Pharmacologie des médicaments de la Polyarthrite rhumatoïde
|
|
- Jérémie Dumas
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 19/12/2013 Marinelli Guillaume L3 Appareil locomoteur A. Boulamery Relecteur 7 8 pages Appareil locomoteur Pharmacologie des médicaments de la Polyarthrite rhumatoïde Pharmacologie des médicaments de la Polyarthrite rhumatoïde Plan A. Introduction I. Molécules à connaître B. Les traitements pharmacologiques de fond I. Schéma général les niveaux d'actions des médicaments II. Le méthotrexate III. La sulfasalazine IV. Chloroquine/hydroxychloroquine V. Les sels d'or VI.Les penicillamines C. Les biothérapies : anti-cytokines I. Les anti-tnfα II. Les anti-il1 III. Les anti-il6 IV. Autres molécules Ce cours aborde les différentes molécules utilisées dans le traitement de la polyarthrite rhumatoïde et leur mode d'action au niveau des articulations touchées. A. Introduction Dans le cadre de la prise en charge de la polyarthrite rhumatoïde (PR), il faut différencier les traitements agissant sur les crises (ou poussées) et les traitements de fond. Les premiers sont des traitements symptomatiques qui auront pour objectif principal de faire disparaître la douleur provoquée lors d'une poussée (la PR évolue par poussées). Les deuxièmes sont là pour ralentir la progression de la maladie, lutter contre la destruction et la déformation des articulations qui provoque de grandes impotences chez les patients atteints. La chirurgie peut être envisageable en cas de déformations trop importantes. I. Les molécules à connaître Le méthotrexate (MTX) : c'est le traitement utilisé en première intention pour la PR, il fait partie des traitements de fond. La sulfasalazine Le Leflunomide HydroxyChloroquine : également connue pour ses propriétés anti-palustres. Les sels d'or Les penicillamines La ciclosporine : utilisée dans les formes sévères de la PR, également utilisée comme immunosuppresseur suite à une greffe d'organe. 1/8
2 Les biothérapies : Anti-cytokines Anti TNFα Anti IL-1 Ce sont des molécules récentes! Appareil locomoteur Pharmacologie des médicaments de la Polyarthrite rhumatoïde B. Traitements pharmacologiques de fond I. Schéma général les niveaux d'action des médicaments Les CPA présentent l'ag aux LT, ce sont dans ce cas là des Ag articulaires (collagène, protéoglycanes,...). Les LT ont une spécificité au niveau de la reconnaissance antigénique : il faut 2 signaux. Le TCR reconnaît l'ag (couplé à HLA) : premier signal. Le deuxième signal correspond à la liaison entre des molécules CD80/CD86 (sur les CPA) avec le CD28 (sur le LT). C'est la co-stimulation, elle est essentielle pour la transmission du signal antigénique. Dans le cas de la PR, le LT va se transformer vers la voie Th1 et en s'engageant vers la voie Th1, le lymphocyte va sécréter des facteurs caractéristiques : IL-2, IFNγ et IL-17. (+ stimulation des LB qui libèrent le facteur rhumatoïde). Ces facteurs vont stimuler les macrophages qui eux-mêmes vont synthétiser le TNFα, l'il-1 et l'il-6. On observe donc déjà différents niveaux où les médicaments vont pouvoir intervenir : anti TNFα ou R TNFα, anti IL-1, anti IL-6, ceux qui inhibent la co-stimulation (Abatacept), anti LB qui libère le facteur rhumatoide (Rituximab), anti proliferation des synoviocytes, anti osteoclastes (anti RANK-L : belimumab)... Au niveau de la physiopathologie, le macrophage a sécrété des facteurs pro-inflammatoires qui vont agir sur l angiogenèse, sur les synoviocytes et il va y avoir prolifération cellulaire qui aboutira à la stimulation des ostéoclastes : on observe alors une destruction de l'articulation. II. Le méthotrexate (MTX) Le méthotrexate est très connu pour son emploi dans les traitements anti-cancéreux. C'est un anti cancéreux, anti-folique et qui est utilisé à très forte dose dans plusieurs types de cancers (ostéosarcomes, tumeurs gynécologiques de l'endomètre...). Il fait aussi partie de l'arsenal thérapeutique dans le traitement de la polyarthrite rhumatoïde (et autres maladies inflammatoires articulaires) mais à des doses très faibles en comparaison de celles utilisées dans le traitement du cancer. On l'utilise aussi dans le traitement de la spondylarthrite ankylosante comme traitement de fond. C'est le médicament de premier choix dans le traitement de la PR, utilisé comme traitement de fond. En chimiothérapie les doses sont supérieures à 10g/j alors que dans le traitement des maladies inflammatoires chroniques nous sommes à des doses qui vont de 5 à 20mg/semaine! Les posologies sont donc totalement différentes. Mécanisme d'action : Le MTX a deux niveaux d'actions, il va bloquer 2 enzymes qui interviennent dans la synthèse des purines. Le blocage de la synthèse des purines se fait par l'action anti-folique du MTX, il va y avoir accumulation des substrats de la voie des purines dans les cellules articulaires ce qui provoquera l'effet cytotoxique recherché. 2/8
3 Le MTX agit sur la dihydrofolate reductase et c'est par cette voie là qu'il est considéré comme anti-folique sachant que les folates interviennent dans la synthèse des purines. L'action anti-folique est recherchée mais c'est elle aussi qui provoque les effets indésirables. /!\ On associe au traitement par le MTX un apport d'acide folique ou folinique. Il y a aussi un effet anti-inflammatoire, un effet sur le chimiotactisme des PN (ce qui concoure aussi à l'effet anti-inflammatoire). Pharmacocinétique : Il y a plusieurs formes galéniques du MTX. En chimiothérapie, c'est la voie IV qui est utilisée. Dans le cadre des maladies inflammatoires, où il est utilisé en traitement de fond, on choisi la voie orale. Le MTX est alors commercialisé sous forme de petits comprimés dosés à 2,5mg (1 prise par semaine). Le MTX a une bonne biodisponibilité, un métabolisme hépatique et peut avoir une toxicité hépatique donc il faut un suivi de la fonction hépatique (bilans). Il y a un délai d'action, qui peut être de plusieurs semaines, en revanche l'effet peut être très prolongé. Effets indésirables : Il y a une grande variabilité interindividuelle mais aux posologies utilisées dans la PR, la tolérance est relativement bonne (différent dans le cadre des chimiothérapies). Il peut y avoir des effets digestifs, une hépatotoxicité (fréquente!) qui peut s'aggraver d'une cholestase ou d'une insuffisance hépato-cellulaire mais ce niveau là est rarement atteint. On co-administre de l'acide folique au MTX pour éviter les effets indésirables mais ce n'est pas fait systématiquement dans le cadre de la PR. En chimiothérapie il y a toujours de l'acide folique pour faciliter l'élimination du MTX. Aux posologies de la PR, l'hématotoxicité est peu fréquente. Il peut y avoir des fibroses pulmonaires (surtout en chimiothérapie mais possible dans le cadre de la PR). Contre-indication : La grossesse car risque d'anomalie de fermeture du tube neural : tératogène!!. III. La sulfasalazine (ou Salazopyrine ) Elle a un effet anti-inflammatoire et elle agit en diminuant la synthèse et la sécrétion des IgA et du facteur rhumatoïde. Elle réduit la vitesse d'évolution des lésions. Il faut retenir que ce médicament est un sulfamide donc hypoglycémiant. On retrouve les sulfamides dans le traitement du diabète (type 2) par voie orale. C'est un sulfamide anti-inflammatoire qui ne pose pas de soucis chez la plupart des patients mais il faut être attentif chez le patient diabétique type 2 (surtout si il est aussi traité par sulfamides hypoglycémiants). C'est un médicament administré par voie orale. Effets indésirables : Ils sont assez fréquents. Dans 30% des cas ils conduisent à l'arrêt du traitement. Effets indésirables digestifs avec nausées et vomissements qui sont plus marqués qu'avec le MTX. Manifestations cutanées possibles et phénomènes allergiques avec modifications du terrain immunitaire du patient (certains patients ont fait des chocs anaphylactiques alimentaires inexpliqués, sûrement par modifications induites par la sulfasalazine). Atteintes hématopoïétiques avec anémie hémolytique, neutropénie, baisse de la fertilité masculine mais tout cela est beaucoup plus rare. 3/8
4 Le délai d'action est relativement long, 1 à 3 mois. L efficacité optimale est obtenue au bout de 3 à 4 mois. L'effet du MTX est plus rapide. IV. Chloroquine (Nivaquine ) /Hydroxychloroquine (Plaquenil ) Ce sont des médicaments utilisés dans le cadre de la prévention anti-palustre. Ils ne sont pas très bien connus dans le cadre de la PR mais ils sont efficaces (dans la lucite également). Le délai d'obtention des effets cliniques est long donc il ne sera pas un médicament de première intention (3 à 6 mois). Pharmacocinétique : Il faut retenir qu'il y a une forte fixation aux protéines tissulaires et notamment aux protéines oculaires ce qui explique les effets indésirables que l'on peut observer avec ces anti-paludéens. Ils ont aussi une présence prolongée dans l'organisme avec une demi-vie de 45 jours donc l'élimination est lente (les effets sont prolongés). Le métabolisme est hépatique donc ces médicaments peuvent avoir une toxicité à ce niveau en plus de la toxicité oculaire. Il faut surveiller le terrain du patient et ne pas administrer ce traitement à un patient avec insuffisance hépatocellulaire ou avec des troubles oculaires. Il existe des interactions médicamenteuses avec la ciclosporine et avec les hormones thyroïdiennes. Effets indésirables: Toxicité oculaire essentiellement. Il faut une surveillance ophtalmologique régulière. Effets digestifs, neuropsychiques et manifestations cutanées. V. Les sels d'or (Allochrysine ) Ce sont de vieux médicaments, initialement ils étaient les seuls utilisés comme traitement de fond dans la PR. Ils ont depuis été remplacés par le MTX, mieux toléré. Leur mécanisme d'action n'est pas très bien connu car l'utilisation était empirique à la base. Ils existent toujours et ils sont administrés par voie intra-musculaire. Les effets indésirables sont fréquents et poussent 1/3 des patients à arrêter le traitement : manifestations cutanées, goût métallique, atteintes hématologiques, atteintes rénales. Le délai d'action peut aller jusqu'à un mois et l'efficacité optimale est obtenue à 8 mois ce qui a conduit à leur abandon. VI. Les pénicillamines Le Trolovol est le représentant principal de cette classe de médicaments. Ils agissent par dépolymérisation du facteur rhumatoïde. Ils interfèrent avec la synthèse du collagène et en pratique ils sont rarement utilisés car beaucoup de toxicité. 4/8
5 C. Les biothérapies : Anti-cytokines I. Les anti-tnfα Ils ont été introduits il y a une dizaine d'années pour les tout premiers. Le TNFα a une action pro-inflammatoire donc les anti-tnfα sont des anti-inflammatoires. Les anti-tnfα diminuent l'activité macrophagique, il y a un effet immunosuppresseur. Cet effet immunosuppresseur explique un certain nombre d'effets indésirables (surinfections notamment). Il faut donc effectuer une surveillance du patient et un bilan pré-thérapeutique. Les anti-tnfα ont un effet antalgique spectaculaire, ils sont très efficaces en seulement quelques jours. On les utilise surtout en voie injectable. 3 niveaux d'actions : Neutralisation du TNFα par des anticorps (Infliximab, adalimumab, certolizumab et golimumab). Inhibition via des anticorps anti-récepteurs du TNFα (etanercept). Le thalidomide, molécule tératogène, peut être utilisé pour traiter la PR dans des circonstances particulières. Il diminue la sécrétion du TNFα. Le délai d'action de ces traitements est court (-de 15jours) en comparaison des traitements de fond et le délai d efficacité optimale est d'environ 12 semaines. Neutralisation du TNFα par des anticorps : Infliximab (Remicade ), Adalimumab (Humira ) et Certolizumab (Cimzia ) Les indications sont la PR mais aussi d'autres maladies chroniques inflammatoires (spondylarthrite ankylosante, maladie de Still = atteinte articulaire chez l'enfant surtout). La Maladie de Crohn et la rectocolite hémorragique font aussi partie des indications. Le rhumatisme psoriasique, qui est une association entre une atteinte articulaire inflammatoire et des signes cutanés de psoriasis, peut aussi être traitée par ces anticorps monoclonaux. Effets indésirables : Surtout il faut retenir les infections (tuberculose ++). On a pu observer une réactivation de tuberculose ancienne ou des primo infections tuberculeuse chez des patients sous anti-tnfα. Actuellement, sur le plan médico-légal, il faut faire une recherche de tuberculose avant la mise sous anti-tnfα. Sur ces patients on va prescrire une radiographie du thorax, une intra-dermo réaction à la tuberculine et des tests biologiques pour rechercher une tuberculose active ou passée. Dans les cas douteux (radio normale mais IDR réactive), on fait un traitement préalable de la tuberculose et on introduit au bout d'un mois le traitement par anti-tnfα. Obligation de dépister la tuberculose avant mise sous traitement. On peut aussi avoir des lupus érythémateux disséminés iatrogènes au traitement par anti-tnfα, des réactions générale avec fièvre, céphalées, toux, L'atteinte hépatique peut aussi être observée et justifie le bilan hépatique en suivi tous les mois. Contre-indications : pathologies infectieuses (tuberculose ++). Il faut faire attention avec les patients diabétiques, chez qui l'administration de ces traitements augmente le risque infectieux (déjà élevé chez eux). Attention aussi à l'association de plusieurs anti-inflammatoires. 5/8
6 Le remicade s'administre en IV (et nécessite une surveillance active de 2h), les autres en sous-cutané. Golimumab 3 indications pour cette molécule nouvelle (mise sur la marché il y a un an) : La PR Spondylarthrite ankylosante Rhumatisme psoriasique Dans le cadre de la PR, elle doit être utilisée en association avec le méthotrexate dans des cas de PR modérées à sévères chez les adultes lorsque la réponse aux traitements de fond a été inadéquate. On peut l'utiliser d'emblée dans les cas de PR extrêmement sévères, très évolutives chez l'adulte. Une administration sous-cutanée par mois. Le délai d'action est long (12 à 14 semaines). Elle a de très nombreux effets indésirables. Etanercept (Enbrel) C'est un récepteur soluble, donc circulant, du TNFα qui est couplé à une Ig humaine. Il va aller capter le TNFα et il ne pourra plus se fixer sur ses récepteurs spécifiques et exercer son action. Il s'agit donc d'une neutralisation du TNFα. Les indications sont les mêmes que pour les autres anti-tnfα. Effets indésirables : problèmes infectieux surtout. II. Les anti-il1 C'est une autre classe de médicaments, la molécule utilisée actuellement est l'anakinra (Kineret ). Ce sont des inhibiteurs compétitifs de la fixation de l'il1 sur son récepteur. Il y a des effets immunosuppresseurs, des effets antalgiques et une diminution de l'activité macrophagique. Indication : la PR en association avec le méthotrexate. Effets indésirables très fréquents (= plus d'un patient sur 10 présente ces effets) : réactions locales au point d'injection. Effets indésirables fréquents : infections graves et neutropenies. Il est administré par voie sous-cutanée en variant les sites d'injection. III. Les anti-il6 On utilise le Tocilizumab (Roactemia ) qui est un anticorps membranaire qui se lie à la fois au récepteur membranaire mais aussi au récepteur soluble de l'il6. L'IL6 ne peut pas exercer son activité pro-inflammatoire et ni activer la prolifération cellulaire. Indication : PR en association au méthotrexate dans les cas de PR active et sévère, ou si il existe une reaction inappropriée aux autres traitements. IV. Autres molécules Abatacept (Orencia ) : inhibiteur de la co-stimulation lymphocytaire T. Traitement de la PR en association au méthotrexate. 6/8
7 Rituximab(Mabthera ) : Anti-CD20 donc anti-lymphocyte B. Utilisé dans la PR ou le lymphome malin non Hodgkinien. Immunosuppresseurs anti-prolifératifs : Léflunomide (Arava ) : bloque la synthèse des pyrimidines et donc bloque la prolifération lymphocytaire T. Cette molécule provoque de nombreux et fréquents effets indésirables. Ciclosporine : Elle agit au niveau de la cascade des calcineurines en bloquant la modulation du gène de l'il2. : Inhibition de la synthèse d'il-2. Elle a à la fois un effet immuno-suppresseur et anti-inflammatoire. Il faut savoir qu'elle est métabolisée via le cytochrome P450 3A4 et donc à ce titre il y a un nombre très élevé d interactions médicamenteuses. Les effets indésirables sont fréquents : les infections (comme pour tous les immunosuppresseurs) mais aussi l'insuffisance rénale et l'hypertension artérielle. Azathioprine : Inhibition de la synthèse des purines donc un effet anti-prolifératif. Il faut savoir que des vaccins anti-tnfα sont à l'étude (phase 2B) et nous auront certainement l'occasion de les utiliser quand nous exercerons. On développe actuellement des molécules anti-rankl, action sur les ostéoclastes. 7/8
8 8/8
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 18 novembre 2009
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 18 novembre 2009 LEDERTREXATE 5 mg, solution injectable B/1 ampoule de 2 ml (Code CIP : 315 012-5) LEDERTREXATE 25 mg, solution injectable B/1 ampoule de 1 ml (Code CIP
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 10 mai 2006
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 10 mai 2006 METOJECT 10 mg/ml, solution injectable en seringue pré-remplie 1 seringue pré-remplie en verre de 0,75 ml avec aiguille : 371 754-3 1 seringue pré- remplie
Plus en détailTRAITEMENT DE LA POLYARTHRITE RHUMATOIDE
TRAITEMENT DE LA POLYARTHRITE RHUMATOIDE RÉVOLUTION DES PRINCIPES DE TRAITEMENT Mise à disposition de nouvelles molécules Traitements de fond classiques ( Méthotrexate, Salazopyrine ) : plus efficaces
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailLES BIOMÉDICAMENTS ET LES PETITES MOLÉCULES IMMUNOMODULATRICES ET IMMUNOSUPPRESSIVES
LES BIOMÉDICAMENTS ET LES PETITES MOLÉCULES IMMUNOMODULATRICES ET IMMUNOSUPPRESSIVES Jean SIBILIA, Marie-Odile DUZANSKI, Coralie VAROQUIER, Christelle SORDET, Emmanuel CHATELUS, Jacques-Éric GOTTENBERG.
Plus en détailCibles et mécanismes d action des traitements par cytokines et anti-cytokines
Cibles et mécanismes d action des traitements par cytokines et anti-cytokines Jean Daniel Lelièvre, Yves Lévy, Pierre Miossec I-Introduction... 2 II-Les interférons... 2 II-1.L interféron... 3 II-1-a.
Plus en détailCommuniqué. Abbott présente à Santé Canada une demande d homologation d HUMIRA pour le traitement du psoriasis POUR PUBLICATION IMMÉDIATE
POUR PUBLICATION IMMÉDIATE Communiqué Abbott présente à Santé Canada une demande d homologation d HUMIRA pour le traitement du psoriasis Media: Sylvie Légaré (514) 832-7268 Abbott Gabrielle Collu 514)
Plus en détailLA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD
LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD Service de Pneumologie Hôpital Beauregard - THIONVILLE 1 Bilan initial Objectifs Bilan de base Traitement pharmacologique Autres traitements pharmacologiques Autres
Plus en détailLe psoriasis est une dermatose
[ Synthèse Dermatologie Prise en charge thérapeutique du psoriasis F. Aubin Service de Dermatologie, CHU Saint-Jacques, Besançon Le psoriasis est une dermatose chronique pouvant revêtir diverses formes
Plus en détailLes rhumatismes inflammatoires. Arthrite Rhumatoïde, Arthrite psoriasique, Spondylarthrite ankylosante
Les rhumatismes inflammatoires Arthrite Rhumatoïde, Arthrite psoriasique, Spondylarthrite ankylosante Arthrite Rhumatoïde (RA) Voorstelling van de ziekte Arthrite Rhumatoïde Inflammation chronique des
Plus en détailItem 116 : Maladies autoimmunes
Item 116 : Maladies autoimmunes COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Définition du concept d'auto-immunité...3
Plus en détailHumira Solution pour injection dans un injecteur prérempli
Humira Solution pour injection dans un injecteur prérempli ABBOTT OEMéd Qu est-ce que Humira et quand doit-il être utilisé? Humira est un médicament qui limite le processus inflammatoire dans le cadre
Plus en détailet l utilisation des traitements biologiques
et l utilisation des traitements biologiques Choisir le meilleur traitement pour retrouver la qualité de vie que vous êtes en droit d avoir Les agents biologiques (biothérapies) Étant les plus récents
Plus en détailAnalyse pharmaco-économique des anti-tnf alpha dans le traitement de la Polyarthrite Rhumatoïde en France.
Synthèse Bibliographique en Biologie et Biotechnologie Janvier 2012 Analyse pharmaco-économique des anti-tnf alpha dans le traitement de la Polyarthrite Rhumatoïde en France. Problématique : Jusqu où la
Plus en détailFiche Produit Profils Médicalisés PHMEV
Guide méthodologique développé par l équipe de projets ci-dessous : Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV EQUIPE PROJET Chef de projet : Maryline CHARRA, Pharmacien Conseil Responsable de la mission
Plus en détailLa maladie de Still de l adulte
La maladie de Still de l adulte Syndrome de Wissler-Fanconi La maladie Le diagnostic Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur Cette fiche est destinée
Plus en détailMécanisme des réactions inflammatoires
01/04/2014 THOMASSIN Guillaume L2 Revêtement Cutané Dr. Sophie Deplat-Jégo Relecteur 4 8 pages Revêtement cutané Mécanisme des réactions inflammatoires cutanés Mécanisme des réactions inflammatoires Plan
Plus en détailTYNDALL. 13 rue Dubrunfaut 75012 PARIS Tél. : 01 74 05 74 23 >SIREN N 451 386 544 APE N 00014. Bulletin d Informations. et d échanges N 24 MARS 2009
TYNDALL Bulletin d Informations 13 rue Dubrunfaut 75012 PARIS Tél. : 01 74 05 74 23 >SIREN N 451 386 544 APE N 00014 Site internet : www.inflamoeil.org SOMMAIRE 1. L éditorial de la Présidente 2. Des immunosuppresseurs
Plus en détailQuelle est l incidence
Printemps 2012 Quelle est l incidence de ce médicament en voie de commercialisation sur mon régime d assurance-? Quelle est l incidence de ce médicament en voie de commercialisation sur mon régime d assurance?
Plus en détailDr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges. Membre enseignant chercheur EA 4021
Dr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges Membre enseignant chercheur EA 4021 Rhumatisme inflammatoire chronique Prévalence des SA ies en Europe = 1 à 2% Age moy : 26 ans, ratio homme/femme:
Plus en détailExplorations des réponses Immunitaires. L3 Médecine
2012 Explorations des réponses Immunitaires L3 Médecine Rappel sur les réponses Immunitaires DIFFERENTS TYPES DE REPONSES IMMUNITAIRES Naturelle = innée Adaptative Non spécifique Spécifique Immédiate Barrière
Plus en détailLes Spondylarthrites
Les Spondylarthrites Le concept de spondylarthrite Ensemble de rhumatisme inflammatoires chroniques qui partagent certaines de leurs manifestations cliniques ainsi qu un terrain génétique commun. Le concept
Plus en détailSérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde
1 ETSL Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde TP 1 GABIN-GAUTHIER 13/11/2009 I. LA MALADIE... 2 II. TECHNIQUES QUALITATIVES... 2 1. PRINCIPE... 2 2. MODE OPERATOIRE... 3 2.1. WRST ou Waaler Rose
Plus en détailANNEXE I RESUME DES CARACTERISTIQUES DU PRODUIT
ANNEXE I RESUME DES CARACTERISTIQUES DU PRODUIT 1. DENOMINATION DU MEDICAMENT Simponi 50 mg, solution injectable en stylo prérempli. 2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE Un stylo prérempli de 0,5
Plus en détail. Arthritepsoriasique
Les traitements biologiques dans les rhumatismes inflammatoires Dr Clio RIBBENS Service de Rhumatologie. Centre HospitalierUniversitairede Liège Nouveautés dans l'arthrite : Thérapeutiques anti-nf a..
Plus en détailActualisation de la prescription en biologie rhumatologie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux
Plus en détailI Identification du bénéficiaire (nom, prénom, N d affiliation à l O.A.) : II Eléments à attester par un médecin spécialiste en rhumatologie :
ANNEXE A : Formulaire de première demande Formulaire de première demande de remboursement de la spécialité HUMIRA pour une spondylarthrite axiale sévère sans signes radiographiques de spondylarthrite ankylosante
Plus en détailEXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410
EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.
Plus en détailGuide. Parcours. Guide à l usage des professionnels de santé confrontés à des. patients traités par anti-tnfa. bon usage anti-tnfα
Parcours bon usage anti-tnfα Guide Guide à l usage des professionnels de santé confrontés à des patients traités par anti-tnfa Rhumatismes inflammatoires chroniques Maladies inflammatoires chroniques de
Plus en détailRHUMATISMES INFLAMMATOIRES CHRONIQUES DE L ADULTE : diagnostic et prise en charge initiale par le généraliste. DOSSIER DOCUMENTAIRE
RHUMATISMES INFLAMMATOIRES CHRONIQUES DE L ADULTE : diagnostic et prise en charge initiale par le généraliste. DOSSIER DOCUMENTAIRE Document établi avec le concours méthodologique de la HAS et conforme
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailPsoriasis. EPU Bats CARMI Esther
Psoriasis EPU Bats CARMI Esther Idées clefs Co morbidité Biothérapies Intérêt Risque Psoriasis «Exclusion sociale pour impureté» 1805 : individualisation Importance de la microcirculation du derme superficiel
Plus en détailTRAITEMENT DE L ANÉMIE AU COURS DE L INSUFFISANCE RÉNALE CHRONIQUE DE L ADULTE
TRAITEMENT DE L ANÉMIE AU COURS DE L INSUFFISANCE RÉNALE CHRONIQUE DE L ADULTE RECOMMANDATIONS Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé, mai 2005 Afssaps - 143/ 147, bd Anatole France
Plus en détailLes nouveaux traitements du psoriasis
Les nouveaux traitements du psoriasis Ci-après, vous trouverez 3 articles, parus récemment, parmi d'autres tout aussi intéressants, dans notre bulletin trimestriel Pso Magazine: - un extrait de l'exposé
Plus en détailMONOGRAPHIE DE PRODUIT. étanercept. Solution injectable en seringues préremplies
MONOGRAPHIE DE PRODUIT Pr Enbrel MD étanercept Solution injectable en seringues préremplies 50 mg/ml et Poudre lyophilisée pour reconstitution présentée en flacons 25 mg/flacon Norme de pharmacopée reconnue
Plus en détailMécanismes moléculaires à l origine des maladies autoimmunes
Mécanismes moléculaires à l origine des maladies autoimmunes Sébastien Lacroix-Desmazes INSERM UMRS 1138 Immunopathology and herapeutic Immunointervention CRC - Paris, France Ma connaissance d un patient
Plus en détailAnticorps, vaccins, immunothérapies allergéniques tout savoir sur les progrès de l immunothérapie en 20 questions
Anticorps, vaccins, immunothérapies allergéniques tout savoir sur les progrès de l immunothérapie en 20 questions De quoi se compose le système immunitaire? Chaque jour, des substances étrangères, appelées
Plus en détailLe diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers
Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers Les spondylarthopathies 0.2% de la population en France Arthrites Réactionnelles rares S. Ankylosante
Plus en détailDouleurs des mains. Douleurs des mains les plus fréquentes: pertinence, causes, traitements. C.Zenklusen septembre 2013
Douleurs des mains Douleurs des mains les plus fréquentes: pertinence, causes, traitements C.Zenklusen septembre 2013 Causes de douleurs aux mains Articulations (origine articulaire) Nerfs (origine nerveuse)
Plus en détailStelara (ustekinumab)
Les autorités de santé de l Union européenne ont assorti la mise sur le marché du médicament Stelara de certaines conditions. Le plan obligatoire de minimisation des risques en Belgique, dont cette information
Plus en détailLes medicaments contre l arthrite. Un guide de référence. SeRIE TRAITEMENTS. arthrite.ca
Les medicaments contre l arthrite Un guide de référence SeRIE TRAITEMENTS arthrite.ca Table des matières REMARQUE : Le masculin est utilisé pour faciliter la lecture. Mot de bienvenue 4 Introduction à
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailPsoriasis et travail dans le BTP. Pr E. Delaporte
Psoriasis et travail dans le BTP Pr E. Delaporte 30 Mai 2013 Janvier 2013 : File active de 335 malades traités (293) ou ayant été traités (42) par immunosupp./ modulateurs (MTX CyA biomédicaments) 214
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012
ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles
Plus en détailLa prise en charge de votre spondylarthrite
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre spondylarthrite Vivre avec une spondylarthrite Décembre 2008 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce
Plus en détailY-a-t-il des raisons médicales qui
é NQUÊTE Programmes industriels d observance : sans justification médicale L analyse Prescrire des programmes à mi-mai 2007 révèle que les programmes industriels d observance ne sont pas justifiés par
Plus en détailINDUCTION DES LYMPHOCYTES T- RÉGULATEURS PAR IL2 A TRÈS FAIBLE DOSE DANS LES PATHOLOGIES AUTO- IMMUNES ET INFLAMMATOIRES APPROCHE TRANSNOSOGRAPHIQUE
INDUCTION DES LYMPHOCYTES T- RÉGULATEURS PAR IL2 A TRÈS FAIBLE DOSE DANS LES PATHOLOGIES AUTO- IMMUNES ET INFLAMMATOIRES APPROCHE TRANSNOSOGRAPHIQUE Etude clinique N NCT01988506 Inves9gateur coordinateur
Plus en détailTEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES
TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES Classement NABM : non inscrit code : non codé DÉCEMBRE 2006 Service évaluation des actes professionnels
Plus en détailLe syndrome SAPHO Ostéomyélite multifocale chronique récidivante Spondylarthrite hyperostosante pustulo-psoriasique
Ostéomyélite multifocale chronique récidivante Spondylarthrite hyperostosante pustulo-psoriasique La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre
Plus en détailLa prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde Vivre avec une polyarthrite rhumatoïde Décembre 2008 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant
Plus en détailE04a - Héparines de bas poids moléculaire
E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique
Plus en détailUTILISATION ET PRECAUTION D EMPLOI DES AINS Professeur Philippe BERTIN, Chef de Service de Rhumatologie, CHU Limoges Octobre 2009
UTILISATION ET PRECAUTION D EMPLOI DES AINS Professeur Philippe BERTIN, Chef de Service de Rhumatologie, CHU Limoges Octobre 2009 Objectifs pédagogiques : 1 ) Connaître les mécanismes d action des AINS
Plus en détail1 of 5 02/11/2012 14:03
1 of 5 02/11/2012 14:03 Le cancer du chat par Sandrine Cayet, docteur-vétérinaire Le cancer chez le chat n est pas une fatalité. Un cancer chez le chat, c est comme chez l homme, ça se diagnostique, ça
Plus en détailItem 123. Psoriasis. Insérer les T1. Objectifs pédagogiques
20 Item 123 Psoriasis Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un psoriasis. Argumenter l'attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. COFER Connaître les particularités cliniques,
Plus en détailLES ANTI-TNF DANS LES MALADIES AUTO-IMMUNES ET LES VASCULARITES
LES ANTI-TNF DANS LES MALADIES AUTO-IMMUNES ET LES VASCULARITES par X. MARIETTE* Les inhibiteurs du TNFα représentent une révolution thérapeutique en rhumatologie dans le traitement de la polyarthrite
Plus en détailL arthrose, ses maux si on en parlait!
REF 27912016 INFORMER UPSA BROCH ARTHROSE V2 08-12.indd 2 30/08/12 11:48 Qu est-ce que l arthrose? L arthrose est une maladie courante des articulations dont la fréquence augmente avec l âge. C est une
Plus en détailTYNDALL. 75012 PARIS Tél. : 01 74 05 74 23 >SIREN N 451 386 544 APE N 00014. 13 rue Dubrunfaut d échanges. Bulletin d Informations N 37 JUIN 2012
et 13 rue Dubrunfaut d échanges 75012 PARIS Tél. : 01 74 05 74 23 >SIREN N 451 386 544 APE N 00014 TYNDALL Bulletin d Informations N 37 JUIN 2012 Site Internet : www.inflamoeil.org Courriel : inflamoeil@yahoo.fr
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailANDRIANJAFISON Francia
ANDRIANJAFISON Francia PLACE DE LA CORTICOTHERAPIE DANS LA PRISE EN CHARGE DES RHUMATISMES INFLAMMATOIRES CHRONIQUES : REALITES ET PERSPECTIVES A ANTANANARIVO Thèse de Doctorat en Médecine 2 UNIVERSITE
Plus en détailPoint d Information. Le PRAC a recommandé que le RCP soit modifié afin d inclure les informations suivantes:
Point d Information Médicaments à base d ivabradine, de codéine, médicaments contenant du diméthyl fumarate, du mycophénolate mofétil/acide mycophénolique, de l octocog alpha, spécialité Eligard (contenant
Plus en détailTraitement du Psoriasis en 2015 Quoi de neuf? Dr Emmanuel Laffitte Clinique de Dermatologie HUG, Genève
Traitement du Psoriasis en 2015 Quoi de neuf? Dr Emmanuel Laffitte Clinique de Dermatologie HUG, Genève Psoriasis 1 à 3% de la population adulte 1/3 modéré à sévère Psoriasis: une seule maladie? Une maladie
Plus en détailQuoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?
Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,
Plus en détailIMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques
IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production
Plus en détailSociété Algérienne de Dermatologie Pédiatrique 12èmes Journées Nationales Alger, 3-4 mars 2011. Symposium PFIZER
Société Algérienne de Dermatologie Pédiatrique 12èmes Journées Nationales Alger, 3-4 mars 2011 Symposium PFIZER Psoriasis de l enfant et traitement biologique B. Bouadjar, Alger Traitement du psoriasis
Plus en détailPOLYARTHRITE RHUMATOÏDE/ RHEUMATOID ARTHRITIS. Jacques Morel et Bernard Combe. Service d'immuno-rhumatologie, CHU Lapeyronie 34295 MONTPELLIER cedex 5
1 Rev Prat. 2006 Mar 15;56(5):553-62 POLYARTHRITE RHUMATOÏDE/ RHEUMATOID ARTHRITIS Jacques Morel et Bernard Combe Service d'immuno-rhumatologie, CHU Lapeyronie 34295 MONTPELLIER cedex 5 La polyarthrite
Plus en détailVaccination et tuberculose en Gériatrie. Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban
Vaccination et tuberculose en Gériatrie Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban VACCINATIONS 2 Personnes âgées et vaccinations Avec
Plus en détailSPONDYLARTHROPATHIES. Dr L.Mathy Mont-Godinne Rhumatologie 10/03/2012 CH DINANT
SPONDYLARTHROPATHIES Dr L.Mathy Mont-Godinne Rhumatologie 10/03/2012 CH DINANT Prévalence des affections rhumatismales Lombalgies, rhum. abarticulaires Arthrose Ostéoporose Polyarthropathies inflammatoires
Plus en détailDiagnostic, prise en charge thérapeutique et suivi des spondylarthrites
Diagnostic, prise en charge thérapeutique et suivi des spondylarthrites RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Diagnostic, prise en charge thérapeutique et suivi des spondylarthrites RECOMMANDATIONS Décembre
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailPHYSIOTHERAPIE ET RHUMATISMES INFLAMMATOIRES
PHYSIOTHERAPIE ET RHUMATISMES INFLAMMATOIRES Cercle de Qualité Le Merle d Aubigné (CQMdA) Bodmer Eveline, Baumberger Dominique, Bensaddik-Brunner Verena, Canova Danielle, Dosso Elena, Dunand Alain, Finazzi
Plus en détailLa polyarthrite rhumatoïde est-elle une maladie courante parmi la patientèle d'un rhumatologue?
Association Française des Polyarthritiques & des Rhumatismes Inflammatoires Chroniques 9, rue de Nemours - 75011 Paris E-mail : afp@nerim.net - www.polyarthrite.org Tél. : 01 400 30 200 - Fax : 01 400
Plus en détailPsoriasis et biothérapies
A qui s adressent les biothérapies? Comment agissent les biothérapies? Quels bénéfices puis-je attendre d une biothérapie? Comment puis-je contribuer au succès de mon traitement? Qu est-ce qu une biothérapie?
Plus en détailSYNTHÈSE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES. Spondylarthrites. Décembre 2008
SYNTHÈSE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Spondylarthrites Décembre 2008 OBJECTIFS - Mieux identifier les patients atteints de spondylarthrite afin de raccourcir le délai entre l apparition des symptômes
Plus en détailChapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie
Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie Le phénotype immunitaire d un individu caractérise sa capacité à répondre, grâce aux effecteurs de l immunité adaptative, aux différents agents
Plus en détailAMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus.
AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne Les dons de cellules & de tissus. Introduction : Une greffe (don) de cellules consiste à administrer à un patient dont un organe vital ne fonctionne plus correctement, une
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailHiver 2013. Paysages changeants, produits en voie de commercialisation et conséquences pour les promoteurs de régimes
Hiver 2013 Paysages changeants, produits en voie de commercialisation et conséquences pour les promoteurs de régimes Paysages changeants, produits en voie de commercialisation et conséquences pour les
Plus en détailInfiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé. Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009
Infiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009 Complications pulmonaires en onco-hématologie (Mokart et al Chest 2003) ~ 20 % des patients ~
Plus en détailMONOGRAPHIE. tocilizumab. Solution concentrée à 20 mg/ml pour perfusion. Solution à 162 mg/0,9 ml pour injection. Norme reconnue
MONOGRAPHIE Pr ACTEMRA tocilizumab Solution concentrée à 20 mg/ml pour perfusion Solution à 162 mg/0,9 ml pour injection Norme reconnue Inhibiteur du récepteur d interleukine Le traitement par ACTEMRA
Plus en détailItem 123 : Psoriasis
Item 123 : Psoriasis COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Définition...3 II Épidémiologie du rhumatisme
Plus en détailS. Kernéis, T. Ancelle, V. Naneix-Laroche, N. Amrane, JP. Leroy, T. Hanslik, O. Launay
Etude AMARCOR Tolérance et immunogénicité du vaccin contre la fièvre jaune chez des sujets recevant une corticothérapie par voie générale : étude de cohorte observationnelle S. Kernéis, T. Ancelle, V.
Plus en détailNotre système. Immunitaire
Notre système Immunitaire Notre système Immunitaire Edito L association I.R.I.S. salue l initiative de Sara Lebien, qui en écrivant cet ouvrage et en proposant une illustration gaie et coloré a rendu l
Plus en détailLes biothérapies en dermatologie : une avancée thérapeutique importante. Stratégie de prise en charge du psoriasis. Les lasers fractionnels en 2008
K E R AT I N a c t u a l i t é s e n r e c h e r c h e d e r m a t o l o g i q u e N 14-2008 Les biothérapies en dermatologie : une avancée thérapeutique importante Stratégie de prise en charge du psoriasis
Plus en détailPremière partie: Restitution + Compréhension (08 points)
Lycée M hamdia Année scolaire : 2011/2012 Prof : Saïd Mounir Date : 17/05/2012 Première partie: Restitution + Compréhension (08 points) EXERCIE N O 1: (4 points) : 1 : a-b 2 : b 3 : a-b 4 : d 5 : d 6 :
Plus en détailTout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN Docteur Antoine MONET Centre d Imagerie Fonctionnelle Clinique Saint Augustin Jeudi 25 Septembre 2008 Un peu d histoire
Plus en détailSéance dédiée aux rhumatismes inflammatoires
Séance dédiée aux rhumatismes inflammatoires COMMUNICATION Les nouveautés physiopathologiques à la base de la révolution thérapeutique des biothérapies dans les rhumatismes inflammatoires Mots-clés : Biothérapie.
Plus en détailNuméro 18 l 2011. l Traitements pharmacologiques et SEP
Numéro 18 l 2011 l Traitements pharmacologiques et SEP Comité de Rédaction Fédération Internationale contre la Sclérose en Plaques (MSIF) La mission de la MSIF est de diriger le mouvement international
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailMédicaments du futur : Tendances et enjeux. Nicolas PY, Debiopharm International forumofac.14 26/09/2014
Médicaments du futur : Tendances et enjeux Nicolas PY, Debiopharm International forumofac.14 26/09/2014 Quelques mots sur Debiopharm Groupe fondé en 1979 Siège à Lausanne 350 collaborateurs Financièrement
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE
MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE AVIS DU COMITE TECHNIQUE DES VACCINATIONS / DU CONSEIL SUPERIEUR D HYGIENE PUBLIQUE DE FRANCE relatif à la vaccination par le vaccin
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailPathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013
Pathologie VIH Service maladies infectieuses Archet 1 Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Les traitements antirétroviraux Sont classés en 5 familles selon leur mode
Plus en détailCONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD?
CONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD? Hélène MANGEARD François MALADRY Tuberculose : infection mycobactérienne Infection mycobactérienne chronique (M. Tuberculosis ++ ou bacille
Plus en détailROTARY INTERNATIONAL District 1780 Rhône-Alpes Mont-Blanc Don volontaire de cellules souches
ROTARY INTERNATIONAL District 1780 Rhône-Alpes Mont-Blanc Don volontaire de cellules souches Le don de cellules souches Jean VIVIN 04/2013 1-Nature du problème : 2- Technique Les leucémies représentent
Plus en détailSurveillance biologique d'un traitement par Héparine de Bas Poids Moléculaire (HBPM)
Hématologie biologique (Pr Marc Zandecki) Faculté de Médecine CHU 49000 Angers France Surveillance biologique d'un traitement par Héparine de Bas Poids Moléculaire (HBPM) 1. Structure et mode d'action
Plus en détailplan Transplantation d organe 2 types de donneurs 05/05/2015 1 Le don d organe 2 Prise en charge immunologique 3 Le rejet
plan Transplantation d organe 1 Le don d organe 2 Prise en charge immunologique 3 Le rejet 2 types de donneurs Activité de prélèvement en France Donneurs décédés:+++++ Donneurs vivants: Apparenté Non apparenté
Plus en détailTransgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010
Parc d Innovation d Illkirch, France, le 10 mars 2010 Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Transgene (Euronext
Plus en détail