Une nouvelle norme pour l éclairage du lieu de travail NEN-EN : PH-NEN Brochure 2013 FR NIEUW.indd 1
|
|
- Léon Boudreau
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Une nouvelle norme pour l éclairage du lieu de travail NEN-EN : PH-NEN Brochure 2013 FR NIEUW.indd :49
2 Introduction Le 1er juin 2011 la Norme Européenne modifiée NEN-EN "Éclairage du lieu de travail 1ère partie Lieu de travail à l intérieur" est entrée en vigueur. Tout comme la version précédente, cette version pose des exigences minimales à l éclairage des lieux de travail à l intérieur en ce qui concerne le niveau d éclairage, l uniformité, l éblouissement et le rendu des couleurs. Ces exigences sont liées à la nature des activités à effectuer sous cet éclairage. Cette nouvelle version de la norme a fait l objet d une adaptation sur un certain nombre de points mais des ajouts à la première norme ont également été repris, qui tiennent compte des derniers développements dans l univers de l éclairage. Souvent les conceptions lumière ne sont évaluées que pour ce qui concerne l éclairage de la zone de la tâche à effectuer. En raison également des récents développements de l éclairage à LED, il arrive sur le marché de plus en plus de luminaires dotés d une distribution lumineuse étroite et ponctuelle. Les exigences quant à l éclairage de la zone de tâche sont certes satisfaites, mais le confort visuel n est pas mis en relief. La norme modifiée NEN-EN reprend des exigences complémentaires afin de garantir aussi le confort visuel dans l espace en question PH-NEN Brochure 2013 FR NIEUW.indd :49
3 À quoi se rapporte la norme NEN-EN ? 1. L éclairage des zones de tâche à effectuer La zone de tâche est la surface où est effectuée la tâche visuelle et elle peut se trouver dans n importe quelle position et à une hauteur quelconque dans l espace. L emplacement peut quant à lui être horizontal, vertical, ou tout ce qui existe entre les deux. L endroit où les travaux sont effectués ne sera pas toujours défini avec précision, prenez par exemple un bureau paysager. Il se peut aussi que la répartition de l espace ne soit pas encore connue. Dans pareils cas tout comme autrefois il faudra que cette partie de l espace où la tâche peut en toute logique être réalisée soit considérée comme telle. Autour de la zone de tâche se trouve un environnement immédiat auquel s appliquent des exigences plus faibles en matière d éclairage. En plus des exigences d éclairage pour les zones de tâche et l environnement immédiat, des exigences minimales ont également été posées à propos du niveau d éclairage dans le reste de l espace. Nous appelons cette zone la zone à l arrière-plan. 2. Éclairage de plans importants Pour veiller à ce que les murs et les plafonds reçoivent une luminosité suffisante par rapport aux zones de tâche et à l environnement immédiat, des recommandations sont faites pour les reflets de ces surfaces et des exigences minimales sont posées aux niveaux d éclairage sur ces surfaces. 3. Éclairage de l intérieur Pour compléter l éclairage de tâche il est important que l espace tout entier dans lequel se trouvent des personnes, soit bien éclairé. Le but est de mettre l accent sur des objets, souligner des textures et permettre une bonne communication visuelle entre les gens. On y parviendra surtout en veillant à un éclairement vertical et cylindrique de qualité dans l espace. 4. Grille de calcul et grille de mesure Contrairement à la version précédente de la norme NEN-EN des exigences sont reprises dans la présente norme pour les points de calcul et de mesure à pratiquer pour toutes les surfaces pertinentes. 5. Éblouissement La présente version de la norme pose enfin des exigences complémentaires aux limites d éblouissement direct et indirect. À quelles zones de tâche la norme s applique-t-elle? La norme NEN-EN pose des exigences d éclairage à une grande diversité d activités et d espaces dans lesquels celles-ci sont effectuées, depuis les salles d opération jusqu aux laminoirs. Les espaces généraux ainsi que les espaces de circulation y sont aussi repris. Dans les cas où, pour une tâche ou un espace défini, aucune exigence d éclairage spécifique n est citée, on déduira tout simplement ces exigences de tâches comparables qui sont effectivement nommées PH-NEN Brochure 2013 FR NIEUW.indd :49
4 Critères d éclairage Niveau d éclairement pratique Les performances d une installation d éclairage présentent un modèle de courbes descendantes dans le temps. À partir du moment de la réception d une nouvelle installation, le niveau d éclairement fourni diminuera progressivement. Ceci a diverses conséquences. Les lampes dispensent moins de lumière à mesure qu elles vieillissent et les surfaces qui s encrassent réflètent moins bien. Ce dernier point vaut aussi bien pour les luminaires que pour l espace lui-même. Vient alors le moment où les lampes doivent être remplacées et les surfaces encrassées nettoyées, après quoi le processus de dépréciation du flux se remet en marche. Éclairage des lieux de travail à l intérieur Facteur de conservation m Éclairement initial Les niveaux d éclairement sont des "valeurs finales" 100 % Éclairement actuel Niveau d éclairement pratique Intervalle d entretien Heures de fonctionnement Lors de l ébauche d une norme dans laquelle on indique un niveau d éclairement minimum sur la zone de tâche, il importe que cette valeur soit toujours obtenue, même lorsque les lampes atteignent la fin de leur durée de vie économique et que toutes les surfaces réfléchissantes ont besoin d une opération de nettoyage. Pour ce qui est besoin de lumière, il ne diminue pas. C est la raison pour laquelle la notion de "niveau d éclairement pratique" a été introduite. L éclairement pratique est la valeur la plus basse de l éclairement moyen sur la zone de tâche dans la période située entre deux révisions d entretien. Dans la pratique elle est atteinte au moment où toutes les anciennes lampes d une installation doivent être remplacées, et où les luminaires doivent également être nettoyés. Conservation du flux La question consiste bien entendu à savoir quel niveau d éclairement il faut installer pour faire en sorte que l éclairement pratique indiqué dans la norme soit obtenu en toute circonstance. Il faut pour cela calculer un facteur de maintien ("facteur de conservation du flux"). Ce dernier est défini au moyen des facteurs suivants : Dépréciation de la lampe, sans remplacement immédiat ; dépend du type de lampe et du temps écoulé entre deux révisions d entretien Conservation du flux des lampes pendant leur durée de vie ; suivant le type de lampe, la durée de vie économique de la lampe et l encrassement des lampes Encrassement des luminaires, notamment celui des composants optiques ; suivant le type de luminaire, l utilisation faite de l espace (pollution) et le temps écoulé entre deux révisions d entretien Pollution de l espace, ce qui diminue la partie de lumière réfléchie ; suivant la couleur et la texture du plafond, des murs et du sol et de l utilisation qui est faite de l espace Les facteurs séparés doit être multipliés pour donner la conservation totale du flux PH-NEN Brochure 2013 FR NIEUW.indd :49
5 EXEMPLE Un espace de bureau propre avec une installation d éclairage de grande qualité (TL5). L entretien a lieu lors du remplacement des lampes lorsqu elles ont atteint la durée de vie en service de heures de fonctionnement. La zone de tâche englobe tout l espace. Selon la norme NEN-EN la valeur minimale de l éclairement pratique est de 500 lux, pour le type de travail qui y est effectué. Pourcentage de survie des lampes après heures de fonctionnement 95 % Rendement lumineux des lampes après heures de fonctionnement 97 % (pourcentage de la valeur à l état neuf) Rendement du luminaire après heures de fonctionnement 96 % (pourcentage de la valeur à l état neuf) Propriétés de réflexion de l espace après heures de fonctionnement 96 % (pourcentage de la valeur à l état neuf) Flexibilité La nouvelle norme offre quelque souplesse en ce qui concerne l éclairement pratique, tant vers le haut que vers le bas. Il est vrai que la nature de chaque tâche à effectuer doit être décrite le plus précisément possible, mais de ce fait pas automatiquement la pénibilité de la tâche visuelle. Lorsque cette dernière est plus élevée que ce que l on peut attendre de la description de la tâche à effectuer, un niveau d éclairement pratique supérieur est également prescrit. En outre, la valeur minimale de l éclairement pratique peut être diminuée si la tâche visuelle s avère moins pénible que ce que l on pourrait attendre de la nature de l activité. Le niveau d éclairement pratique doit être augmenté lorsque : la tâche visuelle est critique ; la réparation des erreurs prend du temps ou est onéreuse ; la précision ou un rendement élevé sont importants ; des petits détails ou de faibles contrastes sont présents ; la tâche doit être effectuée pendant une durée inhabituellement longue ; la vue de l employé est inférieure à la normale. Pourcentage total du rendement lumineux après heures de fonctionnement: 0,95 x 0,97 x 0,96 x 0,96 = 85 % Le niveau d éclairement pratique peut être abaissé lorsque : les détails sont d une grosseur inhabituelle ou le contraste très élevé ; la tâche doit être effectuée sur une durée inhabituellement courte. Cela signifie que pour la nouvelle installation il faut installer 1/0,85 = 1,18 fois le niveau d éclairement pratique exigé de 500 lux. Ceci correspond à un éclairement moyen de 590 lux sur le plan de travail à l installation. L évaluation du facteur de conservation pour une installation neuve n est pas chose facile car les données sur l utilisation réelle font souvent défaut. Comme notice pratique, la CIE a fait en 1995 une proposition pour les valeurs préconisées pour différents types de lampes et de luminaires dans un environnement peu, moyennement ou très polluant. Par ailleurs, le processus de conservation du flux est sujet à un changement avec le temps. D une part la conservation du flux de nombreux types de lampes a fortement augmenté au cours des dernières décennies tandis que la pollution des espaces était également réduite, par exemple du fait que l on ne peut plus fumer sur le lieu de travail. D autre part la durée de vie économique des mêmes types de lampes a fortement augmenté et dans le même temps aussi la période entre deux révisions d entretien. Pour adapter le niveau d éclairement pratique, on a mis au point une échelle pas à pas, qui part de 20 lux, la valeur minimale qui permet de distinguer les traits. Chaque pas représente une différence en éclairement juste perceptible. Dans les cas précités on peut, selon les circonstances, adapter le niveau d éclairement pratique d un ou de plusieurs pas: et lux Les adaptations nommées ne sont valables que pour les zones de tâche PH-NEN Brochure 2013 FR NIEUW.indd :49
6 Zone de tâche La zone de tâche est la partie du lieu de travail ou de l espace de travail où est effectuée la tâche visuelle. La zone de tâche peut se trouver à n importe quelle hauteur, horizontalement, verticalement ou inclinée. Parfois les zones de tâche sont faciles à décrire. Dans un environnement de bureau, ce seront la surface du bureau et la table de conférence, éventuellement complétées d un tableau ou d un PC. On peut se demander s il est pratique de diviser un espace de bureau de façon si stricte en zones de tâches. Cela se fait au détriment de la flexibilité et les avantages, sous forme de plus grande qualité de lumière et d une consommation d énergie moindre, sont minimes. La norme cite pour presque chaque espace, tâche ou activité, quatre critères d éclairage, à savoir : Éclairement pratique Em sur la zone de tâche UGRL (la valeur limite pour l éblouissement inconfortable) Indice de rendu des couleurs (Ra) Uniformité de l éclairage sur la zone de tâche (Uo) Les chiffres indiqués dans la norme ne sont valables que pour la zone de tâche. (Uo) L éclairement de la zone à l arrière-plan doit s élever à au moins 1/3 de l éclairement pratique de la zone de tâche. L uniformité doit être supérieure ou égale à 0,10. Ces exigences sont valables pour une zone de 3,00 m de large autour de l environnement immédiat. Cette dimension ne s applique que lorsqu elle tombe aussi effectivement dans l espace. Espace de bureaux à zone de tâche définie Si l aménagement d un espace de travail est connu, l éclairage peut être choisi de façon à mettre en lumière les zones de tâche conformément à la norme. La zone d environnement immédiat ainsi que la zone à l arrière-plan seront calculées séparément. Cette façon d éclairer se fait toutefois au détriment de la flexibilité d utilisation de l espace Zone à l arrière-plan 165 lx Uniformité 0,10 Zone d environnement immédiat 300 lx Uniformité 0,40 Note : Dans certains cas il n est pas indiqué de valeurs minimales, si elles sont non pertinentes ou trop dépendantes d exigences architectoniques ou de goût personnel. C est ainsi qu aucune exigence quant au niveau d éclairement pratique ou la valeur UGR n est valable dans les restaurants. 0,50 m 3600 Zone de tâche 500 lx Uniformité 0,60 Dans l environnement immédiat d une largeur d au minimum 0,50 m s applique un niveau d éclairement d environ deux tiers de l éclairement sur la zone de tâche. L uniformité doit être ici supérieure ou égale à 0,40. Le tableau 1 reprend une vue d ensemble du rapport entre l éclairage de tâche et l éclairage de l environnement immédiat. Tableau 1 Espace de bureaux sans zone de tâche définie Si l aménagement et la décoration d un espace ne sont pas connus, on ne peut définir de zone de tâche spécifique. Dans ce cas, tout l espace doit être considéré comme zone de tâche à l exception d une zone périphérique de 0,50 m à partir des murs. La zone périphérique n a pas besoin d être reprise dans le calcul. Éclairement sur la zone de tâche E m (lux) Éclairement dans l environnement immédiat (lux) E m ,50 m Note : Bien que la norme au sens strict autorise des niveaux d éclairage inférieurs, nous conseillons pour les espaces où les personnes restent assez longtemps, de ne pas garder pour l éclairement moyen de valeurs inférieures à 200 lux (se reporter également à la norme NEN ergonomie visuelle par rapport à l éclairage) Zone de tâche 500 lx Uniformité 0, PH-NEN Brochure 2013 FR NIEUW.indd :49
7 Surfaces importantes (nouveau) Facteurs de réflexion Pour veiller à ce que les murs et le plafond ne soient pas trop sombres par rapport aux zones de tâche, des exigences complémentaires pour la mise en lumière de ces surfaces sont aujourd hui posées dans la norme NEN-EN Murs : 50 lux Plafond : 30 lux Pour réaliser un bon rapport de luminosité dans l espace, il est à conseiller de faire en sorte que les facteurs de réflexion de ces surfaces satisfassent aux valeurs suivantes : Plafond: 0,7 0,9 Murs : 0,5 0,8 Sol : 0,2 0,4 Note 1 : Dans les espaces où ces valeurs en raison de leurs dimensions, de leur complexité ou de limitations opérationnelles ne sont pas réalisables d un point de vue pratique, on autorise des valeurs inférieures. On pensera ici aux espaces tels que les entrepôts à rayonnages, les espaces industriels etc. Les facteurs de réflexion des principaux objets au sein de l espace devraient être situés entre 0,2 et 0,7. Note 2 : Dans certains espaces, en particulier des bureaux, salles de classe et espaces dans les services de santé publique, mais aussi pour des espaces communs tels que les entrées, les couloirs, paliers d escalier, il est recommandé d augmenter ces valeurs d éclairement à : Murs : 75 lux Plafond : 50 lux La raison de ces exigences complémentaires est de parvenir à un juste équilibre de luminosité au sein de l espace. En particulier l emploi de faisceaux trop étroits peut entraîner un éclairement trop faible sur les surfaces citées. L uniformité (Emin/Emoy) pour ces surfaces doit être 0, PH-NEN Brochure 2013 FR NIEUW.indd :49
8 Espace à l intérieur Pour permettre une bonne communication visuelle au sein de l espace, il est important de souligner le caractère reconnaissable des objets et des personnes. Un nouveau terme a été repris à cet effet dans la norme relative à l éclairage intérieur : Éclairement moyen cylindrique EZ Celui-ci peut être calculé en prenant la moyenne de l éclairement vertical mesuré ou calculé en un point dans les quatre directions orthogonales de l espace. Ceci est ensuite à effectuer pour toute la grille de calcul. EZ = ¼ (EV1 + EV2 + EV3 + EV4) L éclairement cylindrique ne vaut pas seulement pour la zone de tâche mais aussi pour tout l espace. EZ 50 lux Uniformité (Emin/Emoy) 0,10 Mesuré sur un plan horizontal et une hauteur par exemple de - 1,20 m pour des personnes assises - 1,50 m pour des personnes debout Note : Dans les espaces où une bonne communication visuelle est importante (bureaux, espaces de réunion, salles de classe, etc.) la norme préconise d augmenter cette valeur (EZ) à 150 lux. Note : En complément de l éclairement cylindrique moyen, l indice de modelé constitue également un paramètre de qualité pour une bonne communication visuelle. Le modelé est le rapport entre la lumière diffuse et la lumière directionnelle et il doit être équilibré. Les structures de surface deviennent mieux visibles et les personnes ont meilleure allure. Une lumière trop directe provoque de l ombre trop dure et une lumière trop diffuse donne un environnement morne. L indice de modelé est le rapport entre l éclairement cylindrique et l éclairement horizontal en un point déterminé. Une valeur entre 0,30 et 0,60 est un indicateur de bon modelé. Ce paramètre est pour le moment une recommandation PH-NEN Brochure 2013 FR NIEUW.indd :49
9 Éblouissement L éblouissement est l expérience provoquée par des surfaces claires dans le champ de vision et qui peut être perçue comme inconfortable ou gênante. Il existe deux sortes d éblouissement : L éblouissement direct, provoqué par les luminaires et autres sources lumineuses L éblouissement indirect, provoqué par la réflexion d une source lumineuse sur une surface lisse Des limites ont été fixées dans la norme NEN-EN pour les deux sortes d éblouissement, à savoir : Valeur UGR- pour l éclairement inconfortable Luminance des luminaires et des lampes Éblouissement réfléchi dans les écrans Valeur UGR pour l éblouissement inconfortable Dans la norme NEN-EN la méthode de l UGR (pour Unified Glare Rating) est appliquée. Elle est basée sur la luminance des parties claires de tous les luminaires dans un espace par rapport à la luminance de fond, vu depuis le point de vue normal d un ou plusieurs observateurs. L introduction d un observateur signifie que la gêne d éblouissement pour chaque endroit dans l espace et la direction d observation peut être différente, ce qui correspond à la réalité. Les facteurs ci-après jouent un rôle dans la définition de l UGR : forme et grandeur de l espace ; luminosité de surface (luminance) des murs, du plafond, du sol et autres grandes surfaces ; type de luminaire et protection ; luminance de lampe ; répartition des luminaires dans l espace ; position(s) de l observateur. Le domaine d application de l UGR est pour l instant encore assez limité. Il est uniquement valable pour les espaces rectangulaires ou carrés, dans lesquels une seule combinaison de lampe, luminaire et protection est appliquée. Elle ne peut avoir de distribution asymétrique de la lumière. Seul l éblouissement direct est déterminé, avec pour conséquence que l UGR d une installation d éclairage entièrement indirecte est toujours de 0. Aucune méthode valable n a encore été développée pour déterminer l éblouissement provoqué par la lumière du jour PH-NEN Brochure 2013 FR NIEUW.indd :49
10 Exemple de tableau d UGR Exemple : Dim. espace 4H x 8H Facteurs de réflexion 0,70/0,50/0,20 UGR = 16,3 Valeurs UGR corrigées (par 1x4300 lm) Coefficients de réflexion Plafond 0,70 0,70 0,50 0,50 0,30 0,70 0,70 0,50 0,50 0,30 Mur 0,50 0,30 0,50 0,30 0,30 0,50 0,30 0,50 0,30 0,30 Sol 0,20 0,20 0,20 0,20 0,20 0,20 0,20 0,20 0,20 0,20 Dimensions de l espace: Dans le sens transversal Dans le sens longitudinal X Y 2H 2H 15,7 17,0 16,0 17,3 17,6 17,0 18,3 17,3 18,6 18,9 3H 15,5 16,7 15,9 17,0 17,3 16,8 18,0 17,2 18,3 18,7 4H 15,4 16,5 15,8 16,8 17,2 16,7 17,9 17,1 18,2 18,5 6H 15,3 16,3 15,7 16,7 17,0 16,7 17,7 17,1 18,0 18,4 8H 15,3 16,2 15,7 16,6 17,0 16,6 17,6 17,0 17,9 18,3 12H 15,2 16,1 15,6 16,5 16,9 16,6 17,5 17,0 17,8 18,2 3H 2H 15,5 16,7 15,9 17,0 17,4 16,8 18,0 17,2 18,3 18,7 3H 15,4 16,4 15,8 16,7 17,1 16,7 17,7 17,1 18,0 18,4 4H 15,3 16,2 15,7 16,5 16,9 16,6 17,5 17,0 17,8 18,2 6H 15,2 16,0 15,6 16,3 16,8 16,5 17,3 16,9 17,6 18,1 8H 15,1 15,8 15,6 16,3 16,7 16,4 17,1 16,9 17,6 18,0 12H 15,1 15,7 15,5 16,2 16,6 16,4 17,0 16,8 17,5 17,9 4H 2H 15,4 16,5 15,8 16,9 17,2 16,7 17,8 17,1 18,2 18,5 3H 15,3 16,2 15,7 16,5 16,9 16,6 17,5 17,0 17,8 18,2 4H 15,2 16,0 15,6 16,3 16,8 16,5 17,3 16,9 17,6 18,2 6H 15,1 15,7 15,5 16,2 16,6 16,4 17,0 16,8 17,5 17,9 8H 15,0 15,6 15,5 16,1 16,5 16,3 16,9 16,8 17,4 17,8 12H 15,0 15,5 15,5 15,9 16,4 16,3 16,8 16,8 17,2 17,7 6H 2H 15,4 16,4 15,8 16,7 17,1 16,7 17,7 17,1 18,0 18,4 3H 15,2 16,0 15,6 16,3 16,8 16,5 17,3 16,9 17,6 18,1 4H 15,1 15,7 15,5 16,2 16,6 16,4 17,0 16,8 17,5 17,9 6H 15,0 15,5 15,5 15,9 16,4 16,3 16,8 16,8 17,2 17,7 8H 14,9 15,4 15,4 15,8 16,3 16,2 16,7 16,7 17,1 17,6 12H 14,9 15,3 15,4 15,7 16,2 16,2 16,6 16,7 17,0 17,5 L espace fait 8 m de large et 16 m de long. Les luminaires sont suspendus à 3,2 m de haut. L observateur est censé être assis (hauteur des yeux 1,2 m au-dessus du sol). Les facteurs de réflexion du plafond, des meurs et du sol sont respectivement de 0,70, 0,50 et 0,20. On détermine tout d abord H. C est la distance verticale entre le luminaire et l observateur, dans le cas présent donc 3,2 1,2 = 2 m. La largeur X de l espace st de 8 m, donc 4H, et la longueur Y est de16 m soit 8H. À partir des combinaisons de facteurs de réflexion 0,70, 0,50 et 0,20 en descendant dans le tableau jusqu à la combinaison 4H-12H, on trouve deux valeurs UGR : 15,0, lorsque l observateur regarde dans l espace dans le sens longitudinal à partir de sa position et 16,3 lorsqu il regarde dans le sens transversal à partir du mur long. La plus grande des deux valeurs trouvées est décisive PH-NEN Brochure 2013 FR NIEUW.indd :49
11 L échelle de qualité UGR L UGR peut prendre toute valeur, depuis 0 jusqu à une valeur très élevée, mais pour un jugement de qualité d une installation d éclairage l échelle pratique va d environ 15 à 30. En outre des différences inférieures à 1 peuvent à peine être constatées même par un œil exercé. Tout ceci a conduit à l introduction de cinq classes de qualité , où le chiffre le plus élevé produit l éblouissement le plus fort. Dans la pratique, cela correspond aux domaines d application suivants : 28 - circulations, couloirs 25 - salles d archivage, escaliers, ascenseurs 22 - espaces de réception 19 - activités de bureau normales 16 - dessin technique, stations de CAO L UGR est un signe de la qualité d une installation d éclairage, non pour un luminaire en particulier. Toutefois, Philips et d autres fabricants donnent l UGRR (R = espace de référence) pour les luminaires et protections sur base d un standard d espace de référence faisant par exemple 8H x 4H, avec des facteurs de réflexion moyens de 0,70, 0,50, 0,20 (plafond, murs, sol). De cette façon on obtient rapidement un bon aperçu permettant de savoir si une certaine combinaison de luminaire et de protection est valable pour le but fixé. UGRL La norme NEN-EN mentionne pour les exigences d éclairage par espace, tâche ou activité, la valeur UGRL. Ceci est la valeur la plus élevée autorisée d UGR pour l activité concernée (L = limite). Limitations du système UGR Le système UGR offre une méthode objective, vraiment utilisable pour déterminer la qualité d une installation d éclairage par rapport à l éblouissement inconfortable. Il montre clairement comment il peut varier en fonction de la position de l observateur et il indique aussi les cas où des situations à risques peuvent survenir. Dans l expérience d un espace mis en lumière des facteurs bien plus nombreux jouent toutefois un rôle. Même si l exigence d UGR est largement obtenue, des sources lumineuses, des directions de lumière ou des rapports de contraste mal choisis peuvent perturber le confort visuel, ce qui rend le travail moins agréable et le rendement diminue. Le choix des bons produits, basé sur la compréhension et l expérience reste par conséquent indispensable PH-NEN Brochure 2013 FR NIEUW.indd :49
12 Luminosité de luminaires et lampes Dans une installation d éclairage de qualité, un éblouissement gênant est pratiquement exclu. C est la tâche conjuguée du concepteur de luminaire et du conseiller en éclairage de prévenir de telles situations. Dans la norme NEN-EN sont indiqués les angles d occultation minimum avec l horizontale auxquels les luminaires doivent satisfaire, suivant la luminosité de surface de la (des) lampe(s) utilisées (voir tableau 2). Tableau 2 Angles minimum d occultation pour des luminances de lampe données Luminance de lampe kcd x m 2 Angle d occultation minimum 20 à < à < Éblouissement réfléchi dans les écrans Du fait de la nette amélioration de la qualité des écrans actuels, les exigences relatives à la luminosité maximale autorisée des luminaires a été assouplie. Il reste toutefois nécessaire d éviter des reflets gênants dans l écran. La norme ISO donne une description des différentes classes de qualité des écrans. Il est le plus souvent inévitable qu une partie des sources lumineuses soit réfléchie dans les écrans. Pour ces luminaires s appliquent des valeurs maximales pour la luminance moyenne à un angle de rayonnement de 65 par rapport à la verticale (voir tableau 4). On part ici d écrans placés verticalement ou inclinés vers l arrière de 15 au maximum. Les luminances des écrans citées dans le tableau sont les luminances de service et non les luminances maximales réalisables des écrans. C est pourquoi, dans la pratique on part souvent d écrans de luminance moyenne. Tableau 4 Valeurs limites pour les luminances moyennes des luminaires susceptibles d être réfléchies dans un écran Écrans à luminance élevée L > 200 cd-m -2 Écrans à faible luminance L 200 cd-m -2 Situation A Polarité positive et exigences standard concernant les couleurs et détails des informations disponibles, telles que dans un environnement de bureau, l enseignement etc cd-m cd-m -2 Situation B Polarité négative et/ou exigences supérieures concernant les couleurs et détails des informations fournies, telles que CAO, inspection de couleur, etc cd-m cd-m -2 Certaines tâches, activités ou caractéristiques d écran (surtout écrans brillants) demandent une attention particulière pour la conception lumière. Il conviendra de penser à des limites inférieures de luminance, possibilité de réglage individuel etc PH-NEN Brochure 2013 FR NIEUW.indd :49
13 Grille de calcul et grille de mesure La nouvelle version de la norme NEN-EN reprend un système de détermination du nombre minimum de points de calcul et de mesure. La zone de tâche, l environnement immédiat ainsi que le fond sont à déterminer séparément. Cette grille de calcul est valable pour la définition des éclairements horizontal et cylindrique. Les intervalles entre les points de la grille devraient de préférence être égaux dans le sens de la longueur et de la largeur. Le rapport entre les deux distances doit se situer entre 0,50 et 2,00. La distance maximale entre les points de mesure est définie à l aide de la formule p = 0,2 x 5log(d) Dans laquelle d est la mesure du côté le plus long de la surface de calcul (m). Si le rapport entre le côté long et le côté court de la surface de calcul est supérieur à 2, il faut alors, pour définir d, garder le côté court. p est la distance maximale de grille. (p 10 m) Tableau 5: Grille de calcul et de mesure Longueur (m) Distance maximale entre des points de calcul (m) Nombre minimum de points de calcul 0,40 0,15 3 0,60 0,20 3 1,00 0,20 5 2,00 0,30 6 5,00 0, ,00 1, ,00 2, ,00 3, ,00 5,00 20 On peut déduire une zone périphérique de 0,50 m de la grille de calcul, à moins qu une zone de tâche soit située (partiellement) dans cette zone périphérique PH-NEN Brochure 2013 FR NIEUW.indd :49
14 Indice de rendu des couleurs Ra La norme NEN-EN ne comporte aucune exigence ni recommandation pour la couleur de lumière. Celle-ci dépend trop de facteurs personnels et sociaux, d esthétique et de climat. C est une constante que sous un climat froid on préfère une température de couleur basse par exemple de 3000 K ("blanc chaud"), tandis que sous les tropiques on apprécie davantage une température de couleur de 6000 K ("blanc froid"). Pour l indice de rendu des couleurs, la norme NEN-EN place une exigence minimale pour presque tous les espaces où des tâches sont effectuées. L indice de rendu des couleurs est une échelle qui indique la perception du degré de reproduction fidèle d une série de couleurs test (8 ou 14). La valeur Ra la plus élevée possible est PH-NEN Brochure 2013 FR NIEUW.indd :49
15 Glossaire explicatif de la brochure CEN Zone de tâche La partie du lieu de travail où la tâche visuelle est effectuée. Dans les espaces où l étendue et/ou l endroit de la zone de tâche n est pas connu, on doit prendre comme zone de tâche la zone où la tâche visuelle peut être effectuée. Environnement immédiat Une zone d une largeur d au moins 0,5 m qui entoure la zone de tâche dans le champ de vision. Zone à l arrière-plan Une zone de 3 mètres autour de l environnement immédiat dans les limites de l espace Éclairement pratique (m) La plus faible valeur admissible d éclairement moyen sur la surface spécifiée. Éclairement moyen cylindrique (z) Il peut être calculé en prenant la moyenne de l éclairement vertical en un point dans les quatre directions orthogonales de l espace. Valeur UGR : Unified Glare Rating L UGR est le degré de gêne directe totale, provoquée par tous les luminaires de l installation d éclairage. Éblouissement inconfortable Le degré d éblouissement inconfortable, directement causé par les luminaires d une installation d éclairage, doit être fixé à l aide du tableau extrait de la méthode de la CIE Unified Glare Rating (UGR); les valeurs dans le tableau sont calculées avec la formule. Indice de rendu des couleurs Il indique la fiabilité de rendu des couleurs. Symbole : Ra maximum 100. À mesure que l indice Ra augmente le rendu des couleurs s améliore. La comparaison n a de sens que pour des lampes ayant (à peu près) la même température de couleur. Température de couleur Elle détermine pour beaucoup l impression visuelle de l espace éclairé. La lumière ayant une température de couleur basse fait une impression plus chaude que la lumière dont la température de couleur est élevée. Elle s exprime en Kelvin (K). Nous distinguons quatre catégories : blanc extra chaud (jusqu à 2900 K), blanc chaud ( K), blanc neutre ( K) et blanc froid (5000 K et plus). Uniformité Le rapport de l éclairement minimal à l éclairement moyen sur la surface. Lux L unité standard de l éclairement d une surface qui est mise en lumière. Un Lux est un lumen par mètre carré. Flux lumineux (unité : Lumen) Le flux lumineux total qui est rayonné par une source lumineuse. Également la quantité totale de lumière qui tombe sur un lieu de travail. Le rendement lumineux d une source de lumière se mesure en lumen. Éblouissement de réflexion L éblouissement provenant de la réflexion de la lumière. Luminance (unité : cd/m 2 ) L intensité lumineuse par mètre carré de surface apparente de la source lumineuse, du luminaire ou de la surface éclairée. Lorsqu une surface est éclairée, la luminance dépend aussi bien du niveau d éclairage que de la propriété de réflexion de la surface elle-même PH-NEN Brochure 2013 FR NIEUW.indd :49
16 Pour de plus amples informations : Philips Nederland B.V. Divisie Licht Postbus PB Eindhoven lichtmail@philips.com Licht infoservice Tel. +31 (0) Fax +31 (0) licht.infoservice@philips.com Documentatieservice Tel. +31 (0) Fax +31 (0) licht.documentatie@philips.com 2012 Koninklijke Philips Electronics N.V. Tous droits réservés. La reproduction partielle ou totale est interdite sans l accord écrit préalable du titulaire des droits d auteur. Les informations présentées dans ce document ne font partie d aucun devis ou contract. Elles sont réputées être exactes et fiables et peuvent être modifiées sans avis préalable. L editeur décline toute responsabilité quant à leur utilisation sur un quelconque brevet ou autre titre de propriété industrielle ou intellectuelle que qu il soit. Numéro de commande du document : xxxxx 07/2011 Sous réserve de modifications PH-NEN Brochure 2013 FR NIEUW.indd :49
U7/R7 Un éclairage avancé dans un design unique
U7/R7 U7/R7 Un éclairage avancé dans un design unique 2 ETAP U7/R7 Avec U7 et R7, faites entrer chez vous l éclairage du futur. Les luminaires utilisent la technologie LED+LENS et ont été mis au point
Plus en détailLe remplacement d un tube fluo T8 par un tube LED dans les écoles : la synthèse pour le directeur
Le remplacement d un tube fluo T8 par un tube LED dans les écoles : la synthèse pour le directeur Un tube fluo de 1.500 mm et de 58 W consomme 68 W avec son ballast. Dans certains cas, il pourrait être
Plus en détailRéférentiel Handicap. Référentiel Handicap. 2 e seuil de bonification. Logement collectif neuf. Logement individuel neuf
2 e seuil de bonification page 1/5 identification du/des logement(s) concerné(s) Nom du bailleur Nom de l opération Logement individuel neuf Adresse de l opération Référence du/des logement(s) concerné(s)
Plus en détailACADÉMIE D ORLÉANS-TOURS NOTE D INFORMATION n 21
ACADÉMIE D ORLÉANS-TOURS NOTE D INFORMATION n 21 HYGIENE ET SÉCURITÉ JUIN 2001 Francis MINIER Inspecteur d Hygiène et de Sécurité Correspondant académique à la sécurité Tel : 02 38 79 46 64 Secrétariat
Plus en détailÉclairage naturel L5C 2009/2010. Aurore BONNET
Éclairage naturel L5C 2009/2010 Aurore BONNET Introduction : Les 2 aspects de l éclairage naturel : Introduction : Les 2 aspects de l éclairage naturel : l ensoleillement et l éclairage diffus L ENSOLEILLEMENT
Plus en détailAccessibilité locaux existants ERP 5ème catégorie
Auto-évaluation(1) Accessibilité locaux existants ERP 5 ème catégorie (Est considéré comme Etablissement Recevant du Public de 5 ème catégorie tout magasin de vente dans lequel l effectif du public admis
Plus en détailCOMMERCES. Auto-évaluation accessibilité ERP existants 5 ème catégorie
Auto-évaluation(1) Accessibilité locaux existants ERP 5 ème catégorie (Est considéré comme Etablissement Recevant du Public de 5 ème catégorie tout magasin de vente dans lequel l effectif du public admis
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DES TRANSPORTS, DE L ÉQUIPEMENT, DU TOURISME ET DE LA MER Arrêté du 15 janvier 2007 portant application du décret n o 2006-1658 du 21 décembre 2006
Plus en détailLes escaliers nécessitent quelques particularités pour assurer la sécurité de tous.
SUJETS DE LA FICHE-CONSEILS 1. Marches et contremarches 2. Mains-courantes 3. Dégagement sous une volée d escaliers 4. Surfaces repères et sécurité fonctionnelle Les escaliers nécessitent quelques particularités
Plus en détailCommune X. Quelles nouvelles exigences pour l accessibilité de la voirie? Les prescriptions techniques de l arrêté du 15 janvier 2007
Commune X Quelles nouvelles exigences pour l accessibilité de la voirie? Les prescriptions techniques de l arrêté du 15 janvier 2007 Centre d'études Techniques de l'équipement Méditerranée Les cheminements
Plus en détailÉTABLISSEMENTS RECEVANT DU PUBLIC (ERP) INSTALLATIONS OUVERTES AU PUBLIC (IOP) NOTICE D ACCESSIBILITÉ AUX PERSONNES HANDICAPÉES
ÉTABLISSEMENTS RECEVANT DU PUBLIC (ERP) INSTALLATIONS OUVERTES AU PUBLIC (IOP) NOTICE D ACCESSIBILITÉ AUX PERSONNES HANDICAPÉES Textes de référence : Champ d application : Code de la Construction et de
Plus en détailMieux vivre avec votre écran
Mieux vivre avec votre écran Ajustez le poste de travail La position la plus confortable pour la lecture de l écran et la frappe sur clavier est celle qui permet le respect des principes suivants : A.
Plus en détailLighting. Tubes LED. Avec les tubes LED Philips, prenez une LED d avance
Lighting Tubes LED Avec les tubes LED Philips, prenez une LED d avance 2 gammes de tubes LED pour répondre à tous vos besoins Les tubes LED Philips, MASTER LEDtube et CorePro LEDtube, une solution simple,
Plus en détailAccessibilité d'un bâtiment d habitation collectif neuf
Accessibilité d'un bâtiment d habitation collectif neuf Points examinés R = 1. Généralités L opération de construction entre dans la définition des bâtiments d habitation collectifs ("oui" aux 2 critères
Plus en détailLUXOMAT Exemples d implantation pour électriciens et bureau d études
B.E.G. LUXOMAT d implantation LUXOMAT d implantation pour électriciens et bureau d études Indexe Profitez des nombreuses années d expérience de B.E.G. pour planifier et installer avec succès et en toute
Plus en détailLe LED permet-il réellement de réaliser des économies d'énergie? Le confort est-il assuré? Points d'attentions et cas vécus
Séminaire à Namur - le 24 octobre 2014 Le LED permet-il réellement de réaliser des économies d'énergie? Le confort est-il assuré? Points d'attentions et cas vécus Ingrid Van Steenbergen Consultante en
Plus en détailASCENSEUR ET APPAREILS ÉLÉVATEURS
OBJECTIFS a. Permettre d accéder facilement à tous les niveaux en toute sécurité et sans se heurter à un obstacle. b. Prévoir un accès direct à tous les niveaux d un bâtiment dès sa conception. c. Assurer
Plus en détailNOUVEAU DISPOSITIF REGLEMENTAIRE Les ERP
Loi pour l Égalité des Droits et des Chances, la Participation et la Citoyenneté des Personnes Handicapées (EDCPCPH) NOUVEAU DISPOSITIF REGLEMENTAIRE Les ERP 1 1 Quel classement pour les ERP? Le classement
Plus en détailNormes techniques d'accessibilité
Normes techniques d'accessibilité Informations tirées du site de la CRIPH (Cellule de Recrutement et d Insertion des Personnes Handicapées) La notion d accessibilité intègre plusieurs composantes : l accès
Plus en détailASCENSEUR ET APPAREILS ÉLÉVATEURS 08
SUJETS DE LA FICHE-CONSEILS 1. Informations 2. Isonivelage 3. Portes 4. Marquage d étage 5. Caractéristiques de la cabine 6. Boutons au palier 7. Sécurité fonctionnelle 8. Appareils élévateurs 9. Types
Plus en détailNOM équipement. Notice accessibilité pour les établissements recevant du public
NOM équipement Notice accessibilité pour les établissements recevant du public Textes de référence : Loi n 2005-102 du 11 février 2005 Décret n 2006-555 du 17 mai 2006 Arrêté du 1er Règles en vigueur considérées
Plus en détailaccessibilité des maisons individuelles neuves
accessibilité des maisons individuelles neuves Conseil d Architecture, d urbanisme et de l environnement du Gard 2012 Depuis la loi de Février 2005, toutes les constructions neuves de type logement individuel
Plus en détailBien concevoir son projet de SALLE DE BAINS
Bien concevoir son projet de SALLE DE BAINS Une salle de bains bien pensée...... Lapeyre vous aide à la réaliser Un projet bien préparé, c est la clé de la réussite. Avant de rencontrer un conseiller LAPEYRE,
Plus en détailProthésistes dentaires. Aide au cahier des charges d un nouveau laboratoire
Prothésistes dentaires Aide au cahier des charges d un nouveau laboratoire Carsat Centre Ouest Assurance des risques professionnels 37, avenue du Président René Coty 87048 LIMOGES CEDEX LOCAUX DE TRAVAIL
Plus en détailParking. Les places accessibles devront être les plus proches de l entrée.
Parking Si vous avez un parking privé, 2% des places devront être accessibles : largeur minimum 3,30 m, place et devers de pente maxi 2%, signalétique horizontale et verticale. Les places accessibles devront
Plus en détail«La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE
«La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE P2-f & P4-f - 185/180 - Standard P2-f & P4-f - 170/165 - Compact P2-f & P4-f - 200/195 - Confort MODELE H DH P2f-4f - 185/180 - Standard 340 171 P2f-4f - 170/165 - Compact
Plus en détailCHROMOPHARE Génération F : éclairage innovant à réflecteur avec LED. Un concept et un design d'éclairage qui réunissent fonctionnalité et esthétique
CHROMOPHARE Génération F : éclairage innovant à réflecteur avec LED Un concept et un design d'éclairage qui réunissent fonctionnalité et esthétique Tuttlingen, novembre 2011 - La nouvelle CHROMOPHARE Génération
Plus en détailF3. NORMES TECHNIQUES RELATIVES A L ACCESSIBILITE AU CABINET MEDICAL
Le pour les I - Les cheminements extérieurs Article 2 «[ ] Lorsqu une dénivellation ne peut être évitée, un plan incliné de pente inférieure ou égale à 5 % doit être aménagé afin de la franchir. Les valeurs
Plus en détailFICHE TECHNIQUE ENERGIE «ECLAIRAGE»
FICHE TECHNIQUE ENERGIE «ECLAIRAGE» Sources : syndicat de l éclairage et CNIDEP A. ETAT DE L ART 1. Caractéristiques générales L éclairage a pour vocation : - D assurer de bonnes conditions de travail,
Plus en détailAccessibilité / voirie et espaces publics DDE 27 1 1
Accessibilité > voirie et espaces publics Réglementation et mise en oeuvre Accessibilité / voirie et espaces publics DDE 27 1 1 Les références réglementaires Le cadre législatif Loi n 2005-102 du 11 février
Plus en détail- Grille d'autodiagnostic Restaurant
- Grille d'autodiagnostic Restaurant L objectif de ce document est de permettre aux exploitants de se forger un aperçu du niveau d accessibilité de leur établissement face aux obligations de mise en conformité
Plus en détailSécurité des machines CE neuves è Grille de détection d anomalies
Sécurité des machines CE neuves Grille de détection d anomalies ED 4450 Document uniquement téléchargeable sur www.inrs.fr Afin de ne pas exposer les opérateurs à des risques d accident ou de maladie professionnelle,
Plus en détailLampes à DEL EcoShine II Plus
Lampes à DEL EcoShine II Plus LAMPES POUR TABLETTE, RAIL et PAVILLON POUR COMPTOIRS MULTI-NIVEAUX, LIBRE-SERVICE ET DE PRODUITS SPÉCIALISÉS Une efficacité d éclairage maximale dans la vente d aliments
Plus en détailGuide de l Accessibilité. des Etablissements. Recevant du Public
Guide de l Accessibilité des Etablissements Recevant du Public Direction du Développement Commerce Tourisme Réaliser un projet qui garantit l égalité d accès : S assurer que les entrées principales soient
Plus en détail.4..ESCALIER. Critères d'accessibilité répondant aux besoins des personnes ayant une déficience visuelle. 4.1 Concept de base
énovation.4..escalie. 4.1 Concept de base S assurer que l emplacement des escaliers soit uniforme d un étage à l autre pour que leur localisation soit prévisible. egrouper l'escalier et les principaux
Plus en détailConstructions sans obstacles Correctif C2 à la norme SIA 500:2009
SIA 500-C2:2013 Bâtiment, génie civil 521 500-C2 Constructions sans obstacles Correctif C2 à la norme SIA 500:2009 Numéro de référence: SN 521500-C2:2013 fr Valable dès: 2013-10-01 Éditeur Société Suisse
Plus en détailSystème de surveillance vidéo
Conrad sur INTERNET www.conrad.fr N O T I C E Version 12/01 Entretien Pour un fonctionnement correct de votre système de surveillance vidéo, prenez note des conseils suivants : 1/ Tenez la caméra et le
Plus en détailConsulter le Modèle d Accessibilité de référence. Le modèle a considéré quatre types de diversité fonctionnelle :
Consulter le Modèle d Accessibilité de référence. Le modèle a considéré quatre types de diversité fonctionnelle : Personnes ayant une diversité fonctionnelle physique Personnes ayant une diversité fonctionnelle
Plus en détailConseils déco express Comment éclairer une pièce, décorer vos murs, habiller vos fenêtres?
Conseils déco express Comment éclairer une pièce, décorer vos murs, habiller vos fenêtres? Textes rédigés pour le site www.mmatravodeco.com Reportage : projet de décoration Bambù, Paris 14 e Photos : Béatrice
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L ÉGALITÉ DES TERRITOIRES ET DU LOGEMENT Arrêté du 14 mars 2014 fixant les dispositions relatives à l accessibilité des logements destinés à l
Plus en détailRappel des principaux éléments de la réglementation valable pour tous les commerces. Accessibilité des établissements recevant du public
Rappel des principaux éléments de la réglementation valable pour tous les commerces Les handicapés doivent circuler, accéder et utiliser les établissements recevant du public au même titre que chaque citoyen.
Plus en détailDOUBLE PARK ECO «La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE
DOUBLE PARK ECO «La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE P2-F et P4-F 185 (Modèle standard) P2-F et P4-F 170 MODELE P2/4-F 170 P2/4-F 185 (Standard) P2/4-F 195 P2-F et P4-F 195 H 325 340 350 DH 156 171 181
Plus en détailFONTANOT CREE UNE LIGNE D ESCALIERS IMAGINÉE POUR CEUX QUI AIMENT LE BRICOLAGE.
STILE FONTANOT CREE UNE LIGNE D ESCALIERS IMAGINÉE POUR CEUX QUI AIMENT LE BRICOLAGE. 2 3 Magia. Une gamme de produits qui facilitera le choix de votre escalier idéal. 4 06 Guide pour la sélection. 16
Plus en détailHUMAIN SIMPLE LYON. ACCeSSIBLE FACILE. aménager A TOUS ACCUEILLANT. www.lyon.fr. Janvier 2009. Les clés de la réglementation
Janvier 2009 SIMPLE HUMAIN aménager ACCUEILLANT LYON FACILE A TOUS ACCeSSIBLE DIRECTION DU DÉVELOPPEMENT TERRITORIAL ACCESSIBILITE LOGEMENT COLLECTIF Les clés de la réglementation www.lyon.fr Nos enjeux
Plus en détail- Notice explicative Hôtels
- Notice explicative Hôtels Ce document apporte des précisions référencées à la grille d auto-évaluation (dernière colonne) pour permettre de comprendre les attendus de la réglementation en matière d accessibilité.
Plus en détailKIT D AIDE A LA MISE EN ACCESSIBILITE DES ETABLISSEMENTS DE TOURISME ET DE COMMERCE Édition Janvier 2015 FICHE N 2B RENDRE MON RESTAURANT ACCESSIBLE
KIT D AIDE A LA MISE EN ACCESSIBILITE DES ETABLISSEMENTS DE TOURISME ET DE COMMERCE Édition Janvier 2015 FICHE N 2B RENDRE MON RESTAURANT ACCESSIBLE RAPPEL : Pour les ERP classés 1, 2, 3, 4e catégorie
Plus en détailCADRE BATI : ERP NEUFS ET EXISTANTS
3ème RENCONTRE TECHNIQUE DE L'ACCESSIBILITE CADRE BATI : ERP NEUFS ET EXISTANTS Patricia QUOY et Carole ROUGEOLLÉ DDT 91 - STANE 29/06/12 CADRE REGLEMENTAIRE Définition d'un ERP (R.123-2 du CCH) = lieu
Plus en détailLes Cheminements piétons
Les Cheminements piétons 2 Les cheminements Le cheminement usuel doit être le plus court possible. Il lie entre eux tous les maillons de la vie sociale. Domicile Services publics Écoles Transports Travail
Plus en détailNouveau règlement Accessibilité Handicapés
Nouveau règlement Accessibilité Handicapés 1 Les principaux points à retenir en synthèse Prise en compte de tous les handicaps notamment physique, cognitif, mental ou psychique Exigences de performance
Plus en détailLe plombier chauffagiste a aussi besoin de cette représentation pour savoir ce qu il y a à l intérieur de la maison au niveau des hauteurs.
Les informations du plan Vous connaissez trois types de représentation d un pavillon : 1 : La perspective 2 : Les façades (page 2 ) 3 : La vue en plan (page 3) Observer attentivement la vue de la page
Plus en détailLoi pour l Égalité des Droits et des Chances, la Participation et la Citoyenneté des Personnes Handicapées (EDCPCPH)
1 Loi pour l Égalité des Droits et des Chances, la Participation et la Citoyenneté des Personnes Handicapées (EDCPCPH) NOUVEAU DISPOSITIF REGLEMENTAIRE ERP Principales nouveautés du décret : «ERP NEUFS»
Plus en détailNotice d accessibilité des personnes handicapées aux établissements recevant du public et aux installations ouvertes au public (E.R.P. et I.O.P.
Notice d accessibilité des personnes handicapées aux établissements recevant du public et aux installations ouvertes au public (E.R.P. et I.O.P.) ----------------- Accessibilité Avril 2009 (d'autres types
Plus en détailCONSULTATION PROPRETE DES LOCAUX
CONSULTATION PROPRETE DES LOCAUX Exécution de prestations de nettoyage de locaux administratifs situés : - site n 1 : 24 rue des Ingrains 36022 CHATEAUROUX - site n 2 : 10 rue d Olmor 36400 LA CHATRE Critères
Plus en détailKardó. Une combinaison infinie de lumiere
Kardó Une combinaison infinie de lumiere CONCEPT Design: eer architectural design, Belgique 2 - Kardó Kardó est un système d éclairage spécial qui permet de s adapter à l architecture à travers tout le
Plus en détailSUJETS DE LA FICHE-CONSEILS
SUJETS DE LA FICHE-CONSEILS 1. Lignes directrices 2. Issue extérieure au niveau du sol Accès et aire de manœuvre Sécurité fonctionnelle 3. Étages desservis par un Bâtiment protégé par des extincteurs automatiques
Plus en détailL EVACUATION DES PERSONNES EN SITUATION DE HANDICAP
L EVACUATION DES PERSONNES EN SITUATION DE HANDICAP Groupement prévention du SDIS 85 PREAMBULE La loi n 2005-102 du 11 février 2005 pour l égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté
Plus en détailCOMMUNE DE DE SAINT-DENIS-D AUTHOU 1, rue Principale 28480 Saint-Denis-d Authou
COMMUNE DE DE SAINT-DENIS-D AUTHOU 1, rue Principale 28480 Saint-Denis-d Authou AMENAGEMENT D UN GITE RURAL Rue des Tilleuls 28480 Saint-Denis-d Authou DOSSIER DE DEMANDE DE PERMIS DE CONSTRUIRE MAÎTRISE
Plus en détailKIT D AIDE A LA MISE EN ACCESSIBILITE DES ETABLISSEMENTS DE TOURISME ET DES COMMERCES Édition Février 2015 FICHE N 2A RENDRE MON HÔTEL ACCESSIBLE
KIT D AIDE A LA MISE EN ACCESSIBILITE DES ETABLISSEMENTS DE TOURISME ET DES COMMERCES Édition Février 2015 FICHE N 2A RENDRE MON HÔTEL ACCESSIBLE RAPPEL : Pour les ERP classés 1, 2, 3, 4e catégorie : Ces
Plus en détailLe Code du Travail, les E.R.P., Autres Décrets & Arrêtés S.D.I.
Le Code du Travail, les E.R.P., Autres Décrets & Arrêtés Le Code du Travail R 232-1-13: La signalisation relative à la sécurité et à la santé au travail doit être conforme à des modalités déterminés par
Plus en détailNOTICE DESCRIPTIVE DETAILLEE DE L ACCESSIBILITE DES ETABLISSEMENTS RECEVANT DU PUBLIC
NOTICE DESCRIPTIVE DETAILLEE DE L ACCESSIBILITE DES ETABLISSEMENTS RECEVANT DU PUBLIC Code de la Construction de l Habitation : articles L 111-7-1 à L 111-26, L 125-2-4, L 151-1, R 111-19, R 111-19-1 à
Plus en détailCLEANassist Emballage
Emballage Dans la zone d emballage, il est important de vérifier exactement l état et la fonctionnalité des instruments, car ce sont les conditions fondamentales pour la réussite d une opération. Il est
Plus en détailConception de bâtiments d habitation adaptés aux personnes âgées Aide-mémoire
Octobre 2009 Conception de bâtiments d habitation adaptés aux personnes âgées Aide-mémoire L intégration de personnes âgées ou souffrant d un handicap est une tâche importante de notre société. Les personnes
Plus en détailService départemental d incendie et de secours du Territoire de Belfort
Service départemental d incendie et de secours du Territoire de Belfort Fiche technique 2011 / 01 Nouvelles dispositions prévues par le règlement de sécurité pour l évacuation des personnes en situation
Plus en détailL ACCUEIL DU PUBLIC 3.1 REPÉRAGE DE LA BANQUE D ACCUEIL PRINCIPES GÉNÉRAUX DE L ACCESSIBILITÉ CE QUE DIT LA LOI RECOMMANDATIONS
3 3.1 REPÉRAGE DE LA BANQUE D ACCUEIL PRINCIPES GÉNÉRAUX DE L ACCESSIBILITÉ L accueil doit pouvoir être identifié et atteint dès le franchissement de la porte d accès du bâtiment. Pour les personnes déficientes
Plus en détailLe stationnement Le cheminement extérieur L entrée du bâtiment Le cheminement intérieur Les sanitaires. à faire. à ne pas faire
É D I T O «En juin 00, dans le cadre de sa Charte de Développement Durable, le Pays Yon et Vie s est donné pour ambition d offrir à ses habitants des services adaptés et accessibles à tous. Certains publics
Plus en détailBancs publics. Problématiques traitées : FICHE
Bancs publics Pour un piéton dont les ressources de mobilité sont limitées, le banc public n est pas uniquement un lieu de détente, mais il lui sert également à retrouver des forces pour poursuivre son
Plus en détailKIT D AIDE A LA MISE EN ACCESSIBILITE DES ETABLISSEMENTS DE TOURISME ET DE COMMERCE Édition Janvier 2015 FICHE N 2D RENDRE MON COMMERCE ACCESSIBLE
KIT D AIDE A LA MISE EN ACCESSIBILITE DES ETABLISSEMENTS DE TOURISME ET DE COMMERCE Édition Janvier 2015 FICHE N 2D RENDRE MON COMMERCE ACCESSIBLE RAPPEL : Pour les ERP classés 1, 2, 3, 4e catégorie :
Plus en détailDOSSIER : TOURISME ET HANDICAP
DOSSIER : TOURISME ET HANDICAP Dossier à l intention des professionnels souhaitant s améliorer dans l accueil des personnes handicapées. Réaliser les aménagements fondamentaux pour l accueil des personnes
Plus en détailPrise en compte des nœuds constructifs dans la PEB Formation développée dans le cadre de PATHB2010
Prise en compte des nœuds constructifs dans la PEB Formation développée dans le cadre de PATHB2010 PROGRAMME DE FORMATION Dans le cadre du PROJET PAThB2010 Practical Approach for Thermal Bridges 2010 AVEC
Plus en détailJean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER. Laure Delaporte ConstruirAcier. Jérémy Trouart Union des Métalliers
Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER Laure Delaporte ConstruirAcier Jérémy Trouart Union des Métalliers Jean-Marc SCHAFFNER des Ateliers SCHAFFNER chef de file du GT4 Jérémy TROUART de l Union des Métalliers
Plus en détailEXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)
BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre
Plus en détailCalculs Computional fluide dynamiques (CFD) des serres à membrane de Van der Heide
Calculs Computional fluide dynamiques (CFD) des serres à membrane de Van der Heide J.B. Campen Wageningen UR Glastuinbouw, Wageningen xxx 2007 Rapport xxx 2007 Wageningen, Wageningen UR Glastuinbouw Tous
Plus en détailAccessibilité des ERP existants
CONSEIL D ARCHITECTURE D URBANISME ET DE L ENVIRONNEMENT DU TARN Accessibilité des ERP existants 27 janvier 2015 www.caue-mp.fr 188, rue de Jarlard 81000 ALBI - Tél : 05 63 60 16 70 - Fax : 05 63 60 16
Plus en détailACSBR_DEA_FR1111_Layout 1 18/11/2011 12:54 Page 1. Indépendance à domicile. Retrouvez votre liberté de mouvement chez vous
ACSBR_DEA_FR1111_Layout 1 18/11/2011 12:54 Page 1 Indépendance à domicile Retrouvez votre liberté de mouvement chez vous ACSBR_DEA_FR1111_Layout 1 18/11/2011 12:54 Page 2 Avec un Monte-Escalier Acorn vous
Plus en détailSolar Heating System Factsheet (SHSF) - Dossier guide
Solar eating System Factsheet (SSF) - Dossier guide Les Factsheets (feuille de données) publiés sur la page Internet de SPF résument les résultats des tests des systèmes solaires pour la production d eau
Plus en détailEnsemble léger de prise de photo sous UV-A Tam Photo Kit n 1 pour appareil photo compact
Ensemble léger de prise de photo sous UV-A Tam Photo Kit n 1 pour appareil photo compact Phone +33 (0)130 808 182 - Fax. +33 (0)130 808 199 /15 rue des Frères Lumière - ZI des Ebisoires BP136-78374 PLAISIR
Plus en détailDÉCOUVERTE DE CAPTURE ONE
Page 1/12 DÉCOUVERTE DE CAPTURE ONE PREMIERS PAS Lorsqu'on a l'habitude ce logiciel on effectue toutes les opérations ( ou presque avec lui ), y compris le transfert des fichiers depuis l'apn vers le disque
Plus en détailGUIDE. des BONNES EN COULEUR. accessibilité. En partenariat :
GUIDE des BONNES PRATIQUES de MISE EN COULEUR accessibilité En partenariat : L UPPF 1, partant du principe que ce qui est bien pour une minorité le devient pour la majorité restante, a pris l initiative
Plus en détailLa réglementation et les obligations qui en découlent
Accessibilité en milieu urbain La réglementation et les obligations qui en découlent Actualités : les BEV La norme Afnor NF P 98-351 relative aux caractéristiques et essais des dispositifs podotactiles
Plus en détailOrientation professionnelle Charpentier bois
Orientation professionnelle Charpentier bois 1-6 Elève Date: 1. Titre de l' U.E. : Construction d'escalier 1 2. Matière / Classe : Technologie, 2 ème année de formation 3. Thèmes des séquences de cours
Plus en détailGuide de l Accessibilité des ERP
Guide de l Accessibilité des ERP Comment rendre votre établissement accessible aux handicapés et assurer la continuité de votre accueil du public pendant les travaux de mise aux normes. Sommaire 1. Introduction
Plus en détailPHOTO PLAISIRS. La Lumière Température de couleur & Balance des blancs. Mars 2011 Textes et Photos de Bruno TARDY 1
PHOTO PLAISIRS La Lumière Température de couleur & Balance des blancs Mars 2011 Textes et Photos de Bruno TARDY 1 Blanc Infrarouge Flash Température Lumière RVB Couleur chaude Couleur Couleur Couleur Incandescente
Plus en détailConneCtez-vous au soleil. au soleil
ConneCtez-vous au soleil ConneCtez-vous au soleil «L éclairage intérieur est un trait de caractère majeur de l ambiance d un bâtiment. Une lumière naturelle engendre une sensation de bien-être et de confort
Plus en détailELEGANT ET COMPACT. Pièces frontales décoratives ETAP
K1 ELEGANT ET COMPACT 2 K1 ETAP K1 possède une forme élégante et compacte qui s intègre aux environnements les plus variés. La gamme très complète utilise différentes sources lumineuses et des possibilités
Plus en détailLES CIRCULATIONS VERTICALES
5 5.1 LES ESCALIERS FOCUS 1 : LA SIGNALÉTIQUE PRINCIPES GÉNÉRAUX DE L ACCESSIBILITÉ Les escaliers constituent un obstacle pour certains usagers ne pouvant pas ou ayant du mal à se déplacer en marchant.
Plus en détailLE TRAVAIL SUR ÉCRAN DANS LA BRANCHE DES TÉLÉCOMMUNICATIONS
LE TRAVAIL SUR ÉCRAN DANS LA BRANCHE DES TÉLÉCOMMUNICATIONS DOCUMENT ÉTABLI PAR LA COMMISSION PARITAIRE SANTÉ ET PRÉVENTION DES RISQUES DES TÉLÉCOMMUNICATIONS LE CONTEXTE Quel que soit le secteur d activité,
Plus en détailSur une aire de stationnement, accessible par tranche de 50 places.
Handicap : Les normes d'accessibilité La loi du 11 février 2005 est l'une des principales lois sur les droits des personnes handicapées, depuis la loi de 1975. Elle réaffirme que les locaux d habitation,
Plus en détailX-Rite RM200QC. Spectrocolorimètre d'imagerie portable
Spectrocolorimètre d'imagerie portable X-Rite RM200QC Le spectrocolorimètre d'imagerie RM200QC d X-Rite permet d'établir un lien entre l'apparence de la couleur et la couleur des matériaux des lots entrants
Plus en détailESCALIERS. passer des dénivellations supérieures à 7%
ESCALIERS passer des dénivellations supérieures à 7% 2 définitions essentielles : Contremarche et giron Le rapport H/G donne la pente d une volée de marches ex : 16 cm / 32 cm = 50% Emmarchement, emprise,
Plus en détailNOTICE D'ACCESSIBILITE
Bureau Gestion des Politiques Publiques Mission Accessibilité Accessibilité des personnes à mobilité réduite aux Établissements et Installations ouvertes au public (E.R.P. et I.O.P.) -----------------
Plus en détailRAPPORT D ENQUETE DE TECHNIQUE NOUVELLE
Bureau Alpes Contrôles bac.bourg@alpes-controles.fr - RAPPORT D ENQUETE DE TECHNIQUE NOUVELLE REFERENCE: BT120018 indice 0 NOM DU PROCEDE: MODULES PHOTOVOLTAIQUES ASSOCIES EN POSE PORTRAIT OU PAYSAGE:
Plus en détailPerformances et évolution des technologies LED
Performances et évolution des technologies LED Du composant à l application futur et perspectives Laurent MASSOL Expert AFE, président du centre régional Midi-Pyrénées de l AFE (Led Engineering Development)
Plus en détailERP Cadre bâti existant
ERP Cadre bâti existant Arrêté du 8 décembre 2014 remplaçant l arrêté du 21 mars 2007. «Arrêté fixant les dispositions prises pour l application des articles R. 111-19-7 à R. 111-19-11 du code de la construction
Plus en détailTravaux de rénovation partielle de bureaux et de laboratoires
Travaux de rénovation partielle de bureaux et de laboratoires Centre de recherche Saint Antoine UMR-S 893 Site de l Hôpital Saint Antoine Bâtiment Inserm Raoul KOURILSKY 6 ème étage Equipe 13 Alex DUVAL
Plus en détailCe guide se divise en six chapitres, dont quatre sont dédiés à une catégorie de bâtiment :
INTRODUCTION Constructions de pointe et d usage courant, les escaliers métalliques doivent répondre à d autres exigences, que celle de pouvoir passer d un niveau à un autre. L un des principaux points
Plus en détail1. L ENTREPRISE 2. CARACTERISTIQUES ET DEROULEMENT DE LA PRESTATION CHARTE QUALITE 2.1. DEMARCHE VOLONTAIRE 2.2. REALISATION DE L AUDIT
REGLEMENT DU DISPOSITIF CHARTE QUALITE 1. L ENTREPRISE Cette prestation est réservée à toute personne physique ou morale immatriculée au Répertoire des Métiers, quelle que soit la forme juridique que revêt
Plus en détailVERS UNE ACCESSIBILITÉ. généralisée. Accès à tout pour tous
VERS UNE ACCESSIBILITÉ généralisée Accès à tout pour tous La loi handicap du 11 février 2005 précise que les conditions d accès des personnes handicapées dans les E.R.P.* doivent être les mêmes que celles
Plus en détailmode d emploi PROTÉGEZ LA VIE DE CEUX QUE VOUS AIMEZ 18 Sapeurs-Pompiers 15 Samu 112 N d urgence européen d urgence gratuits
PROTÉGEZ LA VIE E CEUX QUE VOUS AIMEZ mode d emploi 18 Z Z Z 18 Sapeurs-Pompiers 15 Samu 112 N d urgence européen Les numéros d urgence gratuits Cette brochure peut vous sauver la vie, ne la jetez pas,
Plus en détail