Compte-rendu. Paris 15 octobre Les Ateliers Perspectives et Solutions de BSR. L avenir du reporting RSE : Reporting intégré et matérialité
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- Flavie Audet
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1 Compte-rendu L avenir du reporting RSE : Reporting intégré et matérialité Paris 15 octobre 2013 A propos de BSR Leader mondial de la responsabilité sociale, sociétale et environnementale des entreprises (RSE) depuis 1992, BSR travaille avec son réseau international de plus de 250 entreprises membres afin d assister la définition de stratégies et de solutions pour les entreprises au travers de conseils ciblés, de travaux de recherche, et d initiatives collaboratives multisectorielles. Avec huit bureaux en Europe, en Amérique du Nord, en Amérique du Sud et en Asie, BSR concentre son expertise sur les enjeux suivants: développement économique, environnement, gouvernance et redevabilité, et droits humains. Pour plus d informations: Les Ateliers Perspectives et Solutions de BSR 3 juillet, 2012 Les Ateliers Perspectives et Solutions de BSR offrent aux praticiens de la RSE les clés et les outils pour faire face aux défis de la RSE et du développement durable. Chaque atelier est l occasion de se rencontrer dans un environnement privilégié et propice à l échange. L avenir du reporting RSE : Reporting intégré et matérialité DÉTAILS DE L ÉVÉNEMENT Date : 15 octobre 2013 Heure : 8h-10h Lieu : 85 Boulevard Haussmann, Paris L'organisation International Integrated Reporting Council (IIRC) coordonne le développement international du reporting intégré, en anglais «Integrated Reporting» ou bien <IR>. L objectif est d engager au sein des entreprises un processus de reporting centré autour de la stratégie et la création de valeur en intégrant de manière cohérente et concise les différents volets de reporting des entreprises, qu ils soient financier, social, environnemental, et d y ajouter des données sur le contexte extérieur. Cette approche innovante entend faire évoluer les pratiques d affaires et les techniques d évaluation de la performance, en s intéressant non plus uniquement à la valeur court-terme d une entreprise mais bien à la création de valeur à moyen et long termes.» Quels sont les éléments-clés d'une démarche de "reporting intégré"?» Quelles implications pour les entreprises en France et dans le monde, notamment au regard des pratiques et standards actuels de reporting de la performance RSE (Grenelle 2, G4, UN Global Compact, etc.)?» Comment utiliser une approche de «matérialité» pour définir les élémentsclés de la performance RSE? Intervenants» Guy Morgan, Director, Advisory Services, BSR» Nick Landrot, Relationships Manager, IIRC BSR Compte-rendu 15 octobre
2 Compte rendu des échanges Lors de ce petit déjeuner, les échanges ont été modérés par Guy Morgan, Directeur, Advisory Services de BSR. Nous avons eu le plaisir de recevoir Nick Landrot, un représentant de l IIRC qui nous a présenté la démarche de reporting intégré, ainsi que le cadre de référence international développé par les entreprises, les investisseurs et la société civile réunies au sein des groupes de travail de l IIRC. Pour aller plus loin, nous avons également réfléchi aux moyens d engager les différentes parties prenantes dans cette démarche, pour une plus grande transparence et meilleure efficacité. LES GRANDS THÈMES ABORDÉS LORS DE L ATELIER 1. L évolution du milieu du reporting Les entreprises doivent faire face à des attentes de plus en plus exigeantes et diversifiées venant des investisseurs, des régulateurs, mais aussi des clients. Les investisseurs et les évaluateurs demandent aujourd hui aux entreprises de communiquer des informations ESG qui seront intégrées dans l'analyse des investissements et les gouvernements à travers le monde sont de plus en plus exigeants sur les rapports RSE, comme par exemple en France avec la loi Grenelle 2. L attente augmente aussi au sein de la chaîne de valeur, du début de la chaîne où les différents fournisseurs se doivent de produire un rapport RSE à la fin de la chaîne où les consommateurs comparent les performances de durabilité au niveau du produit. On parle maintenant de l ère de l hyper transparence. Il s agit pour l ensemble des parties prenantes de comprendre l entreprise et son business model dans sa globalité. Certes, le nombre de rapports GRI produits dans le monde ne cesse d augmenter (Graphique 1), pourtant les rapports produits ne suffisent souvent pas et sont peu pris en compte ou critiqués par les parties prenantes. Graphique 1 Nombre de rapports GRI produits dans le monde entre 1999 et 2010 Source: GRI, a year in review, 2011 D après les observations de BSR, les entreprises peinent à être à la hauteur pour deux raisons principales. La première faiblesse relève de la qualité des contenus tandis que la seconde se rapporte au processus même de production des rapports. BSR Compte-rendu 15 octobre
3 Pour ce qui est du contenu des rapports, les points faibles les plus souvent répertoriés par BSR sont les suivants: Le manque d'intégration : Le concept de durabilité est déconnecté de la stratégie et de la création de valeur de l entreprise. Les performances passées : L accent est mis sur le passé au détriment des perspectives d'avenir. L absence de connexion entre données quantitatives et qualitatives : Il n y a souvent aucun lien entre les données de performance de l entreprise et l explication qui en est fait. D autre part, en matière de production de l information, les faiblesses des rapports sont axées sur 3 points: Préparation «ad-hoc»: Le processus de préparation manque de rigueur suffisante pour soutenir une réflexion stratégique. Implication limitée des dirigeants: L'implication du top-management est souvent trop tardive pour assurer l impact du reporting sur la performance de l entreprise. Engagement des parties prenantes limité: Le processus n inclut pas suffisamment les parties prenantes clés en amont et en aval. Ainsi, la production de rapports de qualité qui répondraient aux attentes des différentes parties prenantes et présenteraient au mieux les performances de l entreprise dans son écosystème, représente un véritable défi pour les entreprises. BSR anticipe une adaptation rapide des nouvelles attentes : L'intérêt des investisseurs va augmenter L examen de la qualité et de la fiabilité du rapport est de plus en plus rigoureux Les rapports RSE sont pris au sérieux en tant que publications officielles au même titre que les rapports financiers Le rapport est attendu comme le résultat d'un cycle annuel formel reproductible Pour répondre à ces tendances, les entreprises s engagent dans un processus de reporting dont la finalité est la production de rapports plus transparents et intégrés. Principalement trois organisations offrent des cadres de reporting visant à faciliter la communication des informations ESG. La Global Reporting Initiative (GRI) a publié en mai 2013 la quatrième génération de ses lignes directrices pour le reporting développement durable, connues sous le nom de G4. De la même manière, le Sustainability Accounting Standards Board (SASB) établit des normes sectorielles déclinées en indicateurs et approches de comptabilité et de gestion. Enfin, l International Integrated Reporting Council (IIRC) prône BSR Compte-rendu 15 octobre
4 l élaboration de rapports qui mettent en avant la stratégie et la création de valeur globale, à moyen et long terme. 2. La démarche de reporting intégré : la vision de l IIRC L IIRC est une organisation qui regroupe différentes parties prenantes et vise à créer un cadre de référence international pour une meilleure présentation de la création de valeur de l entreprise, qui est la prochaine étape fondamentale de l évolution du reporting des entreprises. L organisation été créé en 2010 sur la base de quatre constats :» Depuis la crise financière, les sociétés civiles ont souvent une image erronée des entreprises et ont besoin de toutes les informations nécessaires à la bonne compréhension de leur business model.» Les rapports annuels sont souvent très denses et longs et la nécessité de communiquer plus simplement et plus directement a été soulevée par les investisseurs, mais aussi les employés, les clients et la société civile.» Les rapports sont souvent déconnectés, résultats financiers d un côté et rapport extra-financier de l autre. Cette déconnexion entre la RSE et la performance financière de l entreprise provient d un manque de dialogue et d un cadre de référence commun. Cela dit, certains pays sont en avance comme par exemple l Afrique du Sud qui a déjà réglementé les rapports intégrés.» Sans cadre de référence commun au niveau international, la comparaison entre entreprises de différents pays est difficile pour toutes les parties prenantes. Il faut donc un cadre commun mais volontaire. Nick Landrot de l IIRC présente la démarche de reporting intégré comme suit :» Le rapport intégré est une communication concise sur la manière dont le business model, la stratégie, l organisation et la gouvernance de l entreprise lui permettent de créer de la valeur à court, moyen et long terme.» Le reporting intégré se base sur six types de capitaux qui font la valeur de l'entreprise: les capitaux financiers et industriels, les capitaux humains et intellectuels et les capitaux naturels et sociaux.» Le cadre de référence établit les principes et le contenu du reporting intégré. Ainsi, le rapport intégré doit mettre en évidence l apport de l organisation de l entreprise, de la gouvernance interne, de la gestion des risques, mais aussi la définition des opportunités, la stratégie, le business model, la performance et la vision du futur.» S il définit aussi les concepts fondamentaux, le cadre de référence n a pas vocation à sélectionner les indicateurs par secteur. Les entreprises et les investisseurs détermineront les indicateurs adéquats pour donner la plus juste image de l entreprise. IIRC prône un cadre de référence et non pas un référentiel. Suite à la publication de sa première version en avril 2013, une consultation avec des entreprises a permis le retour de 359 réponses, dont beaucoup de réponses collégiales, les entreprises ayant mutualisé dans plusieurs pays leurs points de vue à travers des organisations représentatives. A l issue de cette consultation, la version finale du cadre de référence sera publiée en décembre 2013 en anglais et début 2014 en français. BSR Compte-rendu 15 octobre
5 3. Questions et réponses des participants avec Nick Landrot, IIRC.» Puisque les entreprises se doivent de suivre les obligations règlementaires, la question est de savoir comment lier cela avec la création de valeur. Pourquoi l IIRC ne nous aide pas à compléter les 42 indicateurs du Grenelle en donnant des exemples concrets de création de valeur pour ces indicateurs? Une contrainte pourrait ainsi devenir une opportunité. Le fait de devoir respecter des législations vous amène à prendre des décisions qui vont avoir un impact stratégique et peut être intégré et lié à la création de valeur. L IIRC a décidé de séquencer ses actions en deux étapes. La première étape était de définir le cadre avec ses concepts fondamentaux. Suite à la publication du cadre, le défi du 1er semestre 2014 en France sera de faire le lien entre l'iirc et la loi Grenelle II, afin que ça ne soit pas un surcoût pour les entreprises. Nous axerons nos actions sur la mise en œuvre et nos conseils seront donc plus concrets.» Quelles sont les implications pour les entreprises? Aurons-nous un reporting intégré financier et à coté un reporting qui cherche à satisfaire les parties prenantes? Le reporting intégré est un processus dont le rapport intégré est la résultante. Aujourd hui, il n est plus pérenne de déconnecter la performance financière de l entreprise des autres données notamment RSE. La valeur de l entreprise se perçoit non seulement à travers ses résultats financiers, mais aussi via sa stratégie et son utilisation des différentes formes de capitaux. Afin de rester concis et focalisé, le rapport intégré peut être la porte d entrée vers d autres sources d informations. La connectivité enverra vers d autres rapports tels que le rapport RSE.» Dans cinq ans, pensez-vous que le rapport intégré sera produit en tant que rapport supplémentaire au rapport annuel et financier? Le rapport intégré devra être une partie de la communication financière qui devra être autonome. C est-à-dire que lecteur doit pouvoir le lire et le comprendre sans avoir besoin du rapport financier. En revanche, il est possible qu il soit intégré dans le rapport annuel.» Vers quelle définition de la matérialité vous orientez-vous au sein de l IIRC? Selon les retours de la consultation entreprise par l IIRC, la notion de matérialité reste à préciser. Les groupes de travail sont donc en train de la définir plus précisément, la dernière réunion aura lieu les octobre Mais d après ma conviction personnelle, ce qui est matériel pour l entreprise est ce qui permet la création de valeur à moyen-long terme. C est directement lié aux choix stratégiques du management. Par exemple, un employé non-motivé entraîne une perte de valeur financière à moyen et long terme, les actions mises en œuvre pour nourrir sa motivation BSR Compte-rendu 15 octobre
6 peuvent être une décision stratégique. Ce que j entends par création de valeur comprend aussi la destruction de valeur, c'est l'addition des plus' et des moins'. La matérialité ne dépend pas de la partie prenante à qui l entreprise souhaite s adresser mais bien de la stratégie d entreprise et de son business model.» Quelle est le lien entre la matérialité et les six capitaux définis par l IIRC? Toutes les entreprises n ont pas vocation à utiliser les six capitaux. La sélection doit être faîte en fonction du secteur de l entreprise et ce qu elle souhaite mettre en avant pour que tous les acteurs comprennent au mieux l activité de l entreprise. Il faut mettre en avant les principes qui permettent à tout le monde de comprendre au mieux la stratégie, le business model et la création de valeur de l entreprise.» Quelles différences existent aujourd hui sur la définition de matérialité RSE entre les acteurs du reporting? D après l IIRC, la matérialité doit répondre principalement aux questions des investisseurs, ce qui n est pas le cas pour le Global Reporting Initiative (GRI). Mais les organismes ont pour objectif de converger à un niveau global vers une définition partagée.» Si donner une vision globale de l entreprise et de ses fournisseurs est souhaitable, où faut-il s arrêter? Comment vérifier la transparence de tous les acteurs de la chaîne de valeur? C est une très bonne question. C est une histoire qui est en train d être écrite. Par exemple, les organismes de reporting sont actuellement en cours de réflexion sur les problèmes de sous-traitance et de certification. Pour aller plus loin LECTURES RECOMMANDÉES Voici quelques contenus pour continuer la réflexion :» Newsletter BSR Insight, Guy Morgan, Navigating the Materiality Muddle» Newsletter BSR Insight, Guy Morgan, Integrated Report, or Integrated Reporting?» IIRC, Consultation Draft of the International IR framework BSR Compte-rendu 15 octobre
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