F É D É R A T I O N A N T A D I R 6 6 B D S T M I C H E L P A R I S Dans ce numéro les résumés des interventions :

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "F É D É R A T I O N A N T A D I R 6 6 B D S T M I C H E L P A R I S 6-0 1 5 6 8 1 4 0 6 0. Dans ce numéro les résumés des interventions :"

Transcription

1 Année 2008 Numéro 14 Février 2008 Flash Info La sclérose latérale amyotrophique (SLA) et la prise en charge paramédicale des maladies neuro-musculaires Journée du Groupe de Travail des Paramédicaux F É D É R A T I O N A N T A D I R 6 6 B D S T M I C H E L P A R I S Flash Info Dans le cadre des travaux de la Commission Médico-Technique et Sociale de l Antadir et à l initiative du groupe de travail des paramédicaux, une réunion sur le thème de la sclérose latérale amyotrophique (SLA) et la prise en charge paramédicale des maladies neuro-musculaires s est tenue le 9 octobre dernier. La SLA est une affection neurologique au pronostic grave et nécessite une prise en charge multidisciplinaire. La matinée a été consacrée à une revue des aspects médicaux et sociaux de la SLA, avec l intervention de plusieurs spécialistes. L après-midi a été réservé à des ateliers thématiques, animés par les membres du groupe de travail. Il nous est apparu intéressant de vous présenter les temps forts de cette manifestation, à travers les résumés qui suivent. Pr Boris Melloni Dans ce numéro les résumés des interventions : Docteur Thierry Perez Page 2 Docteur Jésus Gonzalez-Bermejo Page 3 Professeur Philippe Couratier Page 4 Professeur Jean-Claude Desport Page 5 Françoise Fontenaille Page 6 Christophe Coupé Page 6 Gilbert Dragar, Henriette Letellier, Michèle Paget Page 7 Jacqueline Brisson, Chantal Kéré Page 7 Arnaud Colin, Françoise Jeanne Page 7

2 SLA : atteinte respiratoire, approche clinique et para-clinique. Intervention du Dr Thierry Perez, Centre SLA, CHRU de Lille et Coordonnateur du Groupe SLA de la Société de Pneumologie de Langue Française La SLA est une maladie dégénérative des motoneurones responsable de paralysies extensives des membres et/ou de la sphère labio-glosso-pharyngée. Cette dégénérescence progressive des motoneurones de la corne antérieure, des noyaux bulbaires et du cortex est d étiologie inconnue, avec une prévalence de 2,6 à 6,4/ habitants. L atteinte respiratoire par atteinte musculaire et atteinte bulbaire aboutit à un encombrement bronchique et pharyngé, des infections respiratoires et une insuffisance respiratoire grave. Au début de la maladie, la dyspnée d effort est évaluée par l échelle de Borg en comparant la position assise et couchée. Les signes d alerte de l atteinte respiratoire sont l apparition d une fatigue, d une somnolence inhabituelle avec céphalées matinales, ou des troubles du sommeil témoignant d une hypoventilation alvéolaire. Une dyspnée en position assise ou orthopnée et un e n c o m b r e m e n t b r o n c h i q u e o u pharyngolaryngé doivent alerter. Les explorations complémentaires reposent sur la spirométrie, la gazométrie artérielle, la mesure de la force musculaire et une exploration du sommeil. La spirométrie permet de rechercher un syndrome restrictif avec abaissement de la capacité vitale, élément pronostic si inférieur à 50%. La gazométrie artérielle va permettre de détecter une hypercapnie diurne, reflet d une hypoventilation nocturne, indication d une ventilation non invasive (VNI) La mesure de la force musculaire est plus sensible que la spirométrie. La force inspiratoire peut être évaluée par une mesure simple de la pression nasale (SNIP) ou «pression sniff nasale». Ce test évalue indirectement la force du diaphragme, muscle inspiratoire essentiel, par la mesure de la pression nasale du reniflement. On peut également mesurer la pression inspiratoire maximum ou PImax. Le débit de pointe à la toux permet simplement d évaluer la force expiratoire et la fonction de la glotte. L exploration du sommeil est importante. L oxymétrie nocturne, réalisable au domicile du patient, permet de dépister des désaturations nocturnes. La polysomnographie a pour but de détecter des apnées du sommeil versus une hypoventilation. Le consensus de la Haute Autorité de Santé de Novembre 2005 recommande à chaque évaluation trimestrielle de : rechercher des signes cliniques de dysfonction du diaphragme, des troubles du sommeil et un encombrement bronchique. réaliser les examens suivants : * une spirométrie (Capacité Vitale CV et DEP à la toux) * une gazométrie artérielle initiale et en fonction de la clinique * une évaluation musculaire : SNIP test et PImax * une oxymétrie nocturne semestrielle. Page 2 FLASH INFO

3 Prise en charge respiratoire de la SLA : ventilation non-invasive (VNI), trachéotomie, aide à la toux. Intervention du Dr Jésus Gonzalez-Bermejo, Centre de Référence SLA de Paris, Service de Pneumologie et Réanimation Respiratoire, Hôpital La Pitié Salpêtrière, Paris. Deux points clefs caractérisent la maladie : la dysfonction diaphragmatique et l atteinte de la toux. Pour la dysfonction diaphragmatique, le seul traitement efficace est la ventilation mécanique. Des études récentes qui ont débuté en 1995 ont démontré que la VNI améliorait la survie et la qualité de vie des patients. Aucune étude n a démontré qu un mode de ventilation barométrique ou volumétrique était supérieur à l autre. La seule difficulté est celle parfois de ventiler avec succès des patients avec atteinte bulbaire. En pratique, il faut d abord proposer une VNI, puis préparer et discuter une ventilation mécanique sur trachéotomie en respectant le choix éthique du patient. En cas de VNI, il faut préparer la prise en charge et l éducation du patient et de son entourage. Il faut systématiquement prévoir : *un ventilateur avec une batterie *un ventilateur de secours *un jeu de masque nasal et bucco-nasal *des conseils en cas de lésions nasales dues au masque. La prise en charge par VNI nécessite une coordination étroite entre le centre de référence SLA, le prestataire et les acteurs de soins à domicile. Le mécanisme de la toux nécessite une inspiration profonde, une fermeture efficace de la glotte et une contraction efficace des muscles expiratoires. Pour améliorer la défaillance de la toux du patient SLA, on dispose de plusieurs techniques selon la gravité de la défaillance : Accélération de la toux par aide manuelle du kinésithérapeute Hyperinsufflation par «Air-Stacking» Technique instrumentale par aide à la toux (Cough assist ) Le problème de la fin de vie sous ventilation doit être abordé tôt avec le patient et son entourage. ANNÉE 2008 NUMÉRO 14 Page 3

4 Le traitement médical de la SLA et les protocoles de recherche. Intervention du Pr. Philippe Couratier, Centre de Référence SLA, service de Neurologie, CHU Dupuytren, Limoges. La SLA est sur le plan épidémiologique une affection grave dont la prévalence augmente avec l âge. On estime en France environ 6500 cas avec 5-10% de formes familiales. La présentation clinique est hétérogène en fonction du siège des lésions et de la vitesse de progression. Les principaux facteurs pronostiques sont : le délai entre le diagnostic et le début des symptômes l âge du début le siège initial de l atteinte (spinal et bulbaire) l importance de l atteinte pyramidale la sévérité de l atteinte respiratoire la présence ou non d une dénutrition Une prise en charge précoce diminue l incidence des complications, améliore les répercussions psychologiques et la qualité de vie. La prise en charge au sein d un centre de référence permet au patient et à sa famille une aide pour la prise en charge clinique, sociale et psychologique. Les mécanismes physiopathologiques de la maladie sont à ce jour mieux connus. Pour expliquer la mort neuronale, plusieurs mécanismes ont été décrits : les troubles du métabolisme du calcium avec activation des récepteurs au glutamate, les anomalies du stress oxydant, les anomalies des neurofilaments, les inclusions intraneuronales et enfin l apoptose ou mort cellulaire programmée. Le principal essai thérapeutique positif concerne un agent anti-glutamate, le riluzole ou Rilutek qui augmente la durée de vie des patients et retarde la nécessité de mise en place d une trachéotomie. D autres agents antiglutamates proposés, comme la gabapentine, n ont pas permis de confirmer ces résultats. Plusieurs voies thérapeutiques sont actuellement étudiées avec des essais cliniques : les agents neurotrophiques, facteurs de croissance pour les neurones les anti-oxydants les traitements favorisant le métabolisme mitochondrial les anti-inflammatoires les agents inhibant l apoptose. Tous ces essais, à ce jour, n ont pas démontré une efficacité clinique, mais d autres essais sont en cours. La meilleure c o nnaissan c e d e s mé c a n i s me s physiopathologiques fait espérer l é m e r g e n c e d e t r a i t e m e n t s neuroprotecteurs. Page 4 FLASH INFO

5 SLA : la prise en charge nutritionnelle. Intervention du Pr. Jean-Claude Desport, Nutritionniste, CHU Limoges L état nutritionnel est un facteur pronostique majeur de la SLA. La dénutrition entraîne une perte musculaire préjudiciable. On estime que 13-55% des patients sont dénutris. La dénutrition est expliquée par l insuffisance respiratoire sévère, les facteurs psychologiques et les états infectieux. Les troubles de déglutition sous-tendue par l atteinte bulbaire et l hypotonie faciale aggravent la dénutrition. L hyper sialorrhée fréquente est également une gêne pour l alimentation. Au cours du suivi des patients, il est donc capital de suivre les variations de poids (5-10%), l indice de masse corporelle (P/T2). La mesure de l impédancemétrie permet d évaluer la masse maigre. La biologie n est pas nécessaire. La prise en charge nécessite : une adaptation de l environnement au handicap un traitement des troubles de déglutition un traitement des troubles de salivation un traitement de la constipation une prise en charge des aspects psychologiques. Pour le traitement de la dénutrition, on peut proposer : des suppléments oraux avec textures une nutrition entérale si perte de poids < 5-10% ; par sonde de gastrotomie mise en place par voie radiologique, avec des apports caloriques importants nécessaires. La fin de vie nécessite un respect des volontés du patient, une discussion avec l entourage et les soignants, en cas de non possibilité du patient pour s exprimer. SLA : prise en charge dans le cadre d un réseau «ville-hôpital» Intervention du Pr. Jean-Claude Desport, Nutritionniste, CHU Limoges En Limousin, un réseau de nutrition a été mis en place, réseau de suivi et de prise en charge nutritionnelle des personnes âgées (LINUT). Ce réseau travaille en collaboration avec les médecins traitants et le centre régional SLA pour réaliser des bilans nutritionnels à domicile, après accord du patient. Ces bilans sont réalisés en cas d alerte et tous les 3 à 6 mois pour maintenir une surveillance ; les résultats sont transmis au médecin traitant et au centre SLA. ANNÉE 2008 NUMÉRO 14 Page 5

6 Impact de la maladie sur la vie quotidienne, répercussions familiales et sociales. Intervention de Françoise Fontenaille, Assistante Sociale du réseau ANTADIR La SLA est une maladie à fort retentissement social, vu la gravité du handicap moteur. Cette maladie entraîne rapidement une dépendance majeure vis-àvis de l entourage pour les gestes de la vie quotidienne, sans altération des fonctions cognitives. La présence d une assistante sociale est indispensable dès le début de la maladie pour assurer au patient : une évaluation sociale de sa maladie une couverture sociale des frais engagés (forfait journalier, rééducation, orthophonie, suivis infirmiers, petit matériel) une indemnisation du handicap des aides à domicile (tierce personne, aide ménagère, auxiliaire de vie,..) La prise en charge sociale est donc essentielle au sein des réseaux de prise en charge des patients, dès le début de la maladie et tout au long de son évolution. La prise en charge psychologique du patient SLA. Intervention de Christophe Coupé, Psychologue clinicien, Centre SLA, Fédération des Maladies du Système Nerveux, Hôpital la Pitié Salpêtrière, Paris L intervention du psychologue se fait à plusieurs étapes de la maladie : annonce diagnostique, soutien et accompagnement, consultations multidisciplinaires, hospitalisations et fin de vie. L annonce du diagnostic de la SLA a toujours valeur de traumatisme psychique pour le patient et sa famille, même lorsque ce diagnostic a été anticipé ou pressenti. Les difficultés propres à cette affection sont liées aux répercussions pour l entourage et au caractère imprévisible de l évolution, variable d un patient à l autre. L entretien de retour d annonce du diagnostic est une étape capitale où il faut rechercher les mécanismes de défense : réaction d effondrement, sidération psychique, déni, révolte, soulagement, maîtrise, voire régression ou sublimation. Toutes ces situations peuvent se succéder dans le temps. Le rôle du psychologue est d accompagner le patient dans le processus d élaboration, par une approche non directive avec souplesse dans la conduite de l entretien. Son action concerne à la fois le patient et son entourage, avec une ouverture au questionnement actuel ou ultérieur, et la mise en place d une «matrice de soutien». Page 6 FLASH INFO

7 Les ateliers Les supports des ateliers seront prochainement disponibles sur le site de l ANTADIR. Atelier ventilation et trachéotomie animé par Gilbert Dragar (Responsable médico-technique, Fouquières Lez Lens), Henriette Letellier (Responsable du service paramédical, Caen), Michèle Paget (Infirmière, Reims) Concernant les canules de trachéotomie, différents aspects pratiques ont été abordés : les critères de choix de la canule, les types de canule dont à ballonnet, les effets indésirables, le remplacement des canules, le nettoyage des canules, les valves de phonation, les nez artificiels et les aspirations trachéales. Les modalités pratiques de la mise en route d une ventilation artificielle à domicile ont également été présentées et discutées. Atelier nutrition entérale animé par Jacqueline Brisson (Infirmière, Reims), Chantal Kéré (Diététicienne, Reims) La discussion a porté sur le rôle du diététicien dans la prise en charge de la nutrition entérale par les SARD et plus particulièrement sur : les types de nutriments, le petit matériel, les différentes types de pompes, les sondes, les aspects pratiques de la gastrotomie et de la jéjunostomie, l entretien de la sonde, le désappareillage, la surveillance paramédicale, les aspects législatifs. Atelier perfusion animé par Arnaud Colin (Infirmier Coordinateur, Nantes), Françoise Jeanne (Infirmière Régulatrice, Toulouse) La perfusion est peu utilisée au cours de la SLA. Cependant, la prise en charge de l hydratation ou de la douleur peut être proposée. Après un rappel sur les aspects pratiques des méthodes d administration, les voies d abord et les cathéters, les différents matériels - diffuseurs, pompes fixes, pompes ambulatoires, pousse seringues - ont été présentés ; les avantages et inconvénients ont été discutés par les professionnels du réseau. Conclusion Cette journée, organisée par et pour le personnel paramédical des SARD, a réuni plus de cinquante personnes. Elle a permis de faire le point sur la prise en charge d une affection neurologique grave. Ses spécificités sur le plan clinique, évolutif et éthique ont été soulignées par tous les intervenants, avec des présentations de qualité sur le plan scientifique. Les ateliers ont permis d échanger sur les aspects pratiques de la prise en charge des patients à domicile. La place des centres de références est capitale pour les patients et leur entourage. L approche multidisciplinaire permet de prendre en compte les aspects cliniques, sociaux, psychologiques et éthiques de cette affection. Le rôle du réseau associatif est donc capital comme relais de la prise en charge multidisciplinaire à domicile pour ces patients et leurs proches. ANNÉE 2008 NUMÉRO 14 Page 7

8 Bibliographie 1. Sclérose latérale amyotrophique : une approche multidisciplinaire. Tome II. sous la direction de Vincent Meininger. Editions Expressions Santé, 1 tome, Paris, Prise en charge des personnes atteintes de sclérose latérale amyotrophique. Conférence de Consensus. Novembre 2005, Haute Autorité de Santé, HAS, disponible sur le site : rubrique publications. L intérêt des participants pour ce type de journée, exposés et ateliers, conduit le groupe de travail des paramédicaux à préparer une nouvelle rencontre thématique (premier trimestre 2009). Flash Info est publié par la Fédération ANTADIR - 66 Bd St Michel Paris Site internet : Directeur de la Publication : Pr Jean-François Muir Rédaction : Pr Boris Melloni, Line Mounier Réalisation : Fédération Antadir Coordination : Sylvie Niay «Ce document est la propriété intellectuelle de l Antadir qui en est l auteur : toute reproduction intégrale ou partielle faite sans le consentement préalable de l auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause est illicite»

Ventilation mécanique à domicile

Ventilation mécanique à domicile RÉVISION DE CATÉGORIES HOMOGÈNES DE DISPOSITIFS MÉDICAUX Ventilation mécanique à domicile Dispositifs médicaux et prestations associées pour traitement de l insuffisance respiratoire Date de validation

Plus en détail

LISTE DES PRODUITS ET DES PRESTATIONS REMBOURSABLES (LPPR) POUR LE TRAITEMENT DE L INSUFFISANCE RESPIRATOIRE

LISTE DES PRODUITS ET DES PRESTATIONS REMBOURSABLES (LPPR) POUR LE TRAITEMENT DE L INSUFFISANCE RESPIRATOIRE LISTE DES PRODUITS ET DES PRESTATIONS REMBOURSABLES (LPPR) POUR LE TRAITEMENT DE L INSUFFISANCE RESPIRATOIRE Code Désignation OXYGENOTHERAPIE A LONG TERME EN POSTE FIXE Date JO Entente préalable Surveillance

Plus en détail

Maladies neuromusculaires

Maladies neuromusculaires Ministère de la Santé et des Solidarités Direction Générale de la Santé Informations et conseils Maladies neuromusculaires Lisez attentivement ce document et conservez-le soigneusement avec la carte de

Plus en détail

Groupe 1 somnovni 12/12/14

Groupe 1 somnovni 12/12/14 Recommandations HAS 2014! Pas encore parues indications VNI! Indication VNI en cas d une hypoventilation alveolaire = Hypercapnie : " PtCO2 nocturne > 50 mmhg " Et/ou d une PaCO2 diurne > 45 mmhg! Cas

Plus en détail

Maladies neuromusculaires, conséquences respiratoires, rééducation : aspects pédiatriques

Maladies neuromusculaires, conséquences respiratoires, rééducation : aspects pédiatriques Maladies neuromusculaires, conséquences respiratoires, rééducation : aspects pédiatriques Dr Anne DESCOTES MPR Unité de coordination en rééducation pédiatrique CHU Grenoble Dr Isabelle PIN pneumo pédiatre

Plus en détail

Infirmieres libérales

Infirmieres libérales Détail des programmes- Feuillets complémentaires à la plaquette générale Infirmieres libérales Stages courts 2012 Durées et dates disponibles sur un calendrier en annexe Santé formation Formations gratuites

Plus en détail

La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant

La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant Vivre avec un trouble dépressif Septembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin

Plus en détail

Logiciels d éducation à la Nutrition et à l activité physique

Logiciels d éducation à la Nutrition et à l activité physique Université d été E-Santé Castres-Mazamet 4, 5, 6 juillet 2012 «Des supports numériques au service de l éducation thérapeutique des patients» Logiciels d éducation à la Nutrition et à l activité physique

Plus en détail

Les troubles non moteurs de la maladie de Parkinson. Comprendre la maladie de Parkinson

Les troubles non moteurs de la maladie de Parkinson. Comprendre la maladie de Parkinson Les troubles non moteurs de la maladie de Parkinson Comprendre la maladie de Parkinson La maladie de Parkinson se définit classiquement par des troubles moteurs. Néanmoins, de nombreux autres symptômes,

Plus en détail

prise en charge paramédicale dans une unité de soins

prise en charge paramédicale dans une unité de soins Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en

Plus en détail

Référentiel de compétences et d aptitudes du masseur kinésithérapeute de réanimation (MKREA) en secteur adulte

Référentiel de compétences et d aptitudes du masseur kinésithérapeute de réanimation (MKREA) en secteur adulte Réanimation DOI 10.1007/s13546-011-0243-1 RÉFÉRENTIEL / GUIDELINES Référentiel de compétences et d aptitudes du masseur kinésithérapeute de réanimation (MKREA) en secteur adulte Guide to skills and abilities

Plus en détail

SADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD)

SADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD) SADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD) 1 PSAD: qui sommes nous - 1 200 000 patients toutes prestations confondues, pris en charge tous les jours à domicile en : oxygénothérapie ventilation

Plus en détail

Les soins des douleurs chroniques dans les TMS Les échecs thérapeutiques

Les soins des douleurs chroniques dans les TMS Les échecs thérapeutiques Les soins des douleurs chroniques dans les TMS Les échecs thérapeutiques France MARCHAND Nagi MIMASSI Psychologue clinicienne stagiaire doctorante Praticien hospitalier Consultation des douleurs chroniques

Plus en détail

Complément à la circulaire DH/EO 2 n 2000-295 du 30 mai 2000 relative à l'hospitalisation à domicile

Complément à la circulaire DH/EO 2 n 2000-295 du 30 mai 2000 relative à l'hospitalisation à domicile http://www.sante.gouv.fr/adm/dagpb/bo/2001/01-01/a0010017.htm Bulletin Officiel n 2001-1 Direction de l'hospitalisation et de l'organisation des soins Page 1 sur 6 Complément à la circulaire DH/EO 2 n

Plus en détail

Prise en charge du nouveau-né prématuré «attendu» atteint d un syndrome de Bartter

Prise en charge du nouveau-né prématuré «attendu» atteint d un syndrome de Bartter Prise en charge du nouveauné prématuré «attendu» atteint d un syndrome de Bartter Docteur JeanFrançois Magny Institut de Puériculture et de Périnatalogie Problématique double Prise en charge de la prématurité

Plus en détail

Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif)

Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif) Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif) Contenu de la formation PSE1 LE SECOURISTE : 1 h 30 Indiquer le rôle et les responsabilités d un secouriste. Indiquer les connaissances

Plus en détail

A. ANDRO 1, C. MESTON 2, N. MORVAN 3

A. ANDRO 1, C. MESTON 2, N. MORVAN 3 Chapitre 121 La ventilation non invasive (VNI) de l enfant A. ANDRO 1, C. MESTON 2, N. MORVAN 3 1. Définition La VNI se définit comme une technique destinée à augmenter la ventilation alvéolaire sans utiliser

Plus en détail

Session Diagnostic. organisme gestionnaire du développement professionnel continu. www.cardiosleep.fr

Session Diagnostic. organisme gestionnaire du développement professionnel continu. www.cardiosleep.fr Session Diagnostic organisme gestionnaire du développement professionnel continu www.cardiosleep.fr UN CONSTAT 1 patient sur 3 est atteint de Troubles Respiratoires du Sommeil (TRS) en cardiologie. Les

Plus en détail

Définition, finalités et organisation

Définition, finalités et organisation RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients

Plus en détail

Diaporama de présentation. Présentation de l outil

Diaporama de présentation. Présentation de l outil Diaporama de présentation Présentation de l outil Le programme MobiQual Le programme MobiQual est une action nationale élaborée par la SFGG et soutenue par la Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie

Plus en détail

L infirmier exerce son métier dans le respect des articles R.4311-1 à R.4311-15 et R.4312-1 à 4312-49 du code de la santé publique.

L infirmier exerce son métier dans le respect des articles R.4311-1 à R.4311-15 et R.4312-1 à 4312-49 du code de la santé publique. Diplôme d Etat d infirmier Référentiel d activités Annexe I Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet, un

Plus en détail

SOINS DE PRATIQUE COURANTE. Prélèvement aseptique cutané ou de sécrétions muqueuses, prélèvement de selles

SOINS DE PRATIQUE COURANTE. Prélèvement aseptique cutané ou de sécrétions muqueuses, prélèvement de selles NOMENCLATURE GENERALE DES ACTES PROFESSIONNELS INFIRMIERS (Arrêté du 25 mars 1993) (Arrêté du 21 avril 1994) (Arrêté du 1er mars 1999) (Arrêté du 8 Décembre 1999) (Arrêté du 12 Octobre 2000) (Arrêté du

Plus en détail

o Non o Non o Oui o Non

o Non o Non o Oui o Non Enquête générale (à remplir une fois) [ ] = plusieurs réponses possibles o = une seule réponse possible Date de votre réponse à ce questionnaire Nombre de lits dans l'unité Connaissez-vous l incidence

Plus en détail

PROJET DE MEDECINE A. HISTOIRE ET PROJET DE L ETABLISSEMENT ET DU SERVICE

PROJET DE MEDECINE A. HISTOIRE ET PROJET DE L ETABLISSEMENT ET DU SERVICE 1 PROJET DE MEDECINE A. HISTOIRE ET PROJET DE L ETABLISSEMENT ET DU SERVICE Le Centre Hospitalier de SOMAIN a achevé sa restructuration en 1999 avec la fermeture de plusieurs services actifs (maternité,

Plus en détail

La prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde

La prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde Vivre avec une polyarthrite rhumatoïde Décembre 2008 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant

Plus en détail

Equipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical. - Annie PAPON Cadre responsable

Equipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical. - Annie PAPON Cadre responsable Equipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical - Annie PAPON Cadre responsable 1 AFGSU Niveau 1 page 4 AFGSU Niveau 2 page 5 AFGSU face aux risques NRBC page 6 Recyclage AFGSU Niveau

Plus en détail

Marseille 21 > 23. Novembre

Marseille 21 > 23. Novembre Marseille P a R C C H A N O T 21 > 23 Novembre 2013 PROGRAMME PROVISOIRE APPEL À COMMUNICATION INSCRIPTION Conférences plénières Le sommeil des animaux I. Tobler Syndrome d apnée : potentiel des biomarqueurs

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

Comment la proposer et la réaliser?

Comment la proposer et la réaliser? RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Comment la proposer et la réaliser? Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à aider les professionnels de santé dans la mise en œuvre d un programme

Plus en détail

droits des malades et fin de vie

droits des malades et fin de vie DOCUMENT à CONSERVER ET À EMPORTER si VOUS êtes HOSPITALISé droits des malades et fin de vie La loi Leonetti Le respect de la personne Le rôle de votre médecin L accès aux soins palliatifs Photo couverture

Plus en détail

La recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux

La recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux La recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux Marc Beaumont, kinésithérapeute - 5ème journée inter régionale GIRCI - Tours, 3 juin 2015 Qu est ce que la recherche clinique? «une

Plus en détail

TRAITEMENT DES MAUX DE TÊTE PAR EMDR INTÉGRÉ

TRAITEMENT DES MAUX DE TÊTE PAR EMDR INTÉGRÉ TRAITEMENT DES MAUX DE TÊTE PAR EMDR INTÉGRÉ «Un atelier de deux jours en spécialité EMDR» Présenté par Dr Steven MARCUS,, Ph.D 30 AVRIL & 1er MAI 2011 A PARIS SAMEDI 30 AVRIL : 9H - 16H30 - DIMANCHE 1ER

Plus en détail

1- LA CHARTE DU PATIENT HOSPITALISÉ...19 2- DROIT À L INFORMATION DU MALADE...20 3- PERSONNE DE CONFIANCE...20 4- RÉCLAMATIONS ET CONCILIATION...

1- LA CHARTE DU PATIENT HOSPITALISÉ...19 2- DROIT À L INFORMATION DU MALADE...20 3- PERSONNE DE CONFIANCE...20 4- RÉCLAMATIONS ET CONCILIATION... T U L L E I - PRÉSENTATION....2 II - PLAN....3 III - POUR NOUS JOINDRE....4 IV - PRÉSENTATION DU PERSONNEL.....5 V - PRÉSENTATION DUSERVICE... 10 VI - PRÉPARER SON HOSPITALISATION INFORMATIONS PRATIQUES....17

Plus en détail

COMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE

COMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE COMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE Chemin de la Bretèque 76230 BOIS-GUILLAUME Mois de juin 2001 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE

Plus en détail

Le syndrome de fatigue chronique

Le syndrome de fatigue chronique Le syndrome de fatigue chronique La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à

Plus en détail

e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé

e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,

Plus en détail

Compte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie

Compte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur

Plus en détail

Migraine et Abus de Médicaments

Migraine et Abus de Médicaments Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive

Plus en détail

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,

Plus en détail

Chapitre 1. - Dispositifs médicaux, matériels et produits pour le traitement de pathologies spécifiques.

Chapitre 1. - Dispositifs médicaux, matériels et produits pour le traitement de pathologies spécifiques. Maj Du 11.07.2010 LISTE DES PRODUITS ET PRESTATIONS REMBOURSABLES PRÉVUE À L ARTICLE L 165 1 DU CODE DE LA SÉCURITÉ SOCIALE Chapitre 1. - Dispositifs médicaux, matériels et produits pour le traitement

Plus en détail

Qu est-ce qu un sarcome?

Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs

Plus en détail

DIPLOME DE CHIRURGIE ORALE

DIPLOME DE CHIRURGIE ORALE DIPLOME DE CHIRURGIE ORALE ORGANIGRAMME DES SEMINAIRES Promotion 2013 FORMATION COMPLEMENTAIRE EN MEDECINE POUR LES MEDECINS Pour les enseignants, ces enseignements seront à faire tous les 2 ans 1 - Module

Plus en détail

Démence et fin de vie chez la personne âgée

Démence et fin de vie chez la personne âgée Démence et fin de vie chez la personne âgée Dr C le Provost Gériatre C.H.B.A Vannes Dr M Michel Gériatre C.H.U Rennes Démence et fin de vie Sujet grave: la mort la «de mens» = être privé de son esprit

Plus en détail

INNOVATION De la rééducation au sport santé. LPG crée le Neuro

INNOVATION De la rééducation au sport santé. LPG crée le Neuro INNOVATION De la rééducation au sport santé LPG crée le Neuro Physical Training! Bouger pour sa santé, une évidence pour les français? Bien que Faire du sport soit, chaque année, une des résolutions prioritaires

Plus en détail

SUPPLEMENT AU DIPLÔME

SUPPLEMENT AU DIPLÔME SUPPLEMENT AU DIPLÔME Le présent supplément au diplôme (annexe descriptive) suit le modèle élaboré par la Commission européenne, le Conseil de l'europe et l'unesco/cepes. Le supplément vise à fournir des

Plus en détail

Livret de Présentation (Extrait du livret des patients distribué à leur accueil)

Livret de Présentation (Extrait du livret des patients distribué à leur accueil) Livret de Présentation (Extrait du livret des patients distribué à leur accueil) Centre de Rééducation et de Réadaptation Fonctionnelles PASTEUR «Tout faire pour la personne, ne rien faire à sa place»

Plus en détail

Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques

Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension

Plus en détail

Leucémies de l enfant et de l adolescent

Leucémies de l enfant et de l adolescent Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE

Plus en détail

BURN OUT DES PROFESSIONNELS DE SANTE. Et Hygiène? Dr JC Perréand-Centre Hospitalier Valence

BURN OUT DES PROFESSIONNELS DE SANTE. Et Hygiène? Dr JC Perréand-Centre Hospitalier Valence BURN OUT DES PROFESSIONNELS DE SANTE Et Hygiène? De quoi parle-t-on? Burn.Out. ou syndrome d épuisement professionnel : «maladie caractérisée par un ensemble de signes, de symptômes et de modifications

Plus en détail

L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines

L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau

Plus en détail

La prise en charge de votre insuffisance cardiaque

La prise en charge de votre insuffisance cardiaque G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre insuffisance cardiaque Vivre avec une insuffisance cardiaque Décembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant

Plus en détail

Le soin diététique réalisé par un diététicien en établissement de santé

Le soin diététique réalisé par un diététicien en établissement de santé Recommandations pour la pratique clinique Le soin diététique réalisé par un diététicien en établissement de santé Recommandations Mai 2011 Association Française des Diététiciens Nutritionnistes 35 allée

Plus en détail

Hospitalisation à domicile Mauges Bocage Choletais. Livret d accueil. Siège administratif PERMANENCE 24H/24 AU 02 41 49 62 75

Hospitalisation à domicile Mauges Bocage Choletais. Livret d accueil. Siège administratif PERMANENCE 24H/24 AU 02 41 49 62 75 Hospitalisation à domicile Mauges Bocage Choletais Livret d accueil Siège administratif PERMANENCE 24H/24 AU 02 41 49 62 75 PRESENTATION DE L HOSPITALISATION A DOMICILE MBC Hospitalisation à Domicile Mauges

Plus en détail

Place et conditions de réalisation de la polysomnographie et de la polygraphie respiratoire dans les troubles du sommeil

Place et conditions de réalisation de la polysomnographie et de la polygraphie respiratoire dans les troubles du sommeil TEXTE COURT DU RAPPORT D ÉVALUATION TECHNOLOGIQUE Place et conditions de réalisation de la polysomnographie et de la polygraphie respiratoire dans les troubles du sommeil Mai 2012 Service évaluation des

Plus en détail

Modèle d intégration des soins de la SLA dans le district de Champlain*

Modèle d intégration des soins de la SLA dans le district de Champlain* Modèle d intégration des soins de la SLA dans le district de Champlain* (Sclérose latérale amyotrophique) Mars 2008, 2 e édition La reproduction totale ou partielle de ce document est interdite sans le

Plus en détail

Bienvenue aux Soins Intensifs Pédiatriques

Bienvenue aux Soins Intensifs Pédiatriques SIP Août 2010 Route : 354 Bienvenue aux Soins Intensifs Pédiatriques Août 2010 1 Table des matières 1. Présentation du service p 3 2. Pathologies les plus courantes aux SIP. P 5 3. Objectifs de stage p

Plus en détail

compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte

compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte Influence des paramètres de non compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte C. Defrance, K. Warin-Fresse, G. Fau, P. Guérin, B. Delasalle, P.D. Crochet La non compaction

Plus en détail

SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE. p. 3. p. 4 LE CESU. p. 5. Les outils. p. 6. Le centre de simulation. Quelques chiffres

SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE. p. 3. p. 4 LE CESU. p. 5. Les outils. p. 6. Le centre de simulation. Quelques chiffres SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE p. 3 LE CESU Les outils Le centre de simulation Quelques chiffres Un exemple : la formation à l emploi des infirmiers des services d urgences En annexe p. 4 p. 5 p. 6 p. 6

Plus en détail

La prise en charge de votre maladie, l accident vasculaire cérébral

La prise en charge de votre maladie, l accident vasculaire cérébral G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre maladie, l accident vasculaire cérébral Vivre avec un accident vasculaire cérébral Octobre 2007 Pourquoi ce guide? Votre

Plus en détail

Causes d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire

Causes d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire Causes d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire Michel MAILLET Unité d Anesthésie & Chirurgie Ambulatoires Hôpital Tenon, AP-HP 4 rue de la Chine; 75020 Paris Chemin Clinique Éligibilité

Plus en détail

DIU DE REEDUCATION PELVI-PERINEALE. Responsables de l enseignement :

DIU DE REEDUCATION PELVI-PERINEALE. Responsables de l enseignement : DIU de rééducation pelvi-périnéale DIU DE REEDUCATION PELVI-PERINEALE Responsables de l enseignement : Pr. Gérard AMARENCO (UPMC), Pr. Michel COSSON (CHU Lille), Pr. Gilberte ROBAIN (UPMC) 1. Cible La

Plus en détail

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance

Plus en détail

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance

Plus en détail

Le sevrage de la trachéotomie

Le sevrage de la trachéotomie Le sevrage de la trachéotomie Journée de formation «infirmière» et «kinésithérapeute» SKR. Maison de la réanimation Paris 01 / 06 / 2012 Dr G.Beduneau Réanimation Médicale CHU ROUEN gaetan.beduneau@chu-rouen.fr

Plus en détail

L agénésie isolée du corps calleux

L agénésie isolée du corps calleux L agénésie isolée du corps calleux Agénésie calleuse Dysgénésie du corps calleux La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus

Plus en détail

La prise en charge d un trouble bipolaire

La prise en charge d un trouble bipolaire GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge d un trouble bipolaire Vivre avec un trouble bipolaire Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer

Plus en détail

REEDUCATION DU POST-PARTUM

REEDUCATION DU POST-PARTUM Communauté Périnatale de l Agglomération Versaillaise Association Loi 1901 n 0784014641 29 rue de Versailles - 78150 Le Chesnay Tel : 01.39.43.12.04 Fax : 01.39.43.13.58 E-Mail : cpav@medical78.com Web:

Plus en détail

Nous avons tous un don qui peut sauver une vie. D e v e n i r. donneur de moelle. osseuse

Nous avons tous un don qui peut sauver une vie. D e v e n i r. donneur de moelle. osseuse Nous avons tous un don qui peut sauver une vie D e v e n i r donneur de moelle osseuse Pourquoi s inscrire comme donneur de moelle osseuse? Pour des personnes atteintes de maladies graves du sang, la greffe

Plus en détail

Assises Nationales du Maintien à Domicile 14 17 juin 2000 La douleur Les soins palliatifs. EXPERIENCE DE SOINS D'UNE EQUIPE A DOMICILE Dr AVEROUS

Assises Nationales du Maintien à Domicile 14 17 juin 2000 La douleur Les soins palliatifs. EXPERIENCE DE SOINS D'UNE EQUIPE A DOMICILE Dr AVEROUS EXPERIENCE DE SOINS D'UNE EQUIPE A DOMICILE Dr AVEROUS INTRODUCTION (Présentation de l'association François-Xavier Bagnoud) L'Association L'association qui porte le nom de François-Xavier Bagnoud est une

Plus en détail

Burn out des professionnels de santé. Quels facteurs? Comment le mesurer? Quelles conséquences?

Burn out des professionnels de santé. Quels facteurs? Comment le mesurer? Quelles conséquences? Burn out des professionnels de santé Quels facteurs? Comment le mesurer? Quelles conséquences? Docteur Jean-Claude PERREAND Centre Hospitalier de Valence De quoi parle t-on? Burn out, ou syndrome d épuisement

Plus en détail

SONDAGE AUPRÈS DES INFIRMIÈRES

SONDAGE AUPRÈS DES INFIRMIÈRES Page 1 of 10 SONDAGE AUPRÈS DES INFIRMIÈRES Le Groupe de travail canadien sur la malnutrition (GTCM) a mené une étude à l échelle nationale de 2010 à 2013 afin de déterminer la prévalence de la malnutrition

Plus en détail

L amyotrophie spinale proximale

L amyotrophie spinale proximale L amyotrophie spinale proximale Amyotrophie spinale infantile Amyotrophie spinale de l adulte La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec

Plus en détail

LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique

LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?

Plus en détail

La ventilation non invasive aux soins intensifs

La ventilation non invasive aux soins intensifs La ventilation non invasive aux soins intensifs Martin Lessard MD Service de soins intensifs, CHA Division de soins intensifs adultes Université Laval 3 mars 2011 BiPAP (Bi-level Positive Airway Pressure)

Plus en détail

La prise en charge de votre affection de longue durée

La prise en charge de votre affection de longue durée La prise en charge de votre affection de longue durée Édition 2012 LA PRISE EN CHARGE DE VOTRE AFFECTION DE LONGUE DURÉE Sommaire Votre protocole de soins en pratique p 4 Comment êtes-vous remboursé? p

Plus en détail

Masseur Kinésithérapeute

Masseur Kinésithérapeute CP Concours Prépa Santé Optimum : 896 h/an Access : 700 h/an de septembre à mai Masseur Kinésithérapeute Le Métier de Masseur Kinésithérapeute Le kinésithérapeute assure la rééducation des personnes atteintes

Plus en détail

La migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)

La migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme) La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire

Plus en détail

La migraine : quelle prise de tête!

La migraine : quelle prise de tête! La migraine : quelle prise de tête! Introduction La migraine est une véritable «prise de tête» pour les personnes qui en souffrent! Bien au-delà d un mal physique, cette réelle maladie engendre également

Plus en détail

Fiche résumée : AIDE À DOMICILE

Fiche résumée : AIDE À DOMICILE Fiche résumée : AIDE À DOMICILE Aide ménagère Auxiliaire de vie Auxiliaire de vie sociale Auxiliaire familiale Employé familial Assistant de vie aux familles Assistant de vie dépendance Aide aux personnes

Plus en détail

GUIDE DE DÉVELOPPEMENT PROFESSIONNEL EN SOINS INFIRMIERS. pour les centres d hébergement. Décembre 2007 Direction des soins infirmiers

GUIDE DE DÉVELOPPEMENT PROFESSIONNEL EN SOINS INFIRMIERS. pour les centres d hébergement. Décembre 2007 Direction des soins infirmiers GUIDE DE DÉVELOPPEMENT PROFESSIONNEL EN SOINS INFIRMIERS pour les centres d hébergement Décembre 2007 Direction des soins infirmiers CE GUIDE A ÉTÉ PRODUIT PAR L ÉQUIPE DE LA DIRECTION DES SOINS INFIRMIERS

Plus en détail

TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire»

TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire» TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire» MC Iliou, R Brion, C Monpère, B Pavy, B Vergès-Patois, G Bosser, F Claudot Au nom du bureau du GERS Un programme de réadaptation

Plus en détail

Trouble bipolaire en milieu professionnel: Du diagnostic précoce àla prise en charge spécialisée

Trouble bipolaire en milieu professionnel: Du diagnostic précoce àla prise en charge spécialisée Trouble bipolaire en milieu professionnel: Du diagnostic précoce àla prise en charge spécialisée Dr G. Fournis Service de Psychiatrie et d Addictologie CHU Angers Faculté de Médecine Angers 1 Introduction

Plus en détail

Résidence MBV Les FIGUERES -Capendu-

Résidence MBV Les FIGUERES -Capendu- Résidence MBV Les FIGUERES -Capendu- Accompagnement de fin de vie: un travail d équipe Fin de vie en EHPAD Quel que soit le lieu de la «toute fin de vie» et du décès des résidents d Ehpad, l accompagnement

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES INFIRMIER-ÈRE DIPLÔMÉ-E

CAHIER DES CHARGES INFIRMIER-ÈRE DIPLÔMÉ-E Madame/Monsieur 1. DÉFINITION DE LA FONCTION Au service du projet institutionnel, la titulaire du poste : Exerce dans un cadre législatif et un contexte sanitaire connus (loi sur l exercice professionnel,

Plus en détail

LA DEMARCHE DE SOINS INFIRMIERE N.LANNEE CADRE FORMATEUR IFSI CHU ROUEN

LA DEMARCHE DE SOINS INFIRMIERE N.LANNEE CADRE FORMATEUR IFSI CHU ROUEN LA DEMARCHE DE SOINS INFIRMIERE N.LANNEE CADRE FORMATEUR IFSI CHU ROUEN définition Démarche de soins = processus de soins Processus intellectuel, Mode de pensée logique et rigoureux, Résolution de problème

Plus en détail

Classifier le handicap épileptique avec ou sans autres déficiences associées. Réponses médico-sociales.

Classifier le handicap épileptique avec ou sans autres déficiences associées. Réponses médico-sociales. Classifier le handicap épileptique avec ou sans autres déficiences associées. Réponses médico-sociales. 1 Les outils de mesure existants et description du handicap épileptique Il ne s agit pas ici de mesurer

Plus en détail

Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline

Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction

Plus en détail

Mieux vivre avec votre asthme

Mieux vivre avec votre asthme Mieux vivre avec votre asthme L éducation thérapeutique pour bien gérer votre asthme au quotidien Bien gérer sa maladie permet de reconnaître et maîtriser les symptômes afin de limiter la gêne respiratoire.

Plus en détail

IMR PEC-5.51 IM V2 19/05/2015. Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES

IMR PEC-5.51 IM V2 19/05/2015. Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES DOSSIER D ADMISSION 1/6 Date d'admission souhaitée : Date de la demande : Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES Renseignements administratifs

Plus en détail

Ministère chargé de la santé Diplôme d Etat d infirmier. Portfolio de l étudiant

Ministère chargé de la santé Diplôme d Etat d infirmier. Portfolio de l étudiant Ministère chargé de la santé Diplôme d Etat d infirmier Annexe VI Portfolio de l étudiant Nom et prénom de l étudiant : Institut de formation en soins : Date d entrée dans la formation : Nom et prénom

Plus en détail

Une infirmière re clinicienne en et soins de. Stomathérapie. fonction? L infirmière. re «clinicienne?» Rôle de l infirmil. ressource?

Une infirmière re clinicienne en et soins de. Stomathérapie. fonction? L infirmière. re «clinicienne?» Rôle de l infirmil. ressource? Une stomathérapie et soins de plaies : intérêt d une d telle fonction? Marie Magdeleine lefort ULB Erasme re «clinicienne?» re praticienne «nurse practitioner» Prise en charge de pathologies spécifiques

Plus en détail

DOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES

DOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES DOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES 327 Allaitement maternel inefficace (00104) 327 Allaitement maternel interrompu (00105) 328 Motivation à améliorer l allaitement maternel (00106) 329 Tension dans l exercice

Plus en détail

Prise en charge des personnes atteintes de sclérose latérale amyotrophique

Prise en charge des personnes atteintes de sclérose latérale amyotrophique RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Prise en charge des personnes atteintes de sclérose latérale amyotrophique Conférence de consensus 23 et 24 novembre 2005 Centre universitaire méditerranéen Nice Texte

Plus en détail

NAVA pourquoi pas. Stéphane Delisle RRT, PhD, FCCM Mohamed Ait Si M Hamed, inh. BSc.

NAVA pourquoi pas. Stéphane Delisle RRT, PhD, FCCM Mohamed Ait Si M Hamed, inh. BSc. NAVA pourquoi pas Stéphane Delisle RRT, PhD, FCCM Mohamed Ait Si M Hamed, inh. BSc. 7e Symposium en thérapie respiratoire HSCM 1 décembre 2012 Le mode NAVA o Neurally Adjusted Ventilatory Assist Neuro-Asservissement

Plus en détail

A - Nomenclature des préjudices de la victime directe

A - Nomenclature des préjudices de la victime directe ANNEXE NOMENCLATURE DES PREJUDICES RESULTANT D UNE ATTEINTE A LA PERSONNE A - Nomenclature des préjudices de la victime directe 1 ) Préjudices patrimoniaux a) Préjudices patrimoniaux temporaires (avant

Plus en détail

FORMATIONS POUR LA SANTÉ À DOMICILE

FORMATIONS POUR LA SANTÉ À DOMICILE FORMATIONS POUR LA SANTÉ À DOMICILE CHARTE DE QUALITÉ L objectif de Trajectoire Santé est de contribuer, par des actions de formation professionnelle, à l amélioration de la qualité, de la sécurité et

Plus en détail

PRISE EN CHARGE DE LA FIN DE VIE

PRISE EN CHARGE DE LA FIN DE VIE PRISE EN CHARGE DE LA FIN DE VIE POSITION DU CONSEIL NATIONAL DE L ORDRE DES INFIRMIERS Décembre 2013 POSITION DE L ORDRE NATIONAL DES INFIRMIERS «PRISE EN CHARGE DE LA FIN DE VIE» Le Président de la

Plus en détail

La prise en charge. de votre affection de longue durée

La prise en charge. de votre affection de longue durée La prise en charge de votre affection de longue durée Comment fonctionne la prise en charge à 100 %? Quels sont les avantages pour vous? À quoi vous engagez-vous? Comment êtes-vous remboursé? Votre médecin

Plus en détail

L aide aux aidants. Psychologue clinicienne. Capacité de gériatrie mars 2009

L aide aux aidants. Psychologue clinicienne. Capacité de gériatrie mars 2009 L aide aux aidants Aude Comberieu Psychologue clinicienne Hôpital Émile Roux Capacité de gériatrie mars 2009 Définition L aidant naturel L aidant non professionnel L aidant familial «L aidant familial

Plus en détail

Développement d une application pilote

Développement d une application pilote Développement d une application pilote Nutri-TIC Flora Massanella Principes Cette seconde phase vise à mettre en pratique les conclusions obtenues lors de la phase A. L application web Nutri- TIC a donc

Plus en détail