CONSEIL RÉGIONAL DE PICARDIE 11, boulevard Mail Albert 1 er - BP Amiens Tél : Fax : Web :

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "CONSEIL RÉGIONAL DE PICARDIE 11, boulevard Mail Albert 1 er - BP 2616-80026 Amiens Tél : 03 22 97 37 37 Fax : 03 22 97 39 00 Web :www.cr-picardie."

Transcription

1 Pour en savoir plus ADEME PICARDIE Sophie Rouat ou Moïse Lefranc 2, rue Delpech Amiens Tél : Fax : sophie.hache-rouat@ademe.fr ou moise.lefranc@ademe.fr CONSEIL RÉGIONAL DE PICARDIE 11, boulevard Mail Albert 1 er - BP Amiens Tél : Fax : Web : MISSION RÉGIONALE COMPOSTAGE INDIVIDUEL CPIE des Pays de l'aisne Marie-Stéphanie Dechaume 33, rue des Victimes de Comportet Merlieux et Fouquerolles Tél : Fax : ms.dechaume@cpie-aisne.com CPIE Vallée de Somme Anna Paillet 32, route d Amiens Dury Tél : Fax : contact@cpie80.com CPIE des Pays de l Oise Delphine Caron Ferme du Château d Aramont BP Verberie Cedex Tél : Fax : Rcs POINTVIRGULE DÉCHETS MUNICIPAUX Agence de l Environnement et de la Maîtrise de l Énergie DÉLÉGATION RÉGIONALE PICARDIE 2, rue Delpech Amiens Tél : Fax : ademe.picardie@ademe.fr - Conseil régional de Picardie 11, boulevard Mail Albert 1 er - BP Amiens Tél : Fax :

2 Les expériences de 24 collectivités Édition 2003 CONNAÎTRE POUR AGIR Guides et cahiers techniques

3 Le compostage individuel, quels enjeux? Traiter soi-même tout ou partie des déchets végétaux de son jardin, en y ajoutant les épluchures, les déchets de légumes, de fruits, les restes de nourriture, pour les transformer en terreau - c est ce qu on appelle le compostage individuel - n est pas une pratique nouvelle. Mis en œuvre dans de bonnes conditions, en veillant notamment à une bonne aération pour accélérer le processus et éviter les odeurs, le compostage permet d avoir à bon compte un amendement organique utile pour le jardin. Cela permet d améliorer la qualité et la fertilité du sol. Pourtant, depuis plusieurs années, la pratique du compostage individuel a régressé parce que les règlements de lotissements l ont interdite et parce que les services de collecte de déchets ont pris l habitude de tout ramasser. Même en zone rurale, il n est pas rare de voir des sacs de gazon présentés à la collecte. Le compostage individuel s appuie sur les motivations et les compétences de l habitant volontaire, à la fois consommateur, producteur du déchet, opérateur du traitement, utilisateur du compost. Il assure toute la maîtrise d œuvre de la filière! Mettre en œuvre le compostage individuel c est diminuer le tonnage de déchets organiques collectés et traités, en maintenant les pratiques individuelles existantes et en incitant d autres personnes à s investir dans la démarche. Des enjeux environnementaux valoriser les déchets organiques : la poubelle des ménages pèse en moyenne 450 kg/hab/an. Elle est constituée de 57% de déchets organiques biodégradables - déchets de jardins et déchets alimentaires pour 29%, papiers et cartons pour 25%, textiles sanitaires pour 3%. Les premières évaluations réalisées en Picardie permettent de considérer que les quantités valorisées peuvent atteindre 85 kg/hab/an pour les déchets alimentaires et 120 kg/hab/an pour les déchets de jardins. limiter la quantité de déchets collectés et traités par la collectivité : en pratiquant le compostage individuel, le citoyen devient acteur de la réduction de la production de déchets. Notre société a besoin de cette réduction : chaque année notre production augmente de 1,5%! améliorer la qualité des sols : la matière organique produite sur le lieu d habitation retourne au jardin. C est une valorisation locale des déchets organiques, qui constitue un apport de matière organique sur les sols. limiter les nuisances liées à la gestion des déchets : le compostage individuel est un outil complémentaire des autres outils de collecte et de traitement des déchets notamment des déchèteries (utiles pour les déchets de jardins produits en grande quantité), et des collectes sélectives en porte-à-porte de déchets verts ou de biodéchets. Il permet de limiter des nuisances liées au transport de déchets et à leur traitement par incinération ou stockage (notamment pollution de l air). Des enjeux économiques limiter les coûts de gestion des déchets pris en charge par la collectivité : à l échelle de la Picardie, en considérant un coût de gestion des déchets de 75 /t, c est qui sont en jeu. créer de l activité locale : fabrication de composteurs, organisation de la distribution et du broyage,. PROMOUVOIR LE COMPOSTAGE

4 produire son propre amendement organique : les habitants bénéficient de leur propre production d amendements organiques pour le potager, les plantations, le paillage, Des enjeux sociaux créer de nouveaux partenariats avec des associations locales de jardinage, de protection de l environnement, des associations de quartiers. proposer une animation locale autour du compostage individuel (exposition, projets dans les écoles, dans les quartiers). Le rôle des collectivités est fondamental Cet acte individuel sera facilité s il entre dans une démarche collective, initiée et soutenue par la collectivité. La collectivité doit s assurer que toutes les conditions sont réunies pour que le particulier adopte durablement le compostage individuel. Elle a un rôle d information sur le matériel, les techniques, les pratiques, sur les résultats. Elle a un rôle d incitation puisque le compostage individuel contribue à maîtriser les tonnages produits et à mieux gérer l environnement. Elle a un rôle d accompagnement des habitants, et de mobilisation de relais, associatifs notamment. Présenter le compostage individuel comme outil complémentaire des autres outils de collecte des déchets, encourager les pratiques existantes, accompagner les habitants dans leur expérience au quotidien, permettent d améliorer la réussite des opérations. État du compostage individuel en Picardie Situation au 30 juin 2003 Taux d équipement 13,4-17,7% ,1-13,4% ,8-9,1% 310 0,5-4,8% Nombre de composteurs C.C.du Santerre C.C. de Haute Picardie C.C. de la Haute Vallée de l Oise C.A. de Saint-Quentin C.C. de l Abbevillois SIVOM de Chauny Tergnier la Fére SIROM des 7 Cantons C.C. du Val de l Ailette C.C. de la Baie de Somme Sud C.A. du soissonnais C.C. des Vallons d Anizy C.C. de Crèvecœur le Grand C.C. des Portes de la Thiérache C.C. de la Picardie Verte C.C. de la Champagne Picarde C.C. du Pays de Bray C.C. du Val de l Aisne C.C. du Plateau Picard C.C. du Pays des Sources C.C. du Pays de Thelle C.C. de la Plaine d Estrées C.C. des Pays d Oise et d Halatte C.C. de la Basse Automne C.C. du Pays de Senlis C.C. de la Région de Compiègne C.C. des Deux Vallées C.C. du Pays de la Vallée de l Aisne INDIVIDUEL EN PICARDIE I 2003

5 La mission régionale d animation et de suivi du compostage individuel en Picardie Depuis cinq ans, vingt-quatre collectivités locales de la Région sont engagées, avec le soutien de l ADEME et du Conseil régional de Picardie, dans des opérations de compostage individuel, et lui donnent une place déterminante. Le compostage individuel constitue une composante de la valorisation organique des déchets ménagers. Initiée avec les déchets verts collectés en déchèteries, la valorisation organique se développe sous diverses formes : collecte et traitement des déchets verts, des biodéchets (déchets de cuisine et déchets de jardin), compostage individuel. La réussite des premières opérations, l impulsion donnée par la circulaire Voynet du 28 avril 1998 et les objectifs repris dans les plans départementaux encouragent les collectivités pour une meilleure prise en compte de cette filière dans leur choix de gestion. Quelques indicateurs régionaux Près de composteurs ont été distribués depuis 1995, hab. ont été sensibilisés à la démarche, plus de tonnes de déchets sont valorisées chaque année par compostage individuel. La mission régionale L animation régionale mise en œuvre et financée depuis l année 2000 par l ADEME et le Conseil régional de Picardie, pour le développement du compostage individuel, a permis de créer une dynamique nouvelle. Elle répond à deux objectifs majeurs : faciliter l échange d expériences entre collectivités, améliorer la connaissance de l efficacité et de la pratique du compostage individuel. Après avoir assuré cette mission pendant deux ans, Adiouma Sow (SIROM des 7 Cantons) a passé le relais en 2002 à Marie-Stéphanie Dechaume (Union Régionale des Centres Permanents d'initiatives pour l'environnement des Pays Picards). L URCPIE s est organisée avec un correspondant dans chaque département (CPIE des Pays de l Aisne, CPIE Vallée de Somme, CPIE des Pays de l Oise) et une coordination régionale. 3 axes de travail Coordonner les opérations régionales conseil technique et méthodologique au montage de projet, à la mise en œuvre et au suivi, mise en forme et diffusion d une boîte à outils (par exemple enquête préalable, questionnaire d évaluation, guide du compostage individuel), organisation de réunions techniques thématiques : lancement d une opération, suivi des opérations, communication autour du compostage, organisation de formations techniques pour les chefs de projets des collectivités (Comment mener une opération de compostage individuel?) et pour les animateurs du compostage individuel (Les techniques du compostage) ; une soixantaine de personnes ont ainsi été formées sur la Picardie. Évaluer les impacts consolidation des informations régionales, analyse des résultats du suivi qualitatif et quantitatif mis en œuvre en composition du compost, consignes de tri, perception par les habitants, satisfaction des habitants, analyse des pratiques actuelles et des comportements des habitants pour la gestion des déchets domestiques, tonnages en jeu, nombre de foyers impliqués. Promouvoir la démarche diffusion d informations auprès de tous les acteurs régionaux concernés (associations, collectivités, ). PROMOUVOIR LE COMPOSTAGE

6 Une boîte à outils «compostage individuel», Pourquoi, comment? Les documents présentés, sous forme de CD-Rom, ont été réalisés par l'ademe Picardie et le Conseil régional de Picardie avec le concours de l URCPIE des Pays Picards, afin d aider les collectivités dans la mise en place du compostage individuel sur leur territoire. Cela répond à un des objectifs de la mission régionale d'accompagnement et de suivi du compostage individuel en Picardie, menée de 2000 à 2002 par le SIROM des 7 Cantons et de 2002 à 2004 par l'urcpie des Pays Picards. Des outils pour chaque phase de l opération Phase 0 Analyse préalable Phase 1 Motiver les acteurs Phase 2 Préparation de l opération Phase 3 Lancement Phase 4 Suivi LES PHASES D'UNE OPÉRATION Lancer la réflexion Constituer le comité de pilotage Repérer les personnes ressources Informer la population Intéresser les «adeptes» de l opération Identifier les volontaires Concevoir et réaliser les premiers outils de communication Distribuer les composteurs et des documents d information Créer l évènement médiatique Faire des évaluations permanentes Se donner les moyens de corriger rapidement les erreurs Entretenir la motivation Retrouvez l ensemble de ces fichiers sur le CD-Rom «Boîte à outils». LES OUTILS TECHNIQUES Bibliographie Formation «Mener une opération» Compostage en tas et en silos Fiches-expériences de 24 collectivités Échéancier type Enquête préalable type Préconisation pour la constitution d un cahier des charges Liste des fournisseurs de composteurs Formation pratique aux techniques du compostage 4 exemples de guide du compostage Mode de distribution des composteurs : les fiches - expériences de 24 collectivités Formation pratique aux techniques de compostage Exemple d un bilan d opération Questionnaire d évaluation type LES OUTILS DE COMMUNICATION Quels sont les déchets à composter? 20 transparents sur le déroulement d'une opération 18 transparents ADEME sur le compostage individuel 13 transparents SIROM des 7 Cantons sur le compostage individuel Images utiles pour toute communication 20 transparents sur le déroulement d'une opération 18 transparents ADEME sur le compostage individuel 13 transparents SIROM des 7 Cantons sur le compostage individuel Images utiles pour toute communication Questionnaire d'enquête préalable type Exposition sur les biodéchets - Qualorg Images utiles pour toute communication 20 transparents sur le déroulement d'une opération 18 transparents ADEME sur le compostage individuel 13 transparents SIROM des 7 Cantons sur le compostage individuel Charte type et exemples de chartes Images utiles pour toute communication 20 transparents sur le déroulement d'une opération 18 transparents ADEME sur le compostage individuel 13 transparents SIROM des 7 Cantons sur le compostage individuel Questionnaire d évaluation type Fiche questions/réponses Quels sont les déchets à composter? Exemple de lettres de compostage Exemple de fiches conseils Exemple d articles de communication Les documents présentés ont été élaborés sur la base de l expérience de collectivités de Picardie On y trouve une diversité de documents à l'usage des élus et des techniciens de collectivités pour le montage technique et le suivi des opérations : transparents, documents types, images, exemples, les activités de la mission régionale mise en place de juillet 2000 à septembre 2004 en Picardie : fiches de présentation des opérations, comptes-rendus des réunions techniques, proposition d évaluation quantitative et qualitative. INDIVIDUEL EN PICARDIE I 2003

7 La situation régionale du compostage Les échanges d expériences entre les collectivités de Picardie ont contribué au développement des opérations de compostage individuel. En effet, avant la mise en place d une opération, la collectivité a besoin d informations et notamment de données concrètes : l expérience des autres collectivités peut être utile. En Picardie, la mission régionale d accompagnement et de suivi aide les collectivités dans leurs démarches et leur apporte un soutien technique dans la mise en place d une opération de compostage individuel. Points importants d une opération Suite aux rencontres avec les collectivités ayant mis en place une opération de compostage individuel, cinq étapes essentielles à la bonne marche d une opération sont ressorties : Anticiper le projet, s informer, se former pour maîtriser le sujet. Il est nécessaire de planifier au mieux l opération, de bien positionner les étapes-clés et les outils-clés : quand faire les choix techniques, quels sont les outils de communication les plus adaptés, quels sont les outils existants, quel budget prévoir, quelles sources de financement (Conseil régional, Conseil général, ADEME, DIREN, DDR ), quels sont les délais internes et externes à la collectivité, quel est le nombre de composteurs à commander (enquête préalable), quelles sont les modalités pratiques liées à la distribution (règlement à l avance ou non, signature de la charte, remise du guide du compostage, distribution rapide, ), ou à la création d un listing des acquéreurs, Prendre le temps pour préparer et monter le projet : pour réaliser l ensemble des tâches jusqu à la distribution, il faut compter en moyenne le travail d une personne à mi-temps pendant 9 mois puis à 80% pendant 3 mois pour la distribution. Si la collectivité n est pas prête, il peut être préférable de retarder le lancement de l opération, plutôt que de se précipiter au risque d en diminuer l impact. Communiquer en plusieurs temps suivant les cibles : les élus dans un 1 er temps, puis les agents de déchèterie, la population, les services espaces verts, les scolaires, les journalistes, les associations Il ne faut pas hésiter à prendre contact avec les collectivités qui ont déjà mis en place leur opération pour bénéficier d un retour d expérience, cette démarche reste constructive pour les deux collectivités. Sensibiliser très largement et de manières diverses sur le compostage individuel. De nombreux outils de communication existent : réunions d information et/ou de démonstration, vidéo, guide du compostage, presse (dossier de presse ou communiqué de presse), affichage, charte d utilisation, journal du tri ou journal communautaire, courriers d information, concours et animations (scolaires et grand public), expositions, Semaines Régionales de l Environnement, livraison des composteurs, Le contact sur le terrain avec les administrés s avère être très efficace : l identification d une personne ressource au sein de la collectivité est un réel avantage. Prévoir une étape de suivi ou d entretien de l opération : intégrer dès le départ le suivi de l opération est un point clé de réussite ; le travail ne s arrête pas à la distribution. L accompagnement des acquéreurs de composteurs est essentiel : permanence dans les mairies et/ou au siège de la collectivité, numéro vert, lettre du compostage, L évaluation de l opération est également nécessaire afin de déterminer si les objectifs de départ fixés par la collectivité ont été atteints et d envisager les éventuels ajustements ou extension de l opération. PROMOUVOIR LE COMPOSTAGE

8 individuel en 2002 Suivi du compostage individuel Un suivi de la pratique du compostage a été réalisé, dans le cadre de la mission régionale d animation sur le compostage individuel, sur un échantillon de foyers du SIROM des 7 cantons. Pendant 12 mois consécutifs (d'août 2001 à juillet 2002), 10 foyers volontaires ont reporté sur des tableaux la fréquence et les volumes des déchets introduits dans leur composteur. En plus de la quantité de déchets mis en jeu dans la pratique du compostage individuel, la qualité des composts obtenus a également été mesurée sur des échantillons prélevés à 6 et 12 mois. La quantité totale de déchets compostés par foyer et sur une année varie de 116,5 à 973,7 Kg de déchets. En moyenne, un habitant a composté 197,7 Kg de biodéchets par an répartis de la façon suivante : 85,7 Kg de déchets de cuisine par an et 112 Kg de déchets de jardin par an. Répartition du type de déchets dans un composteur Les proportions constatées entre les apports d azote et ceux de carbone sont respectivement de l ordre de 75% et 25%. La quantité de déchets compostés varie tout au long de l année (moyenne de tous les foyers) : la moyenne haute est de 126 Kg de biodéchets/foyer pour le mois d août et la moyenne basse est de 20 Kg de biodéchets/foyer pour le mois de février. Les critères de qualité qui ont été mesurés sont dans l ensemble satisfaisants : bon déroulement général du processus de décomposition, et valeurs agronomiques convenables pour le compost. En ce qui concerne la toxicité des composts, les teneurs en métaux lourds mesurées sur 4 échantillons de compost sont très variables. Sur un échantillon, les valeurs en cadmium, plomb et zinc sont élevées. Il y a lieu de s interroger sur l origine : nature des déchets compostés, localisation du composteur (proximité d une route par exemple), pratiques de jardinage (utlisation excessive de produits phytosanitaires). Cependant, compte tenu du faible nombre d échantillons et du manque de données dynamiques, il est difficile de tirer des conclusions. Évaluation de l opération Plusieurs collectivités ont réalisé des enquêtes (questionnaire renseigné par courrier ou en porte-à-porte) auprès des acquéreurs de composteur afin de connaître l impact de l opération. En général, les pourcentages obtenus (avec en moyenne 35% de retour) se rapprochent des pourcentages suivants : 92 % satisfaits de l opération, 86 % satisfaits de leur composteur, 67 % satisfaits de la qualité du compost obtenu, 75 % n ont pas de nuisances dûes aux biodéchets, 92 % estiment avoir suffisamment d information, 48 % compostaient déjà, 65 % n auraient pas composté sans l aide de la collectivité, Une opération menée efficacement permet d atteindre des taux de participation de l ordre de 13 % des foyers potentiels. Le compostage individuel reste un outil complémentaire de la valorisation des déchets. Indicateurs Potentiel* de foyers pour les 24 collectivités en 2002, foyers équipés en 2002, taux d équipement de 7,85% Aisne ,76% Oise ,33% Somme ,48% Évolution du nombre de composteur en fonctionnement en Picardie En 1995, une seule collectivité engageait une opération, fin 2002 on en compte 24. * Le potentiel de foyers est le nombre de foyers total hors logements collectifs de plus de 10 habitants. INDIVIDUEL EN PICARDIE I 2003

SIEEOM Grisolles-Verdun

SIEEOM Grisolles-Verdun SIEEOM Grisolles-Verdun Actions visant la réduction des déchets Intervenante : Elodie Botti Présentation du SIEEOM Grisolles-Verdun Le syndicat regroupe 16 communes soit 20 968 habitants (population INSEE

Plus en détail

Le compost. Un petit écosystème au jardin

Le compost. Un petit écosystème au jardin Le compost Un petit écosystème au jardin En utilisant du compost au jardin, nous rendons les matières organiques produites par le jardin ou par notre alimentation, à l écosystème naturel. Ainsi l écosystème

Plus en détail

La mise en place de la redevance incitative

La mise en place de la redevance incitative SICTOM DE LA ZONE SOUS VOSGIENNE novembre 2010-n 4 La mise en place de la redevance incitative Dans ce numéro : La redevance incitative: qu est-ce que c est? La redevance incitative Astuces pour réduire

Plus en détail

La collecte des papiers de bureau

La collecte des papiers de bureau Développement durable La collecte des papiers de bureau 1 LE SIVOM DU BAS-BUGEY Compétences La collecte des ordures ménagères La collecte sélective 3 déchetteries : Belley, Culoz et Virieu le Grand Quai

Plus en détail

Toutes les animations sont gratuites et ouvertes à tous!

Toutes les animations sont gratuites et ouvertes à tous! Dossier de presse Semaine Européenne de la Réduction des déchets 16 au 24 novembre 2013 Concarneau Cornouaille Agglomération (CCA) a signé un Programme local de prévention en juillet 2011 en partenariat

Plus en détail

Ne brûlons plus nos déchets verts à l air libre!

Ne brûlons plus nos déchets verts à l air libre! En savoir QUIZZ + Plan de Protection de l Atmosphère des Bouches-du-Rhône 1 2 3 4 J ai le droit de brûler mes déchets de tonte de pelouse en petite quantité dans ma cour non exposée à la route. Mes déchets

Plus en détail

Journées Portes Ouvertes des sites de compostage partagé Région Rhône-Alpes Du 1e au 11 avril 2015 SYNTHÈSE

Journées Portes Ouvertes des sites de compostage partagé Région Rhône-Alpes Du 1e au 11 avril 2015 SYNTHÈSE Journées Portes Ouvertes des sites de compostage partagé Région Rhône-Alpes Du 1e au 11 avril 2015 SYNTHÈSE Nombre de sites participants 73 / 247 Nombre de sites distribuant du compost 39 Compost distribué

Plus en détail

Tél : 03 90 64 25 50 Site : www.cc-basse-zorn.fr

Tél : 03 90 64 25 50 Site : www.cc-basse-zorn.fr Communauté de Communes de la Basse-Zorn 34, rue de La Wantzenau - 67720 Hoerdt Tél : 03 90 64 25 50 Site : www.cc-basse-zorn.fr NOUVEAU SYSTEME DE COLLECTE DES DÉCHETS MÉNAGERS Weitbruch Gries Kurtzenhouse

Plus en détail

Lettre info environnement

Lettre info environnement S O M M A I R E : 1-Edito du Président 2-Equipement des Professionnels et Particuliers en containers ordures ménagères 3-Les Permanences en Mairie et au bâtiment technique 4 Les Modalités de distribution

Plus en détail

POLITIQUE FAMILIALE DU CANTON DE WESTBURY

POLITIQUE FAMILIALE DU CANTON DE WESTBURY POLITIQUE FAMILIALE DU CANTON DE WESTBURY «Penser et agir famille» LES OBJECTIFS 1. Accueillir les familles avec respect et ouverture d esprit dans toutes leurs formes et leurs différences. 2. Stimuler

Plus en détail

les outils les enjeux les applications locales Déchets ménagers : maîtrisons les impacts sur l environnement connaître pour agir

les outils les enjeux les applications locales Déchets ménagers : maîtrisons les impacts sur l environnement connaître pour agir connaître pour agir Déchets ménagers : maîtrisons les impacts sur l environnement les enjeux les outils les applications locales Enjeux d une analyse environnementale et leviers d améliorations QU EST-CE

Plus en détail

Programme Local de Prévention des Déchets

Programme Local de Prévention des Déchets Programme Local de Prévention des Déchets, Direction collecte et traitement des déchets Esplanade Charles de Gaulle 33076 BORDEAUX Cedex 02.97.02.29.00 Sommaire Pages INTRODUCTION : CONTEXTE ET OBJECTIFS

Plus en détail

Défi 7/7 Mission Ecogestes

Défi 7/7 Mission Ecogestes Défi 7/7 Mission Ecogestes - 202 851 habitants (au 1er janvier 2011) Les hommes commencent à se regrouper dans des villes. Les déchets sont jetés dans les rues entraînant de nombreuses épidémies meurtrières

Plus en détail

Association des. Objectifs. convivialité, réunir les habitants autour du jardinage. action sociale, action environnementale,

Association des. Objectifs. convivialité, réunir les habitants autour du jardinage. action sociale, action environnementale, Objectifs Association des convivialité, réunir les habitants autour du jardinage action sociale, création de jardins familiaux action environnementale, promouvoir un jardinage respectueux de l environnement

Plus en détail

Mode d emploi. Moins de déchets, 10 gestes pour transformer nos habitudes

Mode d emploi. Moins de déchets, 10 gestes pour transformer nos habitudes Mode d emploi Moins de déchets, 10 gestes pour transformer nos habitudes 10 «petits» gestes pour réduire nos déchets Réduire ses déchets c est avant tout mieux consommer Le meilleur déchet est celui qui

Plus en détail

pour un pacte écologique local : questions aux futurs élus locaux

pour un pacte écologique local : questions aux futurs élus locaux pour un pacte écologique local : questions aux futurs élus locaux Préserver la biodiversité dans la commune La commune dispose-t-elle d'un inventaire du patrimoine écologique local? Quelle part de budget

Plus en détail

PLAN DE COMMUNICATION REGIONAL POUR LA PROMOTION DES FONDS EUROPEENS FEDER, FSE et FEADER EN ILE-DE-FRANCE

PLAN DE COMMUNICATION REGIONAL POUR LA PROMOTION DES FONDS EUROPEENS FEDER, FSE et FEADER EN ILE-DE-FRANCE PLAN DE COMMUNICATION REGIONAL POUR LA PROMOTION DES FONDS EUROPEENS FEDER, FSE et FEADER EN ILE-DE-FRANCE Version du 23 avril 2008 1 Sommaire 1. RAPPEL DU CONTEXTE_ 3 2. PILOTAGE ET PERIMETRE DU PLAN

Plus en détail

excellence environnementale fiche - action Utilisation d un broyeur de branches sur les chantiers espaces verts

excellence environnementale fiche - action Utilisation d un broyeur de branches sur les chantiers espaces verts excellence environnementale Des pratiques pour l'excellence environnementale en région Poitou-Charentes fiche - action Utilisation d un broyeur de branches sur les chantiers espaces verts A partir de l

Plus en détail

déchets ménagers Collecte en apport aux colonnes Tél. 02 43 94 86 50 www.syndicatvaldeloir.fr

déchets ménagers Collecte en apport aux colonnes Tél. 02 43 94 86 50 www.syndicatvaldeloir.fr info service + Organisation de la collecte Demandez l autocollant «Stop pub»! Si vous ne souhaitez pas recevoir de publicités dans votre boîte à lettres, une seule solution : l autocollant «Stop pub»!

Plus en détail

Les communes et l Agglo ont mobilisé de mai à septembre les personnes susceptibles d apporter une contribution au débat.

Les communes et l Agglo ont mobilisé de mai à septembre les personnes susceptibles d apporter une contribution au débat. AGENDA 21-PLAN CLIMAT DU PAYS D AUBAGNE ET DE L ETOILE BILAN DE LA CONCERTATION DANS LES COMMUNES DU 24 SEPTEMBRE AU 1 ER OCTOBRE 2011 La Communauté d'agglomération du Pays d'aubagne et de l'etoile a décidé

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE Borne électrique test. Installation de la 1 ère borne de rechargement électrique test à Arras

DOSSIER DE PRESSE Borne électrique test. Installation de la 1 ère borne de rechargement électrique test à Arras DOSSIER DE PRESSE Borne électrique test Installation de la 1 ère borne de rechargement électrique test à Arras SOMMAIRE UN PREMIER TEST 4 L UN DES TEMPS FORTS DES RENCONTRES CLIMAT 6 UN PROJET DE VILLE

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE PROJET DE LUTTE CONTRE LE GASPILLAGE ALIMENTAIRE AU SEIN DE LA RESTAURATION COLLECTIVE

DOSSIER DE PRESSE PROJET DE LUTTE CONTRE LE GASPILLAGE ALIMENTAIRE AU SEIN DE LA RESTAURATION COLLECTIVE DOSSIER DE PRESSE PROJET DE LUTTE CONTRE LE GASPILLAGE ALIMENTAIRE AU SEIN DE LA RESTAURATION COLLECTIVE Visite de presse mardi 14 avril 2015, restaurant scolaire de Saint-Pierre Dossier de presse - Projet

Plus en détail

Square Patriarche et place Jean-Jaurès À PARTIR DE 11 h

Square Patriarche et place Jean-Jaurès À PARTIR DE 11 h Square Patriarche et place Jean-Jaurès À PARTIR DE 11 h Édito En route pour la COP21! Dans six mois, le 30 novembre 2015, le coup d envoi de la 21 e conférence internationale pour le climat sera donné

Plus en détail

JEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL XXVIII e ÉDITION

JEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL XXVIII e ÉDITION JEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL XXVIII e ÉDITION Projet de règlement no. 3 : Règlement sur la responsabilisation environnementale PRÉSENTATION Présenté par Monsieur Maxime Maheu-Moisan, membre du comité exécutif,

Plus en détail

Consultation publique sur le projet de politique québécoise de gestion des matières résiduelles

Consultation publique sur le projet de politique québécoise de gestion des matières résiduelles Consultation publique sur le projet de politique québécoise de gestion des matières résiduelles Mémoire du Regroupement national des conseils régionaux de l environnement du Québec 23 février 2010 Présentation

Plus en détail

LES RÉSULTATS DE L'ENQUÊTE DE SATISFACTION

LES RÉSULTATS DE L'ENQUÊTE DE SATISFACTION LES RÉSULTATS DE L'ENQUÊTE DE SATISFACTION 2011 Supplément à la Lettre de Clamart Habitat n 34 1 er* Meilleur bailleur d Île-de-France pour le traitement des demandes techniques 94% des locataires satisfaits

Plus en détail

Les moyens mis en place par le SDG pour répondre aux grandes orientations du projet éducatif de l école

Les moyens mis en place par le SDG pour répondre aux grandes orientations du projet éducatif de l école Autonomie d utilisation des outils face à leurs apprentissages. Projets à long terme: couture, papier mâché, cinéma, robotique. à FAVORISER LA RÉUSSITE chez l ensemble des élèves en respectant leurs différences.

Plus en détail

Guide pratique pour la mise en place du TRI des biodéchets en restauration collective

Guide pratique pour la mise en place du TRI des biodéchets en restauration collective Guide pratique pour la mise en place du TRI des biodéchets en restauration collective Pourquoi ce guide? Ce document va vous permettre de quantifier les déchets alimentaires au sein de votre structure,

Plus en détail

Fourniture de repas cuisinés en liaison froide pour le service de portage de repas à domicile

Fourniture de repas cuisinés en liaison froide pour le service de portage de repas à domicile Fourniture de repas cuisinés en liaison froide pour le service de portage de repas à domicile CAHIER DES CLAUSES ADMINISTRATIVES PARTICULIERES Maître d'ouvrage / Pouvoir Adjudicateur : Communauté de Communes

Plus en détail

Fénelon pour contribuer au tri sélectif et à la valorisation des déchets que nous produisons?

Fénelon pour contribuer au tri sélectif et à la valorisation des déchets que nous produisons? LYCEE FENELON : démarche Qualycée en cours Quels sont les efforts réalisés à Fénelon pour contribuer au tri sélectif et à la valorisation des déchets que nous produisons? 16/03/2015 tri sélectif à Fénelon

Plus en détail

Illustrations des bonnes pratiques. Enquête de satisfaction des usagers. Communauté d Agglomération Vichy Val d Allier (03)

Illustrations des bonnes pratiques. Enquête de satisfaction des usagers. Communauté d Agglomération Vichy Val d Allier (03) Illustrations des bonnes pratiques Connaître l avis des usagers Critère 1.1. Enquête de satisfaction des usagers Communauté d Agglomération Vichy Val d Allier (03) Labellisation du Service Public de Collecte

Plus en détail

BONNES PRATIQUES DECHETS ET POINTS D ATTENTION

BONNES PRATIQUES DECHETS ET POINTS D ATTENTION BONNES PRATIQUES DECHETS ET POINTS D ATTENTION Constats partagés : - Les déchets de chantier et de maintenance sont plutôt bien traités et suivis. - Les déchets de bureaux sont bien suivis sur les gros

Plus en détail

SOMMAIRE SOMMAIRE. Politique Education de la Région Développement Durable Collecte des déchets dans les lycées DEEE

SOMMAIRE SOMMAIRE. Politique Education de la Région Développement Durable Collecte des déchets dans les lycées DEEE 52 000 lycéens 65 lycées publics (1,2 millions de m² de locaux) 39 lycées privés 1 Les priorités comtoises en matière d éducation par de nouvelles politiques L accès pour tous à l éducation Gratuité des

Plus en détail

Édito. Le meilleur déchet reste celui que l on ne produit pas.

Édito. Le meilleur déchet reste celui que l on ne produit pas. Édito Le meilleur déchet reste celui que l on ne produit pas. Depuis janvier 2011, le Syndicat Emeraude s est engagé résolument dans un programme local de prévention. Ne nous limitons pas à l objectif

Plus en détail

Enquête publique sur les changements climatiques -------- Compléments aux graphiques

Enquête publique sur les changements climatiques -------- Compléments aux graphiques Enquête publique sur les changements climatiques -------- Compléments aux graphiques Les résultats de l enquête sont analysés d après le nombre de variables explicatives pouvant influencer le comportement,

Plus en détail

L EAU POTABLE : COMMENT LA PRÉSERVER Bien que l eau soit une ressource renouvelable, il ne faut pas pour autant la gaspiller. Les Québécois sont les

L EAU POTABLE : COMMENT LA PRÉSERVER Bien que l eau soit une ressource renouvelable, il ne faut pas pour autant la gaspiller. Les Québécois sont les L EAU POTABLE : COMMENT LA PRÉSERVER Bien que l eau soit une ressource renouvelable, il ne faut pas pour autant la gaspiller. Les Québécois sont les deuxièmes plus grands consommateurs d eau potable, juste

Plus en détail

DECLARATION D'INTENTION - SIEG 2015 - Grille de lecture

DECLARATION D'INTENTION - SIEG 2015 - Grille de lecture DECLARATION D'INTENTION - SIEG 2015 - Grille de lecture La déclaration d'intention est décomposée en deux dispositifs : - les Programmes d'actions Locales (PAL) ; - les Parcours Sécurisés Qualifiants (PSQ).

Plus en détail

Formation des formateurs relais 3RB. Paris, 2 et 3 avril 2009

Formation des formateurs relais 3RB. Paris, 2 et 3 avril 2009 Formation des formateurs relais 3RB Paris, 2 et 3 avril 2009 Cadre juridique Formation 3RB -2 et 3 avril 2009 2 Sommaire 1. Introduction: prévention et textes juridiques 2. Hiérarchie des textes 3. Sélection

Plus en détail

Fiche descriptive d activités

Fiche descriptive d activités Fiche descriptive d activités Fiche descriptive d activités (FDA) La fiche descriptive d activités (FDA) dresse la liste de l ensemble des activités, recensées lors d enquêtes, exercées par des titulaires

Plus en détail

INDUSTRIES AGRICOLES ET AGROALIMENTAIRES RÉDUIRE ET VALORISER LES DÉCHETS,

INDUSTRIES AGRICOLES ET AGROALIMENTAIRES RÉDUIRE ET VALORISER LES DÉCHETS, INDUSTRIES AGRICOLES ET AGROALIMENTAIRES RÉDUIRE ET VALORISER LES DÉCHETS, les choix gagnants INDUSTRIES AGRICOLES ET AGROALIMENTAIRES PRÉVENIR ET VALORISER LES DÉCHETS UNE STRATÉGIE TRIPLEMENT RENTABLE

Plus en détail

Les associations. Qui récupère quoi?

Les associations. Qui récupère quoi? Qui récupère quoi? Certains objets peuvent avoir une seconde vie. Plutôt que de les jeter en déchèteries, pensez aux associations qui se chargent de les revaloriser et les remettre dans le circuit. Emmaüs,

Plus en détail

Développement durable et PME. Introduction à la démarche

Développement durable et PME. Introduction à la démarche Développement durable et PME Introduction à la démarche 1. INTRODUCTION Les TPE, PME et PMI le savent aujourd hui : elles doivent s employer à limiter leur impact sur l environnement, mais également intégrer

Plus en détail

Plan Départemental de Prévention et de Gestion des déchets Non dangereux de l Aveyron

Plan Départemental de Prévention et de Gestion des déchets Non dangereux de l Aveyron Plan Départemental de Prévention et de Gestion des déchets Non dangereux de l Aveyron Synthèse du groupe d étude et de réflexion «Dynamiser la prévention» Compte rendu de la réunion du 15/10/2014 Participants

Plus en détail

LE PROGRAMME ECO-ECOLE

LE PROGRAMME ECO-ECOLE LE PROGRAMME ECO-ECOLE Un programme développé par l office français de la Fondation pour l Education à l Environnement en Europe, en partenariat avec le Réseau Ecole et Nature, la société Eco-Emballages

Plus en détail

CONVENTION DE PARTENARIAT ENTRE L AMF ET RTE

CONVENTION DE PARTENARIAT ENTRE L AMF ET RTE CONVENTION DE PARTENARIAT ENTRE L AMF ET RTE CONVENTION DE PARTENARIAT ENTRE L ASSOCIATION DES MAIRES DE FRANCE ET RTE Entre L Association des Maires de France, sise 41 quai d Orsay, 75343 Paris cedex

Plus en détail

Camfil Saint-Martin-Longueau, une démarche d efficacité énergétique pour la certification ISO 50 001

Camfil Saint-Martin-Longueau, une démarche d efficacité énergétique pour la certification ISO 50 001 FICHE OPÉRATION INDUSTRIE Camfil Saint-Martin-Longueau, une démarche d efficacité énergétique pour la certification ISO 50 001 CAS PRATIQUE Activité : produits et service dans le domaine de la filtration

Plus en détail

GUIDE METHODOLOGIQUE DU COMPOSTAGE PARTAGE (OU SEMI-COLLECTIF)

GUIDE METHODOLOGIQUE DU COMPOSTAGE PARTAGE (OU SEMI-COLLECTIF) GUIDE METHODOLOGIQUE DU COMPOSTAGE PARTAGE (OU SEMI-COLLECTIF) Compostage en pied d immeuble, de quartier Novembre 2012 Etude réalisée pour le compte de l ADEME par Agnès DEMOLLES (INDDIGO), Christian

Plus en détail

QU'EST-CE QU'UNE MAISON D ASSISTANTS MATERNELS (MAM)? QUI EST L EMPLOYEUR DES ASSISTANTS MATERNELS?

QU'EST-CE QU'UNE MAISON D ASSISTANTS MATERNELS (MAM)? QUI EST L EMPLOYEUR DES ASSISTANTS MATERNELS? Mise à jour Septembre 2011 Un assistant maternel est agréé par le Conseil général. Il peut moyennant rémunération, accueillir habituellement et de façon non permanente des mineurs : - à son domicile (art.

Plus en détail

LA SÉCURITÉ A UN NOM

LA SÉCURITÉ A UN NOM LA SÉCURITÉ A UN NOM UN RÉSEAU D AGENCES DE PROXIMITÉ 19 agences en Europe Surveillance ROISSY Prévention incendie REGENT SECURITY GENNEVILLIERS ST DENIS PARIS Télésurveillance LILLE COIGNIÈRES Sécurité

Plus en détail

Appel à projets. Implantation d un jardin partagé au sein du square Rosa Luxembourg. Angle Pajol/Riquet, Paris 18 e

Appel à projets. Implantation d un jardin partagé au sein du square Rosa Luxembourg. Angle Pajol/Riquet, Paris 18 e Appel à projets Implantation d un jardin partagé au sein du square Rosa Luxembourg. Angle Pajol/Riquet, Paris 18 e 1 1. Contexte Situé à l est du 18 e arrondissement, à la frontière avec le 19 e, Aubervilliers

Plus en détail

biophyt sa Institut de recherches et de consultations en agronomie et écologie appliquées

biophyt sa Institut de recherches et de consultations en agronomie et écologie appliquées biophyt sa Institut de recherches et de consultations en agronomie et écologie appliquées Le compost, c est quoi? Définition, composition, valorisation, qualité Dr. Jacques G. Fuchs, biophyt sa 1. Généralités

Plus en détail

Appel à projets 5,2. Se déplacer Se nourrir Se loger Le reste

Appel à projets 5,2. Se déplacer Se nourrir Se loger Le reste Appel à projets " Plan Climat Régional» Soutien de l investissement participatif dans les énergies renouvelables et la maîtrise de l énergie au bénéfice des territoires 1 Contexte : Les grands objectifs

Plus en détail

Programme des épreuves des concours externes de recrutement des personnels techniques et administratifs de recherche et de formation

Programme des épreuves des concours externes de recrutement des personnels techniques et administratifs de recherche et de formation G1 Recrutements des assistants de recherche et de formation...2 G1.1 Assistant gestion de données patrimoniales...2 G1.2 Assistant technique en génie climatique...2 G1.3 Assistant technique en électricité...2

Plus en détail

Le Plan Régional d Élimination des Déchets Dangereux. Comment mieux maîtriser production et gestion des déchets dangereux?

Le Plan Régional d Élimination des Déchets Dangereux. Comment mieux maîtriser production et gestion des déchets dangereux? Le Plan Régional d Élimination des Déchets Dangereux Comment mieux maîtriser production et gestion des déchets dangereux? Qu est-ce qu un Tout le monde produit des déchets dangereux via ses activités quotidiennes

Plus en détail

Education au Développement Durable Les déchets, je mène l enquête.

Education au Développement Durable Les déchets, je mène l enquête. 1 Education au Développement Durable Les déchets, je mène l enquête. Un programme d animation pour une sensibilisation efficace sur le tri, le recyclage et le compostage des déchets. Contact : SYVEDAC

Plus en détail

RAPPORT DES QUESTIONNAIRES ENTREPRISES ET ETUDIANTS EDITION 2008

RAPPORT DES QUESTIONNAIRES ENTREPRISES ET ETUDIANTS EDITION 2008 RAPPORT DES QUESTIONNAIRES ENTREPRISES ET ETUDIANTS EDITION 2008 Version non définitive um Etudiants Entreprises de l UTC 1 Sommaire Introduction... 4 1. Point de vue des étudiants... 4 1.1. Nombre d étudiants...

Plus en détail

Fondation GoodPlanet Programme Action Carbone. Présentation des projets de compensation carbone

Fondation GoodPlanet Programme Action Carbone. Présentation des projets de compensation carbone Fondation GoodPlanet Programme Action Carbone Présentation des projets de compensation carbone Fondation GoodPlanet Mettre l écologie au cœur des consciences Fondée en juillet 2005 par Yann Arthus-Bertrand

Plus en détail

En collaboration avec LA GESTION DES RISQUES AU SEIN DU SECTEUR PUBLIC LOCAL EN 2013

En collaboration avec LA GESTION DES RISQUES AU SEIN DU SECTEUR PUBLIC LOCAL EN 2013 En collaboration avec LA GESTION DES RISQUES AU SEIN DU SECTEUR PUBLIC LOCAL EN 2013 MARS 2013 INTRODUCTION, METHODOLOGIE Primo France, association dédiée à la gouvernance et à la gestion du risque public,

Plus en détail

Guide 2015. Ordures ménagères

Guide 2015. Ordures ménagères Guide 2015 Ordures ménagères CDC de Podensac 12 rue du M al Leclerc-de-Hauteclocque Tel 05 56 76 38 00 environnement@cc-podensac.fr www.cc-podensac.fr EDITO Bernard Mateille Président de la CDC Maire de

Plus en détail

USAGES ET COMPORTEMENT

USAGES ET COMPORTEMENT LES FICHES SRCAE HN Juin 2013 USAGES ET COMPORTEMENT Contexte et enjeux Des comportements à faire évoluer L atteinte des objectifs du SRCAE nécessite des modifications de comportement de la part de tous

Plus en détail

Système de suivi et de monitoring pour un projet foyers améliorés

Système de suivi et de monitoring pour un projet foyers améliorés Système de suivi et de monitoring pour un projet foyers améliorés Nathalie WEISMAN Conférence WACA - Ouagadougou, 24 Avril 2013 Quelques chiffres sur EcoAct Historique : 2005 Création d EcoAct 2006 Création

Plus en détail

Objectif de progression Actions Indicateurs chiffrés. Diligenter une enquête auprès des salariés pour connaitre précisément leurs besoins

Objectif de progression Actions Indicateurs chiffrés. Diligenter une enquête auprès des salariés pour connaitre précisément leurs besoins Articulation entre la vie professionnelle et l exercice de la responsabilité parentale (ces exemples visent à accompagner les partenaires sociaux dans leur négociation, ils ne sont pas exhaustifs des bonnes

Plus en détail

Réduction des déchets par le Réemploi et la Réutilisation. Cohésion sociale et locale. Création : Septembre 2013 Statut juridique : SAS

Réduction des déchets par le Réemploi et la Réutilisation. Cohésion sociale et locale. Création : Septembre 2013 Statut juridique : SAS Réduction des déchets par le Réemploi et la Réutilisation Cohésion sociale et locale Création : Septembre 2013 Statut juridique : SAS 1 L ENTREPRISE Co-Recyclage propose des solutions innovantes pour préserver

Plus en détail

Union des Coopératives Agricoles de l ALlier Approuvé par :

Union des Coopératives Agricoles de l ALlier Approuvé par : Manuel Qualité et HACCP Indice : I Union des Coopératives Agricoles de l ALlier Approuvé par : Jacky COURRIER Directeur de COOPACA Jean-Claude MICHEL Directeur de Val limagne.coop La force d un groupe

Plus en détail

eat recovery system Metos Traitement de Déchets Solus Eco Flex Waste La solution compacte à vos dechets! www.metos.com

eat recovery system Metos Traitement de Déchets Solus Eco Flex Waste La solution compacte à vos dechets! www.metos.com eat recovery system Metos Traitement de Déchets Solus Eco Flex Waste La solution compacte à vos dechets! www.metos.com Traitement de Déchets Solus Eco Flex Waste De plus en plus, le traitement des biodéchets

Plus en détail

2011 / rev. 01 JDL / 30.12.2

2011 / rev. 01 JDL / 30.12.2 Renens Epalinges Gland Froideville Crissier 11 janvier 17 janvier 18 janvier 19 janvier 19 janvier 2011 / rev. 01 JDL / 30.12.2 tourisme des déchets Lausanne Région (29 communes, ~275 000 habitants) GEDREL

Plus en détail

Guide méthodologique

Guide méthodologique Communauté d Agglomération de NIORT du GRAND NANCY PLAN DE DEPLACEMENTS URBAINS Plan de Déplacement Entreprise Guide méthodologique Septembre 2007 m u n i c i p a l i t é s e r v i c e 7 1, a v e n u e

Plus en détail

Tous liés à l Eglise!

Tous liés à l Eglise! Tous liés à l Eglise! Campagne 2014 du Denier de l Eglise Province Ecclésiastique de Reims Diocèses de Beauvais, Amiens, Châlons-en-Champagne, Langres, Reims, Soissons et Troyes Dossier de presse Janvier

Plus en détail

Bibliothèque Royale Albert 1er

Bibliothèque Royale Albert 1er Bibliothèque Royale Albert 1er Description du projet Ce projet a pour but de valoriser des espaces plats et inutilisés (toit, terrasse ou autre) par la création de potagers écologique (sans pesticide,

Plus en détail

Bilan des émissions de gaz à effet de serre 2010-2011

Bilan des émissions de gaz à effet de serre 2010-2011 Bilan des émissions de gaz à effet de serre 21-211 Méthode Bilan Carbone - Rapport final - février 212 II. DESCRIPTION DE LA PERSONNE MORALE Page 6 Sommaire I. CONTEXTE III. ANNÉE DE REPORTING ET ANNÉE

Plus en détail

Devenez point de chute d une ferme du réseau québécois d agriculture soutenue par la communauté (ASC)

Devenez point de chute d une ferme du réseau québécois d agriculture soutenue par la communauté (ASC) GUIDE À L INTENTION DES ORGANISATIONS Devenez point de chute d une ferme du réseau québécois d agriculture soutenue par la communauté (ASC) Pour des paniers de légumes locaux et sains, directement livrés

Plus en détail

Etude sur Le service de restauration scolaire

Etude sur Le service de restauration scolaire Etude sur Le service de restauration scolaire En accord avec les objectifs de l Association des Parents d Elèves de Génération ECOLE, une enquête de satisfaction de la cantine scolaire a donné les résultats

Plus en détail

1) Point sur l engagement des collectivités sur le territoire depuis 2009

1) Point sur l engagement des collectivités sur le territoire depuis 2009 35, Boulevard de Sébastopol 75001 Paris TEL : 01 40 13 17 00 DIRECTION DE L EXPLOITATION ET DE LA PREVENTION DES DECHETS Objet : Compte rendu du 5 ème comité de pilotage prévention du Syctom du 13 décembre

Plus en détail

LE GRAND LARGE S ENGAGE DANS LE DEVELOPPEMENT DURABLE

LE GRAND LARGE S ENGAGE DANS LE DEVELOPPEMENT DURABLE LE GRAND LARGE S ENGAGE DANS LE DEVELOPPEMENT DURABLE Contact : LE GRAND LARGE 02.99.20.60.20 contact@legrandlarge-congres.com SOMMAIRE LE DEVELOPPEMENT DURABLE AU GRAND LARGE Pages 1 à 7 ENVIRONNEMENT

Plus en détail

Analyse des questionnaires d évaluation parents et enfants Juin 2015

Analyse des questionnaires d évaluation parents et enfants Juin 2015 Réforme des rythmes scolaires Projet Educatif de territoire d Evecquemont Analyse des questionnaires d évaluation parents et enfants Juin 2015 A Du PEDT au comité de suivi et d évaluation de la réforme

Plus en détail

Mission d Observation de la Biomasse

Mission d Observation de la Biomasse Les synthèses de l AREC Mission d Observation de la Biomasse ENQUETE REGIONALE SUR LES CHAUFFERIES COLLECTIVES A BOIS DECHIQUETE (Saison de chauffe 2008-2009) 2009) Chiffres clés 114 chaufferies collectives

Plus en détail

Waste concern. Observatoire du Management Alternatif Alternative Management Observatory. Initiative

Waste concern. Observatoire du Management Alternatif Alternative Management Observatory. Initiative Observatoire du Management Alternatif Alternative Management Observatory Initiative Waste concern Laura Loffler Novembre 2012 Majeure Alternative Management HEC Paris 2012-2013 Loffler Laura Fiche Initiative

Plus en détail

CONTRAT DE PRESENCE POSTALE TERRITORIALE 2014-2016

CONTRAT DE PRESENCE POSTALE TERRITORIALE 2014-2016 Département Administration Paris, le 3 mars 2014 et Gestion Communales VP/AH/Note 11 Affaire suivie par Véronique PICARD CONTRAT DE PRESENCE POSTALE TERRITORIALE 2014-2016 La continuité - maintien du montant

Plus en détail

Restauration collective

Restauration collective Dossier de presse Février 2014 Restauration collective La portion de fromage emballée individuellement un atout dans la lutte contre le gaspillage alimentaire Contacts presse : agence becom! T. 01 42 09

Plus en détail

USAGE ET PERCEPTION DE L ADMINISTRATION ELECTRONIQUE EN LIGNE PAR LES PROFESSIONNELS

USAGE ET PERCEPTION DE L ADMINISTRATION ELECTRONIQUE EN LIGNE PAR LES PROFESSIONNELS USAGE ET PERCEPTION DE L ADMINISTRATION ELECTRONIQUE EN LIGNE PAR LES PROFESSIONNELS - Sondage de l'institut CSA - N 0501353 Novembre 22, rue du 4 Septembre BP 6571 75065 Paris cedex 02 Tél. (33) 01 44

Plus en détail

Activités. Boîte à idées pour remplir la fiche de poste * Direction. Animation d équipe et organisation du travail. Conduite de projets

Activités. Boîte à idées pour remplir la fiche de poste * Direction. Animation d équipe et organisation du travail. Conduite de projets Boîte à idées pour remplir la fiche de poste * Activités 1. 1. Pilotage, management Direction Informer et aider les élus à la décision Définir (ou participer à la définition de) la stratégie de la direction

Plus en détail

INCITATIVE REDEVANCE. guide de la. à la réduction, au tri et à une meilleure gestion des déchets

INCITATIVE REDEVANCE. guide de la. à la réduction, au tri et à une meilleure gestion des déchets guide de la REDEVANCE INCITATIVE à la réduction, au tri et à une meilleure gestion des déchets COMMUNAUTÉ DE COMMUNES DU VAL DE MORTEAU MORTEAU // VILLERS-LE-LAC // LES FINS // MONTLEBON GRAND COMBE-CHÂTELEU

Plus en détail

Emis le : 5/08/2011 Mis à jour : 10/2014

Emis le : 5/08/2011 Mis à jour : 10/2014 Emetteur : CRMA Limousin Page 1 sur 6 1. Quelle réglementation s applique à mon entreprise? Emis le : 5/08/2011 Toute entreprise artisanale ou industrielle est soumise au règlement sanitaire départemental.

Plus en détail

Ce projet est soutenu par le Jour de la Terre Québec, les éco-quartiers de Ville-Marie et l arrondissement de Ville-Marie.

Ce projet est soutenu par le Jour de la Terre Québec, les éco-quartiers de Ville-Marie et l arrondissement de Ville-Marie. ÉDITION 2014 Collecte de matières dangereuses et de matériel informatique et électronique destinée aux ICI, OBNL et édifices de neuf logements et plus de l arrondissement Ville-Marie. Ce projet est soutenu

Plus en détail

Gestion des déchets dangereux dans les entreprises

Gestion des déchets dangereux dans les entreprises Actualités Gestion des déchets dangereux dans les entreprises Avril 2012 - Fiche n 1 Rédigée par Margot Liatard CCIR Champagne-Ardenne Qu est ce qu un déchet dangereux? Les déchets dangereux sont des déchets

Plus en détail

LE DIETETICIEN AU SEIN DES COLLECTIVITES TERRITORIALES

LE DIETETICIEN AU SEIN DES COLLECTIVITES TERRITORIALES LE DIETETICIEN AU SEIN DES COLLECTIVITES TERRITORIALES Sommaire : Les missions page 2 Les secteurs d interventions page 2 Les contacts privilégiés page 3 Les cibles : A La restauration collective 1. Objectifs

Plus en détail

SONDAGE SUR LES COMMUNICATIONS À PRÉVOST

SONDAGE SUR LES COMMUNICATIONS À PRÉVOST SONDAGE SUR LES COMMUNICATIONS À PRÉVOST BILAN DU SONDAGE Sondage distribué du 1 er décembre 2012 au 28 mars 2013. Nombre de répondants : 72 PORTRAIT DES RÉPONDANTS Groupe d âge 24 ans et moins : 2,8 %

Plus en détail

Charte d utilisation du site bluefactory

Charte d utilisation du site bluefactory Charte d utilisation du site bluefactory Version 1.5 Date : 17.05.2013 1 Sommaire 1 Contexte... 3 2 Principes d utilisation du site... 3 2.1 Principes de Création, d Innovation et d Excellence... 3 2.2

Plus en détail

Boulangerie AURANT REST Coiffeur

Boulangerie AURANT REST Coiffeur Boula ngeri e ANT R TAU RES Coiffe ur Remerciements Étude réalisée par In Numeri : Laurence HAEUSLER, Anne-Gaelle MORO-GOUBELY, Guillaume BERTHOIN Coordination technique : Christian MATHERY et Pierre GALIO,

Plus en détail

ÉDUCATION Côtes d Armor. Collèges publics. Charte de la restauration collective DIRECTION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER

ÉDUCATION Côtes d Armor. Collèges publics. Charte de la restauration collective DIRECTION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER ÉDUCATION Côtes d Armor Collèges publics DIRECTION ÉDUCATION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER Charte de la restauration collective Préambule Dans le cadre de l article 82 de la loi du 13 août 2004, le Département

Plus en détail

Calendrier2014 de collectes

Calendrier2014 de collectes Calendrier01 de collectes Férié : 1 pas de collecte 1 Report collecte Ordures Ménagères du 1 er Janvier 1 1 0 Pôle déchets du Pays de Sarrebourg Terrasse Normandie - ZAC des Terrasses de la Sarre - 0 SARREBOURG

Plus en détail

demain Aujourd hui ACDIC A. PRESENTATION DE L ACDIC B. 10 ANS D ACTIONS. Des actes concrets, des effets, des impacts C. DES ACQUIS ET ATOUTS CERTAINS

demain Aujourd hui ACDIC A. PRESENTATION DE L ACDIC B. 10 ANS D ACTIONS. Des actes concrets, des effets, des impacts C. DES ACQUIS ET ATOUTS CERTAINS ACDIC Aujourd hui & demain A. PRESENTATION DE L ACDIC B. 10 ANS D ACTIONS. Des actes concrets, des effets, des impacts C. DES ACQUIS ET ATOUTS CERTAINS D. QUATRE THEMES D ACTIONS PRIORITAIRES E. NOS AMBITIONS

Plus en détail

FICHE ACTION n 31. Fleur des Mauges. ACTIONS GLOBALES Pacte «nature et stratégie», Transparence et stratégie de la gouvernance, communication

FICHE ACTION n 31. Fleur des Mauges. ACTIONS GLOBALES Pacte «nature et stratégie», Transparence et stratégie de la gouvernance, communication FICHE ACTION n 31 Fleur des Mauges ACTIONS GLOBALES Pacte «nature et stratégie», Transparence et stratégie de la gouvernance, communication ACTIONS SOCIALES ET SOCIETALES Sensibilisation et formation du

Plus en détail

EPLEFPA "LES SARDIERES" 79 AVENUE DE JASSERON 01 000 BOURG EN BRESSE Tel : 04.74.45.50.80

EPLEFPA LES SARDIERES 79 AVENUE DE JASSERON 01 000 BOURG EN BRESSE Tel : 04.74.45.50.80 Maître d'ouvrage : EPLEFPA "LES SARDIERES" 79 AVENUE DE JASSERON 01 000 BOURG EN BRESSE Tel : 04.74.45.50.80 Objet : Récupération des eaux pluviales pour le jardin partagé des Sardières CAHIER DES CHARGES

Plus en détail

eedd LA PLANETE N EST PAS UNE POUBELLE 1/7

eedd LA PLANETE N EST PAS UNE POUBELLE 1/7 eedd LA PLANETE N EST PAS UNE POUBELLE 1/7 I- ETUDE D UNE PHOTOGRAPHIE DE YANN ARTHUS-BERTRAND : Stockage d ordures dans la périphérie de Saint-Domingue en République dominicaine au cœur des Caraïbes Légende

Plus en détail

Directives aux surveillants des contrôles périodiques

Directives aux surveillants des contrôles périodiques 1/3 Avant le début du contrôle Directives aux surveillants des contrôles périodiques Chef surveillant : 20 minutes avant le début de l examen, récupérer les examens, la liste de présences et le transparent

Plus en détail

PORTAGE DE REPAS A DOMICILE POUR PERSONNES AGEES. Chevet Henry Labonde Antoine Ngo Make Franck

PORTAGE DE REPAS A DOMICILE POUR PERSONNES AGEES. Chevet Henry Labonde Antoine Ngo Make Franck PORTAGE DE REPAS A DOMICILE POUR PERSONNES AGEES Chevet Henry Labonde Antoine Ngo Make Franck Question 1 On trouve des sites proposant des services analogues (portage de repas à domicile pour personnes

Plus en détail

L approche Casino en matière de développement durable?

L approche Casino en matière de développement durable? L approche Casino en matière de développement durable? 1 Les principaux enjeux pour Casino Optimiser la conception et la gestion des magasins (énergie, paysage, ) Environnement Maîtriser les impacts du

Plus en détail

Le Réseau intercommunal des bibliothèques

Le Réseau intercommunal des bibliothèques Réseau intercommunal des bibliothèques APPEL A CANDIDATURE POUR UNE RESIDENCE D AUTEUR Dans la période d octobre 2010 à janvier 2011, la Communauté de communes Vallée de l Hérault accueille un auteur en

Plus en détail

Très Haut débit et Aménagement du territoire

Très Haut débit et Aménagement du territoire Les réunions de terrain du Sénateur Très Haut débit et Aménagement du territoire Sondage des maires* 95 % (63% «tout de suite» + 32% à 5 ans) des maires ruraux veulent le très haut débit d ici 5 ans. *réalisé

Plus en détail