Alger, les 5 et 6 aout Consommation: Mise à niveau de la réglementation en prévision de l OMC
|
|
- Martine Normand
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Dans le cadre du processus de l'adhésion de l'algérie à l'organisation Mondiale du Commerce, Monsieur BAKHTI Belaïb, Ministre du Commerce, a procédé à l'ouverture de l'atelier National sur les Accords de l'omc Relatifs aux Mesures Sanitaires et Phytosanitaires (SPS) et aux Obstacles Techniques au Commerce (OTC), au niveau de l'hôtel El Djazair. Alger, les 5 et 6 aout 2015 Source aps jeudi, 06 août 2015 Consommation: Mise à niveau de la réglementation en prévision de l OMC ALGER- L Algérie va renforcer sa réglementation sur les activités commerciales, notamment pour le volet relatif à la protection du consommateur, en se mettant davantage en conformité aux standards internationaux dans le cadre de l'accession à l OMC, a indiqué à l'aps un responsable du ministère du Commerce. Il s'agit de la mise à niveau du dispositif réglementaire du commerce, dont essentiellement la loi de février 2009 relative à la protection du consommateur, et ce, par rapport au référentiel international en la matière, explique le directeur de la qualité et de la consommation auprès de ce ministère, M. Sami Kolli, en marge d un atelier sur les Accords de l'omc relatifs aux mesures sanitaires et phytosanitaires (SPS) et aux obstacles techniques au commerce (OTC), tenu mercredi et jeudi à Alger. "Ce n est pas une révision mais plutôt une mise à niveau à travers l'élaboration de textes complémentaires à ceux qui existent déjà", en renforçant le cadre législatif qui consacre les droits universels du consommateur: droits à la santé, à la sécurité, à l information (étiquetage), à la présentation et aux choix du consommateur, détaillet-il. 1
2 A titre d exemple, M. Kolli évoque une série de textes devant être publiés prochainement portant essentiellement sur la fixation du seuil maximum des résidus industriels et le contrôle des substances utilisées dans l industrie susceptibles de contaminer les produits alimentaires. "C'est également une manière de revoir notre organisation par rapport aux opérateurs économiques et à l entreprise laquelle est tenue d être compétitive et censée affronter le marché international", avance le même responsable. Dans ce sens, il estime que si la campagne "Consommons algérien", initiée récemment par les autorités publiques, a permis de relever la conformité d'un certain nombre de produits algériens aux normes internationales, il a été constaté, cependant, la persistance d'insuffisances telles celles liées à l emballage et à l étiquetage. C est dans ce cadre que le ministère du Commerce, en concertation avec d'autres départements ministériels et l'association des consommateurs notamment, élabore des textes pour mieux se conformer aux Accords de l OMC pour les aspects relatifs aux mesures sanitaires et phytosanitaires (SPS) et aux obstacles techniques au commerce (OTC), tels l'aspect organisationnel, la circulation des marchandises et l encadrement du contrôle. "Je ne dis pas que les textes en vigueur ne sont pas conformes mais plutôt incomplets par rapport à ce qui se fait de par le monde", affirme le même responsable tout en soulignant les avancées de l Algérie en la matière tel le décret exécutif de mai 2014 sur le Laboratoire national d essai. En outre, le fait que l Algérie soit membre de plusieurs organismes internationaux tels que le Comité Codex Alimentarius (organisme de normalisation alimentaire) et le CIPV (pour la protection de végétaux), cela lui facilite ce processus puisqu elle est déjà conforme à la plupart des normes internationales, juge-t-il. Au delà de la protection du consommateur, la mise à niveau du cadre réglementaire du commerce devra également permettre une compétitivité meilleure pour l'entreprise algérienne et ses produits sur les marchés internationaux. A ce sujet, la représentante de l OMC, Mme Gretchen Stanton, avait indiqué, mercredi, lors de la tenue de l atelier au profit des cadres de ministères et des institutions concernés par l application des Accords avec l OMC, que deux principaux points restaient à compléter dans le processus de négociations entre l Algérie et cette organisation mondiale. 2
3 Il s agit, selon elle, de la modification de la réglementation nationale relative au commerce et des questions bilatérales avec les pays membres de l OMC. Source El Moudjahid Jeudi 06 Aout 2015 Processus de négociation entre l Algérie et l OMC : Le ministre du Commerce prône une vision claire Le processus de négociations entre l Algérie et l Organisation mondiale du Commerce (OMC) n a pas évolué de manière remarquable, a estimé, hier à Alger, le ministre du Commerce, Bakhti Belaïb, en prônant une «vision claire» sur les droits que le pays doit revendiquer. «J ai tenté, depuis quelques semaines, de faire le point sur ce dossier (adhésion de l Algérie à l OMC) et de faire un comparatif entre l état où je l ai laissé il y a plus 16 ans et celui d aujourd hui : les évolutions ne sont pas remarquables», a-t-il souligné lors d un atelier sur les Accords de l OMC relatifs aux mesures sanitaires et phytosanitaires et aux obstacles techniques au commerce. M. Belaïb, qui a été installé à la tête du département du Commerce en juillet dernier, avait déjà occupé ce poste ministériel entre 1996 et 1999, lui ayant permis de conduire, en 1998, la délégation algérienne pour la première réunion du groupe du travail de l accession de l Algérie à l OMC, rappelle-t-on. «A l époque, quand j avais la mission d expliquer les accords de l OMC et l enjeu pour l Algérie d y adhérer, mon langage était incompréhensible car nous ne maîtrisions pas ce dossier», a-t-il ajouté, soulignant la nécessité d intensifier les actions d informations et de vulgarisation dans ce sens. Par ailleurs, dans sa déclaration à la presse en marge de cet atelier, le ministre s est dit «satisfait» de voir l Algérie ne pas vouloir adhérer «n importe comment» à cette organisation mondiale, en considérant que le dossier de négociations doit encore être consolidé. Questionné sur la lenteur de ces négociations et leur nonaboutissement, le ministre a indiqué que ce dossier ne concerne pas le gouvernement seul mais aussi le peuple algérien. «Il faudrait qu à un moment, nous, entre Algériens, fassions un comparatif entre le coût de la non-adhésion et celui de l adhésion. Je pense que c est un travail que nous n avons pas encore fait», selon lui. 3
4 Interrogé sur la date du prochain round de négociations avec l OMC, M. Belaïb, ne voulant pas donner de précisions, s est contenté de dire : «Avant la prochaine réunion du travail, nous devrions d abord avoir une vision claire sur notre façon de négocier et les droits que nous devrions revendiquer.» Il a indiqué, dans ce sens, que son département ministériel avait prévu l organisation d ateliers et de séminaires pour former les cadres algériens à mieux cerner les Accords de l OMC et à mieux négocier. A ce propos, il a fait savoir que le groupe de travail algérien chargé des négociations pour l accession à l OMC allait être renforcé pour mieux mener ce processus et mieux défendre les droits de l Algérie même après son accession à cette organisation mondiale. Présente à cet atelier, qui se tient hier et aujourd hui, Mme Gretchen Stanton, conseillère principale à la Division de l agriculture du secrétariat de l OMC, a relevé la longueur des négociations entre l Algérie et cette organisation tout en saluant les efforts consentis jusque-là. «Je vois que le processus de négociations a fait de grands pas mais à chaque fois il s arrête. Il y a des périodes de silence», a-t-elle déclaré, en précisant que deux volets restaient encore à finaliser. Il s agit, selon elle, de la révision de la réglementation nationale du commerce et des questions bilatérales avec les pays membre de l OMC auxquelles l Algérie continue à apporter ses réponses. Pour sa part, le directeur général des relations économiques et de la coopération internationale au ministère des Affaires étrangères, Merzak Belhimeur, a estimé qu il n était pas compréhensible que l Algérie n ait toujours pas accédé à l OMC depuis toutes ces années de négociations. «Je ne vois pas pourquoi nous voyons cette organisation avec frilosité. Il faut y aller de manière dynamique et défensive. Nous avons l encadrement et les capacités de défendre nos intérêts», a-t-il soutenu. Selon lui, ce retard dans les négociations est dû à la méconnaissance de l OMC et des enjeux de son adhésion ainsi qu à la «culture de fermeture». «Mais nous ne pouvons plus nous enfermer sur nous-mêmes. C est l ère de la mondialisation et de l ouverture, et l Algérie ne peut pas faire exception», a-t-il insisté, estimant que l Algérie doit s adapter aux règles mondiales. A souligner que cet atelier sur l OMC est destiné aux cadres des différents ministères concernés par l application des Accords de cette organisation, tels ceux des affaires étrangères, de la santé, du commerce et de l Autorité de régulation des postes et télécommunications (ARPT). 4
5 Source aps mercredi, 05 août 2015 Algérie-OMC: l'évolution des négociations n'est pas "remarquable" ALGER- Le processus de négociations entre l'algérie et l'organisation mondiale du Commerce (OMC) n'a pas évolué de manière remarquable, a estimé, mercredi à Alger, le ministre du Commerce, Bakhti Belaïb, en prônant une "vision claire" sur les droits que le pays doit revendiquer. "J'ai tenté, depuis quelques semaines, de faire le point sur ce dossier (adhésion de l'algérie à l'omc) et de faire un comparatif entre l'état où je l'ai laissé il y a plus 16 ans et celui d'aujourd'hui: les évolutions ne sont pas remarquables", a-t-il souligné lors d'un atelier sur les Accords de l'omc relatifs aux mesures sanitaires et phytosanitaires et aux obstacles techniques au commerce. M. Belaïb, qui a été installé à la tête du département du Commerce en juillet dernier, avait déjà occupé ce poste ministériel entre 1996 et 1999, lui ayant permis de conduire, en 1998, la délégation algérienne pour la première réunion du groupe du travail de l'accession de l'algérie à l'omc, rappelle-t-on. "A l'époque, quand j'avais la mission d'expliquer les accords de l'omc et l'enjeu pour l'algérie d'y adhérer, mon langage était incompréhensible car nous ne maîtrisions pas ce dossier", a-t-il ajouté, soulignant la nécessité d'intensifier les actions d'informations et de vulgarisation dans ce sens. Par ailleurs, dans sa déclaration à la presse en marge de cet atelier, le ministre s'est dit "satisfait" de voir l'algérie ne pas vouloir adhérer "n'importe comment" à cette organisation mondiale, en considérant que le dossier de négociations doit encore être consolidé. Questionné sur la lenteur de ces négociations et leur non aboutissement, le ministre a indiqué que ce dossier ne concerne pas le gouvernement seul mais aussi le peuple algérien. "Il faudrait qu'à un moment, nous, entre Algériens, fassions un comparatif entre le coût de la non-adhésion et celui de l'adhésion. Je pense que c'est un travail que nous n'avons pas encore fait", selon lui. Interrogé sur la date du prochain round de négociations avec l'omc, M. Belaïb, ne voulant pas donner de précisions, s'est contenté de dire: "Avant la prochaine réunion du travail, nous devrions d'abord avoir une vision claire sur notre façon de négocier et les droits que nous devrions revendiquer". 5
6 Il a indiqué, dans ce sens, que son département ministériel avait prévu l'organisation d'ateliers et de séminaires pour former les cadres algériens à mieux cerner les Accords de l'omc et à mieux négocier. A ce propos, il a fait savoir que le groupe de travail algérien chargé des négociations pour l'accession à l'omc allait être renforcé pour mieux mener ce processus et mieux défendre les droits de l'algérie même après son accession à cette organisation mondiale. Présente à cet atelier, qui se tient mercredi et jeudi, Mme Gretchen Stanton, conseillère principale à la Division de l'agriculture du secrétariat de l'omc, a relevé la longueur des négociations entre l'algérie et cette organisation tout en saluant les efforts consentis jusque-là. "Je vois que le processus de négociations a fait de grands pas mais à chaque fois il s'arrête. Il y a des périodes de silence", a-t-elle déclaré, en précisant que deux volets restaient encore à finaliser. Il s'agit, selon elle, de la révision de la réglementation nationale du commerce et des questions bilatérales avec les pays membre de l'omc auxquelles l'algérie continue à apporter ses réponses. Pour sa part, le directeur général des relations économiques et de la coopération internationale au ministère des Affaires étrangères, Merzak Belhimeur, a estimé qu'il n'était pas compréhensible que l'algérie n'ait toujours pas accédé à l'omc depuis toutes ces années de négociations. "Je ne vois pas pourquoi nous voyons cette organisation avec frilosité. Il faut y aller de manière dynamique et défensive. Nous avons l'encadrement et les capacités de défendre nos intérêts", a-t-il soutenu. Selon lui, ce retard dans les négociations est dû à la méconnaissance de l'omc et des enjeux de son adhésion ainsi qu'à la "culture de fermeture". "Mais ne pouvons plus nous enfermer sur nous-mêmes. C'est l'ère de la mondialisation et de l'ouverture, et l'algérie ne peut pas faire exception", a-t-il insisté, estimant que l'algérie doit s'adapter aux règles mondiales. A souligner que cet atelier sur l'omc est destiné aux cadres des différents ministères concernés par l'application des Accords de cette organisation, tels ceux des affaires étrangères, de la santé, du commerce et de l'autorité de régulation des postes et télécommunications (ARPT). 6
MISE EN ŒUVRE DU PROGRAMME SPÉCIAL RÉGIONAL POUR LA SÉCURITÉ ALIMENTAIRE DANS LES ÉTATS MEMBRES DE L UEMOA
UTF/UEM/001 MISE EN ŒUVRE DU PROGRAMME SPÉCIAL RÉGIONAL POUR LA SÉCURITÉ ALIMENTAIRE DANS LES ÉTATS MEMBRES DE L UEMOA Proposition de projets de textes constituant le cadre normatif de la sécurité sanitaire
Plus en détailAccréditation Certification Normalisation-Métrologie Promotion de la qualité
pour une meilleure intégration au commerce international pour une meilleure intégration au commerce international initiative pour le renforcement des capacités commerciales Programme qualité UEMOA Accréditation
Plus en détailPREFET DES BOUCHES-DU-RHONE
PREFET DES BOUCHES-DU-RHONE DIRECTION DEPARTEMENTALE INTERMINISTERIELLE DE LA PROTECTION DES POPULATIONS Siège : 22, Rue Borde - 13285 MARSEILLE CEDEX 08 Publipostage MARSEILLE, 03.04.2013 Téléphone :
Plus en détailVeille réglementaire
Veille réglementaire Anne Gerard 30/01/2012 AFNOR - Marseille En quoi consiste la fonction RQSE dans une IAA? Assurer la veille réglementaire et faire appliquer la réglementation (hygiène, environnement,
Plus en détailLA (LES) LOGISTIQUE (S) Qu'est-ce que c'est? Que peuvent faire les pouvoirs publics? Michel VIARDOT WP 24 CEE/ONU 17-18 mars 2008 1
LA (LES) LOGISTIQUE (S) Qu'est-ce que c'est? Que peuvent faire les pouvoirs publics? Michel VIARDOT WP 24 CEE/ONU 17-18 mars 2008 1 Quatre volets - Description et périmètre de la logistique - La logistique
Plus en détailACCORD INSTITUANT L'ORGANISATION MONDIALE DU COMMERCE
Page 11 ACCORD INSTITUANT L'ORGANISATION MONDIALE DU COMMERCE Les Parties au présent accord, Reconnaissant que leurs rapports dans le domaine commercial et économique devraient être orientés vers le relèvement
Plus en détailNormes internationales et «normes privées»
Normes internationales et «normes privées» L ISO en bref L ISO est l Organisation internationale de normalisation. Les 159 * membres qui la composent sont les instituts nationaux de normalisation de pays
Plus en détaildonnées à caractère personnel (ci-après la "LVP"), en particulier l'article 29 ;
1/9 Avis n 22/2014 du 19 mars 2014 Objet : demande d'avis concernant un projet d'arrêté royal réglementant les traitements par les médicaments de substitution (CO-A-2014-006) La Commission de la protection
Plus en détailPROGRAMME MIXTE FAO/OMS SUR LES NORMES ALIMENTAIRES
Mai 2005 CAC/28 INF /2 F PROGRAMME MIXTE FAO/OMS SUR LES NORMES ALIMENTAIRES COMMISSION DU CODEX ALIMENTARIUS Vingt-huitième session, Siège de la FAO, Rome (Italie), 4 9 juillet 2005 COMMUNICATION DE L
Plus en détailComment faire plus d'argent cet été!
Comment faire plus d'argent cet été! Je vais prendre ça vraiment cool cet été. Le 23 juin, je me retire à la campagne. Je vais prendre de longues vacances. Des vacances au cours desquelles je ferai du
Plus en détailTRACABILITE DANS LE SECTEUR AGROALIMENTAIRE, J-4 mois : ÊTES-VOUS PRÊTS?
TRACABILITE DANS LE SECTEUR AGROALIMENTAIRE, J-4 mois : ÊTES-VOUS PRÊTS? INTRODUCTION Aujourd hui, dans un contexte de crises sanitaires et de concurrence internationale croissante au niveau du secteur
Plus en détailLes aspects prix de transfert des biens incorporels. Frédéric Lubczinski Avocat à la Cour Département Taxes
Les aspects prix de transfert des biens incorporels Frédéric Lubczinski Avocat à la Cour Département Taxes Sommaire I- Le concept de prix de transfert II- Les biens incorporels III- Les réflexions actuelles
Plus en détailLilurti ÉgQ.//ti Fr41rrnili. RbuBLlQ.UE FJtANÇAISE LE SECRETAIRE D'ETAT CHARGE DU BUDGET
Lilurti ÉgQ.//ti Fr41rrnili RbuBLlQ.UE FJtANÇAISE LE MINISTRE DES FINANCES ET DES COMPTES PUBLICS LE SECRETAIRE D'ETAT CHARGE DU BUDGET LE SECRETAIRE D'ETAT CHARGE DE LA REFORME DE L'ETAT ET DE LA SIMPLIFICATION
Plus en détailPoint 4a de l ordre du jour CX/GP 03/19/4
Point 4a de l ordre du jour CX/GP 03/19/4 PROGRAMME MIXTE FAO/OMS SUR LES NORMES ALIMENTAIRES COMITE DU CODEX SUR LES PRINCIPES GENERAUX Dix-neuvième session (extraordinaire) Paris, France, 17 21 novembre
Plus en détailArchitecture N-Tier. Ces données peuvent être saisies interactivement via l interface ou lues depuis un disque. Application
Architecture Multi-Tier Traditionnellement une application informatique est un programme exécutable sur une machine qui représente la logique de traitement des données manipulées par l application. Ces
Plus en détailCHARLES DAN Candidat du Bénin pour le poste de Directeur général du Bureau international du Travail (BIT)
CHARLES DAN Candidat du Bénin pour le poste de Directeur général du Bureau international du Travail (BIT) FACONNER ENSEMBLE L OIT DU FUTUR «Pour tout ce qui a été, merci. Pour tout ce qui sera, oui.» (Dag
Plus en détailLA DÉMARCHE GLOBALE DE PRÉVENTION. La méthode HACCP. olet 1 : Informations générales
LA DÉMARCHE GLOBALE DE PRÉVENTION La méthode HACCP olet 1 : Informations générales 1 Textes 2 Réseau 3 Formations obligatoires 4 Offres de formations Année : 2005-2006 1 Textes (Extraits) J.O n 247 du
Plus en détailCX/AFRICA CRD 4 Élaboration d autres règlements et législations : Amélioration du Système de Contrôle Services d hygiène
Agenda Item 5 CX/AFRICA CRD 4 JOINT FAO/WHO FOOD STANDARDS PROGRAMME FAO/WHO COORDINATING COMMITTEE FOR AFRICA Twenty-first Session Yaoundé, Cameroon, 27 30 January 2015 COMMENTAIRES ET INFORMATIONS SUR
Plus en détailL'Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA) et le Gouvernement des États-Unis d'amérique, ci-après dénommés les "Parties",
ACCORD CONCLU ENTRE LE GOUVERNEMENT DES ÉTATS-UNIS D'AMÉRIQUE ET L'UNION ÉCONOMIQUE ET MONÉTAIRE OUEST AFRICAINE RELATIF AU DÉVELOPPEMENT DES RELATIONS DE COMMERCE ET D'INVESTISSEMENT L'Union économique
Plus en détailGLOBAL SUPPLY CHAIN MANAGEMENT & STRATEGIE LOGISTIQUE
GLOBAL SUPPLY CHAIN MANAGEMENT & STRATEGIE LOGISTIQUE La logistique représentait traditionnellement l activité allant de la mise à disposition des produits finis par l usine ou le négociant jusqu à la
Plus en détailSEPR - Pierre Casadéi Lean Oser le participatif pour repenser l organisation
Pour repenser son organisation au sortir d'un plan de départs volontaires, l'industriel SEPR a "osé" solliciter la participation de ses salariés. Avec succès. Réflexions de Pierre Casadei, Directeur des
Plus en détailIntervention de Marisol TOURAINE. Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des. femmes. Maison de Santé Pluridisciplinaire
1 Intervention de Marisol TOURAINE Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Maison de Santé Pluridisciplinaire Magny-en-Vexin Vendredi 20 février 2015 Seul le prononcé fait
Plus en détailDECLARATION ISO/CEI SUR LA PARTICIPATION DES CONSOMMATEURS AUX TRAVAUX DE NORMALISATION
ISO/CEI/GEN 01:2001 DECLARATION ISO/CEI SUR LA PARTICIPATION DES CONSOMMATEURS AUX TRAVAUX DE NORMALISATION Avant-propos Parallèlement à l'essor rapide du commerce international des biens et services,
Plus en détailFORMATION RESPONSABLE COMMERCIAL EN AGROBUSINESS TITRE DE NIVEAU II contenu des modules de formation
Niveau Code Module Intitulé Unité d Enseignement Objectifs B B AF 2 Agro-fourniture Agro-ressources Acquérir une connaissance approfondie du marché des céréales alimentaires et non alimentaires dans un
Plus en détailACCORD SUR LES MESURES CONCERNANT LES INVESTISSEMENTS ET LIEES AU COMMERCE
Page 153 ACCORD SUR LES MESURES CONCERNANT LES INVESTISSEMENTS ET LIEES AU COMMERCE Les Membres, Considérant que les Ministres sont convenus, dans la Déclaration de Punta del Este, que "à la suite d'un
Plus en détailLOI du 4 FEVRIER 2000 relative à la création de l'agence fédérale pour la Sécurité de la Chaîne alimentaire (Mon. 18.II.2000) (1)
LOI du 4 FEVRIER 2000 relative à la création de l'agence fédérale pour la Sécurité de la Chaîne alimentaire (Mon. 18.II.2000) (1) Modifications: L. 13 juillet 2001 (Mon. 4.VIII.2001) L. 24 décembre 2002
Plus en détailPlan d action de l ISO pour les pays en développement 2011-2015
Plan d action de l ISO pour les pays en développement 2011-2015 ISO l Organisation internationale de normalisation L ISO comprend 163* membres qui sont les instituts nationaux de normalisation de pays
Plus en détailConférence des États parties à la Convention des Nations Unies contre la corruption
Nations Unies CAC/COSP/IRG/2015/2 Conférence des États parties à la Convention des Nations Unies contre la corruption Distr. générale 24 mars 2015 Français Original: anglais Groupe d examen de l application
Plus en détailSOUTIEN INFORMATIQUE DEP 5229
SOUTIEN INFORMATIQUE DEP 5229 Le Diplôme d études professionnelles D.E.P. en soutien informatique a une durée totale de 1800 heures à temps plein. Le programme permet de développer les compétences nécessaires
Plus en détailCour de cassation Chambre commerciale Cassation partielle 30 mars 2010 N 09-14.287
Jurisprudence Cour de cassation Chambre commerciale 30 mars 2010 n 09-14.287 Sommaire : Texte intégral : Cour de cassation Chambre commerciale Cassation partielle 30 mars 2010 N 09-14.287 République française
Plus en détailEtes-vous un agriculteur qui exerce ses activités en personne physique? Les informations suivantes vous concernent.
Depuis le 30/06/2009, les entreprises non-commerciales de droit privé ont l obligation légale de s inscrire à la BCE. Les agriculteurs (aussi bien les personnes physiques, que les personnes morales, ainsi
Plus en détailTABLE DE MATIERES. Pourquoi les Organisations doivent-elles être accréditées?...
TABLE DE MATIERES Qu est-ce que SADCAS? Pourquoi les Organisations doivent-elles être accréditées?... En quoi les Organismes d Accréditation peuvent être bénéfiques jusqu aux derniers utilisateurs?.. Le
Plus en détailLE DON : UN MODELE DE MANAGEMENT AU SERVICE DE LA COOPERATION
LE DON : UN MODELE DE MANAGEMENT AU SERVICE DE LA COOPERATION Face à une rationalisation croissante du secteur social et médico-social, accentuée par les effets de crise, comment un directeur de structure
Plus en détailLa Cité administrative d'avignon rénovée durablement
Semaine du développement durable du 1er au 7 avril 2011 La Cité administrative d'avignon rénovée durablement Dossier de presse Lundi 4 avril 2011 Contacts presse : Josiane HAAS-FALANGA : tél : 04 88 17
Plus en détailThèmes et situations : Agenda et Emploi du temps. Fiche pédagogique
Ressources pour les enseignants et les formateurs en français des affaires Activité pour la classe : CFP Crédit : Joelle Bonenfant, Jean Lacroix Thèmes et situations : Agenda et Emploi du temps Fiche pédagogique
Plus en détailTrier les ventes (sales order) avec Vtiger CRM
Trier les ventes (sales order) avec Vtiger CRM Dans l'activité d'une entreprise, on peut avoir besoin d'un outil pour trier les ventes, ce afin de réaliser un certain nombre de statistiques sur ces ventes,
Plus en détailTRIBUNAL ADMINISTRATIF DE LILLE N 0904782-0904783. Mme Dejana R M. Dzibrail R RÉPUBLIQUE FRANÇAISE
TRIBUNAL ADMINISTRATIF DE LILLE N 0904782-0904783 Mme Dejana R M. Dzibrail R Mme Frackowiak Rapporteur public M. Lavail Rapporteur public RÉPUBLIQUE FRANÇAISE AU NOM DU PEUPLE FRANÇAIS Audience du 8 mars
Plus en détailMonsieur Richard, Paul, Louis BONNE
Université Toulouse 3 Paul Sabatier(UT3 Paul Sabatier) Monsieur Richard, Paul, Louis BONNE le 16 décembre 2013 PRESENTATION DE DEUX METHODES ORIGINALES VISANT A FACILITER DANS LESIAA,LAMISEENOEUVREDESBONNESPRATIQUESD'HYGIENEETDE
Plus en détailA-t-on le temps de faire les choses?
A-t-on le temps de faire les choses? A-t-on le temps de faire les choses? Un parcours de 25 ans dans le domaine des Systèmes d'information de 6 grandes entreprises Consultante depuis 19 ans Mission / contrats
Plus en détailToronto (Ontario) Le vendredi 26 octobre 2007 L ÉNONCÉ FAIT FOI. Pour de plus amples renseignements, s adresser à :
Allocution présentée par la surintendante Julie Dickson Bureau du surintendant des institutions financières Canada (BSIF) dans le cadre du Colloque des affaires réglementaires du Bureau d assurance du
Plus en détailMME LE MAIRE : Madame OUFKIR. MME OUFKIR :
Préambule du rapport n 12 Madame OUFKIR. MME OUFKIR : Ce rapport vous propose d autoriser la signature d une convention de groupement de commandes entre CHAMBERY METROPOLE et la Ville de CHAMBERY afin
Plus en détailLE RAPPORT ANNUEL DE GESTION ETABLI PAR LE CONSEIL D ADMINISTRATION
LE RAPPORT ANNUEL DE GESTION ETABLI PAR LE CONSEIL D ADMINISTRATION I- SOCIETE NE FAISANT PAS APPEL PUBLIC A L EPARGNE Le conseil d'administration doit établir un rapport de gestion écrit qui expose :
Plus en détailRAPPORT DE STAGE NUMERIQUE : Aide-mémoire PREPARATION DU RAPPORT AU COURS DU STAGE
Collège Denecourt de Bois Le Roi 3 ème STAGE DE DÉCOUVERTE D UN MILIEU PROFESSIONNEL (SÉQUENCES D OBSERVATION) RAPPORT DE STAGE NUMERIQUE : Aide-mémoire PREPARATION DU RAPPORT AU COURS DU STAGE La règle
Plus en détailRÉPUBLIQUE FRANÇAISE AU NOM DU PEUPLE FRANÇAIS N 0903439, 0903440, 0903441, 0903442, 0903443. M. Olivier Yeznikian Rapporteur
TRIBUNAL ADMINISTRATIF DE LILLE N 0903439, 0903440, 0903441, 0903442, 0903443 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE AU NOM DU PEUPLE FRANÇAIS M. Olivier Yeznikian Rapporteur M. Charles-Edouard Minet Rapporteur 4ublic Le
Plus en détailSustainable Development and Trade Issues. ICTSD Resource Paper No. 3. Isabelle Mamaty Economiste du développement, Congo
Sustainable Development and Trade Issues ICTSD Resource Paper No. 3 Les pays africains et l Accord sur l agriculture Quelle place pour le développement durable? Isabelle Mamaty Economiste du développement,
Plus en détailAVIS D APPEL A CANDIDATURE POUR LE RECRUTEMENT DES MEMBRES DU COMITE SCIENTIFIQUE DE L AGENCE BENINOISE DE SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS (ABSSA)
REPUBLIQUE DU BENIN FRATERNITE JUSTICE TRAVAIL MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE SECRETARIAT GENERAL DU MINISTERE AGENCE BENINOISE DE SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS (ABSSA) 01 BP
Plus en détailRéforme du crédit à la consommation. Statut des enseignants chercheurs. Point sur les États généraux de l outre-mer
LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE A REUNI LE CONSEIL DES MINISTRES AU PALAIS DE L ÉLYSÉE LE MERCREDI 22 AVRIL 2009 A L ISSUE DU CONSEIL, LE SERVICE DE PRESSE DE LA PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE A DIFFUSÉ LE
Plus en détailRÈGLES DE CERTIFICATION D ENTREPRISE
RÈGLES DE CERTIFICATION D ENTREPRISE Fabrication et transformation de matériaux et d emballages destinés au contact des aliments : respect des règles d hygiène (méthode HACCP) Réf. Rédacteur LNE PP/GLB
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES POUR L'INSPECTION VISUELLE DE LOTS DE CONSERVES QUANT AUX DEFAUTS INACCEPTABLES 1 TABLE DES MATIERES
CAC/GL 17-1993 Page 1 de 7 LIGNES DIRECTRICES POUR L'INSPECTION VISUELLE DE LOTS DE CONSERVES QUANT AUX DEFAUTS INACCEPTABLES 1 CAC/GL 17-1993 TABLE DES MATIERES PAGE PREFACE EXPLICATIVE... 2 1. INTRODUCTION...
Plus en détailLes démarches qualités
Les démarches qualités Sommaire : Introduction... 2 Un levier d'innovation organisationnelle et sociale... 3 Les enjeux... 5 1.1 Le marché... 5 1.2 L innovation incrémentale (amélioration continue) ou
Plus en détailFORMATIONS EMBALLAGE
FORMATIONS EMBALLAGE CATALOGUE Septembre à décembre 2010 En partenariat avec les entreprises Page 0 Sommaire HACCP filière Emballage Page 3 Matériaux et emballages aux contacts des denrées Page 4 alimentaires
Plus en détailModalités de Contrôle des Connaissances A partir de septembre 2014
Master 1 semestre 1 1 2 3 4 5 6 Intitulé précis de l Communication, bases de données et projet professionnel personnel Domaine Sciences, Techniques et Santé 1 Session 1 / Contrôle continu Note plancher
Plus en détailModalités de candidature et de certification. Niveau 1. Certification de personnes Expert méthode HACCP/SMSDA
Modalités de candidature et de certification Niveau 1 Certification de personnes Expert méthode HACCP/SMSDA La certification d'expert méthode HACCP/SMSDA s adresse à des professionnels confirmés qui veulent
Plus en détailAnalyse des risques points critiques pour leur maîtrise (HACCP)
59 Chapitre 11 Analyse des risques points critiques pour leur maîtrise (HACCP) 11.1 PRINCIPES DE BASE DE L HACCP... 59 11.2 APPLICATION DES PRINCIPES HACCP À LA PURIFICATION DES MOLLUSQUES BIVALVES...
Plus en détailDématérialisation et document numérique (source APROGED)
Dématérialisation et document numérique (source APROGED) La dématérialisation se répand très rapidement dans tous les domaines d'activités. Depuis l'origine, le concept de dématérialisation repose sur
Plus en détailMOS 24 - Motorways Of the Sea
MOS 24 - Motorways Of the Sea > Réunion du Comité Directeur du projet En présence de Louis Nègre, Maire de Cagnes-sur-Mer, 1 er Vice Président de la Métropole Nice Côte d Azur, représentant Christian Estrosi,
Plus en détailQualité Sécurité Environnement
Qualité Sécurité Environnement FORMATION AUDIT CONSEIL EXPERTISE >> Catalogue 2014 Nos innovations: e-learning, évaluation des compétences personnalisation Formation Hygiène Alimentaire ISO 9001 : 2008...
Plus en détailAtelier 1. L'institution et l'entreprise. Séminaire PFE Toulouse 2002 Annexes de l'atelier 1 Page 1 sur 5
Atelier 1 L'institution et l'entreprise Page 1 sur 5 ACCOR Fiche Tuteur Vous vous engagez à : Préparer l'intégration du stagiaire dans l'entreprise Accueillir le stagiaire L'encadrer Le former Le suivre
Plus en détailBulletin d information
Institut de formation et de coopération technique Bulletin d information Numéro d'été Juillet 2015 Sommaire Centres de référence 2 Atelier sur les statistiques des services Abou Dhabi (Émirats arabes unis),
Plus en détailSecrétariat d Etat auprès du Premier Ministre chargé des Technologies Nouvelles
République Islamique de Mauritanie Honneur Fraternité - Justice Secrétariat d Etat auprès du Premier Ministre chargé des Technologies Nouvelles Communication de Madame la Secrétaire d Etat Fatimetou Mint
Plus en détail1. Considérations sur le développement rapide d'application et les méthodes agiles
Chapitre 1 Introduction 1. Considérations sur le développement rapide d'application et les méthodes agiles 1.1 Rappel Longtemps les méthodes en cascade ou en V ont été opposées aux démarches empiriques
Plus en détailSECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS PERSPECTIVES
SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS EN TUNISIE, ETATS DES LIEUX ET PERSPECTIVES Mr. Mohamed Chokri REJEB DG CTAA Le 25 septembre 2010 Yasmine Hammamet Plan Sécurité des aliments dans la politique nationale
Plus en détailCurriculum Vitae. X Mise à jour. CV mis à jour le (DATE) : 10/08/09 PRENOM NADIA NOM ATROUN. Date de Tél. 0771 13 63 29 17 Avenue de pékin EL MOURADIA
Adresse Date de Tél. 0771 13 63 29 17 Avenue de pékin EL MOURADIA naissance ALGER Civilité (M., Mme, Fax Mlle) Code postal et ville 16000 ALGER E-mail nadiaatroun@hotmail.com Pays ALGERIE Expériences professionnelles
Plus en détail10 REPÈRES «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF
10 REPÈRES POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 MEN-DGESCO 2013 Sommaire 1. LES OBJECTIFS DU DISPOSITIF 2. LES ACQUISITIONS PRIORITAIREMENT VISÉES 3. LES LIEUX
Plus en détailEntre organisation et réunion : comment s'organise le travail dans l'entreprise?
Leçon 4 plus Entre organisation et réunion : comment s'organise le travail dans l'entreprise? A L'organisation du travail dans l'entreprise Parmi les actions suivantes, choisissez-en trois qui sont pour
Plus en détailDossier. Développer en Java sur téléphone mobile. Benjamin Damécourt benjamin.damecourt@me.com. UFR SITEC Master 2 EESC 11 janvier 2012
Dossier Développer en Java sur téléphone mobile Benjamin Damécourt benjamin.damecourt@me.com UFR SITEC Master 2 EESC 11 janvier 2012 Table des matières Introduction 2 Pré-requis 3 Hello World! 5 Installation
Plus en détailDeux outils élaborés en concertation avec les professionnels du tourisme régional
Avec, chaque année, 15 millions de touristes accueillis et près de 100 millions de nuitées enregistrées, le Languedoc-Roussillon est la 4 ème région touristique française en terme de fréquentation et d'emplois
Plus en détailPanda Managed Office Protection. Guide d'installation pour les clients de WebAdmin
Panda Managed Office Protection Sommaire I. Introduction... 3 II. Installation de Panda Managed Office Protection à partir de Panda WebAdmin... 3 A. Accès à la console Web de Panda Managed Office Protection...
Plus en détailExemples de contrats d'assurance-vie solidaires labellisées Finansol
Exemples de contrats d'assurance-vie solidaires labellisées Finansol Assurance-vie Entraid'Epargne Carac http://finansol.org/fr/quels-sont-les-produits-labellises/produit/assurance-vie-entraid-epargnecarac.html
Plus en détailSystème de management H.A.C.C.P.
NM 08.0.002 Norme Marocaine 2003 Système de management H.A.C.C.P. Exigences Norme Marocaine homologuée par arrêté du Ministre de l'industrie, du Commerce et des Télécommunications N 386-03 du 21 Février
Plus en détailACCORD SUR L'APPLICATION DES MESURES SANITAIRES ET PHYTOSANITAIRES
Page 77 ACCORD SUR L'APPLICATION DES MESURES SANITAIRES ET PHYTOSANITAIRES Les Membres, Réaffirmant qu'aucun Membre ne devrait être empêché d'adopter ou d'appliquer des mesures nécessaires à la protection
Plus en détailRAPPORT D'ENQUÊTE SPÉCIALE DU PROTECTEUR DU CITOYEN: Gestion de la crise de listériose associée aux fromages québécois SOMMAIRE
RAPPORT D'ENQUÊTE SPÉCIALE DU PROTECTEUR DU CITOYEN: Gestion de la crise de listériose associée aux fromages québécois LE CONTEXTE SOMMAIRE Le 19 août 2008, le ministère de la Santé et des Services sociaux
Plus en détailIntervention de Marisol Touraine. Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes
1 Intervention de Marisol Touraine Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Conseil d administration du régime social des indépendants Jeudi 25 juin 2015 Monsieur le Ministre,
Plus en détailConseil d'état - 5ème et 4ème sous-sections réunies. Lecture du mercredi 30 mars 2011. Société Betclic Enterprises Limited
Conseil d'état - 5ème et 4ème sous-sections réunies Lecture du mercredi 30 mars 2011 Société Betclic Enterprises Limited M. Stirn, président M. Xavier de Lesquen, rapporteur M. Thiellay Jean-Philippe,
Plus en détailS.BAYNAUD www.haccp.fr
Les référentiels qualité et sécurité des aliments pour les IAA Qualité Sécurité Traçabilité des Aliments 2 bis rue Lamoricière CS 10402 44104 Nantes Cedex 4 Tél : 02 51 72 11 22 Fax 02 51 72 11 33 E.mail
Plus en détailSommaire : c) Champions d assiduité et d engagement. ville qui a été choisi pour vendre notre produit. Population ciblée
Sommaire : A. Introduction B. Missions et valeurs de Marinnov C. Département des Ressources Humaines : a) Organigramme et responsabilités. b) Conflits et problèmes. c) Champions d assiduité et d engagement.
Plus en détailP A R L E M E N T W A L L O N
C.R.A.C. N 179 (2014-2015) 2e session de la 10e législature P A R L E M E N T W A L L O N SESSION 2014-2015 C O M P T E R E N D U AVANCÉ Séance publique de commission* Commission du budget et de la fonction
Plus en détail1st International Workshop on Harmonization of GMO Detection and Analysis in the Middle East and North Africa (MENA) Region
Université Mentouri Constantine 1st International Workshop on Harmonization of GMO Detection and Analysis in the Middle East and North Africa (MENA) Region Dead Sea, Jordan, 4-5 June 2012. 1 Les OGMen
Plus en détailCitizenship Language Pack For Migrants in Europe - Extended FRANÇAIS. Cours m ultim édia de langue et de culture pour m igrants.
Project Nr. 543248-LLP-1-2013-1-IT-KA2-KA2MP Citizenship Language Pack For Migrants in Europe - Extended FRANÇAIS Cours m ultim édia de langue et de culture pour m igrants Niveau A2 Pour com m uniquer
Plus en détailDemande de transformation de la formation qualifiante TEMIR : Technicien En Maintenance Informatique et Réseaux en diplôme d université (DU)
Demande de transformation de la formation qualifiante TEMIR : Technicien En Maintenance Informatique et Réseaux en diplôme d université (DU) Motivations La formation TEMIR est une formation qualifiante
Plus en détailCHARTE DES UNIVERSITÉS EUROPÉENNES POUR L APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE
CHARTE DES UNIVERSITÉS EUROPÉENNES POUR L APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE European University Association Association Européenne de l'université Copyright 2008 par l Association Européenne de l Université
Plus en détailCommerce international et environnement
Commerce international et environnement L'organisation mondiale du commerce et les accords sur l'environnement Entretien avec Chargée de mission auprès du Premier Ministre Propos recueillis par Béatrice
Plus en détailCAMPAGNE NATIONALE DE SENSIBILISATION «Pour un meilleur partenariat Banques/Petites et moyennes entreprises au service du Développement Humain»
CAMPAGNE NATIONALE DE SENSIBILISATION «Pour un meilleur partenariat Banques/Petites et moyennes entreprises au service du Développement Humain» ALLOCUTION INAUGURALE DE MONSIEUR ABDELLATIF JOUAHRI GOUVERNEUR
Plus en détailCATALOGUE DE FORMATIONS 2014 2015
CATALOGUE DE FORMATIONS 2014 2015 Professionnels de l alimentation 06.47.75.88.57 HQSA Consulting contact@hqsafrance.fr Numéro de déclaration de prestataire de formation : SIRET SIRET : 804 : 284 284 420
Plus en détailPLAN BIO MIDI-PYRENEES 2014-2020, UN PLAN SANS AMBITION
PLAN BIO MIDI-PYRENEES 2014-2020, UN PLAN SANS AMBITION Pourquoi les élu-es EELV au Conseil Régional ne voteront pas le Plan Bio Midi-Pyrénées 2014-2020 en l état? Plan Bio Midi-Pyrénées, un plan sans
Plus en détailGestion d Active Directory à distance : MMC & Délégation
Gestion d Active Directory à distance : MMC & Délégation Présentation : Le but de ce tuto est de vous présenter une fonction intéressante d'active Directory : la délégation des droits à l'aide de la Console
Plus en détailOrganisation de dispositifs pour tous les apprenants : la question de l'évaluation inclusive
Organisation de dispositifs pour tous les apprenants : la question de l'évaluation inclusive Transcription et traduction de la communication de Verity DONNELLY colloque Éducation inclusive, la question
Plus en détailRapport d évaluation de la licence professionnelle
Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation de la licence professionnelle Création et développement numérique en ligne de l Université Paris 8 - Vincennes Saint-Denis Vague D 2014-2018
Plus en détailF RSE Plan d action A04 Bruxelles, le 14.09.2006 MH/JC/LC A V I S. sur
F RSE Plan d action A04 Bruxelles, le 14.09.2006 MH/JC/LC A V I S sur L AVANT-PROJET DE PLAN D ACTION EN MATIERE DE RESPONSABILITE SOCIETALE DES ENTREPRISES EN BELGIQUE *** 2 Dans sa lettre du 10 juillet
Plus en détailCONVENTION POUR LA COLLECTE DES DECHETS D ACTIVITES DE SOINS A RISQUES INFECTIEUX (DASRI)
3, rue Malakoff Immeuble le forum 38031 Grenoble cedex 01 : 04 76 59 59 59 Fax : 04 76 59 57 26 CONVENTION POUR LA COLLECTE DES DECHETS D ACTIVITES DE SOINS A RISQUES INFECTIEUX (DASRI) Convention pour
Plus en détailPLANNING ANNEE 2013 DES ACTIONS DE FORMATION A. LES CYCLES DE FORMATION B. LES SEMINAIRES EN INTERENTREPRISES VOTRE PARTENAIRE EN QUETE D EXCELLENCE
VOTRE PARTENAIRE EN QUETE D EXCELLENCE PLANNING DES ACTIONS DE FORMATION ANNEE 2013 A. LES CYCLES DE FORMATION B. LES SEMINAIRES EN INTERENTREPRISES Fax : 71 690 817 E-mail : crm.lumf@gmail.com 1 / 1 LUMIERE
Plus en détailSommaire 1 Copyright...8 2 Introduction à M-Files...9 3 Installation et configuration du logiciel...10 4 Utiliser M-Files au quotidien...
M-Files 10 Sommaire 1 Copyright...8 2 Introduction à M-Files...9 3 Installation et configuration du logiciel...10 3.1 Configuration requise...10 3.2 Installation et déploiement automatiques du logiciel...11
Plus en détailProgramme «Société et Avenir»
Programme «Société et Avenir» Rapport final volet «Synthèse de recherche» 1 CONTRAT DE RECHERCHE : TA/00/23 ACRONYME DU PROJET : REFBARIN TITRE : «RÉFORME DU MARCHÉ DES BIENS ET SERVICES, NÉGOCIATION SALARIALE
Plus en détailDeuxième Examen global de l Aide pour le commerce
Deuxième Examen global de l Aide pour le commerce Activités de la Banque africaine de développement 2008-2009 Groupe de la Banque Africaine de Développement GROUPE DE LA BANQUE AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT
Plus en détailMASTER MANAGEMENT PARCOURS CONTRôLE DE GESTION ET SYSTEMES D'INFORMATION
MASTER MANAGEMENT PARCOURS CONTRôLE DE GESTION ET SYSTEMES D'INFORMATION Domaine ministériel : Droit, Economie, Gestion Présentation Nature la formation : Diplôme national l'enseignement supérieur Durée
Plus en détailLA GESTION STRATEGIQUE DES ACHATS INTERNATIONAUX
LA GESTION STRATEGIQUE DES ACHATS INTERNATIONAUX 1 LA GESTION STRATEGIQUES DES ACHATS INTERNATIONAUX Sommaire 1 - STRATEGIE DE L ACHAT A L INTERNATIONAL Enjeux Raisons Freins Préparer l entreprise aux
Plus en détailPRÉSENTATION DE LA SOCIÉTÉ
Depuis 1990 Sarl CLIMLAMBERT 472, rue de Béthemont 78630 ORGEVAL 01.39.75.59.31 01.39.75.22.11 contact@climlambert.com PRÉSENTATION DE LA SOCIÉTÉ Sommaire Présentation... 3 Historique... 3 Organigramme...
Plus en détail