Retour d expérience du détachement de Sécurité Civile français engagé au Japon
|
|
- Léonie Généreux
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Retour d expérience du détachement de Sécurité Civile français engagé au Japon
2 Sommaire Le Contexte - Le séisme et ses conséquences Avant le départ - Organisation du détachement - Le détachement La Mission - Sauvetage déblaiement - Dégagement d axes prioritaires - Déchargement et livraison de frêt Le Retour - Contrôles et décontaminations du personnel et matériels - Organisation du retour d expérience
3 Le Contexte Un séisme d une magnitude 9 sur l échelle de Richter (et des répliques) Un tsunami d une hauteur de 14 m, pénétrant jusqu à 5 km dans les terres Des conséquences - Près de victimes (+ de morts et disparus)
4 Le Séisme
5 Le Séisme
6 Le Tsunami
7
8 Les Conséquences
9
10 Les Conséquences
11 Réacteur à eau bouillante REB REP REB
12 Les Conséquences 18 mars mars 4 14 mars mars 1 Imagerie digital globe
13 Missions du détachement Search and Rescue (sauvetage et déblaiement) «Vous participerez à la recherche de victimes en décombres, à l assistance médicale à la population et conseillerez le poste diplomatique sur les domaines techniques de votre compétence s il le souhaite»
14 Organisation du retour d expérience L avis des décideurs L avis des experts engagés L analyse du retour de mission Des compléments (acteurs, employeurs, famille )
15 Avant le départ Vendredi 11 mars - 15h37 : Demande d assistance S.A.R du japon - 19h50 : Limitée à «l assistance régionale» Samedi 12 mars - Après-midi : RIM et décision d engagement - 22h00 : Détachement prêt - Autorisation de poser à Narita pour le Lundi 14 mars
16 Le détachement La mission Le détachement MAEE : 2 SPRA : 2 IRSN : 1 DSC : 2 FORMISC : 63 BSPP 11 SDIS SDIS 84 et 13: 12 SP de Monaco : 11 SDIS 47 : 1 Sécurité radiologique et radioprotection 1 expert de l IRSN ; 1 CT RAD SDIS47 ; 2 CT RAD ForMiSC ; 1 CT RAD SDIS77 ; 1 pharmacien et 1 médecin du SPRA. Commandement Logistique Santé SD RAD
17 Avant le départ - Enseignements Ce qui fonctionne bien est ce qui fonctionne souvent Prise en compte de spécifités nucléaires
18 Les Missions assurées au Japon Sauvetage déblaiement Dégagement d axes prioritaires et de ports Déchargement et livraison de frêt humanitaire «Décontamination» du lycée français de Tokyo
19
20
21 Mesures radioactivité entre Tokyo et Sendaï
22
23 Le rôle des experts du détachement dans la gestion de la crise Lcl Xavier Pergaud SDIS 47
24 La commande des autorités Assurer la sécurité radiologique du groupe Assurer le conseil technique du chef de détachement dans la prise de décisions Assurer le lien entre l ambassade de France et le détachement sur le plan de la gestion du risque radiologique Appuyer le chef de détachement dans la communication sur le risque vis-à-vis des personnels du détachement
25 Les enseignements sur le plan Confrontés réellement à de la radioactivité ; Une irradiation faible ; Une radioactivité essentiellement sous forme de contamination ; Des conditions météorologiques et logistiques très délicates ; Aucune capacité de décontamination spécifique. technique
26 Les enseignements sur le plan technique (2) Une contamination essentiellement due à la pluie et aux dépôts au sol (chaussures, vestes au niveau du col, gants, ) Un transfert de contamination limité ; Une décision du port de la tenue de protection délicate à prendre compte-tenu du contexte ; Une décontamination très sommaire sur le site puis approfondie sur la base américaine de MISAWA ; Un contrôle de contamination sur le territoire japonais très fin qui a permis de «libérer» la majeure partie des matériels en rentrant en France.
27 Les enseignements sur le plan technique (3) le port permanent d un masque papier ; une appréciation délicate du risque de contamination interne ; un contrôle de contamination des personnels difficile; une décontamination trop approximative ; un manque de matériels (EPI) ;
28 Les enseignements sur le plan Les appareils utilisés : technique (4) FH 40 et radiagem ; CAB et radiagem sonde X et β mou ; SPP2 ; Staplex ; DMC film RPL ; DOSICARD ; MICROSPEC.
29 Les enseignements sur le plan technique (5) une dosimétrie individualisée journalière (50 µsv max) ; une gestion de la débitmétrie maîtrisée (3.5 µsv/h max sur la zone) ; de nombreux prélèvements et mesures ; frottis sur véhicules : 160 cps/s sonde X, 8 µsv/h sur les filtres à air acquisition directe au sol : 3.2 µsv/h de nombreuses spectro : 137Cs, 133Ba, 58Co, 60Co difficultés de voir les iodes
30 Les enseignements sur le plan technique (6) Un contrôle de contamination approfondi des bus et des voitures Intérieur / extérieur Filtre à air Passage de roues Calendres, Point de mesure Description Mesure (cps/s) BDF = Escalier d accès au bus Tapis de sol (paillasson plastique) Entrée du bus Moquette Siège du fond 37 3 Siège 13 4 Siège conducteur Sol aux pieds du conducteur Passages de roues avant Passage de roues arrière Entrée d air moteur Appareil Sonde X RADIAGEM
31 Les enseignements sur le plan technique (7) Une contamination des personnels (rangers et gants) : 400 cps/s sonde X (BDF = 90) Décontamination délicate réduction significative du taux de contamination = 150 cps/s contrôle préleveur d air négatif contrôles radiologiques approfondi des personnels : gants = 7 fois le BDF vêtement externe : 10 % > 3 x BDF 56 % entre 2 et 3 x BDF 34 % < 2 x BDF
32 nsv/h Les enseignements sur le plan technique (8) Une surveillance permanente du niveau d irradiation par des équipes spécialisées dédiées en concertation permanente entre le terrain et la base arrière (ambassade) : - sur chantier ; - lors des déplacements Radiagem routiers ; km depuis TOKYO 3h50 TOKYO 5h20 6h05 Pause Prise KI Port du masque papier 9h23 SENDAÏ 8h05 Pause, retrait masque
33 Les enseignements sur le plan technique (9) Un liaison permanente avec l ingénieur de l IRSN détaché à l ambassade de France à TOKYO : - suivi météo toutes les 6 heures ; - points réguliers sur l évolution à l intérieur de la centrale ; - établissements de carte de panaches en instantané et dépôts au sol ; - concertation systématique pour les prises de décision importantes. - Importance des nouvelles technologies
34 Un emploi pertinent des méthodes de GOC (RT et anticipation) Dès le départ, définition des niveaux de dose : 10 msv max Programmation des dosimètres : débit de dose : 30 µsv/h en pré-alarme 100 µsv/h en alarme dose : 5 µsv en pré-alarme 50 µsv en alarme. Redéfinition des seuils de dose : (dose estimée entre 5 et 8 µsv par jour) pré-alarme : 50 µsv alarme : 100 µsv La coordination des experts CT RAD, corps médical SPRA, ingénieur IRSN
35 Rédaction d ordres initiaux Objectif : Le chef de détachement demande d établir un plan de repli du dispositif intégrant les différentes situations envisageables, tant sur le plan météo que sur le plan nucléaire afin de pouvoir regagner un lieu de regroupement en sécurité. Idée de manœuvre : En liaison avec le PC de l ambassade (intégrant l expert de l IRSN), évaluer sur la base de l ensemble des paramètres à disposition, les solutions d évacuation d urgence pour une mise en sécurité du détachement. Exécution : Il est envisagé, au regard de la situation météo et radiologique, que le détachement, situé à 80 Km au nord de FUKUSHIMA, sera soumis à un danger d exposition à compter du vendredi 18 mars, si l évolution météo se confirme. Après discussion avec le PC Crise de l ambassade, il est proposé : -d envisager un retrait du détachement à compter du jeudi 17 mars soir ; -d identifier un lieu de repli par un itinéraire protégé vers le nord prioritairement (sur l aéroport de MORIOKA ou de MISIWA, à proximité de AOMORI, plus au nord où il existe un aéroport civil et un aéroport militaire sur une base américaine, ou redescendre sur TOKYO, par le même itinéraire que le transit aller avec une étude spécifique à conduire préalablement en collaboration avec le PC de l ambassade. Les risques sont en effet suffisamment élevés lors du passage à la latitude de la centrale nucléaire pour étudier précisément les conditions radiologiques du transit.
36 Exemple de rédaction d arbre décisionnel Problématique d évacuation d urgence en cas de dénoyage des piscines Le temps nécessaire pour une mise en sécurité du détachement est estimé à 6h intégrant : - le retour du personnel des chantiers à la zone de bivouac ; - le reconditionnement et le chargement du matériel ; - le déplacement à une distance suffisante de mise en sécurité NON Détection continue > 2,5 µsv/h OUI Météo fiable OUI Vents favorables NON Repli Point Météo toutes les 6 heures OUI Poursuite mission Délai avant passage du nuage >6h OUI Evacuation détachement complet OUI Retour Tokyo possible NON NON Evacuation personnels seuls Aéroport de Morioka ou Misawa OUI Aéroport de Tokyo
37 Les enseignements sur le plan humain La gestion du groupe face à une menace nucléaire ; Une approche psychologique de la gestion du groupe ; La gestion d une opération face à l inconnu ; Une communication de tous les instants en concertation avec tous les experts et le chef de détachement Un suivi du groupe avec une présence régulière des experts
38 Les enseignements sur le plan humain (2) L aide apportée à la population japonaise ; Des personnes bénévoles de grande qualité ; Un travail en commun avec les militaires américains.
39 Quelques cartes
40 Evènement n 3, fusion du réacteur 2 (15 Mars, 0h02 JST) Débit de dose panache Débit de dose ambiant
41 La majorité de la contamination s est déplacée directement vers l océan Mars des radioéléments sont détectés au Canada et aux US Mars des radioéléments sont détectés en Europe
42 Evènement n 3, fusion du réacteur 2 (15 Mars, 0h02 JST) Progression d un front pluvio-neigeux entre le 15/3 et le 16/3 en direction du site En même temps, explosion de R2 avec rejets atmospheriques Vent Progression du front 15/03 21h (JST) 16/03 0h (JST) 16/03 3h (JST)
43 Merci de votre attention
Conséquences radiologiques et dosimétriques en cas d accident nucléaire : prise en compte dans la démarche de sûreté et enjeux de protection
Conséquences radiologiques et dosimétriques en cas d accident nucléaire : prise en compte dans la démarche de sûreté et enjeux de protection 9 juin 2010 / UIC Paris Présenté par E. COGEZ, IRSN Contexte
Plus en détailLes conséquences sanitaires de l accident de Fukushima Dai-ichi : point de situation en février 2012
Les conséquences sanitaires de l accident de Fukushima Dai-ichi : point de situation en février 2012 Faire avancer la sûreté nucléaire Jean-René Jourdain Paris, 28 février 2012 Comment évaluer les conséquences
Plus en détailGrilles de lecture données environnement 2013 Tableau de bord de suivi des opérations de démantèlement
Grilles de lecture données environnement 2013 Tableau de bord de suivi des opérations de démantèlement Travaux réalisés dans le cadre de la mission d accompagnement de la CLI CLI des Monts d Arrée, réunion
Plus en détailL IRSN VOUS OUVRE TOUTES SES PORTES
Dans le cadre des Journées Européennes du Patrimoine L IRSN VOUS OUVRE TOUTES SES PORTES SAMEDI 15 SEPTEMBRE 2012 ENTRÉE LIBRE DE 10H30 À 17H SUR PRÉSENTATION D UNE CARTE D IDENTITÉ 31, AVENUE DE LA DIVISION
Plus en détailL IRSN et la surveillance de l environnement. Etat des lieux et perspectives
L IRSN et la surveillance de l environnement Etat des lieux et perspectives Didier CHAMPION et Jean-Marc PERES Journées SFRP Paris 23-24 septembre 2009 Objectifs de la surveillance de l environnement 2
Plus en détailPARTIE 5 NOTICE HYGIENE ET SECURITE
de en Martinik NOTICE HYGIENE ET SECURITE BUREAU VERITAS ASEM Dossier n 6078462 Révision 2 Octobre 2014 Page 1 de en Martinik SOMMAIRE 1. INTRODUCTION... 3 1.1 OBJET DE LA NOTICE... 3 1.2 CADRE REGLEMENTAIRE...
Plus en détailRapport du Groupe de travail de la CCSN sur Fukushima INFO-0824
Rapport du Groupe de travail de la CCSN sur Fukushima INFO-0824 Octobre 2011 Ministre de Travaux publics et Services gouvernementaux Canada 2011 No de catalogue : CC172-77/2011F-PDF ISBN 978-1-100-98149-9
Plus en détailKen Bell s Sommaire des Abréviations
Ken Bell s Sommaire des Abréviations AUG: CSAM: DSA: PUI: RCP: RIA: SCR: Arrêt Urgence Général CERN Safety Alarm Monitoring Défibrillateur Semi-Automatique Plan Urgence D Intervention Réanimation Cardio-Pulmonaire
Plus en détail20 ans après l accident nucléaire de Tchernobyl: Les conséquences en Suisse
20 ans après l accident nucléaire de Tchernobyl: Les conséquences en 1. L accident Il y a 20 ans, le 26 avril 1986 à 01h24 heure locale, se produisait l accident le plus grave jamais survenu dans une installation
Plus en détailLa dosimétrie physique, mesurer pour optimiser
Evaluer et prévenir le risque radiologique professionnel dans les opérations de radiographie industrielle La dosimétrie physique, mesurer pour optimiser Pr Didier PAUL Faculté de Médecine, Service de Médecine
Plus en détailLES FORMATIONS A LA RADIOPROTECTION
LES FORMATIONS A LA RADIOPROTECTION NSTN Paul LIVOLSI 2 AVRIL 2014, CERN - GENÈVE DE QUOI PARLE T-ON? Sécurité Nucléaire Sûreté INB RADIOPROTECTION Prévention et lutte contre les actes de malveillance
Plus en détailPROTECTION EN CAS D URGENCE DANS L ENVIRONNEMENT DE LA CENTRALE NUCLEAIRE DE CATTENOM
PROTECTION EN CAS D URGENCE DANS L ENVIRONNEMENT DE LA CENTRALE NUCLEAIRE DE CATTENOM Informations pour la population de Rhénanie-Palatinat Editeur: Aufsichts- und Dienstleistungsdirektion Willy- Brandt-
Plus en détail1 - Qu est-ce qu une mission, comment déterminer son contenu et qui va les accomplir?
FICHE N 20 : LES MISSIONS DE TERRAIN À ASSURER Pour assurer la mise en œuvre des missions de sauvegarde, il est nécessaire de disposer d intervenants de terrain. En fonction des phénomènes, de la situation,
Plus en détailDossier de demande d autorisation temporaire d exploiter une centrale d enrobage à chaud SRTP le Petit Nazé ARGENTRE (53) Indice : 1.
Dossier de demande d autorisation temporaire d exploiter une centrale d enrobage à chaud SRTP le Petit Nazé ARGENTRE (53) Indice : 1 Juin 2015 NOTICE D HYGIENE ET DE SECURITE P. 2 sur 8 SOMMAIRE 1 Hygiène...
Plus en détailLe but de la radioprotection est d empêcher ou de réduire les LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION
LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION TOUT PUBLIC 1. Source de rayonnements ionisants 2. Les différents rayonnements ionisants et leur capacité à traverser le corps humain 3. Ecran de protection absorbant
Plus en détailACCIDENT NUCLÉAIRE OU RADIOLOGIQUE MAJEUR
Premier ministre PLAN NATIONAL DE RÉPONSE ACCIDENT NUCLÉAIRE OU RADIOLOGIQUE MAJEUR NUMÉRO 200/SGDSN/PSE/PSN - ÉDITION FÉVRIER 2014 2 PRÉFACE L a France a choisi d exploiter les technologies nucléaires
Plus en détaildes lignes de défenses fortes lors des arrêts de tranches nucléaires
Thésame Le 6, 7 juin 2012 un petit Composant pour des lignes de défenses fortes lors des arrêts de tranches nucléaires piscine REX EDF Maurer / SPR / CNPE Tricastin 1 De l expression du besoin au Nanopral
Plus en détailPrésentation des règles et procédures. environnement nucléaire
Présentation des règles et procédures de travail en environnement nucléaire 1 Sommaire Les grandes lignes de la réglementation Le contrôle de l exposition aux rayonnements ionisants Les moyens de protection
Plus en détailAccidents nucléaires De Three Mile Island à Fukushima
FORMATION CONTINUE DES ENSEIGNANTS EN GÉOGRAPHIE DU CYCLE D'ORIENTATION SUR LA THÉMATIQUE DU NUCLÉAIRE Accidents nucléaires De Three Mile Island à Fukushima Walter Wildi FACULTE DES SCIENCES, UNVERSITE
Plus en détailGamme de radioprotection portable intelligente CSP
Gamme de radioprotection portable intelligente CSP solutions de mesure pour la sûreté, la sécurité et l environnement www.canberra.com Instruments et Sondes CSP CANBERRA La famille CSP (Sondes intelligentes
Plus en détailMOTO LIBERTÉ FICHE PRODUIT PARTICULIERS. L assurance de toutes les motos CIBLES SPECIFICITES AVANTAGES
FICHE PRODUIT PARTICULIERS MOTO LIBERTÉ L assurance de toutes les motos CIBLES De 21 à 74 ans Sans antécédent SPECIFICITES Nous acceptons : Jusqu à 3 sinistres sur les 36 derniers mois CRM de 0.50 à 1.00
Plus en détailServices. Chaque projet de stand doit être soumis au plus tard le 29 Juillet 2012 auprès du Service Architecture d EQUIPMAG :
Services Accueil Exposants Animations sur stand Architecture Assurance complémentaire Badges Douanes État des lieux de sortie Gardiennage Hébergement Hôtesses Hygiène et protection de la santé Manutention
Plus en détailLE GRAND CARÉNAGE DU PARC NUCLÉAIRE EDF ET LES ACTIONS POST FUKUSHIMA 1 AMBITIONNER DE PORTER À 50 OU 60 ANS L EXPLOITATION DES RÉACTEURS
SFEN/GR21 Janvier 2014 LE GRAND CARÉNAGE DU PARC NUCLÉAIRE EDF ET LES ACTIONS POST FUKUSHIMA 1 AMBITIONNER DE PORTER À 50 OU 60 ANS L EXPLOITATION DES RÉACTEURS Le Grand carénage du parc nucléaire d EDF
Plus en détailPLAN COMMUNAL DE SAUVEGARDE COMMUNE DE PUNAAUIA PARTIE 2: OPERATIONNELLE
2011 PLAN COMMUNAL DE SAUVEGARDE COMMUNE DE PUNAAUIA PARTIE 2: OPERATIONNELLE SOMMAIRE SOMMAIRE 2 DECLENCHEMENT DU PCS 3.1 ROLE ET OBJECTIFS DU PLAN 3.2 MODALITES DE DECLENCHEMENT DES DIFFERENTES ALERTES
Plus en détailRELAIS BABY-SITTING Bureau Information Jeunesse Saint-lô CANDIDATURE BABY-SITTER
CANDIDATURE BABY-SITTER NOM DATE DE NAISSANCE Téléphone PRENOM SEXE M F Portable E-mail Statut Lycéen Etudiant Demandeur d emploi En formation Autre ; précisez : Véhicule Aucun Voiture Formation en rapport
Plus en détail1-Thème du chantier : LE DEVELOPPEMENT DURABLE
Chantier d Emmaus International sur le DEVELOPPEMENT DURABLE Lisbonne du 10 au 18 octobre 2008 1-Thème du chantier : LE DEVELOPPEMENT DURABLE Le thème du développement durable a été choisi étant un vecteur
Plus en détailLe 31 octobre 2011, un Renault Trafic emprunte tranquillement et furtivement des petits chemins détournés, de la commune du Bugey.
ETUDE DU CAS N 1 Le 31 octobre 2011, un Renault Trafic emprunte tranquillement et furtivement des petits chemins détournés, de la commune du Bugey. A un croisement, les deux occupants sont contrôlés par
Plus en détail1. LES ESTIMATIONS DE COÛTS DOIVENT ÊTRE EXHAUSTIVES ET FOURNISSENT AINSI UNE VUE D ENSEMBLE
Les rejets radiologiques massifs diffèrent profondément des rejets contrôlés Ludivine Pascucci-Cahen, Momal Patrick Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN), 31 av. Division Leclerc, 92260
Plus en détailLE TRAVAIL EN HAUTEUR
F I C H E P R E V E N T I O N N 0 2 «H Y G I E N E S E C U R I T E» LE TRAVAIL EN HAUTEUR STATISTIQUES Avec près d une centaine d agent victime de chutes de hauteur durant les 5 dernières années dans les
Plus en détailService Municipal d Accueil Postscolaire
Service Municipal d Accueil Postscolaire Règlement intérieur 2013-2014 Direction de la Vie Scolaire et de la Petite Enfance 15 mail d Allagnat 63000 Clermont-Ferrand mail : dvspe-secretariat@ville-clermont-ferrand.fr
Plus en détailMODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE. Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2)
MODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2) 1 - SCP Radiolor 2 - CHU de Nancy MODE D EXERCICE DU PRATICIEN Choix
Plus en détailProjet de Classe de 5 G. Séjour du 12 au 14 février 2009
Projet de Classe de 5 G Séjour du 12 au 14 février 2009 Jeudi 12 février départ du collège après les cours du matin - RV à la gare à 12h20 (départ à 12h44). Repas tiré du sac - Arrivée à Paris à 17h14.
Plus en détailL assurance maladie qui simplifie votre séjour en Suisse!
L assurance maladie qui simplifie votre séjour en Suisse! NTS A I D ÉTU PAIR U A S FILLE AIRES I STAG NTIS E APPR Réf. : ASS.FR.NOTICE.2015 SWISS Studies L assurance maladie qui vous simplifie la vie!
Plus en détailAUTO LUCKY FICHE PRODUIT PARTICULIERS. L assurance des profi ls malussés et risques aggravés élargis SPECIFICITES CIBLES AVANTAGES.
FICHE PRODUIT PARTICULIERS AUTO LUCKY L assurance des profi ls malussés et risques aggravés élargis PROTEGYS Courtage Document non contractuel Date : 21/0/2015 CIBLES De 25 à 70 ans A partir de 2 mois
Plus en détailULTRA-TRAIL DU MONT-BLANC
ULTRA-TRAIL DU MONT-BLANC Fiche d instructions Fermeture de course La fermeture de course est une lourde charge, merci à ceux qui en prennent la responsabilité. Vous n êtes pas chargé du débalisage mais
Plus en détailAUTO HORIZON FICHE PRODUIT PARTICULIERS. L assurance des profi ls malussés et risques aggravés légers CIBLES AVANTAGES.
FICHE PRODUIT PARTICULIERS AUTO HORIZON L assurance des profi ls malussés et risques aggravés légers CIBLES De 25 à 74 ans A partir de 24 mois d antécédents d assurance CRM de 0.50 à 3.50 Jusqu à 6 sinistres
Plus en détailLes ambigüités et les difficultés d application du décret travailleur
Les ambigüités et les difficultés d application du décret travailleur 1 LE TEXTE RÉGLEMENTAIRE Protection des travailleurs Décret 2003-296 du 31/03/03 Codifié dans le code du travail Plus arrêtés d applications
Plus en détailFukushima 2015 : état des lieux et perspectives
Fukushima 2015 : état des lieux et perspectives 11 mars 2015 Le 11 mars 2011 en début d après-midi, environ 6 500 personnes, salariés de l exploitant TEPCO et de ses entreprises partenaires, sont présentes
Plus en détailSoldat de métier au Détachement de reconnaissance de l armée 10
Soldat de métier au Détachement de reconnaissance de l armée 10 1 2 3 4 5 6 7 8 Engagement & mission I Processus de sélection & profil exigé I Instruction I Vie quotidienne au travail I Contact Le détachement
Plus en détailAUTO ALLEGRO FICHE PRODUIT PARTICULIERS. L assurance des conducteurs avec petits bonus CIBLES AVANTAGES
FICHE PRODUIT PARTICULIERS AUTO ALLEGRO L assurance des conducteurs avec petits bonus CIBLES De 23 à 75 ans A partir de 24 mois d antécédents d assurance CRM de 0.50 à 0.90 Jusqu à 2 sinistres sur les
Plus en détailAUTO LIBERTÉ FICHE PRODUIT PARTICULIERS. L assurance des nouveaux conducteurs SPECIFICITES CIBLES AVANTAGES. De 25 à 74 ans
FICHE PRODUIT PARTICULIERS AUTO LIBERTÉ L assurance des nouveaux conducteurs CIBLES De 25 à 74 ans Sans antécédent (sauf en DTA) CRM de 0.60 à 1.00 SPECIFICITES Nous acceptons : Jusqu à 2 sinistres sur
Plus en détailP.P.S.P.S. LOT 2A1 ET 2B1. Agencement
Agencement Nom du chantier : Banque Africaine de Développement Adresse : Siège Abidjan Avenue A18 Joseph Anoma Repère chantier : BAD PLAN PARTICULIER DE SECURITE ET DE PROTECTION DE LA SANTE P.P.S.P.S.
Plus en détailAutorité de sûreté nucléaire et Bilan du contrôle de la centrale nucléaire de Saint-Alban / Saint-Maurice en 2013
Autorité de sûreté nucléaire et Bilan du contrôle de la centrale nucléaire de Saint-Alban / Saint-Maurice en 2013 CLI de Saint-Alban / Saint-Maurice l Exil 19 mai 2014 19/05/2014 1 L Autorité de sûreté
Plus en détailMISSING. Le moteur de recherche mondial des disparus de catastrophes naturelles. En partenariat avec :
MISSING Le moteur de recherche mondial des disparus de catastrophes naturelles En partenariat avec : DES DISPARUS LAISSES A L ABANDON Chaque catastrophe humanitaire majeure entraîne la disparition de nombreux
Plus en détailR A P P O R T. Fukushima, un an après. Premières analyses de l accident et de ses conséquences
R A P P O R T Fukushima, un an après Premières analyses de l accident et de ses conséquences du 12 mars 2012 Editorial Dès le 11 mars 2011, l IRSN s est mobilisé pour contribuer à analyser le déroulement
Plus en détailFORD C-MAX + FORD GRAND C-MAX CMAX_Main_Cover_2013_V3.indd 1-3 22/08/2012 15:12
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 12,999,976 km 9,136,765 km 1,276,765 km 499,892 km 245,066 km 112,907 km 36,765 km 24,159 km 7899 km 2408 km 76 km 12 14 16 1 12 7 3 1 6 2 5 4 3 11 9 10 8 18 20 21 22 23 24 26 28 30
Plus en détailSTRATEGIE SEMAINE DU 27/10/14 AU 02/10/14
STRATEGIE SEMAINE DU 27/10/14 AU 02/10/14 Environnement : Magnifique contre pied des marchés la semaine dernière. En effet, alors que la semaine d avant fut très mouvementée, notamment avec la journée
Plus en détailNouveauté - Nouvelles modalités d inscription
Nouveauté - Nouvelles modalités d inscription A compter de la rentrée 2015, la commune a décidé de se doter d un nouveau système de réservation par Internet. Conformément au règlement, chaque famille qui
Plus en détailSIEGE D EVACUATION. Manuel d'utilisation
SIEGE D EVACUATION Manuel d'utilisation REHA-TRANS Siège d évacuation Evacuation d'urgence Armoire de rangement Introduction Vous avez choisi d acheter un SIEGE D EVACUATION D'URGENCE. Veuillez lire attentivement
Plus en détailAccidents trajet et mission
A.S.P.E.49 ASRE 49, BP 31844, 49018 Angers Cedex asre.49@laposte.net, http://www.asre49.fr Accidents trajet et mission CLUB ASRE49, 21/06/2013 Date: xx/xx/2010 Issue: 1 page: 1/20 www.asre49.fr A.S.P.E.49
Plus en détailwww.ceotronics.fr CT-DECT GateCom 3W avec Fonction CT-ASR CT-DECT Bluetooth / tablette tactile et téléphones GSM Geschäftsbericht 09/10 I 1
www.ceotronics.fr CT-DECT avec Fonction CT-ASR CT-DECT Bluetooth / tablette tactile et téléphones GSM Geschäftsbericht 09/10 I 1 NOUVEAU! 3W (3-voies) avec CT-DECT GateCom Fonction CT-ASR CT-DECT Bluetooth
Plus en détailENQUÊTE SUR LA PRÉVENTION DES RISQUES PROFESSIONNELS
ENQUÊTE SUR LA PRÉVENTION DES RISQUES PROFESSIONNELS Cette étude a été réalisée auprès de six entreprises de transport urbain de voyageurs, sur le territoire de la CINOR, sur la base des déclarations des
Plus en détailPrévention des risques professionnels Date : Classe : Séquence 5 : Les risques professionnels dans l activité de travail.
Nom : Prénom : Prévention des risques professionnels Date : Classe : Séquence 5 : Les risques professionnels dans l activité de travail. Objectif : Analyser une situation de travail à partir des dangers
Plus en détailPRESTATIONS BIEN-ÊTRE
ONEX SANTÉ PRESTATIONS BIEN-ÊTRE SAISON 2010-2011 Réception SPPS - Guichet principal : Rue des Evaux 13, 1213 Onex Tél. : 022-879.89.11 ; fax : 022-879.89.10) Tous les jours de 9h à 12h et les lundis,
Plus en détailCONCOURS EUROPEEN D EDUCATION ROUTIERE FIA REGLEMENT 2015
CONCOURS EUROPEEN D EDUCATION ROUTIERE FIA REGLEMENT 2015 3-6 Septembre 2015 Vienne, Autriche 1. Objectifs et but du Concours Les dispositions juridiques et techniques touchant à la circulation routière,
Plus en détailL organisation de chantier
L organisation de chantier POSOW is a project co-financed by EU under the Civil Protection Financial Instrument developed in cooperation with ISPRA, Cedre, Sea Alarm and CPMR and coordinated By REMPEC
Plus en détailRÉGLEMENT INTÉRIEUR 2015 DU RESTAURANT SCOLAIRE adopté par le conseil municipal du 9 décembre 2014
Ville de Saint-Palais-sur-Mer Groupe scolaire Lucien Robin RÉGLEMENT INTÉRIEUR 2015 DU RESTAURANT SCOLAIRE adopté par le conseil municipal du 9 décembre 2014 Préambule Le restaurant scolaire n est pas
Plus en détailFiche N 18 Ind. 1 du 21 juin 2013 LA GESTION DE CRISE DANS LE DOMAINE NUCLÉAIRE
Fiche N 18 Ind. 1 du 21 juin 2013 GASN ASSOCIATION DES RETRAITÉS DU GROUPE CEA GROUPE ARGUMENTAIRE SUR LE NUCLÉAIRE LA GESTION DE CRISE DANS LE DOMAINE NUCLÉAIRE 1. INTRODUCTION La gestion de crise dans
Plus en détail13-14-15 février 2014 Parc Chanot Hall 2 Marseille GUIDE DE L EXPOSANT 2014
GUIDE DE L EXPOSANT 2014 1 SOMMAIRE Conditions particulières 3, 4, 5 Renseignements généraux 6 Organisation des Rencontres 7 Prestations 8, 9 Logistique 10 Processus d inscription 11 2 CONDITIONS PARTICULIERES
Plus en détailEVALUATION DE L EXPOSITION AU BRUIT EN PERIODE SCOLAIRE CHEZ UN MAITRE-NAGEUR EN PISCINE COUVERTE
EVALUATION DE L EXPOSITION AU BRUIT EN PERIODE SCOLAIRE CHEZ UN MAITRE-NAGEUR EN PISCINE COUVERTE I - INTRODUCTION Le bruit dans les piscines est crée par les activités ludiques et les cris des usagers.
Plus en détailCAHIER DES CHARGES. Entretien et nettoyage des locaux scolaires et périscolaires
CAHIER DES CHARGES Entretien et nettoyage des locaux scolaires et périscolaires DESIGNATION DES LOCAU Bâtiment des Maternels Bâtiment des Primaires 2 Bâtiment des Maternels Salles de classe 3 Locaux communs
Plus en détail1. REGLEMENTATION : 2. INTRODUCTION :
1. REGLEMENTATION : Décret n 65-48 du 8 janvier 1965 modifié portant règlement d'administration publique pour l'exécution des dispositions de la partie IV du Code du travail en ce qui concerne les mesures
Plus en détailLe Centre industriel de regroupement, d entreposage et de stockage
Le Centre industriel de regroupement, d entreposage et de stockage Sommaire L Andra dans l Aube : un exploitant industriel exemplaire Le Centre industriel de regroupement, d entreposage et de stockage
Plus en détailObjet du document CAHIER DES CHARGES PRESTATION DE NETTOYAGE. Type de document : CDC. Cahier des charges pour la fourniture de prestation de nettoyage
Type de document : CDC Cahier des charges auteur HC Objet du document Cahier des charges pour la fourniture de prestation de nettoyage 1 de 11 CDC nettoyage.docx TABLE DES MATIERES 1 PRESENTATION DE CAP
Plus en détailActions de l Autorité de Sûreté Nucléaire. Le contrôle de la dépollution & L information des publics
Actions de l Autorité de Sûreté Nucléaire Le contrôle de la dépollution & L information des publics Incident CEA Valduc - les conséquences en Ile-de-France 1 Pollution au tritium : Caractéristiques Demi-vie
Plus en détailMOTO ELECTRIQUE. CPGE / Sciences Industrielles pour l Ingénieur TD06_08 Moto électrique DIAGRAMME DES INTER-ACTEURS UTILISATEUR ENVIRONNEMENT HUMAIN
MOTO ELECTRIQUE MISE EN SITUATION La moto électrique STRADA EVO 1 est fabriquée par une société SUISSE, située à LUGANO. Moyen de transport alternatif, peut-être la solution pour concilier contraintes
Plus en détailFiche d'inscription PARENTS
Fiche d'inscription PARENTS IDENTITE Nom : Prénom : Adresse :.. Tel : Portable : Courriel : @. VOTRE DEMANDE DE GARDE D ENFANTS Vos enfants : Nom Prénom Âge Lieu de garde : Garde souhaitée : Occasionnelle
Plus en détailContact Commercial : Cathy Dubourg 02 31 28 19 19 cdubourg@partouche.com www.casinocabourg.com
Contact Commercial : Cathy Dubourg 02 31 28 19 19 cdubourg@partouche.com www.casinocabourg.com Nous accueillons Events d entreprises Events privés Réunions Séminaires Conventions Défilés Dîners de gala
Plus en détailFORMULAIRE DE DEMANDE D EMPLOI POUR ÉTUDIANTS, ÉTÉ 2015
FORMULAIRE DE DEMANDE D EMPLOI POUR ÉTUDIANTS, ÉTÉ 2015 Critères Pour travailler à la Ville de Thetford Mines, vous devez demeurer sur le territoire de la Ville (une preuve pourra être exigée, telle que
Plus en détailL humain au cœur de l entreprise. De l identification à la gestion des Risques Professionnels
L humain au cœur de l entreprise De l identification à la gestion des Risques Professionnels Petit déjeuner Conférence du 17 Mars 2009 Sommaire 1. IDER : Identification des Dangers et Évaluation des Risques
Plus en détailCAP C.R.M. Conducteur Routier Marchandises
CAP C.R.M. Conducteur Routier Marchandises Lycée Bel Air de TINTENIAC Le titulaire de ce CAP doit être capable d assurer, en prenant en compte la sécurité et la qualité, le service transport de marchandises
Plus en détailLA RADIOACTIVITE NATURELLE RENFORCEE CAS DE LA MESURE DU RADON - A L G A D E
LA RADIOACTIVITE NATURELLE RENFORCEE CAS DE LA MESURE DU RADON Sylvain BERNHARD - Marion DESRAY - A L G A D E Membre de l UPRAD, Union Nationale des Professionnels du Radon LES EXPOSITIONS PROFESSIONNELLES
Plus en détailN i1007 ASSEMBLÉE NATIONALE PROPOSITION DE LOI
N i1007 ASSEMBLÉE NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 TREIZIÈME LÉGISLATURE Enregistré à la Présidence de l Assemblée nationale le. PROPOSITION DE LOI visant à renforcer la protection et la sécurité
Plus en détailBook de formation. Assurance voyage et services aux voyageurs. Document interne strictement personnel et confidentiel. Destiné aux collaborateurs FRAM
Book de formation Assurance voyage et services aux voyageurs Document interne strictement personnel et confidentiel. Destiné aux collaborateurs FRAM Dernière mise à jour le 30/03/2009 Contacts utiles Service
Plus en détailMODE OPERATOIRE NORMALISE : Date d application :
1 / 14 Prénom / Nom Date, signature Rédacteur : Tony Jamault Vérificateur : Anthony Loussouarn Approbation : Isabelle Calard Table des matières 1 OBJECTIF DU MODE OPERATOIRE ET DOMAINE D APPLICATION...
Plus en détailLe plan national d actions coordonnées
Le plan national d actions coordonnées 2009 2012 de la branche accidents du travail et maladies professionnelles Trouble musculo-squelettiques (TMS) 1ère cause de maladies professionnelles indemnisées
Plus en détailMODULE NATIONAL D ENSEIGNEMENT DE RADIOPROTECTION DU DES DE RADIOLOGIE
Collège des Enseignants en Radiologie de France MODULE NATIONAL D ENSEIGNEMENT DE RADIOPROTECTION DU DES DE RADIOLOGIE Paris, 3 et 4 Février 2015 PROTECTION DES OPERATEURS EN RADIOLOGIE INTERVENTIONNELLE
Plus en détailRETOUR D EXPERIENCE. Exercice Départemental DAREGAL 2012 Milly la forêt DESCRIPTION DE L EXERCICE
Exercice Départemental DAREGAL 22 - SAP - RETEX EXER DESCRIPTION DE L EXERCICE HISTORIQUE Date : 20 janvier 22 Heure de début: 14h00 Heure de fin : 16h30 LIEU Adresse : D 948, OBJECTIFS DE L EXERCICE Pour
Plus en détailLE DACS RADIATION DOSE MONITOR. Le bon réflexe pour une optimisation de la dose
LE DACS RADIATION DOSE MONITOR Le bon réflexe pour une optimisation de la dose Radiation Dose Monitor / QU EST-CE QU UN DACS? / Le DACS (Dose Archiving and Communication System) est à la dose ce que le
Plus en détailLe code INF et les navires spécialisés
WNTI W O R L D N U C L E A R T R A N S P O RT I N S T I T U T E BROCHURE Le code INF et les navires spécialisés Dédié au transport sûr, efficace et fiable des matières radioactives Le code INF et les
Plus en détailWeek-end Neige et Vapeur Sur le Mont Lozère
Week-end Neige et Vapeur Sur le Mont Lozère 2 Jours / 1 Nuit Du Samedi 31 Janvier au Dimanche 01 Février 2015 Du Samedi 14 au Dimanche 15 Février 2015 Possibilité d arriver le vendredi soir. Accueil Dispersion
Plus en détailSemaine du 13 au 17 juillet
Semaine du 13 au 17 juillet Lundi 13 juillet - Jeux coopératifs et collectifs / course d orientation Jeux de ballons, jeux géants, loup garou, course d orientation à la Ferme de 50 Retour à l'aquoiboniste
Plus en détailClaudine AYME Relations-presse / Tél. +33 (0) 6 09 84 64 62 contact@claudine-ayme.fr Des visuels libres de droit sont disponibles à votre demande.
Dossier de Presse Mirion Technologies (MGPI), filiale du groupe Mirion Technologies, inaugure son nouveau site industriel à Lamanon (13) Vos contacts presse : Viviane ELY - Chargée de Communication / Communication
Plus en détailParcours de visite, lycée Exposition: LA RADIOACTIVITÉ De Homer à oppenheimer
Complétez le schéma de gestion des déchets nucléaires en vous aidant du panneau, les surfaces des cercles sont proportionnelles à leur importance Parcours de visite, lycée Exposition: LA RADIOACTIVITÉ
Plus en détailQuelques dates clés s pour TYM TYM : entreprise familiale créé
Quelques dates clés s pour TYM TYM : entreprise familiale créé éée e en 1963 1976 : achat de Transports Trainpo 1979 :Construction des premiers entrepôts 3000 m2 1979 à 1988 : Construction de 18000 m2
Plus en détailTECHNOLOGIE DE MESURE
TECHNOLOGIE DE MESURE Capteur de pression et de température Système de sécurité Accessoires Fabriqué en Allemagne TECHNOLOGIE DE MESURE Un aperçu de la compétence Gneuss Sans mercure en version standard
Plus en détailGestion de la crise sanitaire grippe A
Gestion de la crise sanitaire grippe A Sommaire de la présentation Nature du risque lié au virus A H1N1 Plan gouvernemental de pandémie grippale Mesures de protection Historique de la grippe La grippe
Plus en détailTNS. BFM LE GRAND JOURNAL Le 14/01/2010 20:17:51 Invité : Thierry VANDEVELDE, fondateur VEOLIA FORCE
15/01/10-08:01 - Page 1/3 Ref. Doc. : 2500-4318690-8 A : Service de presse / VEOLIA ENVIRONNEMENT Mot-Clé : VEOLIA BFM LE GRAND JOURNAL Le 14/01/2010 20:17:51 Invité : Thierry VANDEVELDE, fondateur VEOLIA
Plus en détailDOSSIER Technique de l'exposant. 20 e. congrès français de rhumatologie. 2 3 4 5 Décembre 2007
DOSSIER Technique de l'exposant 20 e congrès français de rhumatologie 2 3 4 5 Décembre 2007 P2 P3 / P4 P5 / P6 P7 P8 P9 P10 P11 / P12 P13 INFORMATIONS GÉNÉRALES ADRESSES UTILES STANDS ÉQUIPÉS PAR LA SOCIÉTÉ
Plus en détailAMIANTE REGLEMENTATION AMIANTE ET SECOND ŒUVRE DU BATIMENT
REGLEMENTATION AMIANTE ET SECOND ŒUVRE DU BATIMENT Evaluer les risques avant toute intervention, notamment le risque amiante par tout moyen approprié Informer et former le personnel d encadrement et opérateurs
Plus en détailSeptembre Décembre 2015
ATELIERS MULTIMEDIA Septembre Décembre 2015 Médiathèque Blaise-Cendrars Place Romagné 01 34 90 38 72 VOUS AVEZ DIT «ATELIERS MULTIMEDIA»? Les ateliers multimédia sont assurés par les bibliothécaires, gratuits
Plus en détailPremiers secours. Article 36
Commentaire de l ordonnance 3 relative à la loi sur le travail Art. 36 Article 36 Premiers secours 1 Les moyens nécessaires pour les premiers secours seront disponibles en permanence, compte tenu des dangers
Plus en détailCOURSIER ET LIVREUR. Liste des domaines étudiés Listes des produits Liste des produits avec nom d usage. automobile Amiante Amiante.
Répertoire des activités de travail exposant aux cancérogènes GISCOP93 Université Paris 13 (Bobigny) coursier et livreur Page 1 sur 9 COURSIER ET LIVREUR Liste des domaines étudiés Listes des produits
Plus en détailIngénieur en prévention des risques
Ingénieur en prévention des risques G1X22 Prévention hygiène et sécurité / Restauration - IR L ingénieur de recherche en prévention des risques assiste et conseille la direction de l établissement pour
Plus en détailL INSTITUT DE RADIOPROTECTION ET DE SÛRETÉ NUCLÉAIRE (IRSN)
CHAPITRE 18 L INSTITUT DE RADIOPROTECTION ET DE SÛRETÉ NUCLÉAIRE (IRSN) Introduction 367 Les missions de l IRSN 367 Bilan des activités de l IRSN en 2007 369 Appui de nature réglementaire 369 Expertise
Plus en détailEVALUATION DU RISQUE CHIMIQUE
EVALUATION DU RISQUE CHIMIQUE Cette évaluation doit être systématique, quelle que soit l activité de l entreprise, même s il n y a pas d exposition a priori du fait des activités de travail. L'objectif
Plus en détailL expertise développée par Market-IP et ses solutions télématiques vous permettront d atteindre
FOURNISSEUR DE SERVICE D OPTIMISATION GÉOGRAPHIQUE, Market-IP développe des services de cartographie, de planning, de géolocalisation et d analyse du comportement de conduite permettant une gestion optimale
Plus en détailen Bref Pédibus : Aller Pédibus c est : Pédibus en toute assurance :
en Bref Une nouvelle façon d aller à l école : un ramassage organisé, à pied, d une caravane d enfants : C'est un groupe d'écoliers conduit à pied par des adultes (souvent des parents) bénévoles, qui suit
Plus en détail«Evaluation de l activité physique chez les enfants et adolescents à l aide d une méthode objective» SOPHYA
ID: «Evaluation de l activité physique chez les enfants et adolescents à l aide d une méthode objective» SOPHYA Swiss children s objectively measured physical activity Questionnaire pour les parents sur
Plus en détail