SYNTHÈSE DE LA RENCONTRE ANNUELLE

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "SYNTHÈSE DE LA RENCONTRE ANNUELLE"

Transcription

1 SYNTHÈSE DE LA RENCONTRE ANNUELLE DU RÉSEAU DES ANIMATEURS AGRI - PHYTO Mardi 16 juin 2015 La Tour du Pin (38) Association Rivière Rhône Alpes > 7 rue Alphonse Terray > Grenoble Tél. : > Mél : arra@riviererhonealpes.org > Site :

2 PARTICIPANTS Frédéric AUGIER Animateur agricole SMAGA (69) David CINIER Animateur captages prioritaires SMABB (38) Héloïse GRIMBERT Chargée de mission pollution diffuse SBVR (01) Marie-Pénélope GUILLET Animatrice agricole SYMASOL (74) Justine LAGREVOL Animatrice agricole SIMA Coise (42) Frédéric MARTEIL Animateur agricole SYMILAV (42) Thibaud PANDELAKIS Animateur agricole SM2V (01) Alice PATISSIER Animatrice agricole Syndicat des Rivières du Beaujolais (69) Charlotte PENEL Animatrice captage prioritaire Syndicat de Rivière des 4 Vallées (38) Karen REGRAGUI Animatrice agricole EPTB Saône et Doubs (69) Cécile EINHORN Chargée de mission Rivière Rhône Alpes (38) Nicolas VALÉ Chargé de mission Rivière Rhône Alpes (38) CONTEXTE ET OBJECTIFS L ARRA a formalisé la mise en place d un réseau professionnel dédié aux questions de qualité de l eau en lien avec le monde agricole depuis Le réseau se regroupe une fois par an avec l objectif de la mutualisation des expériences et de la poursuite des échanges. Lors de la dernière rencontre les thématiques des mesures agroenvironnementales territorialisées et de l agroforesterie avaient été abordées. CONTENU Après un tour de table des actualités de chacun sur son territoire, Frédéric Marteil a présenté les actions menées par le SYMILAV autour : de la restauration des milieux aquatiques en zone agricole, de l apport de l agroforesterie, du rôle des zones humides en terrains agricoles. L après-midi la station expérimentale Arvalis du Centre Régional d Expérimentation Agricole (CREAS) nous a accueillis pour une visite de site, sur les thématiques suivantes : Le suivi de la qualité de l eau, de l infiltration dans les sols, des modalités de transferts des nitrates et des phytosanitaires, de la maitrise de ces transferts, etc. Les comparaisons de techniques culturales : semis direct, sans labour, etc. La comparaison de variétés, d engrais azotés, etc. ARRA Compte rendu réunion réseau animateurs agri-phyto 16/06/2015 2/10

3 TOUR DE TABLE ET ACTUALITÉS Frédéric MARTEIL : 1 ère année très satisfaisante de PAEC 1, le syndicat travaille en lien avec l Agence de l eau Loire Bretagne sur une approche protection des zones humides. David CINIER : sur le bassin de la Bourbre finalisation en cours de plusieurs diagnostics hydrogéologiques, beaucoup de dossiers de maîtrise foncière en cours, 2 PAEC sur le bassin. Globalement sur le territoire, l adhésion des exploitants est en deçà de ce qui était envisagé sauf sur les captages où des MAET avaient précédemment été engagées. Charlotte PENEL : responsable du montage de programmes d action sur des sites de captages prioritaires. Le syndicat des 4 vallées porte aussi un PAEC et mène les actions de concertation autour de ces thématiques. Marie-Pénélope GUILLET : Le syndicat du sud-ouest Lémanique ne porte pas de PAEC mais en anime. Des PAEC ont été retenus sur des problématiques zones humides mais non phytosanitaires. Une nouvelle demande pour complément va être redéposée courant septembre Héloïse GRIMBERT : Le syndicat est en charge de l animation des PAEC sur le bassin versant. Les objectifs de contractualisation que le syndicat s était fixés sont dépassés. Une charte «Zéro pesticides» va prochainement être présentée à toutes les communes du territoire. Justine LAGREVOL : Le syndicat de la Coise est très satisfait du type de mesures sur lesquelles se sont engagés les agriculteurs. Il y a de gros enjeux de communication sur le territoire, notamment autour du FEADER 2. Karen REGRAGUI : la première campagne d animation des captages Grenelle a été assez simple hormis sur les ZIP 3 à enjeux qualité de l eau. L administration des PAEC est très énergivore. Les relations avec la chambre d agriculture du Rhône sont stoppées. Alice PATISSER : Le syndicat souhaite déposer un dossier PAEC courant septembre. 80 communes sont sur des zones éligibles. La chambre d agriculture est bien implantée dans le domaine viticole, le syndicat va être dans l obligation de travailler avec elle. Frédéric AUGIER : Le syndicat du Garon est porteur de MAEC 4 dont 3 phytosanitaires et le reste en biodiversité. Une 2 ème campagne va avoir lieu. La chambre de l agriculture doit se positionner. Le syndicat se pose des questions concernant le financement de ces actions pour lesquels ils ont des informations contradictoires. À l issue du tour de table, l ensemble des membres décident de poursuivre les rencontres au rythme actuel d une fois par an avec le maintien de visites de terrain. 1 PAEC : Programme Agro-Environnemental et Climatique 2 FEADER : Fonds Européen Agricole pour le Développement Rural 3 ZIP : Zones d Intérêt Prioritaire 4 MAEC : Mesures Agro Environnementales et Climatiques ARRA Compte rendu réunion réseau animateurs agri-phyto 16/06/2015 3/10

4 LUTTE CONTRE LES POLLUTIONS DIFFUSES D ORIGINE AGRICOLE AU SYMILAV Frédéric MARTEIL Syndicat Mixte du bassin versant du Lignon, de l Anzon et du Vizézy (42) L APPORT DES ZONES HUMIDES EN ZONE D ÉLEVAGE Pour enrayer la dégradation des zones humides, il est utile d aborder le problème selon un angle économique. Mais l exercice est délicat car l on peut faire dire ce que l on veut aux chiffres. Il faut donc être méthodique, analyser les résultats de manière critique et les partager. S intéresser aux zones humides implique de prendre en considération le jeu d acteurs en action. 1. COMPARAISON DE DEUX SYSTÈMES D EXPLOITATION DANS LE LIMOUSIN L objectif de cette comparaison était de démontrer à deux exploitants l apport d une zone humide dans un système d élevage : Exploitation n 1 : 100 hectares dont 16 de zones humides et un cheptel de 64 vaches en pâturage extensif. Son produit brut s élève à par an, avec des charges relativement faibles sur les postes engrais et les amendements. Les frais de mise en place de clôtures sont assez élevés. Exploitation n 2 : 100 hectares et aucune zone humide sur cette exploitation et un cheptel de 68 vaches. Son produit brut est de par an, avec des dépenses de pour l achat d intrants. L exploitant qui utilise sa zone humide dégage un Excédent Brut d Exploitation supérieur (EBE) ( ) à celui qui n en possède pas ( ) et pour qui les charges opérationnelles sont plus élevées. En année sèche, grâce aux zones humides, l exploitant n a pas besoin d acheter du fourrage. Dans ces de différence, il faut également inclure de MAE attribués à l exploitation pourvue de zones humides (soit 8 % de son EBE). Intérêt des zones humides : L agriculteur : Grâce aux zones humides, l agriculteur réduit les intrants, bénéficie de primes supplémentaires, augmente ses revenus et sécurise l alimentation de son bétail en période de sécheresse. La collectivité : elle profite des services rendus par les zones humides: protection contre les crues, biodiversité, utilisation moindre des intrants. 2. LES SERVICES RENDUS PAR LES ZONES HUMIDES Les services rendus par les zones humides sont aujourd hui largement démontrés. En plus d être économiquement rentables, elles ont de véritables atouts environnementaux. Le soutien d étiages Grâce à son effet tampon, une zone humide permet non seulement de stocker mais aussi ARRA Compte rendu réunion réseau animateurs agri-phyto 16/06/2015 4/10

5 d étaler dans le temps les quantités d eau relarguées. Un déstockage d eau par EDF coûte à une commune environ 80 à 150 /ha/an (soit 4 à 15 centimes/m 3 ). Écrêtement des crues Durant les saisons d inondation (automne, hiver, printemps), la tourbe stocke et relargue les pluies de manière plus étalée dans le temps. La somme des volumes stockés puis relâchés progressivement représente 800 litres par m² sur la saison. Économies de fourrages Grâce aux zones humides, les agriculteurs font des économies de fourrage d environ 600 à 700 /ha/an. Production d eau potable La production d eau de source dans une usine dépend de la qualité de l eau d un bassin versant (absence d intrants) et en particulier de la capacité épuratoire des zones humides. Les coûts évités des dommages qui seraient causés par les crues atteignent en moyenne 100 à 260 /ha de zones humides et par an. Protection de l eau potable Le pâturage extensif des tourbes évite le recours aux intrants (engrais et pesticides) ce qui permet de supprimer d éventuels traitements de potabilisation. Biodiversité Présentée comme un patrimoine naturel précieux, les habitants consentent à payer de 4 à 5 /ha/an pour la préservation des tourbières sur leur territoire. Captage du CO² Sur 50 cm de profondeur la tourbe contient 375 tonnes de carbone par ha, soit tonnes de CO²/ha. Si ces zones humides disparaissaient, tonnes de CO²/ha seraient émises dans l atmosphère. Or, une tonne de CO² se négocie actuellement entre 20 et 25 sur les marchés. Une tourbière met ans à constituer ce stock! Une zone humide sur le territoire du SYMILAV L AGROFORESTERIE Définition : «L agroforesterie désigne l association d arbres et de cultures ou d animaux sur une même parcelle agricole, en bordure ou en plein champ. Il existe une grande diversité d aménagements agroforestiers : alignements intra-parcellaires, haies, arbres émondés (trognes), arbres isolés, bords de cours d eau (ripisylves) Ces pratiques comprennent les systèmes agrosylvicoles mais aussi sylvopastoraux, agrosylvopastoraux ou prévergers (animaux pâturant sous des vergers de fruitiers)» (Cf. ARRA Compte rendu réunion réseau animateurs agri-phyto 16/06/2015 5/10

6 L agroforesterie permet d améliorer les capacités de production, d augmenter le potentiel énergétique, de diminuer les intrants et de diversifier les produits et les revenus. Les arbres fournissent des services indispensables à l agriculture et constituent un capital sur pied qui donne de la valeur à une exploitation. dédiée à la production agricole animale (on parle de sylvo-pastoralisme) ou végétale (agrosylviculture). L espace entre les rangées d arbres est compris entre 25 et 40 mètres pour une densité moyenne de 50 arbres par hectare. Sur le territoire de la Coise et du Forez, des rangées d arbres sont plantées dans la surface Représentation schématique de l agroforesterie et son impact sur le milieu (source : SYMILAV) ARRA Compte rendu réunion réseau animateurs agri-phyto 16/06/2015 6/10

7 Les atouts de l agroforesterie sont importants : Sur l eau : L agroforesterie permet l augmentation de la réserve utile et la limitation de la pollution des nappes et des cours d eau, par le travail des racines dans les profondeurs du sol. Sur le sol : La biomasse des arbres, riche en lignine, contribue à former un humus stable et fertile. Sur le climat : Les arbres protègent les cultures et les animaux des excès climatiques (chaud, froid, vent, tempêtes, inondations, sécheresse). Ils stockent du carbone et réduisent les émissions de gaz à effet de serre. Sur la biodiversité : Les arbres forment la structure d habitats utiles qui abritent une faune et une flore diversifiée (pollinisation, lutte contre les ravageurs). Ils créent des ressources et maintiennent une trame écologique, évolutive dans l espace et dans le temps. Coût et temps passé : Le prix d un jeune arbre agroforestier est compris entre 15 et 20 (conseil et suivi, fournitures de plantation). Les essences fruitières ont un coût plus élevé. Pour 50 arbres à l hectare il faut compter une demi-journée de préparation et une journée à 3 ou 4 personnes pour la plantation avec paillage, protections, etc. La taille des arbres demandera quelques heures par an les premières années puis une demi-journée par an et par hectare pour des élagages d arbres déjà formés. Les premiers résultats sont vraiment visibles 3 à 4 ans après la plantation. Le SYMILAV a prévu de se lancer dans l agroforesterie en Les exploitants participant au programme percevront une prime à l intéressement. LES AMÉNAGEMENTS DE COURS D EAU EN MILIEU AGRICOLE L EXEMPLE DU PETIT LIGNON À NOIRÉTABLE En vue d améliorer la qualité de l eau et pour une meilleur gestion et protection de l habitat (eau de baignade et écrevisses), le SYMILAV procède à des travaux de restauration du petit Lignon à Noirétable : restauration et entretien de la ripisylve, stabilisation des berges, mise en défens du cours d eau, aménagement d abreuvoirs et aménagement de passages à gué. Exemples d aménagement en sylvo-pastoralisme à gauche et en agro-sylviculture à droite. (source : SYMILAV) ARRA Compte rendu réunion réseau animateurs agri-phyto 16/06/2015 7/10

8 Des diagnostics d exploitations agricoles, des MAET et des suivis d exploitations agricoles sont déjà en cours sur ce territoire. Lorsque le syndicat mène des opérations de ce type sur un secteur, il est indispensable qu il ait une bonne connaissance du terrain avant de rencontrer l exploitant. Le travail en interne doit être fait en concertation entre l équipe technique et l animateur agricole. Enfin, lors de la rencontre avec l exploitant, l animateur agricole et le technicien de rivière doivent tous deux être présents. ARRA Compte rendu réunion réseau animateurs agri-phyto 16/06/2015 8/10

9 CENTRE RÉGIONAL D EXPÉRIMENTATION AGRICOLE CREAS Le Centre Régional d Expérimentation Agricole (CREAS) a été créé en 1975 en même temps que l aéroport Lyon-Saint-Exupéry, à l initiative des chambres d agriculture des départements de l Ain, de l Isère, du Rhône et de 2 coopératives. La structure a pour objectif de promouvoir l expérimentation de grandes cultures. C est aussi un lieu d information et de formation. Le CREAS gère 90 hectares de terrain et travaille en partenariat avec deux instituts techniques : Arvalis institut du végétal (3 ingénieurs et 3 techniciens sur le site accompagnés de renforts estivaux) et Terres Inovia (institut des oléagineux et protéagineux anciennement CETIOM) avec qui est signé un partenariat qui confie l expérimentation sur soja, colza et tournesol. La détermination des axes d expérimentation se fait lors d une commission régionale qui se réunit deux fois par an où Arvalis présente ses projets et ses programmes. Ces commissions participent à une réunion nationale de synthèse de travail effectué dans chaque région. L essai est situé sur un sol dit de gravier, typique en Rhône-Alpes (alluvions fluvioglaciaires) dans un contexte agricole de grandes cultures irriguées. Trois espaces distincts sont installés sur une surface de 3 hectares : un espace de rotation maïs, pois, blé, tournesol, un espace en monoculture maïs, un espace en jachère. Le dispositif de mesure, appelé lysimètre, calcule la lame d eau drainante et permet de prélever des échantillons pour «caractériser les transferts de nitrates et les résidus phytosanitaires à l échelle de la parcelle» (Délégation régionale Rhône Alpes, Lyon Saint- Exupéry). Au total, 26 casiers lysimétriques sont implantés sur le site à 1,40 mètre de profondeur, sous la rhizosphère. VISITE DE SITE SITE N 1 Des stations de mesure de produits phytosanitaires et nitrates en sortie de parcelle. Cet essai existe depuis 2007 et vise à évaluer la capacité du sol à retenir les éléments. Réceptacle du lysimètre lors du chantier de pose (Source : Chambres d agricultures) Le coût de l investissement est environ de auxquels s ajoutent annuels d analyses sur échantillonnages. L essai est financé à 50 % par l Agence de l eau, à ARRA Compte rendu réunion réseau animateurs agri-phyto 16/06/2015 9/10

10 30 % par la Région Rhône-Alpes et le reste par Arvalis. Les analyses sont faites selon un historique avec la recherche de produits utilisés ou qui l ont été. Bien que les premiers résultats soient assez significatifs, il reste encore de nombreuses interrogations concernant ces techniques, l apport d azote, le type de couvert végétal, les variétés, Les résultats permettent de mieux comprendre les phénomènes de transfert d eau vers la nappe souterraine dans des cadres de cultures similaires à ceux que l on peut trouver dans la région. Cela permet de proposer aux agriculteurs l utilisation d itinéraires techniques pour la préservation de la qualité de l eau, pour garantir la qualité de leurs produits et pour assurer la rentabilité de leur exploitation. Pour en savoir plus : SITE N 2 Sur le second site sont testés et mis au point des techniques de semis directs sous couverts végétal vivant sans labour, en comparaison avec des techniques de labours. Les cultures testées sont celles qui sont les plus représentées dans la région. Quatre bandes de 450 m sont installées et fonctionnent en rotation : deux bandes de maïs, une de blé, et une de tournesol. Les résultats de semis direct sous couvert sont plutôt probants. Par exemple, la comparaison entre les deux semences de blé montre un nombre de brins supérieurs sur la parcelle semée en direct sur chaume de tournesol par rapport à la parcelle semée sur labour. Arvalis déploie sur ses essais une batterie de tests pour évaluer et comparer la qualité des récoltes. Il est prévu prochainement des mesures de protéines sur les blés. ARRA Compte rendu réunion réseau animateurs agri-phyto 16/06/ /10

Mesures Agro-Environnementales

Mesures Agro-Environnementales 02 Mesures Agro-Environnementales LES DISPOSITIFS MAE Dispositif A C est le dispositif national de la Prime Herbagère Agro-Environnementale (PHAE 2). Dispositif B : C est le dispositif de la Mesure Agro

Plus en détail

DIAGNOSTIC DE DURABILITE du Réseau Agriculture Durable

DIAGNOSTIC DE DURABILITE du Réseau Agriculture Durable DIAGNOSTIC DE DURABILITE du Réseau Agriculture Durable Guide de l utilisateur 2010 Si vous êtes amenés à utiliser cet outil, merci d indiquer votre source. Réseau agriculture durable - Inpact Bretagne

Plus en détail

«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas»

«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» Énergie «L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» La première fonction de l agriculture est la valorisation de l énergie solaire en énergie alimentaire par la photosynthèse.

Plus en détail

L assurance récoltes en France

L assurance récoltes en France P A C I F I C A - A S S U R A N C E S D O M M A G E S L assurance récoltes en France Colloque FARM - Pluriagri du 18 décembre 2012 Thierry LANGRENEY Directeur général de Pacifica L assurance, un outil

Plus en détail

RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU RAD Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010

RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU RAD Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010 Les essentiels du Réseau agriculture durable RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010 Réseau d information comptable agricole du Ministère de l Agriculture,

Plus en détail

Pour la mise en place d une licence de conseil stratégique au service de l agroécologie

Pour la mise en place d une licence de conseil stratégique au service de l agroécologie Conférence de presse Arvalis, Cetiom, InVivo AgroSolutions Paris, le 25 octobre 2013 Pour la mise en place d une licence de conseil stratégique au service de l agroécologie 1- Pourquoi un partenariat?

Plus en détail

Programme Agroforesterie 2006/08. Groupe de Travail GT1

Programme Agroforesterie 2006/08. Groupe de Travail GT1 Mission DAR Année et N du projet : 2005 N 321 Programme Agroforesterie 2006/08 Groupe de Travail GT1 Outils d aide à la décision en agroforesterie Responsable de groupe : Christian Dupraz (INRA) R 1.2

Plus en détail

25/02/2013. Le SIBV de la Seiche. Commission Professionnelle Agricole (CPA) Réunion n 1 22 février 2013 Piré-sur-Seiche

25/02/2013. Le SIBV de la Seiche. Commission Professionnelle Agricole (CPA) Réunion n 1 22 février 2013 Piré-sur-Seiche Le SIBV de la Seiche Commission Professionnelle Agricole (CPA) Réunion n 1 22 février 2013 Piré-sur-Seiche 1 PROGRAMME D ACTIONS Collectivités Particuliers Gestion des eaux pluviales Actions Industriels,

Plus en détail

Fiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008

Fiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008 Fiche Technique Production Peu Développée en Languedoc-Roussillon Filière Maraichage Mais doux Septembre 2008 Rédigée par : Julien GARCIA Chambre Régionale d Agriculture du Languedoc-Roussillon Potentiel

Plus en détail

Adaptation Aux changements climatiques. Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso

Adaptation Aux changements climatiques. Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso Adaptation Aux changements climatiques Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso Sommaire Le Le contexte Notion Notion d adaptation Stratégies Stratégies et techniques d adaptation Les Les

Plus en détail

Bilan Carbone des interventions viticoles

Bilan Carbone des interventions viticoles Chambre d agriculture de Vaucluse Bilan Carbone des interventions viticoles Silvère DEVEZE Chambre d Agriculture de Vaucluse Tél : 04.90.23.65.65 fax : 04.90.23.65.40 email : accueil@vaucluse.chambagri.fr

Plus en détail

Association des. Objectifs. convivialité, réunir les habitants autour du jardinage. action sociale, action environnementale,

Association des. Objectifs. convivialité, réunir les habitants autour du jardinage. action sociale, action environnementale, Objectifs Association des convivialité, réunir les habitants autour du jardinage action sociale, création de jardins familiaux action environnementale, promouvoir un jardinage respectueux de l environnement

Plus en détail

NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis

NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis TITRE NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis Selon le règlement NOP de l USDA 205.406(a), un opérateur certifié doit transmettre chaque année à son

Plus en détail

ARRETE N 2015-DDTM-SEA-0006

ARRETE N 2015-DDTM-SEA-0006 PRÉFET DU GARD Direction Départementale des Territoires et de la Mer Fait à Nîmes, le 22 juillet 2015 Service Economie Agricole Unité Agro-Ecologie Affaire suivie par : Virginie PLANTIER 04 66 62.64.53

Plus en détail

INTRODUCTION... 2 CALENDRIER... 3 TRAVAUX DE L ANNEE 2004... 4 BUDGET REALISE 2004... 8 ANNEXES... 10

INTRODUCTION... 2 CALENDRIER... 3 TRAVAUX DE L ANNEE 2004... 4 BUDGET REALISE 2004... 8 ANNEXES... 10 Rapport d avancement des travaux de lla Commiissiion Localle de ll Eau du bassiin du Loiiret ANNÉE 2004 INTRODUCTION... 2 CALENDRIER... 3 TRAVAUX DE L ANNEE 2004... 4 BUDGET REALISE 2004... 8 ANNEXES...

Plus en détail

PAC. ce qui change. vraiment

PAC. ce qui change. vraiment PAC 2014 2020 ce qui change vraiment Dotée d un budget préservé de l ordre de 9,1 milliards par an, la nouvelle pac entrera pleinement en application en 2015 et sera le cadre commun de l agriculture européenne

Plus en détail

Le miscanthus : opportunités énergétiques à la ferme. Laurent Somer, ValBiom asbl Sankt Vith / Saint-Vith 13 juin 2014

Le miscanthus : opportunités énergétiques à la ferme. Laurent Somer, ValBiom asbl Sankt Vith / Saint-Vith 13 juin 2014 Le miscanthus : opportunités énergétiques à la ferme Laurent Somer, ValBiom asbl Sankt Vith / Saint-Vith 13 juin 2014 Plan de l exposé Pourquoi du miscanthus? Chaudières polycombustibles : aspects techniques

Plus en détail

Une nouvelle écologie des parcs et des jardins

Une nouvelle écologie des parcs et des jardins Une nouvelle écologie des parcs et des jardins Une nouvelle écologie des parcs et des jardins Patrimoine vert bordelais et politique de développement et de gestion Ecologie : grands principes et applications

Plus en détail

LES ORIENTATIONS DU 10 ème PROGRAMME D INTERVENTION DE L AGENCE DE L EAU RMC

LES ORIENTATIONS DU 10 ème PROGRAMME D INTERVENTION DE L AGENCE DE L EAU RMC LES ORIENTATIONS DU 10 ème PROGRAMME D INTERVENTION DE L AGENCE DE L EAU RMC Accroître les soutiens aux projets de territoire Budget total du 10 e programme : 3 653 M dont 3561 M pour le bassin Rhône Méditerranée,

Plus en détail

Coûts des pratiques viticoles dans le Sud-Ouest en fonction de la typologie de production. Damien AMELINE, CER France Midi-Pyrénées

Coûts des pratiques viticoles dans le Sud-Ouest en fonction de la typologie de production. Damien AMELINE, CER France Midi-Pyrénées Coûts des pratiques viticoles dans le Sud-Ouest en fonction de la typologie de production Damien AMELINE, CER France Midi-Pyrénées 10 Damien décembre Ameline 2010 (CER France Toulouse Midi-Pyrénées) Compétitivité

Plus en détail

Techniques agronomiques innovantes de la conduite du maïs fourrage

Techniques agronomiques innovantes de la conduite du maïs fourrage Techniques agronomiques innovantes de la conduite du maïs fourrage Romain LEGERE- Arvalis(station de la Jaillière Collaboration Bruno Couilleau-CA44 (Ferme de Derval) Techniques agronomiques innovantes

Plus en détail

Enjeux environnementaux prioritaires des forêts de Poitou-Charentes

Enjeux environnementaux prioritaires des forêts de Poitou-Charentes Annexe 3 Enjeux environnementaux prioritaires des forêts de Poitou-Charentes Cette annexe présente les enjeux environnementaux ayant été définis comme prioritaires en Poitou-Charentes. Une série de cartes

Plus en détail

L eau dans les documents d urbanisme. L approche des solutions environnementales de l urbanisme CAUE 40 26 mai 2011

L eau dans les documents d urbanisme. L approche des solutions environnementales de l urbanisme CAUE 40 26 mai 2011 L eau dans les documents d urbanisme L approche des solutions environnementales de l urbanisme CAUE 40 26 mai 2011 Pourquoi ce guide? Participer à «décloisonner» les services «Environnement Eau» et «Urbanisme»

Plus en détail

TCS, strip-till et semis direct

TCS, strip-till et semis direct Témoignage dethierry Lesvigne Polyculture Elevage Bovin Lait La Bernaudie 24 480 ALLES- SUR-DORDOGNE Depuis 2008, Thierry Lesvigne a choisi repenser l ensemble de son système agronomique et a arrêté définitivement

Plus en détail

LES FONDS EUROPÉENS EN PAYS DE LA LOIRE 2014-2020

LES FONDS EUROPÉENS EN PAYS DE LA LOIRE 2014-2020 LES FONDS EUROPÉENS EN PAYS DE LA LOIRE 2014-2020 CONNAÎTRE les programmes européens Pour faire face à la crise et aux grands défis de l Union européenne, ses Etats membres ont adopté en 2010 la Stratégie

Plus en détail

STRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE

STRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE STRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE JM.DEUMIER, B.LACROIX, A.BOUTHIER, JL.VERDIER, M.MANGIN Les cultures irriguées bénéficient

Plus en détail

La couverture des risques agricoles

La couverture des risques agricoles PACIFICA - ASSURANCES DOMMAGES La couverture des risques agricoles Patrick Degiovanni Directeur Général Adjoint Page 1 Marrakech, Jeudi 28 octobre 2010 Sommaire Le contexte Les risques du métier en Agriculture

Plus en détail

Vision stratégique du développement culturel, économique, environnemental et social du territoire

Vision stratégique du développement culturel, économique, environnemental et social du territoire Vision stratégique du développement culturel, économique, environnemental et social du territoire PROJET D ÉNONCÉ DE VISION STRATÉGIQUE OCTOBRE 2014 TABLE DES MATIÈRES POURQUOI UN ÉNONCÉ DE VISION STRATÉGIQUE?...

Plus en détail

La Charte. forestière. du Pilat. Un engagement collectif pour une gestion durable de la forêt

La Charte. forestière. du Pilat. Un engagement collectif pour une gestion durable de la forêt La Charte forestière du Pilat Un engagement collectif pour une gestion durable de la forêt Réalisation Jecom - RCS 493 898 043 - Avril 2011 - Imprimé sur papier issues de forêts françaises et belges gérées

Plus en détail

Qu est-ce qu un service rendu?

Qu est-ce qu un service rendu? Evaluation économique des services rendus par les écosystèmes Place des inondations Économie et politiques publiques Paris Yann Laurans info@ecowhat.fr Previrisq 2 Comment s évaluent économiquement les

Plus en détail

Formulaire d'adhésion PEFC

Formulaire d'adhésion PEFC Formulaire d'adhésion PEFC Acte d'engagement du propriétaire dans la démarche de certification par portage proposée par la Coopérative Provence Forêt I Présentation La certification PEFC doit permettre

Plus en détail

Valérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015

Valérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015 Valérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015 Mise en contexte Résultats des essais du CETAB+ Méthodologie; Biomasse et facteurs de variation; Rendements en maïs et corrélations avec l azote apporté;

Plus en détail

SAGE nécessaires ( Disposition 13A-1 SDAGE Loire Bretagne)

SAGE nécessaires ( Disposition 13A-1 SDAGE Loire Bretagne) SAGE nécessaires ( Disposition 13A-1 SDAGE Loire Bretagne) L élaboration Mise en œuvre du Plan : le lancement Installation de la CLE Travaux de la commission «Marée vertes et littoral» - Flux d azote,

Plus en détail

LA TRAME VERTE ET BLEUE DU NORD-PAS DE CALAIS

LA TRAME VERTE ET BLEUE DU NORD-PAS DE CALAIS LA TRAME VERTE ET BLEUE DU NORD-PAS DE CALAIS 1 Les objectifs opérationnels de la Trame Verte et Bleue Connaître Observer Evaluer Restaurer, préserver et gérer les cœurs de nature La Trame Verte et Bleue,

Plus en détail

Annexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020

Annexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020 Annexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020 CADRE REGLEMENTAIRE : FEADER, PROGRAMME DE DEVELOPPEMENT RURAL 2014 2020, REGION LIMOUSIN Cette annexe

Plus en détail

Une gamme d outils qui s étoffe

Une gamme d outils qui s étoffe Une gamme d outils qui s étoffe 1 Une gamme d outils à la disposition de tous Tous ces outils sont disponibles sur www.cetiom.fr Gratuits et sans inscription Nouveautés : les 2 premières applications smartphone

Plus en détail

Constitution d'un réseau écologique sur la commune de Muttersholtz

Constitution d'un réseau écologique sur la commune de Muttersholtz Identité du territoire Structure porteuse de l'action : Ligue pour la Protection des Oiseau Alsace Entrée Thématique Agriculture Espèces et habitats naturels Milieu aquatiques et humides Localisation :

Plus en détail

Sdage, état d avancement de la révision et prochaine consultation

Sdage, état d avancement de la révision et prochaine consultation Sdage, état d avancement de la révision et prochaine consultation Ingrid HERMITEAU Agence de l eau Loire-Bretagne Cap sur la révision du Sdage 1. Rappel : qu est-ce que le Sdage? 2. Les éléments de réflexion

Plus en détail

Action 5.1.1 : Mettre en place des outils d accompagnement technico-économique en matière de pratiques culturales

Action 5.1.1 : Mettre en place des outils d accompagnement technico-économique en matière de pratiques culturales Orientation stratégique n 5 : Innover pour amélior er la productivité des exploitations Objectif opérationnel 5.1 : acquérir des références technico-économiques sur des techniques alternatives Action 5.1.1

Plus en détail

4. Verdissement, une PAC plus verte

4. Verdissement, une PAC plus verte 4. Verdissement, une PAC plus verte Aides Couplées JA Verdissement Paiement redistributif DPB Trois obligations à respecter : 1. Diversification des assolements 2. Maintien des prairies permanentes 3.

Plus en détail

RECUEIL DES ACTES ADMINISTRATIFS

RECUEIL DES ACTES ADMINISTRATIFS PREFET DE L YONNE RECUEIL DES ACTES ADMINISTRATIFS spécial n 10/2013 du 10 juin 2013 Adresse de la préfecture : 1, Place de la Préfecture - CS 80119-89016 Auxerre cedex tél. standard 03.86.72.79.89 Adresse

Plus en détail

Partie V Convention d assurance des cultures légumières

Partie V Convention d assurance des cultures légumières Partie V Convention d assurance des cultures légumières Légumes de transformation Moyenne du rendement agricole A. Dispositions générales La présente partie s applique à la betterave à sucre, à la betterave

Plus en détail

Jeu de l ingénierie écologique. mémo du joueur

Jeu de l ingénierie écologique. mémo du joueur Jeu de l ingénierie écologique mémo du joueur Contexte Qu est-ce que l ingénierie écologique? L ingénierie écologique peut être définie par une action par et/ou pour le vivant. Plus précisément, le vivant

Plus en détail

Caisse Nationale de Mutualité Agricole

Caisse Nationale de Mutualité Agricole Séminaire national sur la vulgarisation, l appui-conseil et les bonnes pratiques agricoles Le rôle des Assurances Agricole dans le développement de la politique du renouveau Agricole et Rural Présentation

Plus en détail

Agriculture paysanne durable: innovations et meilleures pratiques aux fins de transposition et de reproduction à plus grande échelle

Agriculture paysanne durable: innovations et meilleures pratiques aux fins de transposition et de reproduction à plus grande échelle Méthodes innovantes d amélioration sylvo-pastorale: Le cas du projet de lutte participative contre la désertification et de réduction de la pauvreté dans les écosystèmes arides et semi-arides des hauts

Plus en détail

OUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneux et autres végétaux indésirables Sous-mesure :

OUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneux et autres végétaux indésirables Sous-mesure : OUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneu et autres végétau indésirables Sous-mesure : 10.1 Paiements au titre d'engagements agroenvironnementau et climatiques

Plus en détail

Développement durable au Bas-Saint-Laurent

Développement durable au Bas-Saint-Laurent Développement durable au Bas-Saint-Laurent Mai 2008 TABLE DES MATIÈRES 1. MISE EN CONTEXTE...3 2. GRILLE D ANALYSE DES PROJETS AVANT LEUR MISE EN ŒUVRE...5 Comment utiliser la grille?...6 Objectif 1 Viser

Plus en détail

Note récapitulative : culture de Taillis à très Courte Rotation (TtCR) de saules

Note récapitulative : culture de Taillis à très Courte Rotation (TtCR) de saules Convention de production et de vente de TtCR de saule Note récapitulative : culture de Taillis à très Courte Rotation (TtCR) de saules 1. Généralités Le taillis à très courte rotation (TtCR) est une culture

Plus en détail

Pascale Biron, Thomas Buffin-Bélanger, Marie Larocque, Joanna Eyquem, Claude Desjarlais

Pascale Biron, Thomas Buffin-Bélanger, Marie Larocque, Joanna Eyquem, Claude Desjarlais Pascale Biron, Thomas Buffin-Bélanger, Marie Larocque, Joanna Eyquem, Claude Desjarlais Bandes riveraines restreintes, beaucoup de stabilisation Rivière Yamachiche: champ de maïs sans bande riveraine Rivière

Plus en détail

pour un pacte écologique local : questions aux futurs élus locaux

pour un pacte écologique local : questions aux futurs élus locaux pour un pacte écologique local : questions aux futurs élus locaux Préserver la biodiversité dans la commune La commune dispose-t-elle d'un inventaire du patrimoine écologique local? Quelle part de budget

Plus en détail

Avis bureau Création d une zone commerciale Sainte Anne sur Brivet

Avis bureau Création d une zone commerciale Sainte Anne sur Brivet Déplacement et agrandissement de la zone commerciale de Pont Château. 30ha Le projet et le SAGE Qualité des milieux Article 1 protection des zones humides Article 2 niveau de compensation Article 5 création

Plus en détail

Journées portes ouvertes ECOPHYTO 18-11-2013

Journées portes ouvertes ECOPHYTO 18-11-2013 Journées portes ouvertes ECOPHYTO 18-11-2013 Principe: Favoriser la biodiversité fonctionnelle sur l exploitation -Impact très souvent sous estimé de la faune auxiliaire naturellement présente -Importance

Plus en détail

Les ouvriers du sol et les pratiques agricoles de conservation

Les ouvriers du sol et les pratiques agricoles de conservation COLLOQUE EN AGROENVIRONNEMENT «Des outils d intervention à notre échelle» Le 23 février 2005, Drummondville Les ouvriers du sol et les pratiques agricoles de conservation Odette MÉNARD, M.Sc. Génie, ing.,

Plus en détail

Moyens de production. Engrais

Moyens de production. Engrais Engrais Moyens de production Lors de la campagne 2012-2013, les tonnages d engrais livrés diminuent de près de 17% en et représentent à peine plus de 1% des livraisons françaises. Cette évolution est principalement

Plus en détail

Schéma d Aménagement et de Gestion des Eaux de l Odet

Schéma d Aménagement et de Gestion des Eaux de l Odet Commission Locale de l Eau SAGE de l Odet Schéma d Aménagement et de Gestion des Eaux de l Odet III- Enjeux, objectifs et actions 2. Plan d Aménagement et de Gestion des Eaux Novembre 2005 Le Schéma d

Plus en détail

UNE MEILLEURE CONNAISSANCE

UNE MEILLEURE CONNAISSANCE CONCEVOIR ET GÉRER DES AMAS DE FUMIER SOLIDE AU CHAMP UNE MEILLEURE CONNAISSANCE pour un meilleur environnement En 2002, le Règlement sur les exploitations agricoles (REA) prévoyait l échéance des dispositions

Plus en détail

Revenu agricole 2013 : une année délicate pour les productions céréalières

Revenu agricole 2013 : une année délicate pour les productions céréalières Agreste Champagne-Ardenne n 4 - Juillet 2015 Réseau d information comptable agricole En 2013, le Résultat Courant Avant Impôt (RCAI) moyen des exploitations agricoles champardennaises couvertes par le

Plus en détail

SERRICULTURE MARAÎCHÈRE BIOLOGIQUE QUE SE PASSE-T-IL DANS LE SOL? Par : ANDRÉ CARRIER, agronome LE SOL IDÉAL?! Les livres de pédologie parlent souvent en ces termes : 45% de matières minérales; 5% de matière

Plus en détail

Reussir. le passage au non-labour. Qu'est-ce que le non-labour? Il y a plusieurs types de non-labour... Reussir

Reussir. le passage au non-labour. Qu'est-ce que le non-labour? Il y a plusieurs types de non-labour... Reussir le passage au Qu'est-ce que le? C'est travailler le sol sans retournement (sans labour) sur tout ou partie des parcelles de l'exploitation, avec pour objectif à priori l'abandon définitif de la charrue.

Plus en détail

Bureau de la Commission Locale de l Eau. Olivet le 25 novembre 2014

Bureau de la Commission Locale de l Eau. Olivet le 25 novembre 2014 Bureau de la Commission Locale de l Eau Olivet le 25 novembre 2014 1. Portage du contrat territorial 2. Projets 2015 / Formations 2015 3. Points divers Ordre du jour 1. Portage du contrat territorial Portage

Plus en détail

La filière noisette : un développement des surfaces est encore possible d après Unicoque.

La filière noisette : un développement des surfaces est encore possible d après Unicoque. La filière noisette : un développement des surfaces est encore possible d après Unicoque. Cette action de diffusion est cofinancée par l Union européenne avec les Fonds Européen Agricole pour le Développement

Plus en détail

Séminaire du 17 octobre 2014 «La gestion des milieux aquatiques dans la loi MAPTAM et le SAGE : quels enjeux pour la Baie de Saint Brieuc?

Séminaire du 17 octobre 2014 «La gestion des milieux aquatiques dans la loi MAPTAM et le SAGE : quels enjeux pour la Baie de Saint Brieuc? Séminaire du 17 octobre 2014 «La gestion des milieux aquatiques dans la loi MAPTAM et le SAGE : quels enjeux pour la Baie de Saint Brieuc?» Le Schéma d Aménagement et de Gestion des Eaux (SAGE) de la baie

Plus en détail

Taillis à courte ou très courte rotation (TTCR) : gestion des pratiques d implantation

Taillis à courte ou très courte rotation (TTCR) : gestion des pratiques d implantation PRATIQUES N 12 Taillis à courte ou très courte rotation (TTCR) : gestion des pratiques d implantation Définition générale de la pratique TTRC de saule Les taillis à courte ou très courte rotation (TCR

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE. Organisateur. Contact. Carolina Cardoso cardoso@bee- life.eu Chargée de communication + 32 (0)10 47 34 16 + 32 496 87 46 85

DOSSIER DE PRESSE. Organisateur. Contact. Carolina Cardoso cardoso@bee- life.eu Chargée de communication + 32 (0)10 47 34 16 + 32 496 87 46 85 DOSSIER DE PRESSE Organisateur CARI asbl Place Croix du Sud, 4 1348 Louvain la Neuve +32 (0)10 47 34 16 www.cari.be Contact Carolina Cardoso cardoso@bee- life.eu Chargée de communication + 32 (0)10 47

Plus en détail

Appel à projets. Implantation d un jardin partagé au sein du square Rosa Luxembourg. Angle Pajol/Riquet, Paris 18 e

Appel à projets. Implantation d un jardin partagé au sein du square Rosa Luxembourg. Angle Pajol/Riquet, Paris 18 e Appel à projets Implantation d un jardin partagé au sein du square Rosa Luxembourg. Angle Pajol/Riquet, Paris 18 e 1 1. Contexte Situé à l est du 18 e arrondissement, à la frontière avec le 19 e, Aubervilliers

Plus en détail

CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE

CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE Exploiter le Potentiel de la Science, de la Technologie et de l Innovation dans les chaînes Agro-alimentaires en Afrique : Créer emplois et richesse

Plus en détail

Grandes cultures Engrais liquides ou granulaires?

Grandes cultures Engrais liquides ou granulaires? Grandes cultures Engrais liquides ou granulaires? Louis Robert, agronome, M. Sc. Conseiller régional en grandes cultures Même s ils ne sont pas nouveaux sur le marché, les engrais de démarrage liquides

Plus en détail

Cadre stratégique pour l agriculture du Canada Programmes d intendance environnementale

Cadre stratégique pour l agriculture du Canada Programmes d intendance environnementale Agriculture and Agri-Food Canada Agriculture et Agroalimentaire Canada Cadre stratégique pour l agriculture du Canada Programmes d intendance environnementale Les initiatives environnementales Eau Nutriments,

Plus en détail

Rotations dans la culture de pomme de terre : bilans humiques et logiciel de calcul

Rotations dans la culture de pomme de terre : bilans humiques et logiciel de calcul Colloque sur la pomme de terre Une production à protéger 13 novembre 2009, Québec Rotations dans la culture de pomme de terre : bilans humiques et logiciel de calcul Marc F. CLÉMENT., agronome, conseiller

Plus en détail

Fiche Technique. sur l itinéraire de fertilization de la Pomme de terre. (Solanum tuberosum L.) au Cameroon

Fiche Technique. sur l itinéraire de fertilization de la Pomme de terre. (Solanum tuberosum L.) au Cameroon Fiche Technique sur l itinéraire de fertilization de la Pomme de terre (Solanum tuberosum L.) au Cameroon I. JUSTIFICATION La pomme de terre est une culture importante qui participe à la sécurité alimentaire

Plus en détail

DE LA STRATEGIE LEADER. Appel d offres Novembre 2014

DE LA STRATEGIE LEADER. Appel d offres Novembre 2014 CAHIER DES CHARGES ACCOMPAGNEMENT A LA DEFINITION DE LA STRATEGIE LEADER DU PNR DE LA BRENNE Appel d offres Novembre 2014 Parc naturel régional de la Brenne Maison du Parc Le Bouchet - 36300 ROSNAY 02

Plus en détail

LA FINANCIÈRE AGRICOLE DU QUÉBEC PLAN D ACTION DE DÉVELOPPEMENT DURABLE 2013-2015

LA FINANCIÈRE AGRICOLE DU QUÉBEC PLAN D ACTION DE DÉVELOPPEMENT DURABLE 2013-2015 LA FINANCIÈRE AGRICOLE DU QUÉBEC PLAN D ACTION DE DÉVELOPPEMENT DURABLE 2013-2015 Table des matières Message du président-directeur général 3 Orientation gouvernementale 1 : Informer, sensibiliser, éduquer,

Plus en détail

http://www.allier.chambagri.fr/fileadmin/documents_ca03/divers_pdf/bon_usage_des_prdts_phyto.pdf A vos cultures

http://www.allier.chambagri.fr/fileadmin/documents_ca03/divers_pdf/bon_usage_des_prdts_phyto.pdf A vos cultures Février 2015 Service Agronomie, Territoire, Equipement Préconisation variétés maïs 2015 Cette plaquette fait partie du Guide annuel «A vos cultures». Celui-ci regroupe, dans un ensemble cohérent et global,

Plus en détail

Fiche Technique. Septembre 2008. Production, à retenir...

Fiche Technique. Septembre 2008. Production, à retenir... Fiche Technique Filière ou production nouvelle en Languedoc-Roussillon Septembre 2008 Taillis à Courte et Très Courte Rotation Filière Bioénergies Rédigée par : Julien GARCIA Chambre Régionale d Agriculture

Plus en détail

Fertiliser le maïs autrement

Fertiliser le maïs autrement Fertiliser le maïs autrement Dans un contexte de renchérissement des ressources en azote organique et de recherche de plus d autonomie, les agriculteurs biologiques picards et leurs conseillers au sein

Plus en détail

Plan de désherbage, plan de gestion différenciée : objectifs et mise en œuvre concrète, quelles sont les actions à mettre en place par les communes?

Plan de désherbage, plan de gestion différenciée : objectifs et mise en œuvre concrète, quelles sont les actions à mettre en place par les communes? 11 décembre Arles Plan de désherbage, plan de gestion différenciée : objectifs et mise en œuvre concrète, quelles sont les actions à mettre en place par les communes? Claire LAFON Benoit DUPUY Introduction

Plus en détail

En adaptant les apports azotés aux besoins des cultures, les risques de retrouver des nitrates dans l eau sont limités.

En adaptant les apports azotés aux besoins des cultures, les risques de retrouver des nitrates dans l eau sont limités. cultures. Par exemple, des producteurs biologiques installent des bandes de phacélie en bordure de parcelles de blé ou de choux pour favoriser les auxiliaires aphidiphages (qui consomment des pucerons)

Plus en détail

D après l enquête 2011 sur les pratiques culturales, environ 230 000 ha étaient semés en semis-direct, essentiellement dans des résidus de culture.

D après l enquête 2011 sur les pratiques culturales, environ 230 000 ha étaient semés en semis-direct, essentiellement dans des résidus de culture. Sommaire De quoi parle t-on? Intérêts et points de vigilance Du concept à la technique Regards croisés De quoi parle-t-on? Le Semis-Direct sous Couverture Végétale (SDCV) consiste à associer arrêt du travail

Plus en détail

Semis direct: de l essai à la pratique

Semis direct: de l essai à la pratique Travail du sol - Semis direct 2.4.3 Semis direct: de l essai à la pratique Expériences acquises dans un système de semis direct en continu A. Chervet 1, L. Gubler 1, P. Hofer 1, C. Maurer-Troxler 1, M.

Plus en détail

DAIRYMAN aux Pays-Bas

DAIRYMAN aux Pays-Bas DAIRYMAN aux Pays-Bas Frans Aarts, Wageningen-UR 15 October 2013 Le secteur laitiers Néerlandais: Une place importante Une production intensive 65% des surfaces agricoles dédiées à la production laitière

Plus en détail

Contexte : Objectif : Expérimentation :

Contexte : Objectif : Expérimentation : Estimation de la valeur fertilisante de digestats issus de la biométhanisation. Résultat de 3 années d expérimentation en culture de maïs (2009 à 2011). (JFr. Oost 1, Marc De Toffoli 2 ) 1 Centre pilote

Plus en détail

Sommaire : Association plaine du Saulce Assemblée générale 16 juin 2010 P a g e 2

Sommaire : Association plaine du Saulce Assemblée générale 16 juin 2010 P a g e 2 Sommaire : I. Rapport moral :...3 II. Les actions d animation :...4 III. Présentation de la cellule d animation :...6 IV. Bilan de l animation 2009 :...8 V. Bilan technique 2009 :... 12 VI. Bilan financier

Plus en détail

Un expérience pluridisciplinaire de l intensification écologique en Agriculture Familiale

Un expérience pluridisciplinaire de l intensification écologique en Agriculture Familiale Le développement du semis-direct sous couverture végétale pour les agriculteurs des exploitations familiales des biomes Cerrados (2005-2009) et Amazonia (2008-2013) Un expérience pluridisciplinaire de

Plus en détail

Comment concevoir son lit biologique

Comment concevoir son lit biologique santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique

Plus en détail

Atelier Environnement Préparatoire au Projet d Aménagement et de Développement Durable. S e p t e m b r e 2 0 0 8

Atelier Environnement Préparatoire au Projet d Aménagement et de Développement Durable. S e p t e m b r e 2 0 0 8 Atelier Environnement Préparatoire au Projet d Aménagement et de Développement Durable S e p t e m b r e 2 0 0 8 Le PADD : un Projet Politique Le PADD : un Projet Politique L e S C O T, u n o u t i l a

Plus en détail

LGV SEA : Un projet pas comme les autres. Par Aurélien NEAU LE MAGAZINE D INFORMATION NUMERO 1 / MAI 2013. Environnement Page 8.

LGV SEA : Un projet pas comme les autres. Par Aurélien NEAU LE MAGAZINE D INFORMATION NUMERO 1 / MAI 2013. Environnement Page 8. LE MAGAZINE D INFORMATION NUMERO 1 / MAI 2013 LGV SEA : Un projet pas comme les autres Par Aurélien NEAU Environnement Page 8 Emploi Page 5 Travaux Page 10 SOMMAIRE Le magazine d information de la LGV

Plus en détail

Détail des cultures de l'exploitation en 2007

Détail des cultures de l'exploitation en 2007 République et Canton de Genève Département des finances Administration fiscale cantonale Formulaire annexe à la déclaration 2007 servant à déterminer le revenu et la fortune professionnels de l'agriculture

Plus en détail

EPREUVE ECRITE D ADMISSIBILITE

EPREUVE ECRITE D ADMISSIBILITE CONCOURS DE RECRUTEMENT DE PROFESSEURS DE LYCEE PROFESSIONNELS AGRICOLE (PLPA) SESSION 2011 Concours : INTERNE Section : Sciences économiques et sociales et gestion Option A : Sciences économiques et sociales

Plus en détail

Guide de la documentation parcellaire

Guide de la documentation parcellaire Guide de la documentation parcellaire Agrar-Office AgroWIN Agrar-Office AgroWIN 0 200 m 0 200 m 40% 30% 20% 10% 0% Statistik gespeichert am 26.09.2007 Mittelwert 69,43 % 25% 20% 15% 10% 5% 0% Legende [%]

Plus en détail

Afin d intégrer aux mieux les enjeux auxquels le territoire est confronté, les contributions suivantes peuvent également être apportées :

Afin d intégrer aux mieux les enjeux auxquels le territoire est confronté, les contributions suivantes peuvent également être apportées : D A MIXTE D AMENAGEMENT ET DE DEVELOPPEMENT DU PAYS DE BRAY Contribution à l élaboration de la stratégie régionale du futur programme opérationnel et du futur programme de développement rural de la Haute-Normandie.

Plus en détail

Biogaz et méthanisation

Biogaz et méthanisation Note pour les comités opérationnels 10 (Energies renouvelables) et 15 (agriculture) COMITE DE LIAISON ENERGIES RENOUVELABLES (CLER) Contact: Christian Couturier, christian.couturier@solagro.asso.fr 05

Plus en détail

Le Plan Départemental de l Eau

Le Plan Départemental de l Eau de l Eau CG1/PIADDT/DAE/MD-LS-9/05/009 de l Eau Son organisation schématique va s appuyer sur : 1. Les infrastructures existantes d intérêt départemental,. Les schémas directeurs territoriaux, 3. Des maillages

Plus en détail

Compte Rendu Journée de lancement PCT Cœur de Flandre. Michel GILLOEN (Président Pays Cœur de Flandre)

Compte Rendu Journée de lancement PCT Cœur de Flandre. Michel GILLOEN (Président Pays Cœur de Flandre) Compte Rendu Journée de lancement PCT Cœur de Flandre 103 participants au matin Introduction de la journée de lancement Michel GILLOEN (Président Pays Cœur de Flandre) Le Plan Climat Territorial s intègre

Plus en détail

Le Crédit Coopératif, partenaire des entreprises et autres organisations dans leur démarche environnementale

Le Crédit Coopératif, partenaire des entreprises et autres organisations dans leur démarche environnementale Octobre 2012 Le Crédit Coopératif, partenaire des entreprises et autres organisations dans leur démarche environnementale Convaincu de l impérieuse nécessité pour les entreprises de prendre en compte les

Plus en détail

Quelles sont les conditions sociales favorisant les stratégies d'intensification écologique? Petit tour d'horizon international...

Quelles sont les conditions sociales favorisant les stratégies d'intensification écologique? Petit tour d'horizon international... Quelles sont les conditions sociales favorisant les stratégies d'intensification écologique? Petit tour d'horizon international... Véronique LUCAS Angers Entretiens de l'aei 29/10/2010 Mon regard particulier

Plus en détail

LEADER... LE PROJET DU PAYS DE SAINT-MALO : UN OBJECTIF FORT : LEADER ACCOMPAGNE : LES 4 THÉMATIQUES : POUR VOUS ACCOMPAGNER

LEADER... LE PROJET DU PAYS DE SAINT-MALO : UN OBJECTIF FORT : LEADER ACCOMPAGNE : LES 4 THÉMATIQUES : POUR VOUS ACCOMPAGNER LE DISPOSITIF DE FINANCEMENT EUROPÉEN LEADER AU SERVICE DE L ATTRACTIVITÉ TERRITORIALE LE PROJET DU PAYS DE SAINT-MALO : Le programme LEADER est un outil au service de la mise en œuvre du projet de territoire

Plus en détail

Diagnostic de la Tranche 1 du programme. de restauration de la Sienne

Diagnostic de la Tranche 1 du programme. de restauration de la Sienne Diagnostic de la Tranche 1 du programme de restauration de la Sienne Méthodologie : - Choix du secteur géographique Le chiffrage a été fait à partir d un diagnostic global de la Tranche 1 du programme

Plus en détail

CarrotAge, un logiciel pour la fouille de données agricoles

CarrotAge, un logiciel pour la fouille de données agricoles CarrotAge, un logiciel pour la fouille de données agricoles F. Le Ber (engees & loria) J.-F. Mari (loria) M. Benoît, C. Mignolet et C. Schott (inra sad) Conférence STIC et Environnement, Rouen, 19-20 juin

Plus en détail

Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal

Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal GUIDE PRATIQUE DE L'ÉLEVEUR Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal avril 2011 BRETAGNE PAYS DE LA LOIRE SOMMAIRE Paroles d éleveurs 4 Quelle place donner à l herbe Le choix d un système fourrager 8

Plus en détail

DIRECTIVE NITRATES ZONE VULNERABLE 4ème Programme d Actions

DIRECTIVE NITRATES ZONE VULNERABLE 4ème Programme d Actions DIRECTIVE NITRATES ZONE VULNERABLE 4ème Programme d Actions Novembre 2010 CHAMBRE D AGRICULTURE 47 4ème Programme d Actions ZONE VULNERABLE Quelle zone? 93 communes 2466 exploitations 94425 ha 4ème Programme

Plus en détail