Modernisation, développement d applications et DB2 sous IBM i Technologies, outils et nouveautés 2011/2012

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1 IBM Power Systems - IBM i IBM Rational Modernisation, développement d applications et DB2 sous IBM i Technologies, outils et nouveautés 2011/2012 S13 RPG IV - Les 10 choses qu'un développeur RPG doit connaître - Trucs et astuces Vendredi 6 avril h00-12h30 Philippe Bourgeois IBM France - pbourgeois@fr.ibm.com

2 Objectifs de la présentation Les 10 choses qu'un développeur RPG doit connaître Présenter les techniques de développement modernes ainsi que les meilleures pratiques pour développer des applications RPG aujourd hui Trucs et astuces RPG IV Compilation conditionnelle, structures de données qualifiées, tri de tableaux, OVERLAY d une DS 2

3 Les 10 choses qu'un développeur RPG doit connaître 1. Faites du vrai RPG IV Pas juste du RPG/400 reformatté 2. Utilisez des sous-procédures, en interne, comme en externe 3. Utilisez des prototypes pour tous les appels 4. Faites en sorte que votre logique RPG soit appelable de n importe où 5. Exploitez la puissance du SQL embarqué 6. Utilisez un environnement de développement moderne 7. Laissez DB2 travailler pour vous 8. Utilisez XML pour l échange de données 9. Connaissez les possibilités d interaction RPG / Web 10. Documentez-vous - Formez-vous 3

4 1. Faites du vrai RPG IV Pas juste du RPG/400 reformatté Rappels - Pourquoi développer en RPG IV? Pour gagner en simplicité, lisibilité, rapidité, productivité, maintenabilité Parce qu il est plus facile, pour un jeune, de développer en RPG IV, en format libre et sous RDp qu en RPG/400 en mode colonné, sous SEU Parce que certaines fonctionnalités de l IBM i ou des outils de développement ne sont disponibles ou intéressantes que pour des programmes dont le source est de type RPGLE (xxxle) Parce que le RPG/400 a été annoncé en mars 2008 comme stabilisé (n évoluera plus). Seul le RPG IV évolue et continuera d évoluer Rappel : la commande CVTRPGSRC permet de convertir des sources RPG/400 en RPG IV (RPG RPGLE) Mais ce n est pas un outil de reengeenering du code 4

5 1. Faites du vrai RPG IV Pas juste du RPG/400 reformatté Rappels - Le RPG IV versus le RPG/400-1/2 Spécifications D pour déclarer les zones, DS, tableaux Support des noms longs et des minuscules / majuscules Nouveaux types de données Support de la valeur indéfinie et des zones de longueur variable Possibilité de définir des modèles Extension des limites Lignes à blanc Mots-clés Nouveaux codes opération Expressions Format libre (y compris en SQL) Fonctions intégrées Support des zones de type date, heure et horodate Support des pointeurs 5

6 1. Faites du vrai RPG IV Pas juste du RPG/400 reformatté Rappels - Le RPG IV versus le RPG/400 2/2 Options de compilation et compilation conditionnelle Environnement ILE - Procédures Structures de données qualifiées Interopérabilité avec Java Contrôle à la compilation et à l exécution des fichiers à ouvrir Génération PCML Sources dans l IFS Support XML en lecture Tri des DS Nouvelle gestion des erreurs Support du multi-threading Fichiers locauxs et fichiers en paramètre Lecture des Result Sets 6

7 1. Faites du vrai RPG IV Pas juste du RPG/400 reformatté Rappels Extension des limites Description RPG/400 RPG IV Nom de zone, tableau, DS Nom de fichier, format 8 10 Longueur d une zone alphanumérique Longueur d une zone numérique 30 30/31/63 Nombre de positions décimales 9 30/31/63 Longueur d une constante Nombre de fichiers 50 *nomax Nombre de tableaux 200 *nomax Nombre de sous-routines 256 *nomax Nombre de postes d un tableau (*) Nombre de DS (*) (*) La taille totale ne doit pas dépasser octets 7

8 1. Faites du vrai RPG IV Pas juste du RPG/400 reformatté Pour améliorer la lisibilité Du code plus lisible est plus facile à maintenir Du code plus lisible est plus facile à découvrir Lisibilité en RPG IV Mixez minuscules et majuscules Utilisez des noms longs, de 10 à 14 caractères (et plus si vous le désirez) Aérez votre source : ajoutez des lignes blanches Toutes les définitions de variables internes devraient se faire en spécifications D Utilisez la notation de longueur et non de position dans les DS Utilisez les expressions dans les calculs Codez en format libre (indentation ) 8

9 1. Faites du vrai RPG IV Pas juste du RPG/400 reformatté Améliorer la lisibilité des spécifications D 9

10 1. Faites du vrai RPG IV Pas juste du RPG/400 reformatté Améliorer la lisibilité des spécifications C 10

11 1. Faites du vrai RPG IV Pas juste du RPG/400 reformatté Améliorer la lisibilité des spécifications C 11

12 1. Faites du vrai RPG IV Pas juste du RPG/400 reformatté Supprimez les indicateurs! Ou au moins les indicateurs numérotés Utilisez des fonctions intégrées dans vos tests d E/S %EOF, %FOUND, %EQUAL, %LOOKUP, %ERROR Utilisez des indicateurs nommés (type de données : N) dans le reste de source Ces indicateurs peuvent être mappés pour remplacer les indicateurs utilisés dans les DDS En utilisant le mot-clé INDDS sur les spécifications F des fichiers écran (le mot-clé INDARA doit être indiqué au niveau du fichier écran) Attention, dans ce cas les indicateurs classiques (*INxx) ne peuvent plus être utilisés Une autre solution consiste à utiliser des constantes nommées comme alternative aux numéros d indicateur 12

13 1. Faites du vrai RPG IV Pas juste du RPG/400 reformatté Les indicateurs *INxx ne peuvent plus être utilisés 13

14 1. Faites du vrai RPG IV Pas juste du RPG/400 reformatté Les indicateurs *INxx peuvent toujours être utilisés 14

15 1. Faites du vrai RPG IV Pas juste du RPG/400 reformatté Utilisez les fonctions intégrées Pour expressions alphanumériques %TRIM, %TRIML, %TRIMR - %CHECK, %CHECKR, %XLATE %SCAN, %REPLACE, %SCANRPL, %SUBST %DATE, %TIME, %TIMESTAMP %DEC, %DECH, %INT, %INTH, %UNS, %UNSH, %FLOAT Pour expressions numériques %DEC, %DECH, %INT, %INTH, %UNS, %UNSH, %FLOAT %DIV, %ABS, %REM - %EDITC, %EDITW, %EDITFLT, etc. Pour expressions date, heure, horodate %DIFF, %SUBDT, %CHAR, %DEC %YEARS, %MONTHS, %DAYS, %HOURS, %MINUTES Pour remplacer les indicateurs %EOF, %EQUAL, %ERROR, %FOUND, %OPEN, %STATUS Pour expressions diverses %LEN, %SIZE, %ELEM, %XFOOT, %NULLIND, %LOOKUPxx, %SUBARR, %OCCUR, %FIELDS, %KDS, %PARMNUM, %OPEN, %XML, %HANDLER 15

16 2. Utilisez des sous-procédures, en interne, comme en externe Qu est-ce qu une sous-procédure? Un pont entre une sous-routine et un programme Comme une sous-routine Elle peut être codée dans le programme où elle est appelée Elle se place en fin des spécifications C Elle accède aux fichiers et variables du programme Elle est compilée avec le programme qui l appelle Elle s exécute avec des performances similaires Comme un programme Elle peut contenir ses propres fichiers et variables (spécifications F et D) Elle accepte des paramètres Elle peut être compilée séparément de l appelant pour des facilités de réutilisation Sous-procédure externe. Pas du duplication de code, ni au niveau source, ni au niveau objet 16

17 2. Utilisez des sous-procédures, en interne, comme en externe Les plus des sous-procédures Définition de variables locales et de fichiers locaux Possibilité de définir une variable de retour Analogie avec les méthodes Java ou les fonctions C, PHP, etc. : on peut se créer ses propres fonctions (comme les fonctions intégrées du RPGIV (BIF Build-In-Function) : If %eof(fic1) If ClientValide(numcli) Possibilité de passer des expressions en paramètre Passage de paramètres par référence, par valeur ou en lecture seule Passage optionnel de paramètres Possibilité d appeler un programme externe Possibilité de faire référence à une procédure externe (procédure C par exemple) Possibilité d appel récursif 17

18 2. Utilisez des sous-procédures, en interne, comme en externe Exemple de programme avec une sous-routine 18

19 2. Utilisez des sous-procédures, en interne, comme en externe Le même exemple avec une sous-procédure externe - 1/3 Le source contenant le prototype de la sous-procédure Sera inclus dans le source qui contient le code de la sous-procédure et dans le code qui appelle la sous-procédure La procédure renvoie un numérique de 1,0 Une date est passée en paramètre 19

20 2. Utilisez des sous-procédures, en interne, comme en externe Le même exemple avec une sous-procédure 2/3 Source contenant la sous-procédure Variables locales Renvoi du numéro du jour Réception du paramètre Ensuite : - compilation pour obtenir un module (CRTRPGMOD) - création d un programme de service contenant le module (CRTSRVPGM) - Création d un répertoire de liage contenant le programme de service (CRTBNDDIR) 20

21 2. Utilisez des sous-procédures, en interne, comme en externe Le même exemple avec une sous-procédure - 3/3 Le source du programme principal On fait référence au répertoire de liage par le mot-clé BNDDIR en spécification H On compile le code ci-dessous par un CRTBNDRPG Appel de la sous-procédure comme une fonction 21

22 2. Utilisez des sous-procédures, en interne, comme en externe Pour en savoir plus Se reporter à la session S5 - RPG IV Des sous-routines aux sous-procédures 22

23 3. Utilisez des prototypes pour tous les appels Les prototypes permettent d utiliser le code opération CALLP (CALL Prototypé) pour exécuter : Une sous-procédure Une procédure liée À la place de CALLB, en utillisant le mot-clé EXTPROC Un programme externe A la place de CALL, en utilisant le mot-clé EXTPGM En format libre CALLP est optionnel, on peut directement utiliser le nom de la procédure En utilisant le mot-clé CONST au niveau d un paramètre passé : Le paramètre pourra ne pas être une variable : ce pourra être par exemple une constante, une fonction intégrée, une expression Les valeurs passées n auront pas forcément les même type et longueur que celles attendues au niveau du prototype (packé/étendu, formats de date différents ) En utilisant le mot-clé CONST au niveau d un paramètre reçu : La valeur du paramètre ne peut pas être modifiée (lecture seule) 23

24 3. Utilisez des prototypes pour tous les appels Utilisation d un prototype pour appeler un programme externe Nom du programme à appeler Appel du programme par CALLP En format libre, CALLP est optionnel, on pourrait juste indiquer : pr_pgm2(z1:z2); 24

25 3. Utilisez des prototypes pour tous les appels Utilisation d un prototype dans le programme appelé Les *ENTRY PLIST et PARM sont remplacés par une interface de procédure (pi) 25

26 3. Utilisez des prototypes pour tous les appels Utilisation du mot-clé CONST Les valeurs passées n ont pas forcément les mêmes type et longueur que ceux définis dans le prototype On peut passer des expressions en paramètre Ici en 7.1 (sinon il faut déclarer le prototype) OU 26

27 4. Faites en sorte que votre logique RPG soit appelable de n importe où a. Restructurer Séparer la logique métier de l interface utilisateur Développement MVC (Modèle Vue Contrôleur) Indépendance back-office / front-office La même logique doit pouvoir être appelée de plusieurs interfaces b. Modulariser Réutilisation du code pour éviter la duplication et les tests Réduction de la complexité (lisibilité - Création et appel de fonctions, composants plus petits) Faciliter la maintenance (distribution des tâches) Créer des fonctions métier, des fonctions d accès aux données, assurer l unicité des fonctions créer des services 27

28 4. Faites en sorte que votre logique RPG soit appelable de n importe où Vous avez restructuré les programmes existants afin d isoler les fonctions métier dans des programmes ou des procédures RPG / COBOL Vous avez développé des nouvelles fonctions dans des programmes ou des procédures RPG / COBOL Comment les exposer afin qu ils(qu elles) puissent être appelé(e)s par d autres applications externes au System i (Java, PHP, VB,.NET, SQL ou autre)? Plusieurs solutions dont SQL : les procédures stockées et les fonctions utilisateur Les Services Web 28

29 4. Faites en sorte que votre logique RPG soit appelable de n importe où Procédures stockées externes Fonctions externes 29

30 4. Faites en sorte que votre logique RPG soit appelable de n importe où Services Web 30

31 4. Faites en sorte que votre logique RPG soit appelable de n importe où Pour en savoir plus Session S23 Des Services Web dans vos programmes RPG/COBOL Vendredi 6 avril 15h30 31

32 4. Faites en sorte que votre logique RPG soit appelable de n importe où Pour en savoir plus Evénement «Modernisation et développpement d applications IBM i» des 16 et 17 mai

33 5. Exploitez la puissance du SQL embarqué Pourquoi du SQL dans les programmes RPG / COBOL? Traitement de masse (manipulation de plusieurs enregistrements en une seule instruction) Gestion plus souple des sélections dynamiques Exploitation des fonctions SQL (fonctions scalaires, fonctions de colonne, groupage, sous-requêtes ) Evite de multiplier les vues Permet de réduire le lien programme fichier C est le langage «universel» d accès aux bases de données Qu est-ce qui peut être embarqué? Des instructions de manipulation des données (DML) SELECT, INSERT, UPDATE, DELETE Mais également des intructions de définition des structures CREATE TABLE Et puis des instructions de programmation propres à SQL DECLARE CURSOR, OPEN, CLOSE, FETCH 33

34 5. Exploitez la puissance du SQL embarqué SQL sans curseur, traitement de masse SQL avec curseur, traitement ligne à ligne 34

35 5. Exploitez la puissance du SQL embarqué Pour tester les instructions SQL : Fonction «Exécution de scripts SQL» de System i Navigator Testeur de code SQL de RDp 35

36 5. Exploitez la puissance du SQL embarqué Pour en savoir plus Se reporter à la session S3 - DB2/SQL Un tour d horizon des possibilités actuelles 36

37 5. Exploitez la puissance du SQL embarqué Pour en savoir plus Evénement «Modernisation et développpement d applications IBM i» des 16 et 17 mai

38 6. Utilisez un environnement de développement moderne C est-à-dire RDp : dans le monde IBM i c est le nom raccourci du produit IBM Rational Developer for Power Systems RPG and COBOL Development Tools for i C est le successeur Des ADTS Application Development Tool Set : SEU, PDM, SDA, RLU, ISDB De CODE/400 COoperative Development Environment for AS/400 De WDSC WebSphere Development Studio Client De RDi Rational Developer for IBM i C est un produit basé sur Eclipse Rappel : les ADTS n évoluent plus (les nouveautés IBM i 7.1 ne sont pas supportées dans SEU) 38

39 6. Utilisez un environnement de développement moderne Pourquoi utiliser RDp? Pour la productivité Par exemple, l éditeur de source : Au moins 2 fois plus de lignes à l écran Sources en couleur Commentaires différenciés Ouverture simultanée de plusieurs sources Vues multiples d un même source en édition Annuler/Rétablir (Undo/Redo) illimité Pas besoin de fermer le source pour sauvegarder ou compiler Aide en ligne contextuelle permettant d accéder aux manuels de référence Complétion de code Vue structure du programme : références croisées, fichiers, zones, sous-routine/sous-procédures Affichage des imbrications de bloc Vérification des erreurs et remontée automatique dans RDp etc. 39

40 6. Utilisez un environnement de développement moderne 40

41 6. Utilisez un environnement de développement moderne 41

42 6. Utilisez un environnement de développement moderne 42

43 6. Utilisez un environnement de développement moderne Pour en savoir plus Se reporter à la session S1 - RDp : vous n utiliserez plus jamais SEU! Session S17 RDp - Trucs et astuces Vendredi 6 avril 13h30 43

44 7. Laissez DB2 travailler pour vous Déplacement des règles métier au niveau de la base de données L objectif étant que ces règles soient vérifiées quelle que soit l interface d accès à la base (application 5250, application Web ) Evite la duplication de la logique Renforce l intégrité Comment? a) Générer automatiquement les clés (colonnes auto-incrémentées) Attribut IDENTITY CREATE TABLE employes (numemp INT GENERATED ALWAYS AS IDENTITY (START WITH 10, INCREMENT BY 10), nomemp CHAR(40)) INSERT INTO employes ( ROMETTY ) Objet SEQUENCE Pour disposer d une valeur auto-incrémentée extérieure à une table CREATE SEQUENCE s1 START WITH 1 NO MAXVALUE INSERT INTO employes VALUES(NEXT VALUE FOR s1, ROMETTY )) 44

45 7. Laissez DB2 travailler pour vous Déplacement des règles métier au niveau de la base de données Comment? (suite) b) Mettre en place les contraintes base de données De clé primaire et de clé unique Pour s assurer de l unicité de la clé D intégrité référentielle Pour établir des dépendances entre tables De vérification Pour s assurer du contenu d une colonne c) Mettre en place des triggers (déclencheurs) Exécution de logique avant et/ou après l insertion, la mise à jour ou la suppression d enregistrements Disponibles également niveau colonne et instruction S exécutent quelle que soit l interface d accès à la base 45

46 8. Utilisez XML pour l échange de données En V5R4 sont apparus des codes-opération et fonctions intégrées RPG permettant de traiter des flux/documents XML en lecture : XML-INTO, XML-SAX, %XML, %HANDLER Ces fonctionnalités ont été améliorées en IBM i 7.1 et plus récemment par PTF Syntaxe de XML-INTO : XML-INTO destination %XML(origine: options ) La fonction %XML - Origine : Une variable contenant du XML Un fichier IFS (donné sous forme de constante ou de variable) Destination : Une variable : Simple ou DS à n dimensions A utiliser si le nombre d éléments à traiter est connu à l avance Une procédure à appeler : Désignée par la fonction %HANDLER Qui sera invoquée autant de fois que d éléménts XML rencontrés A utiliser si le nombre d éléments à traiter est inconnu à l avance 46

47 8. Utilisez XML pour l échange de données Lecture d un fichier XML avec XML-INTO 47

48 8. Utilisez XML pour l échange de données Lecture d un fichier XML avec XML-INTO et un handler 48

49 8. Utilisez XML pour l échange de données Ecriture XML Le RPG ne dispose pas de codes-opération natifs pour créer un fichier XML Quelques solutions pour générer des fichiers XML en RPG : 1) Via une table SQL 2) Par des APIs IBM 3) Par des APIs du XML Toolkit 4) Par des APIs tierces 5) Par un appel à d autres langages (C, Java, PHP) En IBM i 7.1 : support XML natif intégré à DB2 for i Nouveau type de données : XML Lors de la définition d une colonne d une table - Pour stocker un document XML Le type XML peut également être défini pour un paramètre de procédure stockée et est supporté dans les interfaces de programmation (ODBC, JDBC, SQLRPG ) Décomposition de documents XML en colonnes d une table DB2 Génération de documents XML à partir de données de tables DB2 Déstockage d une colonne XML dans un fichier de l IFS : variables de type XML File Reference (XML_CLOB_FILE ) 49

50 8. Utilisez XML pour l échange de données Ecriture XML - En «natif», via une table SQL Le principe consiste à : Créer une table SQL avec 1 zone de type alphanumérique Alimenter cette table avec les balises XML Créer dans l IFS le fichier XML correspondant à la table par la commande CPYTOIMPF 50

51 8. Utilisez XML pour l échange de données Ecriture XML - En «natif», via une table SQL (suite) Le programme pourrait : - créer la table dans QTEMP, puis la supprimer - être un programme SQLRPG - ou une procédure stockée SQL 51

52 8. Utilisez XML pour l échange de données Pour en savoir plus Se reporter à la session S15 - XML sous IBM i - Le point sur les solutions 52

53 9. Connaissez les possibilités d interaction RPG / Web 1. Il est possible de développer des applications Web en RPG en développant en CGI (Common Gateway Interface) CGI permet de développer des applications Web en intégrant des APIs de gestion du HTML dans des programmes écrits en ILE RPG/COBOL 2. Un programme RPG peut appeler du code Java ou PHP sous IBM i Java : en JNI (Java Native Interface), par l appel de méthodes PASE, etc. PHP : par l appel d un script SHELL 3. Un programme RPG peut exécuter un Service Web Avec le «Integrated Web Services Client» Génération de procédures RPG à partir de fichiers WDSL Avec l outil HTTPAPI de Scott Klement 53

54 9. Connaissez les possibilités d interaction RPG / Web Nous n avons pas le temps d aborder ce sujets dans cette session Pour en savoir plus Session plénière Session S23 Des Services Web dans vos programmes RPG/COBOL Vendredi 6 avril 15h30 54

55 9. Connaissez les possibilités d interaction RPG / Web Pour en savoir plus Evénement «Modernisation et développpement d applications IBM i» des 16 et 17 mai

56 10. Documentez-vous Redbook SG

57 10. Documentez-vous 57

58 10. Documentez-vous 58

59 10. Documentez-vous 59

60 10. Formez-vous Centre de formation IBM de Noisy le Grand ou sur site client 60

61 Trucs et astuces RPG IV 61

62 Trucs et astuces RPG IV Compilation conditionnelle Structures de données qualifiées Tri de tableaux Divers OVERLAY d une DS Clés fractionnées en format libre MOVE en format libre Mot-clé OPTION de la spécification H 62

63 Compilation conditionnelle Des directives permettent de conditionner les instructions à ajouter ou omettre dans un source RPGLE Les noms des conditions peuvent être définies : Par le développeur : /define nom_condition /undefine nom_condition Ou prédéfinies par le compilateur (voir page suivante) L inclusion/omission se fait par des directives de test /if defined(nom_condition) /if not defined(nom_condition) /elseif defined(nom_condition) /elseif not defined(nom_condition) /endif La directive /eof permet d aller en fin de source 63

64 Compilation conditionnelle Exemple : comment inclure plusieurs types de spécification différents (H, D, C ) à partir d un seul membre COPY Le source du COPY (membre SPECIFS) : /if defined(specifs_c) C xxx C xxx /elseif defined(specifs_d) D xxx D xxx /undefine specifs_d /define specifs_c /else H xxx /define specifs_d /endif 64

65 Compilation conditionnelle Le source du programme /include QCPYSRC,SPECIFS <Seules les spécifications H seront copiées ici> F xxx F xxx /include QCPYSRC,SPECIFS <Seules les spécifications D seront copiées ici> D xxx D xxx /include QCPYSRC,SPECIFS <Seules les spécifications C seront copiées ici> C xxx C xxx 65

66 Compilation conditionnelle Conditions prédéfinies *CRTBNDRPG/*CRTRPGMOD : teste la commande de compilation utilisée *VxRyMz : teste le niveau de compilateur (à partir de la V4R4M0) /if defined(*crtbndrpg) H dftactgrp(*no) actgrp(*new) /endif /if defined(*v5r4m0) callp detailclientv5r4(); /else callp detailclientv6r1(); /endif 66

67 Structures de données qualifiées Mots-clés QUALIFIED et LIKEDS Les sous-zones de différentes DS peuvent porter le même nom La qualification se fait par l utilisation du point (.) Avec LIKEDS la DS hérite de toutes les zones de la DS nommée Noms, types, longueurs, attributs (mais pas les mots-clés DIM et OCCURS) On peut utiliser INZ(*LIKEDS) pour cloner les valeurs d initialisation 67

68 Structures de données qualifiées Tableaux et structures de données peuvent s imbriquer 68

69 Structures de données qualifiées Tableaux et structures de données peuvent s imbriquer 69

70 Tri de tableaux IBM Power Systems - IBM i - IBM Rational Pour trier des tableaux sur différentes clés : Avant la version 7.1 Définissez le tableau dans une DS Indiquez le mot-clé ASCEND ou DESCEND au niveau du tableau Utilisez le code-opération SORTA 70

71 Tri de tableaux IBM Power Systems - IBM i - IBM Rational Pour trier des tableaux sur différentes clés : Depuis la version 7.1 Définissez le tableau comme une DS Utilisez le code-opération SORTA(A) ou SORTA(D) 71

72 Tri de tableaux - Exemple : tri de sous-fichiers Objectif : trier un sous-fichier statique sur différentes colonnes Dans cet exemple, sur le type, la date, l état Etapes 1. Charger les données dans un tableau Peut être facilité par l utilisation de LIKEREC sur le fichier BD et EVAL-CORR 2. Charger le sous-fichier à partir du tableau 3. Afficher le sous-fichier 4. Récupération du critère de tri de l utilisateur (ex: récupération de la position du curseur par RTNCSRLOC + touche de fonction) 5. Tri du tableau par SORTA comme vu précédemment 6. Retour à l étape 2 72

73 OVERLAY d une DS Le mot-clé OVERLAY peut s appliquer non seulement à des sous-zones d une DS mais également à la DS elle-même Les sous-zones de la DS n ont pas besoin d être nommées mais peuvent être initialisées par le mot-clé INZ Offre une alternative aux tableaux chargés à la compilation Sans qu il soit nécessaire de se positionner en fin du source 73

74 Clés fractionnées en format libre En format fixe En format libre On indique directement les clés entre parenthèses, séparées par : Possibilité de passer des constantes et des expressions 74

75 MOVE en format libre MOVE et MOVEL ne sont pas supportés en format libre Correspondances Caractère vers caractère EVAL est équivalent à MOVEL (P) EVALR est équivalent à MOVE (P) Utiliser %SUBSTR en cas de longueurs différentes sans remise à blanc %substr(char10:1:6) = char6; est équivalent à MOVEL char6 char10 %substr(char10:5:6) = char6; est équivalent à MOVE char6 char10 Numérique vers numérique Utiliser EVAL Numérique vers caractère Utiliser %CHAR, %EDITC, %EDITW et si nécessaire %SUBSTR Caractère vers numérique Utiliser %INT, %DEC et %DECH 75

76 MOVE en format libre Quelques exemples 76

77 Mot-clé OPTION de la spécification H H option(*srcstmt:*nodebugio) *srcstmt : les numéros de ligne du module (statement numbers) utilisés lors de l exécution/débogage correspondent aux numéros de ligne source Les lignes ne sont pas renumérotées lors de la compilation Facilite le support utilisateur (en cas d erreur) et le débogage *nodebugio : permet, lorsque l on fait du pas à pas en débogage, de ne s arrêter qu une seule fois lors d une opération d entrée/sortie sur un fichier, et non plus pour chaque zone d entrée/sortie 77