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1 Information 2009 / 01 Editorial Chers membres de l APSI, Chères lectrices, chers lecteurs, Nous voici à nouveau au beau milieu du printemps! Le temps passe vite, tout comme les événements. Il n est donc pas étonnant de voir tout ce qui s est passé depuis la parution de la dernière brochure d information de l APSI. Je renonce ici à en faire la liste, mais je souhaiterais rappeler la dernière édition de notre brochure (2008/02), où vous avez pu lire l interview d Elisabeth Rüedi, directrice de soins émérite. Dans la présente édition, nous donnons la parole à trois directrices de soins actuellement en fonction dans trois hôpitaux de Suisse. Nous voulions en effet savoir ce que des responsables du management infirmier avaient à dire sur les sciences infirmières. Vous en saurez davantage à partir de la page 2. Ce numéro vous propose une nouvelle rubrique Information News, dans laquelle nous voulons informer nos membres sur les développements spécifiques aux soins et à l APSI. A lire à la page 9. Nous publierons en outre à l avenir des contributions des membres de l APSI. Vous avez donc la possibilité de faire connaître à un large cercle vos projets novateurs dans le domaine des soins. Vous en saurez davantage aussi à la page 9. Pour des raisons de délai, il n est malheureusement pas possible d informer sur l AG de cette année dans cette première édition de notre brochure d information. Vous trouverez d éventuelles informations à ce sujet dans l édition de l automne. Merci de votre compréhension. Comme vous pouvez le constater, j essaie toujours de trouver une introduction à la brochure qui suscite la curiosité des lectrices et des lecteurs. Vos réactions sont les bienvenues! Un grand merci de votre intérêt et bonne lecture! Eliane Huwiler, secrétaire générale de l APSI

2 Importance des sciences infirmières du point de vue des directions de soins Pour cette édition du printemps de la brochure d information de l APSI, nous avons choisi pour thème l importance des sciences infirmières du point de vue des directrices et des directeurs de services de soins. Nous avons pu obtenir de précieuses informations de la part des directions de soins qui ont participé à notre interview écrite. Etant donné que cette dernière était organisée à court terme, toutes les personnes sollicitées n ont malheureusement pas pu y répondre. Y ont participé Mme Barbara Reutlinger, directrice des soins de l Hôpital cantonal d Aarau, Mme Silvia Rosery, directrice du département Développement des professions de la santé de l Hôpital universitaire de Bâle et Mme Brioschi Levi, directrice des soins du Centre Hospitalier Universitaire Vaudois (CHUV), Lausanne. Nous les remercions vivement de leur participation! Nous avons décidé de présenter les réponses des personnes interviewées dans leur forme originale, afin de conserver l authenticité de leurs propos. 1. Quelle plus-value supportent les sciences infirmières pour le développement des soins infirmiers dans le contexte de santé actuel? Mme Reutlinger: L apport des sciences infirmières est considérable pour améliorer la qualité des soins de santé à la population. En effet, dans tous les domaines des soins, tels les soins aigus, les soins de longue durée, la réhabilitation et les soins à domicile, les résultats de la recherche infirmière contribuent à une meilleure maîtrise de la maladie par les personnes concernées. Vu l augmentation du nombre de personnes âgées et de malades chroniques, la diminution des séjours stationnaires et l augmentation du nombre de situations de soins complexes dans le domaine des soins à domicile, les sciences infirmières se doivent de mettre à la disposition des soignants des concepts basés sur l évidence et des méthodes ad hoc pour soigner et accompagner de manière optimale les patients et leurs familles. Les soins rapides et sans complication dans un établissement de soins aigus (p.ex.: décubitus / prophylaxie de l infection, management de la douleur), le transfert sans difficultés à un autre niveau de soins (management de la sortie de l institution), ainsi que les instructions et l accompagnement en matière de maîtrise des symptômes dans le domaine domestique (p.ex.: management de l insuffisance cardiaque, du diabète, etc.) soutiennent les personnes concernées dans le processus de guérison et la préservation de la santé individuelle, contribuant ainsi à économiser les ressources de la société. Les sciences infirmières développent des modèles et des organisations pour l engagement ciblé de skill- et grademix infirmiers dans les institutions et l engagement de nurse practitioners possédant leur propre cabinet, dans des cabinets communautaires et / ou dans le cadre de la collaboration interdisciplinaire. Les classifications des soins représentent pour l ensemble du traitement et des soins un complément indispensable et judicieux aux classifications médicales. Mme Rosery: Les sciences infirmières font désormais partie intégrante du paysage de la santé et l on ne peut plus imaginer faire sans elles. Il convient de considérer ceci sous deux angles. D une part, les contenus de la recherche qui concernent directement les soins sont et seront toujours plus importants pour les patientes et les patients ainsi que pour les collaborateurs. Ces prochaines années, l environnement

3 exigera de nous certaines décisions en matière d offres infirmières et d engagement de personnel. Plus nous pouvons nous appuyer sur des résultats de recherche valides pour les décisions nécessaires et plus haute sera la probabilité de pouvoir procéder à des adaptations appropriées. Cela concerne, d autre part, la planification de la formation et de la carrière. Il est selon moi indispensable que la profession infirmière soit pleinement intégrée dans le paysage de la formation suisse, ce qui requiert des filières de formation à tous les niveaux. Le développement professionnel orienté vers la science et la recherche constitue un enrichissement du paysage de la formation et attirera également la relève à moyen et à long terme. Mme Brioschi Levi: Globalement d abord, il s agit de replacer les soins infirmiers dans le processus de professionnalisation en cours. Ce dernier repose sur un socle composé des connaissances (en sciences infirmières, physiologie, pathologie, pharmacologie, psychologie et relation, technique, éthique, etc.), du sens clinique, de la maîtrise des processus réflexifs, de l action au service des patients et de la collectivité, de l engagement des soignants, indissociable de leur responsabilité. Ces cinq dimensions sont les garantes de la compétence, de l efficacité et de la crédibilité des soins infirmiers. Ils exigent de la solidité, de la précision et de la rigueur, des qualités qui sont aussi des valeurs au sein des communautés scientifiques. Les sciences infirmières apportent donc une plus-value à plusieurs niveaux et participent de ce fait à la production du corpus de connaissances propres à la profession. En cela, elles contribuent à en faire une discipline et développent les savoirs collectif. Elles sont les vecteur de valeurs «professionnalisantes». Elles procurent des bases indispensables à la décision à tous les niveaux. Dans les soins comme dans la relation avec le patient et ses proches et le développement de projets, il est en effet de la responsabilité des soins infirmiers d ancrer le jugement clinique et les choix sur des faits reconnus. Avec les bases décrites ci-dessus (socle du processus de professionnalisation ET sciences infirmières), les soins infirmiers, préventifs, curatifs ou palliatifs et quel que soit le milieu de soins, garantissent leur plus-value pour la population. 2. Quel est le rôle de la directrice/directeur de soins concernant le développement de soins basés sur l évidence et la recherche en soins infirmiers? Mme Reutlinger: La directrice de service de soins a le mandat de développer une vision des soins dans son organisation, vision où la pratique basée sur l évidence et la recherche doivent avoir leur place. Selon la vision, il s agira donc de mettre en place des structures en matière de personnel, d administration et de connaissances qui traduiront la vision en réalité. La directrice de service de soins représente la vision et la stratégie des soins dans les instances dirigeantes de l institution. Elle s engage durablement en faveur du développement constant des soins infirmiers. Mme Rosery: Il me semble qu une tâche importante est l ancrage de la nécessité d une pratique scientifique et de la recherche au niveau hospitalier. Ceci nécessite

4 en particulier de faire souvent preuve d une certaine force de persuasion et d argumentation dans l environnement non universitaire, surtout auprès des groupes professionnels éloignés des soins infirmiers. A l intérieur des services de soins, la direction doit à mon avis créer d une part les possibilités pour la science d accomplir le travail qui est le sien et, d autre part, veiller également à impliquer la pratique infirmière au niveau de la concertation et de la mise en oeuvre. Les soignants de la base doivent pouvoir prendre conscience des bénéfices qu apportent les sciences infirmières. Cet objectif requiert une discussion constante entre ce qui est souhaitable et ce qui est faisable. L acceptation de la base s en trouvera certainement facilitée si les soignants au bénéfice d une formation universitaire conserve une partie pratique dans leur travail, que les diverses tâches trouvent un espace commun et que les tâches communes mais différentes soient perçues comme relevant du domaine des «soins infirmiers». Mme Brioschi Levi: Le modèle de base en matière d evidence-based nursing décrivait initialement le triangle «preuves-valeurs du patient- expertise professionnelle» comme nécessaire à la décision. Pour les soins infirmiers s ajoutent «les ressources de l institution» et «le contexte». Le rôle de la Directrice des soins consiste à promouvoir et assurer un équilibre entre la preuve, par exemple, et les valeurs du patient. A l interne, il s agit de coordonner les moyens que l on se donne pour intégrer et développer les résultats de recherche dans la clinique. Sachant que plus d un millier de contributions sont indexées dans PubMed chaque année sur le thème de la douleur, il est inimaginable d attendre des professionnels qu ils mettent à jour au quotidien leurs connaissances sur ces bases-là. Et lorsque ces mêmes connaissances sont synthétisées par les scientifiques eux-mêmes, il reste encore à les contextualiser, à les analyser au regard de ce qui constitue notre spécificité. Quant à la production de contenus scientifiques, il s agit de mettre ensemble des compétences, des ressources matérielles et des terrains d investigations, ainsi que de fédérer l ensemble au service d un besoin présent ou d une plus-value pressentie. Dans les actes, cela se traduit notamment par: des groupes de travail interprofessionnels et interdisciplinaires qui œuvrent à la standardisation de certaines pratiques, recourent à des groupes d experts et diffusent l information la plus pertinente; une politique de recrutement des cadres qui prend en compte tant leurs préoccupations pour les soins et pour la recherche que les compétences en gestion; un renforcement de l encadrement de proximité dans le domaine des soins infirmiers afin d y favoriser l acquisition et le transfert de connaissances et de compétences, notamment au travers des Praticiens formateurs et des Infirmiers cliniciens; la formation de collaborateurs à la recherche, en interne ou en externe, ainsi qu un soutien pour la réalisation de publications et de posters; le développement progressif de projets de recherche et la promotion de partenariats interdisciplinaires ou extra-institutionnels pour lesquels une plusvalue est perceptible pour les soins et le patient; la mise en place dans certains services ou départements cliniques d initiatives spécifiques (Atelier de recherche en soins infirmiers pédiatriques par exemple).

5 3. Dans quelle mesure intégrez-vous le Swiss Research Agenda for Nursing dans la recherche propre à votre institution? Mme Reutlinger: Dans la mesure où des projets de recherche sont lancés, le SRAN sert tout au plus comme cadre de référence. Lors du lancement de projets de recherche, l implication du SRAN a plutôt été jusqu ici le fait du hasard que relevant de la systématique. Mme Rosery: L intégration est garantie par notre département des sciences infirmière cliniques. Mme Brioschi Levi: Les activités de recherche au CHUV sont centrées sur des critères cliniques ou sur les besoins de la population, donc orientées vers le patient. Il s agit d une vision de service public, de service à la population. Nous partageons toutefois les préoccupations reflétées par la liste de priorités que constitue le SRAN. La majeure partie des sept priorités listées se retrouve d ailleurs sous une forme ou une autre concrétisée au CHUV et / ou nommée dans le cadre du Plan directeur de la Direction des soins. Mais il nous reste encore du chemin à parcourir pour faire connaître et participer activement aux travaux du SRAN. 4. Quel personnel et avec quelles qualifications la pratique best practice / basée sur l évidence promeut-elle? Mme Reutlinger: Tout d abord, tous les soignants qui travaillent de manière réflexive exigent une best-practice. Les soignants qui ont un haut niveau de compétence (selon Benner), les soignants au bénéfice d une formation complémentaire spécialisée, les soignants qui ont un diplôme scientifique dans des fonctions de direction infirmière (primary nurse, expertes en soins, responsables de processus, APN) ont ici un mandat particulier. Mme Rosery: Ce qui est décisif à mon sens est la combinaison entre un personnel formé de manière appropriée et l organisation des services de soins. Il est naturellement indispensable que l on recrute un personnel formé en conséquence si l on veut prétendre intégrer le travail scientifique et la recherche. Le développement technique devrait selon moi relever de la responsabilité d une personne qui soit au moins au bénéfice d un master en soins infirmiers. Il me semble que les qualifications requises dépendent de la mission et de la taille d une institution. Le mix de personnel qui est intervenu plutôt par hasard, respectivement en réaction aux changements dans le domaine de la formation, doit poser les jalons d une planification du personnel orientée stratégie. Cette planification doit d une part contenir des possibilités de développement professionnel dans le sens d un modèle de carrière et, d autre part, prendre en considération dans des modèles skill et grade mix la composition qualitative et quantitative des équipes de soignants. La différenciation des formations permet et promeut de nouveaux champs d activités et une nouvelle répartition des prestations à servir sur les nouveaux groupes professionnels. Il est important que les connaissances professionnelles et la mise en oeuvre des soins basés sur l évidence soient perceptibles au lit du malade. Différents niveaux professionnels y assumeront également des tâches différentes, à commencer par le développement de programmes best-practice par des scientifiques jusqu aux suivis simples de directives par les soignants de base.

6 Mme Brioschi Levi: Le CHUV a toujours compté parmi ses collaborateurs soignants des personnes ayant pour mission d élaborer rigoureusement des références pour l activité clinique (processus, protocoles, techniques de soins, etc.). Qu il s agisse des cadres de proximité, des enseignants, des cliniciens ou de seniors au bénéfice d une expertise professionnelle, tous ont aujourd hui la responsabilité de la transition entre rigueur «professionnelle» et rigueur dans l analyse critique d articles scientifiques et la mise en évidence de preuves. Nous avons aussi des collaborateurs formés à la recherche scientifique dont nous attendons qu ils jouent un rôle de leaders, de promoteurs. En complément, nous développons de nombreux partenariats avec des chercheurs, des universités, des HES-Santé, etc. Les recherches sur l intégration des résultats scientifiques révèlent certains facteurs limitants, notamment lorsque les cadres n intègrent pas le savoir scientifique à leur vision du soin. La Directrice a donc à cœur de promouvoir et favoriser une vision scientifique du soin auprès des cadres et la responsabilité est partagée à tous les échelons, de l encadrement de proximité (infirmier chef d unité + clinicien + praticien formateur) à la Direction des soins. 5. Quelles sont les attentes des directrices/directeurs de soins envers les infirmières avec titres académiques? Mme Reutlinger: J attends de mon personnel au bénéfice d une formation en sciences infirmières qu il montre les succès et les échecs des concepts et des méthodes infirmières. développe des standards basés sur l évidence. soutienne la directrice des soins avec des arguments techniques et scientifiques dans le développement de la stratégie pour une organisation globale. ne perde pas de vue l économie de la santé. voit la science et la recherche non pas comme une fin en soi mais plutôt comme une contribution à de meilleurs soins des personnes concernées. collabore de manière constructive avec le management, l enseignement et la pratique infirmière. représente les soins en tant que science au niveau multiprofessionnel. Mme Rosery: Nous serons de plus en plus confrontées à la nécessité d expliquer notre action. En effet, sans des résultats probants quant à l efficacité des actions infirmières, nous courrons le danger à l avenir de voir des prestations efficaces ne plus être financées. Je m attends également à ce qu avec le temps les mesures «non efficaces» deviennent plus évidentes. Je suis convaincue que nous nous trouvons actuellement, aussi bien au niveau technique de formation, organisationnel que du contenu, dans une phase où il serait judicieux d examiner ce qui a été fait jusqu ici. Avec ses inputs, la science influencera de manière prépondérante cette différenciation. Mme Brioschi Levi: En matière de positionnement, nous attendons des infirmiers avec titre académique qu ils s intéressent aux soins infirmiers et se mettent au service de leur évolution, avec des préoccupations pleinement orientées vers les bénéficiaires ultimes de cette plus-value, les patients. Pour les équipes de soins, ils doivent être des moteurs. Pour la Direction des soins, ils ont aussi un rôle de conseil, lorsqu il s agit de définir des orientations.

7 En matière de recherche, ils agissent comme leaders, ou partenaires de recherches interdisciplinaires. Et enfin, dans les institutions de formation, on souhaite évidemment des professeurs qui, dans la discipline infirmière, atteignent le niveau le plus haut, optimisent nos collaborations et incarnent une certaine forme d exemple. La recherche est d ailleurs un trait d union fantastique entre les milieux de formation et les milieux de la pratique. 6. Comment le management peut-il profiter des infirmières avec titre académique? Mme Reutlinger: Le management profite de toutes les attentes mentionnées au point 5 et qui sont réalisées, dans ce sens que le travail accompli est basé sur l évidence et donc économique. l organisation a une réputation positive à l interne (groupes professionnels en propre et les autres) et vis-à-vis de l extérieur (patients, opinion publique, soignants) et qu elle favorise ainsi activement l acquisition d un personnel qui s engage. Mme Rosery: Je considère comme étant un gain énorme le fait que la pratique en cours jusqu ici fasse l objet d une réflexion et qu elle se développe. La science permet certaines controverses. Ce champ de tension promeut le développement. Les discussions des débuts sont souvent intervenues au niveau organisationnel. Des organisations des rôles (orientés vers l avenir) permettent une croissance constante, ce qui est essentiel pour les soins infirmiers. Si ces derniers entendent également jouer le jeu de l interdisciplinarité, ils doivent être capables d agir en conséquence aussi bien au niveau professionnel qu à celui du management. Mme Brioschi Levi: Les infirmières avec titre académique sont une force en matière d innovation, de proposition, d argumentation et de formation. La grande expertise qu elles possèdent dans l un ou l autre domaine domaine spécifique, à laquelle s ajoutent leurs compétences en matière de méthodologie scientifique, peuvent être mise au service de développements nouveaux. Elles permettent d élargir la perspective dans la recherche de solutions pour répondre aux besoins de la population, de fonder les décisions sur des bases solides. 7. Comment les directrices de soins et les infirmières avec titre académique peuvent-elles travailler judicieusement ensemble? Mme Reutlinger: De manière étroite et loyale. Les soignants au bénéfice d une formation en sciences infirmières sont judicieusement positionnés en tant qu étatmajor de la direction des soins. Mme Rosery: Il n y a pour moi pas de type de collaboration préférable à un autre. Ce qui est essentiel c est en effet l orientation thématique commune et la compétence clairement communiquée. La vision commune des soins compétents réunit certainement les deux groupes. Au quotidien, je vois parfois une manière différente d appréhender l accomplissement des tâches. Or, cette différence offre justement aux deux groupes un potentiel de croissance, qui nécessite toutefois encore et toujours des dialogues et du temps. Il y aura toujours des chevauchements dans les

8 tâches, étant donné que le développement implique toujours la question des ressources. Mme Brioschi Levi: Comme le reflètent mes réponses précédentes, cette collaboration peut adopter plusieurs formes différentes. Qu elle soit au service de la recherche, de la formation, de la clinique et / ou du développement de projets institutionnels, il est souhaitable que l infirmière avec titre académique partage une vision commune avec la Direction des soins. Cette nécessité tient au fait que le champ d action de ces professionnelles concernera le plus souvent des perspectives d avenir, des innovations. De plus, sachant que les ressources humaines comme financières ne sont pas inépuisables, il s agira d unir nos forces et compétences pour expliquer de façon fondée les choix à faire et préparer de futur. Avec détermination, il faudra également le faire savoir dans nos propres institutions comme au niveau politique. Pour ce dernier aspect, à mon avis, le temps presse. L interview a été menée par Dr. Virpi Hantikainen, présidente de l APSI L APSI est intéressée à connaître votre avis et vous invite à lui faire parvenir vos prises de position ou vos lettres de lectrices au sujet de l interview. Veuillez indiquer si vous êtes d accord que votre contribution soit publiée dans l un de nos bulletins d information et/ou sur notre site Web. Un grand merci! Les contributions de tiers ne doivent pas nécessairement correspondre à l opinion du comité ou de la rédaction.

9 Information News Information News Information SRAN II Endurance et résolution sont deux qualités qui assurent le succès à toute entreprise. Leo Tolstoi Cette citation s applique aussi dans un certain sens au Swiss Research Agenda for Nursing (SRAN). Ce dernier a été publié en décembre 2008 dans Pflege 6/08, la revue scientifique pour les soins infirmiers. SRAN en est maintenant à sa deuxième phase, celle de la mise en oeuvre. L an passé, l APSI a donné mandat à la société diasanberatung GmbH de développer une esquisse de plan de projet pour la mise en oeuvre du SRAN. La formulation concrète des objectifs pour la deuxième phase a nécessité beaucoup de temps. Aujourd hui, nous sommes néanmoins assez avancés, puisque Diasan a esquissé des plans d actions possibles comme partie intégrante du plan de projet. Les travaux sont globalement en bonne voie. Si vous voulez en savoir davantage, allez sur SRAN Autorisation de la filière master en Suisse romande L Office fédéral de la formation professionnelle et de la technologie (OFFT) a autorisé la filière de formation Master en Santé dans le cadre d une coopération entre la Haute Ecole Spécialisée de Suisse occidentale (HES-SO) et l Université de Lausanne. Plus d informations sur: D autres requêtes pour des filières master dans les hautes écoles spécialisées alémaniques sont en cours. Journée internationale des soignants La Journée internationale des soignants, qui aura lieu le 12 mai cette année, est placée sous la devise suivante: Servir la communauté et garantir la qualité: les soignants s engagent pour des soins novateurs. De nombreuses solutions novatrices dans le domaine de la santé publique sont élaborées par des soignants. Les contributions des soins sont malheureusement trop rarement rendues publiques. C est la raison pour laquelle l ICN entend développer une culture des innovations et faire connaître les projets développés par des soignants. L APSI soutient résolument cette approche et vous demande: quel est votre projet infirmier novateur? Envoyez votre abstract à: eliane.huwiler@pflegeforschung-vfp.ch et nous le publierons dans l une des prochaines brochures d information de l APSI.

10 Informations générales sur les AFGs Les Sociétés académiques suivantes sont regroupées sous l égide de l APSI: AFG Andragogique (AGOGIK), (seit 2007) Présidente: Antoinette Conca, MNS: zelleranti@hotmail.com AFG Ethique des soins (depuis 2008) Présidente: Ursa Neuhaus, lic. phil., RN: ursa.neuhaus@bluewin.ch AFG Soins gérontologiques (depuis 2006) Présidente: Anja Ulrich, MScN: ulrichan@uhbs.ch AFG Soins cardio-vasculaires (depuis 2008) Présidente: Nigole Zigan, MScN: nicole.zigan@ksl.ch AFG Soins oncologiques (depuis 2005) Présidente: Judith Abt, MScN: judith.abt@claraspital.ch AFG Soins pédiatriques (depuis 2007) Présidente: Andrea Ullmann-Bremi, MScN: andrea.ullmann@kispi.uzh.ch AFG Soins psychiatriques (depuis 2005) Présidente: Ruth Meer Lueth, MNS: ruth.meerlueth@hefr.ch / afg-psyp@bluewin.ch Information Vous avez la possibilité de consulter le rapport annuel 2008 de la Présidente de l APSI, Mme Virpi Hantikainen et les rapports annuels de toutes les présidentes des AFGs sur notre site web Vous pouvez commander la version papier en vous adressant au secrétariat. Êtes-vous intéressé/e à faire de la publicité dans la brochure d information de l APSI? Liste des prix 2009 Noir-blanc 1/1 page (11,8 x 18 cm) Fr /2 page (11,8 x 8,8 cm) Fr /4 page (5,7 x 8,8 cm ou 11,8 x 4,2 cm) Fr Prêt à la production, données numériques au format annonce souhaité à envoyer à: eliane.huwiler@pflegeforschung-vfp.ch

11 Informations par pour les membres. En tant que membre, être informé de façon rapide et détaillée! Est ce que vous nous avez déjà communiqué votre adresse ? Vous recevrez plus rapidement nos informations, documents pour l'assemblée générale, invitations à des manifestations et beaucoup plus, si vous envoyez votre nom, adresse et adresse avec le mot clé "Info per " à: CCP VfP, 4054 Bâle, Prenez contact avec nous Secrétariat: Madame Suzanne Rhinow Schützenweg Rheinfelden Tel: 061 / (vendredi 09:00-12:00h) Site web: Info@pflegeforschung-vfp.ch Présidente: Madame Dr. Virpi Hantikainen Pflegewissenschaftlerin PhD Direktion Pflege/MTTD Kantonsspital Aarau Tellstrasse CH 5001 Aarau virpi.hantikainen@ksa.ch / rv_hantikainen@bluewin.ch Tel: G: 062 / P: 076 / Merci de ne pas oublier de communiquer vos changements de domicile ou d'adresse au Secrétariat. Impressum: Editeur: Association Suisse pour les sciences infirmières Rédaction: Eliane Huwiler Traduction: Stéphane Gillioz Impression: Schwabe AG, Muttenz Tirage: 200 exemplaires Paraît deux fois par an

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