COMMUNICATIONS LIBRES. Salle Rhone 4 - Jeudi 23 Octobre Diagnostic prénatal
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- Constance St-Denis
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1 COMMUNICATIONS LIBRES Salle Rhone 4 - Jeudi 23 Octobre 2014 Diagnostic prénatal Modérateurs : Jerome Massardier (Lyon), Thierry Debillon (Grenoble)
2 8h30 - CO041 COMPARAISON DE DEUX METHODES D'INDUCTION DU TRAVAIL DANS LES INTERRUPTIONS MEDICALES DE GROSSESSE : AVEC OU SANS DILATATEURS OSMOTIQUES MME. MARIE VINCIENNE (1), MME. OLIVIA ANSELEM (1), MME. ALEXANDRA BENACHI (2), MR. FRANCOIS GOFFINET (1) 1 - HOPITAL COCHIN - PORT ROYAL - GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE - PARIS - FRANCE 2 - HOPITAL ANTOINE BECLERE - GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE - CLAMART - FRANCE L'induction du travail des interruptions médicales de grossesse (IMG) aux deuxième et troisième trimestres est réalisée en France grâce à l'association mifepristone-misoprostol. Afin de réduire le délai induction-expulsion (DIE) certaines équipes utilisent également des dilatateurs osmotiques. Nous avons voulu évaluer l'efficacité et la sécurité des dilatateurs Dilapan-S. Il s'agit d'une étude comparative rétrospective bicentrique, incluant 246 patientes ayant eu une IMG après 16 SA. Nous avons comparé le délai induction-expulsion et les effets indésirables observés chez les 101 patientes pour lesquelles l'induction du travail a été réalisée par mifepristone-misoprostol seuls (groupe A, 1 comprimé de misoprostol/3h), contre les145 patientes pour lesquelles des dilatateurs ont été associés (groupe B, 2 comprimés de misoprostol/3h). Après exclusion des patientes n'ayant pas reçu de misoprostol (4 patientes du groupe A et 11 du groupe B), le délai induction-expulsion a été de 10h10 en moyenne dans le groupe A, contre 6h01 dans le groupe B(p=0.02). Le taux d'expulsion en moins de 12h a été de 70,3% dans le groupe A contre 93,1% dans le groupe B (p<0.001). L'amniotomie a été immédiate dans13,9% des cas dans le groupe A contre 53,1% des cas dans le groupe B(p<0.001). Le délai moyen entre le début de l'induction et l'amniotomie a été de 4h30 sans dilatateurs contre 0h51 avec dilatateurs (p<0.001). Il y a eu 4,9% d'aspirations endo-utérines en urgence dans le groupe A, et aucune dans le groupe B (p=0.01). Il n'y a pas eu de différence significative entre les deux groupes concernant le taux d'hémorragies, de césarienne, d'hyperthermie ou d'antibiothérapie prolongée, ou concernant la durée d'hospitalisation. Les dilatateurs assurent une dilatation cervicale mécanique passive et progressive, ce qui permet de réaliser une amniotomie plus précoce et contribuerait ainsi à diminuer le délai induction-expulsion. Des études complémentaires restent nécessaires notamment pour évaluer la douleur liée à l'utilisation des dilatateurs et le vécu global de l'img par les patientes.
3 8h45 - CO042 NAISSANCE D'UN ENFANT TRISOMIQUE 21 : CHOIX PARENTAL OU DEFAUT DE LA POLITIQUE DE DEPISTAGE MME. AURORE MARX DESEURE (3) 1 - CHRU - MATERNITE - LILLE - FRANCE 2 - RESEAU DE SANTE EN PERINATALITE - OMBREL - LILLE - FRANCE 3 - CHRU DE LILLE - LABORATOIRE DE CYTOGENETIQUE, POLE DE BIO PATHOLOGIE - LILLE - FRANCE 4 - HOPITAL ST VINCENT DE PAUL - LABORATOIRE DE GENETIQUE, - LILLE - FRANCE Les modalités de dépistage de la trisomie 21 ont été modifiées en France en 2009 avec un arrêté recommandant l utilisation prioritaire du risque combiné du 1er trimestre. Ce dépistage est évalué depuis par l agence de Biomédecine. Alors qu il était attendu environ 5% de patientes à risque, le taux est actuellement en France de l ordre de 3%. De nombreux professionnels s interrogent sur une possible diminution de la sensibilité de ce dépistage. L objectif de ce travail est la réalisation d un état des lieux sur les conditions de naissance des enfants trisomiques 21 au sein d un réseau de périnatalité. L objectif est de distinguer, parmi les enfants naissant vivants trisomiques 21, ceux nés par choix parental (dépistage ou diagnostic anténatal (DAN) non souhaité ou poursuite de la grossesse en cas de diagnostic connu) de ceux issus d un échec de dépistage (type de dépistage, dépistage incomplet..). Étude rétrospective, multicentrique, au sein d un réseau de périnatalité du Nord Pas de Calais (réseau OMBREL), en France. Ont été inclus tous les enfants nés trisomiques 21 entre 2010 et 2013 dans les 10 maternités constituant le réseau. Nous avons évalué le suivi de grossesse, le type de dépistage et éventuellement le type de DAN réalisé. Les malformations associées à la trisomie 21 présentes à la naissance ont été recherchées. 63 enfants sont nés trisomiques 21 (0,7 0/00 naissances vivantes). 60% des patientes avaient réalisé un dépistage complet de la trisomie 21 par calcul de risque intégré T2 ou combiné T1. 28% des femmes ont eu un dépistage incomplet par mesure de la clarté nucale seule (MCN) ou dosage des marqueurs sériques de T21 au second trimestre seuls (MST21). 11% n avaient réalisé aucun examen de dépistage. Parmi ces naissances, 49% étaient survenues à la suite d un choix parental, 40% étaient des échecs de dépistage. Les faux négatifs du dépistage avaient dans 64% des cas un risque compris entre 1/250 et 1/ % des patientes n avaient pas de dépistage ou une MCN seule normale, sans signes d appels échographiques évocateurs de T21 (SAE). Dans notre série, la naissance d un enfant trisomique 21 fait suite à un choix parental dans prés de la moitié de cas. Dans les échecs de dépistage, le risque est fréquemment proche de 1/1000. Il est indispensable d avoir connaissance de ce risque lors de la réalisation des échographies du second et troisième trimestre. Le nombre important de patientes n ayant pas eu de dépistage ou un dépistage incomplet doit nous amener à nous interroger sur l accès aux soins et la qualité de l information, seule garante d un choix parental éclairé.
4 9h00 - CO043 LE SYNDROME ANASTOMOTIQUE : LE DERNIER MOT APPARTIENT AU PLACENTA. ETUDE DESCRIPTIVE DES PLACENTAS ISSUS DE GROSSESSES MONOCHORIALES BIAMNIOTIQUES POUR LA COMPREHENSION DES SYNDROMES ANASTOMOTIQUES MR. ANTHONY ATALLAH (1), DR. ANNIE BUENERD (2), MME. SARAH MARINO (1), DR. JEROME MASSARDIER (1), PR. PASCAL GAUCHERAND (1), DR. MONA MASSOUD (1) 1 - HOPITAL FEMME MERE ENFANT - OBSTETRIQUE - BRON - FRANCE 2 - HOPITAL FEMME MERE ENFANT - ANATOMOPATHOLOGIE - LYON - FRANCE L objectif de l étude est de comparer l angioarchitecture des placentas issus de grossesses gémellaires monochoriales biamniotiques (GGMCBA) compliquées d un syndrome anastomotique (séquence oligoamniospolyhydramnios ou TOPS, séquence anémie-polycytémie ou TAPS, syndrome de perfusion artérielle inversée gémellaire ou TRAP) à celle des grossesses monochoriales non compliquées. Entre Décembre 2012 et Mars 2014, tous les placentas des GGMCBA ont été recueillis au sein du Centre des Grossesses Multiples de l hôpital Femme Mère Enfant à Lyon. Les cordons placentaires ont été cathéterisés et injectés d encre colorée afin de révéler les vaisseaux de la plaque choriale placentaire. L interprétation a eu lieu en étude macroscopique à l unité d anatomopathologie. Soixante-dix placentas ont été cathéterisés et injectés d encre colorée dans le post partum. Une insertion cordonale marginale a été retrouvée dans 38,5% (27/70) des placentas. Une insertion vélamenteuse a été retrouvée dans 14,2% (10/70) des placentas. 100% des placentas injectés (70/70) ont présenté des anastomoses artérioveineuses (AAV) avec une moyenne de 4 AAV directes. Parmi les grossesses non compliquées, 4,9% (3/61) des placentas ont présenté une anastomose veinoveineuse (AVV) et 96,7% (59/61) des placentas ont présenté une anastomose artérioartérielle (AAA) de calibre > 1mm. Parmi les 4 placentas de TOPS, l AAA était soit absente (1/4), soit de calibre < 1mm (3/4). Parmi les 3 placentas de TAPS, l équateur vasculaire comprenaient de très petites AAV transcotylédonaires (3/3). L observation des 2 placentas de TRAP révèle une unité vasculaire totale entre le jumeau et la masse acardiaque. Notre étude confirme les données de la littérature et montre la présence d anastomoses vasculaires sur les placentas des GGMCBA dans 100% cas, en soulevant le rôle protecteur des AAA vis à vis des TOPS et TAPS, toutefois le rôle des AVV reste difficile à déterminer. L observation macroscopique des placentas dans le post partum est un temps essentiel et nécessaire dans la compréhension, la gestion et le traitement des syndromes anastomotiques.
5 9h15 - CO044 EXPLORATION FONCTIONNELLE DU PLACENTA PAR ECHOGRAPHIE DE CONTRASTE ET IMAGERIE PHOTOACOUSTIQUE A DIFFERENTS STADES DE LA GESTATION CHEZ LA RATE DR. CHLOE ARTHUIS (2), MR. ANTHONY NOVELL (2), MR. JEAN MICHEL ESCOFFRE (2), DR. EMMANUEL SIMON (1), MR. ALAIN LEPAPE (2), MR. AYACHE BOUAKAZ (2), PR. FRANCK PERROTIN (1) 1 - CHU BRETONNEAU - OBSTETRIQUE - TOURS - FRANCE 2 - INSERM U930 - UNIVERSITE FRANCOIS RABELAIS - TOURS - FRANCE L altération de la fonction placentaire est associée à une réduction de la perfusion et de l oxygénation foetoplacentaire pouvant expliquer la survenue de complications telles que le retard de croissance intra-utérin et la prééclampsie. L échographie fonctionnelle permet d étudier la perfusion à l aide d agents de contraste et d évaluer l oxygénation avec l imagerie photoacoustique. La photoacoustique est une modalité d'imagerie préclinique non invasive combinant l'imagerie optique et les ultrasons. Elle permet d apprécier la saturation en oxygène tissulaire (SO 2 ). L objectif de cette étude est d évaluer les changements de perfusion et d oxygénation placentaire à différents stades de la gestation chez la rate. Etude expérimentale réalisée aux jours 14, 17 et 20 de la gestation sur dix rates Sprague-Dawley. Un échographe haute résolution dédié au petit animal était utilisé pour les acquisitions en échographie de contraste. Une injection intraveineuse d agents de contraste adaptés aux hautes fréquences permettait l analyse de la perfusion placentaire. L intensité du signal, les vitesses de perfusion et de vidange des agents de contraste étaient quantifiées dans les compartiments maternel et fœtal du placenta. Dans un second temps, les variations d oxygénation ont été évaluées au cours de périodes d hyperoxie et d hypoxie maternelle dans 3 régions de l unité foeto-placentaire. Les procédures ont été approuvées par le comité d éthique animal. L injection des agents de contraste est visualisée rapidement au niveau du compartiment maternel puis s étend lentement au compartiment fœtal. Entre les jours 14 et 20, le pic d intensité maximale est multiplié par 6,1 au niveau des deux compartiments (p<0,01) et la surface totale du placenta est multipliée par 3 (p<0,001). Au cours de la procédure d imagerie photoacoustique, les variations de SO 2 ont été observées en temps réel. Lors de l hypoxie maternelle, la SO 2 diminue significativement dans chacune des régions (p<0,001). L hyperoxie est également bien visualisée avec un retour à la ligne de base de la SO 2 en 1min20 environ. L effet de l hypoxie est moins marqué au niveau du placenta par rapport aux autres régions étudiées (p=0,005). L échographie de contraste suggère une augmentation rapide de la perfusion placentaire avec l âge gestationnel. L imagerie photoacoustique est une modalité d imagerie fonctionnelle innovante permettant d évaluer la SO 2 du placenta. Il s agit de la première étude sur la photoacoustique en obstétrique. Cette étude a été financée en partie par la Société Française de Médecine Périnatale (Bourse SFMP 2013).
6 9h30 - CO045 MORT FOETALE IN UTERO (MFIU) : EXISTE-T-IL UN INTERET A REPETER LES BILANS D'HEMOSTASE POUR DETECTER UNE COAGULOPATHIE? MELLE. MARIE CAYROL (1), MR. JEROME POTIN (1), MME. ANNE LE LOUARN (1), MR. JEAN-CHRISTOPHE MANGIN (1), MR. MARC LAFFON (1), MR. FRANCK PERROTIN (1) 1 - CHU BRETONNEAU - GYNECOLOGIE-OBSTETRIQUE B - TOURS - FRANCE La découverte d une MFIU fait redouter la survenue d une coagulopathie maternelle et des complications hémorragiques. Le bilan d hémostase de ces patientes est alors fréquemment contrôlé avant l accouchement. L objectif de notre étude était d identifier les modifications d hémostase entre le diagnostic de la MFIU et l expulsion et de préciser le cas échéant, les complications hémorragiques liées à un tel évènement. 2\"> La répétition des bilans d hémostase est-elle justifiée et doit-elle être recommandée? Nous avons mené une étude rétrospective, du 01/01/2004 au 12/12/2013 au CHU de Tours, portant sur toutes les patientes ayant accouché d un enfant sans vie, dont le diagnostic de MFIU avait été porté à un terme 22 SA, à l exclusion des Interruptions Médicales de Grossesse (IMG). Nous avons relevé le terme de la MFIU, le terme de l expulsion, et les résultats des marqueurs biologiques d hémostase lors de ces deux évènements : le taux de plaquettes (G/L), le taux de Prothrombine (TP, en %), le Temps de Céphaline Activée (TCA, en ratio par rapport au TCA témoin), et le taux de fibrinogène (en g/l). Le test de Student, ou test de Fisher en cas de petits effectifs, ont permis de comparer ces variables quantitatives aux différents temps. L évolution des données biologiques a été analysée avec le test de Wilcoxon pour échantillons appariés. Les comparaisons de données qualitatives ont été réalisées avec le test du Chi-deux, ou le test de Kruskall Wallis en cas d effectifs insuffisants. Nous avons inclus 116 patientes, dont le terme moyen au diagnostic de MFIU était de 30,5 ± 5,7 SA. Nous avons identifié 11 grossesses multiples (10 grossesses gémellaires et 1 grossesse triple), et 105 grossesses uniques. 37 % des femmes étaient des primigestes. 17 MFIU (14,6 %) ont été diagnostiquées dans un contexte aigu et grave de prééclampsie (PE), de HELLP syndrome, ou d hématome rétroplacentaire (HRP) ; 11,1 % de ces femmes présentaient d emblée des troubles de la coagulation lors du diagnostic de la MFIU, et pour 52,9 % d entre elles, une coagulopathie a été diagnostiquée lors de l accouchement. Cinq patientes avaient une hypofibrinogénémie 2,5 g/l à l admission et ont eu significativement plus d hémorragies du post-partum (p 0,001). Les 88 femmes (75,9 %) avec une grossesse unique et non «symptomatiques» lors de la MFIU, n avaient pas de trouble de la coagulation lors du diagnostic, ni lors de l expulsion, même en cas d hémorragie du post-partum [ cc]. 68,2 % de ces femmes ont eu au moins un contrôle de l hémostase avant l expulsion, pour un temps moyen de rétention du foetus mort de 2,1 ± 1,9 jours [0-13]. Parmi les 11 grossesses multiples, de cinq à dix bilans biologiques de contrôle ont été effectués et aucun trouble de l hémostase n a été mis en évidence, malgré des temps de rétention longs, de 8 à 91 jours. Nous avons montré que les MFIU diagnostiquées en l absence de PE, de HELLP syndrome, ou d HRP, n entraînaient pas de trouble de l hémostase et cela malgré des temps de rétention prolongée. Ainsi, il n apparaît pas justifié de répéter les bilans d hémostase jusqu à l accouchement, et l anesthésie périmédullaire peut être indiquée avec les mêmes critères que dans le cadre d une grossesse normale.
7 9h45 - CO046 DIAGNOSTICS MORPHOLOGIQUES FAUSSEMENT POSITIFS A L'ECHOGRAPHIE OBSTETRICALE: PROBLEME MARGINAL OU NON? DR. ANNE DEBOST-LEGRAND (1), DR. HELENE LAURICHESSE-DELMAS (2), DR. CHRISTINE FRANCANNET (4), DR. ISABELLE PERTHUS (5), PR. DENIS GALLOT (6), PR. DIDIER LEMERY (3), PR. FRANCOISE VENDITTELLI (7) 1 - CHU CLERMONT-FERRAND - SANTE PUBLIQUE - CLERMONT-FERRAND - FRANCE 2 - CHU CLERMONT-FERRAND - POLE DE GYNECOLOGIE-OBSTETRIQUE ET REPRODUCTION HUMAINE - CLERMONT-FERRAND - FRANCE 3 - CLERMONT UNIVERSITE, UNIVERSITE D'AUVERGNE - EA 4681, PEPRADE - CLERMONT-FERRAND - FRANCE 4 - CHU CLERMONT-FERRAND - SERVICE DE GENETIQUE MEDICALE - CLERMONT-FERRAND - FRANCE 5 - CEMC-AUVERGNE - - CLERMONT-FERRAND - FRANCE 6 - CLERMONT UNIVERSITE, UNIVERSITE D'AUVERGNE - R2D2-EA CLERMONT-FERRAND - FRANCE 7 - AUDIPOG - - LYON - FRANCE Les malformations congénitales, représentent 3 à 4% des naissances vivantes. Le taux de faux positif, tous appareils confondus, a été estimé entre 0.5 et 33.0%, selon des études réalisées en population générale. Notre étude avait pour objectif principal d établir les taux de faux positifs (aucune malformation à la naissance) globaux au 2ème et 3ème trimestre de la grossesse, au sein de la région Auvergne. Les objectifs secondaires étaient d évaluer, par appareil anatomique, les taux de faux positifs et d erreurs diagnostiques (toutes les malformations suspectées en anténatal n ont pas été confirmées en postnatal et/ou d erreur sur le type de la malformation d organe). L Auvergne comporte 10 maternités coordonnées par un réseau de santé périnatale. Il n y a qu un seul Centre Pluridisciplinaire de Diagnostic Prénatal (CPDP) travaillant en lien avec le réseau de santé périnatale et le Centre d Etude des Malformations Congénitales en région Auvergne (CEMC-Auvergne). Un des représentants du CEMC-Auvergne a assisté systématiquement aux réunions d expertises hebdomadaires des dossiers présentés au CPDP. L inclusion définitive dans la base de données informatisée du registre n a été réalisée qu après la naissance de l enfant, suite à la réalisation d examens para cliniques ou cliniques permettant d établir avec certitude la présence ou l absence de la ou des malformation(s), ou une erreur diagnostique concernant l organe malformé. Notre échantillon a porté sur tous les enfants nés entre le 1 janvier 2006 et le 31 décembre 2009 et dont la mère a bénéficié d une expertise échographique auprès du CPDP Auvergne afin de confirmer la malformation congénitale au cours des échographies du 2ème ou du 3ème trimestre. Après la naissance, les enfants ont été répartis en trois groupes : le groupe des «vrais positifs ; le groupe des «faux positifs», et le groupe des «erreurs diagnostiques». Parmi les 526 dossiers d enfants, le taux global de faux positifs était de 8,8% (IC95% : 6,5-11,5) après l échographie dite de référence. Le taux de faux positifs était de 7,9% (IC95% : 5,3-11,3) rapporté à l échographie de 20-25SA. Ce taux était de 10,4% (IC95% : 6,5-15,6) rapporté à l échographie de 30-35SA. Le taux global d erreurs diagnostiques était de 9,2% (IC95% : 6,9-11,9). Le taux d erreurs typologiques était de 10,8% (IC95% : 7,7-14,6) rapporté à l échographie de 20-25SA et de 6,3% (IC95% : 3,3-10,7) rapporté à l échographie de 30-35SA. La répartition des faux positifs, par appareil anatomique, a montré que les malformations du tractus digestif et les malformations rénales, étaient les plus souvent diagnostiquées à tort. Les plus forts taux d erreur diagnostiques ont été retrouvés pour les malformations cérébrales et cardiaques. Le taux d erreurs diagnostiques était significativement supérieur au taux des faux positifs pour les malformations cardiaques. Le taux de faux positifs de cette étude (8,8%) était comparable à la majorité des études publiées (9 et 12%). Le taux d erreurs diagnostiques dans notre étude (9,2%) semblait un peu plus élevé que les taux retrouvés dans la littérature. Ces taux ne sont pas négligeables et peuvent être à l origine d une surmédicalisation de la grossesse et de l enfant ainsi qu une source de stress pour les parents. Il serait intéressant d analyser les facteurs prédictifs de survenue des faux positifs de l échographie.
8 10h00 - CO047 PREDICTION DU RISQUE DE PATHOLOGIE VASCULAIRE PLACENTAIRE ET DE MALADIE THROMBOEMBOLIQUE VEINEUSE : PLACE DES FACTEURS ANGIOGENIQUES. ETUDE ANGIOPRED MME. TIPHAINE BARJAT (1), MR. JEAN CHRISTOPHE GRIS (2), MR. PATRICK MISMETTI (3), MME. CELINE CHAPELLE (3), MME. SILVY LAPORTE (3), MME. CELINE CHAULEUR (1) 1 - CHU HOPITAL NORD - GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE - SAINT ETIENNE CEDEX 2 - FRANCE 2 - CHU CAREMEAU - LABORATOIRE D'HEMATOLOGIE - NIMES - FRANCE 3 - CHU HOPITAL NORD - GROUPE DE RECHERCHE SUR LA THROMBOSE EA SAINT ETIENNE - FRANCE Evaluer le taux de deux facteurs angiogéniques, sflt1 et SEng, comme facteur prédictif du risque de pathologie vasculaire placentaire (PVP) chez des patientes à risque de développer une PVP. Etude de cohorte prospective multicentrique menée entre Juin 2008 et Octobre 2010 ayant permis le dosage de deux facteurs angiogéniques, la soluble Fms-like tyrosine kinase (sflt1) et la soluble endoglin (SEng), chez 200 patientes à haut risque de récidive de pathologies vasculaires placentaires (PVP) à 20, 24, 28, 32 et 36 SA. 45 patientes ont présenté une PVP. sflt1 et SEng étaient augmentés chez les patientes à haut risque ayant présenté une PVP par rapport aux patientes n ayant pas présenté de PVP et ce de façon précoce à 28SA (p=0,0017 et 0,002), à 32SA (p= <0,0001 et <0,0001) et à 36SA (p=0,0007 et 0,0003). Les patientes ayant présenté une PVP précoce <34SA avaient des taux plasmatiques élevés à 20 (p= 0,1607 et 0,0321) et 24SA (p= 0,0159 et 0,0245) et celles ayant présenté une PVP tardive ont des taux augmentés à 32 (p= 0,0486 et 0,6115) et 36SA (p=0,0567 et 0,0846). Les AUC pour la prédiction des PVP précoces et tardives étaient en moyenne de 0,71 pour sflt1 et de 0,73 pour SEng. Chez les patientes à haut risque, les facteurs angiogéniques sont perturbés avant la survenue d une PVP. Ces marqueurs pourraient venir en complément d une stratégie de dépistage incluant les données cliniques et l échographie avec mesure du doppler des artères utérines.
9 10h15 - CO048 DEPISTAGE ECHOGRAPHIQUE DU SPINA BIFIDA PAR LE RAPPORT CEPHALO-ABDOMINAL AU PREMIER TRIMESTRE DE LA GROSSESSE DR. CHLOE ARTHUIS (1), DR. EMMANUEL SIMON (1), DR. GEORGE HADDAD (2), DR. PHILIPPE BERTRAND (3), PR. FRANCK PERROTIN (1) 1 - CHU BRETONNEAU - OBSTETRIQUE - TOURS - FRANCE 2 - CENTRE MOSAIQUE SANTE - - BLOIS - FRANCE 3 - CHU BRETONNEAU - BIOSTATISTIQUES - TOURS - FRANCE Au premier trimestre de la grossesse, le diamètre bipariétal (BIP) inférieur au 5 ème percentile est un paramètre simple qui permet de dépister la moitié des spina bifida ouverts. Nous faisons l hypothèse que rapporter la mesure du BIP à celle du diamètre abdominal transverse (DAT) peut être une autre méthode simple et efficace. Nous avons évalué les performances du rapport BIP/DAT au premier trimestre de la grossesse pour le dépistage du spina bifida. Un total de échographies du premier trimestre (11-14 semaines d aménorrhées (SA)) ont été analysées rétrospectivement sur la période de 2000 à Parmi elles, 26 spina bifida ouverts et grossesses sans spina bifida ont été analysées. La moyenne du rapport BIP/DAT était de 0,99 (±0,06) pour les spina bifida et de 1,13 (±0,06) pour les témoins (p<0,0001). Le BIP 5 ème percentile permettait de dépister 46,2% des spina bifida, tandis que le BIP/DAT 1 en dépistait 69,2% et que l association BIP 5 ème percentile ou BIP/DAT 1 dépistait 76,9% des cas. Dans ce dernier cas la fraction de faux positifs était de 5,1%, tandis qu elle était de 0,6% pour la combinaison des deux paramètres (BIP 5 ème percentile et BIP/DAT 1). La sensibilité était alors de 38,5% et la valeur prédictive positive était de 8,5%). L aire sous la courbe ROC était de 0,76 (IC 95% : 0,67 0,84) pour le BIP 5 ème percentile et de 0,95 (IC 95% : 0,92 0,97) pour le BIP/DAT (p<0,0001). En considérant une population fictive dont la prévalence du spina bifida ouvert était de 1/1000, la présence du paramètre BIP/DAT 1 majorait le risque de spina bifida et engendrait une probabilité post-test de 1/30. Pour une prévalence de 1/5000, la probabilité post-test était de 1/170. Entre 11 et 14 SA, le rapport de la mesure du BIP à celle du DAT améliore considérablement les performances d une simple mesure de BIP pour le dépistage du spina bifida ouvert. Un tel signe d appel reste facile à rechercher pour le dépisteur et est applicable à une large population.
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