnes pratiques pour un nettoyage écologique des locaux du Conseil Général de la Gironde Sommaire 1. Pourquoi créer ce cahier pratique du nettoyage écologique?

Plus en détail

vaccin pneumococcique polyosidique conjugué (13-valent, adsorbé)

vaccin pneumococcique polyosidique conjugué (13-valent, adsorbé) EMA/90006/2015 EMEA/H/C/001104 Résumé EPAR à l intention du public vaccin pneumococcique polyosidique conjugué (13-valent, adsorbé) Le présent document est un résumé du rapport européen public d évaluation

Plus en détail

PREVENTION ASV. Partie réalisée par Aurélys ANTOINE. Le 09/05/2015

PREVENTION ASV. Partie réalisée par Aurélys ANTOINE. Le 09/05/2015 PREVENTION ASV Partie réalisée par Le 09/05/2015 Atelier n 2 : Parasites et intoxication Principaux parasites de l été: - Les puces : c est quoi? - Les tiques : c est quoi? - Les aoutats : c est quoi?

Plus en détail

Hépatite. ses causes ses conséquences sa prévention

Hépatite. ses causes ses conséquences sa prévention Hépatite ses causes ses conséquences sa prévention Hépatite : l essentiel en bref Qu est-ce que l hépatite et quelles sont les conséquences de cette maladie? L hépatite est une inflammation du foie, dont

Plus en détail

Cartographie du risque entomologique à haute résolution spatio-temporelle à l'aide de l'imagerie satellitaire

Cartographie du risque entomologique à haute résolution spatio-temporelle à l'aide de l'imagerie satellitaire Colloque Santé-Biodiversité 27&28 octobre 2014 à VetAgro Sup Sur l initiative et avec le soutien Et des partenaires Cartographie du risque entomologique à haute résolution spatio-temporelle à l'aide de

Plus en détail

l éco-agent Le Guide de Mairie de Saint-Barthélemy-d Anjou

l éco-agent Le Guide de Mairie de Saint-Barthélemy-d Anjou Le Guide de l éco-agent Mairie de Saint-Barthélemy-d Anjou «L'écologie est aussi et surtout un problème culturel. Le respect de l'environnement passe par un grand nombre de changements comportementaux.»

Plus en détail

Mesures préventives suggérées afin d éviter une infestation dans l établissement

Mesures préventives suggérées afin d éviter une infestation dans l établissement MESURES DE PRÉVENTION POUR LES ÉTABLISSEMENTS OFFRANT DE L HÉBERGEMENT Les travailleurs œuvrant dans les établissements de santé ou communautaire offrant de l hébergement sont susceptibles d être confrontés

Plus en détail

Attention vague. de très grand froid

Attention vague. de très grand froid Attention vague VAGUE DE TRÈS GRAND FROID COMPRENDRE & AGIR de très grand froid Les conseils du Ministère de la Santé et de l Inpes Comprendre ce qui se passe dans mon corps en cas de vague de très grand

Plus en détail

Le VIH et votre foie

Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Que dois-je savoir au sujet de mon foie? Votre foie joue un rôle incroyablement important. Il filtre votre sang en éliminant les substances nocives (toxiques)

Plus en détail

Placettes vers de terre. Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» www.observatoire-agricole-biodiversite.fr

Placettes vers de terre. Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» www.observatoire-agricole-biodiversite.fr Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» 13 PROTOCOLE 1/2 Les vers de terre sont de bons indicateurs de la qualité du sol. Ils sont également des acteurs indispensables de sa fertilité

Plus en détail

Parties communes et services

Parties communes et services Parties communes et services Ergonomie pratique en 128 points CHECKPOINT 95 Mettre des vestiaires et des sanitaires à la disposition des employés pour garantir un bon niveau d'hygiène et de propreté. POURQUOI

Plus en détail

COMMUNE DE PONT A MARCQ CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES

COMMUNE DE PONT A MARCQ CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES COMMUNE DE PONT A MARCQ CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES Objet du Marché : Procédure adaptée pour «entretien des espaces verts de la commune de Pont à Marcq» Année 2013 Maître d ouvrage : Commune

Plus en détail

Quand il fait CHAUD POUR. Prudence!

Quand il fait CHAUD POUR. Prudence! Quand il fait CHAUD POUR MOURIR Prudence! Comment la chaleur affecte-t-elle la santé? L été, le soleil et le beau temps sont sources de nombreux plaisirs Par contre, lorsque la chaleur est trop intense,

Plus en détail

C. difficile. Réponses aux questions les plus fréquemment posées sur le. à l Hôpital général juif HÔPITAL GÉNÉRAL JUIF SIR MORTIMER B.

C. difficile. Réponses aux questions les plus fréquemment posées sur le. à l Hôpital général juif HÔPITAL GÉNÉRAL JUIF SIR MORTIMER B. Réponses aux questions les plus fréquemment posées sur le C. difficile à l Hôpital général juif HÔPITAL GÉNÉRAL JUIF SIR MORTIMER B. DAVIS HÔPITAL D ENSEIGNEMENT DE L UNIVERSITÉ MCGILL www.jgh.ca 1. CLOSTRIDIUM

Plus en détail

PUNAISES DE LIT. prévention et intervention

PUNAISES DE LIT. prévention et intervention PUNAISES DE LIT prévention et intervention À quoi ressemble la punaise de lit? La punaise de lit, aussi appelée punaise, est un insecte brunâtre visible à l œil nu qui mesure de 4 à 7 millimètres. Elle

Plus en détail

PROTEGER SON DOS ex. Cliniques St Luc

PROTEGER SON DOS ex. Cliniques St Luc CONGRES UCL DE MEDECINE GENERALE 1 juin 2013 PROTEGER SON DOS ex. Cliniques St Luc Philippe Mahaudens, PhD Faculté des sciences de la motricité UCL Service de Médecine Physique et Réadaptation, Saint-Luc

Plus en détail

La drépanocytose. Sikkelcelziekte (Frans)

La drépanocytose. Sikkelcelziekte (Frans) La drépanocytose Sikkelcelziekte (Frans) Qu est-ce que la drépanocytose? La drépanocytose est une maladie causée par un changement héréditaire du pigment rouge dans les globules rouges : l hémoglobine.

Plus en détail

16 insecticides naturels et sans risque

16 insecticides naturels et sans risque 16 insecticides naturels et sans risque Moustiques: essayez le géranium Pour repousser rapidement les moustiques, essayez l huile essentielle de géranium rosat. Extraite des feuilles de la plante, cette

Plus en détail

La migraine : quelle prise de tête!

La migraine : quelle prise de tête! La migraine : quelle prise de tête! Introduction La migraine est une véritable «prise de tête» pour les personnes qui en souffrent! Bien au-delà d un mal physique, cette réelle maladie engendre également

Plus en détail

BILLON, C. BURNAT, S.DELLION C. FORTAT, M. PALOMINO O. PATEY

BILLON, C. BURNAT, S.DELLION C. FORTAT, M. PALOMINO O. PATEY Gestion d une épidémie de Klebsiella pneumoniae (Kpn) productrice de carbapénèmase OXA 48 dans un service de Maladies nfectieuses et Tropicales francilien. C. BLLON, C. BURNAT, S.DELLON C. FORTAT, M. PALOMNO

Plus en détail

LES BONS GESTES AVEC L EAU DU ROBINET POUR LA SANTÉ ET L ENVIRONNEMENT

LES BONS GESTES AVEC L EAU DU ROBINET POUR LA SANTÉ ET L ENVIRONNEMENT L'eau du du robinet : de robinet : boisson au famille famille la la pour pour quotidien N 1 L EAU DU ROBINET : BONNE À BOIRE, SANS DÉCHETS ET BON MARCHÉ L'EAU DU ROBINET EST, EN FRANCE, OBLIGATOIREMENT

Plus en détail

Profitez au mieux de votre logement économe en énergie. Bâtiment basse consommation. Ce qu il faut savoir et comment vous adapter

Profitez au mieux de votre logement économe en énergie. Bâtiment basse consommation. Ce qu il faut savoir et comment vous adapter CONSEILS AUX PARTICULIERS Bâtiment basse consommation Profitez au mieux de votre logement économe en énergie Ce qu il faut savoir et comment vous adapter Que vous apporte un bâtiment économe en énergie?

Plus en détail

TROUBLES MUSCULO-SQUELETTIQUES (TMS)

TROUBLES MUSCULO-SQUELETTIQUES (TMS) Repères Les troubles musculo-squelettiques (TMS) rassemblent un ensemble large de pathologies qui affectent les muscles, les tendons et les nerfs des membres supérieurs et inférieurs au niveau du poignet,

Plus en détail

DE LIT mieux les connaître pour mieux les combattre

DE LIT mieux les connaître pour mieux les combattre LES PUNAISES DE LIT mieux les connaître pour mieux les combattre GUIDE PRATIQUE À L INTENTION DES PROPRIÉTAIRES, EXPLOITANTS ET GESTIONNAIRES D IMMEUBLES Les meilleurs moyens pour lutter contre les infestations

Plus en détail

Appel à projet. Bourse Charles Foix édition 2014. 2014- Silver Valley - tous droits réservés

Appel à projet. Bourse Charles Foix édition 2014. 2014- Silver Valley - tous droits réservés Appel à projet Bourse Charles Foix édition 2014 2014- Silver Valley - tous droits réservés APPEL À PROJET - LA BOURSE CHARLES FOIX Clôture le vendredi 1 août 2014 à minuit Silver Valley lance, en partenariat

Plus en détail

Leucémies de l enfant et de l adolescent

Leucémies de l enfant et de l adolescent Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE

Plus en détail

4. Comment la maladie est-elle transmise à l homme? 2. Les composantes des soins de santé primaires : 1. Qu est-ce que l Initiative de Bamako (IB)?

4. Comment la maladie est-elle transmise à l homme? 2. Les composantes des soins de santé primaires : 1. Qu est-ce que l Initiative de Bamako (IB)? GENERALITES SUR : SANTE et MALADIE SOINS de SANTE PRIMAIRES (SSP) INITIATIVE de BAMAKO (IB) Objectifs généraux Au terme de ce module de formation, les participants devraient être capables de: Comprendre

Plus en détail

UNE INTERVENTION CHIRURGICALE AU NIVEAU DU SEIN

UNE INTERVENTION CHIRURGICALE AU NIVEAU DU SEIN UNE INTERVENTION CHIRURGICALE AU NIVEAU DU SEIN Informations générales Pour vous, pour la vie Cette brochure vise à vous fournir des informations générales concernant l intervention chirurgicale que vous

Plus en détail

Quelles sont les pratiques et les modalités d évaluation de la LAV?

Quelles sont les pratiques et les modalités d évaluation de la LAV? Quelles sont les pratiques et les modalités d évaluation de la LAV? Coordinateur : D. FONTENILLE Experts : T. BALENGHIEN, J.-C. DESENCLOS, S. LECOLLINET, E. MALIN, Y. YEBAKIMA 1. Introduction Évaluer correctement

Plus en détail

Information à un nouveau donneur de cellules souches du sang

Information à un nouveau donneur de cellules souches du sang Information à un nouveau donneur de cellules souches du sang Pour des raisons de simplification, les dénominations masculines s appliquent également aux femmes. La transplantation de cellules souches du

Plus en détail

Définition de l Infectiologie

Définition de l Infectiologie Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage

Plus en détail

Pour les reconnaître et ne pas les confondre

Pour les reconnaître et ne pas les confondre Moustiques ou pas moustiques? Pour les reconnaître et ne pas les confondre ENTENTE INTERDéPARTEMENTALE POUR LA DéMOUSTICATION DU LITTORAL MEDITERRANéEN 165 avenue Paul-Rimbaud 34184 Montpellier Cedex 4

Plus en détail

Le don de cellules souches. M.Lambermont Pascale Van Muylder

Le don de cellules souches. M.Lambermont Pascale Van Muylder Le don de cellules souches M.Lambermont Pascale Van Muylder 1 Pourquoi avons-nous recours à la greffe de CSH? Certaines maladies causent la destruction ou un fonctionnement anormal de la moelle osseuse.

Plus en détail

Petit conservatoire dans un jardin des Collines du Paradis

Petit conservatoire dans un jardin des Collines du Paradis Petit conservatoire dans un jardin des Collines du Paradis L espace d un an suffit pour constater la richesse et la diversité des populations d insectes qui prospectent dans le moindre carré de jardin.

Plus en détail

Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se

Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se Le psoriasis est une maladie fréquente Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se traduit le plus souvent par des plaques rouges sur la peau, légèrement surélevées

Plus en détail

Globule & projet PAACO

Globule & projet PAACO 24 janvier 2014 - Arcachon 9ème Journées nationales des services pour les adultes handicapés Globule & projet PAACO Un outil de communication pour la coordination Antoine Comiti - société Ki-Lab Globule

Plus en détail

Vaccination contre la grippe saisonnière

Vaccination contre la grippe saisonnière le point sur risques infectieux > Vaccinations Vaccination contre la grippe saisonnière Questions / Réponses - Professionnels de santé Document élaboré le 14 octobre 2014 1 - Quand a lieu la campagne de

Plus en détail

http://www.aroma-zone.com - contacts@aroma-zone.com

http://www.aroma-zone.com - contacts@aroma-zone.com HUILE ESSENTIELLE DE BASILIC TROPICAL Revigorante et vitalisante, tonique puissante du système nerveux. Digestive, antispasmodique. Stress, fatigue, dépression, insomnie Flatulence, indigestion, nausée,

Plus en détail

Comment se déroule le prélèvement? Il existe 2 modes de prélèvements des cellules souches de la moelle osseuse:

Comment se déroule le prélèvement? Il existe 2 modes de prélèvements des cellules souches de la moelle osseuse: La greffe de moelle osseuse représente une chance importante de guérison pour de nombreuses personnes atteintes de maladies graves du sang. Le don de moelle osseuse est un acte volontaire, anonyme et gratuit

Plus en détail

NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Delphi 0,1 % crème Acétonide de triamcinolone

NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Delphi 0,1 % crème Acétonide de triamcinolone NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Delphi 0,1 % crème Acétonide de triamcinolone Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament car elle contient des informations importantes

Plus en détail

FMC GMBS -02 MARS 2010 PROJET D EDUCATION THÉRAPEUTIQUE DE PROXIMITÉ DU PATIENT DIABÉTIQUE DIAPASON 36

FMC GMBS -02 MARS 2010 PROJET D EDUCATION THÉRAPEUTIQUE DE PROXIMITÉ DU PATIENT DIABÉTIQUE DIAPASON 36 FMC GMBS -02 MARS 2010 PROJET D EDUCATION THÉRAPEUTIQUE DE PROXIMITÉ DU PATIENT DIABÉTIQUE DIAPASON 36 PROJET RÉGIONAL «ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE ET MALADIES CHRONIQUES» DÉBUT EN 2007 DANS LE LOIRET, LE

Plus en détail

GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge des leucémies aiguës de l adulte

GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge des leucémies aiguës de l adulte GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge des leucémies aiguës de l adulte Mars 2012 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour faciliter la discussion sur

Plus en détail

HÔTEL DE VILLE ALLÉES GASTON RODRIGUES BP 105 33173 GRADIGNAN CEDEX TÉL. : 05 56 75 65 26 FAX : 05 56 75 65 65

HÔTEL DE VILLE ALLÉES GASTON RODRIGUES BP 105 33173 GRADIGNAN CEDEX TÉL. : 05 56 75 65 26 FAX : 05 56 75 65 65 Préservez les ressources naturelles par des constructions écologiques n est qu une étape dans la protection de l environnement. Cela passe aussi par des gestes éco-citoyens au quotidien. Pour en savoir

Plus en détail

La prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde

La prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde Vivre avec une polyarthrite rhumatoïde Décembre 2008 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant

Plus en détail

Qu est-ce que la peste?

Qu est-ce que la peste? Département fédéral de l'intérieur DFI Office fédéral de la santé publique OFSP Unité de direction Santé publique Qu est-ce que la peste? État : 1 juin 2008 Réponses aux questions fréquemment posées concernant

Plus en détail

le livret de Bébé nageur avec la complicité de bébé.

le livret de Bébé nageur avec la complicité de bébé. L association plaisirs de l eau vous présente le livret de Bébé nageur avec la complicité de bébé. http://plaisir-de-leau.wifeo.com 27/09/14 Plaisirs de l eau livret bébé nageur 1 BIENVENUE à l association

Plus en détail

Nos Forfaits. L équilibre a sa source

Nos Forfaits. L équilibre a sa source Nos Forfaits RÉGÉNÉRER RÉGÉNÉRER TONIFIER RELAXERRELAXER L équilibre a sa source Instant Eau Vive : 35 X Tonifiez et reminéralisez-vous à l énergie de l eau minérale d evian Instant Source : 65 X Initiez-vous

Plus en détail

Centre Antipoison et de Toxicovigilance Strasbourg Tél: 03 88 37 37 37

Centre Antipoison et de Toxicovigilance Strasbourg Tél: 03 88 37 37 37 Centre Antipoison et de Toxicovigilance Strasbourg Tél: 03 88 37 37 37 Les CAP français en 2009 Réponse téléphonique Toxicovigilance Flesch Françoise QU EST CE QU UN CENTRE ANTIPOISON Art D.711-9-1 1 (Décret

Plus en détail