Interventions networks in retirement homes: real reasons and lame excuses
|
|
- Jacqueline Clément
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 INTERVENTIONS DES RESEAUX EN EHPAD : MAUVAISES EXCUSES ET VRAIES RAISONS Interventions networks in retirement homes: real reasons and lame excuses Objectif : Il s agit de mieux comprendre les raisons pour lesquelles les réseaux interviennent en EHPAD afin de mieux cibler les attentes réelles des équipes. Contexte : Lorsqu une EHPAD appelle un réseau, lors du premier contact téléphonique, nous demandons pour quelles raisons l équipe nous sollicite. L expérience nous montre qu une fois sur place, d autres raisons pour lesquelles nous avons été appelés font surface. Quelles sont ces raisons? Pourquoi ne sont-elles pas annoncées dès le premier appel? Méthodologie : Dans un premier temps, nous avons recensé tous les motifs pour lesquels nous intervenons en EHPAD dans l année Puis notre étude prospective a été programmée en 2012 sur les 50 premiers patients inclus en motifs d appel portent sur les questions diagnostiques : Ce résident est-il en soin Palliatif ou en soin gérontologique? o «Est ce qu on le socialise et on le stimule en le descendant dans les salons ou est ce qu on le laisse se reposer dans sa chambre?» Ce résident est-il douloureux ou non? o Surtout sur les patients désorientés. 4 motifs d appel portent sur les questions thérapeutiques : Comment envisager la globalité de la fin de vie? o «Quels sont les traitements qu il faut prévoir, vues la pathologie et les complications prévisibles?» Comment améliorer le traitement de la douleur? o «Ou comment le mettre en route?» Comment traiter les autres symptômes de fin de vie? o Escarre, dyspnée, angoisse, œdèmes, râles agoniques Comment traiter les symptômes de l agonie? o Complications difficiles à gérer? Somnolence progressive? Absence d IDEL la nuit? 5 motifs d appel portent sur les questions fonctionnelles : Médecin généraliste absent et médecin coordinateur non prescripteur. o MG ne se déplaçant pas ou peu, peu impliqués dans la prise en charge. Comment régler le malaise entre la famille du résident et l EHPAD. o Reproches, culpabilisation ou énervement des soignants de l EHPAD. Comment régler le malaise entre le médecin généraliste et les soignants de l EHPAD. o Différences d approche entre soignants et médecins. Comment régler le malaise entre les soignants de l EHPAD. o Partisan de l euthanasie / partisan du soin palliatif. Comment régler le malaise entre les IDE de l EHPAD et le médecin généraliste sur le problème particulier de la douleur? Lors du 1 er contact téléphonique nous notons le(s) motif(s)déclaré(s). Congrès SFAP juin 2013 Page 1
2 Après notre intervention auprès du patient, de la famille, de l équipe, nous notons le(s) motif(s) pour le(s)quel(s) nous sommes réellement intervenus(s). Résultats : Nombre de patients 50 Nombre d EHPAD 25 Nombre de patients / EHPAD : entre 1 et 9 par établissement Comparaison des motifs officiels d appel et des raisons réelles o Problème diagnostic Palliatif / Non Palliatif 16% 26% Douleur / Non Douleur 20% 12% o Problème thérapeutique Prévoir TTT en fin de vie 40% 42% TTT douleur insuffisant 24% 22% TTT symptômes divers 38% 28% TTT agonie 24% 24% o Problème fonctionnel Absence de médecin traitant 4% 2% malaise Patient- Famille / EHPAD 14% 24% malaise Médecin / Soignant 0% 12% malaise Soignant / Soignant 4% 34% Congrès SFAP juin 2013 Page 2
3 malaise douleur entre MG et IDEL 14% 20% Discussion : 1/ Les questions d ordre diagnostic : Palliatif / Non Palliatif 10% Douleur / non Douleur -8% En ce qui concerne le statut gériatrique ou palliatif, Il existe une double difficulté pour les soignants: Voir si un résident bascule peu à peu dans le statut de patient palliatif lorsqu'on le voit quotidiennement: c'est souvent lorsqu'une collègue revient de congés qu'elle voit ce que les autres ne voient plus, à savoir le passage du statut de résident à celui de patient. Accepter qu'un résident connu depuis un certain temps, apprécié avec ses qualités et ses défauts et avec lequel on entretient des liens quotidiens bascule vers l'approche du décès et donc de la séparation et de la perte du coté du soignant. Donc nous avons à faire avec 2 difficultés: "je ne vois pas l'évolution" et "je ne veux pas voir l'approche de la mort" En ce qui concerne le statut douloureux / non douloureux, il existe une double difficulté pour les soignants: Les douleurs d'apparition très progressive sont parfois mal vues par le personnel; là aussi c'est souvent lorsqu'une collègue revient de congés qu'elle voit ce que les autres ne voient plus: un désinvestissement, un recroquevillement, un faciès Le ressenti de chaque membre de l'équipe par rapport à la douleur; il faut alors redire l'importance des échelles de la douleur, mises en œuvre par des personnes différentes, à des moments différents afin d'essayer d'éliminer la subjectivité du soignant. Donc nous avons à faire avec 2 difficultés: «je n'entends pas la douleur" et "je ne veux pas entendre ce que dit mon collègue" 2/ Les 4 questions suivantes portent sur la thérapeutique: Prévoir TTT de fin de vie +2% TTT douleur insuffisant -2% TTT symptômes multiples -10% TTT agonie 0% Congrès SFAP juin 2013 Page 3
4 Lorsque nous sommes appelés sur une précision de traitement, il n'y a pas ou peu de décalage entre le motif d'appel et le motif réel de notre intervention. Il y a une bonne adéquation entre le motif annoncé et le motif réel; les équipes sont alors demandeuses d'un savoir technique précis, de posologies, de connaissance des effets secondaires, de "recettes de cuisine»... 3/ Les 5 dernières questions portent sur les dysfonctionnements: Absence de médecin traitant -2% malaise Patient - Famille / EHPAD +10% malaise MG / Soignant +12% malaise Soignant / Soignant +30% malaise douleur MG / IDEL +6% Les difficultés relationnelles du triangle Soigné, Soignant, Médecin sont majeures mais constituent rarement le motif d appel officiel : Le malaise Soignant/MG (en général + le problème particulier de la douleur) est officiellement le motif d appel dans 14% des cas, en réalité dans 32% des cas. Le malaise Soigné/EHPAD constitue officiellement 14% des demandes mais correspond à 24% des problèmes réels. Le malaise soignant/soignant constitue 4% de nos appels mais correspond à 34% des demandes réelles. Il est manifestement difficile d appeler une institution extérieure pour dire ses difficultés relationnelles, mais implicitement nous sommes appelés pour ça. 4/ Les variations négatives : un certain nombre de motifs officiels d appel disparaissent lors de la rencontre (-8% sur la douleur, -10% sur les autres symptômes). On peut envisager deux hypothèses : soit le problème n existait pas, mais il constituait un motif pratique pour nous faire intervenir, soit le problème existait mais il a été supplanté par une autre demande qui passe au premier plan. «Le manque de formation en soins palliatifs et le manque de reconnaissance institutionnelle ne favorisent pas la prise en charge globale du résident d EHPAD en phase palliative» disaient en Congrès SFAP juin 2013 Page 4
5 conclusion le Dr. Françoise TRIMARDEAU, Véronique PINSARD, Stéphane LOISEAU dans leur mémoire. Cette étude tend à montrer que même lorsque la formation et la reconnaissance institutionnelle sont présentes, il existe encore en aval d autres blocages qui sont personnes-dépendantes. Cela incite à redire l importance d une structure extérieure qui, au cas par cas sur une situation difficile, aide à réfléchir tant sur le plan objectif (diagnostic, thérapeutique) que sur le plan subjectif (projections personnelles, rapport à la mort, désir d euthanasie ). Conclusion : 1/ Les EHPAD sont à peu près au clair sur leurs demandes techniques au niveau diagnostic ou thérapeutique : elles savent formuler leurs besoins. Elles appellent alors le réseau à titre d expertise. 2/ Les EHPAD ont besoin d être aidées d abord sur le plan relationnel, sur la mise à plat des problématiques, sur la réflexion globale, sur l aide au dialogue entre intervenants Sur le plan pratique, nous allions auparavant visiter le patient en EHPAD avec le binôme Médecin / Infirmière. Suite à notre étude, c est de plus en plus souvent le binôme médecin /psychologue qi se déplace afin de mieux honorer la dimension relationnelle et réflexive. 3/ l écart entre motif officiel et motif réel nous semble intuitivement un marqueur de la qualité du soin palliatif dans une EHPAD : Au plus l écart est faible (au plus les problèmes relationnels sont reconnus, mis à jour et admis par le soignants) au plus le soin palliatif est de bonne qualité. Nous sommes appelés un peu pour parler, beaucoup pour faire parler. Bibliographie : TRIMARDEAU, La prise en charge palliative en EHPAD, mémoire de DIU en soin palliatif, Tours Congrès SFAP juin 2013 Page 5
Résidence MBV Les FIGUERES -Capendu-
Résidence MBV Les FIGUERES -Capendu- Accompagnement de fin de vie: un travail d équipe Fin de vie en EHPAD Quel que soit le lieu de la «toute fin de vie» et du décès des résidents d Ehpad, l accompagnement
Plus en détailDémence et fin de vie chez la personne âgée
Démence et fin de vie chez la personne âgée Dr C le Provost Gériatre C.H.B.A Vannes Dr M Michel Gériatre C.H.U Rennes Démence et fin de vie Sujet grave: la mort la «de mens» = être privé de son esprit
Plus en détailScénario de ronde d une veilleuse avec tablette.
ALFONSI Martin SOULIER Anthony VAHAPATA Sylvain VICARD Axel Scénario de ronde d une veilleuse avec tablette. Marie l aide-soignante de nuit vient de finir les transmissions avec les infirmières de jour.
Plus en détailCritères de Choix d une Echelle de Qualité De Vie. Etudes cliniques dans l autisme. Introduction
Critères de Choix d une Echelle de Qualité De Vie Etudes cliniques dans l autisme Marie-Christine Picot Congrès Epsylon 5 avril 2013 Introduction Mesurer la Qualité de Vie liée à la Santé : Evaluer les
Plus en détailAssises Nationales du Maintien à Domicile 14 17 juin 2000 La douleur Les soins palliatifs. EXPERIENCE DE SOINS D'UNE EQUIPE A DOMICILE Dr AVEROUS
EXPERIENCE DE SOINS D'UNE EQUIPE A DOMICILE Dr AVEROUS INTRODUCTION (Présentation de l'association François-Xavier Bagnoud) L'Association L'association qui porte le nom de François-Xavier Bagnoud est une
Plus en détailLA FIN DE VIE AUX URGENCES: LES LIMITATIONS ET ARRÊTS DES THÉRAPEUTIQUES ACTIVES. Dr Marion DOUPLAT SAMU- Urgences Timone
LA FIN DE VIE AUX URGENCES: LES LIMITATIONS ET ARRÊTS DES THÉRAPEUTIQUES ACTIVES Dr Marion DOUPLAT SAMU- Urgences Timone SOMMAIRE 1. La mort aux urgences 2. Les Limitations et Arrêts des Thérapeutiques
Plus en détail2 ans du Pôle Autonomie Santé Information en Essonne : Un GCSMS au service d un projet coopératif de santé
Atelier n 11 Monter un parcours de soins sur une approche territoriale ciblée 2 ans du Pôle Autonomie Santé Information en Essonne : Un GCSMS au service d un projet coopératif de santé Françoise ELLIEN,
Plus en détailDoit on et peut on utiliser un placebo dans la prise en charge de la douleur?
Doit on et peut on utiliser un placebo dans la prise en charge de la douleur? Dr Philippe Poulain Unité Territoriale de Soins Palliatifs Polyclinique de l Ormeau Tarbes phpoulain@wanadoo.fr Placebo: de
Plus en détailDroits des malades en fin de vie. Connaître la loi Leonetti et l appliquer
Droits des malades en fin de vie Connaître la loi Leonetti et l appliquer Lorsque la médecine trouve ses limites et que la personne, avec ses proches, se situe dans la perspective d une échéance annoncée,
Plus en détailCompliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1
Compliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1 Qu est ce que la compliance? Une maladie a été diagnostiquée Le diagnostic est correct Le traitement a été bien indiqué, bien choisi,
Plus en détailCAHIER DES CHARGES INFIRMIER-ÈRE DIPLÔMÉ-E
Madame/Monsieur 1. DÉFINITION DE LA FONCTION Au service du projet institutionnel, la titulaire du poste : Exerce dans un cadre législatif et un contexte sanitaire connus (loi sur l exercice professionnel,
Plus en détaildroits des malades et fin de vie
DOCUMENT à CONSERVER ET À EMPORTER si VOUS êtes HOSPITALISé droits des malades et fin de vie La loi Leonetti Le respect de la personne Le rôle de votre médecin L accès aux soins palliatifs Photo couverture
Plus en détailL impact des avis des usagers sur l amélioration de la prise en charge du patient dans un CHU
L impact des avis des usagers sur l amélioration de la prise en charge du patient dans un CHU Michèle WOLF, MCU-PH, Direction de la qualité, de la coordination des risques et des relations avec les usagers,
Plus en détailLa notion de soutien dans le cadre d une équipe belge de soins palliatifs à domicile INTRODUCTION
La notion de soutien dans le cadre d une équipe belge de soins palliatifs à domicile INTRODUCTION Le concept d équipe de soutien dans les soins palliatifs à domicile belges est récent. On évoque aussi
Plus en détailPrise en charge palliative chez les personnes ayant une démence
Prise en charge palliative chez les personnes ayant une démence Concept Équipe multidisciplinaire 7 personnes travaillant sur le terrain 1 personne de référence par 2 UV Avoir au moins 160h de formation
Plus en détailDISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT
INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,
Plus en détailL infirmier exerce son métier dans le respect des articles R.4311-1 à R.4311-15 et R.4312-1 à 4312-49 du code de la santé publique.
Diplôme d Etat d infirmier Référentiel d activités Annexe I Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet, un
Plus en détailLes Français et les soins palliatifs. Janvier 2011
Les Français et les soins palliatifs Janvier 2011 A Méthodologie page 2 Méthodologie Étude réalisée auprès d un échantillon de 1015 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 et plus.
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailIntroduction à l enquête 2012 «Organisation fonctionnelle des équipes». ADBU
Introduction à l enquête 2012 «Organisation fonctionnelle des équipes». ADBU NB : les notes font référence au diaporama de synthèse de l enquête en ligne sur le site de l'adbu Comment les SCD tentent-ils
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détail2È JOURNÉE NATIONALE DE FORMATION DES PHARMACIENS CANCER ET ACCOMPAGNEMENT DU PHARMACIEN : UN PREMIER PAS VERS LA RÉSILIENCE.
2È JOURNÉE NATIONALE DE FORMATION DES PHARMACIENS Avec le Haut Patronage de Madame Roselyne BACHELOT-NARQUIN, Ministre de la Santé, de la Jeunesse, des Sports et de la Vie associative CANCER ET ACCOMPAGNEMENT
Plus en détailLe guide du bon usage des médicaments
Le guide du bon usage des médicaments Les médicaments sont là pour vous aider mais......ils ont parfois du mal à vivre ensemble. Votre médecin et votre pharmacien peuvent adapter votre traitement pour
Plus en détailLE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT
LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE Prof. G. DURANT La Belgique (11 millions d habitants) est un pays fédéral. Le financement est organisé au niveau national sauf le financement des infrastructures
Plus en détailANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance
Plus en détailANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance
Plus en détailI. Qu est ce qu un SSIAD?
1 Plan Introduction I. Qu est ce qu un SSIAD? II. L accompagnement du SSIAD III. Présentation du SSIAD de Meyssac et de Beynat IV. Les personnes prises en soin dans le SSIAD V. Présentation d une situation
Plus en détailTravailleur social : acteur de changement ou panseur de plaies?
Travailleur social : acteur de changement ou panseur de plaies? Au CPAS, à la Mutuelle, dans les associations, dans les écoles, dans la rue ou derrière un guichet ou encore à domicile, les assistants sociaux
Plus en détailInfirmieres libérales
Détail des programmes- Feuillets complémentaires à la plaquette générale Infirmieres libérales Stages courts 2012 Durées et dates disponibles sur un calendrier en annexe Santé formation Formations gratuites
Plus en détailPlan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or
Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence
Plus en détailCalendrier des formations INTER en 2011
Calendrier des formations INTER en 2011 THEMES Liste des formations INTER MOTIVEZ ET DYNAMISEZ VOS EQUIPES 98 % de participants satisfaits et se sentant reconnus à la sortie de nos formations! L environnement
Plus en détailCOMMISSION DE LA SANTÉ PUBLIQUE, DE L'ENVIRONNEMENT ET DU RENOUVEAU DE LA SOCIÉTÉ du 10 mars 2015
COMMISSION DE LA SANTÉ PUBLIQUE, DE L'ENVIRONNEMENT ET DU RENOUVEAU DE LA SOCIÉTÉ du 10 mars 2015 Questions jointes de - M. Willy Demeyer à la ministre des Affaires sociales et de la Santé publique sur
Plus en détailQuelles attitudes en fin de vie? Acharnement? Euthanasie? Soins palliatifs?
Quelles attitudes en fin de vie? Acharnement? Euthanasie? Soins palliatifs? Dr Christophe TRIVALLE Service de Gérontologie et Soins Palliatifs Hôpital Paul Brousse «Nombre de débats actuels initiés par
Plus en détailL écoute active est une attitude destinée à augmenter la qualité de l écoute. Elle permet à l interlocuteur de se sentir entendu et compris.
L ECOUTE ACTIVE DEFINITION L écoute active est une attitude destinée à augmenter la qualité de l écoute. Elle permet à l interlocuteur de se sentir entendu et compris. Ecouter c est donner à l autre de
Plus en détailLE MALADE EN FIN DE VIE
LE MALADE EN FIN DE VIE Un précepte, donc à suivre scrupuleusement, est celui de ne jamais abandonner un malade même en état de mort imminente et de tout mettre en œuvre pour relever les forces, et soulager
Plus en détailDes dispositifs de prise en charge et d accompagnement de la maladie d alzheimer
La lettre de L observatoire Des dispositifs de prise en charge et d accompagnement de la maladie d alzheimer Novembre 203 - Numéro double 28-29 La fin de vie suscite depuis plusieurs années des questionnements
Plus en détailConseils pour le traitement des douleurs persistantes
Page -1- Conseils pour le traitement des douleurs persistantes Ce qu'il faut savoir avant tout, c'est que les douleurs persistantes sont des "douleurs particulières", qui doivent donc être traitées en
Plus en détailDémarche de prévention des TMS et outils pour l action
Démarche de prévention des TMS et outils pour l action Ce document a pour objet de présenter de manière synthétique la démarche de prévention des TMS du membre supérieur avec des outils opérationnels permettant
Plus en détailComment parler avec l enfant de la maladie grave et de la mort?
Annette SANZ - Simon GESSIAUME Comment parler avec l enfant de la maladie grave et de la mort? Ce livret a été réalisé sous l égide de la Maison médicale Notre Dame du Lac - Fondation Diaconesses de Reuilly
Plus en détailPRISE EN CHARGE DE LA FIN DE VIE
PRISE EN CHARGE DE LA FIN DE VIE POSITION DU CONSEIL NATIONAL DE L ORDRE DES INFIRMIERS Décembre 2013 POSITION DE L ORDRE NATIONAL DES INFIRMIERS «PRISE EN CHARGE DE LA FIN DE VIE» Le Président de la
Plus en détailEXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE
EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation
Plus en détailCritères de qualité de l annonce du diagnostic : point de vue des malades et de la Ligue nationale contre le cancer
CANCERS : LES DÉFIS «QUALITÉ» 67 Critères de qualité de l annonce du diagnostic : point de vue des malades et de la Ligue nationale contre le cancer F. Bettevy, C. Dufranc, G. Hofmann Ligue nationale contre
Plus en détailLes outils de communication essentiels pour démarrer. Animé par : Virginie ROCHAT, Gérante - EBULLISTIK Aurélien PASQUIER, Dirigeant - SCENARII
Les outils de communication essentiels pour démarrer Animé par : Virginie ROCHAT, Gérante - EBULLISTIK Aurélien PASQUIER, Dirigeant - SCENARII «On ne peut pas ne pas communiquer» Mais Paul WATZLAWICK (Ecole
Plus en détailPrésentation de la note Perspectives & Propositions Fin de vie, penser les enjeux, soigner les personnes
Présentation de la note Perspectives & Propositions Fin de vie, penser les enjeux, soigner les personnes par Dominique Folscheid et Brice de Malherbe, co-directeurs du département d Ethique biomédicale,
Plus en détailHospitalisation à domicile Mauges Bocage Choletais. Livret d accueil. Siège administratif PERMANENCE 24H/24 AU 02 41 49 62 75
Hospitalisation à domicile Mauges Bocage Choletais Livret d accueil Siège administratif PERMANENCE 24H/24 AU 02 41 49 62 75 PRESENTATION DE L HOSPITALISATION A DOMICILE MBC Hospitalisation à Domicile Mauges
Plus en détailLa cotation Banque de France
ENTREPRISES PROFESSION BANCAIRE La cotation Banque de France Guide de référence 2011 Une référence pour le dialogue entre la banque et l entreprise Sommaire LA COTATION BANQUE DE FRANCE 1.1. UNE COTATION
Plus en détailLa gestion des problèmes
Chapitre 6 La gestion des problèmes Les incidents se succèdent, toujours les mêmes. Des petits désagréments la plupart du temps, mais qui finissent par pourrir la vie. Toute l équipe informatique se mobilise
Plus en détaillivret d accueil s ervice d o ncologie vous informer, c est aussi notre rôle
s ervice d o ncologie livret d accueil vous informer, c est aussi notre rôle centre hospitalier de tourcoing - 135, rue du président coty - 59208 tourcoing cedex www.ch-tourcoing.fr DSIO - Qualité - Communication
Plus en détailFirst Line and Maintenance in Nonsquamous NSCLC: What Do the Data Tell Us?
Dr Jean-Charles Soria : Bonjour et bienvenue dans ce programme. Je suis Jean Charles Soria, Professeur de Médecine et Directeur du programme de développement précoce des médicaments à l université Paris
Plus en détailDIU Soins Palliatifs et d Accompagnement.
DIU Soins Palliatifs et d Accompagnement. Centre - Pays de Loire CHRU Tours COMMUNICATION «Conflits internes et Cohérence personnelle» SOMMAIRE Introduction page 3 Communication Page 4 Les paramètres d
Plus en détailSession Diagnostic. organisme gestionnaire du développement professionnel continu. www.cardiosleep.fr
Session Diagnostic organisme gestionnaire du développement professionnel continu www.cardiosleep.fr UN CONSTAT 1 patient sur 3 est atteint de Troubles Respiratoires du Sommeil (TRS) en cardiologie. Les
Plus en détailComportements addictifs
Comportements addictifs Les cyberdépendances Addictions comportementales, Qu est-ce que c est? L addiction, au sens général, peut se définir par une envie incontrôlable et répétée, de consommer un produit
Plus en détailStress des soignants et Douleur de l'enfant
5e rencontre francophone Suisse et France voisine de la douleur chez l enfant Stress des soignants et Douleur de l'enfant Céline ROUSSEAU-SALVADOR Psychomotricienne - Psychologue Clinicienne Service d
Plus en détailPréoccupations en matière de retour au travail chez les personnes confrontées à un cancer et les personnes qui leur prodiguent des soins
Préoccupations en matière de retour au travail chez les personnes confrontées à un cancer et les personnes qui leur prodiguent des soins Sommaire de gestion À la demande du Groupe de travail national sur
Plus en détailCOMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE
COMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE Chemin de la Bretèque 76230 BOIS-GUILLAUME Mois de juin 2001 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE
Plus en détailTélé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé
Plus en détailGrossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours
Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)
Plus en détailQuestions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées
Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines
Plus en détailLe secrétariat du médecin libéral
Le secrétariat du médecin libéral Patrice MARIE Le premier contact du patient avec votre cabinet aura lieu par téléphone. Ce premier accueil du patient est donc primordial puisque de sa qualité dépendra
Plus en détailDroits des personnes malades en fin de vie
R S L S Droits des personnes malades en fin de vie Dr. R. Mislawski Médecin coordonnateur, Docteur en droit Sommaire Introduction 1 Domaine de la loi 2 Conditions de fond de mise en œuvre de la loi 3 Critères
Plus en détailPlacebo Effet Placebo. Pr Claire Le Jeunne Hôtel Dieu- Médecine Interne et Thérapeutique Faculté de Médecine Paris Descartes
Placebo Effet Placebo Pr Claire Le Jeunne Hôtel Dieu- Médecine Interne et Thérapeutique Faculté de Médecine Paris Descartes Plan Définitions Placebo dans les essais thérapeutiques Effet placebo Médicaments
Plus en détailAnne DELCHER Pôle Médecine et Gériatrique de Saint-Nazaire SGOC La Rochelle 7-8 juin 2013
Anne DELCHER Pôle Médecine et Gériatrique de Saint-Nazaire SGOC La Rochelle 7-8 juin 2013 Hôpital de Saint-Nazaire Pôle de médecine polyvalente et gériatrique avec filière complète EHPAD et USLD: 214 résidents
Plus en détailClément ALBRIEUX (69)
Pratique 20 : Une nouvelle identité entrepreneuriale 287 Le témoin : Clément ALBRIEUX (69) 30 collaborateurs Comment est définie et gérée l innovation dans votre cabinet? Les collaborateurs du cabinet
Plus en détailComplément à la circulaire DH/EO 2 n 2000-295 du 30 mai 2000 relative à l'hospitalisation à domicile
http://www.sante.gouv.fr/adm/dagpb/bo/2001/01-01/a0010017.htm Bulletin Officiel n 2001-1 Direction de l'hospitalisation et de l'organisation des soins Page 1 sur 6 Complément à la circulaire DH/EO 2 n
Plus en détailComment sont vos cheveux?
Comment sont vos cheveux? Être blond Être brun Être roux Être auburn Avoir les cheveux gris Avoir les cheveux grisonnants Avoir les cheveux blancs Avoir les cheveux bouclés, frisés Avoir les cheveux ondulés
Plus en détailGuide de prise en charge des frais de transport de patients
Juillet 2013 Guide de prise en charge des frais de transport de patients GUIDE DE PRISE EN CHARGE DES FRAIS DE TRANSPORT DE PATIENTS L assurance maladie procède à la prise en charge des frais de transport
Plus en détailCas clinique n 1. Y-a-t-il plusieurs diagnostics possibles? Son HTA a t elle favorisé ce problème?
Cas clinique n 1 Michel que vous suivez de longue date a l impression depuis quelques jours, d entendre des battements irréguliers le soir en se couchant ; il va parfaitement bien par ailleurs et rapporte
Plus en détailLettre n 12, Novembre 2012
Lettre n 12, Novembre 2012 Cher(e) ami(e), Le silence des vacances cède la place au vacarme de la rentrée qui nous renvoie les premiers effets de la loi sur le titre de psychothérapeute et le redémarrage
Plus en détailTHÉORIE ET PRATIQUE DE L AUDIT INTERNE
Jacques RENARD THÉORIE ET PRATIQUE DE L AUDIT INTERNE Préface de Louis GALLOIS Président de la SNCF Prix IFACI 1995 du meilleur ouvrage sur l audit interne Cinquième édition, 1994, 1997, 2000, 2002, 2004
Plus en détailLe dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!
Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique
Plus en détailLarge succès de l introduction en bourse de Genomic Vision sur Euronext à Paris qui lève 23,0 M
Communiqué de presse 1 er avril 2014 GÉNOMIQUE TESTS DE DIAGNOSTIC GÉNÉTIQUE R&D Large succès de l introduction en bourse de Genomic Vision sur Euronext à Paris qui lève 23,0 M Offre sursouscrite 4,7 fois,
Plus en détailToute équipe mobile comprend. Aspects infirmiers du travail d Équipe Mobile de Soins Palliatifs. Cadre réglementaire et missions d une EMSP
Med Pal 2005; 4: 80-84 Masson, Paris, 2005, Tous droits réservés Martine Nectoux, Infirmière clinicienne, Juvignac, Patrick Thominet, Cadre de santé, EMSP Pitié Salpêtrière, Paris. Summary The nurse s
Plus en détailIFAS 11 décembre 2014 15 janvier 2015. M. BLOT Ergothérapeute. CHU de NIMES
IFAS 11 décembre 2014 15 janvier 2015 M. BLOT Ergothérapeute CHU de NIMES Introduction Définition de l hémiplégie Causes Evolution Conséquences Description Prise en charge du patient en fonction de l activité
Plus en détailLa formation comme levier de changement des pratiques
Place des pharmaciens d officine au sein du réseau Onco 94 Ouest La formation comme levier de changement des pratiques 2 ème congrès des Réseaux de cancérologie Rouen Atelier : place de la formation 3
Plus en détailRPS QVT. risques psychosociaux / QUALITÉ DE VIE AU TRAVAIL. l expertise obea
RPS QVT risques psychosociaux / QUALITÉ DE VIE AU TRAVAIL l expertise obea RPS QVT l expertise obea Spécialiste des projets de transformations RH et Managériaux, Obea travaille à vos côtés autour des différentes
Plus en détailLa démarche qualité. Un nouveau mode de management pour l hôpital
La démarche qualité Un nouveau mode de management pour l hôpital Quelques définitions La qualité selon la norme ISO La qualité selon la définition de l'oms L'assurance qualité selon la norme ISO Le management
Plus en détailDOULEUR et SOINS INFIRMIERS
DOULEUR et SOINS INFIRMIERS Certificate of Advanced Studies (CAS) - 2015 Agir en tant que professionnel ressource dans le domaine de la prise en charge de la personne souffrant de douleur aiguë ou chronique,
Plus en détailL'appel public à l'épargne, pour quel besoin de financement? (2/3)
L'appel public à l'épargne, pour quel besoin de financement? (2/3) Lors d'une précédente analyse, nous avions présenté deux outils d'appel public à l'épargne qui bénéficient d'un régime légal favorable
Plus en détailLa planification familiale
La planification familiale après l avortement spontané ou provoqué Introduction Les grossesses non désirées sont l une des principales raisons pour lesquelles les femmes choisissent d avorter. Beaucoup
Plus en détailTests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé
Tests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé Réunion GERES du 6 juillet 2007 : D Abiteboul,, E Bouvet, A Buonaccorsi,, G Carcelain,, M Domart-Rançon,
Plus en détailTROUBLES MUSCULO-SQUELETTIQUES (TMS)
Repères Les troubles musculo-squelettiques (TMS) rassemblent un ensemble large de pathologies qui affectent les muscles, les tendons et les nerfs des membres supérieurs et inférieurs au niveau du poignet,
Plus en détailTNS Behaviour Change. Accompagner les changements de comportement TNS 2014 TNS
Accompagner les changements de comportement TNS 2014 Comprendre et accompagner les changements de comportement Inciter et accompagner les changements de comportements des individus est un enjeu fondamental
Plus en détailL analyse documentaire : Comment faire des recherches, évaluer, synthétiser et présenter les preuves
L analyse documentaire : Comment faire des recherches, évaluer, synthétiser et présenter les preuves Cet atelier portera sur 1. la recherche dans la documentation de sources pertinentes; 2. l évaluation
Plus en détailL enfant sensible. Un enfant trop sensible vit des sentiments d impuissance et. d échec. La pire attitude que son parent peut adopter avec lui est
L enfant sensible Qu est-ce que la sensibilité? Un enfant trop sensible vit des sentiments d impuissance et d échec. La pire attitude que son parent peut adopter avec lui est de le surprotéger car il se
Plus en détailL euthanasie et l assistance au suicide
L euthanasie et l assistance au suicide Loi du 16 mars 2009 français 25 questions 25 s L euthanasie et l assistance au suicide Loi du 16 mars 2009 En collaboration avec le Ministère de la Sécurité sociale,
Plus en détailManagement Chapitre 4 La Stratégie I) La notion de stratégie A) Caractéristiques
L Management Chapitre 4 La I) La notion de stratégie A) Caractéristiques 1) Définition a stratégie : consiste pour une entreprise, à se fixer des objectifs à long terme et à se donner les moyens de les
Plus en détailPSYCHOSOMATIQUE, RELAXATION, PSYCHOTHERAPIES A MEDIATION CORPORELLE
UNIVERSITE MONTPELLIER 1 DIPLOME UNIVERSITAIRE PSYCHOSOMATIQUE, RELAXATION, PSYCHOTHERAPIES A MEDIATION CORPORELLE Option A: Psychosomatique, thérapies de relaxation. Option B: Psychosomatique et psychothérapies
Plus en détailLe prélèvement d organes anticipé/prémédité. Ethique et Greffe Journée du 9 octobre 2012 Dr Laurent Martin-Lefèvre Réanimation La Roche-sur-Yon
Le prélèvement d organes anticipé/prémédité Ethique et Greffe Journée du 9 octobre 2012 Dr Laurent Martin-Lefèvre Réanimation La Roche-sur-Yon Déclaration des conflits d intérêt Médecin de la coordination
Plus en détailTout sur les nouvelles cotations des perfusions
Tout sur les nouvelles cotations des perfusions L arrêté de modification du livre III de la liste des actes et prestations relatif aux perfusions est paru au Journal officiel du 30 septembre 2014. Dans
Plus en détailSoins infirmiers et gestion des risques
Soins infirmiers et gestion des risques I. Principe de précaution Hippocrate disait «soulager le malade et ne pas lui nuire» Cet adage «primun non cere» est le principe de la base de la médecine II. La
Plus en détailCompte-rendu de la Réunion CMRR Du 21 Octobre 2004 Les présentations des intervenants sont disponibles sur le site : www.cmrr.vermeil.
Compte-rendu de la Réunion CMRR Du 21 Octobre 2004 Les présentations des intervenants sont disponibles sur le site : www.cmrr.vermeil.org I. Informations diverses présentées par AS. Rigaud & B. Dubois
Plus en détailwww.bd.com/fr IMPORTANT Bienvenue
www.bd.com/fr IMPORTANT Bienvenue Bienvenue sur www.bd.com/fr (ci-après «le Site»). Ce Site est administré par Becton Dickinson France, une filiale à 100 % de Becton Dickinson and Company (ci-après collectivement
Plus en détailtroubles comportementaux aigus et/ou cognitifs tous les intervenants de l entreprise Prise en charge immédiate sur le lieu de travail.
Introduction Les troubles comportementaux aigus et/ou cognitifs concernent tous les intervenants de l entreprise : dangerosité du salarié pour lui-même et pour autrui, risque de désorganisation de l activité
Plus en détailANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR
Dénomination du médicament ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR LYSOPAÏNE MAUX DE GORGE AMBROXOL CITRON 20 mg SANS SUCRE, pastille édulcorée au sorbitol et au sucralose. Chlorhydrate d ambroxol
Plus en détailELABORATION D UN PLAN MARKETING EN VUE D UNE CAMPAGNE DE MARKETING DIRECT
Institut National des Sciences de Gestion Département de Marketing Marketing et Stratégies Commerciales ELABORATION D UN PLAN MARKETING EN VUE D UNE CAMPAGNE DE MARKETING DIRECT MARKETING DIRECT Rédigé
Plus en détailAide kinésithérapeute : une réalité?
Aide kinésithérapeute : une réalité? Fabien Launay Cadre supérieur du pôle rééducation CHU de Dijon Dijon (21) Préambule : La fonction d aide-kinésithérapeute n est pas nouvelle. Elle peut être occupée
Plus en détailGuide de l'utilisateur du IP Audio Conference Phone 2033. BCM50 2.0 Business Communications Manager
Guide de l'utilisateur du IP Audio Conference Phone 2033 BCM50 2.0 Business Communications Manager Statut du document : Standard Version du document : 01.01 Code de référence : NN40050-102-FR Date : Août
Plus en détailQuel avenir pour les équipes mobiles de soins palliatifs?
Quel avenir pour les équipes mobiles de soins palliatifs? Aude Le Divenah Praticien hospitalier, chargée de mission, Direction de l hospitalisation et de l organisation des soins Les soins palliatifs se
Plus en détaill ETP est elle compatible avec La télésurveillance de l observance à la PPC? Dany Baud CHSPneumologie Chevilly Larue
l ETP est elle compatible avec La télésurveillance de l observance à la PPC? Dany Baud CHSPneumologie Chevilly Larue Surveiller et punir/ le panoptisme Michel Foucault Un assujettissement réel nait mécaniquement
Plus en détail«POUR NOUS IL L A FAIT PÉCHÉ» Sur II Corinthiens V, 20 - VI, 2
«POUR NOUS IL L A FAIT PÉCHÉ» Sur II Corinthiens V, 20 - VI, 2 (V, 20) C est pour Christ que nous sommes en ambassade, puisque c est Dieu qui appelle par nous. Nous vous (le) demandons pour Christ, réconciliez-vous
Plus en détail