Baromètre santé Poitou-Charentes 2010

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1 Baromètre santé Poitou-Charentes 2010 CONTEXTE Le dépistage est défini par l OMS comme «l identification présomptive de maladies ou troubles non reconnus, par l application de tests, d examens ou d autres procédés pouvant être rapidement exécutés». Il existe différents dépistages pour différentes pathologies : VIH, IST, cancer du sein, cancer du col de l utérus, cancer colorectal, cancer de la prostate Le programme national de dépistage systématique du cancer du sein a été établi par la DGS en 1994 tandis que le programme de dépistage du cancer colorectal s est généralisé depuis L ensemble des maladies chroniques touche environ 15 millions de personnes en France soit près de 20 % de la population totale. Certaines personnes peuvent souffrir de plusieurs maladies à la fois. Une maladie chronique est une maladie de longue durée, évolutive, souvent associée à une invalidité et à la menace de complications graves. Leurs prises en charge comme la prise en charge du handicap constitue donc un enjeu de grande importance et une priorité y compris au niveau régional en lien avec l éducation thérapeutique, pour une amélioration de la qualité de vie des patients. COMPARAISON ET EVOLUTION Par rapport à la situation nationale, la fréquence des recours aux dépistages dans la région est comparable, qu il s agisse du dépistage du sida dans la vie ou dans l année, du respect des recommandations en ce qui concerne le frottis vaginal, la mammographie, et la recherche de sang dans les selles. En revanche, de fortes évolutions sont constatées en ce qui concerne les mammographies et la recherche de sang dans les selles, le pourcentage du respect des recommandations passant respectivement entre 2000 et 2010 de 46 % à 81 %, et de 7 % à 46 %. Les données montrent également une proportion moins importante de personnes de ans atteintes par une maladie chronique : 23,5 % contre 24,5 % en France, et cette proportion n a pas évolué depuis La situation en ce qui concerne le handicap n a pas évoluée depuis 2000 et est comparable au niveau national. Concernant le recours aux soins, aucune différence n est mis en évidence depuis Comparativement au niveau national, les fréquences de recours dans l année sont identiques sauf pour les consultations chez le «psy» (psychologue, psychiatre, psychothérapeute) qui sont moins fréquentes en Poitou-Charentes : 4,2 % des ans domiciliés dans la région ont consulté au moins une fois le «psy» dans l année contre 7,1 % des français de ans. En % Dépistage du sida dans la vie chez les 15 ans et plus Dépistage du sida dans l année chez les 15 ans et plus Frottis vaginal dans les 3 ans chez les femmes de 15 ans plus Mammographie dans les 2 ans chez les femmes de 50 ans et plus Recherche de sang dans les selles dans les 2 ans chez les hommes de 50 ans et plus France ans Poitou-Charentes 2010 Poitou- Charentes 2000 ns 59,3 - nd ns 12,0 12,3 ns ns 66,6 75,6 ns ns 73,2 81,4 45,7 ns 43,8 45,8 7,3 Maladie chronique 24,5 23,5 21,6 ns Handicap perçu ns 12,9 10,7 ns Consultation chez le généraliste dans l année ns 85,1 84,3 ns Consultation chez le «psy» dans l année 7,1 4,2 4,4 ns Hospitalisation au moins une nuit dans l année ans ns 13,5 - nd Sources : Baromètre santé Poitou-Charentes 2010, Baromètre santé 2010 France, Baromètre santé Poitou-Charentes 2000 Notes de lecture du tableau : - Dans la colonne «Poitou-Charentes 2010», deux valeurs sont présentées. La valeur de gauche concerne les ans et est comparée à la valeur nationale. La valeur de droite concerne les ans et est comparée à la valeur régionale de Les proportions en gras mettent en évidence une différence significative sur les données France/Poitou-Charentes ou 2010/ ns : différence non significative - nd : Non Disponible 17, rue Salvador Allende Poitiers Tél ors@ors-poitou-charentes.org Sites gérés par l ORS :

2 DEPISTAGES Le dépistage du sida Un peu plus de 40 % des ans n ont jamais réalisé un test de dépistage du sida (hors don du sang), 47 % en ont réalisé un il y a plus d un an et 12 % il y a moins d un an. Les femmes sont un peu plus d un tiers à n en avoir jamais réalisé contre plus de 45 % des hommes. La proportion de personnes n ayant jamais fait de test est plus importante parmi les ans et parmi les ans. Elle dépasse la moitié de l effectif. Cependant, c est également parmi les plus jeunes que la proportion de test dans les 12 derniers mois est la plus importante. Les facteurs associés à la réalisation d un test de dépistage dans la vie mis en évidence sont le fait d être une femme, d être âgé entre 26 et 45 ans par rapport aux ans, ainsi que le fait d avoir un diplôme de niveau inférieur au bac ou de ne pas être diplômé par rapport à ceux qui ont au moins le bac. Le frottis vaginal Environ 16 % des femmes de ans de l échantillon n ont jamais réalisé un frottis vaginal. Près de 60 % des jeunes femmes âgées entre 15 et 25 ans n en ont jamais fait. Cette proportion n atteint pas 1 % chez les ans. Parmi les femmes ayant déjà réalisé un frottis, plus de 40 % l ont réalisé dans l année, plus d un quart dans les 2 ans. Pour 14 % d entre elles, il a eu lieu il y a plus de 5 ans. Les deux tiers des femmes de 15 ans et plus ont respecté la recommandation : un frottis tous les 3 ans. Les facteurs associés au respect de la recommandation pour ce test sont un âge inférieur à 66 ans, être dans toute situation professionnelle autre qu étudiante (chômage, travail, retraite, autre), être à l aise financièrement par rapport à ceux qui sont dans une situation difficile. La mammographie Un peu plus de 8 femmes sur 10 âgées entre 40 et 85 ans ont déjà fait une mammographie. Selon l âge, cette proportion diffère, elle est ainsi de 53 % entre 40 et 45 ans pour atteindre 96 % entre 56 et 65 ans. Parmi les femmes ayant réalisé une mammographie, un tiers l a réalisée dans la dernière année et 44 % dans les deux dernières années. Moins des trois quarts des femmes suivent la recommandation : tous les 2 ans chez les femmes de 50 ans et plus. Selon les résultats des analyses multivariées, les femmes âgées entre 56 et 75 ans ont une probabilité plus grande d avoir respecté la recommandation pour la réalisation de la mammographie. C est également le cas des femmes ayant consulté un professionnel de santé dans l année ainsi que des femmes faisant du sport au moins une fois par mois. La recherche de sang dans les selles Ce thème n est abordé qu auprès des hommes de ans. Environ 40 % des hommes de ans ont fait une recherche de sang dans les selles. Cette proportion augmente jusqu à la tranche d âge ans où elle atteint 60 %, puis elle est moindre chez les ans (41 %). Parmi les hommes ayant réalisé ce test, 43 % l ont réalisé dans l année et un tiers entre 1 et 2 ans. Près d un sur dix l ont réalisé il y a plus de 5 ans. Plus de 40 % des hommes ont suivi la recommandation : tous les 2 ans chez les hommes de ans sans différence Réalisation d un test de dépistage du sida selon le sexe par tranche d âge (%) Hommes Femmes N = 643 Valeurs manquantes = 30 Réalisation du dernier frottis vaginal dans les 3 ans N = 716 Valeurs manquantes = 17 Réalisation d une mammographie dans les 2 ans chez les femmes de ans par tranche d âge(%) N = 429 Valeurs manquantes = 4 Réalisation dans la vie d une recherche de sang dans les selles chez les hommes de ans par tranche d âge (%) N = 389 Valeurs manquantes = 2 2

3 MALADIES CHRONIQUES Les maladies chroniques sont définies dans l enquête comme des maladies qui durent longtemps (au moins six mois) et qui peuvent nécessiter des soins réguliers (par exemple : diabète, asthme, etc.). En cas d hésitation de la personne interrogée, l enquêteur devait considérer qu il s agissait d une maladie chronique. La fréquence des maladies chroniques Près d un quart des ans déclare souffrir d une maladie chronique. Cette proportion augmente avec l âge : elle est de 8,8 % chez les ans et atteint un quart des ans, pour dépasser 40 % à partir de ans. Selon les analyses multivariées, il existe un petit sur risque d être atteint d une maladie chronique chez les hommes. C est également le cas chez les personnes déclarant être limitées physiquement. Enfin, avoir une maladie chronique est associée à une qualité de vie moindre sur la dimension mentale ainsi qu au fait d avoir vécu ou de vivre un épisode dépressif caractérisé (EDC). Les maladies les plus fréquemment déclarées sont les maladies cardio-vasculaires, les maladies endocriniennes ou métaboliques, les maladies respiratoires puis les maladies des os ou des articulations. Les hommes sont significativement plus fréquemment atteints d une maladie cardio-vasculaire que les femmes (9 % contre 6 %) tandis que les maladies des os et des articulations touchent plus fréquemment les femmes (4 % contre 2 %). Ce sont surtout pour les maladies cardiovasculaires et dans une moindre mesure pour les maladies endocriniennes, que l augmentation des prévalences avec l âge est la plus importante. Les premières sont marginales jusqu à la tranche d âge ans, elles concernent près de 6 % des ans pour atteindre 23 % chez les ans. Les consultations des personnes atteintes d une maladie chronique La presque totalité des personnes atteintes d une maladie chronique ont consulté au moins une fois un professionnel de santé dans l année. Seules 6 personnes atteintes d une maladie chronique déclarent ne pas être allé consulté un professionnel de santé dans l année. Le médecin généraliste a été consulté au moins une fois par plus de 95 % d entre eux ce qui en fait le professionnel le plus fréquemment consulté devant le spécialiste (76 %), l infirmière (34 %), le kinésithérapeute (27 %) et le diététicien (5 %). Prévalence des maladies chroniques par sexe Classes des maladies chroniques déclarées des ans Classe Pourcentage Effectif Maladies cardio-vasculaires 7,5 152 Maladies endocriniennes ou métaboliques 6,0 114 Maladies respiratoires 4,0 75 Maladies des os ou articulations 2,9 60 Maladies digestives 1,6 25 Cancers 1,4 21 Maladies de peau 1,1 11 Maladies neurologiques 0,9 15 Maladies mentales 0,9 20 Maladies urinaires ou génitales 0,4 9 Maladies ophtalmologiques 0,3 8 Autres maladies 1,5 27 N = Prévalence des deux principales maladies chroniques déclarées par tranche d âge (%) Les différences observées selon l âge et le sexe ne sont pas significatives. N =

4 HANDICAPS ET LIMITATIONS Les limitations à cause d une maladie ou d un handicap Environ 13 % des hommes et des femmes de ans déclarent être limités dans les activités habituelles, depuis au moins six mois : 5 % le sont fortement et 8 % pas fortement. Deux cassures correspondant à une augmentation de ces proportions sont observées : la première intervient entre la tranche d âge ans et ans, et la deuxième entre la tranche d âge ans et ans. Près des trois quarts des personnes concernées sont limitées par des douleurs, puis par le fait de se fatiguer rapidement, et/ ou par un problème moteur pour environ la moitié. Un quart est limité par des problèmes cardiologiques ou respiratoires. Plus l âge avance, plus la proportion de personnes limitées par une fatigue rapide est importante : ils sont moins d un tiers des personnes limitées à évoquer cette raison dans la tranche d âge ans pour atteindre 85 % chez les ans. De même, les douleurs sont plus fréquemment évoquées par les plus âgés : ils sont près de 43 % entre 15 et 25 ans contre environ 75 % entre 66 et 85 ans, mais c est entre 36 et 55 ans que cette proportion est la plus importante avec plus de 85 % des personnes limitées physiquement. Enfin, les problèmes cardiaques et respiratoires ont été évoqués de façon moindre chez les personnes limitées âgées entre 26 et 55 ans (entre 11 et 15 %) par rapport aux plus jeunes et aux ans (entre 28 et 38 %). Le rôle de l âge Pour plus de 40 % des personnes concernées, les limitations subies sont liées à l avancée en âge. Cette proportion atteint plus de 90 % chez les ans et près de 80 % chez les ans. Les principales difficultés éprouvées Entendre et comprendre ce qui se dit dans une conversation est la principale difficulté éprouvée par les personnes déclarant être limitées (15 % d entre eux), juste devant lire et reconnaître un visage à quelques mètres (14 %), puis se concentrer plus de 10 minutes (13 %), s habiller ou se déshabiller seul (12 %), sortir du domicile (11 %), et effectuer une démarche administrative simple (8 %). Les aides perçues Un cinquième seulement des personnes déclarant être limitées par un handicap ou une perte d autonomie perçoivent une allocation ou une aide financière pour cette raison, et un dixième reçoit l aide d une personne dans la vie quotidienne. La perception du handicap Finalement 13 % des ans considèrent qu ils ont un handicap, les hommes sont 15 % dans ce cas contre 11 % des femmes. Environ 2 % des ans disent avoir un handicap mais cette proportion augmente régulièrement avec l âge pour concerner 15 % des ans, et atteindre 30 % des ans. Selon les résultats de l analyse multivariée, les personnes les plus à risque de déclarer être limitées dans les activités que font habituellement les gens, depuis au moins six mois, ont une probabilité plus importante d avoir renoncé à des soins pour des raisons financières. Ils ont également un risque plus important d avoir des troubles du sommeil et de souffrir d une maladie chronique. De plus, la limitation est associée à un score de qualité de vie moindre sur la dimension mentale ainsi qu aux tentatives de suicide, le risque de passage à l acte étant deux fois plus élevé. Limitations ressenties depuis au moins 6 mois selon l intensité par tranche d âge (%) Causes des limitations liées à une maladie ou un handicap Causes des limitations Pourcentage Effectif par un problème moteur 49,0 124 par des problèmes cardiologiques ou respiratoires 23,6 57 par un problème visuel 16,7 47 par un problème d'audition (sourd ou malentendant) 12,1 19* par un problème de mémoire 15,2 30* par des problèmes d'orientation dans le temps et l'espace 8,2 16* par des difficultés d'apprentissage ou de compréhension 8,1 14* par des douleurs 73,0 131* par le fait de se fatiguer rapidement 52,1 102* par un autre problème 19,0 35* * ces items n étaient proposés qu à une sous partie de l échantillon, soit 177 personnes au lieu des 252 personnes concernées par une limitation physique dans l échantillon principal. Perception d un handicap par tranche d âge (%) N = 743 Valeurs manquantes = 2 p < 0,008 N = Valeurs manquantes = 2 Professionnels de santé consultés dans l année effectif Professionnels de santé Pourcentage effectif ayant répondu Médecin ou infirmière scolaire (étudiant) 34, Médecin généraliste (hors malades chroniques) 81, Pédiatre (moins de 20 ans et hors malades chroniques) 4, Gynécologue (femme) 44, Psychologue, psychiatre, psychanalyste 4, Dentiste 56, Homéopathe 8, Acupuncteur ou mésothérapeute 3, Autre médecin spécialiste (hors malades chroniques) 29,

5 CONSULTATIONS Le médecin généraliste est le professionnel de santé le plus fréquemment consulté. C est ensuite le dentiste, devant le gynécologue pour les femmes et le médecin ou infirmière scolaire chez les étudiants. Les femmes consultent plus fréquemment le médecin généraliste (88,4 % contre 75,1 %), le psychologue ou psychiatre (5,8 % contre 2,6 %), le dentiste (63,1 % contre 50,5 %), l homéopathe (10,2 % contre 7 %), et l acupuncteur (4,5 % contre 1,7 %). Le médecin généraliste Plus de 80 % des ans ont consulté le médecin généraliste dans l année. Chez les femmes il n y a pas de différence selon la tranche d âge. Chez les hommes, un peu moins des deux tiers ont consulté dans l année. Cette proportion atteint presque 80 % chez les ans pour redescendre à un peu moins de 70 % chez les ans. Au-delà, les proportions d hommes ayant consulté dans l année atteignent 95 %. Les facteurs associés aux consultations chez le médecin généraliste sont le fait d être une femme, d être âgé d au moins ans. Ne pas avoir de diplôme est associé à une probabilité moindre d avoir consulté dans l année ainsi que vivre seul. Enfin, les personnes ayant un score de qualité de vie dégradé ont une probabilité plus importante d avoir eu recours au généraliste dans l année notamment sur les dimensions mentale et physique. La consultation de routine chez le généraliste Les consultations de routine sont les consultations réalisées en dehors de tout traumatisme, maladie ou problème de santé. Sont également considérées comme consultation de routine les renouvellements de médicaments tandis que les visites chez le médecin du travail ne sont pas prises en compte. Environ 60 % des ans ont bénéficié d une consultation de ce type dans l année quand 14 % déclarent n en avoir jamais eu et 6 % il y a plus de 5 ans. Le pourcentage de femmes ayant consulté dans l année pour un contrôle de routine est plus important que celui des hommes (63,6 % contre 58 %). En revanche, le pourcentage des femmes n ayant jamais consulté pour un contrôle de routine est plus important que celui des hommes (16,7 % contre 11,4 %). Chez les femmes, aucune différence n a pu être mise en évidence selon la tranche d âge. Chez les hommes, c est entre 26 et 45 ans que l absence de consultation est la plus fréquente. Les consultations récentes (moins de un an) concernent plus fréquemment les plus âgés. C est à partir des ans que l augmentation est la plus importante avec une proportion qui passe de 57 % chez les ans à 84 %. Recours aux professionnels de santé dans l année selon le sexe (%) Consultation des hommes chez le généraliste dans l année N = 385 p < 0,002 Contrôle de routine des hommes chez le généraliste dans l année (%) La consultation chez le «psy» (psychiatre, psychologue, psychanalyste ou psychothérapeute) Plus souvent consulté dans l année par les femmes (5,8 % contre 2,6 %), le «psy» l est aussi plus fréquemment par les ans (de 5,5 à 6,5 %) que par les plus âgés (moins de 2 %). Les analyses multivariées confirment l âge en tant que facteur associé et montrent également le rôle joué par la structure du foyer, les personnes vivant dans une famille monoparentale ayant une probabilité plus importante d avoir consulté un «psy» dans l année. Enfin, le risque est également plus grand pour ceux qui ont eu des pensées suicidaires dans les 12 mois ainsi que pour ceux qui ont un score de qualité de vie moindre sur la dimension mentale. N = 517 Valeurs manquantes = 5 5

6 La consultation d un gynécologue Seules les femmes sont concernées, et elles ont plus fréquemment consulté lorsqu elles sont âgées entre 26 et 45 ans. Ensuite la proportion diminuent chez les ans (entre 45 et 50 %) jusqu à ne concerner qu un peu plus d une femme sur dix chez les ans. La consultation d un dentiste Plus de la moitié des ans (56,9 %) ont déclaré avoir consulté un dentiste dans les 12 derniers mois. Cette proportion est plus importante chez les femmes (62,9 % contre 50,5 %) mais ne diffère pas selon l âge. L étude des facteurs associés confirme que les femmes ont une probabilité plus importante d avoir consulté. C est également le cas des habitants des agglomérations de plus de habitants par rapport à ceux qui vivent en zone rurale, ainsi que des personnes ayant une activité sportive au moins mensuelle, et de celles qui ne souffrent pas d un trouble du sommeil. Enfin, sont également associés à cette consultation des scores de qualité de vie relativement élevés sur les dimensions sociale et mentale. Consultation des femmes chez le gynécologue dans l année Consultation chez les dentiste dans l année par sexe (%) Homme N = 717 Valeurs manquantes = 0 Femme HOSPITALISATIONS Un peu plus d une personne âgée entre 15 et 85 ans sur dix a été hospitalisée au moins une nuit au cours des 12 derniers mois. Ces proportions sont comparables selon le genre et varient en fonction de l âge uniquement chez les femmes : A partir de 76 ans, plus d un tiers d entre elles a déclaré avoir été hospitalisé au moins une nuit dans l année. Ce pourcentage atteint 5 % chez les ans, près de 20 % chez les ans, puis aux alentours de 10 % entre 36 et 75 ans. Parmi les personnes concernées, un peu plus d une personne sur dix a dû être hospitalisée plus de 15 jours. N = Hospitalisation au moins une nuit dans l année chez les femmes Toutes choses égales par ailleurs, le fait d être âgé d au moins 76 ans est un facteur associé à un risque plus important d avoir été hospitalisé dans l année. C est également le cas pour les personnes non diplômées et ayant obtenu un diplôme inférieur au bac, pour les personnes souffrant d une maladie chronique ainsi que pour celles qui ont un score de qualité de vie faible sur la dimension physique. N = 716 Valeur manquante = 1 Rédacteur : S. Robin EN SAVOIR PLUS Membres du groupe de travail : S. Dujoncquoy (Réseau «Onco Poitou-Charentes»), M. Vivier-Darrigol (ARS) Publication : juin 2012 Drees. L état de santé de la population en France. Rapport suivi des objectifs annexés à la loi de santé publique Bounaud v., Raguenaud M.V., Le VIH/Sida en Poitou-Charentes. Bulletin Observation Santé. ORS Poitou-Charentes. Décembre Pubert M., Texier N., Chubilleau C. Le diabète en Poitou-Charentes. Bulletin Observation Santé. ORS Poitou-Charentes. Novembre Debarre J., Robin S., Le cancer en Poitou-Charentes. Bullentin Observation Santé. ORS Poitou-Charentes. Octobre ORS Poitou-Charentes. Offre de prévention, Etat de santé, Pathologies in Panorama de la santé Poitou-Charentes Dispositifs de dépistage. Mars Vous pouvez vous procurer l ensemble des fiches sur le site de l ORS : 6

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