Le léflunomide, nouveau traitement de fond de la polyarthrite rhumatoïde
|
|
- Henriette Albert
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Le léflunomide, nouveau traitement de fond de la polyarthrite rhumatoïde! B. Combe* P o i n t s f o r t s " Le léflunomide est un médicament d une nouvelle classe chimique (isoxazole). Il inhibe la synthèse de novo des pyrimidines et, par làmême, favorise le blocage préférentiel des lymphocytes T activés. " La posologie est de 100 mg par jour pendant trois jours, puis de 20 mg par jour en une prise orale ; la cholestyramine est un chélateur du léflunomide permettant son élimination accélérée. " Le léflunomide a une efficacité clinique supérieure à celle du placebo dans la polyarthrite rhumatoïde active. Cette efficacité est comparable à celle de la sulfasalazine ou du méthotrexate, mais plus rapide. " Le léflunomide ralentit sur un an la progression radiologique de la PR par rapport au placebo. " Le profil de tolérance (diarrhée, élévation modérée des transaminases) du léflunomide paraît favorable. Il n a pas été mis en évidence d effet indésirable grave pouvant mettre en jeu la vie des patients. À la différence des connaissances fondamentales, les méthodes thérapeutiques n ont pas connu d avancée au cours des années 90, ce qui est une grande déception pour nous rhumatologues, mais encore plus pour nos patients. Les derniers médicaments de fond ayant eu l autorisation de mise sur le marché (AMM) dans la polyarthrite rhumatoïde (PR) sont en effet la tiopronine, la sulfasalazine, le méthotrexate (MTX) et la ciclosporine. Il y a fort à parier que les années à venir seront plus réjouissantes. Dès cette année, nous allons assister, en France, à la commercialisation de nouveaux traitements dits de fond qui ont obtenu l enregistrement aux États-Unis fin 1998, le léflunomide (Arava ) et deux inhibiteurs du TNFα (etanercept et infliximab), auxquels s ajoutent les AINS inhibiteurs sélectifs Cox-2. PHARMACOLOGIE Le léflunomide (HWA 486) est un dérivé isoxazole. Il s agit d une prodrogue qui est immédiatement transformée, in vivo, en son métabolite actif majeur (A771726), responsable de la quasi-totalité de ses effets pharmacologiques (figure 1). Il existe un cycle entérohépatique, et ce métabolisme s effectue au niveau des cellules hépatiques et des cellules intestinales. Mots-clés : Léflunomide - Polyarthrite rhumatoïde - Traitement de fond. * Fédération de rhumatologie, hôpital Lapeyronie, Montpellier. Figure 1. Pharmacologie. Le léflunomide est un dérivé isoxazole. La Lettre du Rhumatologue - n mars
2 Mode d action Le mode d action du léflunomide est connu (1, 2). Il inhibe la dihydroorotate déhydrogénase (DHODH), qui est une enzyme clé de la voie de biosynthèse de novo des pyrimidines. L inhibition de cette enzyme réduit la synthèse d ADN et d ARN cellulaire (figure 2). L inhibition de la DHODH produit une réduction du pool des pyrimidines à l origine d un arrêt du cycle des cellules sensibles, notamment des lymphocytes T activés. Ceux-ci utilisent huit fois plus la voie des pyrimidines que celle des purines lors de leur prolifération. Ce mode d action du léflunomide est à rapprocher du rôle clé des lymphocytes T dans la pathogénie de la PR (3), et explique que les premiers essais cliniques de ce nouveau médicament réalisés chez l homme l aient été dans la PR. À noter qu il existe une voie de récupération des pyrimidines (figure 2), ce qui permet d éviter une cytotoxicité vis-à-vis des autres types cellulaires. Il n y a pas d interaction avec l alimentation, ni d interaction médicamenteuse significative connue (contraceptifs oraux, cimétidine, diclofénac, ibuprofène, MTX, etc.). Enfin, il y a une possibilité d élimination accélérée du produit par le charbon actif ou, mieux, par la cholestyramine. Le schéma proposé est l administration de cholestyramine 8 g, trois fois par jour pendant onze jours. Tolérance préclinique du léflunomide Les études chez l animal ont retrouvé des cas d anémie, de leucopénie et de thrombopénie reflétant le mode d action de la molécule (inhibition de la synthèse de l ADN). Il n a pas été montré d effet mutagène ni d effet carcinogène chez le rat. En revanche, le léflunomide est embryotoxique et tératogène chez le rat et le lapin, à des doses correspondant aux posologies utilisées chez l homme. La fertilité n est pas diminuée. RÉSULTATS DES ÉTUDES CLINIQUES Études de phase II Sept études de phase II ont été réalisées, dont une étude pivot contrôlée en double aveugle (5, 10, 25 mg/j contre placebo) (4). Quatre cent deux patients atteints de PR ont été traités pendant six mois. L efficacité a été confirmée contre placebo, la dose la plus efficace étant celle de 25 mg/j. Cependant, à cette dose, les effets secondaires étaient plus importants, notamment les diarrhées. Grâce à un modèle d adaptation de posologie, la dose optimale retenue est celle de 20 mg/j, qui sera utilisée dans toutes les études ultérieures. Figure 2. Le léflunomide inhibe la biosynthèse de novo des pyrimidines. Léflunomide et modèles animaux Le léflunomide a été utilisé avec succès dans de nombreux modèles animaux de maladies auto-immunes, en particulier dans l arthrite induite par l adjuvant chez le rat, par le collagène de type II ou par des protéoglycanes chez la souris (1). Pharmacocinétique du léflunomide Le léflunomide est bien absorbé après administration orale. Le T max du métabolite actif est de 6 à 12 heures. Sa demi-vie est de deux semaines, ce qui est particulièrement long. Il faut une dose de charge de 100 mg par jour pendant trois jours pour atteindre plus rapidement le plateau d équilibre plasmatique (deux à trois jours au lieu de huit à dix semaines). La pharmacocinétique est linéaire. Le léflunomide a un faible volume de distribution, mais une forte liaison, bien que labile, aux protéines plasmatiques (99 %). L élimination se fait à 43 % dans les urines et à 48 % dans les selles. 18 Études cliniques de phase III Cette phase comporte trois études multicentriques internationales contrôlées en double aveugle (5, 6, 7). L étude US 301 (n = 482 patients) a comparé le léflunomide au placebo et au méthotrexate (MTX) sur une période de 12 mois, aux États-Unis et au Canada (5). L étude MN 301 (n = 358) a comparé le léflunomide au placebo et à la sulfasalazine sur une période de six mois, avec une extension à 12 mois pendant laquelle le groupe placebo a reçu de la sulfasalazine. Cette étude a été menée essentiellement en Europe, mais également en Afrique du Sud, en Australie et en Nouvelle-Zélande (6). L étude MN 302 (n = 999) a comparé le léflunomide et le MTX sur une période de 12 mois en Europe et en Afrique du Sud (7). Dans les trois études, le léflunomide a été administré à 100 mg par jour pendant trois jours, puis à 20 mg par jour en une prise. La sulfasalazine a été administrée à 2 g par jour dans l étude MN 301, et le MTX à une posologie de 7,5 à 15 mg par semaine dans les études US 301 (moyenne = 10,6 mg) et MN 302 (moyenne = 11,1 mg). De l acide folique a été administré conjointement au MTX à 2 mg par jour de manière systématique dans l étude américaine, mais pas dans l étude européenne. La Lettre du Rhumatologue - n mars 2000
3 L ancienneté moyenne de la PR variait, selon les études, de 3,7 à 7,6 ans. Environ 40 % des patients inclus dans les trois études avaient une PR évoluant depuis moins de deux ans. On notait chez 60 à 70 % des patients la présence de facteur rhumatoïde dans le sérum. Un traitement de fond avait généralement déjà été administré, mais près de 40 % des patients n en avaient jamais reçu avant l entrée dans l étude. Dans les études comportant du MTX ou de la sulfasalazine, les patients n avaient jamais reçu l un de ces médicaments auparavant. Efficacité clinique dans les études de phase III Le critère d efficacité clinique principal était le taux de répondeurs selon les critères de l ACR 20 %. Selon ces critères, 51 à 55 % des patients traités par le léflunomide étaient répondeurs (figure 3). Il y avait une différence significative par rapport au placebo (p < 0,01). Il n y avait pas de différence par rapport à la sulfasalazine. Par contre, dans l étude US 301, le léflunomide était légèrement supérieur au MTX alors que, dans l étude MN 302, le MTX était supérieur au léflunomide (p < 0,05). Ces résultats étaient retrouvés pour tous les critères cliniques évalués, c est-à-dire le nombre d articulations douloureuses, le nombre d articulations gonflées, le jugement global d activité de la PR par le médecin et par le patient. On peut noter, à ce propos, que l efficacité du léflunomide est significativement plus rapide que celle des comparateurs (figure 4). Figure 3. taux de répondeurs selon l ACR 20 % pendant la première année d utilisation. Figure 4. taux de répondeurs selon l ACR 20 % pendant la première année d utilisation. La Lettre du Rhumatologue - n mars
4 Les capacités fonctionnelles évaluées par le score HAQ étaient significativement améliorées dans le groupe léflunomide par rapport au placebo (p < 0,001), mais également par rapport au MTX (p < 0,01) dans l étude US 301 (8) et par rapport à la sulfasalazine (p < 0,008) dans l étude MN 301. Il n y avait pas de différence entre le léflunomide et le MTX dans l étude MN 302 (figure 5). On notait une influence sur les paramètres biologiques parallèle à celle observée sur les paramètres cliniques, notamment la vitesse de sédimentation et la protéine C réactive. Effet sur les lésions radiographiques dans les études de phase III Dans les trois études, les clichés radiographiques des patients effectués sur les mains et les pieds ont été lus par Sharp luimême selon la méthode qu il a décrite et modifiée (9). On peut constater (figure 6) que le léflunomide permet de ralentir significativement la progression radiographique sur un an par rapport au placebo (p < 0,01). Il y a également une tendance favorable, mais non significative, par rapport à la sulfasalazine dans l étude MN 301. Dans l étude US 301, le léflu- Figure 5. amélioration de la capacité fonctionnelle (HAQ). Figure 6. ralentissement de la progression radiographique évaluée sur le score de Sharp par rapport au placebo. 20 La Lettre du Rhumatologue - n mars 2000
5 nomide ralentit significativement plus que le MTX la progression radiographique (p < 0,049). Il n y a pas de différence entre les deux produits dans l étude MN 302, bien que la progression sous MTX soit légèrement inférieure à celle sous léflunomide. Tolérance dans les études de phase III Le pourcentage d arrêt pour effet indésirable a été comparable chez les patients traités par léflunomide, sulfasalazine et MTX et légèrement supérieur à celui observé sous placebo. Les effets indésirables principaux sous léflunomide ont été les effets gastro-intestinaux à type de diarrhée, retrouvés dans 26,7 % des cas versus 11,9 % des cas dans les études contre placebo. Dans la plupart des cas, les diarrhées régressent en dépit de la poursuite du léflunomide, mais, dans 1 à 4 % des cas, elles ont justifié son arrêt. Les nausées sont moins fréquentes que dans le groupe MTX. Une élévation des transaminases hépatiques (SGPO, SGPT) est retrouvée chez les patients traités par léflunomide dans 5,8 à 10,2 % des cas, supérieure à celle relevée dans le groupe placebo (2,4 %) et comparable à celle notée pour les groupes de patients traités par sulfasalazine et par MTX plus acide folique. Elle est toutefois significativement inférieure à celle retrouvée chez les patients traités par MTX seul (figure 7). L hypertransaminasémie régresse spontanément ou dès l arrêt du traitement. De très rares biopsies hépatiques ont été réalisées, et n ont pas montré de lésions de fibrose. Parmi les autres effets secondaires, il faut noter une élévation des rash cutanés (10,8 à 12,4 %), comparable à celle observée avec la sulfasalazine, et une fréquence également accrue des pertes de cheveux. Une tendance à l hypertension artérielle (HTA) a été notée dans les groupes léflunomide, mais les nouveaux cas d HTA n ont pas été plus fréquents que dans les groupes comparateurs. Les infections sont comparables à celles relevées dans le groupe placebo et moins importantes que dans le groupe MTX. À noter qu il n a été constaté aucun effet indésirable hématologique, pulmonaire ou rénal, alors qu il y a eu deux cas d agranulocytose dans le groupe sulfasalazine, un cas de thrombopénie dans le groupe sulfasalazine et un autre dans un groupe MTX. Il y a eu également quatre pneumopathies interstitielles dans les groupes de patients traités par MTX, dont un ayant entraîné le décès du patient. Une fibrose pulmonaire a également été observée sous MTX. Extension des études de phase III Les trois études de phase III ont été prolongées sur une deuxième année (7, 10, 12). En dépit d un certain nombre de patients perdus de vue, l efficacité clinique se confirme à deux ans, avec des résultats en termes de pourcentage de patients répondeurs ACR 20 identiques à ceux des groupes MTX et significativement supérieurs à ceux du groupe sulfasalazine. Le profil de tolérance reste satisfaisant, avec un pourcentage d effets secondaires graves identique à celui relevé dans le groupe placebo. L augmentation de fréquence des épisodes de diarrhée et d alopécie, bien que moins importante qu en début de traitement, est à nouveau signalée. L effet de ralentissement de la progression radiologique se confirme, avec une absence de modification du score de Larsen à 24 mois (11). Figure 7. élévation des transaminases (SGPT). La Lettre du Rhumatologue - n mars
6 COMMERCIALISATION ET RECOMMANDATIONS Commercialisation du léflunomide Le léflunomide (Arava ) a été lancé aux États-Unis en septembre 1998 puis, à partir du printemps 1999, en Suisse et dans plusieurs pays d Amérique centrale et d Amérique du Sud. Depuis novembre 1999, le médicament est également commercialisé en Allemagne, en Autriche, en Grande- Bretagne et dans les pays scandinaves. Arava a obtenu l AMM européenne, dans le cadre d une procédure centralisée, le 2 septembre 1999, dans l indication polyarthrite rhumatoïde active de l adulte, et devrait être commercialisé en France au deuxième semestre 2000, dès que toutes les étapes administratives seront franchies. Utilisation et précautions d emploi du léflunomide Dans le cadre de son AMM, Arava est indiqué dans le traitement de la PR active, quels que soient le degré de sévérité de la maladie, son niveau d activité ou son stade d ancienneté. Il peut donc être utilisé aussi bien en traitement de fond de première intention qu en relais d autres médicaments. Pour le moment, son utilisation n est pas recommandée en association avec d autres traitements de fond de la PR, bien que des études d association avec le MTX paraissent intéressantes (13). Un an après le lancement d Arava aux États-Unis, environ patients atteints de PR ont été traités. Le profil de tolérance a été conforme aux effets secondaires rapportés dans les études de phase III, en dehors de 20 cas de pancytopénie (mais pour 35 cas attendus avec du MTX seul) et de 9 cas de dermatose sévère (dermatose bulleuse le plus souvent). Cependant, ces patients prenaient, en association avec le léflunomide, des médicaments susceptibles d entraîner des complications hématologiques ou cutanées, et notamment du MTX ou des anti-inflammatoires non stéroïdiens. Dans l attente d informations sur un plus grand nombre de patients, l Agence européenne recommande actuellement une surveillance de l hémogramme-plaquettes toutes les deux semaines pendant les six premiers mois, puis toutes les huit semaines ensuite. Il est également recommandé de surveiller les SGPO et les SGPT ainsi que la pression artérielle de manière régulière. Arava est contre-indiqué chez les patients ayant une hypersensibilité au léflunomide, chez les patients ayant une insuffisance médullaire ou une cytopénie sanguine importante, et chez les patients ayant une infection sévère évolutive. Enfin, du fait de son effet tératogène, il est contre-indiqué en cas de grossesse, d allaitement, et chez les femmes en période d activité génitale ne prenant pas de contraception efficace. Du fait de la longue demi-vie du léflunomide, une procédure d élimination (cholestyramine) doit être proposée en cas d effet secondaire important ou en cas de désir de grossesse chez une patiente. 22 CONCLUSION Le léflunomide est un médicament d une nouvelle classe chimique (isoxazole). Son mode d action est original et bien caractérisé. Il favorise un blocage préférentiel des lymphocytes T activés. Du fait d une demi-vie longue, le mode d administration est simple (voie orale, une prise par jour). La posologie proposée est de 100 mg par jour pendant trois jours, puis de 20 mg par jour en une prise. Le léflunomide a une efficacité démontrée dans le traitement de la PR active. Son efficacité est supérieure à celle du placebo pour le taux de réponse selon l ACR 20 % et pour tous les autres paramètres d efficacité clinique. Cette réponse clinique est plus rapide qu avec la sulfasalazine et le MTX. Cependant, on note une efficacité clinique globale comparable à celle de ces deux produits. La capacité fonctionnelle est significativement plus améliorée dans les groupes léflunomide que dans les groupes sulfasalazine et dans un des groupes MTX (étude US 301). Le léflunomide ralentit significativement la progression radiographique à un an par rapport au placebo. Enfin, le profil de tolérance du léflunomide paraît tout à fait favorable chez les patients présentant une PR active (meilleur que celui du MTX). Il n a pas été mis en évidence d effets indésirables graves pouvant mettre en jeu la vie des patients. " R É F É R E N C E S B I B L I O G R A P H I Q U E S 1. Bartlett R.R., Brendel S., Zielinski T., Schorlemmer H.U. Leflunomide, an immunorestoring drug for the therapy of autoimmune disorders, especially rheumatoid arthritis. Transplantation Proceedings 1996 ; 28 : Fox R.I. Mechanism of action of leflunomide in rheumatoid arthritis. J Rheumatol 1998 ; 25 (suppl. 53) : Sany J. Pathologie et immunopathogénie de la polyarthrite rhumatoïde. La Lettre du Rhumatologue 1999 ; Hors série, avril 1999 : Mladenovic V., Domljan Z., Rozman B. et coll. Safety and effectiveness of leflunomide in the treatment of patients with active rheumatoid arthritis. Arthritis Rheum 1995 ; 38 : Smolen J.S., Kalden J.R., Scott D.L. et coll. Efficacy and safety of leflunomide compared with placebo and sulfasalazine in active rheumatoid arthritis: a double-blind, randomised, multicentre trial. Lancet 1999 ; 353 : Strand V., Cohen S., Schiff M. et coll. Treatment of active rheumatoid arthritis with leflunomide compared with placebo and methotrexate. Leflunomide Rheumatoid Arthritis Investigators Group. Arch Intern Med 1999 ; 159 : Emery P., Breedveld F.C., Jubb R.W., Sorensen H. for the European Leflunomide Study Group. Efficacy and safety of leflunomide vs methotrexate in rheumatoid arthritis (RA) : results of a double blind, randomized 2-year trial. Arthritis Rheum 1999 ; 42 (suppl.) : S Strand V., Tugwell P., Bombardier C., Maetzel A., Crawford B., Dorrier C., Thompson A., Wells G. Function and health-related quality of life : results from a randomized controlled trial of leflunomide versus methotrexate or placebo in patients with active rheumatoid arthritis. Leflunomide Rheumatoid Arthritis Investigators Group. Arthritis Rheum 1999 ; 42 : Bluhm G., Sharp J.T., Tilley B.C. et coll. Radiographic results from the minocycline in rheumatoid arthritis (MIRA) trial. J Rheumatol 1997 ; 24 : La Lettre du Rhumatologue - n mars 2000
7 10. Kalden J.R., Schattenkircher M., Smolen J.S., Scott D.L., Loew-Friedrich I., Oed C., Rosenburg R. for the Multinational Leflunomide Study. Leflunomide vs sulfasalazine in rheumatoid arthritis : 24-month update of a randomized, doubleblind study. Arthritis Rheum 1999 ; 42 (suppl.) : S Smolen J.S., Larsen A., Kalden J.R., Scott D.L., Oed C., Rosenburg R., Loew- Friedrich I. for the Multinational Leflunomide Study. Retardation of structural damage with leflunomide in rheumatoid arthritis assessed by Larsen methodology : 2-year results. Arthritis Rheum 1999 ; 42 (suppl.) : S Cohen S., Weaver A., Schiff M., Strand V. for the Leflunomide Study Group. Two-year treatment of active rheumatoid arthritis (RA) with leflunomide (LEF) compared with placebo (PL) or methotrexate (MTX). Arthritis Rheum 1999 ; 42 (suppl.) : S Weinblatt M.E., Kremer J.M., Coblyn J.S., Maier A.L., Helfgott S.M., Morrell M., Byrne V.M., Kaymakcian M.V., Strand V. Pharmacokinetics, safety and efficacy of combination treatment with methotrexate and leflunomide in patients with active rheumatoid arthritis. Arthritis Rheum 1999 ; 42 : AUTOQUESTIONNAIRE FMC 1. Parmi les effets secondaires connus du léflunomide, on peut citer : a. élévation des transaminases b. protéinurie c. alopécie d. leuconeutropénie e. infections pulmonaires f. diarrhée 2. Chez une femme en période d activité génitale : a. le léflunomide est contre-indiqué b. le léflunomide expose au risque tératogène en cas de grossesse c. le léflunomide peut être prescrit si la femme a une contraception efficace d. une grossesse peut être autorisée dès l arrêt du léflunomide e. une grossesse peut être autorisée trois mois après l arrêt du léflunomide sans autre mesure f. une grossesse ne peut être autorisée qu après une procédure d élimination accélérée par cholestyramine 3. Dans les études de phase III, le léflunomide a montré : a. une efficacité clinique comparable à celle du MTX b. une réponse clinique plus lente que celle du MTX c. un effet sur la progression radiographique supérieur à celui du placebo d. une amélioration de la capacité fonctionnelle à un an supérieure à celle observée avec la sulfasalazine e. un profil de tolérance favorable par rapport à ceux du MTX et de la sulfasalazine RÉPONSES FMC 1. a, c, f ; 2. b, c, f ; 3. a, c, d, e. Le prochain numéro sera consacré aux spondylarthropathies Coordination : D. Wendling La Lettre du Rhumatologue - n mars
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 10 mai 2006
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 10 mai 2006 METOJECT 10 mg/ml, solution injectable en seringue pré-remplie 1 seringue pré-remplie en verre de 0,75 ml avec aiguille : 371 754-3 1 seringue pré- remplie
Plus en détailTraitement de l hépatite C: données récentes
Traitement de l hépatite C: données récentes J.-P. BRONOWICKI (Vandœuvre-lès-Nancy) Tirés à part : Jean-Pierre Bronowicki Service d Hépatogastroentérologie, CHU de Nancy, 54500 Vandœuvre-lès-Nancy. Le
Plus en détailLES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS
LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines
Plus en détailAvis 29 mai 2013. XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA.
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 29 mai 2013 XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA DCI Code ATC (2012) Motif de l examen Liste
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 18 novembre 2009
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 18 novembre 2009 LEDERTREXATE 5 mg, solution injectable B/1 ampoule de 2 ml (Code CIP : 315 012-5) LEDERTREXATE 25 mg, solution injectable B/1 ampoule de 1 ml (Code CIP
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailINTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper
INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012
ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux (NAC)
Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC) Dr Jean-Marie Vailloud Cardiologue libéral/ salarié (CHU/clinique) Pas de lien d'intérêt avec une entreprise pharmaceutique Adhérent à l'association Mieux Prescrire
Plus en détailNAVELBINE voie orale
DENOMINATION DU MEDICAMENT & FORME PHARMACEUTIQUE NAVELBINE voie orale CARACTERISTIQUES Dénomination commune : vinorelbine Composition qualitative et quantitative : Statut : A.M.M. A.T.U. Classe ATC :
Plus en détailTRAITEMENT DE LA POLYARTHRITE RHUMATOIDE
TRAITEMENT DE LA POLYARTHRITE RHUMATOIDE RÉVOLUTION DES PRINCIPES DE TRAITEMENT Mise à disposition de nouvelles molécules Traitements de fond classiques ( Méthotrexate, Salazopyrine ) : plus efficaces
Plus en détailLe RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire
Le RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire Dr Florence Parent Service de Pneumologie et Soins Intensifs de Pneumologie Hôpital Bicêtre, AP-HP Inserm U999. Université Paris-Sud Traitement anticoagulant
Plus en détailLe dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence
Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence On pose fréquemment le diagnostic de migraine sévère à l urgence. Bien que ce soit un diagnostic commun,
Plus en détailY a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin
Y a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin Objectifs thérapeutiques Inhibition de la réplication virale Négativation
Plus en détailRapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa
Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa Au titre de son initiative de transparence, le CEPMB publie les résultats des examens des prix des nouveaux médicaments brevetés effectués par les membres
Plus en détailPharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux
Pharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux Apixaban, Dabigatran, Rivaroxaban Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046 et CIC 9301 INSERM-CHRU, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailALK et cancers broncho-pulmonaires. Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse
ALK et cancers broncho-pulmonaires Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse Toulouse, le 19 Février 2013 Adénocarcinomes : Lung Cancer Mutation Consortium Identification
Plus en détailPROGRAF MC Toutes indications
PROGRAF MC Toutes indications AVRIL 2015 Marque de commerce : Prograf Dénomination commune : Tacrolimus Fabricant : Astellas Forme : Capsule Teneurs : 0,5 mg, 1 mg et 5 mg Exemption de l application de
Plus en détailPoint d information Avril 2012. Les nouveaux anticoagulants oraux (dabigatran et rivaroxaban) dans la fibrillation auriculaire : ce qu il faut savoir
Point d information Avril 2012 Les nouveaux anticoagulants oraux (dabigatran et rivaroxaban) dans la fibrillation auriculaire : ce qu il faut savoir Le dabigatran (PRADAXA), inhibiteur direct de la thrombine,
Plus en détailet l utilisation des traitements biologiques
et l utilisation des traitements biologiques Choisir le meilleur traitement pour retrouver la qualité de vie que vous êtes en droit d avoir Les agents biologiques (biothérapies) Étant les plus récents
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 1 er octobre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 1 er octobre 2008 Examen dans le cadre de la réévaluation du service médical rendu de la classe des IMAO B, en application de l article R 163-21 du code de la sécurité
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 2 avril 2014 DERMOVAL, gel flacon de 20 ml (CIP : 34009 326 130 4 5) DERMOVAL 0,05 POUR CENT, crème tube de 10 g (CIP : 34009 320 432 9 3) Laboratoire GLAXOSMITHKLINE
Plus en détail1 - Que faut-il retenir sur les anticoagulants oraux?
La nouvelle convention pharmaceutique offre l opportunité aux pharmaciens d accompagner les patients traités par anticoagulants oraux au long cours afin de prévenir les risques iatrogéniques. Les anticoagulants
Plus en détailSociété Algérienne de Dermatologie Pédiatrique 12èmes Journées Nationales Alger, 3-4 mars 2011. Symposium PFIZER
Société Algérienne de Dermatologie Pédiatrique 12èmes Journées Nationales Alger, 3-4 mars 2011 Symposium PFIZER Psoriasis de l enfant et traitement biologique B. Bouadjar, Alger Traitement du psoriasis
Plus en détailRevue de la littérature
Résultats à long terme des anévrysmes traités Revue de la littérature Cours de DES de neurochirurgie Inter-région Rhône-Alpes / Auvergne Vendredi 22/04/11 Méthode (1): sélection bibliographique en fonction
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)
Plus en détailI Identification du bénéficiaire (nom, prénom, N d affiliation à l O.A.) : II Eléments à attester par un médecin spécialiste en rhumatologie :
ANNEXE A : Formulaire de première demande Formulaire de première demande de remboursement de la spécialité HUMIRA pour une spondylarthrite axiale sévère sans signes radiographiques de spondylarthrite ankylosante
Plus en détailNouvelle option thérapeutique pour les enfants présentant cette forme rare et sévère d arthrite
Communiqué de presse Bâle, 18 avril 2011 La FDA homologue Actemra dans le traitement de l arthrite juvénile idiopathique systémique (AJIS) Nouvelle option thérapeutique pour les enfants présentant cette
Plus en détailELABORATION DU PLAN DE MONITORING ADAPTE POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE A PROMOTION INSTITUTIONNELLE
Référence HCL : Titre de l étude : ELABORATION DU PLAN DE MONITORING ADAPTE POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE A PROMOTION INSTITUTIONNELLE Investigateur Coordonnateur : Méthode. Définition du niveau de risque
Plus en détailGASTRO-ENTEROLOGIE. Variabilité. A des entrées. B des sites anatomiques. C inter-individuelle. D intra-individuelle
GASTRO-ENTEROLOGIE Variabilité A des entrées B des sites anatomiques 2 l externe + 2 l interne 15 litres sécrétion-absorption entrée 2 l duodénum 4 l grêle 3 l côlon 0,3 l anus 0,3 l œsophage 10" estomac
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 23 mai 2012
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 23 mai 2012 SEGLOR 5 mg, gélule B/30 (CIP: 321 899-8) SEGLOR LYOC 5 mg, lyophilisat oral B/30 (CIP: 334 062-4) Laboratoire UCB PHARMA dihydroergotamine (mésilate de)
Plus en détailTRAITEMENT DE L HÉPATITE B
TRAITEMENT DE L HÉPATITE B P Mathurin Service d Hépatogastroentérologie Pr Paris Hôpital Claude Hurriez CHRU Lille CRITERES VIROLOGIQUES ET HISTOIRE NATURELLE 1 OBJECTIF THERAPEUTIQUE: Séroconversion HBe
Plus en détailFiche Produit Profils Médicalisés PHMEV
Guide méthodologique développé par l équipe de projets ci-dessous : Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV EQUIPE PROJET Chef de projet : Maryline CHARRA, Pharmacien Conseil Responsable de la mission
Plus en détailÉquivalence et Non-infériorité
Équivalence et Non-infériorité Éléments d Introduction Lionel RIOU FRANÇA INSERM U669 Mars 2009 Essais cliniques de supériorité Exemple d Introduction Données tirées de Brinkhaus B et al. Arch Intern Med.
Plus en détailQuoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?
Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,
Plus en détailCharges virales basses sous traitement: définition impact virologique. Laurence Bocket Virologie CHRU de Lille
XVIIe Journée Régionale de Pathologie Infectieuse 12 octobre 2010 Charges virales basses sous traitement: définition impact virologique Laurence Bocket Virologie CHRU de Lille conflits d intérêts subventions,
Plus en détailCommuniqué de presse. Direction Communication Externe/Interne Sylvie Nectoux TEL : 01 44 34 65 73 Email : sylvie.nectoux@boehringeringelheim.
Les données des études pivots de phase III STARTVerso démontrent l'efficacité du faldaprevir * dans des populations de patients difficiles à guérir telles que celles co-infectées par le VIH et celles avec
Plus en détailLES ANTI-TNF DANS LES MALADIES AUTO-IMMUNES ET LES VASCULARITES
LES ANTI-TNF DANS LES MALADIES AUTO-IMMUNES ET LES VASCULARITES par X. MARIETTE* Les inhibiteurs du TNFα représentent une révolution thérapeutique en rhumatologie dans le traitement de la polyarthrite
Plus en détailNouveaux Anti-thrombotiques. Prof. Emmanuel OGER Pharmacovigilance Pharmaco-épidémiologie Faculté de Médecine Université de Rennes 1
Nouveaux Anti-thrombotiques Prof. Emmanuel OGER Pharmacovigilance Pharmaco-épidémiologie Faculté de Médecine Université de Rennes 1 Classification Antithrombines directes o Ximélagatran EXANTA o Désirudine
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailHépatite C une maladie silencieuse..
Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailAprès la prévention veineuse
Les nouveaux anticoagulants oraux s attaquent à l embolie pulmonaire Résumé : Les nouveaux anticoagulants oraux vont transformer la prise en charge de la maladie thromboembolique veineuse, que ce soit
Plus en détailDr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges. Membre enseignant chercheur EA 4021
Dr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges Membre enseignant chercheur EA 4021 Rhumatisme inflammatoire chronique Prévalence des SA ies en Europe = 1 à 2% Age moy : 26 ans, ratio homme/femme:
Plus en détailLa prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde Vivre avec une polyarthrite rhumatoïde Décembre 2008 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant
Plus en détailAnalyse pharmaco-économique des anti-tnf alpha dans le traitement de la Polyarthrite Rhumatoïde en France.
Synthèse Bibliographique en Biologie et Biotechnologie Janvier 2012 Analyse pharmaco-économique des anti-tnf alpha dans le traitement de la Polyarthrite Rhumatoïde en France. Problématique : Jusqu où la
Plus en détailVaccinations pour les professionnels : actualités
Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???
Plus en détailActualisation de la prescription en biologie rhumatologie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux
Plus en détailEssais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009
17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N
Plus en détailDr Ottaviani Service de Rhumatologie Hôpital Bichat Staff du 23 Mai 2014
Obésité et rhumatismes inflammatoires Dr Ottaviani Service de Rhumatologie Hôpital Bichat Staff du 23 Mai 2014 Obésité 1 Obesity Trends* Among U.S. Adults BRFSS, 1985 (*BMI 30, or ~ 30 lbs overweight for
Plus en détailQuelle est l incidence
Printemps 2012 Quelle est l incidence de ce médicament en voie de commercialisation sur mon régime d assurance-? Quelle est l incidence de ce médicament en voie de commercialisation sur mon régime d assurance?
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailLa maladie de Still de l adulte
La maladie de Still de l adulte Syndrome de Wissler-Fanconi La maladie Le diagnostic Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur Cette fiche est destinée
Plus en détailTraitement des hépatites virales B et C
Traitement des hépatites virales B et C GFMER Yaoundé 26 Novembre 2007 Dr José M Bengoa foie cirrhotique foie normal Vitesse de développement de la fibrose fibrose VHD VHB VHC années Indications au traitement
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants en 2012
Les nouveaux anticoagulants en 2012 Actualités thérapeutiques 1 er décembre 2012 Dr Jérôme CONNAULT Service de Médecine Interne Hôtel-Dieu CHU de Nantes jerome.connault@chu-nantes.fr Pourquoi de nouveaux
Plus en détailANNEXE I RESUME DES CARACTERISTIQUES DU PRODUIT
ANNEXE I RESUME DES CARACTERISTIQUES DU PRODUIT 1. DENOMINATION DU MEDICAMENT Simponi 50 mg, solution injectable en stylo prérempli. 2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE Un stylo prérempli de 0,5
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailHiver 2013. Paysages changeants, produits en voie de commercialisation et conséquences pour les promoteurs de régimes
Hiver 2013 Paysages changeants, produits en voie de commercialisation et conséquences pour les promoteurs de régimes Paysages changeants, produits en voie de commercialisation et conséquences pour les
Plus en détailUne forte dynamique des prescriptions de ces nouveaux anti-coagulants oraux
27 novembre 2013 Nouveaux anti-coagulants oraux : une étude de l Assurance Maladie souligne la dynamique forte de ces nouveaux médicaments et la nécessité d une vigilance accrue dans leur utilisation Les
Plus en détailS. Hercberg, Key-words: Antioxidants, Vitamins, Minerals, Randomized trial, Supplementation.
2006. Elsevier Masson SAS. Tous droits réservés Ann Pharm Fr 2006, 64 : 397-401 Stress oxydant L étude SU.VI.MAX, un essai contrôlé randomisé, en double aveugle, testant l effet de la supplémentation en
Plus en détailNouveaux anticoagulants oraux : gestion des accidents hémorragiques
Nouveaux anticoagulants oraux : gestion des accidents hémorragiques PY Cordier Service de Réanimation HIA Laveran - Marseille Février 2014 Introduction Anticoagulants oraux : historique Antivitamines K
Plus en détailLe syndrome SAPHO Ostéomyélite multifocale chronique récidivante Spondylarthrite hyperostosante pustulo-psoriasique
Ostéomyélite multifocale chronique récidivante Spondylarthrite hyperostosante pustulo-psoriasique La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre
Plus en détailL INSUFFISANCE CARDIAQUE
L INSUFFISANCE CARDIAQUE EXISTE-T-IL DES TRAITEMENTS À BASE DE CELLULES SOUCHES POUR L INSUFFISANCE CARDIAQUE? Bien qu aucun traitement à base de cellules souches pour l insuffisance cardiaque n ait encore
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailQue représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil
Que représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil Liens d intérêt Intérêts financiers : aucun Liens durables ou permanents : aucun Interventions
Plus en détailCommuniqué. Abbott présente à Santé Canada une demande d homologation d HUMIRA pour le traitement du psoriasis POUR PUBLICATION IMMÉDIATE
POUR PUBLICATION IMMÉDIATE Communiqué Abbott présente à Santé Canada une demande d homologation d HUMIRA pour le traitement du psoriasis Media: Sylvie Légaré (514) 832-7268 Abbott Gabrielle Collu 514)
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailINDUCTION DES LYMPHOCYTES T- RÉGULATEURS PAR IL2 A TRÈS FAIBLE DOSE DANS LES PATHOLOGIES AUTO- IMMUNES ET INFLAMMATOIRES APPROCHE TRANSNOSOGRAPHIQUE
INDUCTION DES LYMPHOCYTES T- RÉGULATEURS PAR IL2 A TRÈS FAIBLE DOSE DANS LES PATHOLOGIES AUTO- IMMUNES ET INFLAMMATOIRES APPROCHE TRANSNOSOGRAPHIQUE Etude clinique N NCT01988506 Inves9gateur coordinateur
Plus en détailTYNDALL. 13 rue Dubrunfaut 75012 PARIS Tél. : 01 74 05 74 23 >SIREN N 451 386 544 APE N 00014. Bulletin d Informations. et d échanges N 24 MARS 2009
TYNDALL Bulletin d Informations 13 rue Dubrunfaut 75012 PARIS Tél. : 01 74 05 74 23 >SIREN N 451 386 544 APE N 00014 Site internet : www.inflamoeil.org SOMMAIRE 1. L éditorial de la Présidente 2. Des immunosuppresseurs
Plus en détailItem 123. Psoriasis. Insérer les T1. Objectifs pédagogiques
20 Item 123 Psoriasis Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un psoriasis. Argumenter l'attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. COFER Connaître les particularités cliniques,
Plus en détailTraiter la goutte sans être débordé
Fédération des médecins omnipraticiens du Québec Traiter la goutte sans être débordé Hélène Demers et Michel Lapierre Vous voulez traiter et prévenir la goutte? Lisez ce qui suit! Les différentes phases
Plus en détailNouveaux anticoagulants oraux (NOAC)
Nouveaux anticoagulants oraux (NOAC) Mécanisme d action Suivi biologique: comment et quand? A.Demulder IRIS-Lab 15/05/2013 1 Anticoagulants «traditionnels»: HNF Parentéral Suivi biologique avec ajustement
Plus en détailUTILISATION ET PRECAUTION D EMPLOI DES AINS Professeur Philippe BERTIN, Chef de Service de Rhumatologie, CHU Limoges Octobre 2009
UTILISATION ET PRECAUTION D EMPLOI DES AINS Professeur Philippe BERTIN, Chef de Service de Rhumatologie, CHU Limoges Octobre 2009 Objectifs pédagogiques : 1 ) Connaître les mécanismes d action des AINS
Plus en détail. Arthritepsoriasique
Les traitements biologiques dans les rhumatismes inflammatoires Dr Clio RIBBENS Service de Rhumatologie. Centre HospitalierUniversitairede Liège Nouveautés dans l'arthrite : Thérapeutiques anti-nf a..
Plus en détailLivret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation
Livret des nouveaux anticoagulants oraux Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT
Plus en détailLes rhumatismes inflammatoires. Arthrite Rhumatoïde, Arthrite psoriasique, Spondylarthrite ankylosante
Les rhumatismes inflammatoires Arthrite Rhumatoïde, Arthrite psoriasique, Spondylarthrite ankylosante Arthrite Rhumatoïde (RA) Voorstelling van de ziekte Arthrite Rhumatoïde Inflammation chronique des
Plus en détailANDRIANJAFISON Francia
ANDRIANJAFISON Francia PLACE DE LA CORTICOTHERAPIE DANS LA PRISE EN CHARGE DES RHUMATISMES INFLAMMATOIRES CHRONIQUES : REALITES ET PERSPECTIVES A ANTANANARIVO Thèse de Doctorat en Médecine 2 UNIVERSITE
Plus en détail1289($8;75$,7(0(176 '(69$6&8/$5,7(6
1289($8;75$,7(0(176 '(69$6&8/$5,7(6 M De Bandt. La découverte de la présence des ANCA, au cours de certaines formes de vascularites systémiques a il y a une quinzaine d année, a provoqué de nombreux travaux
Plus en détailLes nouveaux traitements de fond de la SEP
Sclérose en plaques : les nouveaux traitements Guillaume MATHEY, Hôpital de Metz-Mercy Les nouveaux traitements de fond de la SEP Le but des traitements de fond Forme par poussées 2 ième ligne TYSABRI
Plus en détailE04a - Héparines de bas poids moléculaire
E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique
Plus en détailPsoriasis et travail dans le BTP. Pr E. Delaporte
Psoriasis et travail dans le BTP Pr E. Delaporte 30 Mai 2013 Janvier 2013 : File active de 335 malades traités (293) ou ayant été traités (42) par immunosupp./ modulateurs (MTX CyA biomédicaments) 214
Plus en détailCas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier
Cas clinique 2 Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique Patient de 60 ans, ATCD: HTA, IDM en 2007, hypercholestérolémie Juin 2008: Toux, dyspnée (sous 02) et anorexie progressive Bilan
Plus en détailOUTIL D'EVALUATION DU TEMPS ARC / CHEF DE PROJET PROMOTEUR REQUIS POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE V 2.3 DE L OUTIL NOTICE D UTILISATION
OUTIL D'EVALUATION DU TEMPS ARC / CHEF DE PROJET PROMOTEUR REQUIS POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE V 2.3 DE L OUTIL NOTICE D UTILISATION i) Contexte :... - 2 - ii) But de l outil :... - 2 - iii) Fonctionnement
Plus en détailLA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD
LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD Service de Pneumologie Hôpital Beauregard - THIONVILLE 1 Bilan initial Objectifs Bilan de base Traitement pharmacologique Autres traitements pharmacologiques Autres
Plus en détailPlace du médecin généraliste dans la gestion du traitement de l hépatite C C. Buffet*
Entretiens de Bichat 26 sept. 2013 Salle 352 A 17 h 30 18 h 30 Place du médecin généraliste dans la gestion du traitement de l hépatite C C. Buffet* * Hépatologue, Université Paris XI, Centre de compétence
Plus en détailLe Comité Scientifique a traité les questions suivantes : «Association reconnue d utilité publique» - 1 -
- 1 - Prise de position de l'association Française pour l'etude du Foie (AFEF) sur les trithérapies (Peg-IFN + ribavirine + inhibiteur de protéase) dans la prise en charge des malades atteints d'hépatite
Plus en détailÉpidémiologie des maladies interstitielles diffuses
Épidémiologie des maladies interstitielles diffuses 3 à 5/100 000 habitants Augmente avec l age 175 /100 000 >70 ans Notre file active toutes les maladies interstitielles confondues plus de 120 patients
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants ont ils une place aux Urgences?
Les nouveaux anticoagulants ont ils une place aux Urgences? Emmanuel Andrès Service de Médecine Interne Diabète et Maladies métabolique Clinique Médicale B - CHRU de Strasbourg Remerciements au Professeur
Plus en détailLe VIH et votre foie
Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Que dois-je savoir au sujet de mon foie? Votre foie joue un rôle incroyablement important. Il filtre votre sang en éliminant les substances nocives (toxiques)
Plus en détailPlacebo Effet Placebo. Pr Claire Le Jeunne Hôtel Dieu- Médecine Interne et Thérapeutique Faculté de Médecine Paris Descartes
Placebo Effet Placebo Pr Claire Le Jeunne Hôtel Dieu- Médecine Interne et Thérapeutique Faculté de Médecine Paris Descartes Plan Définitions Placebo dans les essais thérapeutiques Effet placebo Médicaments
Plus en détailRELPAX. hydrobromure d élétriptan
RELPAX hydrobromure d élétriptan * Pharmacocinétique * Toxicologie * Formulation galénique * Essais cliniques * Conclusion * Pharmacocinétique * Toxicologie * Formulation galénique * Essais cliniques *
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailSYNTHÈSE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES. Spondylarthrites. Décembre 2008
SYNTHÈSE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Spondylarthrites Décembre 2008 OBJECTIFS - Mieux identifier les patients atteints de spondylarthrite afin de raccourcir le délai entre l apparition des symptômes
Plus en détailVue d ensemble : Office of Cellular, Tissue and Gene Therapies
Vue d ensemble : Office of Cellular, Tissue and Gene Therapies DIAPOSITIVE 1 Cette présentation fournit une vue d ensemble de l Office of Cellular, Tissue, and Gene Therapies (bureau des thérapies cellulaires,
Plus en détailVirus de l hépatite B
Virus de l hépatite B Virus de l hépatite B Hépatite aiguë B Virus de l hépatite B Hépatite aiguë B Persistance de l antigène HBs 10% - 90% Virus de l hépatite B Hépatite aiguë B faible ou absente Persistance
Plus en détailLe traitement pharmacologique du diabète de type 2 : que devez-vous savoir?
Le traitement pharmacologique du diabète de type 2 : que devez-vous savoir? Le diabète de type 2 est une maladie chronique et progressive dont l incidence va en augmentant. Il n existe pas de traitement
Plus en détail