La consommation des ménages en Analyse du compte définitif

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1 15 Mai 2009 La consommation des ménages en 2006 Analyse du compte définitif Ont contribué à la rédaction de cette note : Danielle BESSON Dominique BROSSAULT Georges CONSALES Rosine DEVILLAIRE Stéphanie GRANGIER Brigitte LAROCHETTE 1

2 La dépense de consommation finale des ménages a augmenté de 2,4 % en volume en 2006, après +2,6% en. Elle a atteint 1001,9 milliards d euros à prix courants. Sa contribution à la croissance économique en volume (+ 2,2 %) s est élevée à 1,3 point. La croissance de la consommation a été favorisée par la hausse du pouvoir d achat des ménages (+ 2,6 %, après + 1,6% en ). Le taux d épargne a progressé légèrement par rapport à (15,0 % après 14,9 %). L automobile s est fortement repliée en 2006 (- 2,1 %) alors qu elle avait progressé sensiblement en (+ 3,0 %). Les dépenses alimentaires ont ralenti en 2006 (+ 0,6 % contre + 1,4 % en ), notamment en raison d un climat peu propice à la consommation des produits frais. En revanche, au sein des biens et services des technologies de l information et de la communication (TIC), toujours très demandés, les dépenses en téléviseurs (+ 49,9 % après + 30,4 % en ) et en services de télécommunications (+ 8,6 % après + 5,7 %) ont notablement accéléré. La part en valeur des dépenses pour le logement a continué de progresser, en raison principalement de l évolution plus rapide des prix des dépenses de loyers et de chauffage que celle des prix de la dépense totale. Les achats de tabac sont repartis à la hausse en 2006 après quatre années de baisse marquées par de fortes hausses de prix. Contexte économique En 2006, la dépense de consommation finale des ménages a augmenté de 2,4 % en volume après + 2,6 % en. Elle a atteint 1001,9 milliards d euros à prix courants. Le rythme de croissance fluctue peu depuis 2001 et reste dynamique. En 2006, il a été légèrement inférieur au rythme moyen sur la période (+ 2,5 %). Le revenu disponible brut a progressé de 4,7 % en 2006 contre 3,4 % en. Le pouvoir d achat de ce revenu a également accéléré avec une hausse de 2,6 % après + 1,6 % en (tableau 1). Il a contribué au maintien du dynamisme de la croissance de la consommation des ménages. La contribution de la consommation à la croissance du produit intérieur brut a atteint 1,3 point, restant ainsi le principal facteur de croissance de l économie. Au total le produit intérieur brut a augmenté de 2,2 %, après + 1,9 % en. La consommation des ménages augmentant moins vite que le revenu disponible, le taux d épargne des ménages est remonté en 2006 légèrement pour la première fois depuis 2002 (15,0 % après 14,9 % en ). La progression des investissements en logement neuf des ménages est restée soutenue (+ 11,5 %) si bien que le taux d épargne financière a continué sa baisse avec 4,7 % en 2006 après 5,0 % en et un point haut atteint en 2002 (8,0 %). Tableau 1 - Variation du pouvoir d achat du revenu disponible brut (RDB)*, taux d épargne et taux d épargne financière Variation du pouvoir d achat du RDB en % Taux d épargne en % Taux d épargne financière en % ,5 15,0 6, ,5 15,9 7, ,3 15,5 6, ,2 15,2 6, ,4 15,1 6, ,4 15,8 6, ,6 16,9 8, ,8 15,8 6, ,6 15,8 6,2 1,6 14,9 5, ,6 15,0 4,7 * Déflateur : indice de prix de la dépense de consommation finale des ménages Source : comptes nationaux, Insee 2

3 En 2006, la hausse des prix de la dépense de consommation des ménages a atteint + 2,1 % après + 1,8 % les trois années s. L accélération provient intégralement des services d intermédiation financière indirectement mesurés (SIFIM) avec une hausse de 34,1 % en 2006 contre une baisse de 11,3 % en. Les produits frais et les produits pétroliers ont notablement joué à la hausse en Les aléas climatiques ont fortement affecté la production de fruits et de légumes, engendrant de ce fait une hausse de prix marquée pour ces produits (+ 3,8 % au total, y compris les produits transformés). La progression des prix des produits pétroliers s est poursuivie, même si elle a été plus faible qu en (+ 6,7 % après + 15,3 %). Au total, depuis 2003, ils ont augmenté de près de 38 %. Cette progression s est répercutée fortement sur le prix du gaz naturel depuis (+ 14,2 % en 2006 après + 6,8 %). Seule l électricité a conservé une évolution des prix très modérée (+ 0,6 %). La hausse du prix des loyers est restée soutenue, quoiqu en décélération (+ 3,4 % après + 3,9 %). L indexation sur le nouvel indice de référence des loyers a notamment contribué à ce ralentissement. Les prix des biens et services des technologies de l information et de la communication (TIC) ont amplifié leur baisse tendancielle (- 9,4 % après - 6,2 %). La baisse plus marquée provient principalement des services de télécommunications dans un contexte d efforts importants sur les prix consentis par les opérateurs mobiles et les fournisseurs d accès à internet. 3

4 Analyse par grandes fonctions de consommation En 2006, les dépenses de loisirs et culture sont demeurées l un des principaux moteurs de la croissance de la consommation (+ 6,2 % après + 5,4 % en cf. tableau 2). Les biens et services des technologies de l information et de la communication (TIC) dont la croissance est à deux chiffres depuis 1997 ont connu leur plus forte hausse depuis 2000 (+ 15,7 % après + 13,9 % en ). Ils ont contribué pour près de 30 % à la hausse de la dépense de consommation des ménages en volume. Les téléviseurs ont particulièrement attiré les ménages en 2006 avec une hausse de 49,9 % en volume. La substitution des écrans à tube par les écrans plats s est accélérée, notamment au moment de la Coupe du Monde de football. À l exception de l explosion des ventes de GPS, les autres produits technologiques, comme les lecteurs et enregistreurs de DVD et les baladeurs MP3, n ont pas connu un dynamisme aussi marqué que les années passées. La consommation en biens et services de communications a été soutenue, notamment pour les services des télécommunications qui ont progressé de 8,6 % après + 5,7 % en. Les efforts de prix (- 6,2 % au total) consentis par les opérateurs mobiles et les fournisseurs d accès internet ont favorisé ce dynamisme. La consommation des ménages en transports n a progressé que de 0,2 % après une hausse de 1,7 % en. Ce résultat médiocre est imputable à l automobile dont les achats se sont repliés de 2,1 % en 2006 alors qu ils avaient progressé de 3,0 % en. Ce sont principalement les véhicules neufs de marques françaises qui ont souffert de la faiblesse de la demande avec un repli des immatriculations de 6,1 %. Les carburants et lubrifiants ont baissé en volume pour la cinquième année consécutive (- 1,5 %). Dans un contexte où les prix ne cessent de progresser à un rythme élevé, le parcours moyen des particuliers a tendance à diminuer et les véhicules consomment de moins en moins. En revanche, la consommation des ménages en services de transports est restée très soutenue en 2006 après deux années de forte hausse (+ 4,6 % après + 5,5 % en et + 6,7 % en 2004). Ce sont principalement les transports aériens qui expliquent ce dynamisme. Depuis 2004, la part des dépenses en valeur de logement, chauffage et éclairage dans l ensemble des dépenses de consommation des ménages a progressé significativement : 24,9 % en 2006 après 24,6 % en et 24,0 % en Cette progression résulte de la hausse des prix, les volumes consommés ayant globalement moins augmenté (+ 1,8 %) que les dépenses totales (+ 2,2 %). Le prix des loyers a légèrement ralenti, principalement sous l effet du remplacement de l indice du coût de la construction par l indice de référence des loyers pour les indexations. Les hausses des prix du gaz et du fioul ont en revanche été très vives. Les dépenses en volume d électricité, gaz et autres combustibles sont stables en Les aléas climatiques peu propices à la consommation de chauffage et l envolée des prix du fioul et du gaz ont incité à la modération. Les dépenses d équipement du logement ont progressé de 3,0 % en 2006 : les appareils ménagers ont été particulièrement prisés. Les dépenses d alimentation et de boissons non alcoolisées ont été peu dynamiques en 2006 (+ 0,6 % après + 1,4 % en ). Le ralentissement a affecté la plupart des produits, les volumes achetées des légumes et des fruits ont même baissé (respectivement - 0,7 % et - 0,5 %), la hausse des prix ayant été importante (+ 4,8 % et + 2,4 %) et ayant découragé les consommateurs. Pour la première fois depuis 2001, les achats de tabac en volume se sont retournés à la hausse (+ 1,5 %), les prix s étant quasiment stabilisés après les fortes hausses de 2003 et Une partie de cette hausse s explique aussi par de moindres achats dans les pays frontaliers. La consommation dans les hôtels - cafés - restaurants a accéléré (+ 2,5 % après + 1,7 % en ). L année 2006 a été plutôt favorable à l hôtellerie qui a bénéficié d une plus grande affluence des touristes étrangers mais aussi de la préférence des ménages français pour les vacances en France. De ce fait, après cinq années consécutives de baisse, l excédent touristique a progressé sensiblement en 2006, atteignant 10,1 milliards d euros en valeur contre 8,9 milliards en. En 2006, les achats d articles d habillement et de chaussures ont cru à leur rythme tendanciel des dix dernières années (+ 1,6 %). Les chaussures (y compris réparation), ont notamment accéléré grâce au dynamisme des chaussures de sport. 4

5 Les dépenses de santé restant à la charge des ménages ont fortement accéléré (+ 7,2 % après + 4,7 % en ). La hausse est restée très forte pour les services hospitaliers sous l effet de la revalorisation du forfait hospitalier. En revanche, les effets de la participation forfaitaire de un euro par consultation médicale se sont atténués en 2006 et la hausse n est plus que de 2,8 % pour la médecine non hospitalière et les services paramédicaux. Pour les autres biens et services, la hausse de 3,3 % en 2006 est nettement au-dessus du rythme de progression moyen sur la période (+ 2,4 %). La dépense en services d assurance-vie a fortement contribué à cette accélération. Alimentation et boissons non-alcoolisées Tableau 2 - Évolution de la consommation des ménages par fonction Variation du volume au prix de l année en % Moy Moy. Variation des prix par rapport à l année 2006 Valeurs 2006 en milliards d euros Coefficients budgétaires par rapport à la consommation effective des ménages en 2006 en % 1,1 1,4 0,6 1,8 0,3 1,8 136,0 10,5 Boissons alcoolisées et tabac -1,6-0,6 1,0 4,6 0,1 0,4 30,2 2,3 Articles d habillement et chaussures Logement, chauffage, éclairage 1,6 0,7 1,6 0,3 0,3 0,2 47,5 3,6 2,4 2,5 1,8 2,0 4,3 3,8 249,2 19,1 Équipement du logement 2,3 3,5 3,0 1,2 0,6 0,7 60,2 4,6 Santé 3,4 4,7 7,2 0,5 0,8 0,2 35,1 2,7 Transports 1,8 1,7 0,2 2,0 4,3 3,0 147,2 11,3 Communications 12,6 6,8 8,8-4,2-1,1-6,4 27,4 2,1 Loisirs et culture 5,8 5,4 6,2-1,2-2,0-1,6 93,9 7,2 Éducation 2,7 2,4 5,7 2,2 4,8 5,5 7,4 0,6 Hôtels - cafés - restaurants 2,0 1,7 2,5 2,3 2,4 2,3 63,4 4,9 Autres biens et services 2,4 2,3 3,3 0,4 0,6 5,3 114,6 8,8 Solde territorial 0,8-10,8 11,5 1,3 1,8 2,1-10,1-0,8 Dépense de consommation des ménages Dépenses de consommation des ISBLSM * Dépenses de consommation des APU * 2,5 2,6 2,4 1,2 1,8 2,1 1001,9 77,0 2,2 0,0 2,9 2,1 2,6 2,9 24,2 1,9 1,7 1,6 1,4 2,5 2,6 2,1 275,2 21,1 Consommation effective des ménages 2,3 2,4 2,2 1,5 2,0 2,1 1301,3 100,0 Source : comptes nationaux, Insee * Dépenses de consommation des institutions sans but lucratif au service des ménages et des administrations publiques en biens et services individualisables. 5

6 Analyse par durabilité En 2006, le très léger ralentissement de la consommation finale effective est principalement dû à celui des achats de biens durables (+ 5,8 % après + 8,4 %) (tableau 3). Malgré des TIC toujours très dynamiques (grâce, en particulier, aux téléviseurs), le recul de l automobile a fortement contribué à ce moindre dynamisme. Le léger ralentissement du rythme d évolution de la consommation dans les services repose surtout sur le logement. L accélération pour les services de télécommunications et dans une moindre mesure des hôtels et restaurants n a que partiellement compensé ces effets. Malgré le ralentissement des dépenses alimentaires en volume, les biens non-durables ont légèrement accéléré grâce, en particulier, à une demande un peu mieux orientée en produits pharmaceutiques et de la parfumerie. Les biens semi-durables évoluent au même rythme pour la troisième année consécutive (+ 2,5 %), le dynamisme relatif de la consommation d habillement ayant notamment compensé la faiblesse de la demande en pièces et équipements automobiles. Tableau 3 - Évolution de la consommation classée par durabilité 1 Variation du volume au prix de l année en % Moy Moy. Variation des prix par rapport à l année 2006 Coefficients budgétaires par rapport à la consommation effective des ménages en 2006 en % Biens durables importants 6,2 8,4 5,8-2,3-3,0-3,1 6,3 Biens semi-durables 2,6 2,5 2,5 0,6 0,7 1,2 9,7 Biens non durables 1,2 0,9 1,2 2,0 2,0 1,9 24,5 Services 2,3 2,3 2,1 1,9 2,7 3,0 59,5 Consommation finale effective 2,3 2,4 2,2 1,5 2,0 2,1 100,0 Source : comptes nationaux, Insee 1 La nomenclature par durabilité oppose les biens durables aux biens fongibles. Elle distingue les biens des services. Si l automobile est naturellement classée dans les biens durables importants, l habillement est considéré comme un bien semidurable et l énergie comme un bien non durable. 6

7 Analyse détaillée Sommaire Fiche 1 : La consommation alimentaire a décéléré en Fiche 2 : La consommation d habillement progresse à son rythme tendanciel Fiche 3 : Dépenses en logement, chauffage et éclairage : une croissance inférieure à celle de la dépense de consommation totale Fiche 4 : Équipement du logement : les appareils ménagers ont eu la vedette en Fiche 5 : Dépenses de santé : la part restant à la charge des ménages a progressé Fiche 6 : Transports : repli des achats de voitures neuves Fiche 7 : Communications : une consommation en pleine croissance Fiche 8 : Culture et loisirs : une croissance toujours dynamique Fiche 9 : Hôtels - cafés - restaurants : la reprise s est confirmée Fiche 10 : Autres biens et services et solde touristique

8 Fiche 1 : La consommation alimentaire 2 a décéléré en 2006 En 2006, la dépense en produits alimentaires (hors boissons alcoolisées et tabac) a décéléré avec une progression en volume de + 0,6 %, après + 1,4 % en, soit une évolution inférieure à l évolution moyenne sur (+ 1,1 %) 3. En revanche, celle des boissons alcoolisées et de tabac a augmenté de 1,0 % après quatre années de baisse consécutives (- 0,6 % en et - 9,5 % en 2004). Tableau 4 - Évolution de la dépense de consommation alimentaire des ménages Alimentation et boissons non-alcoolisées dont : Variation du volume au prix de l année en % Moy Moy. Variation des prix par rapport à l année 2006 Valeurs 2006 en milliards d euros Coefficients budgétaires par rapport à la dépense de consommation des ménages en 2006 en % 1,1 1,4 0,6 1,8 0,3 1,8 136,0 13,6 - Pains et céréales 0,9 1,2 1,6 1,9 0,2 0,7 18,6 1,9 - Viandes 0,3-0,1-0,2 2,1 1,3 2,0 36,0 3,6 - Poissons et crustacés 1,1 1,7 0,3 2,7 1,3 3,3 10,7 1,1 - Laits, fromages et œufs 1,3 2,3 1,7 1,3-1,4-0,1 18,8 1,9 - Huiles et graisses -0,4 0,2-1,2 1,8 0,1 5,0 3,4 0,3 - Fruits 1,6 1,9-0,5 2,1-1,1 2,4 9,5 0,9 - Légumes 1,0 0,8-0,7 1,5 2,6 4,8 13,6 1,4 - Sucre, confitures, miel, chocolat et confiserie - Sel, épices, sauces et produits alimentaires n.c.a. 1,7 2,7 1,0 1,8-1,4-0,2 9,9 1,0 2,2 3,4 2,3 2,3-0,3 0,2 5,0 0,5 - Café, thé et cacao 0,9 1,5 3,5-0,1 0,6 4,1 3,2 0,3 - Autres boissons non alcoolisées Boissons alcoolisées et tabac dont : 4,2 5,2 1,7 1,0-1,8 1,2 7,6 0,8-1,6-0,6 1,0 4,6 0,1 0,4 30,2 3,0 - Alcools 1,3 0,3 1,1 0,6-0,2 0,7 4,1 0,4 - Vins, cidres, champagnes 0,7-1,2 0,4 1,8-0,1 0,2 8,6 0,9 - Bières 0,1 0,4-0,5 1,5-1,2 1,3 1,6 0,2 - Tabac -3,9-0,6 1,5 7,9 0,5 0,4 15,8 1,6 Source : comptes nationaux, Insee 2 La fonction «alimentation» ne prend en compte que la consommation à domicile. Les repas et boissons pris dans les cafés, restaurants et cantines sont comptabilisés avec les services fournis par ces établissements. 3 Dans l ensemble du texte, les évolutions présentées sont en volume, aux prix de l année, sauf mention contraire. 8

9 Légère baisse de la consommation de viandes fraîches En 2006, la demande de viande a poursuivi son léger repli (- 0,2 % après - 0,1 % en ). La crise de l ESB semble effacée dans l esprit des consommateurs mais les craintes de l épidémie de grippe aviaire née à l automne et s intensifiant au début de l année 2006 ont fait chuter les achats de volailles au premier semestre. Les achats de viande de bœuf ont enregistré une baisse de 1,2% en volume, après une année de légère hausse. Ils ont souffert d un prix qui a augmenté pour la troisième année consécutive (+ 4,2 %). Les achats de viande de veau ont diminué bien qu au début de l année, ils aient profité d une substitution à la viande de volaille. Mais, dès le retour de la viande de volaille dans les assiettes, la consommation de viande de veau, plus onéreuse, a baissé. Le prix de la viande de mouton a aussi augmenté de façon soutenue (+ 3,1 %) et les achats ont accentué leur baisse démarrée depuis trois ans. La demande de porc a diminué de 2,4 % en volume ; les prix ont accentué leur hausse. Pourtant au premier semestre, le porc avait profité de la désaffection pour la viande de volaille. Enfin, la consommation de viande de volaille a diminué, comme au cours des quatre années s. La baisse a été amplifiée en 2006 : - 2,7 %. Les craintes de l épidémie de grippe aviaire née à l automne se sont poursuivies sur le premier semestre Dès la première quinzaine de février, la baisse a affecté toutes les volailles (poulets, dindes, canards et pintades). Puis dans la troisième semaine, pour la première fois, le virus H5N1 a été décelé en France sur une volaille entraînant la désaffection des consommateurs pour ce type de viande. Les poulets standard entiers ont été plus touchés que les poulets labellisés. Durant la première semaine de mars, un renforcement des campagnes de communication mandatées a permis d atténuer le repli de la consommation. A la fin de l année, les effets de la grippe aviaire sur le secteur de la volaille ont commencé à s estomper ; seule la pintade, achetée très occasionnellement est restée très affectée. Après avoir diminué en, les prix de la volaille ont retrouvé une évolution à la hausse modérée en 2006 (+ 1,3 %). Les achats de préparations et conserves de viandes ont augmenté de 2,3 %. La substitution entre ces produits et les viandes fraîches se poursuit donc 4. La modération de la hausse des prix à la consommation pour ces produits (+ 0,5 %) a contribué à ce dynamisme. Faible baisse des achats de poissons frais entiers mais hausse des précuits et à cuire (crevettes) L ensemble des achats de poissons et crustacés (y compris produits préparés) a progressé de 0,3 % en volume en 2006, après +1,7% en. La consommation de poissons frais a poursuivi sa baisse (- 0,1 % en volume) mais à un rythme moins soutenu qu en (- 1,5 %) année pendant laquelle la forte hausse des prix (+ 4,7 %) avait visiblement défavorisé les achats. Cette baisse s est notamment focalisée sur les poissons blancs. Deux nouvelles espèces, moins onéreuses, le panga et le tilapia, ont fait concurrence à la perche du Nil et au cabillaud sauvage. Depuis plusieurs années, la consommation de poissons frais a été pénalisée par la défiance provoquée par différents naufrages de pétroliers ou chimiquiers (Erika en 2000, Levoli sun en 2001, Prestige en 2002). La baisse a été nettement plus prononcée sur les poissons frais en morceaux (- 6,1 % après - 2,0 % en ). Depuis 1999, les ménages préfèrent ainsi se tourner vers les préparations et conserves de poissons (+ 0,4 % en 2006). La demande de poissons préemballés est restée dynamique. Les produits traiteurs et les produits de la saurisserie y ont contribué. Les produits traiteurs (surimi, salades de poissons, charcuterie de la mer) ont répondu à la demande de ménages, à la fois à la recherche de produits de la mer et d une alimentation légère et fraîche. Ils ont été plus dynamiques que les produits de la saurisserie ; la demande pour le saumon fumé et le surimi s est en effet stabilisé. Les poissons précuits et à cuire dont les crevettes, se sont bien développés tandis que les achats de fruits de mer précuits, de poissons séchés et salés et de soupes ont reculé. Le marché des pâtes alimentaires est resté dynamique 4 Voir Insee Première n 1208 de septembre 2008 : Le repas depuis 45 ans : moins de produits frais, plus de plats préparés 9

10 Au sein de la consommation en produits à base de céréales, celle de pâtes alimentaires, en hausse tendancielle (+ 1,2 % en volume sur la période ), a accéléré : + 4,2 % en 2006 après + 4,0 % en. Les pâtes fraîches des rayons «traiteur» en libre service dans les grandes surfaces, ainsi que l apparition de la spécialité des pâtes bio au blé complet et aromatisées, ont soutenu le secteur. Cependant, les pâtes aux œufs ont marqué une désaffection du consommateur. La demande de pâtisseries a augmenté Les contraintes de temps ont progressivement encouragé les comportements de grignotage ou «snacking». L évolution sur moyen terme de la demande de «produits de la pâtisserie» (sucrés ou salés) et des «biscuits, biscottes et pâtisseries de conservation» en témoigne : ils représentaient 5,9 % de la consommation alimentaire en valeur - hors boissons alcoolisées et tabac - en 1984, ils en représentent aujourd hui 6,6 %. En 2006, les hausses des volumes consommés pour chacun de ces produits ont atteint respectivement + 1,8 % et + 1,2 %. Moins de légumes frais et de fruits En 2006, la consommation pour l ensemble des légumes (y compris les conserves) a baissé de 0,7 % en volume et celle de l ensemble des fruits de 0,5 %. La consommation de légumes frais a diminué de 1,2 % après une baisse de 1,9 % en ; les prix ont décéléré mais l évolution reste soutenue : + 4,6 % après + 7,6 % en. La consommation de fruits frais a également baissé : - 0,9 % après une hausse de 1,9 % en. Les prix ont augmenté : + 2,7 % en 2006, après avoir baissé en (- 1,1 %). Les mauvaises conditions climatiques (le froid, la canicule du mois de juillet, la sécheresse puis la douceur automnale) sont les principaux facteurs de cette hausse. En 2006, parmi les fruits et les légumes, les consommateurs ont préféré les artichauts, les aubergines, les poivrons verts, les champignons de Paris, les choux, les salades et les tomates. La consommation des fruits d été et des agrumes et en particulier des prunes, des mandarines, des clémentines et des oranges a été dynamique, de même que celle des bananes et des ananas. La consommation de pommes de terre a diminué (- 3,7 % après + 1,5 % en ). La récolte a été affectée d abord par un printemps anormalement froid et humide puis par la sécheresse de juillet et par la pluie et le froid en août. Le prix à la consommation s est ainsi envolé de 17,8 % après une baisse de 4,0 % en. Les jus de fruits et de légumes sont de plus en plus appréciés depuis les années Leur consommation a augmenté de 2,8 % après une forte hausse de 11,7 % en. La croissance de la consommation de préparations et conserves de fruits, avec notamment les purées de fruits et les compotes ou desserts de fruits, a été plus forte (+ 3,8 %, après + 1,6 % en ). La consommation d aliments pour enfants et d aliments diététiques a augmenté de 2,5 % après + 3,1 % en. Un peu plus de boissons alcoolisées 5 La consommation de boissons alcoolisées a augmenté de 0,5 % après une baisse de 0,6 % en. En 2006, les achats de champagne et de mousseux ont augmenté de 2,7 % après avoir diminué de 5,2 % en ; leur prix de vente a augmenté de 1,7 %. Les achats par les ménages de vins de consommation courante et de vins de qualité ont baissé de 0,5 % en 2006 après + 0,4 % en. Le prix des vins de table a diminué de 0,2 % par rapport à l année et leur consommation a augmenté de 5,2 %. Les achats d eaux de vie, de liqueurs et apéritifs ont augmenté de 1,1 % en Seuls la vodka, les whiskies de qualité, les rhums (utilisés notamment en cocktail), les anisés et les liqueurs nouvelles ont été très demandés. Les ventes de bières ont diminué de 0,5 % en volume après avoir augmenté de 0,4 % en. La tendance à la baisse de la consommation de cidre a été 5 Voir Insee Première n 966 de mai 2004 : Boissons alcoolisées 40 ans de baisse de consommation 10

11 infirmée en 2006 : le cidre moins alcoolisé que le vin ou la bière a augmenté de 2,1 %, peut-être en raison du développement de la communication sur les labels de qualité offrant des produits innovants tels que des mélanges avec des alcools forts ou des nouveaux «design». Moindre progression pour les eaux de table La consommation des eaux et boissons rafraîchissantes a augmenté de 1,3 % en 2006 après + 3,3 % en. La demande d eaux gazeuses et de concentrés a été très dynamique tandis que celle d eaux plates natures et surtout aromatisées a dû faire face à la concurrence de l eau du robinet. Ces dernières années, une partie des consommateurs, sans doute sensibles aux informations sur la pollution des eaux, ont préféré les eaux minérales ou les eaux de source à l eau du robinet ; mais en 2006, cet attrait a semblé moins prononcé. Les boissons non alcoolisées offrent une grande diversité de goûts et de présentations mais sont restées dominées par les colas. Croissance moins prononcée pour les produits laitiers Si au total, la consommation en produits laitiers progresse de 1,8 % en 2006, celle de lait a légèrement diminué, de 0,7 %, après + 1,7 % en. Le prix a subi une légère hausse (+ 0,5 % après une baisse de 1,1 % en ). Le lait de chèvre et le lait de brebis ont progressé même si leur part est restée marginale. La demande de yaourts et desserts lactés frais a été un peu moins dynamique cette année. Elle n a augmenté que de 2,3 % en volume après + 4,6 % en, malgré une baisse des prix de 0,2 %. Bien que leur part de marché ait été encore faible, les pro biotiques tendent à se développer. Les yaourts à boire ont augmenté mais les yaourts standard ont diminué malgré les efforts de promotion fournis par les marques ; le marché des yaourts semble être arrivé à maturité. Les achats de fromages ont augmenté légèrement (+ 1,5 % en volume) ; leur prix est resté relativement stable, soit une évolution beaucoup moins rapide que celle de la période (+ 1,7 % en moyenne annuelle). Le marché des pâtes fraîches pressées non cuites a été dynamique. Celui des fromages au lait de chèvre est resté soutenu. Au contraire, le déclin du marché des fromages à pâtes molles s est poursuivi. Le marché des pâtes pressées cuites et des fromages frais a diminué. La consommation de beurre est restée morose depuis sa baisse structurelle entamée en Les ménages cuisinent moins et le beurre souffre d une image négative due aux campagnes d information sur la bonne alimentation. En 2006, la consommation de glaces et sorbets a légèrement décéléré (+ 3,3 % en volume après une hausse de 5,6 % en ). Les fortes chaleurs du mois de juillet ont participé à maintenir un rythme de hausse élevé malgré la chute des températures du mois d août qui a joué dans le sens inverse. Profitant des promotions, les produits individuels et la confiserie glacée ont été très dynamiques. Relative stabilisation du prix et rebond de la consommation de tabac Les achats de tabac en volume se sont retournés à la hausse en 2006 : + 1,5 % après - 0,6 % en. ÀA compter de la loi Évin (1991), les achats ont diminué chaque année jusqu à Après une retour à la croissance de 1998 à 2001, les achats en volume de tabac ont fortement chuté de près de 30 % de 2002 à, suite au forts relèvements des taxes sur ces produits. La hausse des prix a été de + 8,4 % en janvier 2003 et + 19,4 % sur le dernier trimestre de 2003 ; + 8 à + 10 % selon les marques en janvier En 2006 et pour la deuxième année consécutive, les prix ont progressé de façon contenue (+ 0,4 % après + 0,5 % en ). Au total, entre 1991 et, les prix ont été multipliés par 3,6 ; dans le même temps, les volumes achetés ont diminué de 38,7 %. Hors prise en compte des achats transfrontaliers et / ou d origine illicite, la consommation de cigarettes par adulte de plus de 15 ans était ainsi revenu en à son niveau du milieu des années 1950 (3 cigarettes par jour), après une forte hausse jusqu en 1991 (5,7 cigarettes par jour). Toutefois, une partie de la baisse entre 2002 et a reposé sur un report vers les pays transfrontaliers dans lesquels les prix sont moins élevés : les achats transfrontaliers supplémentaires par rapport à ceux de 2002 correspondraient à 2 % du nombre de cigarettes vendues en France en 11

12 2003 puis à 6 % des ventes de En 2006, ces achats supplémentaires, mesurés par comparaison entre achats de cigarettes dans les départements frontaliers et achats dans les départements non frontaliers, ont légèrement baissé après avoir atteint un point haut à 7 % en. Ainsi, le rebond de la consommation de cigarettes en 2006, provient en partie de la baisse des achats de cigarettes à l étranger, l évolution des achats de cigarettes dans les départements frontaliers étant supérieure à celle des départements non frontaliers. 6 Graphique 1 - Les dépenses alimentaires 160 Indices de volume base 100 en Boissons alcoolisées Boissons non alcoolisées Tabac Produits alimentaires Total alimentaire Voir Insee Première n 1110 de décembre 2006 : Consommation de tabac : la baisse s est accentuée depuis

13 Fiche 2 : La consommation d habillement progresse à son rythme tendanciel La hausse des dépenses d habillement 7 en 2006 (+ 1,6 % en volume) est supérieure à celle de (+ 0,7 %). La hausse en valeur étant inférieure à celle des dépenses totales, la diminution de la part de l habillement dans la consommation totale des ménages s est poursuivie : moins de 5 % de la consommation totale des ménages en 2006, cette part étant de plus de 10 % avant Tableau 5 - Évolution de la dépense de consommation des ménages en habillement Articles d habillement et chaussures dont : - Fournitures pour habillement Variation du volume au prix de l année en % Moy Moy. Variation des prix par rapport à l année 2006 Valeurs 2006 en milliards d euros Coefficients budgétaires par rapport à la dépense de consommation des ménages en 2006 en % 1,6 0,7 1,6 0,3 0,3 0,2 47,5 4,7-2,8-6,4-1,1 0,3 0,7 1,1 0,3 0,0 - Vêtements 1,7 0,6 0,8 0,1 0,0 0,1 32,4 3,2 - Autres articles et accessoires d habillement - Nettoyage, réparation et location de vêtements 3,4 2,9 3,2 0,4 1,3 0,4 5,0 0,5-1,2-2,7-1,4 1,7 2,1 2,3 1,1 0,1 - Chaussures y c. réparations 0,9 0,9 3,9 0,5 0,9 0,0 8,5 0,9 Source : comptes nationaux, Insee L achat de vêtements a faiblement progressé en volume (+ 0,8 %). Globalement la légère augmentation des dépenses en valeur (+ 0,9 %) résulte à la fois d une baisse des prix moyens et d une hausse des quantités achetées. Les baisses de prix moyens sont régulières depuis plusieurs années et amplifiées depuis par la fin des quotas d importation. Les achats d habillement féminin et masculin ont augmenté dans tous les secteurs en quantité, mais les prix moyens ont chuté en particulier dans la lingerie (- 6% pour les slips et culottes et - 3 % pour les soutien-gorge). Quant à la lingerie masculine, les achats sont en baisse depuis 2 ans. Le marché est marqué par l arrivée massive des produits asiatiques à bas prix et le succès des lots. 70 % de la clientèle aurait acheté des lots en Seul le caleçon moulant vendu par lots a continué de progresser. Les ventes en volume de vêtements masculins ont ralenti en 2006 (+ 0,2 % contre + 1,2 % en ). Les prix moyens ont subi une baisse sensible (- 4,4 %), essentiellement sous l effet de la part de plus en plus importante de produits de qualité inférieure. En ce qui concerne le «prêt à porter hommes», pour la 3 ème année consécutive, la consommation en valeur a progressé malgré la baisse des prix. Toutes les générations ont davantage acheté que les années s. Les plus jeunes ont privilégié les produits «mode» à durée de vie plus courte, tandis que pour les seniors, il s est apparemment produit un rattrapage suite à un niveau de consommation faible l année passée. Pour les petites pièces, les tee-shirts sont les articles les plus vendus et les jeans sont privilégiés aux survêtements. En raison de la coupe du monde de football, la vente de maillots de sport a nettement progressé. 7 Elles comprennent les vêtements, les accessoires et les chaussures (y compris le nettoyage, la réparation et la location). 13

14 Les achats de vêtements féminins ont été orientés à la hausse (+ 1,8 % en volume) dans le contexte d une forte baisse des prix moyens (- 4,1 %). Le «prêt à porter femmes» s est bien vendu, avec au total une progression en valeur malgré la baisse des prix. La reprise des ventes de manteaux s est poursuivie. Le retour des jupes et des robes portées avec des bottes a permis au marché du collant qui avait reculé depuis 10 ans de progresser à nouveau. Les petites pièces se sont, elles aussi, très bien vendues en quantité surtout les tee-shirts dont le prix moyen a reculé de 8 à 9 % et les hauts sans manche. L impact de la remise en place des quotas sur les approvisionnements a été spectaculaire pour certains produits. En 2006, pour l habillement, les prix des articles chinois importés ont affiché des hausses allant de 41 % pour les soutien-gorge à 137 % pour les robes. Ces prix se situent bien souvent à des niveaux supérieurs à ceux de 2004 (+ 27 % pour les pantalons, + 15 % pour les teeshirts, + 13 % pour les pulls). Les exportateurs chinois ont ainsi opéré une montée en gamme pour compenser les restrictions quantitatives, alors que pour les autres produits (hors quotas) les prix sont restés stables. Si la Chine a perdu des parts de marché dans les approvisionnements de l Union européenne, les autres concurrents asiatiques (Hongkong, Bangladesh et Pakistan) en ont profité sur les produits concernés. S agissant des vêtements pour enfants, le marché a été morose. La hausse des quantités n a pas suffi à maintenir la consommation en valeur. Comme pour les adultes, les manteaux ont concurrencé les parkas et doudounes, mais les blousons ont gardé un niveau de consommation élevé. Les ventes de robes et jupes ont progressé sans pour cela concurrencer réellement les jeans. Le marché de la layette a été soutenu par une natalité très dynamique. Les bodies ont continué de progresser, les barboteuses et les salopettes aussi. Le «dors-bien» a été incontournable, mais le jean a aussi fait son apparition chez les tout petits. Le marché de la chaussure a été plus dynamique en 2006 (+ 3,9 % en volume) qu en (+ 0,9 %). Les ventes de chaussures et particulièrement de chaussures de sport ont progressé en quantité (+ 2,6 %), mais ont baissé en valeur, ce qui est nouveau pour la chaussure de sport, moins touchée jusqu à maintenant par la baisse des prix. Les consommateurs qui privilégiaient les marques pour les articles de sport et plus particulièrement pour les chaussures se sont tournés vers les marques de distributeurs. 14

15 Fiche 3 : Dépenses en logement, chauffage et éclairage : une croissance inférieure à celle de la dépense de consommation totale La part des dépenses que les ménages consacrent au logement, au chauffage et à l éclairage a continué de progresser pour atteindre 24,9 % de leur budget en 2006, contre 24,6 % en et 24,0 % en L évolution des prix est à l origine de la progression de la part du poste en valeur en 2006 (+ 3,8 % contre + 2,1 % pour l ensemble de la dépense des ménages), alors que la croissance en volume (+ 1,8%) est inférieur à celle de la dépense de consommation totale. Compte tenu du poids de ce poste, ces dépenses ont contribué pour 0,5 point en volume à la croissance de la consommation des ménages en Tableau 6 - Évolution des dépenses de consommation des ménages liées au logement Logement, chauffage, éclairage dont : Variation du volume au prix de l année en % Moy Moy. Variation des prix par rapport à l année 2006 Valeurs 2006 en milliards d euros Coefficients budgétaires par rapport à la dépense de consommation des ménages en 2006 en % 2,4 2,5 1,8 2,0 4,3 3,8 249,2 24,9 - Loyers d habitation effectifs 2,9 4,5 2,4 1,5 3,6 3,4 42,7 4,3 - Loyers imputés 2,6 2,9 1,9 2,1 4,0 3,4 140,2 14,0 - Réparation et entretien courants de logements - Autres services liés au logement - Électricité, gaz et autres combustibles Source : comptes nationaux, Insee Hausse toujours soutenue du prix des loyers 1,1 0,9 3,8 2,0 3,5 3,7 13,1 1,3 1,9 1,6 2,2 2,9 4,0 4,0 15,2 1,5 1,9-0,2 0,0 1,4 6,7 6,2 37,9 3,8 En 2006, les dépenses de loyers ont augmenté de 2,1 % en volume, avec une hausse un peu plus forte pour les loyers effectifs (+ 2,4 %) que pour les loyers imputés (+ 1,9 %). Ce rythme est moins soutenu que pour les années s du fait d une révision à la baisse dans les comptes du logement qui sont la source du chiffrage des évolutions des loyers. Cette révision provient de l intégration de la dernière enquête logement disponible (2006) pour l estimation des effets-qualités, jusqu alors extrapolés depuis Le prix des loyers a, quant à lui, connu un léger ralentissement bien qu il ait conservé un rythme soutenu (+ 3,4 % après + 3,9 % en ). Le remplacement de l indice du coût de la construction par l indice de référence des loyers (IRL) au 1 er janvier 2006 a eu un effet modérateur pour les loyers concernés. De plus, les loyers non tenus à l indexation ont également ralenti, bien que de façon moins prononcée, notamment lors des relocations. En revanche, les loyers du secteur HLM ont légèrement accéléré. Chauffage et éclairage : stabilisation de la consommation En 2006, la consommation d'éclairage et de chauffage a stagné en volume après avoir diminué de 0,2 % en. Les aléas climatiques ont plutôt joué dans le sens d une modération de la consommation. L effet de la hausse du prix du pétrole, qui s est répercutée sur les prix du fioul domestique et du gaz, a également pu favoriser un comportement plus économe. Le réchauffement climatique constaté depuis les années 1990 trouve une nouvelle illustration en 2006 : la température moyenne y aura une nouvelle fois été plus chaude que la normale (moyenne 15

16 sur les 30 dernières années) de 1,1 C, l automne, en particulier, ayant été très doux. Il en est résulté une légère diminution en volume pour l ensemble des combustibles 8. Les consommations en gaz ont mieux résisté que le fioul et ont augmenté en volume (+ 1,6 % après - 2,1 % en ) malgré la hausse de son prix : + 14,2 % après + 6,8 % en. La hausse des prix des combustibles liquides (fioul notamment) a été très élevée en 2006 (+ 10,4 %), plus forte qu en moyenne sur la décennie passée (+ 7,0 % en moyenne). Ce renchérissement a sans doute contribué à la baisse du volume consommé (- 5,0 %). En revanche la consommation de bois a fortement progressé en 2006 ainsi que les achats d appareils de chauffage au bois (poêles, inserts et foyers fermés, chaudières à bois ), marquant un début d engouement pour les énergies renouvelables. Le chauffage urbain a progressé (+ 2,4 %). La consommation d électricité a augmenté de façon modérée (+ 1,1 %) après une croissance de 1,3 % en et une hausse de + 2,5 % en moyenne sur la période Dans un contexte climatique plutôt doux, la hausse de 2006 est essentiellement due aux consommations d électricité spécifiques aux appareils (télévisions ) et aux petits équipements électroménagers (fers à repasser ). L'électricité a concentré 47 % des dépenses totales de chauffage et d éclairage en Compte tenu d une hausse modérée de son prix, cette part a légèrement diminué pour la deuxième année consécutive. Les combustibles liquides et le gaz viennent ensuite avec des parts voisines de 23 %. Graphique 2 - les dépenses en logement, chauffage et éclairage 160 Indices de volume base 100 en Loyers d'habitations effectifs Loyers imputés Distribution d'eau Electricité Gaz Combustibles liquides Voir Insee Première n 1176 de février 2008 : Consommation d énergie : autant de dépenses en carburants qu en énergie domestique 16

17 Fiche 4 : Équipement du logement : les appareils ménagers ont eu la vedette en 2006 Les dépenses d équipement du logement 9 sont restées dynamiques en 2006 (+ 3,0 % en volume après + 3,5 % en ). Les achats de meubles ont progressé de 1,9 % tandis que les appareils ménagers ont augmenté à un rythme élevé (+ 5,6 %) ; le marché du bricolage et du jardinage a progressé à un rythme à peine inférieur à celui de (+ 3,4 % après + 3,9 %), Tableau 7 - Évolution de la consommation des ménages en équipement du logement Équipement du logement dont : - Meubles, articles d ameublement, tapis et réparations - Articles de ménage en textile Variation du volume au prix de l année en % Moy Moy. Variation des prix par rapport à l année 2006 Valeurs 2006 en milliards d euros Coefficients budgétaires par rapport à la dépense de consommation des ménages en 2006 en % 2,3 3,5 3,0 1,2 0,6 0,7 60,2 6,0 1,3 4,7 1,9 1,4 1,0 1,8 15,4 1,5 1,4 1,4 1,9 0,9-1,2 0,8 2,8 0,3 - Appareils ménagers 4,5 4,3 5,6-1,0-2,8-2,2 8,8 0,9 - Verrerie, vaisselle et ustensiles de ménage - Outillage et autres matériels pour la maison et le jardin - Articles de ménage non durables - Services domestiques et autres services Source : comptes nationaux, Insee 0,9 0,1 3,6 1,7 0,7 0,9 6,5 0,6 3,0 3,9 3,4 0,9 0,7 0,6 4,5 0,5 2,3 4,7 3,6 1,1-1,1 0,7 13,5 1,3 3,2 2,0 0,9 3,3 5,0 1,9 8,7 0,9 Les meubles progressent moins qu en mais les meubles de cuisine et la literie ont soutenu le marché La consommation des ménages en meubles qui avait progressé en de 4,7 % en volume ne s est accrue que de 1,9 % en 2006, alors que les prix ont augmenté de 1,8 % à qualité et à structure de consommation constante. Toutefois, le marché a été marqué par une baisse des prix moyens entraînée par les enseignes de grande distribution et par la transformation de la structure de la consommation des ménages en meubles. Les meubles meublants traditionnels (chambre à coucher avec lit, armoire, chevet et meubles de salon avec buffet) n ont plus la faveur des consommateurs qui préfèrent acheter des meubles séparés afin de personnaliser leur intérieur et qui privilégient les meubles d appoint dans le salon pour recevoir les appareils audiovisuels et informatiques. De plus, les consommateurs renouvellent peu leur mobilier, le marché s appuie donc sur les premiers achats des ans qui ont représenté 60 % de la consommation de meubles meublants en Ce poste regroupe les meubles (y compris articles d ameublement), les articles de ménage en textile, les appareils électroménagers, les ustensiles de ménage (y compris verrerie et vaisselle), les outils de bricolage pour la maison et le jardin et les biens et services pour l entretien courant de l habitation (services domestiques et articles de ménage non durables). 17

18 Le marché du meuble de cuisine a bénéficié de facteurs conjoncturels favorables et a augmenté de + 3,0 % en volume. L activité soutenue de la construction neuve est un des facteurs du développement de la cuisine intégrée, les acheteurs de logement équipant leur cuisine dès leur emménagement. Les nombreuses opérations de promotion et de communication auprès du grand public de la part des marques et des enseignes ont été bénéfiques au secteur. Les produits sont de plus en plus performants en intégrant les dernières technologies en matière d électroménager et de quincaillerie (système de portes, ouverture sécurisée et totale des tiroirs). Le marché de la literie a augmenté de 1,9 % en Il a été porté par les efforts de publicité des industriels et des distributeurs. L innovation technique n étant pas remarquée a priori par le consommateur (densité des matelas en polyuréthane, développement des matelas à mémoire de forme, introduction de matières nouvelles comme le bambou, la soie ), les opérations de communication télévisées ont permis d améliorer la lisibilité du marché et ont incité les consommateurs à renouveler matelas et sommier. La bonne santé du marché de l audiovisuel et particulièrement celui des téléviseurs (cf. fiche 8) permet au marché du siège rembourré de se maintenir, les ménages qui remplacent leur équipement TV renouvelant souvent leurs fauteuils et canapés. Le marché du meuble de jardin a peu progressé (+ 0,4 %). La tendance pour les acheteurs à privilégier les meubles polyvalents «dedans-dehors» s est confirmée. L offre est montée en gamme, le design et les matières ont gagné en noblesse. Le marché du bricolage et du jardinage s est redressé en 2006 Après + 3,9 % en (en volume), le marché du bricolage et du jardinage a légèrement ralenti en 2006 (+ 3,4 %). Cette évolution résulte plus de l augmentation des quantités vendues que de l effet qualité, ce dernier ayant plutôt été orienté à la baisse en raison de la préférence des ménages pour les produits de gammes inférieures. Le marché du jardinage a d une part été porté par la bonne tenue de l immobilier (neuf ou ancien). Les Français se sont d autre part équipés en petit et gros matériel pour le jardin. Les ventes de motoculteurs, tondeuses, taille-haies de marques sont confrontées à la poussée de produits d entrée de gamme de marques de distributeurs (MDD). Pour le marché de la tondeuse par exemple, il n est pas rare que certains appareils de MDD soient équipés de moteurs de grandes marques nationales, ce qui rend d autant plus attractifs ces produits à moindre coût. Comme pour le jardin, la bonne tenue du marché de l immobilier et le goût des Français pour la décoration (ils sont 82 % à réaliser des travaux pour l aménagement de leur maison) a contribué à la bonne santé du marché du bricolage. En 2006, la croissance du marché des appareils ménagers a été dopée par les achats d appareils encastrables La consommation des ménages en appareils ménagers qui avait déjà progressé de 4,3 % en a augmenté sur un rythme encore plus rapide en 2006 (+ 5,6 %) alors que les prix ont nettement baissé (- 2,2 %). Tous les produits ont été concernés mais le marché des appareils encastrables a été particulièrement porteur. Le fort équipement des ménages en cuisines intégrées a fait évoluer favorablement ce marché. Cette évolution a joué également à la hausse sur l effet qualité pour l ensemble des appareils ménagers car le prix moyen des appareils encastrables est plus élevé que celui des autres appareils. Pour le réfrigérateur et le congélateur, le marché, malgré un taux d équipement des ménages de 99 % en réfrigérateurs, a progressé de 7,3 % en volume. Les acheteurs ont été convaincus par les arguments des professionnels de se rééquiper avant la fin de vie de l appareil existant pour faire des économies d énergie, pour l esthétique ou pour passer à un réfrigérateur de type américain. Le congélateur a progressé d une manière moins importante bien que le taux d équipement des ménages ne soit pas encore équivalent à celui des réfrigérateurs (84 %). La croissance a été soutenue en quantité et en volume surtout pour les congélateurs «armoire». 18

19 Les lave-linge et sèche-linge ont encore connu une forte croissance (+ 7,0 %). Les appareils avec ouverture frontale ont dominé. Les prix moyens des lave-linge n ont pas augmenté par rapport à. Les sèche-linge ont poursuivi leur croissance et le taux d équipement des ménages a continué sa progression. Les acheteurs ont privilégié les appareils de plus grande capacité. Le marché des appareils de cuisson électrique et des lave-vaisselle a suivi les performances des meubles de cuisine. La vente des fours à encastrer, des tables de cuisson en vitrocéramique et induction, des hottes ont progressé en quantité. Le marché du lave-vaisselle a progressé de 7,4 % en volume, le taux d équipement des ménages n étant encore que de 50 % en Les ventes des cuisinières traditionnelles ont baissé, pâtissant de l engouement pour l encastrable. La cuisinière mixte a résisté en quantité mais les prix ont diminué. Le marché du petit électroménager a progressé pratiquement pour tous les produits. Les ventes d aspirateurs ont été dynamisées par l innovation du traineau sans sac. Pour le repassage, les ventes de centrales vapeur ont fait régresser le marché du fer traditionnel. Parmi les petits appareils de la cuisine, la machine à pain a fait une percée remarquée ainsi que les filtres à eau au détriment des mini- fours, des friteuses et du «fun cooking». Les services domestiques et autres services liés à l équipement du logement ont augmenté modérément en 2006 (+ 0,9 % après + 2,0 % en ). Le plan pour le développement des services à la personne mis en place au cours de l année 2006 n a pas eu d effets immédiats sur la dépense des ménages. Graphique 3 - les dépenses d équipement du logement Indices de volume base 100 en Meubles, art. d'ameublement, tapis et autres Articles de ménage en textile Appareils ménagers Outillage et autres matériels pour la maison et le jardin Services domestiques et autres services

20 Fiche 5 : Dépenses de santé : la part restant à la charge des ménages a progressé En 2006, la consommation effective des ménages en biens et services de santé 10, qui comprend l ensemble des dépenses y compris remboursements, a atteint 157,1 milliards d euros. L évolution en valeur est identique à celle de : + 4,4 %. Cette stabilité du rythme d évolution recouvre une accélération en volume (+ 3,4 % après + 3,0 %) et une décélération des prix (+ 1,0 % après + 1,3 %). La dépense à la charge des seuls ménages a atteint 35,1 milliards d euros soit 22,4 % de la consommation effective. Cette part remonte depuis 2004 (21,2 %) alors qu elle n avait cessé de baisser depuis 1996 où elle atteignait 22,8 %. En 2006, c est l évolution en volume qui a tiré cette part vers le haut (+ 7,2 % après + 4,7 % en ), sur un rythme nettement plus rapide que sur la décennie passée (+ 3,4 % en moyenne entre 1996 et ). Selon les résultats présentés à la Commission des comptes de la sécurité sociale (CCSS) de septembre 2007, les dépenses de santé du champ de l Objectif National de Dépenses d Assurance Maladie (ONDAM) 11 ont augmenté en valeur de 3,1 % en 2006 après + 4,0 % en. Le ralentissement est notable pour les soins de ville, avec une hausse de 2,6 % après + 3,1 % en. Les dépenses des ménages en soins de ville hors médicaments ont contribué à la décélération En 2006, les remboursements d honoraires médicaux ont progressé de 2,9 %, davantage qu en (+ 1,3 %). L année avait été marquée par la mise en place de la participation forfaitaire de 1 euro du patient par consultation médicale. Cette mesure a encore eu un effet modérateur en De plus, l épidémie de grippe a été de faible ampleur en 2006 comparée à celle de. En revanche les remboursements d honoraires paramédicaux ont évolué de manière soutenue avec + 7,3 % pour les soins infirmiers (après + 6,0 % en ), + 6,4 % pour les masseurskinésithérapeutes (après + 4,0 %) et + 2,8 % pour les actes de biologie après + 1,0 % en. Pour les honoraires des médecins et les actes de biologie, les dépenses à la charge des ménages ont en revanche connu un ralentissement, après le pic de engendré par la participation forfaitaire : + 7,4 % après + 9,8 % en en valeur pour les premiers et + 3,6 % après + 13,3 % pour les seconds. Ralentissement des remboursements et forte progression des dépenses des ménages pour les médicaments En 2006, la consommation effective de médicaments a globalement ralenti en valeur (+ 3,9 % après + 4,2 % en ) dans le contexte d une évolution des prix nettement à la baisse (- 3,7 %). L évolution de la part remboursée s est nettement modérée (+ 1,9 % après + 4,4 %) tandis que celle de la part qui reste à la charge des ménages a fortement progressé (+ 8,6 % après + 3,7 %). Ces résultat ont été obtenus grâce au plan médicaments visant à accélérer la diffusion des médicaments génériques, certaines baisses de prix ciblées et la fin de la prise en charge de certains médicaments à service médical rendu insuffisant. Toutefois, il existe une tendance au dynamisme des médicaments onéreux qui a contribué au socle de la croissance de la consommation. Ralentissement des dépenses en services hospitaliers Les dépenses en services hospitaliers ont ralenti tant pour les cliniques privées que pour l hospitalisation publique. En valeur, la consommation effective des services des cliniques privées a ralenti à + 3,5 %, après avoir progressé de 6,5 % en. Pour les hôpitaux publics, la hausse a été 10 Les dépenses de santé regroupent les produits pharmaceutiques, les appareils et matériels thérapeutiques, les soins des praticiens de ville et les services hospitaliers. Le poste santé de la dépense individuelle des administrations publiques regroupe les remboursements de la Sécurité sociale et la dotation globale hospitalière. 11 Les dépenses du champ de l ONDAM diffèrent de celles de la comptabilité nationale. Notamment, ces dernières excluent le secteur médico-social et couvrent l ensemble des dépenses (celles de la Sécurité sociale, mais aussi de l État, des collectivités locales, des régimes complémentaires et des ménages eux-mêmes). 20

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