OCTOBRE ROSE 2015 DOSSIER DE PRESSE. L ICM se mobilise pour améliorer la prise en charge du cancer du sein

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1 OCTOBRE ROSE 2015 DOSSIER DE PRESSE L ICM se mobilise pour améliorer la prise en charge du cancer du sein Contacts presse Frédérique Planet , Frederique.Planet@icm.unicancer.fr Florence Courtès / , Florence.Courtes@icm.unicancer.fr

2 Communiqué de Synthèse L ICM se mobilise pour améliorer la prise en charge du cancer du sein L ICM s associe à la 10 ème campagne de sensibilisation menée pour le dépistage du cancer du sein. Acteur majeur de la prise en charge au niveau régional et national, l Institut se mobilise pour Octobre Rose afin d apporter son expertise et informer sur le cancer du sein, un défi pour la santé des femmes. Avec nouveaux cas par an en 2012, le cancer du sein est le plus fréquent des cancers féminins. Dépisté à temps, il se soigne dans 9 cas sur 10. Aujourd hui, nous assistons à une évolution de sa prise en charge vers des séjours hospitaliers plus courts, avec l augmentation de la chirurgie ambulatoire, la réduction du nombre de séances de radiothérapie et le développement des chimiothérapies orales ou à domicile. Le Plan cancer 3 a également impulsé une dynamique pour diminuer l impact du cancer sur la vie personnelle, faciliter le retour à une vie normale et innover dans l accompagnement des patients après un cancer. Chaque année, l ICM traite près de patientes atteintes du cancer du sein, dont 42% sont des nouvelles patientes, offrant une prise en charge globale, personnalisée et innovante. Cette prise en charge médicale, psychologique et sociale bénéficie d une constante dynamique pour améliorer non seulement le parcours de soin, mais également proposer un véritable accompagnement pendant et après le traitement. C est pourquoi l ICM a mis en place, depuis le mois de juillet, un programme d accompagnement après un cancer du sein. Il s adresse à toutes les femmes qui ont terminé leur traitement pour un cancer du sein, (hors traitement d hormonothérapie). Grâce à une prise en charge multidisciplinaire innovante, ce programme facilite la réhabilitation et permet de se réapproprier son corps et son image. En pratique, à l occasion de la consultation de contrôle de fin de traitement avec l oncologue référent, un rendez-vous avec une infirmière est proposé pour mettre en place le programme.toutes les consultations proposées, gynécologie, ostéopathie, homéopathie, phytothérapie, sexologie sont gratuites A l occasion d Octobre Rose, l Espace d Informations et de Rencontre (ERI) de l ICM organise une rencontre-débat grand public à Epidaure (le pôle prévention de l ICM), le 14 octobre de 14h00 à 15h30. Celle ci a pour thème «Hormones, antihormones et cancer du sein» et sera animée par le Dr William Jacot, oncologue médical. Contacts Presse Frédérique Planet / , Frederique.Planet@icm.unicancer.fr Florence Courtès / , Florence.Courtes@icm.unicancer.fr

3 SOMMAIRE Le cancer du sein, un défi pour les femmes La place du dépistage organisé ; Le dépistage dans l Hérault ; Les chiffres du cancer du sein en Languedoc-Roussillon ; L ICM : un acteur privilégié de la prévention et du dépistage. La prise en charge des patientes : personnalisation des traitements et qualité de vie Le traitement du cancer du sein en un jour ; La biopsie sous IRM : une technnique innovante pour confirmer et affiner le diagnostic ; La prise en charge ambulatoire des cancers du sein ; La chirurgie reconstructrice : rendre à la femme son bien-être, sa féminité ; L accueil MRI : un accompagnement en amont de l intervention chirurgicale ; Hormonothérapie et thérapies ciblées. Le bien être au coeur des projets de soins Pendant le traitement : L hypnose médicale : diminuer l angoisse et le stress ; L alimentation, un soin à part entière ; Soulager le corps et l esprit grâce au yoga ; Des soins esthétiques pour l estime de soi ; L ERI : un lieu d informations, d écoute et d échanges pour les patientes ; Après le traitement : Programme d accompagnement après un cancer du sein. L innovation thérapeutique L hypnose médicale pour diminuer la douleur et les effets de l anesthésie ; APAD : une étude pour améliorer la qualité de vie des patientes ; Projet RE IORT : favoriser la chirurgie reconstructrice ; REQUITE : un projet européen pour prédire les risques de toxicité tardive de la radiothérapie ; Des anticorps thérapeutiques pour une prise en charge individualisée. 3

4 Le cancer du sein un défi pour la santé des femmes «Le combat passe par la prévention car le cancer du sein se soigne dans 9 cas sur 10 s il est détecté à temps.» Marisol Touraine, ministre des Affaires Sociales, de la Santé et des Droits de la Femme. 4

5 En France, le cancer du sein est le premier cancer chez les femmes, en termes d incidence : nouveaux cas en L âge médian au diagnostic est de 62 ans. Le cancer du sein demeure la principale cause de mortalité par cancer féminin, responsable de décès en femme sur 8 sera confrontée au cancer du sein au cours de sa vie. Les principaux facteurs de risques Âge Surpoids Antécédents familiaux Alcool Tabagisme Les dernières données comparatives de la survie par cancer du sein dans les 29 pays européens classent la France parmi les pays en tête avec une survie relative à 5 ans de 86,1 %, supérieure à la moyenne européenne (81,8 %). Ces données comprennent des cas diagnostiqués entre 2000 et 2007, dans une période qui correspond aux premières années de la mise en place des Plans cancer en France, avec un renforcement du dépistage, mais aussi à l avènement d importants progrès thérapeutiques dans cette maladie. La place du dépistage organisé Plus de 22 millions de mammographies ont été réalisées en France, dans le cadre du programme de dépistage organisé du cancer du sein depuis sa généralisation en Le taux de participation est passé de 40 % en 2004 à 52 % en 2013, ce qui correspond à plus de 2,25 millions de mammographies réalisées dans l année. À cette participation, il convient d ajouter environ 10 % de femmes qui réalisent des mammographies de dépistage dans le cadre d une démarche individuelle. En 10 ans, cancers du sein ont été détectés par PLUS DE 22 MILLIONS DE MAMMOGRAPHIES ONT ÉTÉ RÉALISÉES DANS LE CADRE DU DÉPISTAGE ORGANISÉ DEPUIS 2004 le programme de dépistage. Le taux de détection des cancers du sein dans le cadre du programme est stable, avec près de 7 cas de cancer du sein détectés pour femmes dépistées. Depuis l année dernière, le dépistage organisé s adresse non seulement aux femmes à risque moyen de cancer du sein (lié à l âge) mais également aux femmes à risque aggravé : les femmes à risque élevé et très élevé. Le risque élevé correspond aux femmes avec antécédents familiaux et le risque très élevé aux femmes porteuses de mutations génétiques de BRCA1/2. 5 Nouveauté

6 Le dépistage dans l Hérault Dans le département de l Hérault, le dépistage est organisé pour les femmes de 40 à 49 ans, qui résident dans les communes adhérentes à l Association Montpelliéraine de l Hérault de Dépistage du Cancer du Sein (AMH-DCS). Au-delà de 49 ans, ce dépistage se poursuit dans le cadre départemental. Les radiologues de l ICM sont référents en la matière et font une grande partie des 2 èmes lectures pour le département. La grande majorité des femmes qui présentent un cancer du sein invasif sont diagnostiquées à un stade précoce, puisque plus de 40% présentent une tumeur de moins de 2 centimètres sans métastase ganglionnaire ni métastase à distance. De ce fait, la survie reste très élevée avec 89% des femmes vivantes à 5 ans. Le dépistage par mammographie permettrait de détecter plus de 350 lésions in situ chaque année dans la région, en plus des cas invasifs comptabilisés plus haut. Ces lésions «pré-cancéreuses» traitées précocement n évolueront pas vers un cancer invasif mais doivent faire l objet d une surveillance particulière pour guetter des récidives. Les chiffres du cancer du sein en Languedoc-Roussillon nouveaux cas invasifs de cancer du sein estimés en % des femmes ont moins de 50 ans au moment du diagnostic. 20,4% des femmes avaient plus de 75 ans au moment du diagnostic. 520 femmes sont décédées d un cancer du sein. En ce qui concerne la survie relative à 5 ans, nous observons une amélioration entre les cas diagnostiqués en , survie de 98% et ceux diagnostiqués en (survie de 91%). Pour le département de l Hérault Le cancer du sein se situe au 1 er rang des cancers féminins (33% des cancers). Le nombre de cancers du sein a augmenté de 110% entre 1987 (415 cas) et 2010 (871 cas). Cette augmentation se décompose de la manière suivant : 60% du faîte de l augmentation de la population, 11% à cause du vieillissement et 39% lié au risque de cancer du sein luimême. Données du Registre des tumeurs de l Hérault

7 L ICM : un acteur privilégié de la prévention et du dépistage L ICM tient un rôle majeur dans la prévention et le dépistage des cancers du sein de part l implication des équipes de radiologie dans le dépistage organisé et individuel, la mise en place de consultations spécialisées d oncogénétique pour les populations à risque et le suivi des patientes afin de prévenir les complications à long terme et dépister les éventuelles récidives. L Institut est également moteur en Languedoc-Roussillon en prévention tertiaire afin d aider les patients à modifier les comportements à risque, dans des domaines tels que : la consommation excessive d alcool, la lutte contre le tabac, l incitation à pratiquer une activité physique et des changements liés à la nutrition. La consultation d oncogénétique : identifier les personnes porteuses d une prédisposition génétique On estime qu en France près de femmes, de 25 à 70 ans, pourraient être prédisposées au cancer du sein. Parmi ces femmes, certaines sont porteuses d une mutation d un des deux gènes majeurs de prédisposition au cancer du sein et/ou de l ovaire identifiés : les gènes BRCA1 et BRCA2. Pour d autres, si l histoire familiale est évocatrice d un risque accru de cancer du sein, aucune mutation n a en revanche pu être mise en évidence. Qu elles soient porteuses ou non d une mutation, les femmes à risque doivent bénéficier d une surveillance accrue, voire d une prévention qui aujourd hui est chirurgicale. Des tests sont prescrits dans le cadre de consultations d oncogénétiques et selon le risque évalué. Ils concernent à la fois des personnes malades (cas index) et des membres non malades de leur famille (apparentés). Ils permettent la mise en place d une prise en charge optimale adaptée aux patients concernés et aux apparentés. A l ICM, le Dr Isabelle Coupier, médecin onco-généticien, travaille en étroite collaboration avec les différents médecins spécialistes de l Institut, la psycho-oncologue, les chirurgiens, les oncologues, les radiologues, les radiothérapeutes ainsi qu avec le gynécologue et le médecin traitant de la patiente. Pour les patientes à risque élevé, une surveillance, plus précoce, plus fréquente, et plus spécialisée que chez les femmes de la population générale est mise en place. A partir de 20 ans, un examen clinique (palpation des seins) deux fois par an est prescrit. Dès l âge de 30 ans ou 5 ans avant le cancer le plus précoce dans la famille (lorsqu il a eu lieu avant 34 ans), une mammographie, une échographie, ainsi qu une IRM mammaire annuelles sont préconisées. 7

8 Un accompagnement personnalisé dans le sevrage tabagique La consommation de tabac, mais aussi d alcool, augmente le risque de complications et les effets secondaires des traitements en cancérologie (chirurgie, chimiothérapie et radiothérapie). Aider la patiente dans sa démarche vis-à-vis du tabac a donc des bénéfices à court terme, mais aussi à moyen et long terme. A l ICM, l unité d addictologie incluant l Elsa (Equipe de Liaison et de Soins en Addictologie) propose aux patientes traitées en hospitalisation classique ou en hôpital de jour d être aidées dans leur démarche par des entretiens motivationnels et un accompagnement personnalisé. Grâce au soutien de l Agence Régionale de Santé du Languedoc Roussillon, l ICM a créé un dispositif de prise en charge rapide et qualifiée en addictologie pour les patientes. L équipe de l Elsa, composée d un médecin addictologue, d un tabacologue et d une infirmière en addictologie, se rend au lit de la patiente et définit avec elle les objectifs de diminution ou d arrêt de consommation des produits. L Elsa travaille en réseau avec les équipes médicales de l ICM, les psychologues de l Unité de Psycho-Oncologie (UPO), les assistantes sociales et les spécialistes de la nutrition. L Elsa est également en lien avec des structures extérieures : l Unité de Traitement des Toxicomanies et Dépendances (UTTD) et les Services d addictologie du CHU de Montpellier et de Nîmes, les Centres de Soins d Accompagnement et de Prévention en Addictologie (CSAPA) et les autres Elsa de Contact : la région (du lundi au vendredi entre 9h et 12h30) 8

9 La prise en charge des patientes Personnalisation des traitements et qualité de vie «Proposer à chaque patiente un traitement personnalisé et innovant.» Pr J. Domergue, Directeur général de l ICM 9

10 L ICM dispose des atouts indispensables pour prendre en charge le cancer du sein et proposer à chaque patiente le traitement le mieux adapté et le plus innovant. L établissement possède l ensemble des techniques diagnostiques, thérapeutiques et des possibilités de suivi et de recherche en sénologie. Il propose également une offre de soins en ambulatoire dans un bloc chirurgical dédié, et un traitement en un jour du cancer du sein. L Institut traite chaque année : patientes atteintes d un cancer du sein. 42% sont de nouvelles patientes. 77% sont prises en charge en ambulatoire. 35% des prises en charge à l ICM concerne le cancer du sein. L ICM est également le lieu de première prise en charge pour 44% des nouveaux cas de cancers invasifs du sein chez les patientes domiciliées dans l Hérault. Ce recrutement important, aidé par un plateau technique performant et dynamique, fait de l ICM un acteur majeur en sénologie dans la région. Un traitement en un jour du cancer du sein Une technique, innovante et prometteuse, est proposée à l ICM à des patientes que l on doit opérer d un cancer du sein et traiter également par radiothérapie. Celles-ci doivent remplir les critères suivants : avoir plus de 60 ans, présenté une tumeur inférieure à 2 cm et un ganglion négatif et avoir un cancer hormonoréceptif. Cette thérapie, la radiothérapie per-opératoire du cancer du sein, permet de réaliser, au bloc opératoire et dans le même temps que l intervention chirurgicale, l ablation de la tumeur et l irradiation du lit tumoral en utilisant un accélérateur mobile linéaire à rayons X miniaturisé (Intrabeam) sans avoir à transporter la patiente dans une unité de radiothérapie. Il faut compter environ une heure d anesthésie générale en plus. La radiothérapie per-opératoire, pour des résultats équivalents à la prise en charge classique, présente de nombreux avantages : une irradiation optimisée, une réduction des toxicités et de la durée du traitement (1 séance au lieu de 25 séances) et une meilleure qualité de vie. 10

11 La biopsie sous IRM : une technique innovante pour confirmer et affiner le diagnostic du cancer du sein L Imagerie par Résonnance Médicale (IRM) permet de visualiser des anomalies qui ne seraient pas repérées par les techniques conventionnelles (mammographie, échographie), même en les cherchant de manière spécifique. Une anomalie détectée n étant pas spécifiquement révélatrice d un cancer du sein, les radiologues pratiquent alors une biopsie (prélèvement d un échantillon de la zone concernée pour confirmer le diagnostic). L IRM sert alors de guide pour réaliser la biopsie : elle permet au radiologue de prélever d une manière précise un microscopique fragment du sein. L IRM est l examen le plus sensible pour le dépistage des cancers car il présente le moins de «faux négatifs», c est-à-dire de cancers non diagnostiqués à l examen. Il permet aussi de ne pas inquiéter à tort les patientes, qui auraient des lésions bénignes. L ICM est le 1 er service régional en termes de macrobiopsie sous guidage IRM ou conventionnel. La prise en charge ambulatoire des cancers du sein Le service de chirurgie ambulatoire de l ICM accueille les patientes pour lesquelles sont réalisées, dans un temps relativement court, des gestes opératoires, tels que tumorectomie, recherche du ganglion sentinelle, ainsi que des gestes de reconstruction mammaire et d oncoplastie. L objectif de la prise en charge ambulatoire est d offrir aux patientes un traitement en un jour (entrée le matin - sortie le soir même) et une prise en charge personnalisée. Les patientes, sélectionnées selon des critères médicaux et sociaux, sont longuement informées. Pour nombre de patientes, cette prise en charge ambulatoire permet une meilleure acceptation de la maladie et une dédramatisation de l acte opératoire ; elle permet aussi un meilleur équilibre dans la gestion de la vie personnelle, familiale et professionnelle. En outre, et ce afin d apporter du bien-être jusque dans l assiette, un partenariat a été signé entre l ICM, les Frères Pourcel du «Jardin des Sens» et Médirest (Compass Group France) pour proposer aux patients des plateaux repas signés de grands cuisiniers. Les plateaux repas allient plaisir gastronomique et qualité gustative, tout en étant adaptés aux besoins nutritionnels d un patient venant d être opéré. Les chefs proposent une recette par saison ; une attention particulière a été accordée à la présentation des mets. 11

12 Chirurgie reconstructrice : rendre à la femme son bien-être, sa féminité et son pouvoir de séduction Si le taux de conservation du sein a augmenté fortement ces 20 dernières années, environ 40% des femmes nécessitent, aujourd hui, une mastectomie lors de la prise en charge primaire d un cancer du sein. Après l ablation du sein, une reconstruction mammaire peut être envisagée. Cette reconstruction peut être immédiate ou décalée dans le temps, après la fin du traitement par radiothérapie ou chimiothérapie, selon les indications médicales, et le désir de la patiente. La chirurgie reconstructrice réparatrice fait partie intégrante du cancer du sein, soit pour remodeler le sein après une tumorectomie, soit le reconstruire après une ablation. Elle doit permettre à la patiente de conserver ou de retrouver une silhouette en restaurant un volume symétrique au sein non atteint. Différentes techniques peuvent être proposées. Le choix dépend des téguments et des muscles, de la morphologie de l autre sein, de l état général de la patiente et de ses attentes. Quelle que soit la technique envisagée, il est essentiel de l expliquer à la patiente pour qu elle puisse la comprendre, anticiper sur ses conséquences et faire le deuil du sein mutilé pour s approprier sa réparation à venir. L évolution des techniques opératoires et les innovations concernant les implants prothétiques sont associés à une meilleure prise en charge psychologique des patientes. Les progrès à venir seront technologiques et techniques, mais surtout concerneront l information des femmes et la possibilité de mieux évaluer l impact de cette intervention sur leur qualité de vie. L accueil MRI : un accompagnement en amont de l intervention chirurgicale Depuis 2003, l ICM donne la possibilité aux patientes opérées d un cancer du sein, de parler dans un cadre spécifique et plus intime. L accueil MRI (Mastectomie Reconstruction Immédiate) est pluridisciplinaire : médecin, infirmières et kinésithérapeutes abordent avec la patiente, reçue dans un premier temps en consultation de chirurgie, toutes les facettes de sa prise en charge. «La femme subit un double traumatisme : le diagnostic du cancer et la perspective de l ablation du sein. Nous l aidons à reformuler les informations qu elle a reçues, puis nous l aidons à visualiser avec des schémas et des photos, si elle le souhaite, les futures cicatrices. En fonction de la technique de reconstruction choisie, nous pouvons également lui montrer des prothèses. Il s agit de l amener à anticiper ce qu elle va ressentir dans son corps.» Dr Maryvonne Soulier, sénologue et médecin consultant en psychologie clinique. «Pour le chirurgien, proposer une reconstruction mammaire, c est se poser la question de choisir une technique opératoire en intégrant les particularités anatomiques de la patiente, le pronostic oncologique de la maladie et les souhaits de la patiente ; l essentiel étant de ne pas augmenter le risque de récidive locale et le risque de reprise évolutive, et de ne pas retarder les différents traitements.» Pr Philippe Rouanet, chirurgien à l ICM. La discussion est ouverte avec la patiente, mais également avec son compagnon qui est invité à l accompagner. Quant à la question de l attitude à adopter vis-à-vis des enfants, elle est systématiquement abordée, car ils détectent très vite la souffrance et les non-dits familiaux. A l issue de la rencontre, la patiente repart en sachant qu elle pourra contacter les intervenants si elle le souhaite, à n importe quel moment de son parcours. 12

13 Hormonothérapie et thérapies ciblées L hormonothérapie est l une des thérapies les plus utilisée dans la prise en charge du cancer du sein. Environ 70 % des cancers du sein possèdent des récepteurs pour les oestrogènes et/ou la progestérone et voient leur croissance stimuler par ces hormone. Ces cancers du sein, sont une indication à l utilisation de traitements anti-hormonaux (tamoxifène, inhibiteurs de l aromatases) pour freîner la croissance tumorale en s opposant aux effets des oestrogènes. A l inverse, les 30 % de cancers du sein qui ne possèdent pas de récepteurs hormonaux ne relèvent pas d une telle hormonothérapie. On rencontre un peu plus souvent ces derniers cancers chez les femmes jeunes. Ces médicaments, même s ils n exposent pas aux mêmes effets secondaires que la chimiothérapie anticancéreuse, ne sont pas dénués d effets secondaires, qu il est nécessaire de bien connaitre, afin de les comprendre, les traiter ou les soulager.! Pour en savoir plus sur les traitements hormonaux ou antihormonaux du cancer du sein, l ERI organise le mercredi 14 octobre 2015 (14h-15h30) une rencontre-débat grand public avec le Dr William Jacot, oncologue médical. Elle a lieu à Epidaure, pôle prévention de l ICM (salle de conférence). Cette conférence gratuite est ouverte aux patients, familles et toute autre personne intéressée par le sujet. Toute question peut être envoyée par avance à : eri@icm.unicancer.fr 13

14 Le bien-être au coeur des projets de soin «Au-delà des traitements médicaux, il s agit de préserver et améliorer la qualité de vie de chaque patiente pendant, et après la maladie.» Dr Pierre Senesse, gastro-entérologue et responsable des soins de support à l ICM. 14

15 La prise en charge des personnes atteintes d un cancer du sein intègre à la fois la technique médicale soignante et la prise en charge des conséquences psychologiques et sociales de la maladie. Cette prise en charge globale a pour but de faciliter l adaptation et de réduire les difficultés inhérentes aux différentes étapes de la maladie et des traitements. Un accompagnement après le cancer du sein est également prévu et répond à l axe 2 du Plan Cancer 3 (2014/2019) : préserver la continuité et la qualité de vie. Le développement et l organisation des soins de support - ensemble des soins et soutiens dispensés conjointement aux traitements oncologiques - constituent un axe majeur du projet de soins de l ICM. PENDANT LE TRAITEMENT L hypnose médicale : diminuer l angoisse et le stress A l ICM, depuis 2012, les patientes opérées en ambulatoire d un cancer du sein, peuvent bénéficier, si elles le souhaitent, des techniques d hypnose médicale. Lors de l arrivée de la patiente au bloc opératoire, les soignants adaptent leur langage en choisissant des mots positifs et une intonation plus calme. L objectif est de rassurer la patiente afin que les étapes de l installation dans la salle d opération et de la perfusion soient mieux vécues. Les demandes d hypnose sont en augmentation, et les patientes qui en ont bénéficié disent récupérer plus vite, car elles gardent un bon souvenir de l anesthésie et de l intervention. Une étude, évaluant l effet bénéfique de l hypnose, vient d être ouverte à l ICM. L alimentation, un soin à part entière «Nous utilisons des mots spécifiques, du para-verbal, des images pour nous rapprocher du langage de la patiente et la mettre en confiance. Le recours à l hypnose peut s avérer une solution au stress de l anesthésie générale et de l opération. Elle permet également d introduire un peu d humanité dans une situation où la technique domine.» Dr Jibba Amraoui, anesthésiste-réanimateur. Maintenir son poids, une régularité des repas et le plaisir de manger Pour les professionnels de santé, la bonne alimentation est un soin à part entière qui participe à l état général de santé de chacun. A l ICM, les médecins et les diététiciens de l Unité Transversale de Nutrition (UTN) apportent leur expertise pour dépister et prendre en charge l état nutritionnel des patients. Pour chaque patiente, ils proposent un suivi nutritionnel, au cas par cas et adapté aux traitements. A chaque situation et malgré les contraintes liées aux traitements et à l état de santé, des mesures peuvent être prises pour garder le plaisir de s alimenter selon ses goûts et ses habitudes. Parallèlement, une équipe de 4 assistantes diététiciennes intervient 7 jours sur 7 pour prendre les commandes repas auprès des patientes et satisfaire au mieux à leurs attentes et besoins. Pour répondre à la problématique de dénutrition et aux difficultés de mastication ou de déglutition, une nouvelle approche des textures modifiées, les MIX&DELICES, a été mise en place à l ICM. Le menu du jour est mixé au robot, enrichi avec de la crème ou des oeufs, cuit dans un moule en silicone puis servi dans des verrines. Les patientes peuvent ainsi bénéficier d un menu équilibré et retrouver les saveurs originelles des plats alliés à une présentation soignée. 15

16 Soulager le corps et l esprit grâce au yoga La plupart des traitements du cancer ne sont pas sans influence sur la qualité de vie. Si ce paramètre était autrefois négligé, aujourd hui les choses ont changé. Le yoga fait, ainsi, partie de ces approches alternatives aux soins proposées pour les femmes touchées par un cancer du sein. Un atelier Yoga est mis en place à l ICM depuis Il accueille, chaque jeudi, des femmes traitées pour un cancer, celles qui sont en cours de traitement ou celles qui terminent leur parcours de soins à l Institut. L atelier, soutenu financièrement par le Comité de l Hérault de la Ligue contre le Cancer et Sanofi, est animé par Mme Geneviève Pary, professeur de yoga diplômée de l Institut Français de Yoga (YFI). Chaque séance est conçue pour rester accessible aux patientes, à tout moment de leur parcours de soins et répondre de manière spécifique à ce qu elles vivent dans leur corps. Elles travaillent avec des mouvements lents et en harmonie avec la respiration, ce qui favorise une perception de plus en plus fine du fonctionnement du corps et des émotions associées. Le Dr Maryvonne Soulier (sénologie et psychologie clinique) et Kerstin Faravel (kinésithérapie) en assurent l encadrement, ce qui permet un suivi des patientes en vue d un travail pluridisciplinaire. Un observatoire du vécu de la maladie : Les modalités particulières de l atelier yoga (encadrement, suivi de chaque groupe pendant 9 mois, assiduité) en ont fait un véritable observatoire du vécu de la maladie et des suites à moyen terme. Ainsi ont été recueillis des témoignages et des questionnements que les patientes gardent habituellement pour elles. De l ensemble de ces participantes, a émergé un groupe de réflexion actif et solidaire avec lequel le Dr Maryvonne Soulier et Mme Kerstin Faravel analysent les difficultés rencontrées. En alternance avec les réunions de travail et selon un calendrier pré-établi, des conférenciers (représentants de la médecine conventionnelle, des médecines alternatives, des arts du soin) sont invités. Des soins socio-esthétiques pour l estime de soi Le matériel et le salaire de la socio-esthéticienne sont financés par l association CEW (Cosmetic Executive Women), tandis que l ICM fournit le local. 16 Aider les patientes à rester belles, leur donner envie de s aimer, de plaire est indispensable à la guérison. Inauguré en octobre 2007, le Centre de soins esthétiques de l ICM propose des soins de beauté gratuits. Les soins sont faits en accord avec le personnel soignant. Deux jours par semaine, le mercredi et le jeudi de 8h à 16h30, en cabine ou plus souvent dans la chambre du patient (voire en chambre stérile), une socio-esthéticienne prodigue des soins du visage, de détente du corps, de manucure, de beauté des pieds ou de maquillage léger. Par le biais des sensations, du toucher, un lien se créé. Sur le planning de Marine Bellod, sont inscrits de nombreux rendez-vous : des femmes, des hommes, de tout âge, à toutes les phases de la maladie. «Les soins esthétiques contribuent à revaloriser l image que l on a de soi. Chacun doit pouvoir accéder à ces soins qui permettent de conserver dignité et confiance en soi, en toute circonstance. Ici aussi, on parle des choses de la vie. Les gens sont simples. On se sent vraiment utile.» Marine Bellod, socio-esthéticienne

17 L ERI, un lieu d informations, d écoute et d échanges pour les patientes A l Espace de Rencontres et d Information (ERI), les patients, mais également leurs proches peuvent venir parler, en toute confidentialité. Nul besoin de prendre rendez-vous pour venir échanger avec Mélanie Accardo, l animatrice de santé. Ici, il est possible de se renseigner sur la pathologie et trouver des informations concrètes indispensables à l amélioration de la qualité de la vie. Mélanie Accardo accompagne le patient dans cette recherche d informations, en collaboration avec tous les autres acteurs impliqués dans la prise en charge du cancer. Au milieu d un quotidien bouleversé, chacun peut ainsi venir parler en toute confidentialité, dans ce lieu, indépendant des soins et des soignants. L ERI est aussi un espace de rencontres qui favorise les échanges. Dans ce cadre-là, sont organisées des réunions-débats animées par des professionnels. Contact ERI : Mélanie Accardo Lundi : 13h - 16h30 Mardi : 9h - 12h Mercredi : 8h30-12h Jeudi et vendredi : 10h30-14h eri@montpellier.unicancer.fr «Les patients sont en demande d informations, médicales ou pas, à l ERI, ils ont à leur disposition des brochures sur la maladie en général, les coordonnées de professionnels de santé et associations de patients. Ils peuvent aussi consulter internet. Ils ont besoin aussi qu on leur accorde du temps et de l attention». Mélanie Accardo, animatrice de santé.! Pour en savoir plus sur les traitements hormonaux ou antihormonaux du cancer du sein, l ERI organise le mercredi 14 octobre 2015 (14h-15h30) une rencontre-débat grand public avec le Dr William Jacot, oncologue médical. Elle a lieu à Epidaure, pôle prévention de l ICM (salle de conférence). Cette conférence gratuite est ouverte aux patients, familles et toute autre personne intéressée par le sujet. Toute question peut être envoyée par avance à : eri@icm.unicancer.fr 17

18 APRES LE TRAITEMENT Programme d accompagnement après un cancer du sein Nombre de femmes touchées par un cancer du sein doivent réapprendre à vivre après l épreuve des traitements, après parfois la perte d un sein ; elles doivent réapprivoiser leur image corporelle et retrouver leur féminité, leur identité. Pour offrir un accompagnement de qualité, sur place, et avec les meilleurs spécialistes, redonner confiance en la vie, l ICM a mis en place un programme d accompagnement après un cancer du sein. Ce programme s adresse à toutes les femmes qui ont terminé leur traitement, hors traitement d hormonothérapie. Des consultations de gynécologie, d ostéopathie, d homéopathie, de phytothérapie et de sexologie sont proposées ; elles sont gratuites. Cette prise en charge multidisciplinaire innovante facilite la réhabilitation et permet de se réapproprier son corps et son image. En pratique : Un rendez-vous avec une infirmière est proposé à la patiente à l occasion de la consultation de contrôle de fin de traitement avec l oncologue référent. Après avoir étudié avec la patiente ses besoins et ses attentes, l infirmière met en place avec elle le programme d accompagnement et planifier les rendez-vous avec les spécialistes. Des rencontres sont également proposées à l ICM avec un kinésithérapeute, un diététicien, une socio-esthéticienne, un psychologue, une assistante sociale et une coiffeuse. 18

19 L innovation Thérapeutique «Aujourd hui, 3 cancers du sein sur 4 sont guéris. Chacune de ces victoires ne pourrait être possible sans la recherche.» Pr Jacques Domergue, Directeur général de l ICM. 19

20 L ICM participe à 25 essais cliniques portant sur les cancers du sein, dont 11 en tant que centre promoteur. Ces essais permettent d être à la pointe des innovations thérapeutiques et de proposer aux patientes de nouveaux traitements. L hypnose médicale pour diminuer la douleur et les effets de l anesthésie L essai HYPNOSEIN a démarré en septembre Cette étude randomisée en simple aveugle, coordonnée par le Dr Jibba Amraoui, anesthésiste-réanimateur, a pour objectif d évaluer les bénéfices attendus de l hypnose médicale sur la douleur et les effets de l anesthésie chez les patientes atteintes d un cancer du sein. Les patientes admises en chirurgie ambulatoire se voient proposer, selon le groupe, une prise en charge standard ou une hypnose conversationnelle avant l anesthésie. Les effets post-opératoires (nausées, vomissements, fatigue et inconfort), dus à l anesthésie, seront aussi mesurés dans les 2 groupes de patientes. Cette étude multicentrique recrutera 150 patientes dans 5 centres en France. APAD : une étude pour améliorer la qualité de vie des patientes L essai APAD (Activité Physique Adaptée et conseil Diététique) a terminé l inclusion de ses 243 patientes en L étude, coordonnée par le Dr Gilles Romieu, est un essai de phase III randomisé, qui évalue l efficacité d un programme d activité physique adaptée et un conseil diététique pour réduire la fatigue chez des patientes atteintes d un cancer du sein. Les patientes bénéficient, ainsi, d une prise en charge personnalisée grâce à une approche pluridisciplinaire impliquant des oncologues, des professeurs d activité physique, des nutritionnistes et des chercheurs en sciences humaines et sociales. Les données sont aujourd hui en cours d analyse. Projet RE IORT : une étude pour favoriser la chirurgie reconstructrice Une étude prospective, nationale et multicentrique, évalue la possibilité de proposer aux patientes faisant une récidive d un cancer du sein une 2 nde chirurgie conservatrice couplée à de la radiothérapie. La tumeur doit être localisée, tardive et de bon pronostic. Ce traitement permettra d éviter une mastectomie dite de rattrapage, qui demeure aujourd hui le traitement standard pour ce type de tumeur. Le projet Re-irradiation Intra-Opératoire (RE IORT) doit, également, évaluer le résultat esthétique et la qualité de vie des patientes ainsi que l évolution de la maladie. Des études biologiques associées, génomiques et protéomiques, permettront d approfondir la connaissance de cette irradiation peropératoire. L étude, coordonnée par le Dr Claire Lemanski, oncologue radiothérapeute, est réalisée par des équipes de chirurgiens et de radiothérapeute dans les 9 centres français équipés d un système de radiothérapie peropératoire. A ce jour, aucune étude prospective n a été publiée pour cette alternative thérapeutique. 20

21 REQUITE : un projet européen pour prédire les risques de toxicité tardive de la radiothérapie L équipe du Pr David Azria participe à l essai clinique REQUITE retenu, en mai 2013, pour un financement de la Commission Européenne, dans le cadre du 7 ème programme-cadre européen. Ce projet vise à valider de nouveaux biomarqueurs prédictifs de la toxicité à la radiothérapie. L objectif principal de «REQUITE» est de créer une cohorte prospective de patients traités par radiothérapie selon les standards validés pour un cancer du sein, de la prostate ou du poumon. L ICM, coordonnateur français, constitue l un des 9 centres de recrutement pour l étude clinique et l un des 3 centres de recherche pour l évaluation des biomarqueurs de radiosensibilité individuelle. Au total, patients seront inclus sur une période de 24 mois, dans 8 pays. En France, 800 patients atteints d un cancer du sein, du poumon ou de la prostate et traités par radiothérapie à l ICM ou au CHU de Nîmes, participeront à cette étude. Ce projet ouvre la voie à de nouvelles coopérations internationales et conforte la position stratégique de l ICM dans le domaine de la recherche intégrée en radiothérapie et radiobiologie. Des anticorps thérapeutiques pour une prise en charge individualisée Lauréat du 13 ème Appel à Projets FUI des pôles de compétitivité, le projet UmabHER3 est porté par l ICM, l IRCM* et deux sociétés françaises de biotechnologie (GamaMabs Pharma et Cisbio Bioassays). Il a pour objectif le développement d un anticorps monoclonal thérapeutique et d un test compagnon pour une médecine personnalisée dans le traitement des cancers du sein. Ce projet vise, en particulier, la conception d un anticorps monoclonal thérapeutique humain, capable d interférer dans la programmation HER3 des cancers du sein résistants ou non traitables par les thérapies ciblées actuelles : hormonothérapie ou trastuzumab (HerceptinR). Pourquoi cibler le récepteur HER3? Les récepteurs à tyrosine kinase de la famille HER (ErbB) sont impliqués dans la prolifération cellulaire, l invasion et la survie des cellules cancéreuses. Deux anticorps médicaments ciblant respectivement le récepteur HER1 (ou EGFR) et le récepteur HER2 sont actuellement utilisés en pratique clinique. Le ciblage du récepteur HER3 permettrait de traiter les patientes atteintes d un cancer du sein qui ne répondent pas ou qui deviennent résistants aux traitements anti-her2. L anticorps a déjà été testé avec succès in vitro et in vivo chez la souris par Thierry Chardés au sein de l équipe IRCM d André Pèlegrin. Les chercheurs sont entrain de conforter ces résultats et d optimiser l anticorps en terme d efficacité thérapeutique. Le test de diagnostic «compagnon» est en cours de développement par l Unité de Recherche Translationnelle (URT) de l ICM, en collaboration avec GamaMabs Pharma et Cisbio Bioassays. *Institut de Recherche en Cancérologie de Montpellier 21

22 Grâce aux dons, la recherche avance Les équipes de l ICM ont besoin du soutien des donateurs pour aller plus loin dans l innovation médicale et faire progresser les chances de guérison, ici, en Languedoc-Roussillon. En faisant un don à l ICM, les chercheurs peuvent acquérir plus rapidement les équipements de haute technologie, développer leurs travaux de recherche et trouver de nouvelles thérapeutiques. Les dons vont directement au financement des projets menés conjointement par les médecins et chercheurs de l ICM. Le donateur bénéficie, lui, d une réduction d impôts sur le revenu de 66 % du montant du don, dans la limite de 20 % du revenu imposable annuel. Comment faire un don? Il est possible de faire un don par chèque à l ordre de l ICM (208 rue des Apothicaires Montpellier cedex 5) ou en ligne, en toute sécurité, sur notre site internet : rubrique «Faire un don». 22

23 Institut régional du Cancer de Montpellier - ICM Délégation Communication Contacts : Frédérique Planet : / , Frederique.Planet@icm.unicancer.fr Florence Courtès : / , Florence.Courtes@icm.unicancer.fr Crédits photos : ICM, Fotolia Montpellier ICM Parc Euromédecine 208, rue des Apothicaires Montpellier Cedex 5

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