Commune d Etterbeek Construction d une maison de repos et de soins par la Commune, chaussée de Wavre 541 à 559.

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Commune d Etterbeek Construction d une maison de repos et de soins par la Commune, chaussée de Wavre 541 à 559."

Transcription

1 Page 1 sur 6 Commune d Etterbeek Construction d une maison de repos et de soins par la Commune, chaussée de Wavre 541 à 559. En date du 27 janvier 1997, le Conseil communal d Etterbeek a pris connaissance d un rapport définissant les besoins en matière d hébergement des personnes âgées dans la Commune. Il a mené à la construction d une maison de repos et de soins dénommée «Home Beauport» inaugurée en l an Il y a lieu de noter que l endroit choisi concernait une parcelle de terrain à bâtir dont la partie située à front de rue appartenait à une société privée, l arrière du terrain appartenant à la Commune. Vous trouverez ci-après les grandes lignes de la réflexion en la matière présentées comme en Aujourd hui se pose toujours le problème de la liquidation des subventions promises. Le suivi de ce dossier en son entièreté fut une expérience enrichissante.

2 Page 2 sur 6 1. REMARQUES PRELIMINAIRES Un arrêté royal du 18 août 1987 fixe les normes auxquelles doivent répondre les maisons de repos pour personnes âgées établies dans la région bilingue de Bruxelles-Capitale et qui en raison de leur organisation ne doivent pas être considérées comme appartenant exclusivement à l une ou à l autre communauté. Le Home JOURDAN, situé à Etterbeek, avenue des Casernes 29, a été construit en Aujourd hui plus personne ne met en doute le fait qu il y a lieu de rénover la Fondation Jourdan dans sa section «Maison de Repos» en y intégrant un cabinet de toilette, par exemple, ce qui implique une réduction de plus ou moins 30 à 40 % de lits. Le Conseil communal d Etterbeek, en séance publique du 20 novembre 1995, constatait déjà que le Home Jourdan ne satisfaisait plus à toutes les exigences garantissant un bien être total ; que cet état de chose se traduisait dans certaines observations émises quant à ce qui pouvait alors être considéré comme un confort minimum en matière de chauffage, d éclairage, d installations sanitaires, chambres individuelles et communes, etc ; qu il y avait lieu d adapter les structures existantes aux besoins de la population vieillissante. Déjà des contacts avaient été pris avec le propriétaire d un terrain à bâtir situé à Etterbeek, chaussée de Wavre 541 à 559, un bien situé dans les limites d un plan particulier d aménagement (Bloc 537) approuvé par arrêté royal en date du 2 avril Les prescriptions de ce plan particulier d aménagement permettent la construction d un bâtiment pouvant recevoir une maison de repos de plus ou moins 140 lits. En sa séance du 20 novembre 1995, le Conseil communal décidait donc de charger le Collège des Bourgmestre et Echevins d introduire auprès des ministres compétents en la matière et conformément aux dispositions de l arrêté ministériel du 3 mai 1972, la demande d accord de principe quant à la subsidiation d un projet éventuel visant la construction d une maison de repos pour personnes âgées présentant des gabarits permettant de recevoir 140 lits, ceci en concluant un contrat de promotion avec le propriétaire du terrain. Le Conseil communal chargeait en outre le Collège des Bourgmestre et Echevins d étudier toutes les possibilités permettant de mener à bien la réalisation d un tel projet. Des contacts ont été pris avec Messieurs les Ministres Gosuin et Grijp, ainsi qu avec la Commission communautaire commune pour que notre projet soit pris en considération lors de l élaboration d un plan pluriannuel en la matière. Une demande de principe doit être accompagnée d un mémoire «indiquant les raisons qui justifient l exécution des travaux proposés». Ce mémoire précise les besoins en lits de la région à desservir compte tenu des prévisions démographiques et de l évolution économique et sociale de cette région. Lorsque la création de lits est prévue, le nombre de lits nouveaux ou de remplacement de lits existants prévus sera indiqué. Il indiquera également le nombre de lits nouveaux réservés à chaque catégorie de personnes définie par l arrêté royal du 2 mai Il mentionnera également la nature et l importance des services généraux et des services techniques dont la construction est envisagée. Une réunion a été organisée à l Administration de l Aménagement du Territoire et du Logement. Toutes les prescriptions urbanistiques ont été examinées avec Monsieur Delier, fonctionnaire délégué.

3 Page 3 sur 6 Le présent rapport a été établi dans l hypothèse où d une part se concrétise la construction d une nouvelle institution destinée à abriter des personnes âgées sur le site de chaussée de Wavre et d autre part que le principe de la rénovation de la Fondation Jourdan soit décidé. Ainsi, fort de ce qui pourrait être acquis et conscient de l importance de l enjeu en matière de politique d hébergement de personnes âgées (3 et 4 e âges) assuré par le service public sur le plan local, différentes pistes ont été étudiées cernant au plus près la réalité vécue au quotidien, tant au niveau des besoins médico-sociaux et de l état de dépendance psychophysiologique que dans le souci constant d assurer à nos aînés une vieillesse la plus heureuse possible en restant toujours attentif à leur attente en fonction de leur spécificité (âge, degré de dépendance, isolement social, aspirations, ) et des raisons qui ont prévalu à leur admission, soit en maison de retraite, soit en maison de repos et de soins ou encore dans une résidence services. 2. DES CLEFS POUR MIEUX COMPRENDRE LES SPECIFICITES DES PERSONNES AGEES. L espérance de vie tend à augmenter d un an tous les cinq ans. La part de la population qui dépasse les 65 ans devient de plus en plus importante. Au siècle dernier encore, la vieillesse dans nos sociétés était une affaire de famille. Avec l allongement de la durée de vie et les nouvelles conditions de travail, la société s est progressivement substituée à la famille. Les asiles et les hospices sont devenus des maisons de repos, des homes, qui accueillaient les plus solitaires et les plus démunis (indigents). Aujourd hui c est bien souvent des impératifs médico-sociaux qui nécessitent le placement (détérioration de l état de santé, l inadéquation de l hôpital, l isolement social, ) avec tout le drame qu engendre l urgence pour la personne âgée et la famille. Il est incontestable que l allongement de la durée de vie de nos concitoyens a fait émerger une population dépendante de plus en plus nombreuse et en conséquence de nouveaux besoins en matière d hébergement collectif avec en corollaire certaines maladies liées à la dépendance psychique. Pour toutes ces raisons, l aide à apporter à cette population requiert un certain nombre de motivations, au premier rang de celles-ci ; l affirmation d une prise en charge sociale de la dépendance sous toutes ses formes. Il ne faut plus continuer à assimiler la vieillesse ou la grande vieillesse à une maladie que seule la médecine pourrait soigner. S il est certes évident que les soins restent indispensables aux maladies ou handicaps liés au grand âge, il n en demeure pas moins que «la dépendance» revêt aussi une dimension sociale, longtemps sous-estimée. Dès lors doit-on considérer que ce besoin nouveau qui s est fait jour doit être un dosage harmonieux de ces deux approches médicales et sociales. La vieillesse est l affaire de tous dans la solidarité des jeunes et des aînés. 3. SERVICES VENANT EN AIDE AUX PERSONNES AGEES. Il faut considérer que la maison de repos deviendra une formule au sein d une chaîne de services propres aux besoins des personnes âgées. Progressivement, selon le degré d autonomie, l on relève : a) les services à domicile b) les centres de services communs et les services d accueil de jour c) les résidences services d) les maisons de repos e) les maisons de repos et de soins f) les services hospitaliers. Sans entrer dans les détails, voici schématiquement les dispositifs légaux et réglementaires mis en place pour permettre aux plus anciens d entre nous de mener une vie la plus confortable possible en fonction de l évolution de leur perte d autonomie. Nous constatons dans les maisons de repos une occupation maximale de 80 % des lits disponibles.

4 Page 4 sur 6 Il existe toutefois une clientèle, ne trouvant pas à Etterbeek le confort souhaité à un prix abordable, qui quitte la commune. 4. INFRASTRUCTURES ACTUELLES A ETTERBEEK Aujourd hui, Etterbeek dispose sur son territoire de plus ou moins 650 lits de maisons de repos et de maisons de repos et de soins, répartis dans plusieurs établissements publics et privés. Le secteur public est représenté par la Fondation Jourdan (CPAS d Etterbeek) et les Jardins de la Chasse (Association hospitalière d Etterbeek-Ixelles). La Fondation Jourdan représente un potentiel de 185 lits agréés (41 lits MRS et 144 lits MR). Les Jardins de la Chasse disposent de 84 lits MRS exploitables sur un capital de 123 lits ; les 39 lits restant sont en attente d une infrastructure et d un encadrement permettant de les ouvrir à la population concernée. Afin de répondre à un besoin réel, et soucieux de n avoir pas à se séparer de personnel, il me semble que l on pourrait envisager de porter la capacité MRS à 60 lits ( ), la différence des 19 étant à demander à l AHEI dans leur réserve de 39 lits. Dès lors, une alternative se présente : - Transformer la section MR de la Fondation Jourdan en une résidence services. L idée de construire une nouvelle institution sur le site de la chaussée de Wavre, est de nature à pouvoir développer considérablement une politique d hébergement des 3 e et 4 e âges. Une politique d hébergement nouvelle, complémentaire et différenciée, apte à assurer tous les besoins médicaux, sociaux et affectifs, parce que évolutive. Une politique inexistante au niveau de la région de Bruxelles-Capitale! A. DEVELOPPEMENT. Le site de la chaussée de Wavre, une rue à forte déclivité mais un terrain comportant un parc en fonde parcelle, se prête mieux à la construction d une maison de repos d une capacité de plus ou moins 90 à 120 lits destinée à abriter des personnes âgées de plus ou moins 85 ans qui ne demandent plus à sortir de façon autonome mais dont l état de santé n oblige pas à un encadrement renforcé. La maison de repos doit être l occasion d une nouvelle jeunesse, pour des personnes âgées, dont beaucoup n ont pas nécessairement été gâtées par la vie. C est l occasion de se faire de nouvelles amitiés, enfin de recouvrer une vie sociale qui a pu faire défaut dans le passé. Il n en demeure pas moins que si les maisons de repos constituent des institutions irremplaçables. Cela ne dispense pas de promouvoir des solutions alternatives de nature à limiter les formes d exclusion et d isolement des personnes âgées, comme le maintien à domicile qui est une piste à privilégier mais parfois difficile à concrétiser par l importance des mesures de soutien aux personnes âgées et à leur famille, notamment à travers les services d aides familiales, de soins infirmiers, de repas à domicile, Aussi est-il proposé de créer un centre d accueil de jour pour personnes âgées sur le site de la chaussée de Wavre, avec la faculté de prise et retour à domicile, les repas étant pris dans la maison de repos. Une prise de contact progressive de la maison de repos s établit. Les contacts avec l extérieur sont indispensables pour un maintien d un minimum de vie sociale. L isolement géographique, affectif, relationnel, intellectuel ou psychique est réducteur. Le résident soit donc pouvoir s ouvrir sur le monde extérieur, soit voir le monde extérieur venir à lui. B. QUANT A LA FONDATION JOURDAN 1. Une fois la nouvelle construction achevée et les pensionnaires transférés sur le nouveau site (nombreux avantages : rester à Etterbeek, rester ensemble avec le même personnel, pas de frais onéreux pour le relogement, ), il est proposé d envisager la rénovation de l aile B et d en faire une résidence services.

5 Page 5 sur 6 Certes, notre population vieillit et il est vrai que de plus en plus de gens atteignent en bonne santé, ce qui était jadis un âge très avancé. La résidence services est le complexe de logements où des «jeunes seniors» peuvent mener une vie agréable et surtout plus facile, où moyennant le paiement d un loyer, ils bénéficient d un ensemble de services bien adaptés à leurs besoins spécifiques. Le site Fondation Jourdan, contrairement au site de la chaussée de Wavre, par la présence du plateau commercial de la Chasse, de plain-pied se prête très bien à ce type de maisons d hébergement. 2. Aménagement de l aile A en portant la capacité de lits MRS de 41 à 60 lits, centralisation des «cas lourds» des deux institutions pour éviter à devoir les transférer ailleurs et éviter ainsi le déracinement. Meilleure répartition des lits sur les niveaux AO/A1 et A2 avec locaux de récréation, d activités Le niveau A3 pourrait recevoir quelques lits dit «soins palliatifs». C. QUANT AUX JARDINS DE LA CHASSE. Il s agit d un système pavillonnaire. En étroite collaboration avec le système développé, et ce pour de multiples raisons, cette institution deviendrait, tenant compte du vieillissement rapide de la population, une institution unique en son genre dans la région de Bruxelles-Capitale. 1. En effet, avec le vieillissement rapide de la population, la problématique de la démence gagnera de l importance. En Belgique, personnes sont atteintes d une démence de type Alzheimer. (diminution progressive de faculté de mémoire, de réflexion, de raisonnement et de la parole). Actuellement 2 personnes sur 10 séjournent dans un hôpital psychiatrique ou un centre d accueil, alors que les 8 autres restant dans le milieu familial où conjoint ou enfants prennent soin d eux. L importance de ce maintien à domicile, qu il s agisse d un choix libre ou imposé ne sera jamais trop souligné. Un soutien aux familles est dans ce cas indispensable. La métamorphose d un parent, d un conjoint, entraîne un véritable processus de deuil, deuil de la santé de l être aimé, deuil des rôles respectifs et deuil d une image de soi entamée par la destruction de l image de l autre. Il est urgent de faire quelque chose! 2. Pourquoi ne pas prévoir un pavillon destiné à abriter ces cas, un autre pour en faire un centre d accueil de jour pour «déments légers» avec retour à domicile et un centre d hébergement? 5. DEUX DETAILS QUI ONT TOUTE LEUR IMPORTANCE A) QUANT A LA PROCEDURE EN MATIERE D URBANISME. «Le plan particulier d aménagement» (terminologie de la loi de 1962 en matière d urbanisme) ayant été approuvé par arrêté royal du 2 avril 1974, (donc avant le 1 er janvier 1981) la demande de permis d urbanisme sera soumise à l avis de la Commission de concertation en application de l article 67 bis de l ordonnance du 29 août Toute la procédure prendra, tenant compte des délais légaux les plus pessimistes en la matière, entre 212 et 257 jours, c est-à-dire, plus ou moins 1 année.

6 Page 6 sur 6 B) QUANT AU TAUX DE T.V.A. APPLICALBE ACTUELLEMENT AU SECTEUR DU «LOGEMENT SOCIAL» Depuis le 1 er janvier 1996 et jusqu au 31 décembre 1997, le taux de 12 % de T.V.A. qui s applique actuellement au secteur du «logement social» est ramené à 6 %. D après l arrêté royal numéro 20, tableau B, est visée notamment, la «livraison» de complexes tels que maisons de repos. 6 % dans notre opération représentent une économie de plusieurs dizaines de millions. Le service communal des travaux publics avait, il y a deux ans, estimé le coût de la rénovation d une aile de la Fondation Jourdan à plus ou moins 50 millions! La définition rapide d un programme dans le dossier qui nous occupe devrait intervenir d urgence. Le taux de 6 % restant également applicable pendant une durée de 1 année. 6. CONCLUSIONS La construction d une nouvelle institution sur le site de la chaussée de Wavre rend la rénovation de la Fondation Jourdan plus facile. Elle permet une nouvelle approche en matière de la politique des troisième et quatrième âges au niveau local et devrait inévitablement devenir la politique de référence au niveau de la région de Bruxelles-Capitale, pour autant que toutes les parties intéressées décident ensemble de mettre tout en œuvre pour faire aboutir les propositions ci-dessus, mais tout en veillant à préserver ou à insuffler à chaque institution son style, sa finalité, se propre image de marque sous un label de qualité identique qui doit tendre à rassurer le futur résident et sa famille que, quoi qu il arrive, il restera dans un complexe qui tiendra compte, à tout moment, de l évolution de sa dépendance pour répondre au mieux à ses besoins

Résidence Saint Jean

Résidence Saint Jean Résidence Saint Jean 41 Avenue Félix Baert 59380 BERGUES Tél : 03.28.68.62.99 Fax : 03.28.68.53.19 Email : stjean.residence@wanadoo.fr Site web : www.residence-saint-jean.fr Madame, Monsieur, Le Conseil

Plus en détail

A.G.E.F. Z. I. 7, rue Philippe Lebon B.P. 110 21703 Nuits-Saint-Georges Cedex. Tél. 03 80 62 45 00 Fax. 03 80 61 37 52 agef@wanadoo.fr www.agef21.

A.G.E.F. Z. I. 7, rue Philippe Lebon B.P. 110 21703 Nuits-Saint-Georges Cedex. Tél. 03 80 62 45 00 Fax. 03 80 61 37 52 agef@wanadoo.fr www.agef21. A.G.E.F. Z. I. 7, rue Philippe Lebon B.P. 110 21703 Nuits-Saint-Georges Cedex Tél. 03 80 62 45 00 Fax. 03 80 61 37 52 agef@wanadoo.fr www.agef21.com Le mot de bienvenue du Président Vous avez choisi d

Plus en détail

B. L ENGAGEMENT DE PRISE EN CHARGE COMME PREUVE DE MOYENS DE SUBSISTANCE SUFFISANTS (Annexe 3bis)

B. L ENGAGEMENT DE PRISE EN CHARGE COMME PREUVE DE MOYENS DE SUBSISTANCE SUFFISANTS (Annexe 3bis) L ENGAGEMENT DE PRISE EN CHARGE INFORMATION AUX GARANTS (Article 3 bis de la loi du 15 décembre 1980 sur l accès au territoire, le séjour, l établissement et l éloignement des étrangers) Cette information

Plus en détail

LUTTER POUR UNE MEILLEURE SANTÉ : QUE PEUT-ON FAIRE DANS NOTRE QUARTIER?

LUTTER POUR UNE MEILLEURE SANTÉ : QUE PEUT-ON FAIRE DANS NOTRE QUARTIER? LUTTER POUR UNE MEILLEURE SANTÉ : QUE PEUT-ON FAIRE DANS NOTRE QUARTIER? Résumé des trois enjeux présentés lors de l Assemblée publique du comité de lutte en santé de la Clinique communautaire de Pointe-Saint-Charles

Plus en détail

d intervention prioritaires de l Etat et les modalités de cette intervention.

d intervention prioritaires de l Etat et les modalités de cette intervention. DSAS/Avant-projet du 28.02.2014 Loi du... sur les seniors (LSen) Le Grand Conseil du canton de Fribourg Vu la Constitution du canton de Fribourg du 16 mai 2004 (Cst. cant.), notamment ses articles 35 et

Plus en détail

Centre Régional de soins Psychiatriques «Les Marronniers» MSP

Centre Régional de soins Psychiatriques «Les Marronniers» MSP Centre Régional de soins Psychiatriques «Les Marronniers» EDS CHS MSP MSP «La Traversée» Anémones 1 - Anémones 2-45 lits 30 lits Chênes - 45 lits Dont - Circuits de soins internés 25 lits - Circuit de

Plus en détail

Circulaire n 5051 du 04/11/2014

Circulaire n 5051 du 04/11/2014 Circulaire n 5051 du 04/11/2014 Collaboration entre les Centres psycho-médico-sociaux, le Service de médiation scolaire et le Service des équipes mobiles missions et rôles Réseaux et niveaux concernés

Plus en détail

Planification des soins de longue durée Lorsqu il n est plus possible de recevoir des soins à domicile

Planification des soins de longue durée Lorsqu il n est plus possible de recevoir des soins à domicile Planification des soins de longue durée Lorsqu il n est plus possible de recevoir des soins à domicile COMMENT NOUS POUVONS AIDER Le Centre d accès aux soins communautaires (CASC) de Champlain vous procure

Plus en détail

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance

Plus en détail

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance

Plus en détail

Lépine Providence DOSSIER DE PRESSE

Lépine Providence DOSSIER DE PRESSE Lépine Providence L E S E N S D E L A V I E DOSSIER DE PRESSE Réunir & innover au service des personnes âgées Depuis 2010, la Ville de Versailles est titulaire du label Bien vieillir. Véritable récompense

Plus en détail

Les seniors dans l agglomération nantaise et leurs modes d hébergement

Les seniors dans l agglomération nantaise et leurs modes d hébergement Les seniors dans l agglomération nantaise et leurs modes d hébergement Agence d urbanisme de la région nantaise AURAN - 88.07 n Le nombre de seniors dans l Agglomération nantaise progresse et plus particulièrement

Plus en détail

Résidence MBV Les FIGUERES -Capendu-

Résidence MBV Les FIGUERES -Capendu- Résidence MBV Les FIGUERES -Capendu- Accompagnement de fin de vie: un travail d équipe Fin de vie en EHPAD Quel que soit le lieu de la «toute fin de vie» et du décès des résidents d Ehpad, l accompagnement

Plus en détail

Chez soi avant tout : De l hôpital à la maison

Chez soi avant tout : De l hôpital à la maison Chez soi avant tout : De l hôpital à la maison Après un séjour à l hôpital, vous pouvez continuer de vous rétablir dans le confort et la sécurité de votre propre domicile si vous recevez des services améliorés

Plus en détail

No 2487 ASSEMBLÉE NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 ONZIÈME LÉGISLATURE Enregistré à la Présidence de l'assemblée nationale le 21 juin 2000. PROJET DE LOI MODIFIE PAR LE SENAT EN NOUVELLE LECTURE

Plus en détail

BELGIQUE. 1. Principes généraux.

BELGIQUE. 1. Principes généraux. BELGIQUE Les dépenses de protection sociale en Belgique représentent 27,5%PIB. Le système belge est de logique bismarckienne. La principale réforme récente concerne le risque maladie. 1. Principes généraux.

Plus en détail

Le CPAS (Centre Public d Action Sociale), qu est-ce que c est?

Le CPAS (Centre Public d Action Sociale), qu est-ce que c est? Le CPAS (Centre Public d Action Sociale), qu est-ce que c est? Version n : 1 Dernière actualisation : 13-10-2006 1) A quoi sert cette fiche? 2) Qu est-ce qu un CPAS (Centre Public d Action Sociale)? 3)

Plus en détail

Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins

Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins Université d été de la performance en santé - 29 août 2014- Lille Monsieur le président, Monsieur le directeur général,

Plus en détail

Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS

Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Établissements de santé Droits et accueil des usagers Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Recommandations et indicateurs Préface Faire face aux inégalités de santé qui touchent tout

Plus en détail

RESIDENCE DU VAL REGLEMENT INTERIEUR FOYER-LOGEMENT

RESIDENCE DU VAL REGLEMENT INTERIEUR FOYER-LOGEMENT RESIDENCE DU VAL REGLEMENT INTERIEUR FOYER-LOGEMENT Le présent règlement intérieur est applicable aux résidents ayant signé le contrat de séjour du foyer-logement du Val, conformément aux dispositions

Plus en détail

d infirmières et d infirmiers Pour être admissible au répit spécialisé sur référence Des services spécialisés intégrés en

d infirmières et d infirmiers Pour être admissible au répit spécialisé sur référence Des services spécialisés intégrés en DES SERVICES DES INTERVENTIONS DE RÉADAPTATION CIBLÉES ET SPÉCIFIQUES VISANT LE DÉVELOPPEMENT OPTIMAL DE LA PERSONNE ET AYANT COMME OBJECTIFS de favoriser l intégration et la participation sociales de

Plus en détail

Nouvel élu? Solidaris vous informe

Nouvel élu? Solidaris vous informe Nouvel élu? Solidaris vous informe Mandataires politiques locaux et ASSURANCE MALADIE INVALIDITÉ Outre leur mandat politique, bon nombre de mandataires locaux exercent une autre activité comme travailleur

Plus en détail

La politique marseillaise en faveur des Seniors

La politique marseillaise en faveur des Seniors La politique marseillaise en faveur des Seniors Le Centre Communal d Action Sociale de la Ville de Marseille est un établissement public administratif communal. Il oriente ses actions en faveur des personnes

Plus en détail

AVIS. Objet : Demande de permis de lotir à Franc- Waret (FERNELMONT) Réf. : CWEDD/05/AV.276. Liège, le 14 mars 2005

AVIS. Objet : Demande de permis de lotir à Franc- Waret (FERNELMONT) Réf. : CWEDD/05/AV.276. Liège, le 14 mars 2005 AVIS Réf. : CWEDD/05/AV.276 Liège, le 14 mars 2005 Objet : Demande de permis de lotir à Franc- Waret (FERNELMONT) Avis du CWEDD portant sur une demande de permis de lotir à Franc-Waret (FERNELMONT) L avis

Plus en détail

Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession

Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession Position adoptée par Conseil national de l Ordre des infirmiers le 14 septembre 2010 Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession

Plus en détail

ETUDIER À L ÉTRANGER BELGIQUE

ETUDIER À L ÉTRANGER BELGIQUE ETUDIER À L ÉTRANGER BELGIQUE BIENVENUE EN BELGIQUE Vous avez décidé de venir étudier en Belgique, félicitations! Notre pays est reconnu pour la qualité de son accueil, son sens de l'humour, ses bières,

Plus en détail

Dossier Pédagogique Mercredis du Pass Âge (11-14 ans) 2014-2015

Dossier Pédagogique Mercredis du Pass Âge (11-14 ans) 2014-2015 Maison de l Enfance et de la Jeunesse 2 route de Keroumen 29480 Le Relecq Kerhuon 02 98.28.38.38 02.98.28.41.11 E-Mail : mej@mairie-relecq-kerhuon.fr Dossier Pédagogique Mercredis du Pass Âge (11-14 ans)

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES INFIRMIER-ÈRE DIPLÔMÉ-E

CAHIER DES CHARGES INFIRMIER-ÈRE DIPLÔMÉ-E Madame/Monsieur 1. DÉFINITION DE LA FONCTION Au service du projet institutionnel, la titulaire du poste : Exerce dans un cadre législatif et un contexte sanitaire connus (loi sur l exercice professionnel,

Plus en détail

Consolidation du budget l Etat répercussions sur le secteur communal. Prise de position du SYVICOL

Consolidation du budget l Etat répercussions sur le secteur communal. Prise de position du SYVICOL mc14 036 Consolidation du budget l Etat répercussions sur le secteur communal Prise de position du SYVICOL Suite à la réunion du Conseil supérieur des finances communales du 20 mai 2014, le SYVICOL souhaite

Plus en détail

1. Rappel des engagements - Roadmap actuelle (RM) Action 8

1. Rappel des engagements - Roadmap actuelle (RM) Action 8 ACTUALISATION ROADMAP esante 2013-2018 SESSION N 1 04/05/15 Projet A8 : Instauration d un instrument d évaluation uniforme (BelRAI) 1. Rappel des engagements - Roadmap actuelle (RM) Action 8 En 2013, l

Plus en détail

Propositions de réforme du MR en matière de droits de succession et donation

Propositions de réforme du MR en matière de droits de succession et donation Propositions de réforme du MR en matière de droits de succession et donation Propositions de réforme du MR en matière de droits de succession et donation 1 Les s des droits de succession sont de la compétence

Plus en détail

RESTAURATION SCOLAIRE REGLEMENT INTERIEUR

RESTAURATION SCOLAIRE REGLEMENT INTERIEUR RESTAURATION SCOLAIRE REGLEMENT INTERIEUR L admission à la cantine ne constitue pas une obligation pour la commune, mais un service facultatif rendu aux familles dans le cadre de l organisation arrêtée

Plus en détail

Les Quatre Saisons. Appartement gérontologique. 36 rue Trevet 93300 Aubervilliers Tél. : 01.48.39.98.64

Les Quatre Saisons. Appartement gérontologique. 36 rue Trevet 93300 Aubervilliers Tél. : 01.48.39.98.64 Livret d accueil Les Quatre Saisons Appartement gérontologique 36 rue Trevet 93300 Aubervilliers Tél. : 01.48.39.98.64 Présentation La résidence Les Quatre Saisons est un appartement d accueil, non médicalisé,

Plus en détail

Service Hainchamps de mise en autonomie en logement communautaire

Service Hainchamps de mise en autonomie en logement communautaire Service Hainchamps de mise en autonomie en logement communautaire Pour adultes handicapés mentaux de la Meuse serésienne rue Hainchamps 77 siège social: a.s.b.l. Cesahm 4100 Seraing rue du Sewage 9 à 4100

Plus en détail

Ministère du travail, de l emploi et de la santé Direction de la sécurité sociale

Ministère du travail, de l emploi et de la santé Direction de la sécurité sociale Ministère du travail, de l emploi et de la santé Direction de la sécurité sociale Sous-direction de l accès aux soins, des prestations familiales et des accidents du travail Bureau couverture maladie universelle

Plus en détail

PERMIS DE TRAVAIL A, B, C. Viktor BALLA Juriste, Ce.R.A.I.C. asbl Le 7 Mai 2013

PERMIS DE TRAVAIL A, B, C. Viktor BALLA Juriste, Ce.R.A.I.C. asbl Le 7 Mai 2013 PERMIS DE TRAVAIL A, B, C Viktor BALLA Juriste, Ce.R.A.I.C. asbl Le 7 Mai 2013 Loi du 30 avril 1999 relative à l occupation des travailleurs étrangers Arrêté royal du 9 juin 1999 portant exécution de la

Plus en détail

sociales (pour information) CIRCULAIRE DGS(SD6/A)/DGAS/DSS/2002/551 / du 30 octobre 2002 relative aux appartements de coordination thérapeutique (ACT)

sociales (pour information) CIRCULAIRE DGS(SD6/A)/DGAS/DSS/2002/551 / du 30 octobre 2002 relative aux appartements de coordination thérapeutique (ACT) Le Ministre de la Santé, de la Famille Et des personnes Handicapées A Mesdames et Messieurs les Préfets de région Direction régionales des affaires sanitaires et sociales Mesdames et Messieurs les Préfets

Plus en détail

FONDATION NATIONALE DE GERONTOLOGIE MINISTERE DE L EMPLOI ET DE LA SOLIDARITE SECRETARIAT D ETAT A LA SANTE ET A L ACTION SOCIALE

FONDATION NATIONALE DE GERONTOLOGIE MINISTERE DE L EMPLOI ET DE LA SOLIDARITE SECRETARIAT D ETAT A LA SANTE ET A L ACTION SOCIALE FONDATION NATIONALE DE GERONTOLOGIE MINISTERE DE L EMPLOI ET DE LA SOLIDARITE SECRETARIAT D ETAT A LA SANTE ET A L ACTION SOCIALE 1999 La Fondation nationale de gérontologie et le ministère des affaires

Plus en détail

«Politique des ARS pour les seniors»

«Politique des ARS pour les seniors» «Politique des ARS pour les seniors» Claude EVIN, Directeur Général de l Agence Régionale de Santé d Ile-de-France XX/XX/XX L ARS, acteur majeur de la politique de santé et d accompagnement au service

Plus en détail

au service de chacun!

au service de chacun! Les associations sanitaires et sociales : au service de chacun! Petite enfance Handicap Jeunes en danger Santé Personnes âgées Pauvreté, Exclusion * «L association est la convention par laquelle deux ou

Plus en détail

POLITIQUE FAMILIALE DU CANTON DE WESTBURY

POLITIQUE FAMILIALE DU CANTON DE WESTBURY POLITIQUE FAMILIALE DU CANTON DE WESTBURY «Penser et agir famille» LES OBJECTIFS 1. Accueillir les familles avec respect et ouverture d esprit dans toutes leurs formes et leurs différences. 2. Stimuler

Plus en détail

vous êtes en charge des services sociaux auprès d une collectivité locale ou territoriale,

vous êtes en charge des services sociaux auprès d une collectivité locale ou territoriale, Vous êtes un professionnel du corps médical ou des services sociaux, vous travaillez au sein d un établissement spécialisé, vous êtes en charge des services sociaux auprès d une collectivité locale ou

Plus en détail

La mise en ordre de mutuelle

La mise en ordre de mutuelle Version n : 1 Dernière actualisation : 04-07-2008 1) Mode d emploi de la fiche et abréviations utilisées 2) Mise en contexte 3) Pourquoi s affilier auprès d une mutuelle? 4) Qu est-ce qu un «organisme

Plus en détail

COMPTE-RENDU DE LA CONSULTATION PUBLIQUE ARRONDISSEMENT DE BROMPTON RÉVISION DU SCHÉMA DE COUVERTURE DE RISQUES EN SÉCURITÉ INCENDIE

COMPTE-RENDU DE LA CONSULTATION PUBLIQUE ARRONDISSEMENT DE BROMPTON RÉVISION DU SCHÉMA DE COUVERTURE DE RISQUES EN SÉCURITÉ INCENDIE COMPTE-RENDU DE LA CONSULTATION PUBLIQUE ARRONDISSEMENT DE BROMPTON RÉVISION DU SCHÉMA DE COUVERTURE DE RISQUES EN SÉCURITÉ INCENDIE 13 JUIN 2012 19 h BUREAU D ARRONDISSEMENT DE BROMPTON SONT PRÉSENTS

Plus en détail

L employeur peut-il renvoyer un travailleur grippé à la maison?

L employeur peut-il renvoyer un travailleur grippé à la maison? L employeur peut-il renvoyer un travailleur grippé à la maison? La réponse n est pas si simple, car que se passe-t-il si le travailleur se présente malade au travail sans dire qu il s agit précisément

Plus en détail

NOTE SUR LES SUBVENTIONS. - Récapitulatif des obligations des associations subventionnées

NOTE SUR LES SUBVENTIONS. - Récapitulatif des obligations des associations subventionnées NOTE SUR LES SUBVENTIONS - Récapitulatif des obligations des associations subventionnées - Les produits de la tarification ne sont pas des subventions A. Récapitulatif des obligations des associations

Plus en détail

Calendrier des formations INTER en 2011

Calendrier des formations INTER en 2011 Calendrier des formations INTER en 2011 THEMES Liste des formations INTER MOTIVEZ ET DYNAMISEZ VOS EQUIPES 98 % de participants satisfaits et se sentant reconnus à la sortie de nos formations! L environnement

Plus en détail

1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale!

1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale! Plan «Urgences» 1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale! Fiche 1.1 La permanence des médecins généralistes Mesure 1 Assurer la permanence de soins Mesure

Plus en détail

Françoise TRUFFY, Présidente de la CDAPH 94. Bonjour,

Françoise TRUFFY, Présidente de la CDAPH 94. Bonjour, Françoise TRUFFY, Présidente de la CDAPH 94 Bonjour, Je me présente : J ai une formation de base d ergothérapeute et d infirmièreassistante sociale spécialisée en psychiatrie et comme pour faire, j ai

Plus en détail

Circulaire aux hôpitaux

Circulaire aux hôpitaux Avez-vous des questions ou souhaitez-vous des informations supplémentaires? Envoyez un courriel au frontdesk à l adresse suivante question@miis.be Ou prenez contact avec nous au 02 508 85 86 Le Ministre

Plus en détail

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,

Plus en détail

Nous contacter? Jean Marie HANNESSE. Service de médiation pour les Pensions WTC III Bd. Simon Bolivar, 30 bte 5 1000 Bruxelles

Nous contacter? Jean Marie HANNESSE. Service de médiation pour les Pensions WTC III Bd. Simon Bolivar, 30 bte 5 1000 Bruxelles Nous contacter? Jean Marie HANNESSE Service de médiation pour les Pensions WTC III Bd. Simon Bolivar, 30 bte 5 1000 Bruxelles Tél. 02/274.19.90 Fax 02/274.19.99 e-mail : plainte@mediateurpensions.be www.mediateurpensions.be

Plus en détail

TALENSIA. Assistance. Dispositions spécifiques

TALENSIA. Assistance. Dispositions spécifiques TALENSIA Assistance Dispositions spécifiques L'introduction et la présentation du plan d assurances Entreprises Les dispositions communes Les dispositions spécifiques à chacune des assurances Le lexique

Plus en détail

La gestion des ressources humaines, un enjeu incontournable

La gestion des ressources humaines, un enjeu incontournable Petit-Matin RH Adecco : «Les défis d avenir de la gestion des ressources humaines» par Florent Francoeur, CRHA Le premier Petit-Matin RH 2013 organisé par Adecco s est déroulé le 21 février dernier au

Plus en détail

I. Qu est ce qu un SSIAD?

I. Qu est ce qu un SSIAD? 1 Plan Introduction I. Qu est ce qu un SSIAD? II. L accompagnement du SSIAD III. Présentation du SSIAD de Meyssac et de Beynat IV. Les personnes prises en soin dans le SSIAD V. Présentation d une situation

Plus en détail

VENIR SE SOIGNER EN FRANCE

VENIR SE SOIGNER EN FRANCE Quel qu en soit le motif, l entrée sur le territoire français est soumise à une obligation de «visa» (sauf nationalités dispensées). Le visa «pour raison médicale» ou «sanitaire» est un visa spécialement

Plus en détail

LIVRET D ACCUEIL. Solidarité Doubs Handicap

LIVRET D ACCUEIL. Solidarité Doubs Handicap LIVRET D ACCUEIL POLE MEDICO-SOCIAL Services Accueil de Vie Services Habitat et Social Animation Socio-Culturelle POLE TRAVAIL PROTEGE Edition du 30 juin 2014 Solidarité Doubs Handicap SOLIDARITE DOUBS

Plus en détail

FONDS DU LOGEMENT DE LA REGION DE BRUXELLES-CAPITALE MEMORANDUM

FONDS DU LOGEMENT DE LA REGION DE BRUXELLES-CAPITALE MEMORANDUM FONDS DU LOGEMENT DE LA REGION DE BRUXELLES-CAPITALE MEMORANDUM Madame, Monsieur, La problématique de l accès au logement se renforce considérablement au niveau régional. Le Fonds du Logement collabore

Plus en détail

La réforme du remboursement des frais de l aide médicale aux centres publics d action sociale phase 1 projet du MediPrima

La réforme du remboursement des frais de l aide médicale aux centres publics d action sociale phase 1 projet du MediPrima Frontdesk E-mail: question@mi-is.be Tél.: 02/508.85.86 Fax : 02/508.86.10 A Mesdames les Présidentes et à Messieurs les Présidents des centres publics d action sociale date : 27 septembre 2013 La réforme

Plus en détail

SIXIÈME RÉFORME DE L ÉTAT Au PS, nous avions promis de stabiliser le pays. Nous l avons fait. La réforme expliquée en 10 points

SIXIÈME RÉFORME DE L ÉTAT Au PS, nous avions promis de stabiliser le pays. Nous l avons fait. La réforme expliquée en 10 points SIXIÈME RÉFORME DE L ÉTAT Au PS, nous avions promis de stabiliser le pays. Nous l avons fait. La réforme expliquée en 10 points I. Rappel du contexte L actualité est telle qu un sujet chasse l autre. Mais

Plus en détail

L assurance soins de santé en Belgique : une introduction. Thomas Rousseau 12 juin 2014

L assurance soins de santé en Belgique : une introduction. Thomas Rousseau 12 juin 2014 L assurance soins de santé en Belgique : une introduction Thomas Rousseau 12 juin 2014 Introduction L assurance maladie obligatoire L assurance soins de santé L assurance indemnités (maladie, accident,

Plus en détail

Maison unifamiliale : Définition

Maison unifamiliale : Définition Maison unifamiliale : Définition Une maison unifamiliale est considérée comme étant un bâtiment indépendant essentiellement affecté au logement d une seule famille. La portée des différents aspects tirés

Plus en détail

LIVRET D ACCUEIL POUR NOUS JOINDRE LOGEMENT-FOYER «RESIDENCE LES JONCHERES» Adresse :

LIVRET D ACCUEIL POUR NOUS JOINDRE LOGEMENT-FOYER «RESIDENCE LES JONCHERES» Adresse : POUR NOUS JOINDRE Adresse : Logement-Foyer «Les Jonchères» Promenade du Pré Pelote 49610 Mozé sur Louet Téléphone : 02 41 45 72 45 LIVRET D ACCUEIL LOGEMENT-FOYER «RESIDENCE LES JONCHERES» Fax : 02 41

Plus en détail

médicale canadienne, l Institut canadien d information sur la santé, Santé Canada et le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada.

médicale canadienne, l Institut canadien d information sur la santé, Santé Canada et le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada. DEPUIS PLUSIEURS ANNÉES, la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec (FMOQ) interroge ses membres sur plusieurs aspects touchant leur pratique professionnelle à l aide de sondages, de groupes de

Plus en détail

Contact chargées de mission FEHAP Centre : Magali BASTELICA, magali.bastelica@fehap.fr, 06 45 55 50 12 Nathalie PERPINIAL,

Contact chargées de mission FEHAP Centre : Magali BASTELICA, magali.bastelica@fehap.fr, 06 45 55 50 12 Nathalie PERPINIAL, Contact chargées de mission FEHAP Centre : Magali BASTELICA, magali.bastelica@fehap.fr, 06 45 55 50 12 Nathalie PERPINIAL, nathalie.perpinial@fehap.fr, 06 74 72 73 78 SOMMAIRE Pourquoi la FEHAP intervientelle

Plus en détail

SUPPLEMENT AU DIPLÔME

SUPPLEMENT AU DIPLÔME SUPPLEMENT AU DIPLÔME Le présent supplément au diplôme (annexe descriptive) suit le modèle élaboré par la Commission européenne, le Conseil de l'europe et l'unesco/cepes. Le supplément vise à fournir des

Plus en détail

LE MALI L HÔPITAL GABRIEL TOURE L HÔPITAL DU POINT G INTRODUCTION 2 INTRODUCTION 1 DISPENSATION DES ARV DANS LES HÔPITAUX DU POINT G ET GABRIEL TOURE

LE MALI L HÔPITAL GABRIEL TOURE L HÔPITAL DU POINT G INTRODUCTION 2 INTRODUCTION 1 DISPENSATION DES ARV DANS LES HÔPITAUX DU POINT G ET GABRIEL TOURE DISPENSATION DES ARV DANS LES HÔPITAUX DU POINT G ET GABRIEL TOURE KALLE A.D A (1), BENGALY L (2)., KONE D ( 1), COULIBALY S.M (2). DIAKITE A.S. (2) DIAMOUTENE A (2) (1) Service de Pharmacie Hôpital Gabriel

Plus en détail

Programme Bourses Diversité et Réussite

Programme Bourses Diversité et Réussite Donner à chacun les meilleures chances de réussir Programme Bourses Diversité et Réussite La Fondation INSA de Lyon Ensemble développons notre vocation L INSA de Lyon tire sa force de l intégration de

Plus en détail

Nous avons réuni les recommandations

Nous avons réuni les recommandations Plan par étapes Recommandations aux fondateurs d un nouvel assureur mutuel La Banque Nationale a quatre mois pour délibérer sur la demande. Nous avons réuni les recommandations qui suivent à l intention

Plus en détail

D Ismaël RAMI à Henri- Francis DUFOUR Marie-Christine BINOUX-REMY Christine LEBOCQ-CESTAN Khalil HENNI Amélie PASCAL

D Ismaël RAMI à Henri- Francis DUFOUR Marie-Christine BINOUX-REMY Christine LEBOCQ-CESTAN Khalil HENNI Amélie PASCAL D Ismaël RAMI à Henri- Francis DUFOUR Marie-Christine BINOUX-REMY Christine LEBOCQ-CESTAN Khalil HENNI Amélie PASCAL Montbéliard, le 4 Mars 2011 Objet : Compte-rendu de la réunion en mairie de Vieux Charmont

Plus en détail

Si votre demande concerne plusieurs personnes, vous devez payer une redevance par personne.

Si votre demande concerne plusieurs personnes, vous devez payer une redevance par personne. Redevance couvrant les frais de traitement d'une demande d autorisation de séjour, d une demande d admission au séjour, ou d une demande de changement de statut Entrée en vigueur le 02 mars 2015 Depuis

Plus en détail

La Réserve de Remplacement

La Réserve de Remplacement La Réserve de Remplacement Guide d utilisation mai 2006 Services familiaux et communautaires Habitation et soutien du revenu Province du Nouveau Brunswick La réserve de remplacement GUIDE D UTILISATION

Plus en détail

SOMMAIRE I.DUREE DU SEJOUR

SOMMAIRE I.DUREE DU SEJOUR 1 SOMMAIRE I.DUREE DU SEJOUR II.PRESTATIONS ASSUREES PAR L ETABLISSEMENT 2.1 description du logement et du mobilier fourni par l établissement 2.2 restauration 2.3 le linge et son entretien 2.4 animation

Plus en détail

Il y a un temps pour tout «Il y a un temps pour tout et un moment pour chaque chose», dit l Ecclésiaste signifiant ainsi à l homme qui veut accéder à

Il y a un temps pour tout «Il y a un temps pour tout et un moment pour chaque chose», dit l Ecclésiaste signifiant ainsi à l homme qui veut accéder à Il y a un temps pour tout «Il y a un temps pour tout et un moment pour chaque chose», dit l Ecclésiaste signifiant ainsi à l homme qui veut accéder à la sagesse qu il lui faut, avant tout, adapter ses

Plus en détail

Financement de l assurance maladie obligatoire en Belgique (les différents régimes). La question de l assurance complémentaire.

Financement de l assurance maladie obligatoire en Belgique (les différents régimes). La question de l assurance complémentaire. www.inami.be www.coopami.org Financement de l assurance maladie obligatoire en Belgique (les différents régimes). La question de l assurance complémentaire. Nouakchott 31 janvier 2011 Michel Vigneul Cellule

Plus en détail

En ville sans ma voiture demande de dérogations. Foire aux questions

En ville sans ma voiture demande de dérogations. Foire aux questions En ville sans ma voiture demande de dérogations Foire aux questions Vous trouverez ci-joint quelques-uns des cas les plus fréquemment rencontrés dans les communes lors des précédentes éditions de la journée

Plus en détail

REGIE PROVINCIALE AUTONOME DE SECURITE

REGIE PROVINCIALE AUTONOME DE SECURITE REGIE PROVINCIALE AUTONOME DE SECURITE Cahier spécial des charges Appel d offre général pour la fourniture de défibrillateurs externes automatiques (DEA) Exercice 2013 Marché référencé «DEA 2013» L attention

Plus en détail

F I C H E 57: L A RÉCUPÉRATION DES CRÉANCES D AIDE SOC I ALE

F I C H E 57: L A RÉCUPÉRATION DES CRÉANCES D AIDE SOC I ALE F I C H E 57: L A RÉCUPÉRATION DES CRÉANCES D AIDE SOC I ALE Code de l action sociale et des familles Articles L 132-8 et suivant Articles L 132-9 R 132-13 à R 132-16 Article L 344-5 Article L 351-1 Code

Plus en détail

Initiative parlementaire Loi fédérale sur la continuation de l assurance des travailleuses dans la prévoyance professionnelle

Initiative parlementaire Loi fédérale sur la continuation de l assurance des travailleuses dans la prévoyance professionnelle 01.400 Initiative parlementaire Loi fédérale sur la continuation de l assurance des travailleuses dans la prévoyance professionnelle Rapport de la Commission de la sécurité sociale et de la santé du Conseil

Plus en détail

Domaine Santé. Plan d études cadre Modules complémentaires santé. HES-SO, les 5 et 6 mai 2011. 1 PEC Modules complémentaires santé

Domaine Santé. Plan d études cadre Modules complémentaires santé. HES-SO, les 5 et 6 mai 2011. 1 PEC Modules complémentaires santé Domaine Santé Plan d études cadre Modules complémentaires santé HES-SO, les 5 et 6 mai 2011 1 PEC Modules complémentaires santé Plan d études cadre Modules complémentaires santé 1. Finalité des modules

Plus en détail

Introduction. 1. Les engagements de McGill

Introduction. 1. Les engagements de McGill Introduction L Université McGill remercie le Conseil municipal et l Office de consultation publique de Montréal de tenir des consultations publiques sur le projet du Plan de protection et de mise en valeur

Plus en détail

Les plans de menus sont fournis par le prestataire de service à la semaine et sont affichés à l entrée de la cantine.

Les plans de menus sont fournis par le prestataire de service à la semaine et sont affichés à l entrée de la cantine. RESTAURANT SCOLAIRE D HABERE LULLIN REGLEMENT INTERIEUR Article préliminaire La cantine scolaire n a pas de caractère obligatoire et a pour objet d assurer, dans les meilleures conditions possibles d hygiène

Plus en détail

ATELIER 3 Analyse des différents systèmes de protection sociale en santé en Afrique

ATELIER 3 Analyse des différents systèmes de protection sociale en santé en Afrique FORMATION SUR LE DEVELOPPEMENT DE L ASSURANCE MALADIE UNIVERSELLE www.coopami.org ATELIER 3 Analyse des différents systèmes de protection sociale en santé en Afrique NIAMEY 12 et 13 juillet 2012 Cellule

Plus en détail

Action sociale. Nos actions dans le domaine du handicap. L Action sociale vous accompagne dans les moments importants de votre vie

Action sociale. Nos actions dans le domaine du handicap. L Action sociale vous accompagne dans les moments importants de votre vie Action sociale Nos actions dans le domaine du handicap L Action sociale vous accompagne dans les moments importants de votre vie Assumer au quotidien une situation de handicap est difficile pour une famille

Plus en détail

Elections simultanées du 25 mai 2014 - Circulaire concernant la désignation des membres de bureaux électoraux.

Elections simultanées du 25 mai 2014 - Circulaire concernant la désignation des membres de bureaux électoraux. Service public fédéral Intérieur Direction générale Institutions et Population Service Elections Madame, Monsieur le Président du Bureau Principal de Canton, Madame, Monsieur le Bourgmestre, Votre correspondant

Plus en détail

Étapes suivantes du plan d action du Manitoba

Étapes suivantes du plan d action du Manitoba Juillet 2005 Pour aller de l avant : L apprentissage et la garde des jeunes enfants Étapes suivantes du plan d action du Manitoba Introduction En novembre 1999, le gouvernement du Manitoba a confirmé son

Plus en détail

ANGLE RUE LÉOPOLD, 6 RUE DU FOSSÉ AUX LOUPS, 29 CET ÎLOT EST AFFECTÉ AU LOGEMENT : NON À L AUDITORIUM - RADIATEUR

ANGLE RUE LÉOPOLD, 6 RUE DU FOSSÉ AUX LOUPS, 29 CET ÎLOT EST AFFECTÉ AU LOGEMENT : NON À L AUDITORIUM - RADIATEUR Boulevard Adolphe Max, 55 1000 Bruxelles T. 02 219 33 45 F. 02 219 86 75 info@arau.org ww.arau.org Conférence de presse du lundi 16 février 2009 ANGLE RUE LÉOPOLD, 6 RUE DU FOSSÉ AUX LOUPS, 29 CET ÎLOT

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE. Une nouvelle activité vient de voir le jour. «Le BTP Gériatrique»

DOSSIER DE PRESSE. Une nouvelle activité vient de voir le jour. «Le BTP Gériatrique» DOSSIER DE PRESSE Une nouvelle activité vient de voir le jour «Le BTP Gériatrique» Adapt 06 est une société de travaux tout corps d état, spécialisée dans l adaptation des logements pour les personnes

Plus en détail

DOSSIER D INSCRIPTION

DOSSIER D INSCRIPTION HÉBERGEMENT EN ÉTABLISSEMENT D ACCUEIL POUR PERSONNES ÂGÉES DOSSIER D INSCRIPTION Vous envisagez de vous inscrire dans un établissement d accueil pour personnes âgées. Afin de faciliter vos démarches,

Plus en détail

QUESTIONS ECRITES. 5 Egalité des Chances entre les hommes et les femmes Catherine FONCK, Ministre de la Santé, de l Enfance et de l Aide à la Jeunesse

QUESTIONS ECRITES. 5 Egalité des Chances entre les hommes et les femmes Catherine FONCK, Ministre de la Santé, de l Enfance et de l Aide à la Jeunesse QUESTIONS ECRITES 1 Problèmes de réception des radios francophones dans la région d Enghien Fadila LAANAN, Ministre de la Culture, Audiovisuel & Jeunesse 2 Fonction publique communautaire 3 Egalité des

Plus en détail

Règlement de Fonctionnement

Règlement de Fonctionnement FONDATION ROGUET Etablissement Public de Santé 58 rue Georges BOISSEAU 92110 CLICHY Règlement de Fonctionnement Accueil de Jour Secrétariat médical Accueil de Jour Téléphone : 01-41-40-46-42 Fax : 01-41-40-47-47

Plus en détail

Pacte européen pour la santé mentale et le bien-être

Pacte européen pour la santé mentale et le bien-être Pacte européen pour la santé mentale et le bien-être CONFERENCE DE HAUT-NIVEAU DE L UE ENSEMBLE POUR LA SANTÉ MENTALE ET LE BIEN-ÊTRE Bruxelles, 12-13 juin 2008 Slovensko predsedstvo EU 2008 Slovenian

Plus en détail

Contribution de la Mutualité Française Centre à la Stratégie Nationale de Santé. Tours

Contribution de la Mutualité Française Centre à la Stratégie Nationale de Santé. Tours Contribution de la Mutualité Française Centre à la Stratégie Nationale de Santé Tours Débat régional du 13 février 2014 Chantier n 1 du programme Gaspar : développer les conventionnements tiers payant

Plus en détail

5, avenue des Quarante Journaux CS 50037-33070 Bordeaux Cedex Tel : 05 56 112 112 Fax : 05 56 112 110 www.jardinsdecybele.

5, avenue des Quarante Journaux CS 50037-33070 Bordeaux Cedex Tel : 05 56 112 112 Fax : 05 56 112 110 www.jardinsdecybele. 5, avenue des Quarante Journaux CS 50037-33070 Bordeaux Cedex Tel : 05 56 112 112 Fax : 05 56 112 110 www.jardinsdecybele.com Le 15/06/2011 Dossier de Presse Sommaire 1. Présentation du groupe..page 3

Plus en détail

Le début de l aventure

Le début de l aventure CONTEXTE L Hôpital Credit Valley et le Centre de Santé Trillium : au cœur du roulement de patient Contexte L Hôpital Credit Valley et le Centre de Santé Trillium forment un nouveau groupe hospitalier qui

Plus en détail

Conditions supplémentaires d assurance (CSA) Assurance complémentaire d hospitalisation HOSPITAL CLASSICA

Conditions supplémentaires d assurance (CSA) Assurance complémentaire d hospitalisation HOSPITAL CLASSICA Le Groupe Helsana comprend Helsana Assurances SA, Helsana Assurances complémentaires SA, Helsana Accidents SA, Avanex Assurances SA, Progrès Assurances SA, Sansan Assurances SA et Maxi.ch Assurances SA.

Plus en détail

Vivre seul : quelques détails pratiques!

Vivre seul : quelques détails pratiques! Réf : février 2012 Vivre seul : quelques détails A partir de quand peux tu vivre seul? Tu dois savoir que si tu es mineur, tu ne peux pas quitter le domicile de tes parents sans leur autorisation. Si effectivement

Plus en détail

Module 1. Formation à la structure Mutuelle et aux outils d'accès aux soins de santé

Module 1. Formation à la structure Mutuelle et aux outils d'accès aux soins de santé Module 1 Formation à la structure Mutuelle et aux outils d'accès aux soins de santé Partie 1 - La sécurité sociale en Belgique et les mutualités. Plan 1- INTRODUCTION 2- GRANDS PRINCIPES DE LA SÉCURITÉ

Plus en détail

Bien vivre votre retraite

Bien vivre votre retraite Retraités SEPTEMBRE 2014 Bien vivre votre retraite les contacts près de chez vous Pour vous aider chez vous Le plan d actions personnalise Une offre de prise en charge globale de vos besoins pour améliorer

Plus en détail

Trophées du Grand Age Lundi 2 Mai au Casino de Paris 18h00

Trophées du Grand Age Lundi 2 Mai au Casino de Paris 18h00 Dépendance, Vieillissement de la population, Alzheimer, Maisons de retraite, Maintien à domicile, Gérontechnologies, Aide aux aidants. Organisés par le site Gérontechnologie.net et MarcDumasConseil, les

Plus en détail