Les pathologies cancéreuses et réinsertion. professionnelle. Rencontre Nucléaire et Santé Paris FMC 8/02/2012 1h. Pr Jean Pierre GERARD CAL Nice
|
|
- Marie-Jeanne Gagnon
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Les pathologies cancéreuses et réinsertion Centre Antoine Lacassagne Nice professionnelle Pr Jean Pierre GERARD CAL Nice Rencontre Nucléaire et Santé Paris FMC 8/02/2012 1h
2 Le cancer : les grands concepts Le travail : quelques idées simples Cancer et profession (reprise du travail) - états des lieux : qq références et données - quelques situations pratiques L essentiel
3 Une personne guérie d un cancer est une personne normale (cicatrice psychologique profonde). Elle peut reprendre (sauf séquelle, handicap majeur) une vie comme avant et en particulier retravailler. Tout doit être mis en oeuvre pour lui faciliter ce retour au travail et à une vie normale, dans les limites de son niveau d autonomie et de ses capacités.
4 Le cancer "Tout change " 1970 : multiplication anarchique de cellules sans cause connue mortelle 2012 : - alteration des gènes (noyaux ADN) - anomalie physiologique des cellules - cause connue : 1/3 des cas - guérison : 50 % "La vie sexe transmis Mort!
5 ETAPES DE LA MALADIE CANCEREUSE Phase clandestine Phase clinique initiale Phase de rechute Absence cancer Cancer asymptomatique infraclinique Prévention Dépistage Traitement initial
6 CANCER : qq Définitions Prévention : - supprimer la cause (prévention secondaire : lésion précancéreuses) vaccination (col utérin) Dépistage : - patients asymptomatique examen de principe (TEST) Diagnostic : symptome diagnostic précoce! : "rapide" "à un stade précoce"
7 Cancer maladie aigue ou chronique? Phase initiale : "semi urgence guérison 50% : Handicap- Séquelles? Phase rechute (poursuite évolutive) - rechute locale (curable) - rechute métastatique chirurgie chimio thérapie ciblée radiothérapie progrès : 1ere 2 ième x ième ligne rapport coût/efficacité (acharnement) maladie chronique "compte à rebourd"
8 Facteurs de risque. Part attribuable (environnement) France 2000 ( ) 30% 25% 20% 15% 10% 5% 0% Femmes Hommes Tabac (0,1%) Alcool Infection (2%) Profession (1,3%) Sur-poids Sédentarité F.Hormonaux et reproduction RX/UV (4%) Pollution (1%)
9 INCIDENCE - MORTALITE (France) Incidence Mortalité (150/2003) Augmentation - population = 25% # 100% - vieillissement = 20% - "risque" Kc = 55% Francim 500/
10 Evolution mortalité tous âges par cancer
11
12 GUERISON : "Survie (relative) 5 ans" Hommes Femmes F UK I EU F UK I EU Colon R Poumon ORL Prostate Leucémie Sein Eurocare EJC 2009;45:1067 Francisi Guérison = CURE : 40%
13 Femmes Hommes Cancer colorectal survie relative 5 ans
14 Anal carcinoma T3 N1 RT in 1982
15 Breast cancer Treated in 1982 Surgery and RT
16 La guérion du cancer Aspect statistique épidémiologique Expérience professionnelle (carte de voeux!) Le ressenti de la guérison (inserm) Pas de séquelle Pas de chimio L oncologue, le médecin en parle : le MOT
17 Cancer guéri - séquelles Sein : oedeme bras Rectum : colostomie résection antérieure Prostate : incontinence rectite impuissance ORL : trachéostomie Fatigue douleur etc Psychologie Selfimage famille proche collègue "Plus rien n est comme avant "
18
19 Travail Constituant majeur de la personnalité La paresse. Voltaire : "Le besoin, l ennui, le vice Travail famille Le chomage : mortalité x 3 Plan cancer N 2 La vie après le cancer
20 Plan Cancer "Nouvelles initiatives pour mieux accompagner les personnes dans la vie pendant et après le cancer" Mesure 29 : lever les obstacles à la réinsertion professionnelle des personnes atteintes de cancer.
21 Mesure 29 Plan cancer n 2 Contexte : souhait des personnes de reprendre une vie professionnelle la législation insuffisamment connue. La visite de pré-reprise est prévue par la loi auprès des médecins du travail. Aménagement du poste de travail manque à gagner de l entreprise Action : Pilote DGEFP - informer les malades - prioritaires : contrats aidés - RSA
22 Cancer Réinsertion professionnelle France 2012 : nouveaux cancers W (1.800 enfants : insertion...) Ile de France (L. Belin I. Curie) 402 salariés ( ) age moyen : 51 ans sein (36%) prostate (10%) - colon rectum - 28% continuent à travailler pendant le traitement - 79% travaillent ou retravaillent après 2 ans - visite de préreprise : 22% - poste aménagé : 50%
23 Ile de France Enquête Institut Curie Reprise du travail fréquente mais - fatigabilité : 61% - anxiété : 29% (x3) témoin - dépression : 6% (x2) témoin Conclusion : difficultés importantes surtout si arrêt supérieur à 6 ou 12 mois manque d anticipation, d accompagnement coordonner : pt médecin oncologue MG- DRH
24 Cancer colorectal Réinsertion à 15 ans Registres Doubs Bas Rhin Calvados 542 cancers ( ) / témoins (1 181) - fatigue physique mentale - changement de profession x 3 - moins d ambition professionnelle - difficulté prêt assurance cancer rectum plus affecté physiquement A. Caravante Rev. Ep. San Pub Avril 2010, 59s-s1-3
25 Etude Lille Cancer du sein 1067 réponse: 586 exploitable : % retournent au travail en 2 ans Facteurs favorisants : age niveau éducation soutien des collègues Facteur négatif : chimiothérapie bras stress au travail Sans effet : type de chirurgie Radiothérapie hormonothérapie
26 Centre Antoine Lacassagne - Nice personnes - 2 à 3 nouveaux cancer/an - 1 à 2 reprennent leur travail - Délai : 6 à 12 mois - Poste aménagé (DRH. Med W) - Confidentialité ++ - Fatigue - anxieté
27 - Métanalyse : 50% cancer < 65 ans survivants vs contrôle 16 études USA - 15 Europe - 5 divers Sans travail : 38% après cancer 15% controle Surtout : cancer du sein Gastro Entéro Gynéco USA 1.5 vs Europe
28 Retour en Travail après cancer EDF DGF RTE personnes (2010) - 43 ans - 25% F Régime particulier : A.W. infomatisé (CM10) Étude transversale A. Courte durée (< 1 an) cancer: 427 / 281 vivants : 75% reprise témoin: 439 : 92% - B. Longue durée (> 1 an) cancer : 2121/ 1958 VNR : 21 % reprise témoin : 330 / 312 : 12 % J.L. Milliot ERDF GrDF Annecy
29 PARCOURS IDEAL - T1 N0 (sein colon gynéco ORL peau ) - Chirurgie Traitt complément. : pas de séquelle - Bonne adaptation psychologique - Arrêt travail (nul - < 6 mois) - Reprise même poste (collègue OK) - Vivre comme avant! - Prêt assurance (convention AERAS)
30 Freins à la reprise -La maladie - L âge la durée d ârrêt de travail - Secteur public entreprise à son compte - Motivation - Les séquelles le handicap - Le manque d anticipation, de soutien
31 Le handicap - Altération substantielle durable (définitiion) - Fonction(s) physique, sensorielle, psychique - Limitation d activité. Commission droits autonomie personnes handicapées CDAPH (ex cotorep) RQTH Reconnaissance de qualité de travailleur handicapé
32 Statut de travailleur handicapé Favorise : embauche poste aménagé aide matérielle humaine (financement) Invalidité (maladie > 6 mois) 1 ère catégorie : travail mi-temps 2 ième catégorie : aucun travail indemnité AAH : Allocation adulte handicapé
33 Stratégie de soutien - Prise en charge en amont ++ : anticiper too late - Favoriser un retour rapide - Bilan des capacités fonctionnelles (restantes) - Réadaptation fonctionnelle (passerelle) - Solution temporaire : mitemps thérapeutique Coordonner tous les intervenants - Médecin du travail : visite de pré reprise
34 Convention AERAS s Assurer Emprunter avec Risque Aggravé Santé Info : banques Convention Belorgey; révision : 2/2011 banque, assurance +++ association, P. public -Garantie déces : < E < 50 ans (confidentialité ) -Analyse 2, 3 : < E < 70 an(surprime) -Si revenu < plafond : aide spéciale -assurance invalidité (si handicap)
35 Mélanome oreille: reprise immédiate AAP : mont blanc: reprise mème avec handicap Endomètre : reprise aménagée. Myélome : 5ans travail non stop. Sein méta crane: reprise illusoire. Myélome : remarié, retravaille.poumon métas : réopère.glioblastome : pas de reprise La variabilité humaine
36 Cancer Réinsertion professionnelle Guérir (rémission complète) sans séquelle (handicap) Anticiper : éviter arrèt de W prolongé Aider travail d èquipe +++ Médecin du travail Poste aménagé, ½ temps thérapeutique Convention AERAS Possible dans % si Rémission complète
37 ETAPES DE LA MALADIE CANCEREUSE Phase clandestine Phase clinique initiale Phase de rechute Absence cancer Cancer asymptomatique infraclinique Prévention Dépistage Traitement initial
38 Une personne guérie d un cancer est une personne normale ( cicatrice psychologique profonde). Elle peut reprendre (sauf handicap important) une vie normale et en particulier retravailler. Tout doit être mis en oeuvre pour lui faciliter ce retour au travail et à une vie normale dans les limites de son niveau d autonomie et de ses capacités (physique et psychique) d adaptation.
39 /
40
Statistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon
Statistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon Bernard Fortin Mars 2014 Source: Comité consultatif de la Société canadienne du cancer : Statistiques canadiennes sur le cancer 2013. Toronto
Plus en détailPROTEGER SON DOS ex. Cliniques St Luc
CONGRES UCL DE MEDECINE GENERALE 1 juin 2013 PROTEGER SON DOS ex. Cliniques St Luc Philippe Mahaudens, PhD Faculté des sciences de la motricité UCL Service de Médecine Physique et Réadaptation, Saint-Luc
Plus en détailCANCERS ET RAYONNEMENTS IONISANTS Fortes doses: seconds cancers après radiothérapie
CANCERS ET RAYONNEMENTS IONISANTS Fortes doses: seconds cancers après radiothérapie Rencontres Nucléaire et Santé 08/02/2013 Pierre BEY Professeur émérite de Cancérologie;Radiothérapie Université de Lorraine
Plus en détailINDEMNISATION DES SÉQUELLES EN DROIT DE LA SÉCURITÉ SOCIALE
5. INDEMNISATION DES SÉQUELLES EN DROIT DE LA SÉCURITÉ SOCIALE Dr Jacqueline Cardona L INCAPACITÉ PERMANENTE (IP) EN ACCIDENT DU TRAVAIL Principe juridique Article L 434-2 du code de la sécurité sociale
Plus en détailG U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge du cancer du foie
G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge du cancer du foie Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer
Plus en détailn 8 Hépatites virales chroniques : faciliter mes démarches...
HépatiteC onseil n 8 Ma maladie Mon traitement Ma vie sociale Hépatites virales chroniques : faciliter mes démarches... Sommaire ( Qu est-ce 1 2 3 Les hépatites chroniques sont des affections de longue
Plus en détailDéfinition, finalités et organisation
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailTableau synthétique des différentes aides au bénéfice des personnes handicapées. Document réalisé par la MDPH 04 Mise à jour : mai 2013 1
Tableau synthétique des différentes aides au bénéfice des personnes handicapées Document réalisé par la MDPH 04 Mise à jour : mai 2013 1 Prestations financières pour adultes handicapés Prestation financière
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailLe dépistage des cancers
Le dépistage des cancers G R A N D P U B L I C Octobre 2009 Le dépistage des cancers Détecter tôt certains cancers permet de les traiter mieux, c'est-à-dire de proposer des traitements moins lourds, et
Plus en détailLe dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!
Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique
Plus en détailGUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge des leucémies aiguës de l adulte
GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge des leucémies aiguës de l adulte Mars 2012 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour faciliter la discussion sur
Plus en détailProgramme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention
Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention Indicateur n 2-3 : Indicateurs sur le dépistage du cancer 1 er sous-indicateur : taux de participation au
Plus en détailCancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes
Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données
Plus en détailLes soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio
Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Grandes lignes Pourquoi les soins en cancérologie sont-ils un enjeu de santé important? Les
Plus en détailProgramme. Programme Activ. Dossier de presse Juin 2013. Dossier de presse Programme Activ 1
Programme Programme Activ Dossier de presse Juin 2013 Dossier de presse Programme Activ 1 01 UN DISPOSITIF AMBITIEUX POUR RÉDUIRE LES RISQUES DE RÉCIDIVE DE CANCERS DU SEIN 2 Une phase pilote a été menée
Plus en détailAvantages - Voordelen. Organisation - Organisatie. Mutualité socialiste et syndicale de la province de Liège 319. Rue Douffet, 36 4020 Liège
Organisation Organisatie Mutualité socialiste et syndicale de la province de Liège 319 Acupuncture Avantages Voordelen Assistance à l'étanger Biotélévigileance Détails Details Remboursement de 10 par séance,
Plus en détailL hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon
L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon Colloque Santé et Société Quels déterminants de santé et quel système de soins pour la santé de toute
Plus en détailGUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge du cancer du rein
GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge du cancer du rein Novembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le cancer du rein, son
Plus en détailCompliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1
Compliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1 Qu est ce que la compliance? Une maladie a été diagnostiquée Le diagnostic est correct Le traitement a été bien indiqué, bien choisi,
Plus en détailProgramme DPC des infirmiers
Catalogue de formations de la FNFCEPPCS pour l année 2015 Programme DPC des infirmiers Le catalogue peut évoluer en cours d année ; nous vous en tiendrons informés. 1 L INFIRMIER DE CENTRE DE SANTÉ FACE
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailo Anxiété o Dépression o Trouble de stress post-traumatique (TSPT) o Autre
Page 1 Garantie Responsabilité civile - Lésions corporelles de l assurance automobile - Étude des dossiers de demande d indemnisation fermés en Ontario Descriptions des blessures Élaborées à partir des
Plus en détailasdf Deuxième Assemblée mondiale sur le vieillissement Madrid (Espagne) 8-12 avril 2002 madrid
Madrid (Espagne) 8-12 avril 2002 Promouvoir la santé et le bien-être des personnes âgées : actif «Nous sommes témoins d une révolution silencieuse qui bien au-delà de la sphère démographique a des incidences
Plus en détailNouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Position adoptée par Conseil national de l Ordre des infirmiers le 14 septembre 2010 Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Plus en détailCOMMENT DEVENIR KINÉSITHÉRAPEUTE
COMMENT DEVENIR KINÉSITHÉRAPEUTE DESCRIPTION DU MÉTIER Le masseur-kinésithérapeute ou «kiné» dans le langage courant, effectue sur prescription médicale des actes de gymnastique médicale, de massage, de
Plus en détailN.-B. 18 à 34 24,3 28,1 20,1 24,4. 35 à 54 36,7 23,0 31,6 49,3 55 à 64 18,7 18,7 21,3 16,9 65 et plus 20,3 30,2 26,9 9,4
Profil démographique 1 18 à 34 24,3 28,1 20,1 24,4 Groupe d âge 35 à 54 36,7 23,0 31,6 49,3 55 à 64 18,7 18,7 21,3 16,9 65 et plus 20,3 30,2 26,9 9,4 Sexe Niveau de scolarité Homme 48,0 40,5 47,8 52,3
Plus en détailCroissance et vieillissement cellulaires Docteur COSSON Pierre Nb réponses = 81 sur 87. Résultats des questions prédéfinies
Docteur COSSON Pierre Nb réponses = 8 sur 87 A00 8/87 Indicateurs globaux Index global m.= m.=,9 s.=0,. Evaluation générale de cette unité m.=. Sciences médicales de base m.=,. Compétences cliniques m.=,7.
Plus en détailLe décret du 2 mars 2006 a institué le Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique de niveau V.
Siège social : 9 bis, rue Armand Chabrier 47400 TONNEINS Tél. : 05.53.64.61.57 Fax : 05.53.64.63.12 e-mail : adestonneins@yahoo.fr Site : www.adesformations.fr Antenne de Bazas 7 chemin Larriou 33430 BAZAS
Plus en détailRAPPORT D ACTIVITE AIDEA 2008. Sommaire
Sommaire 1. Introduction 2. Attentes exprimées 3. Les questions fréquentes 4. Les statistiques 5. Les enquêtes 6. Retours et témoignages 7. Evaluations et indicateurs Notre MISSION : Informer, Conseiller
Plus en détailLes plateformes de génétique
Thérapies ciblées : de l anatomopathologie th l à la biothérapie i Les plateformes de génétique moléculaire PO Schischmanoff UF Génétique moléculaire et oncogénétique CHU Avicenne ACP FHF 29 mars 2012
Plus en détailA - Nomenclature des préjudices de la victime directe
ANNEXE NOMENCLATURE DES PREJUDICES RESULTANT D UNE ATTEINTE A LA PERSONNE A - Nomenclature des préjudices de la victime directe 1 ) Préjudices patrimoniaux a) Préjudices patrimoniaux temporaires (avant
Plus en détailALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement
Communiqué de presse Bayer HealthCare S.A.S. Parc Eurasanté 220, avenue de la Recherche 59120 LOOS France Tel.+333 28 16 34 00 www.bayerhealthcare.fr Favoriser l observance avec ALTO : l engagement de
Plus en détailMaurene McQuestion, IA, BScN, MSc, CON(C) John Waldron, MD, FRCPC
Séance plénière 2 : La collaboration interprofessionnelle entre médecins et infirmières Nous examinerons durant cette séance les questions clés liées à la collaboration interprofessionnelle entre médecins
Plus en détailAction sociale. Nos actions dans le domaine du handicap. L Action sociale vous accompagne dans les moments importants de votre vie
Action sociale Nos actions dans le domaine du handicap L Action sociale vous accompagne dans les moments importants de votre vie Assumer au quotidien une situation de handicap est difficile pour une famille
Plus en détailOrganisation - Organisatie. Avantages - Voordelen
Organisation - Organisatie Mutualité socialiste et syndicale du Luxembourg 323 Place de la Mutualité 1 6870 SAINT-HUBERT Tél. : (061) 23 11 11 Fax : (061) 61 28 67 Acupuncture Aide familiale Avantages
Plus en détailPréoccupations en matière de retour au travail chez les personnes confrontées à un cancer et les personnes qui leur prodiguent des soins
Préoccupations en matière de retour au travail chez les personnes confrontées à un cancer et les personnes qui leur prodiguent des soins Sommaire de gestion À la demande du Groupe de travail national sur
Plus en détailDIPLÔME UNIVERSITAIRE
CANCER QUALITE DE VIE Université Montpellier 1 UFR STAPS Montpellier Centre d accueil et de bien-être pour les femmes atteintes de cancer ET DIPLÔME UNIVERSITAIRE Activité physique et nutrition Etincelle
Plus en détailL axe 5 du Cancéropole Nord Ouest
L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société
Plus en détailLundi 17 octobre 2011
Lundi 17 octobre 2011 LES 4 ENJEUX DE LA SANTÉ Enjeux démographiques Vieillissement de la population Maladies chroniques Démographie médicale Enjeux économiques Hausse des coûts de santé Transfert de charges
Plus en détailLES TYPOLOGIES DE LOCATAIRES ELIGIBLES AUX OFFRES LOGIS-ZEN GRL & LOGIS ZEN GRL PLUS
1 LES TYPOLOGIES DE LOCATAIRES ELIGIBLES AUX OFFRES LOGIS-ZEN GRL & LOGIS ZEN GRL PLUS Seuls les locataires définis comme «nouveaux locataires» sont éligibles à ces offres. Notion de «nouveau locataire»
Plus en détailPRESENTATION DE LA MDPH
PRESENTATION DE LA MDPH 1) LA LOI HANDICAP DU 11/02/2005 La loi handicap de 2005 (la précédente remonte à 1975) a révolutionné tant les institutions dans leur fonctionnement, que l accueil des élèves dans
Plus en détailSUPPLEMENT AU DIPLÔME
SUPPLEMENT AU DIPLÔME Le présent supplément au diplôme (annexe descriptive) suit le modèle élaboré par la Commission européenne, le Conseil de l'europe et l'unesco/cepes. Le supplément vise à fournir des
Plus en détailAssurance maladie grave
ASSURANCE COLLECTIVE Le complément idéal à votre assurance collective Assurance maladie grave Votre partenaire de confiance. Assurance maladie grave La tranquillité d esprit à votre portée Les progrès
Plus en détailLes renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer
Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic
Plus en détailEtat des lieux de l accès aux plateformes de génétique moléculaire
12 juin 2014 Etat des lieux de l accès aux plateformes de génétique moléculaire CONTEXTE ET OBJECTIFS DE l ETUDE : L action 6.2 du plan cancer 3 «conforter l accès aux tests moléculaires» stipule en particulier
Plus en détailCONSERVER SON EMPLOI. c est normal et c est possibie. Personnes Handicapées AIDES ET SERVICES DE L AGEFIPH NOVEMBRE 2014
Personnes Handicapées AIDES ET SERVICES DE L AGEFIPH NOVEMBRE 2014 CONSERVER SON EMPLOI c est normal et c est possibie Les bonnes questions à se poser Quelles démarches? Les aides de l Agefiph dont vous
Plus en détailLe référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique
A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme
Plus en détailLa retraite et l inaptitude au travail
La retraite et l inaptitude au travail 1 Le calcul de la retraite Salaire annuel moyen X Taux X Trimestres du RG Calculé sur les 25 meilleures années Varie entre 160 25% minimum et 50% maximum 2 Le taux
Plus en détailVisite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015
Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015 CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE RENNES Le CHU de Rennes Etablissement MCO, SSR, SLD de 1860 lits et places
Plus en détailAdapter et apprivoiser sa chimiothérapie Une application smartphone au service des patients
Paul Becquart, Journaliste Santé Le petit Site Santé www.lepetitsitesante.fr A la source de l'information Santé L'actualité de la Santé et de la Recherche médicale Adapter et apprivoiser sa chimiothérapie
Plus en détailLES AIDES DU FONDS POUR L INSERTION DES PERSONNES HANDICAPEES DANS LA FONCTION PUBLIQUE (FIPHFP)
LES AIDES DU FONDS POUR L INSERTION DES PERSONNES HANDICAPEES DANS LA FONCTION PUBLIQUE (FIPHFP) Colloque sur la prévention des risques professionnels Mardi 9 décembre 2014 LE CADRE REGLEMENTAIRE LE STATUT
Plus en détailDemande de règlement d invalidité de longue durée
Régime d assurance pour les cadres de gestion de la Fonction publique Demande de règlement d invalidité de longue durée Industrielle Alliance, Assurance et services financiers inc. Police collective n
Plus en détailLe cancer dans le canton de Fribourg
Le cancer dans le canton de Fribourg Le cancer du poumon dans le canton de Fribourg, analyses statistiques réalisées sur la base des données récoltées par le Registre fribourgeois des tumeurs depuis début
Plus en détailLe VIH et votre foie
Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Que dois-je savoir au sujet de mon foie? Votre foie joue un rôle incroyablement important. Il filtre votre sang en éliminant les substances nocives (toxiques)
Plus en détailQuoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?
Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,
Plus en détailDares Analyses L ACCÈS À L EMPLOI DES PERSONNES HANDICAPÉES EN 2011
Dares Analyses OCTOBRE 2013 n 066 publication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques L ACCÈS À L EMPLOI DES PERSONNES HANDICAPÉES EN 2011 En 2011, 2 millions de
Plus en détailMention : STAPS. Sport, Prévention, Santé, Bien-être. Objectifs de la spécialité
Mention : STAPS Sport, Prévention, Santé, Bien-être Objectifs de la spécialité L'objectif de la spécialité «Sport, Prévention, Santé, Bien être» est de doter les étudiants de compétences scientifiques,
Plus en détailPanorama d une filière d excellence : les industries et technologies de santé
Panorama d une filière d excellence : les industries et technologies de santé D après les données du Contrat d étude prospective des Industries de Santé 2012 les chiffres clés u Près de 200 000 salariés,
Plus en détailLa prise en charge de votre insuffisance cardiaque
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre insuffisance cardiaque Vivre avec une insuffisance cardiaque Décembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant
Plus en détailQui sont les migrants? Question 1. Qui sont les migrants?
Question 1 Qu est-ce qu un immigré? Qu est-ce qu un réfugié? Question 3 Quel est le nombre de personnes qui quittent leur pays pour des raisons climatiques? -30 millions -1 million -250 millions Question
Plus en détailVolume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques
2 V o l u m e Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques Volume 2 : Epidémiologie - Situation et actions Recherche des données d incidence estimée des cancers au Maroc Recherche des données
Plus en détailDOSSIER DE PRÉSENTATION
DOSSIER DE PRÉSENTATION GUSTAVE ROUSSY ET LE CANCER DU SEIN OCTOBRE 2013 Gustave Roussy et le cancer du sein octobre 2013 page 1 DOSSIER DE PRÉSENTATION Gustave Roussy et le cancer du sein GUSTAVE ROUSSY,
Plus en détailRepérage de la perte d autonomie
Repérage de la perte d autonomie France Morissette, MSc. Inf Directrice, Opérations soins 24 novembre 2014 LE GROUPE MAURICE PROFIL CORPORATIF, EN BREF Fondé en 1998 Un seul créneau : l habitation pour
Plus en détailChapitre 1 : Introduction à la rééducation périnéale
Chapitre 1 : Introduction à la rééducation périnéale 1. Historique. Kegel (1949). Bourcier (1970). 1985 : reconnaissance officielle d acte de MK. Développement de la MK périnéale : facteur éco/p sociale
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailCritères de Choix d une Echelle de Qualité De Vie. Etudes cliniques dans l autisme. Introduction
Critères de Choix d une Echelle de Qualité De Vie Etudes cliniques dans l autisme Marie-Christine Picot Congrès Epsylon 5 avril 2013 Introduction Mesurer la Qualité de Vie liée à la Santé : Evaluer les
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailpendant et après le cancer
Dossier technique Parcours personnalisés pendant et après le cancer Pratiques de coopération entre structures sanitaires et MDPH Décembre 2011 La Caisse nationale de solidarité pour l autonomie est à la
Plus en détailDECRETS D APPLICATION. LOI du 5 mars 2007
DECRETS D APPLICATION LOI du 5 mars 2007 1 Décret n 2008-1554 2 Article L. 475-1 du code de l action sociale et des familles «Le coût des mesures exercées par les mandataires judiciaires à la protection
Plus en détailL'œsophage L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Causes
L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Chez l'adulte moyen, il fait 25 cm à 30 cm (10 po à 14 po) de long et environ 2 cm (moins d'un pouce) de large. L'œsophage est constitué
Plus en détailRéformes socio-économiques
Réformes socio-économiques Le 27 novembre 2011, suite à la dégradation de la note belge par l agence Standard & Poor s, les six partis ont conclu, dans l urgence, un accord sur le budget et sur la réforme
Plus en détailb) 20 ans, il change de statut : AAH et couverture santé
VIE QUOTIDIENNE ET DROITS SOCIAUX DES ADULTES EN SITUATION DE HANDICAP Plan : 1/L ACCES A LA MAJORITE, LE CHANGEMENT DE STATUT a)18 ans la MAJORITE b) 20 ans, il change de statut : AAH et couverture santé
Plus en détailStructure des revenus des médecins (hors système forfait)
Structure des revenus des médecins (hors système forfait) Paiement à l acte: consultations, visites, actes techniques Paiement à la capitation (par patient): DMG, DMG+, Passeport diabète, Trajets de soins
Plus en détailBouger, c est bon pour la santé!
Bouger, c est bon pour la santé! Tous concernés! De quoi s agit-il? Il s agit de toute activité physique, dès lors que nous bougeons. Ainsi tous les pas comptent, comme ceux que nous faisons chez nous
Plus en détailLe logement social à Suresnes
Logement La ville de Suresnes a signé le 7 novembre 2001 la «Charte Ville- Handicap» avec les associations de la Plate-forme Inter Associative des Personnes Handicapées des Hauts-de-Seine. Par cet engagement,
Plus en détailAllocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins
Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins Université d été de la performance en santé - 29 août 2014- Lille Monsieur le président, Monsieur le directeur général,
Plus en détailCAHIER DES CHARGES INFIRMIER-ÈRE DIPLÔMÉ-E
Madame/Monsieur 1. DÉFINITION DE LA FONCTION Au service du projet institutionnel, la titulaire du poste : Exerce dans un cadre législatif et un contexte sanitaire connus (loi sur l exercice professionnel,
Plus en détailLA FIN DE VIE AUX URGENCES: LES LIMITATIONS ET ARRÊTS DES THÉRAPEUTIQUES ACTIVES. Dr Marion DOUPLAT SAMU- Urgences Timone
LA FIN DE VIE AUX URGENCES: LES LIMITATIONS ET ARRÊTS DES THÉRAPEUTIQUES ACTIVES Dr Marion DOUPLAT SAMU- Urgences Timone SOMMAIRE 1. La mort aux urgences 2. Les Limitations et Arrêts des Thérapeutiques
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailFRAIS DE santé. Présentation des garanties et des tarifs. Professions de la Photographie. JANVier 2014
FRAIS DE santé JANVier 2014 TRAVAILLEURS NON SALARIÉS Présentation des garanties et des tarifs Professions de la Photographie Régime frais de santé - Travailleurs non salariés Les partenaires sociaux de
Plus en détailLA PROPOSITION DE LA VACCINATION ANTI-PAPILLOMAVIRUS: INFORMATIONS TRANSMISES ET VECU DE LA PROPOSITION
LA PROPOSITION DE LA VACCINATION ANTI-PAPILLOMAVIRUS: INFORMATIONS TRANSMISES ET VECU DE LA PROPOSITION ETUDE QUALITATIVE REALISEE AUPRES DE MEDECINS GENERALISTES DU JURA ET DE COUPLES ADOLESCENTES/ REPRESENTANTS
Plus en détailLa protection sociale en France
18 La protection sociale en France FONCTIONNEMENT La protection sociale peut fonctionner selon trois logiques. LA LOGIQUE D ASSURANCE SOCIALE La logique d assurance sociale a pour objectif de prémunir
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailCALENDRIER DES CONFÉRENCES RÉGIONALES
CALENDRIER DES CONFÉRENCES RÉGIONALES Calendrier diffusé le 07 avril 2014. Annule et remplace le précédent La PRÉVENTION et le DÉPISTAGE, SONT UN ENSEIGNEMENT. PRÉVENIR : c est enseigner au grand public
Plus en détailRésidence MBV Les FIGUERES -Capendu-
Résidence MBV Les FIGUERES -Capendu- Accompagnement de fin de vie: un travail d équipe Fin de vie en EHPAD Quel que soit le lieu de la «toute fin de vie» et du décès des résidents d Ehpad, l accompagnement
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailFondation PremUp. Mieux naître pour mieux vivre
Fondation PremUp Mieux naître pour mieux vivre Une fondation de coopération scientifique initiée par les pouvoirs publics en 2007 6 membres fondateurs : L Assistance Publique des Hôpitaux de Paris, l Inserm,
Plus en détailArthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes
Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault
Plus en détailEntretiens Pharmaceutiques en Oncologie : Où en sommes nous en 2014, au CHPC
Entretiens Pharmaceutiques en Oncologie : Où en sommes nous en 2014, au CHPC 2éme Journée des Infirmiers de Basse-Normandie Jeudi 9 Octobre 2014 Florence BANNIE, Pharmacien CHPC, CHERBOURG Déclarations
Plus en détailPrise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères. Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D.
Prise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D. Introduction Incidence : 0,5 à 3 % Importance de la reconnaissance et d un traitement
Plus en détailSANTE AU TRAVAIL DANS LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE
1 SANTE AU TRAVAIL DANS LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE Dr Sylvain PEREAUX 1. L APTITUDE MÉDICALE DANS LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE. Le but de l aptitude médicale à un poste de travail est de vérifier
Plus en détailInsuffisance cardiaque
Insuffisance cardiaque Connaître son évolution pour mieux la vivre Guide d accompagnement destiné au patient et ses proches Table des matières L évolution habituelle de l insuffisance cardiaque 5 Quelles
Plus en détailLa prise en charge de votre maladie de Parkinson
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre maladie de Parkinson Vivre avec une maladie de Parkinson Octobre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous
Plus en détail