Anxiété, dépression, conduites de dépendance et troubles psychotiques à l adolescence

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Anxiété, dépression, conduites de dépendance et troubles psychotiques à l adolescence"

Transcription

1 Anxiété, dépession, conduites de dépendance et toubles psychotiques à l adolescence J.-P. Moutte*, J. Doon** Cette étude, fondée su une population de 18 adolescents accueillis dans un hôpital de jou, tente d évalue l intensité et la natue des liens qui peuvent existe ente l anxiété, la dépession, les conduites de dépendance et les toubles psychotiques. Les conduites symptomatiques et les modes de fonctionnement psychique sous-jacents ont été espectivement évalués à l aide de méthodes standadisées et du Roschach. Les pincipaux ésultats évèlent qu une majoité de sujets pésente au moins deux toubles distincts. L utilisation de substances psychoactives appaaît comme un facteu aggavant des toubles psychotiques et des toubles de l humeu : les sujets qui pésentent des conduites d abus et/ou de dépendance sont en effet significativement plus dépimés et nécessitent des hospitalisations plus féquentes que les autes sujets. L analyse des modalités nacissiques témoigne du fait que la plupat de ces sujets pésentent un fonctionnement psychique elevant de egistes psychotiques plus ou moins pofondément désoganisés. Camille,19 ans, a été hospitalisée à plusieus epises depuis l âge de 17 ans, tantôt pou état dépessif atypique, tantôt pou toubles des conduites. Une pise en chage en hôpital de jou a finalement été poposée il y a un an, des éléments déliants étant appaus au sein de la poblématique dépessive. Comme de nombeux sujets à cet âge, Camille ne conçoit pas d existe sans isque sa vie. Si elle evendique sa consommation de substances, ses tentatives de suicide ou ses fugues, elle les attibue, dans le même temps, au divoce de ses paents losqu elle avait 12 ans. Los des entetiens individuels, Camille se pésente tantôt comme étant tès dépimée, tantôt en affichant une désinvoltue qui accompagne le plus souvent * Psychologue clinicien, hôpital de jou du Pac, 347, boulevad du Pésident-Wilson, Bodeaux. ** Pofesseu de psychologie clinique et pathologique, univesité Victo-Segalen, Bodeaux 2, dépatement de psychologie, Bât H, 3 te, place de la Victoie, Bodeaux Cedex. un discous lucide et plein d humou, pafois teinté de séduction. Cette juxtaposition d affects et de symptômes, appaemment contadictoies, met à jou une économie qui est à la fois dépessive et antidépessive. Cette bève intoduction peut epésente un exemple témoignant des difficultés conceptuelles que compote l étude de l association ente toubles distincts, ceux-ci pouvant paticipe de causes difféentes ou au contaie d un déteminisme écipoque, d inteelations causales assez étoites. Les toubles que cible cette étude ainsi que leus difféents liens ont déjà fait l objet d une littéatue abondante, mais les tavaux abodant simultanément ces quate vaiables à l adolescence sont elativement aes. Cetains tavaux consacés aux fomes de comobidité liées à l utilisation de substances évèlent poutant que les toubles anxieux, les toubles de l humeu et les toubles psychotiques comptent pécisément pami les plus féquemment associés aux conduites d usage, d abus ou de dépendance (22). Si un nombe considéable de tavaux a pa ailleus été consacé au poblème des inteelations complexes qu entetiennent les conduites d abus ou de dépendance et les autes toubles, la natue exacte sans doute multifactoielle de celles-ci demeue mal élucidée. Cetaines données peuvent toutefois ête avancées. Les études épidémiologiques menées aupès de patients pésentant des toubles psychotiques ou des toubles de l humeu font appaaîte une pévalence de l abus de substances de deux à cinq fois supéieue à celle etouvée en population généale. Pa ailleus, la plupat des études écentes ont monté l absence de liens linéaies ente les toubles psychopathologiques et le type de substance consommée : l alcool et le cannabis sont les poduits les plus utilisés pa les patients, quels que soient les toubles associés (12, 17, 20). La plupat des données dont nous disposons font claiement appaaîte la nécessité de la pise en compte de la comobidité dépessionaddictions à l adolescence, dans la mesue où elle est susceptible d aggave la sévéité des toubles, d accoîte le isque de tentative de suicide, d entaîne une ésistance accue aux taitements et une duée d évolution plus longue (9, 14, 16). Qu elles soient pimaies ou secondaies, l anxiété et la dépession peuvent ête considéées comme aggavant ou maintenant l abus ou la dépendance au toxique (5). La natue des elations ente conduites addictives et toubles psychotiques demeue difficile à appécie. Les données écentes évèlent que l abus et la dépendance à l alcool ou au cannabis peuvent favoise l appaition ou le maintien d une symptomatologie positive (hallucinations, idées déliantes, etc.) et modifie de façon considéable l évolution et le ponostic des toubles (3, 10, 15). Si l on ne elève pas de appot de causalité diecte ente conduites d abus ou de dépendance et pathologies psychotiques, l étude de la chonologie de l addiction, pa appot à l appaition des pemies signes de la pathologie, monte que l abus ou la dépendance au cannabis pécèdent ou coïncident généalement avec la suvenue du touble, alos que l abus ou la dépendance à l alcool semblent succéde aux pemies symptômes plus souvent qu ils ne les pécèdent (1, 19). Plusieus études pospectives ont pa ailleus monté que la suvenue de echutes psychotiques était significativement plus pécoce et plus sévèe chez les patients pésentant des toubles associés à l utilisation de substances psychoactives (11, 12, 15). L une des pincipales données issues de Le Couie des addictions (5), n 1, janvie/févie/mas

2 l examen tansvesal des fomes de comobidité ente anxiété, dépession et psychose indique que la plupat des toubles psychotiques sont susceptibles de compote une symptomatologie anxieuse et/ou dépessive, en paticulie à l adolescence. Cetains tavaux ont ainsi mis en lumièe une plus gande sévéité de la symptomatologie anxio-dépessive los des pemièes décompensations psychotiques (6), en soulignant notamment la féquence des aptus anxieux. Si les pattens de comobidité ente psychose, dépession et anxiété à l adolescence peuvent ecouvi des tableaux cliniques elativement hétéogènes, on notea que l anxiété et la dépession ont toujous un etentissement impotant su l évolution des toubles psychotiques et su l insetion sociale et familiale des patients. Cette étude pousuit deux types d objectifs. Il s agit tout d abod de mesue la pévalence ponctuelle de la comobidité ente anxiété, dépession et conduites de dépendance au sein d un goupe d adolescents et de jeunes adultes accueillis en hôpital de jou pou toubles psychotiques. Nous tâcheons, pa là même, d analyse les elations quantitatives qu entetiennent ces vaiables ente elles. Nous tenteons également d appote une éponse à la question de l insciption de cette comobidité en temes de place et de fonction dans la poblématique d adolescents pésentant des toubles psychopathologiques gaves. Méthodologie Sujets La population de cette étude est constituée de dix-huit adolescents âgés de 16 à 21 ans qui pésentent des toubles psychotiques non déficitaies. Ces quinze gaçons et tois filles suivent tous une scolaité dans le cade de l hôpital de jou, les classes féquentées allant de la cinquième à la teminale. Pocédue Les dix-huit adolescents ont été épatis en deux goupes selon qu ils avaient ou non ecous à l utilisation de substances psychoactives. Les questionnaies I et J de la Mini intenational neuo-psychiatic inteview (MINI 4,4) (13) ont été utilisés afin de distingue les situations d usage, d abus et de dépendance à une ou plusieus substances au cous de l année écoulée (citèes CIM-10). Les sujets de chaque goupe ont ensuite pis pat à un entetien de echeche au cous duquel Gille d investigation des modalités nacissiques (Monika Boekholt, 1992) Axe 1 : Coloation affective de la epésentation de soi (ou d objet) + Élation : toute maque de gandeu, puissance enviable, beauté, noblesse. Valoisation explicite de l objet, de soi ou de la elation. - Dévaloisation explicite, dysphoie, fagilité, menace, inteelation pésentée comme négative. = Neutalité, constat, dénomination simple, pas de tonalité affective expimée. ± Mouvements simultanés d attaction/épulsion, de dénigement/épaation, desciptions dysphoiques complaisantes, ambivalence explicite, etc. Axe 2 : Pocédés Échelle i : Repésentation idéale de soi ou d objet i1. Simple valoisation, dévaloisation, non justifiées, constat. i2. Paue, at, fleus, déco, danse, fête, musique, feu d atifice, attibuts féminins, objets ceux, etc. i30. Attibuts viils, objets et signes de puissance, objets à moteu, constuctions éigées, agessivité socialisée, feu, bestiaie puissant/impuissant, fomulation additive ou pivative. i31. Béance, vide, tou, vacuité intene sans epésentation sexuelle associée. i32. Altéation, défomation copoelle. i33. Décomposition, désagégation, pouitue, uines, objets en déséquilibe, en moceaux. i4. Monde asexué, naïf, puéil, petit, mignon, amusant, jouet, pueté, monde viginal, anges, etc. i5. Gandiose, toute puissance magique, convoitée ou edoutable, vesus valoisation ou menace, êtes maléfiques, monstes, etc. Neutalité absolue. Bisexualité. Suvaloisation excessive en fonction du stimulus. i6. Idéalisation du négatif, dévitalisation, statue, momie, maionnette, pétification d un contenu pécédemment animé, contenu minéal. i7. Agessivité destuctice, attibuts destuctifs, pojection agessive, volcan, bombadement, écasement. Échelle R : Retait et centation su soi R1. Découpes inhabituelles, valoisation de l imaginaie, désintéêt, images floues, centations autistiques. R2. Centation su le cops et/ou le sexe, symbolisme tanspaent mais pas de éponse diecte, déplacement pa biais cultuel, scientifique, animal, insistance su la veticalité de la symétie. R3. Réponses copoelles anatomiques et sexuelles diectes, sang. R4. Nacissisme pimaie : expession symbolique, éléments pimitifs, éléments mains, animaux mains, géogaphie aquatique vague. R41. Fantasmes de etou au sein matenel cûment expimés ; thèmes obstéticaux diects ; fœtus. R5. Fantaisie oale : éponses alimentaies, scènes de dévoation, nutition, becs, bouches, dents, gueules, mâchoies, hyène, oge. R6. Régession au niveau du mode de pensée, busques dénivellations peceptives. R7. Vigilance, caactèe pesécutif, intepétatif, guette, scute (intentionnalité sous-jacente). Échelle S : Dimension spéculaie et dédoublement S1. Miois, eflets pa appot à l axe de la planche. S2. Réponses unilatéales : dédoublement de pecepts habituellement unitaies. S3. Insistance su la symétie et su la duplication des images ; oscillation unité/dualité dans la même phase ou à l enquête ; confusion singulie/pluiel. S4. Réponses bilatéales, accent mis su la postue plus que su la elation. S5. Jumeaux, siamois, pesonnages collés, soudés, semblables, intechangeables pa appot à l axe de la planche. S6. Dissociation symétique : éponses symétiques contadictoies. Échelle L : Enveloppes copoelles, tactiles et chomesthésiques L0. Thématique d étayage : pote, souteni, bece, s appuye su, conteni L1. Peaux, vêtements, tissus, voiles, masques ; thématiques d enveloppement, ecouvi, cache. L2. Fagilité de l enveloppe : tanspaences, déchiues, membanes, libellules, discontinuité, effaction. L. Qualité tactile : matièe, épaisseu, consistance, doux, velu, compact, ugueux, sec, etc. L4. Qualité visuelle : sensoialité, couleu, luminosité ; contaste blanc-noi, couleus dégadées. L5. Supepositions de pecepts mal délimités, contaminations. L6. Peceptions auditives et olfactives. 31

3 Tableau I. Compaaison des pincipales caactéistiques diagnostiques et théapeutiques des deux goupes étudiés. étaient utilisés difféents instuments standadisés, à savoi : 1. L inventaie d anxiété de Beck (BAI) afin d évalue l intensité de l anxiété (7). 2. Le questionnaie CES-D (Cente fo Epidemiologic Studies-Depession scale) afin d appécie la sévéité de la symptomatologie dépessive (8). 3. Un questionnaie standadisé visant au ecueil des données biogaphiques et théapeutiques (âge, niveau scolaie, antécédents familiaux, pise d un taitement, nombe d hospitalisations au cous de l année, etc.). Nous avons également tenté de cene le mode de fonctionnement psychique de chaque sujet à pati du Roschach. Les potocoles ont été cotés à l aide d une gille d analyse mise au point pa M. Boekholt (2), gille qui pemet une appoche difféentielle des aménagements dépessifs elevant de egistes distincts (névotique, peves, limite, psychotique) tout en founissant des éléments compaatifs objectivables dans le cade d une echeche integoupes. Nous ne détailleons pas ici le mode de cotation si ce n est pou pécise que celle-ci s effectue su deux axes : l un est elatif à l expession Goupe A G oupe B Total (n = 9) (n = 9) (n = 18) Catégoies diagnostiques (CIM-10) Schizophénie 11,1 % 11,1 % 11,1 % Toubles déliants pesistants 0 % 11,1 % 5,5 % Toubles schizo-affectifs 33,3 % 22,2 % 27,7 % Toubles psychotiques aigus 22,2 % 11,1 % 16,6 % Toubles de l humeu : épisode maniaque 11,1 % 0 % 5,5 % touble bipolaie 11,1 % 0 % 5,5 % touble dépessif écuent 11,1 % 11,1 % 11,1 % Toubles envahissants du développement 0 % 33,3 % 16,6 % Pise d un taitement médicamenteux 88,8 % 33,3 % 61,1 % Âge moyen de début des toubles 16,8 ans 13,3 ans 15 ans Nombe d hospitalisations au cous de l année 1 hospitalisation 22,2 % 0 % 11,1 % 2 hospitalisations ou plus 33,3 % 0 % 16,6 % Antécédents familiaux Toubles psychiatiques 44,4 % 33,3 % 38,8 % Utilisation égulièe de substances 33,3 % 11,1 % 22,2 % d affect telle qu elle est explicitée pa la vebalisation et les éactions compotementales los de la passation, de l enquête et de l épeuve des choix ; l aute a tait aux pocédés d investissement nacissiques et ne pend en compte que les éponses pésentes dans le potocole. Des containtes institutionnelles ne nous ayant pas pemis de popose la passation du Roschach à tous les sujets, nous avons poposé celle-ci à dix d ente eux, soit cinq sujets tiés au hasad dans chaque goupe. Le diagnostic pincipal (citèes CIM-10) auquel nous nous éféons pou chaque sujet a été établi pa tois psychiates expéimentés exeçant dans l institution. La chonologie d appaition des conduites d abus et/ou de dépendance pa appot aux podomes de la maladie a également été pise en compte. Nous avons considéé, à pati des éléments ecueillis au cous de l entetien, que l appaition était concomitante si les deux types de toubles avaient débuté au cous de la même année, que l un avait pécédé l aute si l intevalle d appaition était supéieu à un an. Résultats Étude desciptive Les dix-huit sujets constituant note population ont été épatis en deux goupes, l un composé de neuf adolescents ayant ecous à l utilisation de substances psychoactives (goupe A), l aute de neuf adolescents ne pésentant pas de telles conduites (goupe B). L âge moyen est légèement plus élevé au sein du goupe A (18,5 ± 1,3) qu au sein du goupe B (17,6 ± 1,5). Comme le monte le Tableau II. Pincipales caactéistiques des potocoles de Roschach (moyennes et poucentages). Nomes G oupe A G oupe B R ente 20 et 30 mn 18 mn 15 mn T ente 20 et 30 mn 21 mn 9 mn G 20 à 30 % 63 % 72 % D 60 à 70 % 27 % 22 % Dd 5 à 10 % 2 % 4 % F % 60 à 65 % 58 % 60 % F + % 70 à 80 % 66 % 66 % + % 70 à 90 % 70 % 66 % K 3,5 1,5 1 C 5 5 2,5 H % 10 à 20 % 18 % 18 % A % 40 à 45 % 42 % 48 % Ban 5 à IA Significatif si > 12 % 13 % 8 % Le Couie des addictions (5), n 1, janvie/févie/mas

4 Tableau III. Dimension quantitative de l analyse des modalités nacissiques au Roschach. Goupe A G oupe B Axe 1 Valoisation explicite, élation 8,1 % 5,2 % Dévaloisation explicite, dysphoie 15 % 9 % Neutalité, dénomination simple 72,2 % 83,1 % Ambivalence explicite 4,7 % 2,7 % Axe 2 Échelle i : epésentation idéale de soi 55,2 % 61 % Échelle R : etait et centation su soi 16,4 % 15,8 % Échelle S : dimension spéculaie, dédoublement 14,1 % 11,2 % Échelle L : enveloppes copoelles et chomesthésiques 14,3 % 12 % tableau I, les sujets qui ecouent à l utilisation de substances pésentent des toubles d appaition plus tadive et sont accueillis dans l institution depuis moins longtemps (10 mois en moyenne) que les sujets qui n utilisent pas de substance (24 mois en moyenne). La pemièe constatation concene la pésence concomitante, chez une majoité de sujets, de manifestations anxieuses et/ou dépessives. Douze sujets pésentent des manifestations dépessives (CES - D > 17 ou 23) elativement intenses (m = 22 ± 9,7). Ces manifestations ne diffèent pas significativement en fonction du diagnostic pincipal, ce qui est sans doute dû au petit nombe de sujets dans chaque goupe. Dix sujets pésentent des manifestations anxieuses (BAI > 15) ; cellesci sont elativement peu intenses (m = 16,8 ± 9,5). Nous n avons touvé de difféence significative ni ente les deux goupes de sujets, ni ente les diveses catégoies diagnostiques. Les sujets épondant aux citèes de dépendance à une ou plusieus substances au cous de l année écoulée sont au nombe de huit. Cinq d ente eux (62,5 %) épondent aux citèes d abus et/ou de dépendance à deux types de substances, qui sont dans tous les cas l alcool et les déivés du cannabis. Les autes sujets épondent aux citèes de dépendance à une seule substance, qui est pou les uns le cannabis, pou l aute l alcool. Pa ailleus, tois de ces sujets consomment ou ont consommé d autes types de substances (ecstasy, cocaïne) sans que l on puisse pale d abus ou de dépendance au cous de l année. L âge moyen de début des conduites d utilisation de substances est de 16,7 ans (± 1,3). Cinq sujets ont pésenté ce type de conduites avant l appaition des pemies symptômes psychotiques ou thymiques patents. Les deux types de symptômes sont appaus de manièe concomitante chez tois sujets, et un seul a développé des conduites de dépendance plus d un an apès l appaition d une symptomatologie psychotique. Si les données obtenues doivent ête nuancées, compte tenu du faible effectif su lequel elles potent, elles mettent néanmoins en lumièe le etentissement que cette comobidité peut avoi su le plan clinique : les huit sujets qui pésentent des conduites de dépendance à une ou plusieus substances psychoactives sont significativement plus dépimés (t = 4,14 p < 0,004) et hospitalisés plus féquemment (t = 4,21 p < 0,003) que les autes sujets. Étude psychodynamique Caactéistiques généales Les potocoles de Roschach des adolescents pésentant des conduites d abus et/ou de dépendance se caactéisent pa une vebalisation elativement iche pouvant compote des bizaeies ou des éléments déliants. À l invese, les potocoles des adolescents n utilisant pas de substance endent compte d un investissement de la passation moins impotant et témoignent d une cetaine pauveté associative. La plupat des potocoles évèlent des oscillations pafois impotantes ente les a-ésonnances qu assue le gel pulsionnel, l activité de epésentation subissant des attaques destuctices (dispaition de la kinesthésie au pofit de fomes banales, figées, épétitives) et les émegences butales de pocessus pimaies. Ces épeuves témoignent dans leu ensemble d un appot au éel assez ténu, bien que les potocoles des sujets du goupe A évèlent un ancage dans la éalité extéieue et des capacités d adaptation qui semblent connotées moins négativement que ceux des sujets du goupe B. Le TRI extatensif chez une gande majoité de sujets met en évidence la massivité des affects et le caactèe discontinu des possibilités de contenance pulsionnelle. Les mécanismes de défense auxquels ecouent la plupat des sujets sont, dans l un et l aute goupe, le clivage, le déni, l idéalisation et la pojection. Les dix adolescents auxquels nous avons poposé la passation du Roschach semblent tous confontés à un pocessus psychotique. On notea toutefois que les pofils généaux qui peuvent ête établis pou chaque goupe diffèent sensiblement l un de l aute (tableau II). Analyse des modalités d investissement nacissiques Cette analyse epose pincipalement su les dimensions qualitative et quantitative des modalités nacissiques dans les potocoles. La dimension tempoelle (enchaînement éponse pa éponse, planche pa planche) ne sea pas abodée ici. Le pemie constat que l on peut faie concenant la coloation affective de la epésentation de soi et d objet tient au fait que la plupat des éponses sont expimées de façon neute : les éactions compotementales sont assez aes et peuvent ête connotées tant positivement que négativement. Pis dans leu globalité, les mouvements dysphoiques, anxieux ou de dévaloisation appaaissent au sein des deux goupes plus féquemment que les maques d élation, de plaisi ou de valoisation (tableau III, axe 1). Au sein du goupe A, les mouvements de dévaloisation ont tait tantôt à la epésentation d objet, tantôt à la epésentation de soi, tandis que les mouvements de valoisation sont pincipalement diigés su la epésentation de soi. Dans l aute goupe, les mouvements de dévaloisation potent su les epésentations d objet et de elation losque les mouvements de valoisation potent le plus souvent su la epésentation de soi. Su le plan quantitatif, les pocédés d investissement auxquels ecouent massivement tous ces adolescents ont tait à la epésentation idéale de soi (tableau III, axe 2). Les éponses poteuses de cette thématique envoient essentiellement aux items i2, i5, i6 et i7, le ecous aux tois denies mettant en lumièe l activité des polaités létales du nacissisme négatif. Les items de l échelle R R4, R5 et R7 pincipalement sont quant à eux etouvés dans des popotions compaables dans la plupat des 33

5 potocoles. Les mouvements de etait qui pésident à l utilisation de ces items semblent, dans l un et l aute goupe, dictés pa un impotant désinvestissement objectal. Les items de l échelle S qu emploient la plupat des sujets, à savoi les items S4 et S6, envoient aux mouvements scissionnels qui sont la maque de défenses psychotiques. L emploi des items de l échelle L ecouve là aussi cetaines similitudes ente les deux goupes de sujets. Une majoité d ente eux ecout en effet aux items L2, L4 et L5. La thématique et l épouvé subjectif peceptibles au taves de ce type de éponses sont généalement connotés négativement et envoient à des elations d objet echechées ou edoutées mais toujous empeintes de dysphoie. On etienda donc, à l issue de cette appoche difféentielle, que les éléments dépessifs que pésentent une majoité de sujets elèvent effectivement de egistes dissociatifs. Discussion Nous n évoqueons pas ici les hypothèses psychophamacologiques et génétiques concenant la féquence élevée de la comobidité ente toubles psychopathologiques. Celles-ci ont fait l objet d études aussi nombeuses qu attentives qui pouont ête etouvées ailleus. L analyse statistique de l association ente les difféentes vaiables étudiées monte que la dépession est coélée avec l anxiété ( = 0,69 p < 0,01), ce qui est cohéent avec la plupat des données dont nous disposons (5, 9). L anxiété est, quant à elle, coélée, dans une moinde mesue et de façon négative, avec la duée de la pise en chage. Cette denièe donnée souligne l impotance d une pise en chage duable, qui pemette aux sujets l intégation pogessive de capacités à utilise le cade institutionnel comme système contenant et pae-excitant. Les toubles liés à l utilisation de substances appaaissent comme étant pincipalement liés à la dépession. Ceux-ci sont toutefois significativement plus impotants losque la dépession est pésente conjointement avec l anxiété (t = 2,92 p < 0,05). Le fait que la dépession, l anxiété et les conduites addictives appaaissent, su le plan statistique, comme des vaiables explicatives les unes des autes indique la possibilité d une tentative d automédication des angoisses psychotiques et/ou de l humeu dépessive. La massivité du ecous à l alcool et au cannabis va d ailleus dans le sens de cette hypothèse, les effets anxiolytiques et subeuphoiques de ces deux types de substances étant bien connus. Si ces tois vaiables entetiennent des elations, celles-ci semblent toutefois difficilement éductibles à une elation linéaie de causalité, de nombeuses autes vaiables (l intensité de la symptomatologie psychotique, l utilisation ponctuelle d autes substances, etc.) pouvant joue un ôle déteminant dans l appaition ou le maintien de ces manifestations comobides. Le fait que l alcool et les déivés du cannabis soient les substances les plus féquemment utilisées tend à confime l impotance, dans le choix du poduit, du coût et de la disponibilité de celui-ci dans l envionnement du sujet. L hypothèse selon laquelle le choix des substances utilisées pa les patients psychotiques seait lié à une appétence péféentielle pou les psychostimulants appétence pobablement sous-tendue pa une tentative d automédication de la symptomatologie négative n est pas confimée ici. La place impotante qu occupent le cannabis et l alcool dans les conduites addictives auxquelles nous sommes confontés semble en oute témoigne de la non-petinence de la dichotomie ente dogues douces et dues ou ente substances licites et illicites losque l on abode la question de leu utilisation pa des sujets pésentant des toubles psychopathologiques. On constate que les conduites de dépendance pécèdent le plus souvent l appaition des toubles psychotiques ou thymiques. Cette chonologie tend à confime une séie d hypothèses que nous appelleons bièvement. Selon la pemièe de ces hypothèses, les substances psychoactives joueaient le ôle de facteu pécipitant de la pemièe décompensation psychotique ou thymique chez des sujets pouvant pésente des failles identitaies sous-jacentes. Selon la deuxième hypothèse, non exclusive de la pécédente, l utilisation égulièe de substances modifieait la pésentation clinique de la symptomatologie débutante, au point d entaîne pafois des eements diagnostiques. Nous appuyant su l ensemble des données qualitatives, nous tâcheons maintenant de live une lectue pocessuelle (considéant un pocessus psychopathologique où suviennent dives éléments symptomatiques) plutôt que catégoielle (considéant la psychose et les manifestations qui lui sont associées comme des pathologies distinctes) des phénomènes comobides qui constituent l objet de ce tavail. L examen des potocoles de Roschach témoigne du fait que les sujets que nous avons encontés pésentent tous un fonctionnement psychique elevant de egistes psychotiques plus ou moins pofondément oganisés. Il appaaît également que les pocédés d investissement nacissiques mis en jeu, s ils sont sensiblement les mêmes dans les deux goupes, le sont toutefois en popotion vaiable selon que les sujets font patie de l un ou l aute goupe. Ces difféences quant à la natue et au degé des mouvements d investissement et de désinvestissement indiquent la possibilité de dénis, de clivages et de pojections plus limités, moins adicalement coupés de la éalité chez les sujets du goupe A que chez ceux du goupe B. Il semble que les pemies disposent ainsi de essouces plus impotantes que les seconds pou tente de éponde aux difficultés qu ils encontent. Ces difféences peuvent ête liées, en patie du moins, au fait que les sujets du goupe A pésentent des toubles d appaition plus écente que les autes sujets. Il se peut que ces difféences tiennent aussi aux contadictions, inhéentes à la psychopathologie de l adolescence, ente des modes d oganisation psychotique mobilisables et d autes qui, bien qu appaemment semblables, sont déjà fixés. Les potocoles de Roschach des deux goupes de sujets sont majoitaiement poteus des indices classiques de l inhibition dépessive : estiction du nombe de éponses, pauveté kinesthésique, sensibilité spécifique au noi et/ou au blanc, etc. Au-delà de ces citèes, ces potocoles sont évélateus de la difficulté qu ont cetains sujets à associe l affect de souffance et une ou des epésentations de pete. Su ce denie point, les modalités diffèent pafois au sein d un même goupe, ca elles potent, soit la maque du lien maintenu à l objet soit celle de son anéantissement. L aticulation ente dépession et oganisation psychotique semble donc vaie selon que la menace de désoganisation identitaie est ciconscite ou envahissante et selon que dominent les aspects fusionnels ou scissionnels. Les fonctions que peuvent evêti les conduites de dépendance d un point de vue psychique leu confèent, comme l ont souligné cetains auteus (4, 18), un caactèe de solution aspécifique. Celles-ci peuvent en effet ête utilisées pa les patients afin de suppote les angoisses et les affects dépessifs ou d abandon éels ou fantasmatiques qu ils épouvent, pou tente de déplace leu dépendance aux objets paentaux, pou teni les Le Couie des addictions (5), n 1, janvie/févie/mas

6 autes les soignants notamment en échec ou pou épouve des sensations substituts aux affects désoganisants suscités. L étude des pocessus communs aux sujets du goupe A nous amène, en oute, à considée ces conduites comme un aménagement défensif, cetes extême et illusoie, mis en œuve pou tente de se dégage du pocessus dissociatif qui les a menacés ou les menace encoe. Il appaaît que ce système défensif tende néanmoins à s auto-enfoce et à se vide de son sens, du fait de la compulsion de épétition, d une pat, en aison de la pession qu exece le isque d un nouvel effondement nacissique, d aute pat. Conclusion Il nous semble intéessant de appele, apès D. Widlöche, que le teme comobidité peut ête utilisé dans le sens de isque de pathologies associées ( ) mais aussi dans celui, plus clinique que statistique, de pathologie généale (1999, p. 29). Cette double appoche statistique et clinique de la comobidité ente anxiété, dépession, conduites de dépendance et toubles psychotiques nous conduit, logiquement, à faie deux constats. Le pemie tient à l existence, su le plan statistique, d un lien de comobidité ente les catégoies de toubles évoquées au sein de note population. Si on laisse de côté l hypothèse neuobiologique d une étiologie commune ente anxiété, dépession et addiction, ces tois types de manifestations nous paaissent ête des phénomènes qui tendent, dans ce contexte pécis, à s enteteni mutuellement. Les ésultats de cette étude soulignent pa ailleus le fait que les conduites de dépendance à une ou plusieus substances psychoactives paticipent, pa leus effets, à l aggavation des toubles psychotiques, d une pat en etadant le epéage diagnostique, d aute pat en favoisant la suvenue de echutes. Le second tient à la nécessité et à la complémentaité d une investigation clinique s inteogeant su le fonctionnement intapsychique des sujets encontés. Cette investigation, qui epose su le diagnostic difféentiel établi à pati des potocoles de Roschach, nous enseigne en pemie lieu su le fait que les adolescents pésentent tous des modalités d oganisation psychotiques. Ce qui signifie que les affects anxieux et dépessifs, quantifiés pa ailleus, paticipent à une économie tout à fait paticulièe visant notamment au maintien d un semblant de cohésion identitaie. Les conduites d abus et/ou de dépendance sont généalement considéées à juste tite comme désoganisatices. L un des appots de l analyse pocessuelle éside pécisément dans le fait qu elle laisse entevoi dans ces conduites un aménagement économique pouvant empli des fonctions positives pou les sujets qui en sont les auteus. Revenons un instant, à la lumièe des ces éléments psychodynamiques, à l exemple de Camille. Les affects dépessifs, la dépendance aux déivés du cannabis, les tentatives de suicide et les autes conduites de isque mis en œuve pa cette adolescente n appaaissent qu en tant que symptômes isolés, sans constitue une explication du désode psychique pofond. Il semble en effet que ce soit, au contaie, l oganisation stuctuelle sousjacente qui s expime ici ou là, à tel moment ou à tel aute, sous la fome des compotements obsevés. Réféences bibliogaphiques 1. Addington J, Addington D. Effects of substance misuse in ealy psychosis. Bit J Psychiaty 1998 ; 172, 33 : Boekholt M. Modalités nacissiques et egistes dépessifs au Roschach. Bulletin de la Société du Roschach et des Méthodes Pojectives de Langue Fançaise 1992 ; 36 : Bunette MF, Muese KT, Xie H et al. Relationships between symptoms of schizophenia and substance abuse. J Nev and Ment Disease 1997 ; 185 : Cocos M, Jeammet P. Dépession et conduites addictives à l adolescence. Appoche psychanalytique. Neuo-Psy 1998 ; n spécial : Doon J, Swendsen J. Quelques éflexions su l anxiété et ses toubles associés : un débat ente l appoche cognitivo-compotementale et psychodynamique. L Évolution Psychiatique 2001 ; 66 : Emsley RA, Oosthuizen PP, Joubet AF et al. Depessive and anxiety symptoms in patients with schizophenia and schizophenifom disodes. J Clin Psychiaty 1999 ; 60, 11 : Feeston M-H, Ladouceu R, Thibodeau N et al. L inventaie d anxiété de Beck : popiétés psychométiques d une taduction fançaise. L Encéphale 1994 ; 20 : Fuhe R, Rouillon F. La vesion fançaise de l échelle CES-D. Psychiatie & Psychobiologie 1989 ; 4 : Gasquet I. Épidémiologie des toubles dépessifs de l enfance et de l adolescence. Neuo-Psy 1998 ; n spécial : Hall W. Cannabis use and psychosis. Dug and Alcohol Review 1998 ; 17, 4 : Kutche S, Kachu E, Maton P et al. Substance abuse among adolescents with chonic mental illnesses : a pilot study of desciptive and diffeenciating featues. Canadian J Psychiaty 1992 ; 37, 6 : Launay C, Petitjean F, Pedeeau F et al. Conduites toxicomaniaques chez les malades mentaux : une enquête en Île-de-Fance. Annales Médico-Psychologiques 1998 ; 156, 7 : Lecubie Y, Sheehan DV, Weille E et al. The Mini Intenational Neuo-psychiatic Inteview : a shot diagnostic stuctued inteview. Euopean Psychiaty 1997 ; 12, 5 : Lewinsohn PM, Gotlib IH, Seeley JR. Adolescent psychopathology : IV. Speci-ficity of psychosocial isk factos fo depession and substance abuse in olde adolescents. J Am Acad Child Adolesc. Psychiaty 1995 ; 34, 9 : Linszen DH, Dingemans PM, Lenio ME. Cannabis abuse and the couse of ecent onset schizophenic disodes. Ach Gen Psychiaty 1994 ; 51 : Meikangas K, Mehta R, Molna B et al. Comobidity of substance use disodes with mood and anxiety disodes : esults of the Intenational Consotium in Psychiatic Epidemiology. Addictive Behavios 1998 ; 23 : Muese KT, Yanold PR, Bellack AS. Diagnostic and demogaphic coelates of substance abuse in schizophenia and majo affective disodes. Acta Psychiatica Scandinavica 1992 ; 85 : Pedinielli J-L, Rouan G. Les logiques de l addiction. Pais : S. Le Poulichet (éd.). Les addictions, PUF, 2000 : Stakowski SM, Keck PE, Mc Eloy SL et al. Chonology of comobid and pincipal syndomes in fist-episode psychosis. Compehensive Psychiaty 1995 ; 36, 2 : Vedoux H, Muy M, Besançon G et al. Étude compaative des conduites toxicomaniaques dans les toubles bipolaies, schizophéniques et schizo-affectifs. L Encéphale 1996 ; 22 : Widlöche D. Le sens de la comobidité. Inteventions 1999 ; 72 : Zeitlin H. Psychiatic comobidity with substance misuse in childen and teenages. Dug and Alcohol Dependence 1999 ; 55, 3 :

Créer un observatoire de la concurrence. Créer un observatoire de la concurrence. Démarche. ntérêt. C aractéristiques.

Créer un observatoire de la concurrence. Créer un observatoire de la concurrence. Démarche. ntérêt. C aractéristiques. Cée un obsevatoie de la concuence poblématique I Quelle est l'étendue d'un maché? Quelle pat du maché, une entepise peut-elle espée pende? Quels sont les atouts des entepises pésentes su le maché? ntéêt

Plus en détail

où «p» représente le nombre de paramètres estimés de la loi de distribution testée sous H 0.

où «p» représente le nombre de paramètres estimés de la loi de distribution testée sous H 0. 7- Tests d austement, d indépendance et de coélation - Chapite 7 : Tests d austements, d indépendance et de coélation 7. Test d austement du Khi-deux... 7. Test d austement de Kolmogoov-Sminov... 7.. Test

Plus en détail

Serveur vidéo IP. caméras analogiques PC serveur. PC Client 1. Serveur de stockage ( optionnel )

Serveur vidéo IP. caméras analogiques PC serveur. PC Client 1. Serveur de stockage ( optionnel ) Sony RealShot Manage V3 Info Poduit Mas 2005 RealShot Manage V3.0 Logiciel de gestion des caméas IP MJPEG, MPEG-4, Audio, il sait tout enegiste! Une nouvelle vesion du logiciel RealShot Manage de Sony

Plus en détail

FINANCE Mathématiques Financières

FINANCE Mathématiques Financières INSTITUT D ETUDES POLITIQUES 4ème Année, Economie et Entepises 2005/2006 C.M. : M. Godlewski Intéêts Simples Définitions et concepts FINANCE Mathématiques Financièes L intéêt est la émunéation d un pêt.

Plus en détail

Permis de feu. Travail par point chaud. r Soudage r Brasage. r Découpage r Tronçonnage. r Meulage r Autres. r Poste à souder r Tronçonneuse

Permis de feu. Travail par point chaud. r Soudage r Brasage. r Découpage r Tronçonnage. r Meulage r Autres. r Poste à souder r Tronçonneuse Pemis de feu Tavail pa point chaud Patage vote engagement Ce document doit ête établi avant tout tavail pa point chaud (soudage, découpage, meulage, ) afin de péveni les isques d incendie et d explosion

Plus en détail

CIRCULAIRE N 02/04. Elle précise les méthodes de valorisation des titres de capital et des titres de créances contenus dans les actifs de l OPCVM.

CIRCULAIRE N 02/04. Elle précise les méthodes de valorisation des titres de capital et des titres de créances contenus dans les actifs de l OPCVM. Rabat, le 02 juillet 2004 CIRCULIRE N 02/04 RELTIVE UX CONDITIONS D ÉVLUTION DES VLEURS PPORTÉES À UN ORGNISME DE PLCEMENT COLLECTIF EN VLEURS MOBILIÈRES OU DÉTENUES PR LUI La pésente ciculaie vient en

Plus en détail

Roulements à billes et à rouleaux

Roulements à billes et à rouleaux Fo New Technology Netwok R copoation Roulements à billes et à ouleaux CAT. NO. 222-VIII/F Manuel technique A- Roulements à billes à goges pofondes B- Roulements miniatues B- 1 Roulements à billes à contact

Plus en détail

Informations Techniques A7 A141. Roulements à Billes à Gorge Profonde. Roulements à Billes à Contact Oblique. Roulements à Billes Auto-Aligneurs

Informations Techniques A7 A141. Roulements à Billes à Gorge Profonde. Roulements à Billes à Contact Oblique. Roulements à Billes Auto-Aligneurs ROULEMENTS Pages Infomations Techniques A7 A141 Infos Tech. Roulements à Billes à Goge Pofonde B4 B45 Roulements à Billes à Contact Oblique Roulements à Billes Auto-Aligneus Roulements à Rouleaux Cylindiques

Plus en détail

DiaDent Group International

DiaDent Group International www.diagun.co.k DiaDent Goup Intenational Dispositif de compactage sans fil à chaleu intégée Copyight 2010 DiaDent Goup Intenational www.diadent.com Dispositif de compactage sans fil à chaleu intégée w

Plus en détail

Guide de l acheteur de logiciel de Paie

Guide de l acheteur de logiciel de Paie Note pespicacité Pivilégie les essouces humaines Guide de l acheteu de logiciel de Paie Table des matièes Intoduction Tendances écentes de Paie L automation de Paie avec libe-sevice pou employés Analyse

Plus en détail

11.5 Le moment de force τ (tau) : Production d une accélération angulaire

11.5 Le moment de force τ (tau) : Production d une accélération angulaire 11.5 Le moment de foce τ (tau) : Poduction d une accéléation angulaie La tige suivante est soumise à deux foces égales et en sens contaie: elle est en équilibe N La tige suivante est soumise à deux foces

Plus en détail

TRAVAUX DIRIGÉS DE M 6

TRAVAUX DIRIGÉS DE M 6 D M 6 Coection PCSI 1 013 014 RVUX DIRIGÉS DE M 6 Execice 1 : Pemie vol habité (pa un homme) Le 1 avil 1961, le commandant soviétique Y Gagaine fut le pemie cosmonaute, le vaisseau spatial satellisé était

Plus en détail

tudes & documents ÉCONOMIE ET ÉVALUATION L assurance habitation dans les départements d Outre Mer n 24 Juin 2010

tudes & documents ÉCONOMIE ET ÉVALUATION L assurance habitation dans les départements d Outre Mer n 24 Juin 2010 COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 24 Juin 2010 É tudes & documents L assuance habitation dans les dépatements d Oute Me RISQUES ÉCONOMIE ET ÉVALUATION Sevice de l économie, de l évaluation

Plus en détail

CHAPITRE VI : Le potentiel électrique

CHAPITRE VI : Le potentiel électrique CHPITRE VI : Le potentiel électiue VI. 1 u chapite III, nous avons vu ue losu'une foce est consevative, il est possible de lui associe une énegie potentielle ui conduit à une loi de consevation de l'énegie.

Plus en détail

9.11 Les jeux de hasard et d argent

9.11 Les jeux de hasard et d argent 9.11 Les jeux de hasard et d argent Maud Pousset, Marie-Line Tovar 288 Les jeux de hasard et d argent (JHA) constituent une activité ancienne et répandue, mais longtemps interdite. Leur offre s est étoffée,

Plus en détail

SOMMAIRE. ATRACOM-Centrafrique Manuel de Procédures Administratives Financiers et Comptables

SOMMAIRE. ATRACOM-Centrafrique Manuel de Procédures Administratives Financiers et Comptables ATRACOM-Centafique Manuel de Pocédues Administatives Financies et Comptables G MODULE G GESTION DE LA TRESORERIE SOMMAIRE G MODULE G GESTION DE LA TRESORERIE... 1 G.1 COMPOSANTES DE LA TRESORERIE... 2

Plus en détail

Po ur d o nne r un é lan à vo tre re traite

Po ur d o nne r un é lan à vo tre re traite Po u d o nne un é lan à vo te e taite ez a p é P aite t e e vot joud'hui dès au E N EN T TR RE E N NOOUUSS,, CC EESSTT FFAA CC I I LL EE DD EE SS EE O M M PP RR EE NN DDRRE E CC O Toutes les gaanties de

Plus en détail

Chapitre 6: Moment cinétique

Chapitre 6: Moment cinétique Chapite 6: oment cinétique Intoduction http://www.youtube.com/watch?v=vefd0bltgya consevation du moment cinétique 1 - angula momentum consevation 1 - Collège éici_(360p).mp4 http://www.youtube.com/watch?v=w6qaxdppjae

Plus en détail

Les déterminants de la diffusion d Internet en Afrique

Les déterminants de la diffusion d Internet en Afrique Les déteminants de la diffusion d Intenet en Afique pa Benad Conte Maîte de Conféences, Cente d économie du développement Univesité Montesquieu-Bodeaux IV - Fance 6µWYQµ Les pogès apides des technologies

Plus en détail

M F. F O Unité: [m. N] La norme du moment de force peut se calculer en introduit le bras de levier d

M F. F O Unité: [m. N] La norme du moment de force peut se calculer en introduit le bras de levier d Chapite 2: But: connaîte les lois auxquelles doit obéi un cops solide en équilibe. Ceci pemet de décie la station debout ainsi que les conditions nécessaies pou teni une tasse dans la main, souleve une

Plus en détail

CONSTANTES DIELECTRIQUES

CONSTANTES DIELECTRIQUES 9 E7 CONTANTE DIELECTRIQUE I. INTRODUCTION Dans cette expéience, nous étuieons es conensateus et nous éiveons les popiétés e iélectiques tels que l'ai et le plexiglas. II. THEORIE A) Conensateus et iélectiques

Plus en détail

Quelques éléments d écologie utiles au forestier

Quelques éléments d écologie utiles au forestier BTSA Gestion Foestièe Module D41 V.1.1. Avil 1997 Quelques éléments d écologie utiles au foestie Paysage vosgien : un exemple d écocomplexe divesifié. Sylvain Gaudin CFPPA/CFAA de Châteaufaine E 10 ue

Plus en détail

Moments partiels crédibilistes et application à l évaluation de la performance de fonds spéculatifs

Moments partiels crédibilistes et application à l évaluation de la performance de fonds spéculatifs Moments patiels cédibilistes et application à l évaluation de la pefomance de fonds spéculatifs Alfed MBAIRADJIM M. 1 & Jules SADEFO K. 2 & Michel TERRAZA 3 1 LAMETA- Univesité Montpellie 1 et moussa alf@yahoo.f

Plus en détail

( Codes : voir verso du feuillet 3 ) SPECIMEN

( Codes : voir verso du feuillet 3 ) SPECIMEN Aide demandeu d emploi Pojet pesonnalisé d accès à l emploi Pesciption de Pô emploi RFPE AREF CRP - CTP ou d un patenaie de Pô emploi Pécisez : N d AIS Concene de naissance Pénom Né(e) Inscit(e) depuis

Plus en détail

Rencontrez votre filleul... au Bangladesh

Rencontrez votre filleul... au Bangladesh Rencontez vote filleul... au Bangladesh Vote guide de visite Afin d oganise au mieux vote visite et de péveni l équipe locale ainsi que vote filleul de vote aivée, Contactez-nous 2 mois avant il est impotant

Plus en détail

( Mecanique des fluides )

( Mecanique des fluides ) INSTITUT NTION GRONOMIUE ERTEMENT U GENIE RUR SECTION YRUIUE GRICOE YRUIUE GENERE ( Mecanique des fluides ) TRONC COMMUN ème NNEE atie : Statique des Fluides ( ydostatique ) atie : ynamique des Fluides

Plus en détail

Mécanique du point : forces Newtoniennes (PCSI)

Mécanique du point : forces Newtoniennes (PCSI) écanique du oint : foces Newtoniennes (PCSI Question de cous On admet que, losqu'il est soumis à une foce Newtonienne F K u, la tajectoie d'un cos est lane et décite a mc K +e cosθ où C θ est une constante

Plus en détail

A la mémoire de ma grande mère A mes parents A Mon épouse A Mes tantes et sœurs A Mes beaux parents A Toute ma famille A Mes amis A Rihab, Lina et

A la mémoire de ma grande mère A mes parents A Mon épouse A Mes tantes et sœurs A Mes beaux parents A Toute ma famille A Mes amis A Rihab, Lina et Remeciements e tavail a été effectué au sein du laboatoie optoélectonique et composants de l univesité Fehat Abbas (Sétif, Algéie) en collaboation avec le goupe MALTA consolido du Dépatement du Physique

Plus en détail

RAISONNER L INVESTIGATION EN RHUMATOLOGIE

RAISONNER L INVESTIGATION EN RHUMATOLOGIE NOVEMBRE L objectif de ce document est de guide le médecin omnipaticien dans le choix des modalités de laboatoie et d imageie pou l investigation d une condition humatologique. En effet, les analyses de

Plus en détail

Mémoire de DEA. Modélisation opérationnelle des domaines de référence

Mémoire de DEA. Modélisation opérationnelle des domaines de référence Mémoie e DEA Ecole octoale IAEM Loaine / DEA Infomatique e Loaine Univesité Heni Poincaé, Nancy 1 LORIA Moélisation opéationnelle es omaines e éféence soutenu le Mai 22 juin 2004 pa Alexane Denis membes

Plus en détail

Évaluation de l'incertitude de mesure par une méthode statistique ("méthode de type A") Voir cours d'instrumentation

Évaluation de l'incertitude de mesure par une méthode statistique (méthode de type A) Voir cours d'instrumentation G. Pinson - Physique ppliquée Mesues - 16 / 1 16 - Instuments de mesues Eeu et incetitude su la mesue d'une gandeu Ce qui suit découle des pesciptions du IPM (ueau Intenational des Poids et Mesues, Fance),

Plus en détail

Validation CFD axisymétrique de modèle zonal des écoulements gazeux de chambre de combustion de moteur Diesel

Validation CFD axisymétrique de modèle zonal des écoulements gazeux de chambre de combustion de moteur Diesel CONSERVATOIRE NATIONAL DES ARTS ET METIERS Cente d enseignement de Genoble Mémoie Mécanique des stuctues et des systèmes Validation CFD axisymétique de modèle zonal des écoulements gazeux de Auditeu: Jean-Michel

Plus en détail

LE LOGEMENT AU NUNAVIK

LE LOGEMENT AU NUNAVIK SOCIÉTÉ D HABITATION DU QUÉBEC LE LOGEMENT AU NUNAVIK DOCUMENT D INFORMATION WWW.HABITATION.GOUV.QC.CA Coodination du contenu et édaction Diection des affaies integouvenementales et autochtones Coodination

Plus en détail

CLOUD CX263 MÉLANGEUR

CLOUD CX263 MÉLANGEUR COUD CX6 MÉANGEU Clealy bette soun ZONE ZONE MUSIC SOUCE MUSIC SOUCE MUSIC SOUCE MUSIC EVE MUSIC EVE MUSIC EVE MIC EVE MIC EVE MIC EVE MIC EVE MIC EVE MIC EVE 6 6 6 5 5 5 MICOPHONE CX6 4 4 4 F HF F HF

Plus en détail

Une échelle d évaluation semistructurée. B. Gravier

Une échelle d évaluation semistructurée. B. Gravier Une échelle d évaluation semistructurée : la HCR-20 B. Gravier Exemple de jugement clinique structuré: The Historical Clinical Risk Management 20 item scale HCR - 20 Echelle utilisée par les cliniciens

Plus en détail

PHYSIQUE DES SEMI-CONDUCTEURS

PHYSIQUE DES SEMI-CONDUCTEURS Dépatement Mico-électonique et télécommunications Pemièe année 004/005 PHYSIQUE DES SEMI-CONDUCTEURS Rouge Violet Infa-Rouge Visible Ulta-Violet Cd x Hg 1-x Te InSb Ge Si GaAs CdSe AlAs CdS GaP SiC GaN

Plus en détail

Roulements à rotule sur deux rangées de rouleaux en deux parties

Roulements à rotule sur deux rangées de rouleaux en deux parties Roulements à otule su deux angées de ouleaux en deux paties Réduction des coûts gâce au changement apide du oulement difficilement accessible Contenu Changement apide du oulement 2 Réduction des coûts

Plus en détail

CLINICAL RESEARCH GRANTS FOR CLINICAL RESEARCH (PRINCIPAL INVESTIGATOR) PHRC, STIC 2007-2011 (INVESTIGATEUR PRINCIPAL)

CLINICAL RESEARCH GRANTS FOR CLINICAL RESEARCH (PRINCIPAL INVESTIGATOR) PHRC, STIC 2007-2011 (INVESTIGATEUR PRINCIPAL) CLINICAL RESEARCH GRANTS FOR CLINICAL RESEARCH (PRINCIPAL INVESTIGATOR) PHRC, STIC 2007-2011 (INVESTIGATEUR PRINCIPAL) Tite Année IP Nom (Sce/Eq) DACAR (étude pilote de la dialyse pa simple passage d albumine

Plus en détail

Guide 2005 GESTION. des solutions partenaires logiciels. IBM Software. commerciale (CRM) comptable et financière logistique marketing de la qualité

Guide 2005 GESTION. des solutions partenaires logiciels. IBM Software. commerciale (CRM) comptable et financière logistique marketing de la qualité IBM Softwae Guide 2005 des solutions patenaies logiciels GESTION commeciale (CRM) comptable et financièe logistique maketing de la qualité des elations humaines et compétences documentaie (GED) des appels,

Plus en détail

SYSTÈME D ALARME ET PRODUITS TRANSMETTEURS

SYSTÈME D ALARME ET PRODUITS TRANSMETTEURS SYSTÈME D ALARME ET PRODUITS TRANSMETTEURS NOTICE D UTILISATION Vous venez d acquéi un système de sécuité DAITEM adapté à vos besoins de potection et nous vous en emecions. Quelques pécautions L'installation

Plus en détail

Le bilan neuropsychologique du trouble de l attention. Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009

Le bilan neuropsychologique du trouble de l attention. Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009 Le bilan neuropsychologique du trouble de l attention Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009 Introduction L attention est une fonction de base dont l intégrité est nécessaire au bon fonctionnement cognitif

Plus en détail

DEMANDE D OUVERTURE D UN COMPTE EPARGNE REMUNERE (Réservé aux particuliers) Exemplaire Client (à conserver)

DEMANDE D OUVERTURE D UN COMPTE EPARGNE REMUNERE (Réservé aux particuliers) Exemplaire Client (à conserver) GE Money Bank DEMANDE D OUVERTURE D UN COMPTE EPARGNE REMUNERE (Résevé aux paticulies) Exemplaie Client (à conseve) Vote Conseille Cachet du Conseille Le (date de l offe) O l'offe. N de poposition : N

Plus en détail

GESTION DES RELATIONS HUMAINES ET COMPÉTENCES

GESTION DES RELATIONS HUMAINES ET COMPÉTENCES GESTION DES RELATIONS HUMAINES ET COMPÉTENCES DEMANDE D INFORMATION Vous souhaitez ecevoi de l infomation elative aux solutions de la thématique Gestion des elations humaines et des compétences? Photocopiez

Plus en détail

Troubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19. Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003

Troubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19. Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003 Troubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19 Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003 Plans et objectifs Pendant la grossesse Troubles mineurs, dépressions

Plus en détail

Description des résidants dans les IHP et les MSP

Description des résidants dans les IHP et les MSP I RAPPORT NATIONAL RPM 1999 Description des résidants dans les IHP et les MSP Données d admission D après le tableau 1 A (p.1), au 30 juin 1999, les initiatives d habitation protégée comptaient 2853 résidants

Plus en détail

MAISON DE L ARSLA 75 AVENUE DE LA REPUBLIQUE 75011 PARIS 28/03/2014

MAISON DE L ARSLA 75 AVENUE DE LA REPUBLIQUE 75011 PARIS 28/03/2014 MAISON DE L ARSLA 75 AVENUE DE LA REPUBLIQUE 7511 PARIS 28/3/214 D BUDGET PREVISIONNEL 214 Le budget pévisionnel 214, d un ontant de 1 8 en dépenses et en ecettes, epend, hos éléents exceptionnels, les

Plus en détail

LES ADDICTIONS. Docteur Sandrine TRAPE Chef de Clinique Assistante en Psychiatrie CHU de Fort de France. le 15/04/11

LES ADDICTIONS. Docteur Sandrine TRAPE Chef de Clinique Assistante en Psychiatrie CHU de Fort de France. le 15/04/11 LES ADDICTIONS Docteur Sandrine TRAPE Chef de Clinique Assistante en Psychiatrie CHU de Fort de France Du produit à l addiction Auparavant l accent était mis sur la substance alcool/drogue qui était diabolisée

Plus en détail

Chapitre 1.5a Le champ électrique généré par plusieurs particules

Chapitre 1.5a Le champ électrique généré par plusieurs particules hapte.5a Le chap électque généé pa pluseus patcules Le chap électque généé pa pluseus chages fxes Le odule de chap électque d une chage ponctuelle est adal, popotonnel à la chage électque et neseent popotonnel

Plus en détail

GESTION DE LA SAUVEGARDE DES DONNÉES (SÉCURITÉ ET STOCKAGE)

GESTION DE LA SAUVEGARDE DES DONNÉES (SÉCURITÉ ET STOCKAGE) GESTION DE LA SAUVEGARDE DES DONNÉES (SÉCURITÉ ET STOCKAGE) SAUVEGARDE DES DONNÉES DEMANDE D INFORMATION Vous souhaitez ecevoi de l infomation elative aux solutions de la thématique Gestion de la sauvegade

Plus en détail

Hospital Anxiety and Depression Scale (HADS)

Hospital Anxiety and Depression Scale (HADS) dmt Risques psychosociaux : out ils d é va lua t ion FRPS 13 CATÉGORIE ATTEINTE À LA SANTÉ PHYSIQUE ET MENTALE Hospital Anxiety and Depression Scale (HADS) LANGEVIN V.*, FRANÇOIS M.**, BOINI S.***, RIOU

Plus en détail

LA MÉTHAMPHÉTAMINE LE CRYSTAL C EST QUOI

LA MÉTHAMPHÉTAMINE LE CRYSTAL C EST QUOI LA MÉTHAMPHÉTAMINE LE CRYSTAL C EST QUOI? LA MÉTHAMPHÉTAMINE est un produit stupéfiant illicite, synthétisé à partir de substances chimiques, également connu sous le nom de «crystal» ou «crystalmet», «ice»,

Plus en détail

Enjeux psychologiques de la greffe pour le donneur et le receveur

Enjeux psychologiques de la greffe pour le donneur et le receveur Enjeux psychologiques de la greffe pour le donneur et le receveur Jessica FRIPPIAT Psychologue clinicienne Service d Hémato-oncologie Unité de Psychologie Hôpital Universitaire des enfants Reine Fabiola

Plus en détail

D'CLICS CONSO. ayez les bons réflexes! Logement, téléphonie, mobilité, budget : soyez acteur de votre consommation! www.crij.org.

D'CLICS CONSO. ayez les bons réflexes! Logement, téléphonie, mobilité, budget : soyez acteur de votre consommation! www.crij.org. n 26 2013/2014 Jounal du Cente Régional d Infomation Jeunesse Midi-Pyénées D'CLICS CONSO ayez les bons éflexes! d o s s i e Logement, téléphonie, mobilité, budget : soyez acteu de vote consommation! www.cij.og

Plus en détail

2. De la Grâce à l action de Grâces Ph 1.3-7

2. De la Grâce à l action de Grâces Ph 1.3-7 De la Gâce à l action de Gâces Philippiens 1.3-7 2. De la Gâce à l action de Gâces Ph 1.3-7 Intoduction Cette semaine, j ai eu l occasion de emecie Dieu pou avoi pu appécie sa gâce en action. En fait,

Plus en détail

"La santé des étudiants en 2015"

La santé des étudiants en 2015 Dossier de Presse "La santé des étudiants en 2015" 9 ème Enquête Nationale 1999 2015 Enquête Santé d emevia Depuis plus de 16 ans, à l écoute des étudiants 1 Sommaire EmeVia et les mutuelles étudiantes

Plus en détail

«Les jeux en ligne, quelle influence en France?»

«Les jeux en ligne, quelle influence en France?» Les multiples facettes du jeu Québec, 30 mai 2012 «Les jeux en ligne, quelle influence en France?» M. Grall-Bronnec, G. Bouju, M. Lagadec J. Caillon, J.L. Vénisse Le contexte des jeux de hasard et d argent

Plus en détail

testez-vous! Préparez vos partiels en toute sénérité!

testez-vous! Préparez vos partiels en toute sénérité! : t i u t a r g t i Extra testez-vous! Préparez vos partiels en toute sénérité! Enoncé Un fan de casino Vous êtes praticien dans la belle ville d Enghien (célèbre pour son casino ). Vous recevez Joël 43

Plus en détail

Les drogues POUR EN SAVOIR PLUS. 1. L avis du psychologue. 2. Les risques et leur prévention. Quelques chiffres

Les drogues POUR EN SAVOIR PLUS. 1. L avis du psychologue. 2. Les risques et leur prévention. Quelques chiffres Les drogues POUR EN SAVOIR PLUS 1. L avis du psychologue La consommation de drogues, qu elles soient licites (alcool, tabac) ou illicites (cannabis, crack, etc.), fait partie des conduites à risques fréquemment

Plus en détail

Les pertes de charge dans les installations. Le dimensionnement des mitigeurs. octobre 2005

Les pertes de charge dans les installations. Le dimensionnement des mitigeurs. octobre 2005 octobe 005 REUE PÉRIODIQUE D INFORMATIONS TECHNIQUES ET INDUSTRIELLES DES THERMICIENS Les petes de chage dans les installations Le dimensionnement des mitigeus octobe 005 Sommaie Le petes de chage dans

Plus en détail

Les troubles mentaux dans le contexte de l Assurance de Personne. SCOR inform - Septembre 2012

Les troubles mentaux dans le contexte de l Assurance de Personne. SCOR inform - Septembre 2012 Les troubles mentaux dans le contexte de l Assurance de Personne SCOR inform - Septembre 2012 Les troubles mentaux dans le contexte de l Assurance de Personne Auteur Dr Lannes Médecin-Conseil SCOR Global

Plus en détail

Trouble bipolaire en milieu professionnel: Du diagnostic précoce àla prise en charge spécialisée

Trouble bipolaire en milieu professionnel: Du diagnostic précoce àla prise en charge spécialisée Trouble bipolaire en milieu professionnel: Du diagnostic précoce àla prise en charge spécialisée Dr G. Fournis Service de Psychiatrie et d Addictologie CHU Angers Faculté de Médecine Angers 1 Introduction

Plus en détail

Entre mal-être et bien être : comment vont les étudiants. Premiers résultats. Damien BERTHILIER Président La Mutuelle des Étudiants LMDE-EPSE

Entre mal-être et bien être : comment vont les étudiants. Premiers résultats. Damien BERTHILIER Président La Mutuelle des Étudiants LMDE-EPSE Entre mal-être et bien être : comment vont les étudiants Premiers résultats Damien BERTHILIER Président La Mutuelle des Étudiants LMDE-EPSE Objectifs de l enqul enquête Mieux identifier la souffrance psychique

Plus en détail

L E C O U T E P r i n c i p e s, t e c h n i q u e s e t a t t i t u d e s

L E C O U T E P r i n c i p e s, t e c h n i q u e s e t a t t i t u d e s L E C O U T E P r i n c i p e s, t e c h n i q u e s e t a t t i t u d e s L E C O U T E P r i n c i p e s, t e c h n i q u e s e t a t t i t u d e s Stéphane Safin Psychologue - Ergonome Lucid Group -

Plus en détail

4. Un regard différent sur les circonstances Ph 1.12-14

4. Un regard différent sur les circonstances Ph 1.12-14 Un egad difféent su les ciconstances Philippiens 1.12-14 4. Un egad difféent su les ciconstances Ph 1.12-14 Intoduction N 1 Il y a quelques semaines, j ai eçu ce couie dans ma boîte aux lettes électonique.

Plus en détail

Dossier Partenaires. Contact : Anne-Laurence Loubigniac

Dossier Partenaires. Contact : Anne-Laurence Loubigniac www.voyagesimaginaies.f Dossie Patenaies Contact : Anne-Lauence Loubigniac AGENCE DE VOYAGES IMAGINAIRES/ Cie Philippe Ca 2 oute du Beau Soleil, l Estaque // 13016 Maseille Tél : + 33 (0) 4 91 51 23 37

Plus en détail

«Tout le monde devrait faire une psychothérapie.»

«Tout le monde devrait faire une psychothérapie.» «Tout le monde devrait faire une psychothérapie.» Moins je me connais, mieux je me porte. Clément Rosset, Loin de moi, 1999 Faut-il tout «psychiatriser»? Tout événement de vie difficile tel qu une rupture

Plus en détail

TROUBLES ENVAHISSANTS DU COMPORTEMENT (TEC)

TROUBLES ENVAHISSANTS DU COMPORTEMENT (TEC) TROUBLES ENVAHISSANTS DU COMPORTEMENT (TEC) Comprendre, prévenir et prendre en charge la clinique du mouvement et de l agir de l enfant Pierre Delion 1. Actualité Les enfants sont préoccupants sur ce point

Plus en détail

Mouvement d'une particule chargée dans un champ magnétique indépendant du temps

Mouvement d'une particule chargée dans un champ magnétique indépendant du temps Moueent d'une patiule hagée dans un hap agnétique indépendant du teps iblio: Pee elat Gaing Magnétise Into expéientale: Dispositif: On obsee une déiation du faseau d'életons losqu'il aie ae une itesse

Plus en détail

"La santé des étudiants en 2013"

La santé des étudiants en 2013 1 Dossier de Presse "La santé des étudiants en 2013" 8 ème Enquête Nationale 1999 2013 Enquête Santé MGEL Depuis plus de 60 ans, à l écoute des étudiants 2 Sommaire EmeVia et les mutuelles étudiantes de

Plus en détail

MODE D EMPLOI ENFANT MINEUR MONFINANCIER LIBERTE VIE

MODE D EMPLOI ENFANT MINEUR MONFINANCIER LIBERTE VIE MODE D EMPLOI ENFANT MINEUR MONFINANCIER LIBERTE VIE Pou établi vote contat MonFinancie Libeté Vie pou un enfant mineu, nous vous emecions de bien vouloi éuni les éléments suivants : Le bulletin de sousciption

Plus en détail

Définition, finalités et organisation

Définition, finalités et organisation RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients

Plus en détail

couleurs... Laquenexy de nouvelles l unique Jardin des Premières Nations réalisé en dehors de l Amérique du Nord.

couleurs... Laquenexy de nouvelles l unique Jardin des Premières Nations réalisé en dehors de l Amérique du Nord. catalogue 20 11 www.domaine-de-couson.f Les jounées des plantes DOMAINE DE COURSON 91680 Couson-Monteloup (Essonne) Tél. 01 64 58 90 12 Gold Veitch Memoial Medal 1992 de nouvelles couleus... l unique Jadin

Plus en détail

La schizophrénie est une maladie évolutive; elle comporte 5 phases, qui se succèdent souvent dans l ordre 2 :

La schizophrénie est une maladie évolutive; elle comporte 5 phases, qui se succèdent souvent dans l ordre 2 : Qui peut être atteint de schizophrénie? La schizophrénie est une maladie mentale qui touche environ 1 % de la population canadienne. Elle frappe autant les hommes que les femmes, et se déclare généralement

Plus en détail

CIGI 2011 Job shop sous contraintes de disponibilité des ressources : modèle mathématique et heuristiques

CIGI 2011 Job shop sous contraintes de disponibilité des ressources : modèle mathématique et heuristiques CIGI 2011 Job shop sous cotaites de dispoibilité des essouces : modèle mathématique et heuistiques SADIA AZEM 1, RIAD AGGOUNE 2, STÉPHANE DAUZERE-PERES 1 1 Dépatemet Scieces de la Fabicatio et Logistique,

Plus en détail

Flux Réseau et Sécurité

Flux Réseau et Sécurité Flux Réseau et Sécuité v1.01 Yann BERTHIER Spécialiste Sécuité Systèmes et Réseaux yb@bashibuzuk.net Nicolas FISCHBACH Senio Manage, Netwok Engineeing Secuity, COLT Telecom nico@secuite.og - http://www.secuite.og/nico/

Plus en détail

La prise en charge d un trouble bipolaire

La prise en charge d un trouble bipolaire GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge d un trouble bipolaire Vivre avec un trouble bipolaire Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer

Plus en détail

Nouvelles addictions. Dr Marie VERSCHAVE Praticien hospitalier Service de médecine interne E et addictologie

Nouvelles addictions. Dr Marie VERSCHAVE Praticien hospitalier Service de médecine interne E et addictologie Nouvelles addictions comportementales Dr Marie VERSCHAVE Praticien hospitalier Service de médecine interne E et addictologie Item N 77. Addictions comportementales Diagnostiquer, évaluer le retentissement

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES INFIRMIER-ÈRE DIPLÔMÉ-E

CAHIER DES CHARGES INFIRMIER-ÈRE DIPLÔMÉ-E Madame/Monsieur 1. DÉFINITION DE LA FONCTION Au service du projet institutionnel, la titulaire du poste : Exerce dans un cadre législatif et un contexte sanitaire connus (loi sur l exercice professionnel,

Plus en détail

Karine Côté, Ph.D. Professeure adjointe

Karine Côté, Ph.D. Professeure adjointe Karine Côté, Ph.D. Professeure adjointe FORMATION 1999-2002 Post-doctorat, Law and Mental Health Program, Centre for Addiction and Mental Health et Université de Toronto. 1999 Ph.D. Psychologie - Recherche

Plus en détail

COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE. Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc

COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE. Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc Avril 2003 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE-RENDU D ACCREDITATION»... p.3 PARTIE 1 PRESENTATION

Plus en détail

L abus médicamenteux Critères IHS : 1. La prise médicamenteuse est régulière et dure depuis plus de 3 mois

L abus médicamenteux Critères IHS : 1. La prise médicamenteuse est régulière et dure depuis plus de 3 mois L abus médicamenteux Critères IHS : 1. La prise médicamenteuse est régulière et dure depuis plus de 3 mois 2. Elle est présente : 15 jours/mois pour les antalgiques non opioïdes (paracétamol, aspirine,

Plus en détail

Critères de Choix d une Echelle de Qualité De Vie. Etudes cliniques dans l autisme. Introduction

Critères de Choix d une Echelle de Qualité De Vie. Etudes cliniques dans l autisme. Introduction Critères de Choix d une Echelle de Qualité De Vie Etudes cliniques dans l autisme Marie-Christine Picot Congrès Epsylon 5 avril 2013 Introduction Mesurer la Qualité de Vie liée à la Santé : Evaluer les

Plus en détail

Joël Tremblay, Ph.D Nadine Blanchette-Martin, M. Serv. Soc. Pascal Garceau, étudiant en sociologie

Joël Tremblay, Ph.D Nadine Blanchette-Martin, M. Serv. Soc. Pascal Garceau, étudiant en sociologie Portrait de consommation de substances psychoactives de jeunes consultant en centre spécialisé en toxicomanie (PAJT) et provenant du Centre jeunesse de Québec Joël Tremblay, Ph.D Nadine Blanchette-Martin,

Plus en détail

«La capacité à être seul», WINNICOTT

«La capacité à être seul», WINNICOTT «La capacité à être seul», WINNICOTT La capacité d être seul est un signe des plus importants de la maturité du développement affectif. On repère chez le sujet ce qu il éprouve dans des situations de solitude,

Plus en détail

Estimations 2014 des consommations de produits psychoactifs à 17 ans

Estimations 2014 des consommations de produits psychoactifs à 17 ans Estimations des consommations de produits psychoactifs à 17 ans Stanislas Spilka, Olivier Le Nézet et François Beck Note 2015-02 du 21 avril 2015 L enquête ESCAPAD Cette note présente les premières exploitations

Plus en détail

Prévalence et utilisation des services. la consommation des substances. du jeu de hasard

Prévalence et utilisation des services. la consommation des substances. du jeu de hasard ANDRÉ NGAMINI NGUI chercheur, Centre de réadaptation en dépendance de Montréal Institut universitaire (CRDM-IU) et Université du Québec à Montréal Prévalence et utilisation des services dans le domaine

Plus en détail

province (les aspects méthodologiques sont présentés dans l encadré à la page 2).

province (les aspects méthodologiques sont présentés dans l encadré à la page 2). SANTÉ ET BIEN-ÊTRE INSTITUT DE LA STATISTIQUE DU QUÉBEC Zoom santé Janvier 2010 Numéro 19 Alors que le cigarillo perd des adeptes, le poker gagne du terrain chez les élèves du secondaire Gaëtane Dubé*,

Plus en détail

Stratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés

Stratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés Stratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés IEN/CTR ASH 2011-2012 Comportements inappropriés / Troubles de la conduite et du comportement

Plus en détail

Comportements addictifs

Comportements addictifs Comportements addictifs Les cyberdépendances Addictions comportementales, Qu est-ce que c est? L addiction, au sens général, peut se définir par une envie incontrôlable et répétée, de consommer un produit

Plus en détail

PLAN D ACTIONS PSYCHIATRIE & SANTE MENTALE 15-09-2003 page 1 / 106 PLAN D ACTIONS POUR LE DEVELOPPEMENT DE LA PSYCHIATRIE

PLAN D ACTIONS PSYCHIATRIE & SANTE MENTALE 15-09-2003 page 1 / 106 PLAN D ACTIONS POUR LE DEVELOPPEMENT DE LA PSYCHIATRIE PLAN D ACTIONS PSYCHIATRIE & SANTE MENTALE 15-09-2003 page 1 / 106 PLAN D ACTIONS POUR LE DEVELOPPEMENT DE LA PSYCHIATRIE ET LA PROMOTION DE LA SANTE MENTALE Philippe CLERY-MELIN, Vivianne KOVESS, Jean-Charles

Plus en détail

L heure est venue de passer à l action pour aider les enfants de l Ontario

L heure est venue de passer à l action pour aider les enfants de l Ontario L heure est venue de passer à l action pour aider les enfants de l Ontario Les élèves du 21e siècle utilisent encore un programmecadre d Éducation physique et santé élaboré au 20e siècle et cela nuit à

Plus en détail

Quand le corps devient objet de l autre

Quand le corps devient objet de l autre Quand le corps devient objet de l autre (Hypersexualisation, pornographie, prostitution à l heure des technologies de l information et de la communication) Robert Courtois Clinique Psychiatrique Universitaire

Plus en détail

Dr Julie Dauphin, Ph.D. Psychologue clinicienne

Dr Julie Dauphin, Ph.D. Psychologue clinicienne CHAMPS D EXPERTISE Dr Julie Dauphin, Ph.D. Psychologue clinicienne Hôpital Louis- H. Lafontaine Institut Universitaire en santé mentale Programme des troubles psychotiques - Clinique Sherbrooke 7401 Hochelaga

Plus en détail

Référentiel Officine

Référentiel Officine Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine

Plus en détail

Medication management ability assessment: results from a performance based measure in older outpatients with schizophrenia.

Medication management ability assessment: results from a performance based measure in older outpatients with schizophrenia. Medication Management Ability Assessment (MMAA) Patterson TL, Lacro J, McKibbin CL, Moscona S, Hughs T, Jeste DV. (2002) Medication management ability assessment: results from a performance based measure

Plus en détail

Univ. Béjaia, Faculté de la Technologie, Département d électronique

Univ. Béjaia, Faculté de la Technologie, Département d électronique Univ. Béjaia, Faculté de la Technologie, Dépatement d électonique L INTELLIGENCE ARTIFICIELLE APPLIQUEE AUX TELECOMMUNICATIONS Thème : Intelligence économique et télécommunication Poposé pa : D A/. KHIREDDINE

Plus en détail

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,

Plus en détail

Pour certains, la maladie est assimilée à une faiblesse (consulter constitue un aveu de défaillance physique).

Pour certains, la maladie est assimilée à une faiblesse (consulter constitue un aveu de défaillance physique). P.R ALPS. Re tour sommaire P ages précédentes Les professionnels de santé ne sont pas toujours bien perçus par les bénéficiaires du RMI, ils éprouvent souvent une certaine méfiance (peur du diagnostic?

Plus en détail