Prise en charge médicale des personnes infectées par le VIH. Addendum aux recommandations 2008 du groupe d experts lié à la pandémie grippale A(H1N1)v

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Prise en charge médicale des personnes infectées par le VIH. Addendum aux recommandations 2008 du groupe d experts lié à la pandémie grippale A(H1N1)v"

Transcription

1 Page 1 sur 6 Prise en charge médicale des personnes infectées par le VIH. Addendum aux recommandations 2008 du groupe d experts lié à la pandémie grippale A(H1N1)v 16 septembre 2009 Recommandations Le groupe d experts recommande, chez les patients infectés par le VIH : - la vaccination de tous les patients contre le virus pandémique A(H1N1)v dès que le vaccin sera disponible, avec une incitation plus forte chez les patients présentant une caractéristique de plus grande vulnérabilité (absence de traitement antirétroviral, CD4 < 500/mm 3, co-morbidités, tabagisme, précarité) et chez les enfants de moins de 5 ans, ainsi que l évaluation de l efficacité et de la tolérance du vaccin dans cette population ; - la vérification de l état vaccinal et la mise à jour de la vaccination anti-pneumococcique, si nécessaire, selon les recommandations déjà édictées ; - la vaccination de tous les patients contre la grippe saisonnière dès la disponibilité du vaccin ; - la prescription précoce d un inhibiteur de la neuraminidase à visée prophylactique chez les patients les plus vulnérables (absence de traitement antirétroviral, CD4 < 500/mm 3, co-morbidités, tabagisme, précarité) et chez les enfants (en particulier en dessous de cinq ans) ayant eu un contact étroit avec des cas avérés ou suspects de grippe, si le dernier contact avec le ou les cas suspects date de moins de 48 heures ; - la prescription d un traitement curatif par inhibiteur de la neuraminidase pour une durée prévisionnelle de 5 jours chez les patients les plus vulnérables ainsi que chez les enfants de moins de cinq ans, chez qui un diagnostic de grippe A(H1N1)v possible est porté. Il est impératif de s assurer, au plus tôt, de l absence de complication, en particulier de pneumonie bactérienne secondaire, justifiant une prise en charge spécifique. La diffusion du virus pandémique A(H1N1)v rend vraisemblable la survenue d un grand nombre de cas de grippe chez les patients infectés par le VIH, qui représentent un des groupes à risque potentiel de formes graves et/ou compliquées. Peu de données sont pour l instant disponibles, mais l état d immunodépression et certaines co-morbidités, notamment respiratoires et hépatiques, majorent le risque de complications. Le groupe d experts publie cet addendum afin de préciser les recommandations de prises en charge préventive et thérapeutique de la grippe pandémique dans cette population. Ces recommandations concernent les sujets adultes et les enfants ; elles ont été établies sur la base des données disponibles au début du mois de septembre 2009 et sont révisables selon l évolution de la pandémie et des connaissances. Il est recommandé aux centres prenant en charge des patients infectés par le VIH de les inciter à participer aux observatoires mis en place par l Institut de Microbiologie et de Maladies Infectieuses et l'anrs et, plus largement, aux études cliniques qui seront menées dans ce domaine.

2 Page 2 sur 6 Il est préconisé que les recommandations nationales de prise en charge de la grippe proposées pour la population générale s appliquent aux patients porteurs du VIH présentant une immunité régulièrement préservée (> 500 CD4/mm 3 ) sous antirétroviraux. L âge (moins de cinq ans), l absence de traitement antirétroviral ou d une restauration immunitaire patente et stable, ainsi que l existence de co-morbidités, d un tabagisme, voire de conditions socioéconomiques difficiles (en particulier conduisant à un habitat avec une grande promiscuité, ou en cas d incarcération), justifient en revanche une prise en charge spécifique qui est précisée ci-dessous. Le groupe rappelle que le médecin généraliste est en première ligne de la prise en charge préventive et curative et que le recours à l hôpital n est justifié qu en cas d atypie ou de gravité de la situation. Au sein des hôpitaux, les personnes infectées par le VIH suspectes de grippe doivent suivre le circuit de prise en charge préconisé pour l ensemble des cas suspects afin de limiter les risques de transmission du virus grippal au sein des structures de soins et, en particulier, de celles dédiées à la prise en charge des patients immunodéprimés. PREVENTION 1. Vaccination contre le virus pandémique Aucune donnée n est aujourd hui disponible concernant l efficacité et la tolérance de la vaccination contre le virus pandémique A(H1N1)v chez les patients infectés par le VIH. Il est possible, par analogie avec les données disponibles sur le vaccin contre la grippe saisonnière, que le vaccin contre la grippe A (H1N1)v soit moins immunogène chez les patients porteurs du VIH que chez les patients non infectés par le VIH, en particulier en cas d immunodépression profonde (CD4 < 200/mm 3 ) [1] ou lorsque la charge virale VIH est détectable [2]. Plusieurs études ont, cependant, démontré l efficacité clinique de la vaccination, malgré des réponses humorales variables, tant chez l adulte [3, 4, revue dans 5] que chez l enfant [6]. Les conditions de vaccination contre le virus A(H1N1)v (2 injections successives) pourraient améliorer l immunogénicité. Il est par ailleurs probable que la vaccination contre le virus pandémique A(H1N1)v entraîne une augmentation de la charge virale VIH si elle est détectable, vraisemblablement transitoire et modérée, sans modification significative du nombre de lymphocytes CD4, comme c est le cas au décours de la vaccination antigrippale saisonnière [7]. Par analogie avec ce qui est observé avec la grippe saisonnière, il est possible que l infection par le virus pandémique puisse être responsable d une fréquence de formes sévères et de décès plus élevée chez les personnes infectées par le VIH que dans la population générale d âge comparable. Les études réalisées avant la disponibilité des HAART ont mis en évidence un taux élevé d hospitalisations et de mortalité liées à la grippe chez les patients vivant avec le VIH [8,9]. Bien que les rares études réalisées après la disponibilité des HAART montrent une baisse des complications liées à la grippe par rapport à la période antérieure, il est vraisemblable que le taux d hospitalisations [10] et le risque de survenue de complications cardio-pulmonaires reste plus élevé que dans la population générale [11]. L hypothèse que le risque de survenue de formes graves dépende du nombre de lymphocytes CD4 est raisonnable, mais n a pas été démontrée. Chez l enfant infecté par le VIH, la morbidité de la grippe saisonnière est également modeste depuis la disponibilité des HAART. En revanche, la morbidité et la mortalité du virus A(H1N1)v semblent, de façon générale, plus élevées chez l enfant que chez l adulte, principalement chez l enfant de moins de 5 ans.

3 Page 3 sur 6 Malgré les incertitudes actuelles sur le niveau exact d efficacité de la vaccination, l ensemble des arguments est en faveur de la mise à disposition, dès que possible, du vaccin contre la grippe pandémique A (H1N1)v chez tous les patients infectés par le VIH avec une incitation plus forte chez les enfants de moins de 5 ans, et chez les adultes, grands enfants et adolescents présentant une caractéristique de plus grande vulnérabilité (absence de traitement antirétroviral, CD4 < 500/mm 3, co-morbidités, tabagisme, précarité). Bien que le choix du vaccin avec adjuvant, édicté par les recommandations du Haut Conseil de la Santé Publique (avis du 7 septembre 2009), ait pris en compte le rapport bénéfice-risque prévisionnel de la stratégie vaccinale chez les personnes vivant avec le VIH, il est nécessaire d envisager dès maintenant des schémas d évaluation de la tolérance (en particulier chez les patients ne recevant pas de traitement antirétroviral) et de l efficacité (surtout chez les patients avec CD4 < 200/mm 3 ) de la vaccination dans cette population. Le groupe d experts attire l attention sur la nécessité que la logistique mise en place pour la vaccination de la population n handicape pas la simplicité et la rapidité d accès à la prévention chez les personnes porteuses du VIH et permette, en coordination régionale avec chaque COREVIH, d évaluer la couverture vaccinale des patients infectés par le VIH. 2. Autres mesures préventives Les mesures proposées pour éviter la transmission inter humaine du virus A(H1N1)v s appliquent également aux patients infectés par le VIH. Pour les patients suspects d infection grippale, et jusqu à 48h après la fin des symptômes, on rappelle principalement parmi les mesures destinées à éviter la transmission : lavage fréquent des mains, isolement et port d un masque chirurgical et réduction des contacts sociaux (en particulier avec les enfants de moins de un an, les femmes enceintes et les personnes immunodéprimées ou à risque de complications liées à la grippe). Pour les sujets indemnes d infection grippale et cherchant à se préserver dune contamination, on rappelle : lavage fréquent des mains, éviter les contacts sans masque avec des personnes suspectes de grippe, voire la fréquentation de lieux regroupant de nombreuses personnes (surtout chez les plus immunodéprimés ou ceux ayant des facteurs de risque de complications). La souche du virus pandémique A(H1N1)v est, en l état actuel, sensible aux inhibiteurs de neuraminidase oseltamivir (Tamiflu ) et zanamivir (Relenza ). Il est recommandé que les patients infectés par le VIH, non vaccinés vis-à-vis du virus A(H1N1)v, présentant au moins une caractéristique de vulnérabilité (absence de traitement antirétroviral, CD4< 500/mm 3, comorbidités, tabagisme, précarité) et ayant eu des contacts étroits (personnes vivant sous le même toit ou relations intimes) avec des personnes grippées, reçoivent le plus tôt possible une prophylaxie par oseltamivir (1 gélule à 75 mg/j) ou zanamivir (2 inhalations de 5 mg une fois/jour) pendant 10 jours si le dernier contact avec le ou les cas index identifié(s) est inferieur à 48 heures. Au-delà de 48 heures, en cas de survenue de fièvre et de signes respiratoires, c est un traitement antiviral à dose curative qui doit être débuté. Chez l enfant, la prophylaxie après contact étroit avec des personnes grippées est plus largement recommandée que chez l adulte et doit être systématique en dessous de 5 ans ; oseltamivir et zanamivir peuvent être utilisés chez les nourrissons âgés de plus d un an et les enfants âgés de 2 à 12 ans selon les recommandations posologiques et galéniques des RCP (zanamivir seulement au-delà de 5 ans). Pour l enfant de moins d un an, des recommandations de doses pour l oseltamivir (2 à 3 mg/kg une fois/jour pendant 10 jours) sont suggérées en l absence de

4 Page 4 sur 6 données précises de pharmacocinétique et de tolérance, et devraient être précisées par des études en cours. L usage de l oseltamivir chez le nourrisson ne peut être banalisé et une attention particulière devra être portée à l évaluation de la tolérance et au signalement des éventuels effets secondaires. L importance des mesures d isolement doit être rappelée au personnel soignant en charge de malades grippés hospitalisés, pour éviter les risques de contamination des patients immunodéprimés, y compris les patients infectés par le VIH ; en effet, l importance de la pandémie grippale peut conduire à l hospitalisation dans une même unité de soins de malades grippés et de patients infectés par le VIH admis pour un autre motif que la grippe. La prévention des pneumonies à pneumocoque est justifiée chez les patients infectés par le VIH, et fait déjà l objet, dans le rapport d experts 2008, d une recommandation générale. Elle est rappelée ici, car les pneumonies virales et bactériennes sont une des complications les plus fréquentes de la grippe saisonnière, et sont souvent observées dans les formes graves de grippe pandémique A(H1N1)v [12] : le vaccin antipneumococcique polysaccharidique est recommandé chez les patients ayant des CD4 supérieurs à 200/mm 3 ; il peut être administré, avec une probabilité raisonnable de conférer une protection, chez les patients avec un taux de CD4 inférieur à 200/mm 3, ce d autant qu il existe des facteurs de risque identifiés. Les personnes ayant été vaccinées depuis plus de 3 ans doivent recevoir une nouvelle dose de vaccin. Il est souhaitable d anticiper cette forte demande prévisionnelle afin d assurer une disponibilité satisfaisante du vaccin. Chez l'enfant, la mise à jour rapide de la vaccination anti-pneumococcique est recommandée. Celle-ci sera pratiquée en accord avec les recommandations du calendrier vaccinal 2009 [13] pour les enfants à risque : pour les nourrissons, une dose de vaccin heptavalent (Prevenar ) à 2, 3 et 4 mois avec un rappel entre 12 et 15 mois ; pour les enfants de 24 à 59 mois, non vaccinés, deux doses de vaccin heptavalent à 2 mois d'intervalle suivies d'une dose de vaccin polyosidique 23-valent (Pneumo23 ) au moins 2 mois après la deuxième dose de vaccin heptavalent ; pour les enfants âgés de 5 ans et plus, une dose de vaccin polyosidique 23-valent. Il reste, par ailleurs, toujours recommandé de proposer une vaccination contre la grippe saisonnière chez l ensemble des patients infectés par le VIH dès que ce vaccin sera disponible. Cette vaccination peut être effectuée en même temps que la vaccination antipneumococcique mais un intervalle d au moins trois semaines avec la future vaccination contre le virus A (H1N1)v est recommandé. TRAITEMENT Compte tenu du risque potentiel de formes graves lié à la grippe pandémique (cf paragraphe vaccination), les patients infectés par le VIH présentant au moins une caractéristique de plus grande vulnérabilité (absence de traitement antirétroviral, CD4 < 500/mm 3, co-morbidités, tabagisme, précarité) ainsi que les enfants de moins de 5 ans, chez qui un diagnostic possible de grippe A(H1N1)v a été porté [syndrome respiratoire aigu brutal associant une fièvre supérieure ou égale à 38 C et des signes respiratoires (toux ou dyspnée)], devraient recevoir un traitement empirique par inhibiteur de la neuraminidase, oseltamivir (1 gélule à 75 mg 2 fois/j chez l adulte) ou zanamivir (2 inhalations de 5mg deux fois/jour chez l adulte) pour une

5 Page 5 sur 6 durée prévisionnelle de 5 jours. L oseltamivir est à privilégier chez les femmes enceintes compte tenu de son action systémique et de la virémie probable lors de la primo-infection. Si le traitement systématique des enfants de moins de 5 ans est fortement recommandé, il n est pas possible, en l état actuel des connaissances, de proposer une attitude argumentée pour les enfants plus âgés, y compris ceux n ayant pas de perturbation immunitaire importante sous traitement antirétroviral efficace. Oseltamivir et zanamivir peuvent être utilisés chez les nourrissons âgés de plus de 1 an et les enfants âgés de 2 à 12 ans aux doses recommandées par le Comité de lutte contre la grippe [14,15] (zanamivir seulement au-delà de 5 ans). Pour l enfant de moins d un an, une dose d oseltamivir de 2 à 3 mg/kg deux fois/jour pendant 5 jours est recommandée. Comme pour la population générale, et pour des raisons d efficacité, la mise en place de ce traitement doit être la plus précoce possible mais ne doit pas être récusée au-delà de 48 heures de symptômes en cas de formes graves qui nécessitent, en outre, le recours à l hospitalisation. Les cas traités en ambulatoire justifient une surveillance pour s assurer de l absence d aggravation dans les 48 h suivant la consultation. Un tableau clinique atypique ou sévère justifie des examens complémentaires, dont un prélèvement nasal, pour affirmer ou infirmer le diagnostic de grippe, évaluer la gravité, et diagnostiquer au plus vite une complication ou une affection non grippale. Ainsi, une suspicion de pneumonie doit impérativement amener à la réalisation rapide d une radiographie pulmonaire. Aucune donnée disponible ne fait craindre une moindre tolérance des inhibiteurs de neuraminidase chez les patients infectés par le VIH que dans la population générale. De même, aucune interaction médicamenteuse n a été rapportée avec les antirétroviraux. Une diminution de posologie de l oseltamivir (75 mg/j) est proposée lorsque la clairance de la créatinine est < 30mL/min, et le médicament n est pas recommandé si la clairance est < 10 ml/min ou chez le patient dialysé ; dans ces situations, l utilisation du zanamivir est donc préférentielle. Chez les patients avec un diagnostic possible de grippe A(H1N1)v, l antibiothérapie est indiquée en cas de complication bactérienne suspectée ou prouvée, notamment des voies respiratoires hautes ou basses. En l absence de donnée disponible concernant les pneumonies bactériennes compliquant la grippe A(H1N1)v chez les patients infectés par le VIH, le choix de l antibiothérapie prendra en compte, dans cette situation, l épidémiologie particulière des pneumonies bactériennes secondaires à la grippe saisonnière (importance de S. aureus) et repose essentiellement, en première intention, sur la prescription d amoxicilline / acide clavulanique ou, en cas d allergie à la pénicilline, d une fluoroquinolone à activité antipneumococcique (en privilégiant la lévofloxacine, et en n utilisant la moxifloxacine qu en dernier recours). Une prise en charge hospitalière est impérative devant un tableau grave d emblée ou d évolution insatisfaisante sous antibiothérapie de première intention (réévaluation systématique dans les 48h suivant l initiation du traitement).

6 Page 6 sur 6 RÉFÉRENCES 1- Yamanaka H, Teruya K, Tanaka M et al. Efficacy and immunologic responses to influenza vaccine in HIVinfected patients. J AIDS 2005; 39: Evison J, Farese S, Seitz M et al. Randomized, double-blind comparative trial of subunit and virosomal influenza vaccines for immunocompromised patients. Clin Infect Dis 2009; 48: Ranieri R, Veronelli A, Santambrogio C et al. Impact of influenza vaccine on response to vaccination with pneumococcal vaccine in HIV patients. AIDS Res Hum Retroviruses 2005; 21: Tasker SA, Treanor JJ, Paxton WB, Wallace MR. Efficacy of influenza vaccination in HIV-infected persons: a randomized, double-blind,placebo-controlled trial. Ann Intern Med 1999; 131: Kunisaki KM, Janoff EN. Influenza in immunodepressed populations: a review of infection frequency, morbidity, mortality, and vaccine responses. Lancet Infect Dis 2009; 9 : Viganò A, Zuccotti GV, Pacei M et al Humoral and cellular response to influenza vaccine in HIV-infected children with full viroimmunologic response to antiretroviral therapy. J Acquir Immune Defic Syndr 2008;48: Sullivan PS, Hanson DL, Dworkin MS et al. Effect of influenza vaccination on disease progression among HIV-infected persons. AIDS 2000; 14: Neuzil KM, Reed GW, Mitchel EF et al. Influenza-associated morbidity and mortality in young and middle-aged women. JAMA 1999; 281: Lin JC, Nichol KL. Excess mortality due to pneumonia or influenza during influenza seasons among persons with acquired immunodefi ciency syndrome. Arch Intern Med 2001; 161: Skiest DJ, Kaplan P, Machala T et al. Clinical manifestations of influenza in HIV-infected individuals. Int J STD AIDS. 2001;12 : Neuzil KM, Coffey CS, Mitchel EF Jr, Griffi n MR. Cardiopulmonary hospitalizations during influenza season in adults and adolescents with advanced HIV infection. J Acquir Immune Defic Syndr 2003;34: Chowell G, Berozzi S, Colchero A et al. Severe respiratory disease concurrent with the circulation of H1N1 influenza. N Engl J Med 2009; 361: Calendrier des vaccinations et recommandations vaccinales 2009 selon l avis du Haut Conseil de la Santé Publique. BEH 2009;16-17: Shun-Shin M, Thompson M, Heneghan C et al. Neuraminidase inhibitors for treatment and prophylaxis of influenza in children: Systematic review and metaanalysis of randomised controlled trials. BMJ. 2009;339:b

VACCINS ANTIPNEUMOCOCCIQUES

VACCINS ANTIPNEUMOCOCCIQUES VACCINS ANTIPNEUMOCOCCIQUES Infections respiratoires SPIF - 15 Novembre 2014 Patrick Petitpretz Déclaration de liens d'intérêts J ai actuellement, ou j ai eu au cours des trois dernières années, une affiliation

Plus en détail

Vaccinations pour les professionnels : actualités

Vaccinations pour les professionnels : actualités Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???

Plus en détail

Gestion de la crise sanitaire grippe A

Gestion de la crise sanitaire grippe A Gestion de la crise sanitaire grippe A Sommaire de la présentation Nature du risque lié au virus A H1N1 Plan gouvernemental de pandémie grippale Mesures de protection Historique de la grippe La grippe

Plus en détail

LES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES. Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris

LES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES. Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris LES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris 8 Avant l introduction des traitements antirétroviraux hautement actifs (HAART), la majorité des patients

Plus en détail

Ce que les femmes enceintes doivent savoir au sujet de la grippe H1N1 (appelée grippe porcine auparavant)

Ce que les femmes enceintes doivent savoir au sujet de la grippe H1N1 (appelée grippe porcine auparavant) Ce que les femmes enceintes doivent savoir au sujet de la grippe H1N1 (appelée grippe porcine auparavant) 3 mai 2009, 15 h HNE Sur cette page : Que dois-je faire si je contracte ce nouveau virus et que

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper

INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction

Plus en détail

Vaccination contre la grippe : enjeux pour les infirmières et les infirmiers

Vaccination contre la grippe : enjeux pour les infirmières et les infirmiers Série de Webinaires de l AIIC : Progrès de la pratique Vaccination contre la grippe : enjeux pour les infirmières et les infirmiers Caroline Quach Pédiatre microbiologiste-infectiologue, Hôpital de Montréal

Plus en détail

Vaccinations des personnes immunodéprimées ou aspléniques

Vaccinations des personnes immunodéprimées ou aspléniques Vaccinations des personnes immunodéprimées ou aspléniques Recommandations Collection Avis et Rapports Vaccinations des personnes immunodéprimées ou aspléniques Recommandations Rapport 2012 Haut Conseil

Plus en détail

Traitement de l hépatite C: données récentes

Traitement de l hépatite C: données récentes Traitement de l hépatite C: données récentes J.-P. BRONOWICKI (Vandœuvre-lès-Nancy) Tirés à part : Jean-Pierre Bronowicki Service d Hépatogastroentérologie, CHU de Nancy, 54500 Vandœuvre-lès-Nancy. Le

Plus en détail

Vaccination contre la grippe saisonnière

Vaccination contre la grippe saisonnière le point sur risques infectieux > Vaccinations Vaccination contre la grippe saisonnière Questions / Réponses - Professionnels de santé Document élaboré le 14 octobre 2014 1 - Quand a lieu la campagne de

Plus en détail

Lettre à l éditeur. Résistance du VIH aux Antirétroviraux : Quoi de neuf au Mali? Quelles. perspectives?

Lettre à l éditeur. Résistance du VIH aux Antirétroviraux : Quoi de neuf au Mali? Quelles. perspectives? Lettre à l éditeur Résistance du VIH aux Antirétroviraux : Quoi de neuf au Mali? Quelles perspectives? HIV Antiretroviral Drug Resistance: What s new in Mali? What is the future? Maiga AI 1,2, Sangare

Plus en détail

MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME

MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES

Plus en détail

Club Santé. «Vaccination : quelle évolution pour une meilleure prévention?» Dimanche 16 octobre 2005

Club Santé. «Vaccination : quelle évolution pour une meilleure prévention?» Dimanche 16 octobre 2005 Club Santé «Vaccination : quelle évolution pour une meilleure prévention?» Dimanche 16 octobre 2005 Contacts Presse : Florence PARIS Fanny ALLAIRE Tél : 01.39.17.90.85 Fax : 01.39.17.86.56 Adresses e-mail

Plus en détail

vaccin pneumococcique polyosidique conjugué (13-valent, adsorbé)

vaccin pneumococcique polyosidique conjugué (13-valent, adsorbé) EMA/90006/2015 EMEA/H/C/001104 Résumé EPAR à l intention du public vaccin pneumococcique polyosidique conjugué (13-valent, adsorbé) Le présent document est un résumé du rapport européen public d évaluation

Plus en détail

Vaccination et tuberculose en Gériatrie. Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban

Vaccination et tuberculose en Gériatrie. Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban Vaccination et tuberculose en Gériatrie Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban VACCINATIONS 2 Personnes âgées et vaccinations Avec

Plus en détail

TUBERCULOSE Nouveautés 2009

TUBERCULOSE Nouveautés 2009 TUBERCULOSE Nouveautés 2009 Dr Grégoire Gex Rencontres Genevoises de Pneumologie Avril 2010 Introduction 6044 articles dans PubMed avec Tuberculose dans titre en 2009 Stratégie de recherche : Sélections

Plus en détail

Évolution des pratiques vaccinales : 3. vaccination après la grossesse

Évolution des pratiques vaccinales : 3. vaccination après la grossesse Évolution des pratiques vaccinales : 3. vaccination après la grossesse Professeur Emmanuel Grimprel Service de Pédiatrie Générale, Hôpital Trousseau, Paris Université Pierre et Marie Curie, Paris Déclaration

Plus en détail

Vaccins du futur Atelier «Croisière dans l archipel des nouveaux vaccins»

Vaccins du futur Atelier «Croisière dans l archipel des nouveaux vaccins» Vaccins du futur Atelier «Croisière dans l archipel des nouveaux vaccins» Bernard Duval Institut National de Santé Publique du Québec 18 avril 2002 Objectifs Grands axes de la réponse immunitaire Conjugaison

Plus en détail

Nathalie Colin de Verdière Centre de vaccinations internationales Hôpital Saint-Louis

Nathalie Colin de Verdière Centre de vaccinations internationales Hôpital Saint-Louis Nathalie Colin de Verdière Centre de vaccinations internationales Hôpital Saint-Louis 12/09/2013 2 Comparaison calendrier vaccinal 2013 et 2012 : Nourrisson 3 Comparaison calendrier vaccinal 2013 et 2012

Plus en détail

Vaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive.

Vaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive. Vaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive. Pr Jean Beytout Service des maladies infectieuses et tropicales CHU de Clermont-Ferrand. Comité Technique des Vaccinations Conclusion Le principal

Plus en détail

Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie

Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie Le phénotype immunitaire d un individu caractérise sa capacité à répondre, grâce aux effecteurs de l immunité adaptative, aux différents agents

Plus en détail

Mise en place de référents grippe au sein d un centre hospitalier

Mise en place de référents grippe au sein d un centre hospitalier Mise en place de référents grippe au sein d un centre hospitalier Sophie FOUCAULT, IDE Hygiéniste, FFC Service ECLIN P.MIR, C.JACOB, Praticiens de Santé au Travail R.HUE, Praticien Hygiéniste, Service

Plus en détail

Protégeons-nous ensemble!

Protégeons-nous ensemble! Grippe saisonnière. Protégeons-nous ensemble! Informations importantes pour vous et votre famille. www.sevaccinercontrelagrippe.ch www.ofsp.admin.ch B C Qu est-ce que la grippe saisonnière et quels en

Plus en détail

Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose

Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)

Plus en détail

A C T I V Méningites à pneumocoque de l Enfant en 2007

A C T I V Méningites à pneumocoque de l Enfant en 2007 Méningites à pneumocoque de l Enfant en 2007 Edouard BINGEN, Robert COHEN, Corinne LEVY, France de La ROCQUE, Emmanuelle VARON, Yannick AUJARD, pour le GPIP-ACTIV Objectifs de l Observatoire des Méningites

Plus en détail

Bonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici

Bonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici Un résumé des recommandations éditées par l AFEF le 1 er juin 2015 Les recommandations de l AFEF vont plus loin que celles de l EASL. Le Pr Victor De Lédinghen, du CHU de Bordeaux, et secrétaire général

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 3 septembre 2008

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 3 septembre 2008 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 3 septembre 2008 PRIVIGEN 100 mg/ml, solution pour perfusion Flacon en verre de 50 ml (CIP: 572 790-7 Flacon en verre de 100 ml (CIP: 572 791-3) Flacon en verre de 200

Plus en détail

L ANGINE. A Epidémiologie :

L ANGINE. A Epidémiologie : L ANGINE L angine est une inflammation aiguë des amygdales d origine essentiellement virale, et secondairement bactérienne. C est les streptocoque ß hémolytique du groupe A, qui est l agent responsable

Plus en détail

LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS

LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines

Plus en détail

Avis 6 novembre 2013

Avis 6 novembre 2013 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 6 novembre 2013 ISENTRESS, comprimé à croquer 25 mg Flacon de 60 comprimés (CIP : 3400926992408) ISENTRESS, comprimé à croquer sécable 100 mg Flacon de 60 comprimés (CIP

Plus en détail

Université René Descartes Paris V Faculté Cochin Port Royal. PLACE DU VACCIN PNEUMOCOCCIQUE CONJUGUE A 13 VALENCES Chez les personnes âgées en EHPAD

Université René Descartes Paris V Faculté Cochin Port Royal. PLACE DU VACCIN PNEUMOCOCCIQUE CONJUGUE A 13 VALENCES Chez les personnes âgées en EHPAD Université René Descartes Paris V Faculté Cochin Port Royal PLACE DU VACCIN PNEUMOCOCCIQUE CONJUGUE A 13 VALENCES Chez les personnes âgées en EHPAD Analyse critique de l évolution des vaccins pneumococciques,

Plus en détail

Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014

Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Nadège Caillere, Cire Océan Indien Dr Joao Simoes, Cellule de veille, d alerte et de gestion

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron

Plus en détail

Vaccins et chimiothérapies chez l adulte

Vaccins et chimiothérapies chez l adulte Vaccins et chimiothérapies chez l adulte 1 1 Coordination Pr Odile LAUNAY (CIC Vaccinologie, Cochin-Pasteur; Paris), Dr Pierre LOULERGUE (CIC Vaccinologie, Cochin-Pasteur; Paris) Membres du groupe de travail

Plus en détail

Quelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées en réanimation en France?

Quelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées en réanimation en France? 53 e congrès national d anesthésie et de réanimation. Infirmiers. Infirmier(e)s de réanimation 2011 Sfar. Tous droits réservés. Quelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées

Plus en détail

Prophylaxie infectieuse après exposition professionnelle

Prophylaxie infectieuse après exposition professionnelle 1 Prophylaxie infectieuse après exposition professionnelle Introduction Le personnel soignant est régulièrement confronté au risque de contamination par le virus de l immunodéficience humaine (VIH) mais

Plus en détail

Gestion des épidémies en FAM et MAS. 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015

Gestion des épidémies en FAM et MAS. 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015 Gestion des épidémies en FAM et MAS 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015 Rappels En EMS, le risque infectieux est présent, avec cumul des différents aspects de ce risque: Infections communautaires:

Plus en détail

Service d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport

Service d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins

Plus en détail

Définition de l Infectiologie

Définition de l Infectiologie Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage

Plus en détail

Sélection et Évaluation Quantitative des Médicaments pour la Prise en Charge du VIH/SIDA. Sophie Logez, OMS/PSM Addis Abeba, Ethiopie, Février 2005

Sélection et Évaluation Quantitative des Médicaments pour la Prise en Charge du VIH/SIDA. Sophie Logez, OMS/PSM Addis Abeba, Ethiopie, Février 2005 Sélection et Évaluation Quantitative des Médicaments pour la Prise en Charge du VIH/SIDA Sophie Logez, OMS/PSM Addis Abeba, Ethiopie, Février 2005 Sélection et Évaluation Quantitative Références Sélection

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 19 octobre 2011

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 19 octobre 2011 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 19 octobre 2011 PEDIAVEN AP-HP G15, solution pour perfusion 1000 ml de solution en poche bi-compartiment, boîte de 4 (CIP: 419 999-0) PEDIAVEN AP-HP G20, solution pour

Plus en détail

DISPOSITIF DE VACCINATION CONTRE LA GRIPPE A POUR LES PERSONNES VIVANT AVEC LE VIH

DISPOSITIF DE VACCINATION CONTRE LA GRIPPE A POUR LES PERSONNES VIVANT AVEC LE VIH NOTE D INFORMATION DISPOSITIF DE VACCINATION CONTRE LA GRIPPE A POUR LES PERSONNES VIVANT AVEC LE VIH Pantin, le 9 novembre 2009 Ce document décrit le dispositif de vaccination des personnes séropositives

Plus en détail

INFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire

INFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire Vaccination des étudiants du Baccalauréat en Médecine de Lausanne INFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire La vaccination du personnel de santé est recommandée par l Office fédéral

Plus en détail

Etes-vous vacciné? La rougeole oblige à rester à la maison. www.stoprougeole.ch

Etes-vous vacciné? La rougeole oblige à rester à la maison. www.stoprougeole.ch Etes-vous vacciné? La rougeole oblige à rester à la maison. www.stoprougeole.ch 0844 448 448 La rougeole oblige à rester à la maison. www.stoprougeole.ch Eliminer la rougeole un objectif international

Plus en détail

Observation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas

Observation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 18 janvier 2006

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 18 janvier 2006 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 18 janvier 2006 ADVATE 1500 UI, poudre et solvant pour solution injectable 1 flacon(s) en verre de 1 500 UI - 1 flacon(s) en verre de 5 ml avec matériel(s) de perfusion(s)

Plus en détail

Le parcours en greffe de cellules hématopoïétiques : greffe allogénique

Le parcours en greffe de cellules hématopoïétiques : greffe allogénique Le parcours en greffe de cellules hématopoïétiques : greffe allogénique Introduction Cette brochure vise à vous familiariser avec la greffe de cellules hématopoïétiques (GCH). Elle présente en quelques

Plus en détail

Avis 29 mai 2013. XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA.

Avis 29 mai 2013. XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA. COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 29 mai 2013 XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA DCI Code ATC (2012) Motif de l examen Liste

Plus en détail

ALK et cancers broncho-pulmonaires. Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse

ALK et cancers broncho-pulmonaires. Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse ALK et cancers broncho-pulmonaires Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse Toulouse, le 19 Février 2013 Adénocarcinomes : Lung Cancer Mutation Consortium Identification

Plus en détail

Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON

Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON 20-14 Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON Chaque personnel navigant est responsable de la mise à jour des ses vaccins. 1 - VACCINATION OBLIGATOIRE La vaccination contre la fièvre jaune (vaccination anti-amarile)

Plus en détail

Détection et prise en charge de la résistance aux antirétroviraux

Détection et prise en charge de la résistance aux antirétroviraux Détection et prise en charge de la résistance aux antirétroviraux Jean Ruelle, PhD AIDS Reference Laboratory, UCLouvain, Bruxelles Corata 2011, Namur, 10 juin 2011 Laboratoires de référence SIDA (Belgique)

Plus en détail

STOP à la Transmission des microorganismes!

STOP à la Transmission des microorganismes! STOP à la Transmission des microorganismes! M.E Gengler Vendredi 25 Avril 2014 Vous avez ditstandard? Voici les «Précautions Standard» ou PS Les Précautions Standard : la Loi Respectez les «précautions

Plus en détail

Le point 2013 de l OMS sur le traitement de l infection à VIH dans le monde : résultats, impact et opportunités. Juin 2013

Le point 2013 de l OMS sur le traitement de l infection à VIH dans le monde : résultats, impact et opportunités. Juin 2013 Le point 2013 de l OMS sur le traitement de l infection à VIH dans le monde : résultats, impact et opportunités Juin 2013 RÉSUMÉ Le point 2013 de l OMS sur le traitement de l infection à VIH dans le monde

Plus en détail

Item 127 : Transplantation d'organes

Item 127 : Transplantation d'organes Item 127 : Transplantation d'organes Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Allogreffe de moelle ou de cellules souches...1 2 Transplantation d'organes... 2 3 Diagnostic...3

Plus en détail

Cas clinique Enquête autour d un cas IDR vs IGRA Pr Emmanuel Bergot

Cas clinique Enquête autour d un cas IDR vs IGRA Pr Emmanuel Bergot Cas clinique Enquête autour d un cas IDR vs IGRA Pr Emmanuel Bergot Service de Pneumologie, CHU Côte de Nacre Centre de compétence régionale de l HTAP UMR INSERM 1086 «Cancers et Préventions», Université

Plus en détail

ANRS-FUNDED RESEARCH IN THE DEVELOPING WORLD

ANRS-FUNDED RESEARCH IN THE DEVELOPING WORLD ANRS-FUNDED RESEARCH IN THE DEVELOPING WORLD Brazil Burkina Faso (Bobo Dioulasso) Cambodia (Phnom Penh) Cameroon (Yaounde) Côte d Ivoire (Abidjan) Senegal (Dakar) Vietnam (Ho Chi Minh City) South Africa,

Plus en détail

Traitement et questions connexes

Traitement et questions connexes Traitement et questions connexes L essentiel du congrès sur le sida AIDS 2012 (et des ateliers du congrès 14 th International Workshops on Comorbidities and Adverse Drug Reactions in HIV, juillet 2012)

Plus en détail

Que faire devant un résultat positif, négatif ou indéterminé? Elisabeth Bouvet Atelier IGRA VIH JNI Tours 13 Juin 2012

Que faire devant un résultat positif, négatif ou indéterminé? Elisabeth Bouvet Atelier IGRA VIH JNI Tours 13 Juin 2012 Que faire devant un résultat positif, négatif ou indéterminé? Elisabeth Bouvet Atelier IGRA VIH JNI Tours 13 Juin 2012 Conclusions provisoires rapport du HCSP juillet 2011 Valeur prédictive positive des

Plus en détail

Conduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005)

Conduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005) Conduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005) Pré-Requis : Anatomie faciale Principes de traitement des plaies Principes d'antibiothérapie

Plus en détail

NAVELBINE voie orale

NAVELBINE voie orale DENOMINATION DU MEDICAMENT & FORME PHARMACEUTIQUE NAVELBINE voie orale CARACTERISTIQUES Dénomination commune : vinorelbine Composition qualitative et quantitative : Statut : A.M.M. A.T.U. Classe ATC :

Plus en détail

LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD

LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD Service de Pneumologie Hôpital Beauregard - THIONVILLE 1 Bilan initial Objectifs Bilan de base Traitement pharmacologique Autres traitements pharmacologiques Autres

Plus en détail

DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE

DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible

Plus en détail

Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes

Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Direction générale de la santé Sous-direction de la prévention des risques infectieux Bureau des maladies infectieuses, des risques

Plus en détail

Guide des vaccinations Édition 2012. Direction générale de la santé Comité technique des vaccinations

Guide des vaccinations Édition 2012. Direction générale de la santé Comité technique des vaccinations Guide des vaccinations Édition 2012 Direction générale de la santé Comité technique des vaccinations 293 Vaccinations pour les personnels de santé INTRODUCTION La vaccination des personnels de santé a

Plus en détail

Révision des descriptions génériques Comment monter un dossier?

Révision des descriptions génériques Comment monter un dossier? DISPOSITIFS MEDICAUX Révision des descriptions génériques Comment monter un dossier? Guide pour le dossier déposé par les fabricants/distributeurs Adopté en séance de la CEPP* le 13 juillet 2005 *CEPP

Plus en détail

LES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention

LES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention LES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention Evaluation du risque après AEV Selon le type d'accident Virus Percutanée Cutanéomuqueux Morsure VHB 2 à 40% >HCV>VIH Documentée VHC

Plus en détail

Nouveautés dans Asthme & MPOC

Nouveautés dans Asthme & MPOC Nouveautés dans Asthme & MPOC Dr Gilles Côté Pneumologue CSSSGatineau Pavillon de Hull 31 Janvier 2014 Conflit d intérêt Aucun 2 1 Objectifs A la fin de cette capsule, le participant pourra identifier

Plus en détail

Les traitements antirétroviraux très précoces chez l adulte, actualités. Christine DANEL

Les traitements antirétroviraux très précoces chez l adulte, actualités. Christine DANEL Les traitements antirétroviraux très précoces chez l adulte, actualités Christine DANEL Contexte Les recommandations OMS En 2006 : antirétroviraux si CD4

Plus en détail

Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions.

Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions. Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions. Exemple d une étude prospective sur la place d un test de détection rapide du SGB. HONORAT Raphaële 1, ASSOULINE Corinne 1,

Plus en détail

Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent

Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication

Plus en détail

Prise en charge de l embolie pulmonaire

Prise en charge de l embolie pulmonaire Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix

Plus en détail

Infection VIH et Grossesse Rédigée par : Laurichesse Hélène, C Jacomet

Infection VIH et Grossesse Rédigée par : Laurichesse Hélène, C Jacomet Procédure qualité : «VIH et grossesse» Page 1 sur 6 CHU de Clermont-Ferrand Service de Gynécologie-obstétrique Pôle Gynécologie-Obstétrique biologie de la reproduction Procédure médicale Infection VIH

Plus en détail

Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence

Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en

Plus en détail

Vivre en santé après le traitement pour un cancer pédiatrique

Vivre en santé après le traitement pour un cancer pédiatrique PRÉCAUTIONS POUR LES INDIVIDUS SANS RATE FONCTIONNELLE La rate, c est quoi? La rate est un organe situé du coté gauche, vers le haut de l abdomen, sous les côtes, derrière l estomac. Une rate normale a

Plus en détail

Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence

Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence On pose fréquemment le diagnostic de migraine sévère à l urgence. Bien que ce soit un diagnostic commun,

Plus en détail

Co-infection HVB HVC CO-infection VIH HVB et HVC

Co-infection HVB HVC CO-infection VIH HVB et HVC Co-infection HVB HVC CO-infection VIH HVB et HVC Abdelfattah CHAKIB Faculté de médecine et de pharmacie de Casablanca Service des maladies infectieuses, CHU Ibn Rochd 06 61 42 91 64 afchakib@gmail.com

Plus en détail

CONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD?

CONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD? CONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD? Hélène MANGEARD François MALADRY Tuberculose : infection mycobactérienne Infection mycobactérienne chronique (M. Tuberculosis ++ ou bacille

Plus en détail

Hépatite C une maladie silencieuse..

Hépatite C une maladie silencieuse.. Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle

Plus en détail

Docteur, j ai pris froid!

Docteur, j ai pris froid! Dr j ai pris froid: Objectifs Docteur, j ai pris froid! Jean-Paul Humair Avec la contribution de MC Kramer Colloque SMPR 21.12.2011 Connaitre l épidémiologie des infections des voies respiratoire sup (IVRS)

Plus en détail

Rendre les résultats d un test VIH, communiquer les messages pour refaire le test et fournir un conseil à l adulte

Rendre les résultats d un test VIH, communiquer les messages pour refaire le test et fournir un conseil à l adulte Rendre les résultats d un test VIH, communiquer les messages pour refaire le test et fournir un conseil à l adulte Il est prévu que les recommandations contenues dans ce document resteront valables jusqu

Plus en détail

Charges virales basses sous traitement: définition impact virologique. Laurence Bocket Virologie CHRU de Lille

Charges virales basses sous traitement: définition impact virologique. Laurence Bocket Virologie CHRU de Lille XVIIe Journée Régionale de Pathologie Infectieuse 12 octobre 2010 Charges virales basses sous traitement: définition impact virologique Laurence Bocket Virologie CHRU de Lille conflits d intérêts subventions,

Plus en détail

Y a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin

Y a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin Y a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin Objectifs thérapeutiques Inhibition de la réplication virale Négativation

Plus en détail

Chapitre VI : Gestion des risques épidémiques

Chapitre VI : Gestion des risques épidémiques Chapitre VI : Fiche n VI.1 : Gale Fiche n VI.2 : Tubeculose pulmonaire (accessible dans la prochaine version) Fiche n VI.3 : Gastro-entérite Fiche n VI.4 : Infection respiratoire aigüe basse Sommaire Sommaire

Plus en détail

Psoriasis et biothérapies

Psoriasis et biothérapies A qui s adressent les biothérapies? Comment agissent les biothérapies? Quels bénéfices puis-je attendre d une biothérapie? Comment puis-je contribuer au succès de mon traitement? Qu est-ce qu une biothérapie?

Plus en détail

MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE

MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE AVIS DU COMITE TECHNIQUE DES VACCINATIONS / DU CONSEIL SUPERIEUR D HYGIENE PUBLIQUE DE FRANCE relatif à la vaccination par le vaccin

Plus en détail

Résistance du VIH-1 aux antirétroviraux dans les compartiments anatomiques et cellulaires

Résistance du VIH-1 aux antirétroviraux dans les compartiments anatomiques et cellulaires Résistance du VIH-1 aux antirétroviraux dans les compartiments anatomiques et cellulaires Jade GHOSN Laboratoire de Virologie CHU Necker-Enfants Malades EA MRT 3620 Paris 5 Réservoirs anatomiques du VIH:

Plus en détail

Prévention des infections après splénectomie

Prévention des infections après splénectomie Prévention des infections après splénectomie JOURNEES EN TRAUMATOLOGIE Tristan Ferry Introduction Incidence des asplénies en France 6000 à 9000 nouveaux patients splenectomisés/an Population globale estimée

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 2 avril 2014 DERMOVAL, gel flacon de 20 ml (CIP : 34009 326 130 4 5) DERMOVAL 0,05 POUR CENT, crème tube de 10 g (CIP : 34009 320 432 9 3) Laboratoire GLAXOSMITHKLINE

Plus en détail

Recommandations de la Société de Pneumologie de Langue Française sur la prise en charge de la tuberculose en France

Recommandations de la Société de Pneumologie de Langue Française sur la prise en charge de la tuberculose en France Recommandations de la Société de Pneumologie de Langue Française sur la prise en charge de la tuberculose en France Conférence d experts texte court Société de Pneumologie de Langue Française La Société

Plus en détail

Le RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire

Le RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire Le RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire Dr Florence Parent Service de Pneumologie et Soins Intensifs de Pneumologie Hôpital Bicêtre, AP-HP Inserm U999. Université Paris-Sud Traitement anticoagulant

Plus en détail

313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013

313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013 313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013 SOMMAIRE 1 - La vaccination, comment ça marche? 3, 4 et 5 2 - Les vaccins détériorent-ils LA protection naturelle contre les maladies? 6 3 - Avec autant de vaccins,

Plus en détail

Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012

Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012 Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab

Plus en détail

Otite Moyenne Aiguë. Origine bactérienne dans 70 % des cas. Première infection bactérienne tous âges confondus

Otite Moyenne Aiguë. Origine bactérienne dans 70 % des cas. Première infection bactérienne tous âges confondus Otite Moyenne Aiguë OMA / modèle Origine bactérienne dans 70 % des cas Première infection bactérienne tous âges confondus Efficacité prouvée des antibiotiques Une des première cause d utilisation des antibiotiques

Plus en détail

4eme réunion régionale des référents en antibiothérapie des établissements de Haute-Normandie

4eme réunion régionale des référents en antibiothérapie des établissements de Haute-Normandie 4eme réunion régionale des référents en antibiothérapie des établissements de Haute-Normandie Infection pulmonaire du sujet âgé A. Barrel CH Darnetal Omedit Rouen 20 juin 2013 Cas clinique Mme H. Patiente

Plus en détail

Maladies neuromusculaires

Maladies neuromusculaires Ministère de la Santé et des Solidarités Direction Générale de la Santé Informations et conseils Maladies neuromusculaires Lisez attentivement ce document et conservez-le soigneusement avec la carte de

Plus en détail

Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa

Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa Au titre de son initiative de transparence, le CEPMB publie les résultats des examens des prix des nouveaux médicaments brevetés effectués par les membres

Plus en détail

Revue de la littérature

Revue de la littérature Résultats à long terme des anévrysmes traités Revue de la littérature Cours de DES de neurochirurgie Inter-région Rhône-Alpes / Auvergne Vendredi 22/04/11 Méthode (1): sélection bibliographique en fonction

Plus en détail

MINISTERE DE LA SANTE, DE LA FAMILLE ET DES PERSONNES HANDICAPEES

MINISTERE DE LA SANTE, DE LA FAMILLE ET DES PERSONNES HANDICAPEES MINISTERE DE LA SANTE, DE LA FAMILLE ET DES PERSONNES HANDICAPEES Conduite à tenir pour la prise en charge des personnes présentant un syndrome ou une suspicion de syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS)

Plus en détail