Note de conjoncture 2015 DECEMBRE - Année 2015
|
|
- Gaspard Lamontagne
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Note de conjoncture 2015 DECEMBRE - Année 2015 ANNEE COMPARAISON DE PRIX AMPLITUDE DES COURS Moyenne Prix minimum Prix maximum ,464 1,293 1, ,327 1,111 1, ,238 1,067 1,409 2,00 Cours du porc MPB (Départ élevage, 56 TMP) 1,80 EMBARGO RUSSE LE 29 JANVIER ,734 2 & 5/09/2013 1,60 1,40 1,537 17/04/2014 1,409 23/07/ Synthèse officieuse des prix abattoirs 1, : 1,464 1,293 30/12/2013 1,111 08/12/2014 1, : 1,327 1,067 7 & 10/12/2015 0, ,238 0,60 Source : Marché du Porc Breton Février Mars Mai Juin Août Sept. Oct. Nov. Déc. An Peu ou pas de fluctuation de prix en décembre. Le cours du porc a trouvé son point bas comme dans tous les pays de l'ue. Le point bas a permis des volumes d'abattage conséquents qui, pour la France ou l'espagne, n'ont pas été suffisants pour assurer la fluidité. Les pays proches des grands bassins de consommation européens ont assuré la demande, les plus éloignés récoltant quelques suppléments de commande. Le prix de fin d'année est nettement inférieur aux différents coûts de 4, Avenue du Chalutier Sans Pitié B.P. N PLERIN CEDEX Tél. : Fax : Audiotel : (0,34 / mn) Site Internet : http//: - mpb@marche-porc-breton.com Marché du Porc Breton, 2015 production, pour autant, ce prix compétitif ne permet pas de faire face à toutes les offres européennes, en l'absence du débouché "Russie" : l'europe est en surproduction. Il est difficile d'incriminer les producteurs car l'embargo russe est arrivé au moment où les décisions de mise en production étaient déjà faites quant à l'évolution de la consommation, elle tient de paramètres pas tous prévisibles non plus! Puisse 2016 se dérouler en tenant compte des enseignements de 2015.
2 1,80 1,60 1,40 1,20 1,00 0,80 0,60 0,40 0,20 0,00 L'année 2015 se solde par une baisse des prix de l'ordre de 10 % dans tous les pays de l'ue. Nulle part, le cours n'aura atteint le coût de revient moyen. Des ajustements de production sont en cours ou à attendre en Le Porcs abattus en UE 2015 / 2014 ANNÉE Variation % Porcs abattus en nombre Porcs abattus poids carc. tonnes poids des offres a dramatiquement pesé sur le prix du porc. La vraie question qu'il faut se poser : comment dans une conjoncture aussi complexe depuis 2007, la production de 2015 est supérieure de 8 millions de porcs à celle de 2014? MOYENNE MENSUELLE Le bilan des prix au MPB et par extension à la France, n'aurait que peu de signification sans la comparaison avec les autres pays de la zone. La production française est légèrement excédentaire par rapport à la consommation. Les entreprises exportent plus de 20 % de la production, la transformation en importe presque autant. La production européenne 2015 est très largement excédentaire tout en étant confrontée à la perte du premier débouché pays tiers (Russie). Réunification de l'allemagne EVOLUTION DU PRIX DE BASE SDRP Allemagne Pays-Bas Belgique Moyenne : 1,539 PPC Pays-Bas Moyennes arithmétiques Moyenne : 1, ,25 % 4, Avenue du Chalutier Sans Pitié B.P. N PLERIN CEDEX Tél. : Fax : Audiotel : (0,34 / mn) Site Internet : http//: - mpb@marche-porc-breton.com Marché du Porc Breton, ,87 % MOYENNE MOBILE ANNUELLE MOIS % MOYENNE ANNEE ,327 1,331 1,091-18,03% au ,307 Février 1,272 1,149-9,67% au ,296 Mars 1,336 1,226-8,23% au ,288 1,513 1,247-17,58% au ,264 Mai 1,424 1,229-13,69% au ,250 Juin 1,465 1,314-10,31% au ,239 1,467 1,374-6,34% au ,233 Août 1,419 1,393-1,83% au ,231 Septembre 1,324 1,367 3,25% au ,231 1,181 1,237 4,74% au ,236 Novembre 1,161 1,123-3,27% au ,234 Décembre 1,119 1,069-4,47% MOYENNE ANNEE ,238 ESB Allemagne Italie Espagne 12 MOIS 1,327 1,238-6,71% Prix moyen 1,56 1,52 1,62 1,67 1,52 1,37 1,32 1,63 1,53 1,58 1,57 1,14 1,16 1,25 1,42 1,43 1,02 0,95 1,21 1,45 1,10 1,02 1,12 1,15 1,22 1,11 1,26 1,14 1,14 1,30 1,45 1,46 1,33 1,24 Prix moyen FF 10,2 10,0 10,6 10,9 9,97 9,04 8,67 10,7 10,0 10,3 10,3 7,49 7,67 8,23 9,33 9,43 6,75 6,29 7,97 9,52 7,23 6,74 7,40 7,60 8,02 7,33 8,29 7,52 7,51 8,59 9,54 9,60 8,70 8,12 FMD UE à 25 Flambée matières 1ères Crise financière mondiale Moyenne : 1,278 Embargo russe DEP USA Estimé 1, F 10 F 8 F 6 F 4 F 2 F 0 F Sur la durée, les prix de marché ne peuvent être très différents d'un pays à l'autre sauf à mettre en œuvre des moyens par forcément compatibles avec les règles fondamentales du marché européen. La tentation est grande dans chaque pays de s'autoprotéger, cela permet partiellement de constater des écarts de prix. Les écarts les plus durables résultent des distorsions de toutes sortes dont disposent les uns et pas les autres.
3 L'ÉVOLUTION DU PRIX DE BASE DANS LES PRINCIPAUX BASSINS DE PRODUCTION PAYS mois 12 mois % PAYS-BAS Monfoort 56% 1,491 1,310-12,15 DANEMARK 61 % 1,388 1,235-11,02 ALLEMAGNE AMI 56 % 1,544 1,385-10,32 ESPAGNE Lleida vif 1,273 1,129-11,31 ITALIE vif 1,391 1,268-8,80 M.P.B. 56 TMP 1,327 1,238-6,71 2,00 1,90 1,80 Estimation des prix moyens payés éleveurs Danemark (D.M.A) (prix d'acompte) Allemagne (AMI) Espagne (Lleida) 1,70 MPB 1,60 1,50 1,40 Synthèse officieuse de prix abattoirs 1,30 1,20 1,10 1, Janv Fév Mars Mai Juin Août Sept. Oct. Nov. Déc. Janv Fév Mars Mai Juin Août Sept. Oct. Nov. Déc. Avec toutes les réserves d'usage, voici les écarts de prix production constatés en Année Ecart de prix en centime Mercolleida/MPB = , ,1 AMI/MPB , ,7-5,3 DK/MPB = = * * Le complément de prix 2015 est de 14 cents dont une part capitalisée. NB : Pour AMI, ne sont pas pris en compte les nombreux prix maisons inférieurs à la cotation officielle. Sans plus de commentaires que l'illustration par la courbe des poids carcasse, le décalage de prix par rapport à la concurrence génère de la sous-activité, des reports d'enlèvement préjudiciables aux éleveurs. 3
4 poids moyen en kg DECEMBRE et ANNEE ,0 95,5 95,0 94,5 94,0 93,5 93,0 92,5 92,0 91,5 91,0 90,5 90, t ê t e s EVOLUTION DU POIDS MOYEN UNIPORC OUEST : 92,09 kg 2014 : 92,60 kg 2015 : 93,74 kg Février Mars Mai Juin Août Sept Oct Nov Déc ACTIVITE UNIPORC OUEST 2014 : porcs / sem ==> poids moyen : 92,60 kg 2015 : porcs / sem ==> poids moyen : 93,74 kg Variation poids 2014 : 1ère / dernière semaine du mois Variation poids 2015 : 1ère / dernière semaine du mois Un prix national dans un environnement économique plus global ne peut subsister qu'à la condition d'une parfaite fluidité C'est dire qu'à tous les stades : abattages / découpe / transformation / distribution, l'engagement doit être respecté Les anglais semblent réussir mais ils sont sur une île et autosuffisants à 50 %. Nulle part ailleurs, la protection du marché intérieur n'empêche la confrontation des prix Grammes janvier février mars avril mai juin juillet août septembre octobre novembre décembre Ce graphique met en évidence des comparaisons par groupe de semaines, les fériés décalés d'une année sur l'autre provoquent des écarts d'activité qui ne sont pas le reflet des variations de production. Sur l'année civile 2015, Uniporc Ouest annonce une baisse d'activité de 0,1 % sur les porcs et une hausse de + 4 % sur les abattages de truies de réforme. L'activité de novembre était en retrait, faute de besoin, l'absence d'animation dans les magasins a entraîné un effondrement des ventes de côtes fraîches (-10%) et de rôtis (-13%) ; l'activité de décembre est égale à décembre A 95 kilos de carcasse de moyenne, les offres auraient permis des volumes supplémentaires. Semaine après semaine, les porcs se sont accumulés, le retour à la fluidité est nécessaire pour la sérénité des marchés. Le retour à la fluidité ne peut se réaliser que par une baisse de production ou alors par une situation de marché très concurrentielle par rapport aux bassins voisins. La filière française n'est pas la mieux placée, ce n'est pas faute d'avoir alerté les politiques dont l'immobilisme est destructeur
5 La comparaison avec montre un décrochage de prix de la viande de porc alors que les coûts alimentaires sont sensiblement aux mêmes niveaux. L'amélioration des résultats techniques a des limites. "Le marché" doit rémunérer le produit et non pas confisquer tous les gains de productivité réalisés par les éleveurs Réforme PAC 1992 et cours du porc DECEMBRE et ANNEE à 1992 Moyenne prix du porc : 1,54 Moyenne prix du blé : 200 tonne 1, /T 1993 à 2006 Moyenne prix du porc : 1,19 Moyenne prix du blé : 130 tonne 130 /T Blé /t 1,19 MPB / kg carcasse 2007 à 2015 Moy. Prix du porc : 1,27 Moy. prix du blé : 192 tonne 192 /T 1,27 2,00 1,95 1,90 1,85 1,80 1,75 1,70 1,65 1,60 1,55 1,50 1,45 1,40 1,35 1,30 1,25 1,20 1,15 1,10 1,05 1,00 0,95 0,90 0,85 0,80 0,75 0,70 0,65 0,60 0,55 0,50 0,45 0,40 0,35 0,30 0,25 0,20 0,15 0,10 0,05 0,00 L'augmentation durable du prix de l'aliment impose une réactualisation des prix du porc que le marché ne donne pas. Combien de temps cela peut-il durer sans décapitalisation réelle de la production? Dans ce contexte de crise extrême, bien évidemment les écarts de charge entre pays font la différence et contribuent à une certaine délocalisation de la production. La consommation de viande de porc en France (moy : 160) 2007 (moy : 208) 2008 (moy : 249) Prix de l'aliment IFIP (Euro / tonne) 2009 (moy : 188) 2010 (moy : 189) 2011 (moy : 254) 2012 (moy : 267) 2013 (moy : 290) 2014 (moy 250) 2015 (moy 239) Sur 11 mois, la consommation de viande de porc frais en France est en recul de 4,5 %. Sur les autres catégories, les évolutions sont également négatives : saucisse - 1 %, porc frais hors élaboré - 4,4 %, charcuterie -0,9 % dont le jambon à moins 0,8 %. Dans le contexte de marché européen en hausse de production, ces chiffres ne sont pas favorables. En Espagne, les premières données font état d'une hausse de conso de 2,2 % sur la viande fraîche et d'une baisse de 2,3 % sur les viandes transformées c'est dire que toute la hausse de production espagnole (+ 7 à 8 %) est destinée aux marchés extérieurs! 5
6 ,9 255,1 256, , , ,3 248, ,9 246, Source : DG Agri Retro : Il y a un an, la note de conjoncture, sur foi des prévisions européennes officielles, mentionnait une production 2015 en légère baisse par rapport à 2014 le résultat est une hausse des abattages de 3,25 %. Plus de 3 % d'erreur, c'est sans doute plus que la marge d'erreur normale en production animale! La déception en termes de prix est à la mesure. L'Espagne surtout, l'allemagne et les Pays-Bas se sont démarqués sur l'année. Le Danemark est stable en production de porcs charcutiers mais développe toujours la production de porcelets destinés à l'exportation. ANALYSE DES ABATTAGES % ALLEMAGNE (abattages) 52 semaines ,89% ESPAGNE (abattages) 44 semaines ,35% UNIPORC OUEST 52 semaines ,11% DANEMARK (abattages) 52 semaines ,09% PAYS-BAS (abattages) 52 semaines ,38% ALL + DK + PB 52 semaines ,93% ROYAUME-UNI (production) 48 semaines ,74% USA 52 semaines ,97% CANADA 52 semaines ,55% Sources : AMI, Magrama, Uniporc Ouest, Landbrug & Fødevarer, PVE, Defra, Agriculture et Agroalimentaire Canada Le total allemand correspond à l'échantillon collecté, comparable d'une année sur l'autre, et non à l'abattage total de l'allemagne. 6
7 Les porcelets 70 Prix du porcelet Pays-Bas (25 kg BEURSPRIJS) 70 Prix du porcelet Espagne - 20 kg : 46, : 38, : 40, : 28, : 37, : 27, Février Mars Mai Juin Août Sept. Oct. Nov. Déc. Février Mars Mai Juin Août Sept. Oct. Nov. Déc. Le marché du porcelet est sinistre : 27,5 % de baisse du cours aux Pays- Bas, 28,6 % en Espagne. L'impact de cette baisse de prix est beaucoup plus fort dans le nord de l'europe qu'en Espagne du fait des systèmes différents de production. Selon une récente étude sortie aux Pays- Bas, le faible prix du porcelet aurait entraîné la fermeture de 269 élevages naisseurs au cours de 6 derniers mois pour un équivalent de places de truies. La tendance est à la baisse des exportations de porcelets des Pays-Bas ( - 5 %) alors qu'au Danemark la croissance est encore forte (+ 9,3 %). En Allemagne, le cheptel truies de fin d'année est annoncé en baisse de 4 % avec un moins 6 % pour les truies en première saillie. Les abattages de truies de réforme ont augmenté de 5,7 % en 2015 ( ). Les exportations pays tiers Exportations de porcelets Têtes 2015 % / 2014 PAYS-BAS 50 sem ,75 % DANEMARK 11 mois ,30 % L'Allemagne premier exportateur (25 % des volumes, progresse de 16 % ; Le Danemark (18 % des volumes) est en recul de 2 % ; L'Espagne (15 % des volumes) progresse de 28 % ; Pays-Bas (8% des volumes), France (7% des volumes) sont stables. Janv. => oct Janv. => oct % 15 / 14 TOTAL EXPORT ,2 % Chine % Hong Kong % Japon % Corée du Sud % Philippines % Ukraine % USA % Australie % Angola % Monténégro % Russie % 7
8 Allemagne Exportations Sur 9 mois, les exportations allemandes se chiffrent à T (+ 1,7 %). 80 % des volumes sont destinés aux pays de l'ue, 20 % aux pays tiers. L'Italie T, la Pologne tonnes, les Pays-Bas tonnes sont les principaux débouchés devant la République Tchèque, l'autriche et le Royaume Uni. Sur les pays tiers, une percée remarquée est réalisée sur la Chine, 46 % des exportations pays tiers y sont destinées, le volume a été multiplié par 2,1 par rapport à la même période de Japon, Corée du Sud, Hong Kong et Philippines sont les principaux autres débouchés. Espagne exportations La production espagnole se développe à grande échelle, les exportations tout autant en toute logique. Sur 9 mois, les exportations progressent de 17 % à T à raison de 72 % vers les pays de l'ue et 28 % vers les pays tiers. La France est le premier client européen (30 % des exports UE et +8 %). L'Italie 15 % et le Portugal 14 % sont les principaux autres débouchés. Danemark export Sur 9 mois, les exportations atteignent T dont 71,8 % sont destinées aux pays de l'ue et 28,2 % vers les pays tiers. Allemagne (43 % des volumes), Pologne (19 %), UK (15 %), Italie (10 %) sont les principaux clients. La Chine (42 % des volumes pays tiers), le Japon (21 %), l'australie (11 %) sont les principales destinations. Italie : hausse des importations de porcelets Un bilan sur 9 mois fait apparaître une hausse des importations de porcelets en Italie, conséquence de la baisse du cheptel truies porcelets ont été placés dans les élevages d'engraissement du pays, un volume en hausse de 21,7 % par rapport à 9 mois 2014 et 59 % par rapport à 9 mois Le Danemark est le premier fournisseur (68 %) suivi des Pays-Bas (24 %). Espagne, Allemagne, Hongrie complètent la liste des fournisseurs. En 2 ans, la progression des porcelets danois est spectaculaire : de à Les Pays-Bas, premier fournisseur en 2013 ( ) sont en repli ( ). Porcs charcutiers : importations plus stables Sur les 9 mois, porcs charcutiers ont été importés en provenance des Pays-Bas (30 %), 20 % d'espagne, 16 % de France, 12 % d'allemagne. La Croatie fournit pour la première fois en 2015 le marché italien pour un volume de (9 %). Danemark et Hongrie complètent. Les importations de viande : stables L'Italie, déficitaire est un importateur important de viande de porc, les volumes annuels sont voisins du million de tonnes. Importation de viande Italie (source : Landbrug & Fødevarer) T Jan -Sept 2013 Jan -Sept 2014 Jan -Sept 2015 Allemagne 241,6 270,4 261,7 Pays-Bas 104,6 113,8 108,8 Espagne 89,6 94,2 104,4 Danemark 70,6 77,2 93,4 France 82,7 87,1 70,2 Autres 110,4 118,5 118,7 Total 699,5 761,2 757,2 L'Allemagne domine, les Pays-Bas assurent, l'espagne progresse tout comme le Danemark, la France régresse en 2015, vraisemblablement par manque de compétitivité. 8
9 $ / Tête DECEMBRE et ANNEE 2015 Les Pays-Bas Les exportations des 9 mois 2015 augmentent de 8 % à tonnes. 80 % des volumes sont exportés vers les pays de l'ue. L'Italie est le principal débouché des entreprises des Pays-Bas à tonnes soit 17 % du total. Le deuxième client est l'allemagne, T, devant la Grèce T (+ 2%) et le Royaume Uni T (+ 3%) T ont été destinées aux Pays tiers au premier rang desquels se trouve la Chine à T (3 500 T l'année précédente). Les ventes vers le Japon sont stables à T, les ventes vers la Corée du Sud ont progressé de 50 % à T. L'autre élément significatif dans les Pays-Bas est le recul des exportations de porcs charcutiers en vif, abattus au pays qui ont contribué à augmenter les tonnages de viande exportées. Les USA Aux Etats-Unis, la dernière semaine d'abattage avant Noël aura enregistré porcs abattus. Une anecdote Non? Il s'agit du plus fort volume d'abattage hebdo depuis la semaine 51 de 2007 qui constituait le précédent record ( ). Ainsi, l'année 2015 se termine en fanfare aux USA, du moins dans les volumes qui, sur l'année, auront progressé de 7,9 %, représentant un volume supérieur à 2013, année précédant la DEP. Pour les experts, la production augmentera encore en 2016 de 1,5 % environ, la productivité faisant toujours des bonds dans les élevages du pays. Le bilan 2015 est de porcs abattus, meilleur score après le record de 2008 ( porcs). Année Porcs abattus (1 000 têtes) $2,90 $2,60 $2,30 $2,00 $1,70 $1,40 $1,10 $0,80 Prix du B Cost % USA 2013 : 1,907 $ 2014 : 2,270 $ 2015 : 1,500 $ 1 $ USD = 0,915 au : 1,826 $ 2013 : 1,907 $ 2014 : 2,270 $ Février Mars Mai Juin Août Sept. Oct. Nov. Déc. Le cours est le plus bas depuis 2009, en baisse de 38 % sur 2014 qui avait été l'année du siècle. La chute des cours de fin d'année ramène le prix endessous du coût de revient en novembre après 8 mois rentables. Malgré la perte de 15$ par porc en novembre, le bilan annuel est bon d'autant qu'il fait suite à une année 2014 exceptionnelle. A titre indicatif, le coût de revient de novembre est de 1$ le kilo vif. $100 Le cours du porc est très proche des cours RENTABILITE DE LA PRODUCTION DE PORC dans L'IOWA (source : ISU) européens, le dollar fort amplifie la baisse afin que $50 la viande américaine conserve une certaine compétitivité sur les pays tiers là où la concurrence avec les pays européens s'exerce. Les $0 exportations de novembre sont en croissance à + 8 % avec notamment un bond de 41 % vers Chine/Hong Kong suite à l'agrément de nouvelles -$50 entreprises vers la Chine. Sur les 11 mois, les exportations reculent de 3 %. Le Mexique et la Corée du Sud sont en croissance, tous les autres débouchés sont à la baisse. 9 -$ /21 mois rentables
10 Evolution du cours du porc en Amérique : USA Canada Brésil Minas Gérais(kg vif) ,641 $ 142,99 $CA 2,99 R$ ,971 $ 164,45 $CA 2.89 R$ ,826 $ 159,21 $CA 3.05 R$ ,907 $ 170,20 $CA 3.63 R$ ,270 $ 213,03 $CA 4.13 R$ ,500 $ 164,18 $CA 3,95 R$ % 2015 / ,3 % - 22,93 % - 4,35 % Le Brésil Le prix du porc s'est correctement tenu au Prix du porc Minas Gerais R$ 5,60 Brésil en Les 4,4 % de baisse sont très R$ 5,40 R$ 5,20 éloignés des 38 % des USA. R$ 5,00 R$ 4,80 Le Brésil a profité de la demande russe étant R$ 4,60 le seul pays exportateur majeur à ne pas R$ 4,40 R$ 4,20 R$ 4,00 subir l'embargo. Sur 11 mois, les exportations R$ 3,80 R$ 3,60 ont progressé de 12 %, les exportations ayant R$ 3,40 R$ 3,20 littéralement explosé en novembre (+ 26 % R$ 3,00 R$ 2,80 1 R$ = 0,234 au R$ 2,60 sur octobre 2015, + 51 % sur novembre R$ 2,40 R$ 2, ). Les ventes vers la Russie représentent R$ 2,00 Source : ASEMG - Brésil 2013 : 3,63 R$ 2014 : 4,13 R$ 45% des exportations totales, en hausse de R$ 1, : 3,95 R$ R$ 1,60 30 % par rapport à Février Mars Mai Juin Août Sept. Oct. Nov. Déc. La production 2015 est en hausse de 4,9 % à 3,64 millions de tonnes. La consommation intérieure est bonne, en augmentation de 2,7 %. La viande de porc est très attractive comparée à la viande bovine. La consommation par habitant atteint 15 kilos par an, un niveau record pour le Brésil. La Russie En 4 ans, la production russe a augmenté de 26 %. Le développement a été facilité par l'embargo et la pénurie engendrée par la réduction des importations de 80 %. Le gouvernement russe a apporté clairement un soutien au développement de la production, considérant que la dépendance aux produits importés était insupportable. Sur les 10 premiers mois de 2015, la production aurait augmenté de 8,6 % ( tonnes environ). La production du pays est de 2,5 millions. En 2016, une nouvelle croissance est escomptée. Le Mexique La perte du débouché russe amène les pays exportateurs à s'intéresser aux pays déficitaires. Fort de ses 125 millions d'habitants, le Mexique est un pays consommateur de viande de porc. Le déficit de production est important, supérieur à tonnes pour une production de T. En 2015, Les USA sont les premiers fournisseurs, les entreprises américaines captent l'essentiel du marché, le Canada est en appoint. Le Japon Les exportations japonaises reculent de 6,4 % sur 11 mois 2015 pour un volume de T. Les USA, premiers fournisseurs avec tonnes sur la période sont en repli de 6,7 %. La Canada, deuxième fournisseur avec tonnes progresse de 12,2 %. Le Danemark T recule de 22 %, l'espagne 10
11 gagne des parts de marché T à + 9 % tout comme le Mexique T à 9 %. Les exportations françaises reculent de 24 % à T. Les exportations pays tiers Les exportations pays tiers En tonne % UE 10 mois * ,2 % USA 11 mois ,57 % Canada 11 mois ,61 % Total ,69 % Brésil 11 mois ** ,1 % Sources : DG AGRI, US Meat Export Federation, Agriculture and Agri -Food Canada, Abipecs * 10 mois UE provisoire ** 11 mois Brésil provisoire Malgré l'embargo russe, les exportations au départ de l'ue progressent de 5,2 %. Incontestablement, la parité euro / dollar a facilité les ventes européennes. Rappelons que les pays de l'ue exportaient tonnes en 2013 vers la Russie, en 2015 le volume serait de tonnes. Les besoins de la Chine ont progressé de 350 à tonnes en 2015! EURO - DOLLAR : taux de change (source : DG AGRI) 11
12 Le marché de la coche au MPB MOYENNE ANNUELLE : 0,892 2,0 1,9 1,8 1,7 1,6 1,5 1,4 CH : 1,454 CO : 1,276 COMPARAISON PRIX COCHES / CHARCUTIERS CH : 1,464 CO : 1,202 CH : 1,327 CO : 1,082 Charcutier Coche CH 1,238 CO : 0,892 1,3 1,2 1,1 1,0 0,9 Charcutiers : base 50% de muscle, 54 T.V.M. depuis le 12 juin 1997, 56 T.M.P. depuis le 18 décembre 2006 Coches : sans tête, ni mamelle, ni panne, ni rognon, ni pied 0,8 0,7 87,76 % 82,10 % 81,54 % 72,05 % J F M A M J J A S O N D J F M A M J J A S O N D J F M A M J J A S O N D J F M A M J J A S O N D 0,6 0,5 Ratio (%) Coche/porc ,5 85,9 89,2 88,4 82,7 77,7 83,8 88,7 86,4 80,3 87,8 82,1 81,54 72,05 1,60 1,55 1,50 1,45 1,40 PRIX COCHES AU M.P.B / 2011 / 2012 / 2013 / 2014 / ,416 le 27/09/2012 1,35 1,30 1,25 1,20 1,277 le17/07/2014 1,333 le 29/08/2013 1,15 1,10 1,05 1,053 le 12/01/2012 1,062 le 23/09/2010 1,154 le 17/11/2011 1,076 le 26/12/2013 1,00 0,95 0,90 0,85 0,80 0,75 0,70 0,65 0,60 0,925 le 7/01/2010 0,900 le 12 & 19/01/2011 0, : 0, : 1, : 1, : 1, : 1, : 0,892 0,975 0,806 le 31/12/ Février Mars Mai Juin Août Sept. Oct. Nov. Déc. La référence moyenne de la coche est en baisse de 17,56 % par rapport à
Revue des Marchés. Charles Gagné 2015-04-16
9. Revue des Marchés Charles Gagné 2015-04-16 Les faits saillants 1. Inventaires de porcs aux É.-U. ( Hogs & Pigs) Croissance de 2 % du troupeau reproducteur 2. Baisse des exportations américaines Valeur
Plus en détailComité Coproduits. Situation des marchés (V e quartier) 30 juin 2015. Montreuil
Comité Coproduits Situation des marchés (V e quartier) juin 21 Montreuil LE MARCHE DES PRODUITS TRIPIERS Production de produits tripiers tonnes Evolution sur mois 21/21 Abats de bovins : + 2,2 % Abats
Plus en détailà la Consommation dans le monde à fin 2012
Le Crédit à la Consommation dans le monde à fin 2012 Introduction Pour la 5 ème année consécutive, le Panorama du Crédit Conso de Crédit Agricole Consumer Finance publie son étude annuelle sur l état du
Plus en détailLa révision des indices du cours du franc suisse, nominaux et réels, pondérés par les exportations
La révision des indices du cours du franc suisse, nominaux et réels, pondérés par les exportations par Robert Fluri et Robert Müller, Direction de la statistique, Banque nationale suisse, Zurich BNS 42
Plus en détailActifs des fonds de pension et des fonds de réserve publics
Extrait de : Panorama des pensions 2013 Les indicateurs de l'ocde et du G20 Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/pension_glance-2013-fr Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve
Plus en détailICC 109 8. 14 septembre 2012 Original : anglais. tendances de la consommation du café dans certains pays importateurs.
ICC 109 8 14 septembre 2012 Original : anglais F Conseil international du Café 109 e session 24 28 septembre 2012 Londres, Royaume Uni Tendances de la consommation du café dans certains pays importateurs
Plus en détailMarc VARCHAVSKY Conseil National CER FRANCE Olivier BOUCHONNEAU Président de CER FRANCE 49
Impact de la variabilité des prix des produits agricoles et des intrants sur les exploitations en France Marc VARCHAVSKY Conseil National CER FRANCE Olivier BOUCHONNEAU Président de CER FRANCE 49 Colloque
Plus en détailLes perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI
Présentation à l Association des économistes québécois Le 19 mai 25 Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI Kevin G. Lynch Administrateur Fonds
Plus en détailAgricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005. Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005.
Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005 Summary in French Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005 Résumé Le soutien accordé aux producteurs
Plus en détailQuel est le temps de travail des enseignants?
Quel est le temps de travail des enseignants? Dans les établissements publics, les enseignants donnent, en moyenne et par an, 779 heures de cours dans l enseignement primaire, 701 heures de cours dans
Plus en détailANTICIPATIONS HEBDO. 16 Février 2015. L'élément clé durant la semaine du 9 Février 2015
Direction de la Recherche Economique Auteur : Philippe Waechter L'élément clé durant la semaine du 9 Février 2015 Le premier point cette semaine porte sur la croissance modérée de la zone Euro au dernier
Plus en détailDélais de paiement : Le grand écart
Délais de paiement : Le grand écart Conférence de Presse, Paris, le 28 juin 2012 Ludovic Subran, Chef Economiste Arnaud Roger, Directeur des Indemnisations Maxime Lemerle, Responsable des Etudes Macroéconomiques
Plus en détailPrincipaux partenaires commerciaux de l UE, 2002-2014 (Part dans le total des échanges de biens extra-ue, sur la base de la valeur commerciale)
55/2015-27 mars 2015 Commerce international de biens en 2014 Principaux partenaires commerciaux de l UE en 2014: les États-Unis pour les exportations, la Chine pour les importations Le commerce entre États
Plus en détailL IMMIGRATION AU SEIN DE L UE
L IMMIGRATION AU SEIN DE L UE Source: Eurostat, 2014, sauf indication contraire Les données se rapportent aux ressortissants de pays tiers, dont le lieu de résidence habituel se trouvait dans un pays hors
Plus en détailPremières estimations pour 2014 Le revenu agricole réel par actif en baisse de 1,7% dans l UE28
194/2014-15 décembre 2014 Premières estimations pour 2014 Le revenu agricole réel par actif en baisse de 1,7% dans l UE28 Par rapport à 2013, le revenu agricole réel par actif 1 a diminué de 1,7% dans
Plus en détailBASE DE DONNEES - MONDE
BASE DE DONNEES - MONDE SOMMAIRE Partie I Monnaies Partie II Epargne/Finances Partie III Démographie Partie IV Finances publiques Partie V Matières premières Partie I - Monnaies Cours de change euro/dollar
Plus en détailCanada-Inde Profil et perspective
Canada-Inde Profil et perspective Mars 2009 0 L Inde et le Canada : un bref profil Vancouver Calgary Montréal Toronto INDE 3 287 263 km² 1,12 milliard 1 181 milliards $US 1 051 $US Source : Fiche d information
Plus en détailQuelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation?
Indicateur Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation? En 2008, les pays de l OCDE ont consacré 6.1 % de leur PIB cumulé au financement de leurs établissements d enseignement.
Plus en détailLe marché de l assurance de protection juridique en Europe. Octobre 2013
Le marché de l assurance de protection juridique en Europe Octobre 2013 Le marché de l assurance de protection juridique en Europe Octobre 2013 Dans sa dernière publication, RIAD, l Association internationale
Plus en détailLes banques suisses 2013 Résultats des enquêtes de la Banque nationale suisse
Communiqué presse Communication Case postale, CH-8022 Zurich Téléphone +41 44 631 31 11 communications@snb.ch Zurich, le 19 juin 2014 Les banques suisses 2013 Résultats s enquêtes la Banque nationale suisse
Plus en détailBase de données sur l'économie mondiale Alix de Saint Vaulry *
Base de données sur l'économie mondiale Alix de Saint Vaulry * 1) Base de données 2) Sources et définitions * Alix de Saint Vaulry est économiste au CEPII, responsable de la production de la base de données
Plus en détailLe creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres
LE POINT SUR LES INÉGALITÉS DE REVENU Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres Résultats issus de la Base de données de l OCDE sur la distribution des revenus
Plus en détail2014-2015 DS n 3 Chap 1-2h. Épreuve composée
Épreuve composée Pour la partie 3 (Raisonnement s appuyant sur un dossier documentaire), il est demandé au candidat de traiter le sujet : en développant un raisonnement ; en exploitant les documents du
Plus en détailAméliorer la gouvernance des Services Publics d'emploi pour de meilleurs résultats sur l'emploi
Améliorer la gouvernance des Services Publics d'emploi pour de meilleurs résultats sur l'emploi Congrès Mondial de l AMSEP Istanbul, 6 mai 2015 Sylvain Giguère, Directeur de la division LEED, OCDE Pourquoi
Plus en détailRégion Haute-Normandie. Plan régional pour l internationalisation des entreprises en Haute-Normandie
Région Haute-Normandie Plan régional pour l internationalisation des entreprises en Haute-Normandie Novembre 2013 ! "# $"% &%'' $ (')#!*+,*'-#&+,./ 0 $1&/2+,(.'1&/2+,(.'' 3,/,// 4 (553 5#+' 2 '+ 0 6 #
Plus en détailCMC MARKETS UK PLC. Conditions Tarifaires CFDs. Plateforme Next Generation. Janvier 2015. RCS Paris: 525 225 918
CMC MARKETS UK PLC Conditions Tarifaires CFDs Plateforme Next Generation Janvier 2015 RCS Paris: 525 225 918 Société immatriculée en Angleterre sous le numéro 02448409 Société agréée et réglementée par
Plus en détailConditions tarifaires
Conditions tarifaires CFD-Contracts for Difference Octobre 2013 Conditions Tarifaires Vous trouverez ci-dessous les conditions tarifaires applicables à votre Compte de trading. Les termes, utilisés dans
Plus en détailSolution de Fax mailing
Simple, pas cher Efficace! Solution de Fax Près de 100% des entreprises sont équipées de machines de fax... et quasiment chaque fax est lu Popfax.com, leader européen de solutions de fax professionnelles
Plus en détailL année touristique 2014 démarre de façon positive pour Paris avec un taux d occupation des hôtels de 72,5 % en progression de 0,6 point en janvier.
L année touristique 2014 démarre de façon positive pour Paris avec un taux d occupation des hôtels de 72,5 % en progression de 0,6 point en janvier. Sommaire Synthèse 1 Arrivées hôtelières par pays 2 Nuitées
Plus en détailDIVERSITÉ CULTURELLE JOURS FÉRIÉS Pour en savoir Plus, veuillez vous adresser à :
Le Manitoba en bref Le Manitoba : Province du Canada depuis 1870. Manitoba signifie «lieu où vit l Esprit» dans les langues des peuples autochtones de la province. Chef politique : Premier ministre (Greg
Plus en détailActivités et résultats 2011
Activités et résultats rci en bref RCI Banque est la captive financière de l Alliance Renault Nissan et assure à ce titre le financement des ventes des marques Renault, Renault Samsung Motors (RSM), Dacia,
Plus en détailLes Journées Régionales de la Création & Reprise d Entreprise 8 ème ÉDITION
Les Journées Régionales de la Création & Reprise d Entreprise 8 ème ÉDITION S.M.A.R.T. Production 2004-2005 - Tous droits de reproduction réservés. Par les mêmes organisateurs : 40 ateliers gratuits sur
Plus en détailPrésentation Macro-économique. Mai 2013
Présentation Macro-économique Mai 2013 1 Rendement réel des grandes catégories d actifs Janvier 2013 : le «sans risque» n était pas une option, il l est moins que jamais Rendement réel instantané 2,68%
Plus en détailLe coût du rachat de trimestres pour carrière à l étranger multiplié par 4 au plus tard le 1 er janvier 2011
Le coût du rachat de trimestres pour carrière à l étranger multiplié par 4 au plus tard le 1 er janvier 2011 Un article de la loi de financement de la sécurité sociale 2010 aligne le coût de ce rachat
Plus en détailQu est-ce que la compétitivité?
Qu est-ce que la compétitivité? Le but de ce dossier pédagogique est d expliquer la notion de compétitivité d une entreprise, d un secteur ou d un territoire. Ce concept est délicat à appréhender car il
Plus en détailChiffre d'affaires par ligne de services
Troisième trimestre 2010 des revenus: EUR 1.210 millions Réservez au projet de loi: 90%, même par rapport au troisième trimestre 2009, 2010 Cash Flow Opérationnel s'élève à EUR 83 millions dans les neuf
Plus en détailREGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA
REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA Regards sur l éducation est un rapport annuel publié par l Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et portant sur
Plus en détailCOMMUNIQUÉ DE PRESSE
COMMUNIQUÉ DE PRESSE La croissance mondiale des investissements publicitaires se poursuit : les achats publicitaires devraient croître de 4,8% en 2012. Un chiffre en légère progression par rapport aux
Plus en détailAnalyse prospective des marchés à l export, par secteur et par pays
Analyse prospective des marchés à l export, par secteur et par pays Octobre 2012 RESULTATS DE L ANALYSE DES COUPLES PAYS/SECTEURS PORTEURS EN FAVEUR DU COMMERCE EXTERIEUR DE LA FRANCE SOMMAIRE Résumé 2
Plus en détailInstitut des comptes nationaux. Statistique du commerce extérieur. Bulletin mensuel 2015-01
Institut des comptes nationaux Statistique du commerce extérieur Bulletin mensuel 2015-01 Contenu de la publication Les règlements européens cités dans la notice méthodologique en fin de publication prescrivent
Plus en détailBilan électrique français ÉDITION 2014
Bilan électrique français ÉDITION 2014 Dossier de presse Sommaire 1. La baisse de la consommation 6 2. Le développement des ENR 8 3. Le recul de la production thermique fossile 9 4. La baisse des émissions
Plus en détailLA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE
LA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE par John P. Martin, Martine Durand et Anne Saint-Martin* Audition
Plus en détailL Europe des consommateurs : Contexte international Rapport Eurobaromètre 47.0
L Europe des consommateurs : Contexte international Rapport Eurobaromètre 47. Résumé La question de la position des consommateurs vis-à-vis du commerce international a été abordée en particulier par deux
Plus en détailLe commerce extérieur de la Suisse en 2013
Le commerce extérieur de la Suisse en 2013 Résumé L excédent commercial suisse affiche un nouveau record en 2013, à 26,6 Mds CHF (environ 4,5% du PIB). Recevant près de 55% des exportations suisses, l
Plus en détailBoussole. Divergence des indicateurs avancés. Actions - bon marché ou trop chères? Marchés boursiers - tout dépend du point de vue!
Boussole Juin 2015 Divergence des indicateurs avancés Actions - bon marché ou trop chères? Marchés boursiers - tout dépend du point de vue! Les règles du placement financier - Partie III Votre patrimoine,
Plus en détailLe nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien
Le nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien Janone Ong, département des Marchés financiers La Banque du Canada a créé un nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien,
Plus en détailLe point sur les marchés des pensions. des pays de l OCDE OCDE
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 17 décembre 2013 à 14h30 «Etat des lieux sur l épargne en prévision de la retraite» Document N 13 Document de travail, n engage pas le Conseil Le
Plus en détailBANQUE NATIONALE DE ROUMANIE BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE
1 La crise actuelle est caractéris risée e par le grand nombre de marchés affectés s et par la diversité des canaux de contagion Les principaux canaux de contagion pour l ECE: Canal informationnel (sentiment
Plus en détailQUELLE DOIT ÊTRE L AMPLEUR DE LA CONSOLIDATION BUDGÉTAIRE POUR RAMENER LA DETTE À UN NIVEAU PRUDENT?
Pour citer ce document, merci d utiliser la référence suivante : OCDE (2012), «Quelle doit être l ampleur de la consolidation budgétaire pour ramener la dette à un niveau prudent?», Note de politique économique
Plus en détailECONOMIE. DATE: 16 Juin 2011
BACCALAUREAT EUROPEEN 2011 ECONOMIE DATE: 16 Juin 2011 DUREE DE L'EPREUVE : 3 heures (180 minutes) MATERIEL AUTORISE Calculatrice non programmable et non graphique REMARQUES PARTICULIERES Les candidats
Plus en détailLes facteurs de compétitivité sur le marché mondial du vin Veille concurrentielle 2012. 18 juin 2013 Vinexpo 2013, Bordeaux
Les facteurs de compétitivité sur le marché mondial du vin Veille concurrentielle 2012 18 juin 2013 Vinexpo 2013, Bordeaux 1 Les facteurs de compétitivit titivité sur le marché mondial du vin Veille concurrentielle
Plus en détailTARIFICATION DES INSTRUMENTS FINANCIERS AU 01 JANVIER 2015
TARIFICATION DES INSTRUMENTS FINANCIERS AU 01 JANVIER 2015 I. Organismes de Placements Collectifs 1. SICAV émises par la BCEE Sous réserve d exceptions éventuelles prévues dans le prospectus d émission,
Plus en détailPROGRAMME ERASMUS+ Toute mobilité Erasmus+, financée ou non par la bourse, doit faire l objet de justification sur la base des documents suivants
PROGRAMME ERASMUS+ Le programme Erasmus+ concerne les mobilités réalisées dans le cadre d un des accords Erasmus de Sciences Po Grenoble dans les pays suivants : 27 Etats membres de l Union Européenne
Plus en détailL immobilier de bureaux en Europe 2010 : une parenthèse dans la crise
ÉTUDE EN BREF Octobre 2011 L immobilier de bureaux en Europe 2010 : une parenthèse dans la crise Pour les investisseurs, l Europe de l immobilier de bureaux n est pas celle qui est délimitée par les accords
Plus en détailIndicateurs des marchés de gros de l électricité Mars 2011
Indicateurs des marchés de gros de l électricité Mars 2011 Cahier des indicateurs électricité Evolution des prix de l électricité Développement du négoce en France Indicateurs relatifs aux fondamentaux
Plus en détailles étudiants d assas au service des professionnels
les étudiants d assas au service des professionnels 2 3 Présentation Générale Les avantages de l Association Pour les professionnels QUI SOMMES-NOUS? Assas Junior Conseil est une association à caractère
Plus en détailCOMPRENDRE, EVALUER ET PREVENIR LE RISQUE DE CORRUPTION
COMPRENDRE, EVALUER ET PREVENIR LE RISQUE DE CORRUPTION Philippe Montigny, Président, ETHIC Intelligence EIFR Paris, le 3 juillet 2013 1 Le monde a changé La responsabilité d une entreprise peut être engagée
Plus en détailAXA COMMUNIQUÉ DE PRESSE
AXA COMMUNIQUÉ DE PRESSE PARIS, 6 MAI 2015 Indicateurs d activité T1 2015 Chiffre d affaires en hausse de 10% en publié, bénéficiant d effets de change positifs Variation en comparable (à taux de change
Plus en détailCroissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés
POUR DIFFUSION : À Washington : 9h00, le 9 juillet 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À DIFFUSION Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés La croissance
Plus en détailMarché mondial de l automobile
Carlos Gomes 1..73 carlos.gomes@scotiabank.com En route vers des ventes mondiales records en 1 Les marchés développés mènent le bal Les ventes mondiales de voitures ont progressé de % pendant le premier
Plus en détailPrix et marges dans la distribution des carburants
Prix et marges dans la distribution des carburants Rapport d étape au Ministre de l Économie et des Finances (24 août 2012) Anne BOLLIET Inspectrice générale des Finances Boris RAVIGNON Inspecteur des
Plus en détailThème 1: l environnement pédagogique et scolaire dans le primaire et le secondaire
FRANCE Cette note sur la France se focalise sur trois grands thèmes que l on retrouve dans cette édition de Regards sur l éducation et qui concernent plus particulièrement la France. Il s agit de l environnement
Plus en détailÂge effectif de sortie du marché du travail
Extrait de : Panorama des pensions 2013 Les indicateurs de l'ocde et du G20 Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/pension_glance-2013-fr Âge effectif de sortie du marché du travail Merci
Plus en détailRégimes publics de retraite État de la situation. Perspectives des différents régimes publics de retraite. Plan
Régimes publics de retraite État de la situation Perspectives des différents régimes publics de retraite 79 e congrès de l ACFAS 10 mai 2011 Plan Portrait des régimes publics de retraite La pression démographique
Plus en détail15% 10% -5% % de ch. par rapp. à l année préc. -10% Conserves Meat de fruits et légumes et aliments de spécialité
Export. (milliers de dollars CAD) % de ch. par rapp. à l année préc. 4Q13 Survol des tendances de l industrie canadienne des aliments, des boissons et du secteur agroalimentaire Nouvelles importantes Le
Plus en détailPrix du gaz et de l électricité dans l Union européenne en 2011
COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 366 Novembre 2012 Prix du gaz et de l électricité dans l Union européenne en 2011 OBRVATION ET STATISTIQU ÉNERG En 2011, le prix du gaz a augmenté dans tous
Plus en détailLe commerce de détail en Europe : la diversité des tissus commerciaux
Le commerce de détail en Europe : la diversité des tissus commerciaux Claire de Kermadec* Les habitudes culturelles, la taille et la dynamique des marchés modèlent le paysage du commerce de détail en Europe.
Plus en détailLe multiplicateur monétaire (de crédit) : hier et aujourd'hui
23 février - N 27-72 Le multiplicateur monétaire (de crédit) : hier et aujourd'hui Le multiplicateur monétaire (de crédit) est la théorie qui explique quel montant de crédit (de masse monétaire) peut être
Plus en détailN 1470 ASSEMBLÉE NATIONALE
N 1470 ASSEMBLÉE NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 TREIZIÈME LÉGISLATURE Enregistré à la Présidence de l Assemblée nationale le 17 février 2009. RAPPORT FAIT AU NOM DE LA COMMISSION DES AFFAIRES
Plus en détailCAHIERS. Parités de pouvoir d achat : mesure et utilisations STATISTIQUES. Dans ce numéro. Que sont les PPA? mars 2002. nº 3
CAHIERS STATISTIQUES Parités de pouvoir d achat : mesure et utilisations mars 2002 nº 3 par Paul Schreyer et Francette Koechlin Comment procéder à des comparaisons internationales de données économiques
Plus en détailLe Conseil d administration. L Article VI du Statut du PAM définit comme suit les fonctions du Conseil:
1. L E C O N S E I L D A D M I N I S T R A T I O N E T S E S F O N C T I O N S 1er janvier 1996, suite à l adoption de résolutions parallèles par l Assemblée générale des Nations Unies et la Conférence
Plus en détailRésultats annuels Exercice clos au 30 avril 2015. 18 juin 2015
Résultats annuels Exercice clos au 30 avril 2015 18 juin 2015 1 Alan Parker Président 2 Agenda i. Synthèse ii. iii. iv. Comptes annuels Les 4D Initiatives de croissance 3 Synthèse 4 Nouvelle Confiance
Plus en détailLES CONTRATS EN AVICULTURE. Comité Volailles FranceAgriMer, 31 janvier 2013 1
LES CONTRATS EN AVICULTURE Comité Volailles FranceAgriMer, 31 janvier 2013 1 CONTEXTE, OBJECTIFS ET MÉTHODE Comité Volailles FranceAgriMer, 31 janvier 2013 2 CONTEXTE Déficit de compétitivité français
Plus en détailLES BRIC: AU DELÀ DES TURBULENCES. Françoise Lemoine, Deniz Ünal Conférence-débat CEPII, L économie mondiale 2014, Paris, 11 septembre 2013
LES BRIC: AU DELÀ DES TURBULENCES 1. Facteurs structurels du ralentissement de la croissance dans les BRIC 2. Interdépendances commerciales entre les BRIC et le reste du monde Françoise Lemoine, Deniz
Plus en détailGHANA. Les relations commerciales de la Belgique avec le
Les relations commerciales de la Belgique avec le GHANA Cette note est également disponible sur le site internet de l Agence pour le Commerce extérieur : www.abh-ace.be P a g e 1 TABLE DES MATIÈRES 1 La
Plus en détailLa stabilité des prix : pourquoi est-elle importante pour vous? Brochure d information destinée aux élèves
La stabilité des prix : pourquoi est-elle importante pour vous? Brochure d information destinée aux élèves Que peut-on acheter pour dix euros? Et si, avec cet argent, vous pouviez acheter deux maxi CD
Plus en détailPension AOW pour les assurés hors des Pays-Bas
Pension AOW pour les assurés hors des Pays-Bas Sommaire Qu est-ce que la pension AOW? 2 A qui est destinée la pension AOW? 2 Quand aurez-vous droit à la pension AOW? 4 Résider dans un pays et travailler
Plus en détailMoniteur des branches Industrie MEM
Moniteur des branches Industrie MEM Octobre 2014 Editeur BAKBASEL Rédaction Florian Zainhofer Traduction Anne Fritsch, Verbanet GmbH, www.verbanet.ch Le texte allemand fait foi Adresse BAK Basel Economics
Plus en détailÉTUDE DES EXPORTATIONS - IMPORTATIONS D'ÉLECTRICITÉ ENTRE LA FRANCE ET L'ALLEMAGNE
ÉTUDE DES EXPORTATIONS - IMPORTATIONS D'ÉLECTRICITÉ ENTRE LA FRANCE ET L'ALLEMAGNE Dans son bilan annuel 2012 RTE dresse ce constat : RTE distingue deux modes d'échanges (source RTE 2011) : LES ECHANGES
Plus en détailOBSERVATOIRE DE L EPARGNE EUROPEENNE
Conférence de presse du 22 juin 2001 Fiscalité des produits d épargne: une comparaison internationale Il n existe pas de véritable point de vue européen en matière de fiscalité des produits d épargne.
Plus en détailEGALITÉ ENTRE LES FEMMES
ÉGALITÉ CHERCHEUSE FEMME ENSEIGNEMENT HOMME ÉTUDIANTE RECHERCHE EGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES Chiffres clés de la parité dans l enseignement supérieur et la recherche ÉGALITÉ entre les FEMMES
Plus en détailLes prestations servies dans la zone UE-EEE-Suisse entre 2004 et 2013
R EGARD SUR... Les prestations servies dans la zone UE-EEE-Suisse entre 24 et 213 (application des règlements (CEE) n 148/71 puis (CE) n 883/24) Chaque année, les paiements effectués par la France en application
Plus en détailACCORD RELATIF AU TRANSIT DES SERVICES AÉRIENS INTERNATIONAUX SIGNÉ À CHICAGO LE 7 DÉCEMBRE 1944
ACCORD RELATIF AU TRANSIT DES SERVICES AÉRIENS INTERNATIONAUX SIGNÉ À CHICAGO LE 7 DÉCEMBRE 1944 Entrée en vigueur : L Accord est entré en vigueur le 30 janvier 1945. Situation : 130 parties. Cette liste
Plus en détailL industrie agricole et agroalimentaire canadienne et l économie mondiale en 2013-2014
L industrie agricole et agroalimentaire canadienne et l économie mondiale en 2013-2014 Introduction L économie canadienne est tributaire des exportations, en particulier dans les secteurs agricoles et
Plus en détailLes perspectives économiques
Les perspectives économiques Les petits-déjeuners du maire Chambre de commerce d Ottawa / Ottawa Business Journal Ottawa (Ontario) Le 27 avril 2012 Mark Carney Mark Carney Gouverneur Ordre du jour Trois
Plus en détailPerspectives Economiques Septembre 2015
Perspectives Economiques Septembre 2015 Philippe WAECHTER Directeur de la Recherche Economique Compte Twitter: @phil_waechter ou http://twitter.com/phil_waechter Blog: http://philippewaechter.nam.natixis.com
Plus en détailTARIFS DE COURTAGE. OFFRE ZONEBOURSE.COM / INTERACTIVE BROKERS Au 7 juillet 2015
TARIFS DE COURTAGE OFFRE ZONEBOURSE.COM / INTERACTIVE BROKERS Au 7 juillet 2015 La présente brochure a pour objet de vous présenter les principales conditions tarifaires appliquées aux services financiers
Plus en détailConsommer en 2010 : pas moins, mais mieux!
Paris, 21 janvier 2010 Communiqué de presse 21 ème Observatoire Cetelem de la Consommation Consommer en 2010 : pas moins, mais mieux! Depuis plus de 20 ans, L'Observatoire Cetelem décrypte, analyse et
Plus en détailLa situation financière des SNF françaises Quelques éléments de diagnostic élaborés à partir des comptes nationaux
La situation financière des SNF françaises Quelques éléments de diagnostic élaborés à partir des comptes nationaux 21 novembre 2014 Gilbert Cette 1. Définitions et sources Valeur ajoutée aux coûts des
Plus en détailPoint d actualité. Conseil Economique, Social & Environnemental Régional. Séance plénière 2 février 2015
Conseil Economique, Social & Environnemental Régional Point d actualité Séance plénière 2 février 2015 Rapporteur général : Jean-Jacques FRANCOIS, au nom du Comité de Conjoncture CONTEXTE GÉNÉRAL A la
Plus en détailLes investissements internationaux
Conclusion : Doit-on réguler les IDE? Les investissements internationaux Introduction : Qu est ce qu un investissement direct à l étranger (IDE)? I) L évolution des IDE 1 Les IDE : une affaire entre riches
Plus en détailFRANCE. PISA 2012 : Faits marquants. Performance en mathématiques. Performance en compréhension de l écrit et en sciences
FRANCE PISA 2012 : Faits marquants Performance en mathématiques La performance des élèves de 15 ans en mathématiques se situe en France au niveau de la moyenne des pays de l OCDE, avec un score de 495
Plus en détailOBSERVATION ET STATISTIQUES
COMMISSARI GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 461 Novembre 2013 Prix du gaz et de l électricité en France et dans l Union européenne en 2012 OBRVION ET STISTIQU ÉNERG En 2012, le prix du gaz a augmenté
Plus en détailBILAN ÉCONOMIQUE PRÊT-À-PORTER FÉMININ 1 ER SEMESTRE 2014
BILAN ÉCONOMIQUE PRÊT-À-PORTER FÉMININ 1 ER SEMESTRE 2014 INTERVENANTS Daniel Wertel, Président de la Fédération Française du Prêt à Porter Féminin François-Marie Grau, Secrétaire Général de la Fédération
Plus en détailBIEN-ÊTRE @ TRAVAIL ÉTUDE IPSOS LOYALTY / STEELCASE SUR LE BIEN-ÊTRE AU TRAVAIL
Communiqué de presse Septembre 2014 UNE ÉTUDE STEELCASE EN COLLABORATION AVEC IPSOS BIEN-ÊTRE @ TRAVAIL Contact presse pour informations, photos, interviews : BENJAMIN GIRARD Agence Design Project Tél
Plus en détailConjoncture Filière cheval N 17 Novembre 2014
Conjoncture Filière cheval N 17 Novembre 214 L élevage Galop : reprise de la production en 214 Trot : légère baisse de la production en 214, comme en 213 Selle : après trois années de baisse sévère, le
Plus en détailREPÈRES ÉCONOMIQUES POUR UNE RÉFORME DES RETRAITES JUILLET 2015
REPÈRES ÉCONOMIQUES POUR UNE RÉFORME DES RETRAITES JUILLET 2015 2000 2005 2010 2015 2020 2025 2030 2035 2040 2045 2050 2055 2060 en % du PIB UN FINANCEMENT DES RETRAITES TOUJOURS PAS ASSURÉ Solde financier
Plus en détail