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1 Degré N 40 Juillet 2006 Journal d information de la Compagnie Parisienne de Chauffage Urbain À la une > le rêve de Buffon Page 3 Repère > L efficacité énergétique Page 4 Dossier > Formation : pour assurer l avenir Page 8

2 Il semble bien que l on co m m e n ce à re co n n a î t re quelques qualités aux réseaux de chaleur! Ce qui n est évidemment pas sans rapport avec la hausse co n s i d é ra b le des prix des énerg i e s fo ss i les en 2005, avec la prise de co n s c i e n ce du risque de pénurie de re ss o u rces fo ss i les à long terme et enfin avec le début de mise en place de politiques impéra t i ves re l a t i ves à la réduction des émissions de gaz à effet de serre. Le co n cept de «chaleur re n o u ve l a b le», qui para i ssait enco re incongru il y a quelques années, est doré n a vant co m p l è tement d actualité ; à tel point que la Pro g ra m m a t i o n p l u r i a n n u e l le des inve st i ssements (PPI) prévue dans la Loi de l é n e rgie (loi POPE) co m p o r te un chapitre important «chaleur re n o u ve l a b le». Les réseaux de chaleur co n stituent évidemment un instrument privilégié et même p ratiquement unique pour ré c u p é rer avec un très bon rendement les énerg i e s re n o u ve l a b les fa ta les issues des déchets, de la biomasse ou de la géothermie pro fo n d e. CPCU, avec pratiquement la moitié de ses besoins thermiques issus des déchets urbains du ce n t re de l a g g lo m é ration parisienne, est la meille u re illust ration de l i n t é rêt du réseau de c h a le u r. É d i to À la une PAGE 2 Le rêve de Buffon Repères PAGE 4 L efficacité énergétique Mise en perspective PAGE 6 Le Partitio, immeuble HQE Dossier PAGE 8 Formation : pour assurer l avenir Économie PAGE 12 Riga, l européenne À propos PAGE 13 Le Système de Management Intégré Outils & Concepts PAGE 14 Le SIG, aujourd hui et demain Bloc-notes PAGE 15 Le musée Bourdelle Les «Mercure» CPCU 2005 Degré CPCU, 185, rue de Bercy, Paris Cedex 12. T é l. : D i re c teur de la publica t i o n : Fra n çois Dupoux - R é d a c t r i ce en chef : M a r i e - Fra n ce Roy - P h o to s : P. Bremont, Hachette, I. Picarel, Gettyimages - Photo de couverture : Hachette - Ont participé à ce numéro : D. Bouchakria, M. Chantecaille, M. C h i ron, S. Piras, J. Toubiana, M. Zouaoui, P. Dommanget - C o n ce p t i o n / ré a l i s a t i o n : Le Square, tél , 2 / 3

3 Le législateur d aille u rs vient d acter ce t te prise de co n s c i e n ce par deux mesures fisca le s s i g n i f i ca t i ves, en principe applica b le dès juillet 2006 : - la pre m i è re co n s i ste à abaisser le taux de TVA sur l abonnement (partie fixe) de la fa c t u re de chaleur de 19,6 à 5,5 %. C était une mesure de simple équité, par rapport au gaz et à l é lectricité, attendue depuis plusieurs années. - la deuxième est très significa t i ve sur le plan des principes même, bien que par le seuil choisi elle ne co n cerne qu une très petite partie des réseaux de chale u r. Elle co n s i ste à a b a i sser le taux de TVA à 5,5 % pour la fo u r n i t u re de chaleur si au moins 60 % de la chale u r a pour origine des énergies re n o u ve l a b les ou de ré c u p é ration (biomasse, déchets, géothermie, etc ). Voilà une re co n n a i ss a n ce de l utilité du co n cept de réseau de chale u r. M. Fra n çois Dupoux PDG de la Compagnie Parisienne de Chauffage Urbain Le rêve de B u f fo n À la une! Inaugurée en 1994, la Grande galerie de l évolution est plus qu un musée scientifique, c est une œuvre d art. En 1635 naît de la vo lonté de Louis XIII, «le J a rdin Roya l» des plantes médicinale s, l une des plus vieilles institutions scientifiques fra n çaises. Un siècle plus ta rd, sa vo cation pre m i è re, l art de guérir par le s p l a n tes, laisse pro g re ss i vement la place à l étude de l h i sto i re nature l le. Un ra yonnement mondial C e t te évolution est confirmée en 1718 par un édit qui sépare la charge de pre m i e r médecin du roi de ce l le de surintendant du J a rdin. En 1793 a été créé sur ce lieu un Musée d histo i re nature l le. Avec l a r r i vée à sa tête en 1843 de Georges Louis Lecle rc, co m te de Buffon, qui le dirigera brillamment durant 50 ans. Le Jardin du Roi acquiert une renommée inte r n a t i o n a le et d evient un des phares de la science m o n d i a le. Il entre dans le XX è m e s i è c le doté d un budget pro p re et d une co m p l è te auto - nomie financière. Le nombre de ses i m p l a n tations se multiplie et ses miss i o n s se dive rsifient. Pilier en 1948 de l U I C N (Union inte r n a t i o n a le pour la co n s e r va t i o n de la Nature), il abrite succe ss i vement un s e c ré tariat de la faune et de la flo re et une délégation permanente à l e n v i ro n n e m e n t (1992). Le Musée d histo i re nature l le joue a u j o u rd hui un rô le majeur dans le d éve loppement des sciences nature l les au n i veau planéta i re. G randeur et déca d e n ce C e st au cœur de ce musée pre st i g i e u x q u e st inaugurée, en 1889, une Galerie de z o o logie co n st r u i te par Jules André, pour a b r i ter l une des plus éto n n a n tes co l le c t i o n s d animaux naturalisés. Le succès est immense, co m p a ra b le, à l époque, à celui de la tour d un ce r tain Gusta ve E i f fel, son co n te m p o rain. Las, les dégâts causés par la Seco n d e g u e r re mondiale et des années d abandon qui s e n s u i vent mènent à sa fe r m e t u re en La grande ve r r i è re est détruite. Le s o leil et les intempéries ont ra p i d e m e n t raison des nombreux spécimens qui a vaient fait sa ré p u tation. Le devenir du s i te est lo n g temps plus qu ince r ta i n R e n a i ss a n ce Mais la raison l e m p o r te finalement. En 1994 s é l ève à sa place la Grande gale r i e de l évolution, œuvre des arc h i te c te s C h e m e tov et Huidobro et du ré a l i s a te u r René Allio. Long de 55 mètres, large de 25 et haut de 30, ce nouvel ensemble est auss i i m p re ssionnant que le fut en son temps la g a lerie de zoologie. L exposition perman e n te ra ss e m b le quelque 7000 spécimens sur 6000 m 2. Sous la nef principale, pas moins de 3000 animaux natura l i s é s f i g u rent la fo r m i d a b le odyssée du viva n t. Le tra vail des ta x i d e r m i stes est sans p a reil. De nombreuses bornes inte ra c t i ve s p e r m e t tent d entrer dans un monde de co n n a i ss a n ces. La mise en scène est st u p é f i a n te, appuyée par des jeux d é c l a i rage parfaits. S é m e r ve i l ler, appre n d re, co m p re n d re, rêver, méditer Cette galerie est to u t a u tant un hymne au souffle puissant de la vie qu à la fragilité de la nature. A m b i a n ce te c h n i q u e La co n s e r vation des tré s o rs de la Gra n d e G a lerie et le co n fort des très nombre u x v i s i te u rs exigeaient un chauffage d une g rande souple sse, permettant une régulation précise des te m p é ra t u re s a m b i a n tes. C est ainsi que CPCU a été choisie pour ce t te mission délica te. Le premier co n t rat avec le Musée d histo i re nature l le a été signé en février A u j o u rd hui,la puiss a n ce souscrite est de 2,5MW ; le poste de livraison, en co u rs de ré n ovation, dess e r v i ra également le s g randes serres par l i n te r m é d i a i re d une b o u c le d eau chaude. Degré CPCU - Juillet 2006 numéro 40

4 À la une R e p è re s Pe rs p e c t i ve Dossier Éco À propos Outils/Concepts Blo c - n o te s L e f f i c a c i t é é n e rg é t i q u e Les ressources énergétiques ne sont pas inépuisables et notre environnement est menacé. Il est temps de les gérer en recherchant une efficacité maximale. Pas nouve l les, les questions liées à l é n e rgie se posent à nous depuis des m i l l i e rs d années. De la co l le c te du bois mort aux navires pétro l i e rs qui sillo n - nent les océans, la quête d énergie n a jamais ce ssé. Un peu d histo i re Au XVII e s i è c le, on re censait déjà en Fra n ce moulins à eau, moulins à vent et quelque usines h y d ra u l i q u e s! Les bœufs, les cheva u x et les hommes fo u r n i ssaient une part i m p o r ta n te de l é n e rgie néce ss a i re au d éve loppement des activités co m m e r - c i a les et indust r i e l les. D i n n o m b ra b le s b a teaux parco u raient les rivières, utilisant le vent, le co u rant et le muscle. Le pétro le é tait déjà connu des Mésopota m i e n s ( ca l fat) et des Byzantins (feux gré g e o i s ). On l a distillé dès la Renaiss a n ce, pour en t i rer des lubrifiants, mais il n était pas e n co re une source d énerg i e. On brûlait beaucoup de bois. On co n s o m - m a i t a u ssi la tourbe et déjà du charbon, 4 / 5 mais en quantités te l les qu il éta i t i n i m a g i n a b le qu on puisse en manquer un jour Quoique l ex p lo i tation de la h o u i l le dans le Hainault dut être ré g le - mentée dès 1248, après deux siècle s d excès des «fo u r feyeux»! Ce qui a changé, c est la nature de l é n e r - gie que nous consommons. Le vira g e d a te du XIX e s i è c le, avec l a r r i vée des m o te u rs à ex p losion néce ss i tant to u j o u rs plus de vapeur, de pétro le ou d éle c t r i c i t é. La co u rse à la puiss a n ce a privilégié le s co m b u st i b les fo ss i les, aux re n d e m e n t s plus élevés, à l e f f i cacité plus aisément m a î t r i s a b le, et dont la p roduction même g é n é rait des richess e s i m m e n s e s. Au XIV e s i e c le, on se plaignait déjà de la pollution, même si elle ne portait pas e n co re un nom précis. Les lo u rd e s fumées des feux de tourbe, chargées en s o u f re, formaient déjà un dôme au d e ssus de ce r taines villes anglaises dont l air était parfois irre s p i ra b le, selon des récits de voya g e u rs de l époque. C e t te forme de nuisance n est donc pas n o u ve l le. C est son ampleur qui l e st a vec son grand pouvoir dest r u c te u r. Une prise de co n s c i e n ce Les inquiétudes liées à la détériora t i o n de notre environnement sont co n j u g u é e s aux cra i n tes d une ra ré faction des re s - s o u rces. Mais les politiques menées sont désormais insuffisantes fa ce aux enjeux. Le temps pre sse, même si le s experts ne sont pas d acco rd sur le s é c h é a n ces : que cela soit pour demain ou après demain n a qu une importa n ce re l a t i ve. À partir du moment où nous sommes conscients du problème, nous d evons agir. Il faut désormais raisonner glo b a le m e n t au niveau de la planète entière, et mener des st ratégies d ensemble co o rd o n n é e s : c e st l objectif de la re c h e rche d efficacité énerg é t i q u e. L a f fa i re de to u s Pas question de se priver doulo u re u s e - ment, mais de fa i re plus, en co n s o m m a n t

5 À la une R e p è re s Pe rs p e c t i ve Dossier Éco À propos Outils/Concepts Blo c - n o te s moins d énerg i e. Nous sommes d ores et déjà ca p a b les de pre n d re quelques m e s u res effica ces. Les co n c l u s i o n s d'une étude (2000) menée dans le ca d re du pro g ramme SAVE, mettent en re l i e f que la consommation finale d'énergie de l'union européenne est de «20 % plus é levée que ne le justifient les bases p u rement économiques». Ceci signifie que, sans se re st re i n d re, il serait poss i b le de ré d u i re d un tiers nos besoins é n e rgétiques. Les entreprises y tra va i l - lent de plus en plus sérieusement. Le coût cro i ssant de l é n e rgie est une p u i ss a n te motivation. Mais les particuliers ont aussi un rô le important à jouer. Dans nos maisons, les économies d énerg i e qui ne modifient en rien notre co n fo r t sont nombreuses. En Europe, il est d é m o n t ré que 40% des dépenses é n e rgétiques ont lieu dans les immeub les C est plus que dans l i n d u strie ou les transports! Quand on pense qu une chaîne st é ré o l a i ssée en mode «ve i l le» au lieu d être é te i n te, consomme de 0,1 W à 2,6 W et qu on en co m p te des millions en Euro p e! L O f f i ce canadien de l e f f i cacité énerg é - tique démontre qu «en re m p l a çant une s e u le ampoule à inca n d e s ce n ce de 60 watts par une lampe fluore s ce n te co m - p a c te de 20 watts dans chacun des 12 millions de foye rs canadiens, on pourra i t ré d u i re les coûts énergétiques annuels de plus de 73 millions de dollars. En outre, les ce n t ra les éle c t r i q u e s p ro d u i raient moins d'électricité, ce qui p e r m e t t rait d'économiser les re ss o u rce s n a t u re l les et de pro d u i re moins de gaz à e f fet de serre. Les économies d'énerg i e réalisées équiva u d raient à re t i rer plus de auto m o b i les de la circ u l a t i o n! L Union européenne prévoit d aille u rs qu un ce r t i f i cat acco m p a g n e ra les imm e u b les, renseignant le u rs occ u p a n t sur leur degré d efficacité énerg é t i q u e. Dans les co l lectivités lo ca les, les gisements d amélioration de l e f f i ca c i t é é n e rgétique sont aussi va stes. To u j o u rs au Canada, il a été ca lculé qu en re m - p l a çant les lampes à inca n d e s ce n ce des feux rouges par des diodes éle c t ro l u m i - n e s ce n tes, le gain annuel national sera i t de quelque 285 millions de kw/h! R e stent bien sûr to u tes ces énerg i e s d i tes alte r n a t i ves, solaire, éolienne, et les «re n o u ve l a b les» tels le bois et le s déchets dont le potentiel, même trè s m e s u ré, ne doit plus être négligé Et, bien que cela soit la te n d a n ce act u e l le, il ne fa u d rait pas non plus ne s a t ta - quer qu à la seule énergie éle c t r i q u e. Les bons choix : Quelques sites de production énerg é - tique étro i tement co n t rôlés pour ass u re r le chauffage de to u te une ville! Un pre sta ta i re soucieux de satisfa i re ses clients tout en réduisant ses co û t s d a p p rovisionnement en co m b u st i b le et se fixant des objectifs élevés en matière de pro tection de l e n v i ro n n e m e n t. F i n a lement, on peut dire que l activité de CPCU est un modèle de ce t te effica c i t é é n e rgétique tant re c h e rc h é e. Degré CPCU - Juillet 2006 numéro 40

6 À la une Repères Pe rs p e c t i ve D o ssier Éco À propos Outils/Concepts Blo c - n o te s Le Partitio, i m m e u b le HQE Le Partitio, réalisé par le groupe Brémond pour le Mouvement E. Lecle rc est, à ce jour, la plus gra n d e construction privée ayant reçu le label HQE (Haute Qualité Environnementale). Dès le début de son activité dans l i m - mobilier (co n struction d immeubles, de maisons individuelles, de bâtiments a d m i n i st ratifs, co m m e rciaux et industriels) Bernard Brémond définit une p h i losophie qui prévaut to u j o u rs en 2006 et que l on peut résumer en trois points : la vo lonté de co m p re n d re la ville et de s i n s c r i re dans la trame de son histo i re ; l ex i g e n ce de qualité du bâti et de l i m a g e urbaine liée au respect du te r r i to i re ; une co l l a b o ration étro i te avec les équipes en p l a ce dans les villes et les co m m u n e s. C réé en 1999, le groupe Brémond a réalisé en 2004 un chiffre d affa i res de 78,9 millions et dégagé 8,2 millions d e u ros de ré s u l tat net, (en hausse de 90% par rapport à 2003) et co m p te, a u j o u rd hui, 130 co l l a b o ra te u rs ré p a r t i s sur 7 sites en Fra n ce. La maîtrise to ta le C e st dans les années 90 que l e n t re p r i s e donne une fo r te impulsion à son essor, en se dotant d un département «Maîtrise d o u v rage» en Ile - d e - Fra n ce (pro m o t i o n d i m m e u b les de bureaux et d habita t i o n ) qui lui permet de réaliser d importa n t s p rojets sur le Pôle Ivry Port, à Ivry-sur- Seine. Pa ra l l è lement, la société a déve loppé ses activités d aménagement foncier dans le s Pays de la Loire, le berceau du groupe, et connaît le succès avec la création, en 2003, de sa filiale Ard i ssa Urbanisme et Paysage, spécialisée dans l ex p e r t i s e te r r i to r i a le. En 2006, le groupe poursuit de fa ço n s o u tenue ses activités et affirme son s a vo i r - fa i re dans les régions où il est implanté, grâce à ses équipes plurid i s c i p l i n a i res (urbanistes, paysagiste s, s o c i o logues, ca r to g raphes, géogra p h e s, diplômés d arc h i te c t u res, pro g ra m - m i stes, etc.). Par l addition de co m p é te n ce s allant de l a n a lyse te r r i to r i a le pré - o p é ra t i o n n e l le à la co m m e rcialisation, le g roupe maîtrise l i n t é g ralité de la co n d u i te de projets d aménagement urbain. P ô le Ivry Po r t Depuis la percée de Brémond en Ile - d e - Fra n ce, la société s e st déve loppée dans p l u s i e u rs départements avec nota m m e n t l aménagement d une ZAC dans l E ss o n n e. L aménagement du Pôle Ivry Port re ste cependant le fle u ron de ses activités f ranciliennes. Des projets d'importa n ce ont été réalisés au sein du Pôle Ivry Po r t : le co m p lexe cinémato g raphique et de lo i s i rs Pathé ( m 2 ) et un magasin Tr u f faut (6 000 m 2 ) ont été ouverts en 2002 et l i m m e u b le de bureaux Cap de Seine ( m 2 ), livré en Mais c est s u r tout Le Partitio, siège social du M o u vement E. Lecle rc dont la livraison a débuté au printemps 2006, qui illustre le savoir-faire B rémond. Le Pa r t i t i o Cet immeuble de m 2 - conçu par l a rc h i te c te Jean-Michel Wilmotte - est né de la vo lonté du Mouvement E. L e c le rc dont il re f l è te parfa i tement les ex i g e n ce s et répond pleinement aux atte n tes de la v i l le d Ivry-sur-Seine qui souhaite ré co n - cilier l homme et son enviro n n e m e n t. Situé en bord de Seine, c est la plus g rande co n struction privée ayant reçu le label HQE (Haute Qualité Enviro n n e m e n - ta le) à l i ssue de deux audits portant sur le s phases «Pro g ramme et Conce p t i o n». U n t roisième audit est en co u rs co n ce r n a n t l é tape «Réalisation». Une démarche HQE p o r te sur 14 points priorita i res. 6 / 7

7 Pour cet immeuble, la gestion de l é n e rg i e, le co n fort olfactif, la mainte n a n ce, la pére n - nité et la qualité sanita i re de l air ont été p l a cés en tête de ces priorités. La qualité CPCU C e st ce t te démarche HQE qui a dicté le choix de Brémond d un ra cco rdement au réseau CPCU : «Pour un immeuble répondant aux plus st r i c tes normes enviro n n e m e n ta les et ayant, parmi ses priorités la gestion de l é n e rgie, ce l a s i m p o s a i t». Ce nouveau co n t rat démontre to u te la pertinence de la st ratégie CPCU qui, ra p p e lo n s - le, fait très larg e m e n t appel à la va lorisation énergétique des déchets ménagers pour la dist r i b u t i o n de son énergie. Le co n t rat du Pa r t i t i o re p ré s e n te 3MW de puiss a n ce souscrite, pour le chauffage l eau chaude sanita i re et l h u m i d i f i cation de l a i r. Un sacré c h a n t i e r R é a l i s a t i o n 34 mois B â t i m 2 Pa r k i n g 950 place s Fa ça d e s m 2 B é to n m 3 C o u rants forts 150 km de câ b le C o u rants fa i b le s 500 km de câ b le L u m i n a i res points d éclaira g e Degré CPCU - Juillet 2006 numéro 40

8 Fo r m a t i o n

9 À la une Repères Pe rs p e c t i ve D o ss i e r É co À propos Outils/Concepts Blo c - n o te s 2 è m e p a r t i e Pour assurer l a venir «Je crois à une formation durant toute la vie professionnelle. C est une nécessité sociale. C est le meilleur moyen, au départ, de ré d u i re la fra c t u re entre les niveaux de co m p é te n ce au sortir de l enseignement et les besoins des e n t reprises. C est ensuite à la fois une néce ssité pro fe ss i o n n e l le co n sta n te et un instrument de ré a l i s a t i o n personnelle» disait Giuseppe Marsicano, secrétaire général, dans la première partie de ce dossier. Les témoignages qui suivent illust rent bien son propos et démontrent le bien-fondé de la nouve l le politique de formation mise en place chez CPCU. Une dynamique fédérative Les formations Métier dispensées depuis 2001 chez CPCU ré s u l tent d un tra vail de ré f lexion. Elles prennent la forme d une série de modules (Généralité, Tra n s p o r t / d i stribution, Utilisation, Production) qui ne se substituent pas aux stages techniques. «Leur but est plutôt de permettre aux salariés de resituer leur rô le au sein de l entreprise et la place de CPCU dans la société», souligne M. Fourreau. Déjà près de 400 personnes ont suivi un ou deux des trois premiers modules et le quatrième, la p roduction, débute ra à la re n t rée prochaine. Pa ra l l è lement, l année 2005 a été co n s a c rée à tirer un bilan des pre m i è re s ex p é r i e n ces. «Il est surprenant de voir à quelle vite sse tout évolue. Ce que nous avo n s appris ces dernières années sur le réseau notamment grâce à la CFR (Cellule fiabilisation du réseau), l adoption de nouve l les te c h n o logies ou st ratégies nous amènent déjà à réviser le co n tenu des modules» co n sta te M. Fo u r reau. Des groupes de t ra vail ont donc été co n stitués, afin d enrichir en permanence les modules. La rapidité de ce t te obsole s ce n ce exige une ré c u r re n ce de ces formations, fa u te de quoi un fo ssé se cre u s e rait entre les pre m i e rs formés et les nouveaux arrivants : ce t te formation doit se co m p re n d re comme une démarche dynamique et fédéra t i ve. La formation en amont Les contrats de qualification Le secteur du génie climatique souffre, en général, d une pénurie de main-d œuvre qualifiée. Cette situation est d autant plus gra ve pour des entreprises comme CPCU qu il n ex i ste pas de formation à la vapeur pro p rement dite. Il fallait donc pre n d re le p roblème à bras le co r p s! «Pour pallier les difficultés de re c r u tement de techniciens aptes à inte r venir dans nos s o u s - stations, explique Michel Gallas, nous avons lancé deux campagnes de co n t ra t s de qualification. La pre m i è re, voici 4 ans, co n cernait douze jeunes. Elle a permis l embauche de 5 candidats. La deuxième, de même ampleur, s achèvera en juin 2006 et nous nous apprê tons déjà à re n o u ve ler l o p é ration». Une formation de deux ans en alte r n a n ce, co m p rend 50% du temps à l é co le (fo r m a t i o n d i p l ô m a n te de niveau 4 incluant une spécialisation vapeur) et 50% en entreprise. Grâce à ce système, les étudiants obtiennent à la fois une formation solide et une ex p é r i e n ce de l e n t reprise Et il ouvre de belles pers p e c t i ves d embauche! Nous co n sta tons cependant que le bilan de ce t te démarche vo lo n ta i re est de moins en moins satisfaisant. «Pour notre prochaine campagne, j ai visité une dizaine d éta b l i s - sements d enseignement techniques, sensibilisé plus de deux cents jeunes, pour n en re n co n t rer qu une vingtaine qui semblaient, peut-être, intére ssés. Il y a de quoi s i n te r roger!» co n sta te Michel Gallas. 8 / 9 Degré CPCU - Juillet 2006 numéro 40

10 À la une Repères Pe rs p e c t i ve D o ss i e r É co À propos Outils/Concepts Blo c - n o te s Une plate - forme de formation «Va p e u r» CPCU s est dotée d une remarquable plate-forme de formation à l utilisation de la vapeur pour ses techniciens, les entreprises partenaires et, éventuellement, les institutions (pompiers, etc.) qui pourraient en faire la demande. Un outil unique Cet ensemble unique en son genre est installé dans une salle de formation pouvant re cevoir jusqu à 20 personnes. Les équipements présentés co m p rennent le s principaux systèmes de postes de livraison : un branchement vapeur et le s différents dispositifs de vannes, la bouteille Haute Pression et le système de purges (pour l h a b i l i tation Vapeur) ; un poste de livraison en circuit ouvert avec une régulation sur la vapeur ; un poste de livraison en circuit fermé avec une régulation sur les condensats ; les postes de livraison développés avec les constructeurs et recommandées par CPCU à ses clients et ses installateurs ; un banc de simulation des besoins en chauffage et en eau chaude sanitaire. De plus, sur ce t te plate - forme - alimentée en vapeur par le réseau CPCU - la p re ssion vapeur, la co n t re - p re ssion condensats et la charge thermique sont variables, afin que la formation couvre un maximum de cas pratiques. Étudier et expliquer On peut reproduire en grandeur réelle les divers cas d utilisation de la vapeur chez les clients de CPCU, les dysfonctionnements et d en démontrer les relations de causes à effets afin d apprendre à les prévenir. Les formations à la maintenance des p o stes de livraison d une grande efficacité sont déve loppées in situ. L a p p ro c h e pédagogique, avec un tel outil, fait participer les sta g i a i res de fa çon co n c rè te et permet de vérifier leur bonne compréhension des données de base théoriques et pratiques. Elle permet de mettre en place la formation conduisant à l «habilitation vapeur» selon le projet de convention élaboré entre CPCU et le Bureau Veritas. CPCU met également en œuvre, avec cet organisme, une formation adressée aux exploitants afin de délivrer un titre d habilitation vapeur pour les postes de livraison raccordés au réseau de chaleur de CPCU à leur personnel qualifié. Enfin, CPCU y étudie, observe et explique les phénomènes thermodynamiques re n co n t rés sur son réseau vapeur grâce à une maquette - dite «Froude» - également installée sur cette plate-forme. E n t re t i e n s Faire un vrai choix Muriel Chante ca i l le est au cœur de la q u e stion, puisqu elle est à la fois re s - p o n s a b le des formations et en fo r - mation elle - m ê m e. Ce n est qu une fois inscrite dans la vie a c t i ve que Muriel Chante ca i l le a déco u ve r t le domaine d activité qui la pass i o n n a i t v raiment : les re ss o u rces humaines. Ses études en langues étra n g è res et en co m p tabilité ne la prédisposaient pas p a r t i c u l i è rement à y fa i re ca r r i è re. Une p re m i è re ex p é r i e n ce et une formation sur ce sujet, chez un pré cédent employeur, lui ont cependant permis d y acquérir de bonnes bases. Ayant rejoint CPCU, elle a p o u rsuivi sa «ré o r i e n tation». «Je suis actuellement une formation dip l ôm a n te, une lice n ce pro fe ss i o n n e l le en g e stion des re ss o u rces humaines». L a c h a rge de tra vail est La fo r m a t i o n lo u rde, mais le s b é n é f i ces sont au e st une re n d e z - vous. «Il fa u t b e a u coup donner de s e co n d e soi, et la fa m i l le est s o u vent mise à c h a n ce contribution. Mais à ce prix, on peut va l i - der un choix pro fe ssionnel un peu ta rd i f». On sait to u te l i m p o r ta n ce que revêt, en Fra n ce, un diplôme dans le métier que l o n s o u h a i te exe rce r. «C est un sésame i n d i s p e n s a b le. Mais au-delà de ça, ce s formations denses permettent d appré - hender to u te la problématique d une p ro fe ssion et non quelques aspects s e u le m e n t». Une fois ce pas fra n c h i, Muriel Chante ca i l le co m p te bien pours u i v re ses études dans son champ de p ré d i lection. «Mais je m acco rd e rai une pause, avant de re tourner sur les bancs de l U n i ve rsité. C est tout de même épro u - vant de mener de front des études et une ca r r i è re en entreprise, même si des arrangements peuvent être tro u vés, pour fa c i l i ter l a ve n t u re». Pour Muriel Chante ca i l le, comme pour les autres qui ont bien voulu témoigner, «la formation est une seconde chance qu il ne faut manquer à aucun prix. A u j o u rd hui, quand on le veut vra i m e n t, on peut maîtriser son destin, dans le monde du tra va i l». 10 / 11

11 À la une Repères Pe rs p e c t i ve D o ss i e r É co À propos Outils/Concepts Blo c - n o te s L atout CPCU : la formation Un outil formidable Bac S (mathématiques) en poche, Mathieu C h i ron fait Physique Chimie en fac, le temps de tro u ver sa vo i e. Il opte ensuite pour le métier d ingénieur et intègre l É co le Normale Supérieure de Cachan. Il passe une lice n ce de te c h n o - logie mécanique puis une maîtrise. Il re - Djamel Bouchakri a déco u vert très tôt le s p o ssibilités qu offre la formation pro fe s - s i o n n e l le, «une seconde chance acce s - s i b le à tous, pour peu qu on ait le co u ra g e de se pre n d re en main». L o rsqu il est entré dans le monde du t ra vail, il n avait pas 18 ans et tout juste un CAP d ajusteur en poche. Rapidement, il a enchaîné les co u rs du soir et les stages de spécialisation : Brevet pro fe ssionnel, bac F1, CAP d éle c t ro technique, lice n ce de s o u d u re aéronautique «J ai ainsi ré g u - l i è rement augmenté mon potentiel, en p ro f i tant de to u tes les occasions qui se p ré s e n taient à moi d appre n d re dans le s domaines qui semblaient les plus pro - m e t te u rs». Djamel Bouchakri est, de son p ro p re aveu, un gros co n s o m m a teur de formation mais aussi, peut-on ajouter, un co n s o m m a teur avisé et te r r i b le m e n t m o t i vé. «Me tro u vant au chômage après la crise du Golfe, je suis entré chez CPCU sur une p e t i te annonce qui ass u rait une formation. Je suis ainsi devenu co n d u c - teur de chaufferie et j ai suivi stages sur sta g e s». Et lo rsque s e st présentée une p o ssibilité d entrer au service des achats, joint alo rs les Arts et Métiers. Il co m p l è te, p a ra l l è lement, son parco u rs de fo r m a t i o n par un DEA de co n ve rsion d énergie. «Depuis mon Bac, j ai to u j o u rs été intére ssé par le domaine de l é n e rgie - ave c une nette sensibilité pour l e n v i ro n - nement - et j ai pré f é ré les applica t i o n s aux co n cepts purs. Je suis un pra g m a - t i q u e». «Je n avais pas terminé mon c u rsus quand j ai déco u vert CPCU au Forum des Arts et Métiers Et j ai été recruté dès mon diplôme obtenu. J ava i s des ouve r t u res dans de très gra n d e s e n t reprises, mais ce qui m a séduit ici, c é tait l a p p roche de formation, d inve st i ssement sur l i n d i v i d u». Mathieu C h i ron a donc co m m e n cé sa ca r r i è re chez CPCU par une période de «c h a u f fe» de p l u s i e u rs mois, avec les agents, sur le te r rain. «Aucune autre entreprise ne m a vait proposé une te l le entrée en m a t i è re». Une seconde chance pour tout le monde il n a pas laissé passer l o ccasion, co n f i a n t comme to u j o u rs que la formation pro fe s - s i o n n e l le lui donnerait les moyens de p ro g re sser dans ce domaine administ ratif qu il déco u v rait tout juste Wo rd, E xcel, techniques de négociation, Djamel Bouchakri ne ce sse de se perfectionner et de pro g re ss e r. Tout le plaisir de ré u ss i r A c t u e l lement, il suit une formation de re s p o n s a b le des achats, un cursus diplômant validant ses acquis pro fe ss i o n n e l s a n t é r i e u rs : un sacré parco u rs! «Souhaiter se former ne suffit pas. Il fa u t a u ssi co n va i n c re l e n t reprise de la solidité d un projet, mais ce n est pas si difficile qu on peut le cra i n d re. Un employeur a, généra lement, vite fait de re co n n a î t re l i n t é rê t d une fo r te motivation. Et puis il faut être prê t à beaucoup tra va i l le r. La formation co n t i n u e exige un très fort inve st i ssement pers o n n e l mais le ré s u l tat en vaut vraiment la peine, s u r tout comme c est le cas ici, quand l e m p loyeur joue vraiment le jeu. Et il y a to u t le plaisir de ré u ssir». S a n d ro Piras est i talien. Lorsqu il est a r r i vé en Fra n ce, il a vait d exce l lents d i - plômes te c h n i q u e s. Mais sa maîtrise du f ra n çais était insuff i s a n te. CPCU a tro u vé la solution. Plutôt que de se priver du potentiel que re p ré s e n ta i t S a n d ro Piras, une formation pers o n n e l le dans notre langue lui a été proposée. Les p ro g rès sont re m a rq u a b les. «On dit que le Fra n çais utilise 5000 des mots de la langue. J aimerais fa i re beaucoup mieux» confie-t-il. D autre part, il a suivi les sta g e s pour dive rses habilitations. Ainsi armé, il s e ra bientôt ca p a b le de pré s e n ter un doss i e r de validation de ses acquis pro fe ss i o n n e l s. «Cela demande beaucoup de tra vail, mais je ne co m p te pas m arrê ter là. En Fra n ce, le s y stème de formation est meilleur qu en I talie, je crois. Ici, l e n t reprise sait qu un p e rsonnel bien formé est une fo rce». L utile à l agréable Mme Joëlle Toubiana a suivi un stage de s e courisme. «Je ne l a vais pas sollicité, mais je dois re co n n a î t re que c est utile. J e s p è re bien ne jamais avoir à me servir de ce que j ai appris, car ce serait le signe que quelque chose de gra ve est arrivé, mais maintenant, je suis prê te à i n te r venir en cas de besoin.» Il y a un autre aspect de ce t te fo r m a t i o n que Mme Toubiana a vraiment apprécié : «Au co u rs de ce stage de deux journées, j ai re n co n t ré de nombreux collègues et pris des co n tacts. Cela c rée des liens qu il a u rait été difficile de tisser en d autre s c i rco n sta n ces». Le stage de secourisme est ouvert à to u s ; il dev rait attirer plus de monde, ca r à tout moment, au tra vail comme dans la vie privée, même anodin, un incident peut tourner au drame sans le bon geste qui s a u ve. Degré CPCU - Juillet 2006 numéro 40

12 À la une Repères Pe rs p e c t i ve Dossier É co n o m i e À propos Outils/Concepts Blo c - n o te s R i g a, l e u ro p é e n n e La Lettonie, au riche passé, est européenne depuis Le réseau de chauffage de sa ca p i ta le R iga, long de prè s de 1000 km en eau surchauffée, attend des investisseurs Riga fut créée en 1201 par les prince s d A l lemagne du Nord qui, en 1170, ava i e n t e n t repris d évangéliser les «p e u p le s b a r b a res» de la région de la Baltique. G r â ce au co m m e rce avec la Russie, la ville a rapidement pro s p é ré et rejoint la ligue hanséatique. Elle règne sur la Livo n i e, ( l E stonie et la Lituanie d aujourd hui) et appartient à la fois au pape et à l e m p e - reur d A l le m a g n e. Sous les attaques d Ivan le Te r r i b le, la Livo n i e se disloque et se re t ro u ve partagée entre la Po logne, la Suède, le Danemark et la Russ i e Et to u j o u rs sous influence allemande. Riga connaît des siècles agités, mais to u j o u rs pro s p è res. Tour à tour polo n a i s e, suédoise, russe, la Lettonie connaît même une expansion co lo n i a le, en s o c t roya n t Tobago et la Gambie. La révolution indust r i e l le du XIX e m e s i è c le lui pro f i te, jusqu à la P re m i è re guerre mondiale qui la ra va g e : le front va se stabiliser sur la Dauvaga, le fleuve qui partage la Lettonie. De l h o r reur à l E u ro p e Dans les années 20, très affaiblie, elle dev i e n t i n d é p e n d a n te jusqu à ce qu en 1939, le pacte R i b b e n t ro p - M o lo tov ne l e n ferme dans le g i ron de l U R SS. La population est «sov i é - t i s é e» à grand re n fort de liquidations et d e d é p o r tations. En 1941, elle est occupée par les troupes allemandes qui la mettent au pas avec les mêmes méthodes. Puis le s s oviétiques reviennent, et le ca u c h e m a r co n t i n u e. Cependant, à la fin des années 80, la Letto n i e l a n ce sa «révolution chanta n te» et, en 1990, p roclame la re sta u ration de son indép e n d a n ce. Le 1 e r mai 2004, la République de L e t tonie, sous la pré s i d e n ce de Mme Vike - Fa b e rga rejoint l Union euro p é e n n e. 999 km de ré s e a u la Lettonie co m p te aujourd hui 2,32 millions de citoyens et Riga près de habita n t s. La compagnie de chauffage urbain dispose d un appareil de production constitué de 5 ce n t ra les équipées de 14 chaudières au gaz, d une chaudière au fioul et de 81 chaud i è res à co m b u st i b les solides. La capacité de p roduction atteint 1192 MW, ce qui répond à 28 % de la demande. Les 70 % re stant sont achetés auprès de Latve n e rgo, une e n t reprise privée gérant deux ce n t ra les qui p roduisent chaleur et énergie éle c t r i q u e. Le réseau, organisé en 5 districts de part et d a u t re de la rivière Daugava, mesure km, dont 742 sont la propriété de Riga Stiltums qui en est l o p é ra te u r. P rès des deux tiers des habitants de Riga sont connectés à ce réseau de chauffa g e urbain qui fournit annuellement 4,26 m i l - lions MWh et emploie 1760 pers o n n e s. Cependant, étant donné le fa i b le nive a u é conomique d une large part de ses abonnés, il a fallu fixer des tarifs qui ne co u v rent pas la to talité des frais de p roduction. La capacité d inve st i ss e m e n t s e st donc ré d u i te, alo rs que le réseau, dont p rès de 40 % a plus de 25 ans, souffre d i m p o r ta n tes pertes d énerg i e. Néanmoins, la compagnie a adopté des st ratégies qui lui permettent de moderniser p ro g re ss i vement ses installations et atte n d b e a u coup des inve st i ss e u rs étra n g e rs. Déjà, quelques portions du réseau ont été réhabilitées avec des canalisations pré - isolés venant de Suède, le système de fa c t u ration est en co u rs de modernisation ; Riga Stiltums envisage, par aille u rs, dans les prochaines années, de se doter d une unité de co g é n é ra t i o n. 12 / 13

13 À la une Repères Pe rs p e c t i ve Dossier Éco À pro p o s O u t i l s / C o n cepts Blo c - n o te s Le Système de Management Intégré Pour mieux ex p lo i ter les atouts des démarches Sécurité, Qualité, et Environnement entreprises voici quelques années, CPCU élabore maintenant un Système de Management Intégré... CPCU, voici quelques années, a entre p r i s d optimiser son fonctionnement par la vo i e des démarches co m p lexes et ex i g e a n te s de l'iso (environnement) puis de l ISO 9001 (qualité) pour plusieurs de ses activités, ra p p e l le Caro le Binther, re s - p o n s a b le Qualité Environnement.. Le s u ccès fut au re n d e z - vous. L obtention des t rès re c h e rchés ce r t i f i cats en témoigne, même s ils ne sont qu un moment dans un tra vail de perfectionnement qui ne peut, ni ne doit s arrê te r. Pa ra l l è lement, et depuis to u j o u rs, CPCU fait de la sécurité une priorité permanente et si le syst è m e mis en place n est pas certifié, il n en est pas moins audité et agréé chaque année par un organisme indépendant. De trois pour un... Cependant, ce t te approche, pour fructueuse q u e l le fut, s est révélée finalement trè s co m p lexe au re g a rd des objectifs que s est a ssigné CPCU. Il y avait, en fait, tro i s s y stèmes co h a b i tant dans une même e n t reprise, explique Caro le Binther. Il arrivait que pour une même action, il fa i l le re s p e c ter les ex i g e n ces parfois différe n te s de l ISO 9001 et de l ISO 14001! Le besoin s est donc imposé d un syst è m e de management s appliquant à la glo b a l i t é de l entreprise et non plus à des pans de son activité (production, dist r i b u t i o n, relations clients, etc.). C est ainsi qu est né, en 2005, le projet de mettre en place un SMI, un Système de Management Intégré.... A un pour tous C e t te nouve l le étape s appuie, bien sûr, sur le tra vail déjà réalisé dans le ca d re des d é m a rches ISO et sécurité pré cé d e n te s, t rès riches en pro g rès et en enseignements. Intégrer les trois en une seule co n s i ste, dans le ca d re du SMI, à re tenir ce qu il y a de plus exigeant et de plus e f f i ca ce dans chacune des appro c h e s ex i sta n tes, pour l appliquer à to u te l entre - prise (production de l énergie thermique et électrique, distribution et services au c l i e n t ). Ce qui importe désormais, c est que to u s les acte u rs de l entreprise, à l u n i ss o n, a ss u rent par une démarche glo b a le unifiée, la satisfaction de to u tes les parties i n t é re ssées : les clients, la ville, la voirie, le s a ssociations, les rive rains, en bref to u s ceux que CPCU co n cerne. Le SMI est ainsi la suite logique des d é m a rches de ce r t i f i cation pré cé d e n tes et leur fusion. Une identité respectée CPCU a une fo r te identité culture l le. Le SMI qui se met en place ne saurait l ignore r, souligne Caro le Binther. «En fait, un s y stème de management ré u ssi doit être p a r fa i tement à l image de l entreprise, de ses objectifs et de ses moyens humains. Il ne peut en aucun cas s agir d un modèle emprunté à l extérieur et importé. Mais la d é m a rche est validée par un org a n i s m e indépendant, pour s ass u rer objectivement que l intégration répond bien aux c r i t è res définis». L o rsqu en 2007 le SMI entre ra ple i n e m e n t en action, CPCU sera auditée de nouve a u et, si tout est bien co n forme, re cev ra le s ce r t i f i cats ISO 9001, ISO et OHSAS pour l ensemble de son périmètre... Et disposera alo rs d un outil de management optimal pour aborder avec séré - nité et dynamisme les décennies à ve n i r, ce qui est bien l ess e n t i e l. Degré CPCU - Juillet 2006 numéro 40

14 À la une Repères Pe rs p e c t i ve Dossier Éco À propos O u t i l s / C o n ce p t s B lo c - n o te s Le SIG, a u j o u rd hui et demain Le SIG (Système d information géographique, logiciel de l éditeur APIC) mis en chantier en 1998, a désormais en mémoire tout le patrimoine de CPCU, autrefois conservé sur de simples cartes en papier. Mais son rôle ne se limite pas à l édition de cartes du réseau ; ses applications sont nombreuses et précieuses, explique Mohamed Zouaoui responsable du projet. M i ra c le de l i n formatique, ce t te ca r to - graphie du troisième millénaire permet en un clic d obtenir non seulement le plan parfa i tement détaillé du ré s e a u, sur fonds de cartes de Paris, mais aussi tous les renseignements utiles (nature et caractéristiques de l objet, etc ) sur chacun de ses nombreux composants. Tout objet porté sur cette carte SIG a un lien avec la GMAO, la co m p ta b i l i t é (immobilisations) et la gestion de pro j e t s. C e st une re p ré s e n tation gra p h i q u e, visuelle, de toutes les bases de données co n cernées par CPCU. Un s y stème de co n t rô le permet en p e r m a n e n ce de connaître les écarts entre chacune des bases et, le cas échéant, d inte r ve n i r pour les corriger. Indispensable Le SIG est ainsi devenu un org a n e f é d é ra teur inco n to u r n a b le qui demandera un travail préalable de sécurisation de l accès des données. Cet outil se révè le chaque jour plus réactif et utile. Bien sûr, il permet en quelques manipulations d éditer une ca r te d un secteur du patrimoine de CPCU et de la faire parvenir aux tiers qui en auraient besoin, par simple courriel. Les services de la voirie reçoivent ainsi t rès rapidement une information à la fois riche et d une grande fiabilité. Rapide! Mais aussi, il facilite la mise à jour des données en un temps record, alors qu il fallait aupara vant de nombreuses heure s de tra va i l : le délai maximum pour qu une m o d i f i cation du réseau soit intégré e dans le SIG n est plus, aujourd hui, que de deux semaines! De plus, grâce à lui, la comptabilité a pu, rapidement, mettre à jour le vaste poste «i m m o b i l i s a t i o n s» qu elle gère maintenant au plus près. Et demain L a venir est à la mobilité. Les équipes de m a i n te n a n ce ou les ex p lo i tants qui se d é p l a cent sur le te r rain auront, à l a ve n i r, un accès au SIG et au cahier de man œ u v res, depuis un terminal porta b le, va l a b le à Paris et dans trois départe - ments limitrophes! E f f i cacité et sécurité en seront nette - ment re n fo rcées. De même, le dispatching qui doit à tout moment du jour et de la nuit ré p o n d re aux appels signalant un incident, aura bientôt lui aussi son accè s d i rect au SIG. Il lui sera alo rs poss i b le i n sta n tanément de confirmer si le ré s e a u de CPCU peut être co n cerné, de donner aux équipes d inte r ventions (ré p a ra te u rs, p o l i ce, pompiers, etc.) to u tes les info r - mations techniques néce ss a i res et de co n ta c ter à coup sûr les te c h n i c i e n s re s p o n s a b le s. Un pas d avance La plupart des co n ce ss i o n n a i res de la ville de Paris (EDF, GDF, Orange, etc.) se d o tent pro g re ss i vement d un tel outil. Mais il est plaisant de noter que CPCU e st dans le pelo ton de tête et que le s qualités de son SIG ont déjà été unanimement re connues et appré c i é e s. O u t re les services indéniables qu il rend, ce système est aussi une belle vitrine du savoir-faire de l entreprise. 14 / 15

15 À la une Repères Pe rs p e c t i ve Dossier Éco À propos Outils/Concepts B lo c - n o te s Le musée B o u rd e l le Le 12 juillet 2005, CPCU et la Ville de Pa r i s signaient un partenariat de mécénat au p rofit du Musée Bourd e l le. Pour une d u rée de trois ans re n o u ve l a b les, ce m é cénat dev ra contribuer à la re sta u - ration de l a p p a r tement de Bourd e l le. P ré cédemment, CPCU a déjà fa vorisé la parution d un livre d art sur l œ u v re du s c u l p teur et un support à l ex p o s i t i o n te m p o ra i re de l a r t i ste co n te m p o ra i n Fe l i ce Varini. Les liens entre CPCU et ce t é ta b l i ssement plein de charme ne sont pas nouveaux ; la chaleur du ré s e a u d e ssert les bâtiments depuis CPCU a eu le plaisir de faire découvrir ce t rop discret musée enco re méconnu, à un grand nombre de ses clients et partenaires. Par aille u rs, au tra ve rs de ce mécénat, le Musée Bourd e l le et l É co le de musique de S a rce l les ont pu réaliser un pro j e t pédagogique autour de l œ u v re de B o u rd e l le au Théâtre des Champs- É lysées ; trois sculptures de Bourd e l le sont exposées dans le jardin de l école de musique. C est une pre m i è re hors du ca d re de prêts entre musées. Musique et Arts plastiques se re t ro u vent au co u rs de journées pluridisciplinaires où le s œ u v res de co m p o s i te u rs co n te m p o ra i n s de Bourd e l le sont jouées, nota m m e n t ce l les de Debussy, de Saint-Saëns et de Fa u ré qui furent données pour l i n a u - g u ration du Théâtre des Champs- É lysées en pré s e n ce du sculpte u r. Le 11 juin dernier le lancement de ce s m a n i fe stations a eu lieu avec la cré a t i o n m o n d i a le d une œuvre de Edith Cannat de Chizy, «Dance» et de l i n a u g u ra t i o n de l ex p o s i t i o n. Les «M e rc u re» CPCU 2005 Depuis plus de 10 ans, les «Mercure» CPCU sont décernés chaque année aux personnalités, institutions, clients et e n t reprises publics ou privés qui ont accompagné le d éve loppement du chauffage urbain, en fa vorisant le s a va n cées te c h n o logiques et les actions en fa veur de la sécurité et de la pro tection de l e n v i ronnement. Le ve n d redi 9 juin dernier, ce t te distinction a été remise à trois lauréats L APUR (Atelier Parisien d Urbanisme) : pour la convention de partenariat signée en 2006 avec CPCU. En effet, CPCU et l APUR échangent des données ca r to - g raphiques afin d établir des plans de Paris destinés à un système d info r - mations géographiques partagées perm e t tant la gestion des services de la ville et de ses concessionnaires. L APUR étudie également les pers - p e c t i ves de long terme liées à l urbanisme parisien et co m m e n ce d a i l le u rs à intégrer les p e rs p e c t i ve s énergétiques. L A P - H P ( A ss i sta n ce Publique - Hôpitaux de Paris) : ce Merc u re ré compense un lo n g p a rco u rs commun (dès 1935), et les méthodes de fo n c t i o n - nement tournées ve rs l a venir afin de fa i re fa ce aux nouve l les ex i g e n ces de p e r fo r m a n ce et de qualité de service. Q U A L I B AT ( O rganisme de ce r t i f i ca t i o n pour les entreprises du bâtiment) : pour l engagement particulier de QUALIBAT a u p rès de CPCU et du GCCP (Syndica t des entreprises de Génie Climatique et de Couve r t u re Plomberie) dans le u r d é m a rche co m m u n e de labellisation «Vapeur Maîtrisée Insta l l a t i o n» et «Va p e u r Maîtrisée Service». Degré CPCU - Juillet 2006 numéro 40

16 Nos chemins se croisent chez vous C h a leur, quiétude, co n fort, CPCU, avec tout son savo i r - fa i re, p roduit et distribue l é n e rgie néce ss a i re au bien-être de plus de clients, tout nature l le m e n t. G r â ce à son réseau maillé de 430 km, à la va lo r i s a t i o n é n e rgétique des déchets du SYCTOM (Syndicat inte rco m m u n a l de tra i tement des ord u res ménagères), et à sept sites de p roduction certifiés ISO 14001, CPCU livre une chaleur pro p re qui se substitue à 6000 chaufferies d immeubles. Ainsi, à l ex t é r i e u r, la qualité de l air francilien est respectée, tout comme la qualité de la vie, à l intérieur des immeubles ra cco rd é s. 185, rue de Bercy Paris Tél. : w w w.cpcu.fr

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