Stationnement et macarons : enquête auprès des habitants détenteurs de macarons en Ville de Genève

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Stationnement et macarons : enquête auprès des habitants détenteurs de macarons en Ville de Genève"

Transcription

1 République et Canton de Genève Département du territoire Office cantonal de la mobilité Stationnement et macarons : enquête auprès des habitants détenteurs de macarons en Ville de Genève rapport de synthèse mars 2006 réalisation : Observatoire Universitaire de la Mobilité (UNIGE)

2 2

3 3 Avant-propos L Office cantonal de la mobilité du canton de Genève et le Service de la mobilité de la Ville de Genève ont souhaité pouvoir mieux appréhender le fonctionnement du système macarons et la situation du stationnement dans les quartiers. Ils ont mandaté l Observatoire Universitaire de la Mobilité (OUM) de l Université de Genève afin de préparer et d analyser une enquête téléphonique auprès d habitants détenteurs de macarons de stationnement en Ville de Genève. L enquête a été réalisée par l institut érasm en partenariat avec la Fondation des parkings. Ce document constitue le rapport de synthèse de l étude réalisée. Les analyses complètes sont présentées dans le rapport technique de l étude, «Stationnement et macarons : enquête auprès des habitants détenteurs de macarons en Ville de Genève : rapport technique, mars 2006». Ces deux documents se limitent à présenter, à analyser et à interpréter les résultats de l enquête réalisée. Ils n ont pas pour but la proposition de mesures nouvelles en matière de politique du stationnement. Table des matières L étude et ses objectifs... 4 Zones macarons sélectionnées pour l enquête... 5 Les principaux enseignements de l étude... 6 Qui sont les détenteurs de macarons?... 6 Quelles sont les conditions de recherche de places de stationnement dans les zones macarons?... 7 Quels ont été les changements de comportement des détenteurs depuis l introduction du système macarons?... 9 Quelle est la sensibilité des détenteurs au prix du stationnement?... 9 Quelles sont les mesures souhaitées pour améliorer le fonctionnement du système macarons?... 11

4 4 L étude et ses objectifs La présente étude a eu pour but de répondre aux questionnements suivants : Qui sont les détenteurs de macarons et quels sont leurs comportements en matière d utilisation de la voiture? Il s agissait ici notamment de préciser comment les détenteurs se caractérisent relativement à différents indicateurs de transport (nombre de macarons et de voitures dans le ménage, disposition d une place de stationnement privée) et à quel(s) moment(s) et à quelle(s) fréquence(s) ils utilisent leur voiture ; Quelles sont les conditions de recherche de places dans les zones macarons et quel est l avis des détenteurs de macarons sur ce système de gestion du stationnement? Le but était ici d évaluer la difficulté à trouver une place de stationnement dans les zones macarons, de déterminer le type de places de stationnement utilisées par les détenteurs, de connaître enfin l avis des détenteurs sur l évolution des conditions de recherche de places et sur le système macarons lui-même ; Quels ont été les changements de comportement des détenteurs en matière de stationnement depuis l introduction du système macarons? Il s agissait ici d évaluer dans quelle mesure on a assisté, suite à l introduction des macarons, à un report du stationnement des habitants de l offre privée vers l offre publique sur voirie ; Quelle est la sensibilité des détenteurs aux prix du stationnement? L objectif était ici de préciser le prix maximum acceptable par les détenteurs pour le macaron, ainsi que d évaluer leur disposition à louer une place privée et le montant qu ils seraient prêts à y consacrer ; Quelles mesures sont-elles souhaitées par les détenteurs pour améliorer le fonctionnement du système? Afin d apporter des réponses à ces questionnements, l étude se base sur une enquête téléphonique réalisée au mois de septembre 2005 par l'institut érasm auprès d un échantillon représentatif de détenteurs de macarons de stationnement pour habitants. Cet échantillon a été construit sur la base des données sur les détenteurs fournies par la Fondation des parkings. L utilisation de ces données a fait l objet d une procédure LITAO afin de respecter l anonymat des détenteurs de macarons interrogés. L enquête a été réalisée dans les quatre zones macarons suivantes : zone D Eaux-Vives, zone H Cluse, zone K Grand-Pré, zone L Pâquis. Ces quatre zones ont été choisies sur la base d une analyse multicritères réalisée par l Observatoire Universitaire de la Mobilité au mois de mars Le choix a privilégié des quartiers où la pression sur l offre de stationnement est élevée. Dans chacune des zones, l enquête a porté sur un échantillon de 300 détenteurs de macarons. Cette structure de l échantillon a permis la comparaison des réponses données par les détenteurs des quatre zones considérées et la mise en évidence d éventuelles différences significatives entre celles-ci. Les analyses ont été réalisées, d une part, pour l échantillon complet, en pondérant les données afin de tenir compte du poids respectif de chacune des quatre zones d enquête au niveau du nombre de macarons habitants délivrés 2, d autre part, pour chaque zone d enquête prise individuellement. Toutefois, ce rapport de synthèse se concentre sur les résultats globaux de l étude. 1 Boillat P., Loubier J.-C., Pini G., Détermination d une méthodologie pour une enquête relative au stationnement dans les zones macarons en Ville de Genève : rapport final, Observatoire Universitaire de la Mobilité, Université de Genève, mars Au 30 septembre 2005, la zone D Eaux-Vives comptait macarons habitants, la zone H Cluse 2'506, la zone K Grand- Pré 2'309, la zone L Pâquis 1'553.

5 5 Zones macarons sélectionnées pour l enquête Zones macarons Taux de motorisation (véhicules/1'000 habitants) Attractivité du système macarons (macarons vendus/véhicules immatriculés) Macarons Places bleues Macarons vendus/places bleues D Eaux-Vives % H - Cluse % K Grand-Pré % L - Pâquis % Source : OCM, secteurs macarons, données de base 2005

6 6 Les principaux enseignements de l étude Qui sont les détenteurs de macarons? Les détenteurs de macarons exercent très largement une activité professionnelle régulière (dans 75% des cas). Environ 20% d entre eux vivent au sein d un ménage disposant de plus d une voiture et 11% au sein d un ménage disposant de plus d un macaron. Près de 15% des détenteurs sont également locataires ou souslocataires d au moins un emplacement de stationnement privé à leur domicile (place en plein air, dans un garage ou dans un parking). Près de 9% des détenteurs de macarons vivent au sein de ménages disposant de davantage d options de stationnement à durée illimitée à leur domicile que de voitures. Typiquement, il s agit de ménages possédant une seule voiture et ayant acquis le macaron en complément d une place de stationnement réservée. Ils bénéficient ainsi d une plus grande flexibilité en matière de stationnement (par exemple prêt de la place privée lors de la réception d invités à domicile, sous-location de la place privée, etc.). La plupart des détenteurs (plus de 85%) ont opté pour le macaron dès que possible, sans véritable période d essai, c est-à-dire dès l introduction du système dans leur quartier, dès leur arrivée dans leur quartier actuel ou dès qu ils ont possédé ou pu utiliser une voiture. Deux détenteurs sur trois utilisent leur voiture de manière régulière en semaine (au moins une à deux fois par semaine) durant les heures de travail (avant 8h00 du matin et jusqu en fin de journée ou jusqu au soir). Un détenteur sur deux utilise sa voiture régulièrement (au moins une à deux fois par semaine) en soirée (dès 19h00) et surtout près de neuf détenteurs sur dix utilisent leur voiture régulièrement le week-end (au moins deux à trois week-ends par mois), qui apparaît ainsi comme le moment privilégié pour l usage de la voiture (déplacements pour les motifs loisirs et achats notamment). Un peu plus d un tiers des détenteurs utilisent leur voiture régulièrement aux trois moments considérés (durant les heures de travail, le soir et le week-end), mais un peu moins de 12% d entre eux utilisent leur voiture régulièrement le week-end uniquement. Enfin, seuls environ 3% indiquent n avoir aucune utilisation régulière de leur véhicule. Détenteurs de macarons utilisant leur voiture régulièrement, selon le moment, en % % 52.2% 88.3% Utilisation régulière toute la journée Utilisation régulière en soirée Utilisation régulière le week-end

7 7 Quelles sont les conditions de recherche de places de stationnement dans les zones macarons? La grande majorité des détenteurs (plus de 70%) jugent qu il est difficile, voire très difficile, de trouver une place de stationnement dans leur zone durant la journée (entre 8h00 et 19h00). Le jugement est encore plus négatif en ce qui concerne la recherche de places durant la soirée (96%), période marquée par une très forte pression de la demande sur l offre de stationnement (retour des habitants à leur domicile, déplacements pour le motif loisirs de visiteurs). On retrouve un jugement comparable pour le stationnement durant la nuit (plus de 90%), période durant laquelle on n enregistre que très peu de mouvements de véhicules, et par conséquent très peu de libérations de places, jusqu au matin. Une très forte majorité de détenteurs de macarons (près de 73%) considèrent que la période la plus critique pour rechercher une place se situe en-dehors des heures de réglementation du stationnement (entre 8h00 et 19h00), contre seulement un peu plus de 10% durant les heures de réglementation du stationnement (entre 8h00 et 19h00). L analyse du temps consacré habituellement à rechercher une place de stationnement confirme les difficultés rencontrées pour se garer dans les zones macarons. Ainsi, seuls un quart des détenteurs déclarent trouver habituellement une place en 10 minutes ou moins, un peu plus d un tiers affirment mettre entre 10 et 20 minutes pour se garer, et un dernier tiers estiment passer habituellement plus de 20 minutes à rechercher une place de stationnement. Une très large majorité des détenteurs ont déclaré s être garés sur des places bleues la dernière fois qu ils ont cherché une place dans leur zone macarons (près de neuf détenteurs sur dix). L utilisation d autres types de places est donc rare. Ainsi, seuls 6% des détenteurs ont stationné leur véhicule sur une place à horodateur ou une case pour livraison. Cependant, les détenteurs utilisant régulièrement leur voiture durant les heures de travail, et dont on peut supposer qu ils regagnent par conséquent leur quartier en-dehors ou peu avant la fin des heures de réglementation du stationnement, se garent plus souvent sur des places à horodateurs ou sur des cases pour livraison que les autres. Quant au parcage illicite, il concerne 4% des détenteurs. Les avis des détenteurs sont contrastés sur l évolution de la difficulté à trouver une place de stationnement depuis la mise en place du système macarons. Une légère majorité d avis négatifs se dégage cependant. Ainsi, près de 40% des enquêtés considèrent que la recherche d une place dans leur quartier de domicile était plus facile avant la mise en place du système, un peu plus de 30% estiment que trouver une place était au contraire plus difficile auparavant et près de 30% sont d avis qu il n y a pas eu de changement. Avis sur l évolution de la facilité à trouver une place de stationnement depuis la mise en place du système macarons, en % des détenteurs (713 répondants) 39.9% 30.7% 29.4% C'était plus difficile avant Il n'y a pas eu de changement C'était plus facile avant Si la difficulté à trouver une place est très largement soulignée par les détenteurs, ceux-ci semblent néanmoins être souvent conscients que le système macarons n est pas forcément responsable de cette situation. Ainsi, une majorité (57.5%) des détenteurs sont d avis que si le système macarons et les zones bleues étaient supprimés et

8 8 les zones blanches réintroduites, la recherche d une place de stationnement dans leur quartier serait plus difficile ou même beaucoup plus difficile qu aujourd hui. A l inverse, seule une minorité des détenteurs (16%) estiment qu il serait alors plus facile de trouver une place. Avis sur les conséquences d une suppression de la zone bleue et d une réintroduction des zones blanches sur la facilité/difficulté à trouver une place de stationnement dans son quartier, en % des détenteurs (1088 répondants) 4.6% 23.3% 34.2% 11.4% 26.5% Beaucoup plus facile qu aujourd hui Plus facile qu'aujourd'hui Identique à aujourd'hui Plus difficile qu'aujourd'hui Beaucoup plus difficile qu aujourd hui Ces résultats confirment les difficultés rencontrées pour se garer et la forte pression sur l offre de stationnement de centre-ville, en particulier durant la soirée et la nuit. Cependant, le système macarons en lui-même n apparaît pas en cause. Les tensions proviennent plutôt de l inadéquation entre une demande relativement élevée et un domaine public aux dimensions limitées et non conçu pour répondre à toutes les demandes de stationnement. Il est en effet nécessaire de considérer notamment l'offre privée et l'offre en ouvrage.

9 9 Quels ont été les changements de comportement des détenteurs depuis l introduction du système macarons? Avant la mise en place du système macarons, une très large majorité des détenteurs (81.6%) avaient déjà pour habitude de garer leur voiture dans la rue, mais une part significative d entre eux (8.8%) se garaient habituellement sur une place louée (place privée ou abonnement dans un parking collectif). Près de 9% des détenteurs affirment avoir renoncé à une place privée dans leur quartier actuel pour prendre plutôt un macaron et près de 11% disent avoir acquis un macaron en complément d une place privée. Une part significative de la demande de stationnement des habitants s est donc reportée de l offre privée vers l offre publique sur voirie. Renoncement à une place privée pour prendre un macaron, en % des détenteurs (1195 répondants) 10.8% 8.8% 80.4% Oui Non, jamais de place louée dans ce quartier Non, macaron pris en complément d une place privée Quelle est la sensibilité des détenteurs au prix du stationnement? Une part importante de détenteurs sont réfractaires à une faible augmentation du prix du macaron, fixé actuellement à 180 francs par année, soit 15 francs par mois. En effet, près de deux tiers d entre eux déclarent qu ils ne seraient plus disposés à acquérir le macaron si son prix se situait entre et 20 francs mensuels. Parmi ceux-ci, les deux tiers déclarent même ne pas être prêts à aller au-delà du prix pratiqué actuellement. Prix mensuel à partir duquel les détenteurs déclarent ne plus être prêts à acquérir le macaron, en % des détenteurs (949 répondants) 3.7% 11.1% 9.3% 12.7% 63.2% Entre 15.1 et 20 francs Entre 20,1 et 25 francs Entre 25,1 et 30 francs Entre 30,1 et 40 francs Plus de 40 francs

10 10 Cependant, plus de 44% des détenteurs déclarent avoir connaissance de places de stationnement à louer à proximité de leur domicile et plus d un détenteur sur deux se déclare disposé à louer une place (parking réservé aux habitants, place privée, etc.). La location d une place privée et les avantages qu elle procure semblent donc être largement désirés par les détenteurs. Parmi les détenteurs se déclarant disposés à payer pour louer une place, une majorité (60.4%) n ont cependant pas connaissance d une place qu ils pourraient louer. La connaissance d une place pouvant être louée est en revanche plus répandue chez les détenteurs qui ne se déclarent pas prêts à payer pour louer une place. Une explication possible de ce résultat tient peut-être dans le fait que lorsqu on a connaissance d une place en location, on connaît aussi son prix, ce qui peut dissuader de l envie de la louer. Enfin, parmi les détenteurs disposés à louer une place, seuls un peu plus de 12% déclarent n être prêts à y consacrer qu un montant sans rapport avec les prix du marché (entre 15 et 50 francs par mois). Les autres détenteurs indiquent des montants susceptibles de correspondre à un certain type d offre de place de stationnement à louer, qu il s agisse d une case extérieure (prix moyen de 97 francs par mois en Ville de Genève), d une case intérieure (prix moyen entre 168 et 183 francs) ou d un box fermé (entre 183 et 189 francs). Montant mensuel que les détenteurs de macarons sont prêts à consacrer à la location d une place de stationnement à proximité du domicile, en % des détenteurs disposés à louer une place (516 répondants) 6.6% 5.6% 14.4% 25.9% 12.2% 35.4% Entre 15 et 50 francs Entre 51 et 100 francs Entre 101 et 150 francs Entre 151 et 200 francs Plus de 200 francs Ne sait pas

11 11 Quelles sont les mesures souhaitées pour améliorer le fonctionnement du système macarons? Le type de mesure le plus souvent demandé par les détenteurs de macarons pour améliorer la situation du stationnement dans leur quartier concerne une augmentation de l offre en places bleues (plus de 30% des réponses). Toutefois, l exiguïté du territoire de la ville de Genève et la nécessité de concilier d autres usages de la voirie (redistribution de l espace public aux piétons, offre de stationnement adaptée aux besoins des clients des commerces et des visiteurs) limite fortement les possibilités d appliquer une telle mesure. Aussi, d autres mesures d exploitation et de gestion de l offre sont-elles à envisager. Parmi celles-ci, on trouve l intensification des contrôles en zone bleue, qui concerne près de 17% des autres réponses données par les détenteurs. Plus loin, 13.4% des réponses demandent une réservation des zones bleues aux seuls détenteurs habitants, près de 13% souhaitent une diminution du nombre de macarons vendus et un peu plus de 12% des réponses concernent la construction de parkings réservés aux habitants. 9.3% des réponses demandent des macarons valables dans plusieurs zones et près de 6% une limitation du nombre de terrasses utilisant des places bleues. Mesures à appliquer pour améliorer les conditions de stationnement des détenteurs de macarons, en % des réponses (réponses demandant une augmentation de l offre en places bleues non comprises) Mesures souhaitées D - Eaux- Vives (244 r.) H - Cluse (256 r.) K - Grand- Pré (192 r.) L - Pâquis (244 r.) Total (936 réponses) Intensifier les contrôles en zone bleue Réserver zones bleues aux détenteurs habitants Vendre moins de macarons Construction de parkings réservés aux habitants Macarons valables dans plusieurs zones Limiter le nombre de terrasses utilisant des places bleues Assouplir les contrôles pour détenteurs mal garés Limiter le nombre de macarons par ménage Macarons valables sur les places horodateur Assouplir les contrôles de nuit Limiter temps de stationnement aussi pour détenteurs Suppression du système macaron Autre Total P. Boillat, Observatoire Universitaire de la Mobilité, mars 2006

12 12 Questionnaire, analyse, conception et réalisation du rapport Réalisation du sondage téléphonique Patrick Boillat avec la participation de Karim Bounabe sous la direction de Giuseppe Pini Observatoire Universitaire de la Mobilité GEO-LEA-UNIGE UNIMAIL, 40 bd Pont-d Arve 1211 Genève 4 tél fax oum@geo.unige.ch Rue de la Gabelle Carouge Mandants de l étude République et Canton de Genève Département du territoire Office cantonal de la mobilité Rue du Stand Genève Tél Fax otc.secretariat@etat.ge.ch Rue du Stand Genève Tél Fax mobilite@ville-ge.ch Mise à disposition des données sur les détenteurs de macarons Fondation des parkings Carrefour de l Etoile 1 Case postale Genève 26

La mutualisation du stationnement

La mutualisation du stationnement La mutualisation du stationnement Eric GANTELET, Président SARECO SARECO est un bureau d études spécialisé sur les questions de stationnement qui conseille les collectivités territoriales depuis la définition

Plus en détail

Rencontre UQ Ile Verte

Rencontre UQ Ile Verte Rencontre UQ Ile Verte 28 mai 2015 1 Mise en place d un Groupe de Travail Déplacements Stationnement Union de Quartier Ile Verte 2 Suite à la réunion publique du 13 avril 2015 Mise en place d un groupe

Plus en détail

Guide du stationnement à Strasbourg

Guide du stationnement à Strasbourg Guide du stationnement à Strasbourg Édition 2015 Sommaire J habite le quartier...04 Je me déplace de quartier en quartier...06 Je viens travailler en ville...08 Je viens en ville occasionnellement...10

Plus en détail

PLAN DIRECTEUR DU STATIONNEMENT

PLAN DIRECTEUR DU STATIONNEMENT DIRECTION GENERALE DE LA MOBILITE ADOPTE PAR LE CONSEIL D'ETAT LE 25 AOUT 2010 VOTE PAR LE GRAND CONSEIL LE 22 MARS 2012 PLAN DIRECTEUR DU STATIONNEMENT ELABORATION Direction générale de la mobilité Gérard

Plus en détail

A terme: 5000 habitants / 600 emplois

A terme: 5000 habitants / 600 emplois Une mise en pratique du développement durable à l échelle d un quartier A terme: 5000 habitants / 600 emplois D une caserne de l armée française...... à un quartier modèle en matière de développement durable

Plus en détail

1. Les comptes de dépôt et d épargne

1. Les comptes de dépôt et d épargne 1. Les comptes de dépôt et d épargne 1.1 Les comptes de dépôt 1.1.1 Le taux de possession d un compte de dépôt Le premier constat est celui d un accès important aux comptes de dépôt, quelle que soit la

Plus en détail

Sociologie des joueurs en ligne

Sociologie des joueurs en ligne Mars 2013 Sociologie des joueurs en ligne Enquête ARJEL 2012 Autorité de régulation des jeux en ligne 2 Propos introductifs à l enquête sur la sociologie des joueurs Au-delà de la publication trimestrielle

Plus en détail

Les Français et les nuisances sonores. Ifop pour Ministère de l Ecologie, du Développement Durable et de l Energie

Les Français et les nuisances sonores. Ifop pour Ministère de l Ecologie, du Développement Durable et de l Energie Les Français et les nuisances sonores Ifop pour Ministère de l Ecologie, du Développement Durable et de l Energie RB/MCP N 112427 Contacts Ifop : Romain Bendavid / Marion Chasles-Parot Département Opinion

Plus en détail

2. Convention avec le Centre électronique de Gestion de la Ville de Neuchâtel (CEG)

2. Convention avec le Centre électronique de Gestion de la Ville de Neuchâtel (CEG) Rapport du Conseil communal au Conseil général à l appui d un créditcadre de Fr. 295 000.-- pour le financement général de divers travaux informatiques Monsieur le président, Mesdames et Messieurs les

Plus en détail

Mobilité et consommation : le cas du centre-ville de Genève édition mise à jour septembre 2002

Mobilité et consommation : le cas du centre-ville de Genève édition mise à jour septembre 2002 Mobilité et consommation : le cas du centre-ville de Genève édition mise à jour septembre 2002 Patrick Boillat avec la collaboration de Gérard Widmer Giuseppe Pini Observatoire Universitaire de la Mobilité

Plus en détail

L autopartage en trace directe : quelle alternative à la voiture particulière?

L autopartage en trace directe : quelle alternative à la voiture particulière? L autopartage en trace directe : quelle alternative à la particulière? Résultats de la première enquête sur l impact d un service d autopartage en trace directe (le cas d Autolib ) Cette étude réalisée

Plus en détail

Berne, mai 2007. Questions fréquentes au sujet de l aide sociale

Berne, mai 2007. Questions fréquentes au sujet de l aide sociale 1 Berne, mai 2007 Questions fréquentes au sujet de l aide sociale 2 Pourquoi la CSIAS en tant qu association privée peut-elle établir des normes en matière d aide sociale? La CSIAS est l association professionnelle

Plus en détail

Tempo : rentrée 2015

Tempo : rentrée 2015 Tempo : rentrée 2015 Des tarifs bas en comparaison avec d autres villes Un réseau qui s adapte aux évolutions de la demande : rationalisation de l offre Des nouvelles dessertes I. Un réseau urbain réajusté

Plus en détail

Le stationnement: mode d emploi :bettembourg:

Le stationnement: mode d emploi :bettembourg: Le stationnement: mode d emploi :bettembourg: Interview avec Gusty Graas Échevin pour la mobilité et la circulation Monsieur Graas, que signifie exactement le plan de gestion du stationnement? Trouver

Plus en détail

Evaluation des besoins en places d accueil préscolaire: Outils pour mener une enquête auprès des familles

Evaluation des besoins en places d accueil préscolaire: Outils pour mener une enquête auprès des familles Jugendamt JA Secteur des milieux d accueil Sektor familienexterne Betreuung Bd de Pérolles 24, case postale 29, 1705 Fribourg T +41 26 305 15 30, F +41 26 305 15 98 www.fr.ch/sej Fribourg, le 1 er juin

Plus en détail

Étude auprès de la génération X. Le paiement virtuel et la gestion des finances personnelles

Étude auprès de la génération X. Le paiement virtuel et la gestion des finances personnelles Étude auprès de la génération X Le paiement virtuel et la gestion des finances Rapport Présenté à Madame Martine Robergeau Agente de Développement et des Communications 11 octobre 2011 Réf. : 1855_201109/EL/cp

Plus en détail

Social. Précisions ministérielles. Avantages en nature et frais professionnels

Social. Précisions ministérielles. Avantages en nature et frais professionnels Avantages en nature et frais professionnels Précisions ministérielles L administration vient de diffuser une troisième série de questions/réponses. S agissant des avantages en nature, elle revient notamment

Plus en détail

Sondage d opinion sur les livres, les longs métrages, les périodiques canadiens et les œuvres musicales

Sondage d opinion sur les livres, les longs métrages, les périodiques canadiens et les œuvres musicales Sondage d opinion sur les livres, les longs métrages, les périodiques canadiens et les œuvres musicales Sommaire exécutif Préparé pour le ministère du Patrimoine canadien 4 septembre 2012 Date d attribution

Plus en détail

Mobilité urbaine Déplacements

Mobilité urbaine Déplacements 4 Mobilité urbaine Déplacements ctualisation de la politique du stationnement Schéma multimodal de voirie Rééquilibrage et piétonnisation de l'espace public 083 4 Mobilité urbaine / Déplacements ctualisation

Plus en détail

Demande de crédit pour l achat et la pose d horodateurs au parking du Centre. Politique globale de parcage dans le village de Château-d Oex

Demande de crédit pour l achat et la pose d horodateurs au parking du Centre. Politique globale de parcage dans le village de Château-d Oex Préavis No 11/2012 Demande de crédit pour l achat et la pose d horodateurs au parking du Centre et Politique globale de parcage dans le village de Château-d Oex Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs

Plus en détail

Les principales méthodes d évaluation

Les principales méthodes d évaluation Attention : Cette fiche n a pas pour objet de fixer administrativement la valeur des biens. Elle ne doit pas être assimilée à une instruction administrative. Elle propose les principales méthodes d évaluation

Plus en détail

CHAPITRE 4. APPLICATION DE LA NOTION D ETABLISSEMENT STABLE

CHAPITRE 4. APPLICATION DE LA NOTION D ETABLISSEMENT STABLE COMMERCE ELECTRONIQUE ET IMPOTS @ OCDE CLARIFICATION POUR L APPLICATION DE LA DÉFINITION D ÉTABLISSEMENT STABLE DANS LE CADRE DU COMMERCE ÉLECTRONIQUE : MODIFICATIONS DES COMMENTAIRES SUR L ARTICLE 5 22

Plus en détail

AVEC J AI UNE VOITURE SANS AVOIR DE VOITURE

AVEC J AI UNE VOITURE SANS AVOIR DE VOITURE AVEC J AI UNE VOITURE SANS AVOIR DE VOITURE NOUVEAU À VILLEFRANCHE- SUR-SAÔNE! Les voitures qui changent la ville AVOIR UNE VOITURE SANS AVOIR DE VOITURE Citiz : un réseau de voitures en libre-service

Plus en détail

IMMOBILIER D ENTREPRISE

IMMOBILIER D ENTREPRISE La transformation de bureaux en logements : un premier bilan PAR BRIGITTE JOUSSELLIN 1 Entre 1994 et 1998, plus de 500 000 m 2 de surfaces d activités ont été transformées en logements, permettant de résorber

Plus en détail

LETTRE CIRCULAIRE N 2003-103

LETTRE CIRCULAIRE N 2003-103 PARIS, le 09/07/2003 DIRECTION DE LA REGLEMENTATION ET DES ORIENTATIONS DU RECOUVREMENT DIROR LETTRE CIRCULAIRE N 2003-103 OBJET : Mise en oeuvre de la nouvelle réglementation relative à l'évaluation des

Plus en détail

oulez habillé et gagnez entre 100 et 200 DT par mois.

oulez habillé et gagnez entre 100 et 200 DT par mois. oulez habillé et gagnez entre 100 et 200 DT par mois. Votre voiture vous fait gagner de l argent! Roulez tendance et gagnez entre 100 et 200 DT par mois. Simplement en étant sponsorisé! Vous portez un

Plus en détail

LE PASS-TRAVAUX. Edition 2008. Le prêt PASS-TRAVAUX concerne principalement les propriétaires, seuls 2% des bénéficiaires étaient locataires en 2007.

LE PASS-TRAVAUX. Edition 2008. Le prêt PASS-TRAVAUX concerne principalement les propriétaires, seuls 2% des bénéficiaires étaient locataires en 2007. Edition 2008 LE PASS-TRAVAUX Le prêt PASS-TRAVAUX concerne principalement les propriétaires, seuls 2% des bénéficiaires étaient locataires en 2007. A la demande de l ANPEEC, MV2 Conseil a réalisé, en 2007,

Plus en détail

Circulaire du directeur des contributions L.I.R. n 104/1 1 du 20 novembre 2014. L.I.R. n 104/1

Circulaire du directeur des contributions L.I.R. n 104/1 1 du 20 novembre 2014. L.I.R. n 104/1 Circulaire du directeur des contributions L.I.R. n 104/1 1 du 20 novembre 2014 L.I.R. n 104/1 Objet : Evaluation de certains avantages accordés par l employeur à ses salariés a) Mise à la disposition à

Plus en détail

Recensement des flottes de véhicules à motorisation alternative en Rhône-Alpes

Recensement des flottes de véhicules à motorisation alternative en Rhône-Alpes Recensement des flottes de véhicules à motorisation alternative en Rhône-Alpes Estimation du potentiel de développement SYNTHÈSE DES RÉSULTATS 2014 avec le soutien de Enquête 2014 Pour la seconde fois

Plus en détail

TÂCHE 1 - INTERACTION FICHE Nº 1

TÂCHE 1 - INTERACTION FICHE Nº 1 TÂCHE 1 - INTERACTION FICHE Nº 1 Temps de préparation : 1 minute Intervention par couple : 4-5 minutes CANDIDAT A CADEAU D ANNIVERSAIRE Votre collègue et vous allez acheter un CADEAU D ANNIVERSAIRE pour

Plus en détail

Rapport annuel sur «l école bouge» année scolaire 2012/13

Rapport annuel sur «l école bouge» année scolaire 2012/13 «l école bouge»: rapport annuel de l année scolaire 2012/13 20/03/2014 Rapport annuel sur «l école bouge» année scolaire 2012/13 Structures d accueil de jour 1. Aperçu de l année scolaire 2012/13 Contexte

Plus en détail

L OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS. Juin 2014

L OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS. Juin 2014 L OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS Juin 2014 Contacts BVA : Céline BRACQ Directrice BVA Opinion Lilas BRISAC Chargée d études 01 71 16 88 00

Plus en détail

Résultats d Etude. L étude de marché. Résultats d Etude N 1889 : Conciergerie privée. Testez la fiabilité de votre projet.

Résultats d Etude. L étude de marché. Résultats d Etude N 1889 : Conciergerie privée. Testez la fiabilité de votre projet. Résultats d Etude L étude de marché Testez la fiabilité de votre projet 1 Sommaire : Introduction... 4 Synthèse... 6 PAGE 1 :... 7 Question 1/13... 7 Vous vivez :... 7 PAGE 2 :...10 Question 2/13...10

Plus en détail

Charte d utilisation du site bluefactory

Charte d utilisation du site bluefactory Charte d utilisation du site bluefactory Version 1.5 Date : 17.05.2013 1 Sommaire 1 Contexte... 3 2 Principes d utilisation du site... 3 2.1 Principes de Création, d Innovation et d Excellence... 3 2.2

Plus en détail

SONDAGES RELATIFS AUX SERVICES D INFORMATION ET DE RÉFÉRENCE OFFERTS PAR LA DIRECTION GÉNÉRALE DE LA DIFFUSION DE BANQ

SONDAGES RELATIFS AUX SERVICES D INFORMATION ET DE RÉFÉRENCE OFFERTS PAR LA DIRECTION GÉNÉRALE DE LA DIFFUSION DE BANQ SONDAGES RELATIFS AUX SERVICES D INFORMATION ET DE RÉFÉRENCE OFFERTS PAR LA DIRECTION GÉNÉRALE DE LA DIFFUSION DE BANQ RÉSULTATS DE L ÉTÉ 2008 JUMELÉS À CEUX DE L HIVER 2008 RAPPORT VERSION FINALE Daniel

Plus en détail

INVITATION POUR STAND COMMERCIAL

INVITATION POUR STAND COMMERCIAL S.FR INVITATION POUR STAND COMMERCIAL DEJA A PRESENT NOUS CONSTRUISONS LE SHOW AMERICAN STARS ON WHEELS POUR LE 22 ET 23 AOUT 2015 A L INTERIEUR ET L EXTERIEUR AU ANTWERP EXPO (BOUWCENTRUM ) D' ANVERS,

Plus en détail

Enquête publique sur les changements climatiques -------- Compléments aux graphiques

Enquête publique sur les changements climatiques -------- Compléments aux graphiques Enquête publique sur les changements climatiques -------- Compléments aux graphiques Les résultats de l enquête sont analysés d après le nombre de variables explicatives pouvant influencer le comportement,

Plus en détail

MES ÉCO-DÉPLACEMENTS LE QUIZZ

MES ÉCO-DÉPLACEMENTS LE QUIZZ MES ÉCO-DÉPLACEMENTS LE QUIZZ Pour réduire efficacement ses consommations liées aux déplacements C'est parti! Ce quizz vous permettra d évaluer les gestes que vous faites déjà en matière d éco-déplacements

Plus en détail

Sondage : les résultats!

Sondage : les résultats! Sondage : les résultats! Avec 104 réponses, le sondage réalisé par le Parti libéral radical de Troistorrents-Morgins s est révélé un franc succès. Sans pouvoir être représentatif, il constitue néanmoins

Plus en détail

- le cas échéant, représenté par le mandataire [nom ou raison sociale et adresse du mandataire ainsi que l activité exercée] :

- le cas échéant, représenté par le mandataire [nom ou raison sociale et adresse du mandataire ainsi que l activité exercée] : CONTRAT DE LOCATION (Soumis au titre Ier bis de la loi du 6 juillet 1989 tendant à améliorer les rapports locatifs et portant modification de la loi n 86-1290 du 23 décembre 1986) LOCAUX MEUBLES A USAGE

Plus en détail

Depuis 1920. Bureaux d exception à louer ( De 250 à 6 100 m 2 ) www.reverso-geneve.com

Depuis 1920. Bureaux d exception à louer ( De 250 à 6 100 m 2 ) www.reverso-geneve.com Depuis 1920 Bureaux d exception à louer ( De 250 à 6 100 m 2 ) www.reverso-geneve.com www.reverso-geneve.com 4 tradition Rapprocher modernité et classicisme, une alliance rare et élégante que propose

Plus en détail

présente Métro, boulot, dodo enquête sur la vie de bureau

présente Métro, boulot, dodo enquête sur la vie de bureau présente Métro, boulot, dodo enquête sur la vie de bureau Septembre 2014 Avant-propos Avec la tertiarisation de l économie et des emplois, notre activité professionnelle se déroule de plus en plus souvent

Plus en détail

Indications pédagogiques E2 / 42

Indications pédagogiques E2 / 42 à la Communication Objectif général Indications pédagogiques E2 / 42 E : APPRECIER UN MESSAGE Degré de difficulté 2 Objectif intermédiaire 4 : PORTER UN JUGEMENT SUR UN MESSAGE SIMPLE Objectif opérationnel

Plus en détail

Utilisation et usage d Internet

Utilisation et usage d Internet 1 résultats Utilisation et usage d Internet Internet s est imposé Quelque soit leur âge ou leur sexe, près de neuf jeunes sur dix déclarent utiliser Internet. Cette imposante proportion indique indubitablement

Plus en détail

Demande de logement. Chez: Numéro postal: Localité: à son compte Pourcentage de l activité: % Motif si inférieur à 100%

Demande de logement. Chez: Numéro postal: Localité: à son compte Pourcentage de l activité: % Motif si inférieur à 100% Guichets ouverts de 11 à 15 heures 1. Demandeur Demanderesse Demande de logement Reservé à l administration Dossier No Date: social libre Domicile Rue: Chez: Numéro postal: Localité: Tél. privé: Tél. portable:

Plus en détail

LES CONDITIONS D ACCÈS AUX SERVICES BANCAIRES DES MÉNAGES VIVANT SOUS LE SEUIL DE PAUVRETÉ

LES CONDITIONS D ACCÈS AUX SERVICES BANCAIRES DES MÉNAGES VIVANT SOUS LE SEUIL DE PAUVRETÉ 3. Les crédits 3.1 Les crédits en cours 3.1.1 Les ménages ayant au moins un crédit en cours Un peu plus du quart, 31%, des ménages en situation de déclarent avoir au moins un crédit en cours. Il s agit

Plus en détail

OUTIL «FICHE DE TRAVAIL : LES BESOINS» VERSION DECEMBRE 2012

OUTIL «FICHE DE TRAVAIL : LES BESOINS» VERSION DECEMBRE 2012 OUTIL «FICHE DE TRAVAIL : LES BESOINS» VERSION DECEMBRE 2012 MODE D UTILISATION : - Cet outil est utilisé pour les entretiens «Du projet au business plan» et l atelier «Marketing mix» - Dans le cadre des

Plus en détail

Circulaire du directeur des contributions L.I.R. n 104/1 1 du 18 février 2009. L.I.R. n 104/1

Circulaire du directeur des contributions L.I.R. n 104/1 1 du 18 février 2009. L.I.R. n 104/1 Circulaire du directeur des contributions L.I.R. n 104/1 1 du 18 février 2009 L.I.R. n 104/1 Objet : Évaluation de certains avantages accordés par l employeur à ses salariés a) Mise à la disposition à

Plus en détail

Country factsheet - Juillet 2014 Canada

Country factsheet - Juillet 2014 Canada Country factsheet - Juillet 2014 Canada Sur la ligne de départ de l e-commerce, le Canada part favori avec, sur papier, des arguments de taille : 23,6 millions d internautes un taux de pénétration d internet

Plus en détail

Est-ce que les coopératives d habitations sont des résidences universitaires traditionnelles?

Est-ce que les coopératives d habitations sont des résidences universitaires traditionnelles? FAQ // coopératives d habitations étudiante Est-ce que les coopératives d habitations sont des résidences universitaires traditionnelles? Pas du tout! Mise à part qu elles soient dédiées à la population

Plus en détail

4, rue Jean Allemane 95100 Argenteuil

4, rue Jean Allemane 95100 Argenteuil 4, rue Jean Allemane 95100 Argenteuil DOSSIER DE COMMERCIALISATION Vivre et investir ensemble Coloc & Vie RCS Nanterre 807 853 841 52, rue de Bezons 92400 Courbevoie À propos de Coloc & Vie Officiellement

Plus en détail

Observatoire Orange Terrafemina vague 14. La ville connectée. Sondage de l institut CSA

Observatoire Orange Terrafemina vague 14. La ville connectée. Sondage de l institut CSA Observatoire Orange Terrafemina vague 14 La ville connectée Sondage de l institut CSA Fiche technique du sondage L institut CSA a réalisé pour Orange et Terrafemina la 14 ème vague d un baromètre portant

Plus en détail

Service de Formation à la Vie Autonome

Service de Formation à la Vie Autonome Service de Formation à la Vie Autonome Une formation qui s adresse à des jeunes adultes ayant une déficience intellectuelle, qui souhaitent apprendre à vivre de manière plus autonome au quotidien Pro infirmis

Plus en détail

RUE DU PRÉ DE LA BICHETTE, 1 1202 GENÈVE

RUE DU PRÉ DE LA BICHETTE, 1 1202 GENÈVE RUE DU PRÉ DE LA BICHETTE, 1 1202 GENÈVE À LOUER au NATIONS BUSINESS CENTRE IMMEUBLE ENTIÈREMENT RESTRUCTURÉ ET RÉNOVÉ 11 280 m2 divisibles par plateaux de 860 m2 Situation Excellente situation Bénéficiant

Plus en détail

Enquête. De satisfaction. D utilisation des bus de ville. De Colomiers

Enquête. De satisfaction. D utilisation des bus de ville. De Colomiers Enquête De satisfaction D utilisation des bus de ville De Colomiers Décembre 2013 1 Préambule A l origine, ce projet est issu du programme d un candidat aux élections de 2011. C est notre rôle de choisir

Plus en détail

Créer son institut de Beauté Esthétique à domicile

Créer son institut de Beauté Esthétique à domicile Créer son institut de Beauté Esthétique à domicile Vous souhaitez créer votre institut ou devenir indépendante en réalisant des soins à domicile? Vous ne savez pas quelles démarches entreprendre et quelles

Plus en détail

POUR TOU VOS DÉPLACEMENTS. Dossier de presse. Tram + Bus + Vélhop + Autopartage Citiz + P+R + Véloparc. 19 février 2014 POUR TOUS

POUR TOU VOS DÉPLACEMENTS. Dossier de presse. Tram + Bus + Vélhop + Autopartage Citiz + P+R + Véloparc. 19 février 2014 POUR TOUS POUR TOUS VOS DÉPLACEMENTS Tram + Bus + Vélhop + Autopartage Citiz + P+R + Véloparc 19 février 2014 Dossier de presse POUR TOU S VOS DÉPLA CEMENTS Sommaire Une volonté politique Page 4 La réponse de Strasbourg

Plus en détail

ENQUÊTE SALARIÉS. VIAVOICE Mieux comprendre l opinion pour agir 178 rue de Courcelles 75 017 Paris + 33 (0)1 40 54 13 90 www.institut-viavoice.

ENQUÊTE SALARIÉS. VIAVOICE Mieux comprendre l opinion pour agir 178 rue de Courcelles 75 017 Paris + 33 (0)1 40 54 13 90 www.institut-viavoice. Délégation interministérielle à la Famille ENQUÊTE SALARIÉS Baromètre de l Observatoire de la parentalité en entreprise, en partenariat avec la Délégation interministérielle à la famille et l Union nationale

Plus en détail

QuaTRe Roues en moins De Deux!

QuaTRe Roues en moins De Deux! QuaTRe Roues en moins De Deux! NOUVEAU À DIJON E VOITURE EN IBRE- ERVICE Avoir une voiture sans avoir de voiture des voitures partagées en libre-service es voitures mobigo autopartage sont à votre disposition

Plus en détail

Fiche synthétique. Caractéristiques du bien: Estimation de la rentabilité* : 18 rue du Puits Descazeaux 33000 Bordeaux. Rentabilité Année 1 Année 2

Fiche synthétique. Caractéristiques du bien: Estimation de la rentabilité* : 18 rue du Puits Descazeaux 33000 Bordeaux. Rentabilité Année 1 Année 2 Fiche synthétique T1 18 rue du Puits Descazeaux 33000 Bordeaux Caractéristiques du bien: Type de bien Neuf / Ancien T1 Ancien Date de construction 1900 Loué Date de fin de bail Non XXXXX Surface 27 m²

Plus en détail

Introduction générale

Introduction générale Introduction générale Pour qu il y ait location d immeuble, il faut qu il y ait un «bail» Le bail est le contrat par lequel une personne (appelée le bailleur) s engage à faire jouir une autre personne

Plus en détail

NOTICE D INFORMATION / Contrats MRH Axa (étudiants adhérents / affiliés Vittavi Dom-Tom)

NOTICE D INFORMATION / Contrats MRH Axa (étudiants adhérents / affiliés Vittavi Dom-Tom) Contrats souscrits par l intermédiaire de S2C (432, Bd Michelet 13009 Marseille - SARL au capital de 7 622,45 - RCS Marseille B 395 214 646 00022 - Code APE 6622 Z - N ORIAS : 07 030 727) auprès d AXA

Plus en détail

L ÉLECTRIFICATION DU TRANSPORT INDIVIDUEL LE SAVEZ-VOUS?

L ÉLECTRIFICATION DU TRANSPORT INDIVIDUEL LE SAVEZ-VOUS? L ÉLECTRIFICATION DU TRANSPORT INDIVIDUEL LE SAVEZ-VOUS? L ÉLECTRIFICATION DU TRANSPORT INDIVIDUEL L électricité est appelée à jouer un rôle de plus en plus important dans les transports collectifs et

Plus en détail

Baromètre CRI de l immobilier d entreprise de la région du Grand Casablanca. Résultats intermédiaires - Rapport de synthèse

Baromètre CRI de l immobilier d entreprise de la région du Grand Casablanca. Résultats intermédiaires - Rapport de synthèse Baromètre CRI de l immobilier d entreprise de la région du Grand Casablanca Résultats intermédiaires - Rapport de synthèse IMMO PRO 2007-22 février 2007 Enquête réalisée par : Créargie Maroc 1 Sommaire

Plus en détail

PRÉSENTATION DES QUESTIONS DE LA FEUILLE DE LOGEMENT

PRÉSENTATION DES QUESTIONS DE LA FEUILLE DE LOGEMENT PRÉSENTATION DES QUESTIONS DE LA FEUILLE DE LOGEMENT Chacune des questions de la feuille de logement fait l'objet d'une fiche recto-verso. Ces fiches ont vocation à être mises en ligne sur le site web

Plus en détail

Focus sur les pratiques de consolidation des groupes en France. Restitution de l étude ESCP-Fidanza 2012"

Focus sur les pratiques de consolidation des groupes en France. Restitution de l étude ESCP-Fidanza 2012 Focus sur les pratiques de consolidation des groupes en France Restitution de l étude ESCP-Fidanza 2012" SOMMAIRE 1 Structure de l échan0llon p. 3 4 2 Acteurs comptables p. 5 6 3 Organisa0on et ou0ls de

Plus en détail

Chaque immeuble a une histoire : l histoire de votre réussite. notre solution globale pour : le courtage, la location

Chaque immeuble a une histoire : l histoire de votre réussite. notre solution globale pour : le courtage, la location Chaque immeuble a une histoire : l histoire de votre réussite notre solution globale pour : le courtage, la location ET les projets IMMOBILIERS Jamais les portes n ont été aussi grandes ouvertes Le bien

Plus en détail

L OBSERVATOIRE DES CRÉDITS AUX MÉNAGES. Tableau de bord. 25 ème rapport annuel. Michel Mouillart Université Paris Ouest 29 Janvier 2013

L OBSERVATOIRE DES CRÉDITS AUX MÉNAGES. Tableau de bord. 25 ème rapport annuel. Michel Mouillart Université Paris Ouest 29 Janvier 2013 L OBSERVATOIRE DES CRÉDITS AUX MÉNAGES 25 ème rapport annuel Tableau de bord Michel Mouillart Université Paris Ouest 29 Janvier 2013 La photographie des ménages détenant des crédits que propose la 25 ième

Plus en détail

LA MOBILITÉ ÉLECTRIQUE : UN NOUVEAU DÉFI

LA MOBILITÉ ÉLECTRIQUE : UN NOUVEAU DÉFI LA MOBILITÉ ÉLECTRIQUE : UN NOUVEAU DÉFI IIIIIIII IIIIII 2 III IIII DÉPLACEMENTS PRIVÉS OU PROFESSIONNELS, DA À UTILISER UN VÉHICULE ÉLECTRIQUE. 2 MILLIONS FRANÇAISES À L HORIZON 2020. C EST EN EFFET L

Plus en détail

CONVENTION DE MISE A DISPOSITION SALLES COMMUNALES EMILE ROUSSEAU

CONVENTION DE MISE A DISPOSITION SALLES COMMUNALES EMILE ROUSSEAU CONVENTION DE MISE A DISPOSITION SALLES COMMUNALES EMILE ROUSSEAU ENTRE : Monsieur le Maire, agissant es-qualité en vertu des délibérations du 25 septembre 2014 et du 24 octobre 2013, Désigné ci-après

Plus en détail

DOSSIER Technique de l'exposant. 20 e. congrès français de rhumatologie. 2 3 4 5 Décembre 2007

DOSSIER Technique de l'exposant. 20 e. congrès français de rhumatologie. 2 3 4 5 Décembre 2007 DOSSIER Technique de l'exposant 20 e congrès français de rhumatologie 2 3 4 5 Décembre 2007 P2 P3 / P4 P5 / P6 P7 P8 P9 P10 P11 / P12 P13 INFORMATIONS GÉNÉRALES ADRESSES UTILES STANDS ÉQUIPÉS PAR LA SOCIÉTÉ

Plus en détail

Sondage sur l endettement chez les jeunes

Sondage sur l endettement chez les jeunes chez les jeunes Rapport préliminaire Présenté à Madame Caroline Toupin Agente de développement et des communications 13 octobre 2009 Réf. : 1666_200910/MO/jc (514) 282-0333 1-800-474-9493 www.observateur.qc.ca

Plus en détail

Branche Loueurs LOCATION AUTO DE COURTE DURÉE D O S S I E R. de P R E S S E

Branche Loueurs LOCATION AUTO DE COURTE DURÉE D O S S I E R. de P R E S S E Branche Loueurs 2015 D O LOCATION AUTO DE COURTE DURÉE S S I E R de P R E S S E Les grandes tendances du marché EN 4 tableaux 2 Les grandes tendances du marché EN 4 tableaux 3 La LCD en 2014 : Plus de

Plus en détail

les études du CNC septembre 2013 les pratiques de consommation de jeux vidéo des Français

les études du CNC septembre 2013 les pratiques de consommation de jeux vidéo des Français les études du CNC septembre 2013 les pratiques de consommation de jeux vidéo des Français 2013 Les pratiques de consommation de jeux vidéo des Français septembre 2013 Cette étude a été réalisée par : 138

Plus en détail

Évolution du budget automobile des ménages français depuis 1990 1

Évolution du budget automobile des ménages français depuis 1990 1 N 14 Avril 2013 Service du soutien au réseau Sous-direction de la communication, programmation et veille économique Bureau de la veille économique et des prix Évolution du budget automobile des ménages

Plus en détail

édition janvier 2015 les horaires Z.I. Ouest / Stade Rennais Saint-Saëns / La Poterie

édition janvier 2015 les horaires Z.I. Ouest / Stade Rennais Saint-Saëns / La Poterie 2015 édition janvier 2015 les horaires du lundi 5 janvier à debut juillet 2015 Z.I. Ouest / Stade Rennais Saint-Saëns / La Poterie SOMMAIRE Plan de la ligne.............................................

Plus en détail

station service économies (durables) Green up Borne de recharge pour e-mobility

station service économies (durables) Green up Borne de recharge pour e-mobility station service économies (durables) Green up Borne de recharge pour e-mobility Infrastructure de chargement La borne Green up Pour des véhicules éléctro et hybrid Les particuliers, entreprises et fournisseurs

Plus en détail

1 er Baromètre DIRECT ASSURANCE des Cyberconsommateurs

1 er Baromètre DIRECT ASSURANCE des Cyberconsommateurs Dossier de Presse Février 2011 1 er Baromètre DIRECT ASSURANCE des Cyberconsommateurs Etude IFOP pour DIRECT ASSURANCE menée du 22 au 30 décembre 2010 auprès d un échantillon national de 1035 Français

Plus en détail

Les pratiques de consommation de jeux vidéo des Français

Les pratiques de consommation de jeux vidéo des Français Les pratiques de consommation de jeux vidéo des Français Rappel de la méthodologie mise en œuvre Echantillon Mode de recueil Dates de terrain 2800 individus âgés de 6 à 65 ans. Plus précisément : 2000

Plus en détail

Enquête sur les pratiques et préférences familiales en matière d'accueil de la petite enfance dans le canton de Genève QUESTIONNAIRE

Enquête sur les pratiques et préférences familiales en matière d'accueil de la petite enfance dans le canton de Genève QUESTIONNAIRE REPUBLIQUE ET CANTON DE GENEVE Département de l'instruction publique, de la culture et du sport Service de la recherche en éducation Observatoire cantonal de la petite enfance Enquête sur les pratiques

Plus en détail

ADIL 05 Agence Départementale d Information sur le logement -

ADIL 05 Agence Départementale d Information sur le logement - ADIL 05 Agence Départementale d Information sur le logement - Observatoire des Loyers du Parc Privé des Communes de Briançon, Embrun et Gap Cette étude, à destination des professionnels de l immobilier,

Plus en détail

ETUDE SUR LES BESOINS EN LOCAUX DE REPETITION AUPRES DES MUSICIENS DE LA REGION NYONNAISE

ETUDE SUR LES BESOINS EN LOCAUX DE REPETITION AUPRES DES MUSICIENS DE LA REGION NYONNAISE ETUDE SUR LES BESOINS EN LOCAUX DE REPETITION AUPRES DES MUSICIENS DE LA REGION NYONNAISE 1. Enquête 1.1. - Buts Cette enquête a été initiée par le Service de la culture de la ville de Nyon, en partenariat

Plus en détail

NetObserver Europe. Parmi les principaux enseignements, nous retiendrons notamment que :

NetObserver Europe. Parmi les principaux enseignements, nous retiendrons notamment que : NetObserver Europe TOUT SAVOIR SUR LES INTERNAUTES Communiqué de presse Paris, Mars 2008 Enseignements de la 16 ème vague de l étude NetObserver Europe : Des différences sensibles entre générations d internautes

Plus en détail

Guide méthodologique

Guide méthodologique Communauté d Agglomération de NIORT du GRAND NANCY PLAN DE DEPLACEMENTS URBAINS Plan de Déplacement Entreprise Guide méthodologique Septembre 2007 m u n i c i p a l i t é s e r v i c e 7 1, a v e n u e

Plus en détail

ETUDE SUR LE PRIX DE MARCHE DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE EN ZONES RURALES FRAGILES

ETUDE SUR LE PRIX DE MARCHE DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE EN ZONES RURALES FRAGILES ETUDE SUR LE PRIX DE MARCHE DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE EN ZONES RURALES FRAGILES SYNTHESE JUILLET 2004 DATAR - AATEC / ARGUYL - 2-29/07/04 OBJECTIF ET CONTEXTE L immobilier d entreprise est un enjeu

Plus en détail

DEMANDE DE LOGEMENT. réservé au service des demandes de logements dossier n :

DEMANDE DE LOGEMENT. réservé au service des demandes de logements dossier n : Bureaux : Cité Vieusseux 1 Case postale 270 1211 Genève 28 Tél. 022/ 344 53 40 Fax 022/ 340 10 11 C.C.P. 12-1880-9 TVA No 338 182 Internet: www.schg.ch E-mail: schg@schg.ch Société Coopérative d'habitation

Plus en détail

Service des sports DEPARTEMENT DE LA CULTURE ET DU SPORT TARIFS POUR LA MISE A DISPOSITION ET L UTILISATION DES INSTALLATIONS SPORTIVES

Service des sports DEPARTEMENT DE LA CULTURE ET DU SPORT TARIFS POUR LA MISE A DISPOSITION ET L UTILISATION DES INSTALLATIONS SPORTIVES Service des sports DEPARTEMENT DE LA CULTURE ET DU SPORT TARIFS POUR LA MISE A DISPOSITION ET L UTILISATION DES INSTALLATIONS SPORTIVES Centre sportif des Vernets Rue Hans-Wilsdorf 4 Case postale 1769

Plus en détail

Evaluation Agi Son 2005. Agi son 2005. Evaluation de la campagne de sensibilisation aux risques auditifs liés à l écoute de musiques amplifiées

Evaluation Agi Son 2005. Agi son 2005. Evaluation de la campagne de sensibilisation aux risques auditifs liés à l écoute de musiques amplifiées Agi son Evaluation de la campagne de sensibilisation aux risques auditifs liés à l écoute de musiques amplifiées 1 Introduction p. 3 Méthode p.4 1. Le public p.5 A. Caractéristique des personnes interrogées

Plus en détail

SOMMAIRE. AVRIL 2013 TECHNOLOGIE ÉTUDE POINTS DE VUE BDC Recherche et intelligence de marché de BDC TABLE DES MATIÈRES

SOMMAIRE. AVRIL 2013 TECHNOLOGIE ÉTUDE POINTS DE VUE BDC Recherche et intelligence de marché de BDC TABLE DES MATIÈRES AVRIL 2013 TECHNOLOGIE ÉTUDE POINTS DE VUE BDC Recherche et intelligence de marché de BDC TABLE DES MATIÈRES Faits saillants du sondage 2 Contexte et méthode de sondage 3 Profil des répondants 3 Investissements

Plus en détail

Sondage public 2012 sur les services policiers

Sondage public 2012 sur les services policiers Sondage public 2012 sur les services policiers 2 Sixième sondage public depuis 1995. Le sondage est conçu pour faire comprendre les perceptions des citoyens sur la criminalité i et la sécurité et mesurer

Plus en détail

"La santé des étudiants en 2015"

La santé des étudiants en 2015 Dossier de Presse "La santé des étudiants en 2015" 9 ème Enquête Nationale 1999 2015 Enquête Santé d emevia Depuis plus de 16 ans, à l écoute des étudiants 1 Sommaire EmeVia et les mutuelles étudiantes

Plus en détail

LIVRET D ACCUEIL PARC D ENTREPRISES LA RADIO DREUX

LIVRET D ACCUEIL PARC D ENTREPRISES LA RADIO DREUX LIVRET D ACCUEIL PARC D ENTREPRISES LA RADIO DREUX Livret d accueil du Parc d entreprises La Radio Ce livret d accueil a pour but de vous présenter l organisation du Parc d entreprises La Radio. Notre

Plus en détail

COMMUNE D HAUTERIVE CONSEIL GENERAL

COMMUNE D HAUTERIVE CONSEIL GENERAL COMMUNE D HAUTERIVE CONSEIL GENERAL RAPPORT DU CONSEIL COMMUNAL AU CONSEIL GENERAL CONCERNANT L ADOPTION D UN REGLEMENT DE VIDEOSURVEILLANCE DANS LES ECOPOINTS SITUES SUR LE TERRITOIRE COMMUNAL Monsieur

Plus en détail

SONDAGE CVCI - CCIG LA CONSTRUCTION D UNE 3E VOIE D AUTOROUTE ENTRE LAUSANNE ET GENÈVE Phone Marketing Business SA Place de la Riponne 1 1000

SONDAGE CVCI - CCIG LA CONSTRUCTION D UNE 3E VOIE D AUTOROUTE ENTRE LAUSANNE ET GENÈVE Phone Marketing Business SA Place de la Riponne 1 1000 SONDAGE CVCI - CCIG LA CONSTRUCTION D UNE 3E VOIE D AUTOROUTE ENTRE LAUSANNE ET GENÈVE Phone Marketing Business SA Place de la Riponne 1 1000 Lausanne 17 021/ 317 07 07 Fabio Mulone février 2007 TABLE

Plus en détail

USAGE ET PERCEPTION DE L ADMINISTRATION ELECTRONIQUE EN LIGNE PAR LES PROFESSIONNELS

USAGE ET PERCEPTION DE L ADMINISTRATION ELECTRONIQUE EN LIGNE PAR LES PROFESSIONNELS USAGE ET PERCEPTION DE L ADMINISTRATION ELECTRONIQUE EN LIGNE PAR LES PROFESSIONNELS - Sondage de l'institut CSA - N 0501353 Novembre 22, rue du 4 Septembre BP 6571 75065 Paris cedex 02 Tél. (33) 01 44

Plus en détail

CONSOMMATION Proposition de directive relative aux droits des consommateurs Position et Amendements de la CGPME

CONSOMMATION Proposition de directive relative aux droits des consommateurs Position et Amendements de la CGPME CONSOMMATION Proposition de directive relative aux droits des consommateurs Position et Amendements de la CGPME La Confédération Générale des Petites et Moyennes Entreprises (CGPME) est une organisation

Plus en détail

Modèle de règlements des remboursements de frais

Modèle de règlements des remboursements de frais Modèle de règlements des remboursements de frais Circulaire du 28 août 2006 / 11 décembre 2007 Les administrations fiscales cantonales reconnaissent les règlements de remboursements de frais agréés par

Plus en détail

L immobilier en centre ville

L immobilier en centre ville La note d information de la SCPI URBAN PATRIMOINE 2 a reçu le visa de l AMF n 11-37 en date du 18/10/2011 ; elle peut être obtenue gratuitement auprès de la Société de Gestion par demande adressée à :

Plus en détail

L immobilier en centre ville

L immobilier en centre ville SCPI «Scellier BBC Intermédiaire*» L immobilier en centre ville Mise à jour - 31 janvier 2012 *Le dispositif fiscal «Scellier BBC Intermédiaire» offre au souscripteur une réduction d impôt en contrepartie

Plus en détail