AIDE A LA DECISION POUR LA PLANIFICATION DES APPROVISIONNEMENTS

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "AIDE A LA DECISION POUR LA PLANIFICATION DES APPROVISIONNEMENTS"

Transcription

1 AIDE A LA DECISION POUR LA PLANIFICATION DES APPROVISIONNEMENTS FRANÇOIS GALASSO 1,2, COLETTE MERCÉ 1,3, BERNARD GRABOT 2 1 LAAS-CNRS 7, Avenue du Colonel Roche, Toulouse, France 2 LGP-ENIT 47, Avenue d Azereix, BP 1629, Tarbes CEDEX 3 Insiu Naional des Sciences Aliquées de Toulouse 135, Avenue de Rangueil, Toulouse Cedex 4, France fgalasso@laas.fr, merce@laas.fr, bernard.grabo@eni.fr Résumé Le conexe indusriel acuel imlique, our les enrerises, de grandes caaciés d adaaion à un marché de lus en lus concurreniel our saisfaire une demande clien ersonnalisée. Un des objecifs majeurs de nore aroche es de fournir aux décideurs des ouils ermean d améliorer leur lanificaion en éudian des ooruniés d inégrer de la soulesse au niveau des conraines emorelles lian l enrerise e ses fournisseurs. Nous nous inéressons lus ariculièremen à la rise en come du besoin d aniciaion d une décision e aux horizons emorels sur lesquels différens yes de demandes d arovisionnemen euven êre définis. Ce aier résene un cadre de lanificaion dynamique, basé sur un modèle de rogrammaion linéaire en nombres eniers, qui erme d analyser l imac sur les coûs, de l inroducion d un horizon d arovisionnemen flexible. Nous monrons ici que cee aroche eu dégager des gains en favorisan la réacivié e en limian le volume moyen des socks de comosans. Ainsi, nore aroche eu consiuer le oin d aui d un dialogue enre une enrerise e ses fournisseurs visan à dégager des gains évenuellemen aragés. Mos clés Aide à la décision, demande inceraine, chaîne logisique, rogrammaion linéaire en variables mixes, horizons emorels I. INTRODUCTION Le dynamisme e la concurrence des marchés acuels consiuen un enjeu majeur de la gesion indusrielle. Les enrerises son en consane recherche de ossibiliés d amélioraions e de ension de leurs flux maériels our réduire leurs coûs de roducion. Dans un conexe de chaîne logisique, idenifier des sources de rogrès déasse le cadre de la lanificaion inerne des ressources our inclure la recherche d une meilleure collaboraion enre les donneurs d ordres e leurs fournisseurs. La roblémaique que nous abordons dans ce aricle ore sur une meilleure gesion des arovisionnemens au ravers d un ouil d aide à la décision facilian le dialogue enre un donneur d ordre e ses fournisseurs. Les ouils acuels, (APS, SCM, e- markelaces ) ainsi que les méhodes collaboraives comme le VMI ou le CPFR offren des cadres de ravail avec une bonne visibilié sur l éa de la chaîne. Ils ne son as oujours oreurs de modèles mean en évidence les voies d amélioraions ossibles de la lanificaion. Nous roosons dans ce aricle un modèle ermean de lanifier la roducion, les ajusemens de caacié e les arovisionnemens d une enrerise en relaion avec ses cliens e ses fournisseurs. Pour faire face à une demande inceraine, le modèle rend en come les oenialiés de réacivié de l enrerise, de ses sous-raians e de ses fournisseurs sous la forme de délais d aniciaion des décisions e associe des coûs à ces oenialiés. Ce modèle es inégré dans un rocessus de lanificaion dynamique qui assure la cohérence e la sabilié des décisions issues des lanificaions successives. Les relaions enre l enrerise e ses fournisseurs son lus ariculièremen éudiées à ravers la flexibilié auorisée our les arovisionnemens. Des simulaions son effecuées our évaluer l influence des différens aramérages de ces relaions sur les coûs des lans. Nous résenons, ou d abord, une éude bibliograhique osiionnan le conexe de l éude. Puis, nous roosons la modélisaion du rocessus de lanificaion dynamique généran les décisions our la lanificaion de la roducion, de la sous-raiance e des arovisionnemens. Ensuie, nous monrons commen les relaions enre une enrerise e un fournisseur euven êre améliorées ar l inroducion d un horizon flexible. Enfin, nous déveloons une alicaion de cee aroche dans un exemle. II. ETUDE BIBLIOGRAPHIQUE La gesion de la chaîne logisique consiue un domaine d éude qui a rès foremen suscié l inérê des chercheurs cee dernière décennie. Dans le rolongemen des ravaux liés à la gesion de roducion, des hémaiques on émergé e on ouver la voie à des oins de vues recensés dans des éas de l ar récens comme les ravaux de Beamon [1] sur les méhodes e modèles our l analyse des chaînes logisiques. Les ravaux de Croom e al. [2] classifien des axes de recherches sur la chaîne logisique en foncion de la srucure de la chaîne considérée e des échanges enre ses aceurs. Chen e al. [3] roosen une vision cherchan à assembler les différens chams éudiés de manière soradique e oinen l imorance de l éude de la relaion dyadique comme base des chaînes logisiques. Dans Tan [4] la bibliograhie es décomosée sous deux angles : arovisionnemens e disribuion. Enfin, les ravaux de SCMIP [5] s auien sur des éas de l ar récens our éablir une grille de classificaion

2 des axes de recherches associés à la chaîne logisique. Ces ravaux meen en avan des hémaiques diverses recouvran les différens niveaux décisionnels, sraégiques, aciques e oéraionnels. Dans ce large domaine d éude un oin qui a airé nore aenion es celui de la relaion qui lie une enrerise e ses fournisseurs. Plus ariculièremen, nous nous inéressons ici aux méhodes d aide à la décision qui ermeen à ces aceurs de la chaîne logisique d améliorer leurs relaions. Il s agi de rendre en come les caracérisiques rores des aceurs (délais de fabricaion, caaciés, coûs ) e de rooser des modèles e ouils susceibles d indiquer des voies d amélioraions. Ainsi, nous nous siuons dans le conexe des ravaux de Desonin [6] ou de Telle [7] qui roosen des ouils de modélisaion e d aide à la décision uilisés conjoinemen ar un donneur d ordre e un fournisseur comme suor à la négociaion. Pour inroduire de la soulesse dans les relaions d une enrerise e d un fournisseur, Telle [7] inrodui la noion d horizon flexible sur lequel on eu admere des décalages emorels des arovisionnemens. Ce ye d horizon flexible es reris dans nore éude mais es associé à des variaions sur les quaniés arovisionnées. La voloné de faire évoluer nore modèle dynamiquemen ose des roblèmes our la cohérence des décisions, d un as de lanificaion à l aure, dans un conexe d horizon glissan. Zhao e al., [8] monren l imac que eu avoir l horizon gelé sur les sysèmes MRP selon que la demande ossède une variabilié lus ou moins élevée. Dans cee oique, nous avons récédemmen déveloé un modèle ermean d éudier l imac des longueurs d horizons gelés sur les coûs résulan de lanificaions successives d une chaîne logisique [9]. En ce qui concerne la modélisaion e la rise en come des révisions, il n es as rare de rouver, dans les raiques indusrielles, une srucuraion de la demande clien en foncion de la ceriude qu on lui accorde [10]. Ainsi, on disingue rois yes d horizons : l horizon ferme, à cour erme, sur lequel le clien s engage à ne as modifier cee demande. Un horizon flexible, à moyen erme, sur lequel l enrerise va s engager à saisfaire la demande en oléran un écar négocié ar raor aux valeurs de la demande récisée à la lanificaion récédene e enfin, un horizon révisionnel dans lequel aucun engagemen n es ris, ni au niveau de l enrerise, ni au niveau du clien. Nous éudions ici la consrucion d un horizon flexible en nous osiionnan au niveau d une enrerise désireuse d obenir lus de réacivié de la ar de ses fournisseurs. Un cadre de modélisaion sera déveloé dans le bu de enir come de ce horizon dans le rocessus de lanificaion e d en évaluer l imac sur le réseau d arovisionnemen. III. MODELISATION DU PROCESSUS DE PLANIFICATION caaciés de fabricaion en inerne comme en exerne. Le rocessus de lanificaion es dynamique, à horizon glissan de manière à rendre en come les demandes clien au fur e à mesure de leur disonibilié. B. Modèle de lanificaion Dans cee arie, nous résenons le modèle de lanificaion mulirodui, mulieriode à caacié finie que nous uilisons à chaque éae de lanificaion. Les roduis finis son indexés ar, les comosans ar c e les fournisseurs ar s. Nous considérons un de Planificaion HP de T ériodes qui à chaque as de lanificaion, couvre les ériodes τ à τt-1. τ es la ériode de référence du as de lanificaion e es un mulile de la ériodicié de lanificaion PP. La demande clien es suosée connue sur l horizon de lanificaion e es mise à jour à chaque as de lanificaion. Le modèle inègre les délais d obenion des roduis finis ar la roducion inerne de l enrerise (délai noé LP) e ar la sous-raiance (délai noé LS). Pour conserver un caracère réalise, nous assumons que l horizon de lanificaion es lus long que ces délais d obenion. Les décisions d ajusemens de caacié son modélisées ar l uilisaion d heures sulémenaires e ar des variables de décisions binaires symbolisan des acions elles que le assage de l aelier en deux-hui ou rois-hui. Nous inroduisons les variables de décision suivanes : X, : roducion inerne de roduis à la ériode. ST, : roducion sous-raiée à la ériode. HS : heures sulémenaires uilisées à la ériode. B a, : (variables binaires) = 1 si l acion a our modifier la caacié es acivée en ériode, 0 sinon. I, ; I -, : niveaux de socks e d arriérés à la fin de la ériode our le rodui fini. J c, : sock de comosans à la fin de la ériode. A s,c, : quanié de comosan c commandé au fournisseur s our une livraison en ériode. Le modèle es basé sur les données suivanes : CN : caacié nominale disonible à chaque ériode. {a} : ensemble d acions ouvan êre acivées our ajuser la caacié de l enrerise (i.e. 2 ou 3-hui). D, : demande globale du rodui fini en ériode rovenan de l ensemble des cliens. R : ems uniaire de roducion du rodui. α,c : coefficien de nomenclaure lian le rodui e le comosan c. Le modèle de lanificaion es défini ci-dessous : A. Définiion du conexe Le cadre de modélisaion que nous avons défini es basé sur une éude de errain qui es venue comlémener e auyer les éas de l ar que nous avons évoqués. Nous meons l accen ici sur des relaions caracérisiques enre aceurs de la chaîne logisique qui assumen des rôles ariculiers. Nous considérons lus récisémen les relaions enrerise / fournisseurs, enrerise / sous-raiance e enrerise / clien. Nous adoons le oin de vue d une enrerise qui a à saisfaire la demande clien e eu, our ce faire, agir sur un cerain nombre de leviers décisionnels visan à ajuser ses min h T = I s, ST hcc Jc, c, oa 1 s, c s, c, a, c s a sous les conraines : f A b I, u X, B ehs I, I, = I, 1 I, 1 X, LP ST, LS D, X, CN ( B a, SC a ) a R HS (2) (1) (3)

3 J c, = J c, 1 α, c ( X, ST, ) As, c, s α, c ( X, ST, ) J c, 1 HS HSMax La foncion objecif (1) erme de minimiser le coû du lan à chaque as de lanificaion. h, hc c, b, u, s, f s,c, o a, e, son les coûs uniaires associés aux décisions corresondanes. L équaion (2) relie les quaniés de roducion (sous-raiée ou non) e les niveaux de socks e d arriérés. On eu noer que les délais d obenion que nous inégrons ici raduisen la mise à disosiion en ériode des roduis lancés en ériode -LP e -LS. Le volume de roducion disonible à chaque ériode es limié ar les caaciés régies ar la conraine (3). Une caacié nominale CN es disonible à chaque ériode à laquelle eu s ajouer un volume d heures sulémenaires HS e une surcaacié SC a inroduie ar le biais des acions définies dans {a} ouvan êre acivées ar la variable de décision B a,. Cee équaion monre un arage des ressources enre les différens roduis. L équaion (4) erme de calculer les socks de comosans en foncion des arovisionnemens A s,c,, de la consommaion des comosans liée à la roducion inerne ou sous-raiée e des coefficiens de nomenclaure α,c. La conraine (5) erme d assurer la cohérence enre le besoin e les socks de comosans. Les heures sulémenaires son limiées ar (6) à une valeur maximale HSMax. Toues ces conraines son définies our chaque ériode de l horizon de lanificaion. Les équaions (1) à (6) son définies our ous les roduis finis e les comosans c. C. Cohérence des décisions dans un rocessus de lanificaion dynamique De manière classique en lanificaion, les décisions son rises en débu d horizon (en ériode de référence τ) e visen la saisfacion de la demande clien sur l horizon de lanificaion, elle qu elle es connue au momen de la lanificaion. Ainsi, le modèle récéden erme de donner au manager une vision des meilleurs choix qu il eu effecuer à l insan τ. Dans ce conexe, les variables du modèle récéden devraien comorer τ en exosan (X τ,, ST τ,, ec.) our exlicier la dae de rise de décision. Pour favoriser la lisibilié du modèle, cee noaion es omise ici. Dans un conexe de lanificaion dynamique, le manager doi rendre en come les décisions rises lors des lanificaions récédenes our réagir aux modificaions des données déjà rises en come. Pour cela, un Gelé («Frozen» : FH k ) sur lequel les décisions rises lors de la lanificaion récédene ne euven êre modifiées, es inégré dans nore modèle. Ce Gelé es lié au besoin d aniciaion des décisions e radui la difficulé à aorer, en raique, des modificaions à des décisions ro roches de la ériode de référence τ. En effe, chaque inerlocueur dans la chaîne logisique a besoin d organiser ses rores arovisionnemens e sa roducion, ce qui imlique qu il connaisse sa demande suffisammen à l avance. Donc, si un sous-raian requier rois ériodes our organiser sa roducion, il faudra osiionner un horizon gelé de rois ériodes duran lesquelles les quaniés qu on lui demande de fabriquer son celles qui lui on éé ransmises lors de la lanificaion récédene. Les conraines (7), formalisées our une décision générique K qui symbolise oues les décisions résenées au aragrahe III.B, son inégrées dans (4) (5) (6) le modèle our rerésener ce hénomène de gel sur le soushorizon FH k associé à la décision K. K τ = K τ PP, τ τ FH 1 Il fau noer que l horizon gelé, el que nous l enendons, eu êre adaé à chaque ye de décision au lieu d êre une valeur unique our le rocessus de re-lanificaion comme l on eu rouver au niveau acique d un rocessus MRP. Une illusraion de ce mécanisme es donnée ar la figure 1. 1 er as de lanificaion : τ=1, HP = {1..6} 1 er de Planificaion : T = 6 ériodes 1 er Gelé Figure 1. Planificaion dynamique our T=6, PP=2 e HG=3 Les ériodes de reor des décisions d un as de lanificaion à un aure corresonden à celles de l horizon gelé. Ainsi, dans ce exemle, les décisions des rois remières ériodes (3, 4 e 5) son celles de la lanificaion récédene reorées au deuxième as de lanificaion andis que our les rois ériodes suivanes (6, 7 e 8) les décisions son libres. Ce horizon gelé consiue une conraine car il limie la caacié de réacion, mais, il a un effe sabilisan dans la chaîne qui limie l effe Bullwhi. IV. AMELIORATION DES RELATIONS FOURNISSEURS Dans le schéma récéden, arès chaque lanificaion, l enrerise ransme à ses fournisseurs ses lans d arovisionnemen sous 2 formes : 1. Sur l horizon gelé, corresondan au délai d aniciaion imosé ar le fournisseur, les quaniés arovisionnées son fermes e ne ourron êre remises en cause lors des lanificaions suivanes 2. Sur l horizon libre, les quaniés son simlemen indicaives e révisionnelles. Elles euven êre oalemen modifiées ar l enrerise. Ce foncionnemen condui les fournisseurs à définir our leurs enrerises clienes des délais d aniciaion longs, de sore à ouvoir organiser de manière fiable leur rore roducion e arovisionnemens. Il s ensui des horizons gelés associés aux arovisionnemens longs. Cela rédui la réacivié globale de l enrerise face à la variabilié de sa rore demande. A. Inroducion d un horizon flexible our le fournisseur Pour améliorer sa réacivié, il eu êre imoran, our une enrerise, de négocier avec ses fournisseurs une réducion des délais d aniciaion conre l assurance d un chiffre d affaire lus imoran. Une aroche assez courammen uilisée consise à décomoser l horizon d arovisionnemen en 3 sous-horizons : l Ferme Fournisseur (HFF) es celui K Décisionnel libre Décisions 6 PP Reorées 2 ème Gelé Décisionnel libre 2 ème as de lanificaion : τ=3, HP = {3..8} ème de Planificaion : T = 6 ériodes (7)

4 sur lequel l enrerise fourni des demandes d arovisionnemen qu elle s engage à ne as modifier. Come enu de la variabilié de sa rore demande en roduis finis, il es difficile qu une enrerise accee de définir des arovisionnemens fermes sur un horizon suffisammen long our saisfaire comlèemen le besoin d aniciaion de ses fournisseurs. Un comromis enre l enrerise e ses fournisseurs eu êre rouvé en uilisan un horizon flexible d arovisionnemen. Ainsi, les enrerises euven recourir au second horizon qui es l Flexible Fournisseur (HFFlx). Sur ce horizon, l enrerise défini un inervalle de valeurs our sa demande en comosans e s engage à ce que la demande réelle s inscrive dans ce inervalle. Le fournisseur, de son côé, s engage à saisfaire oue demande d arovisionnemen aarenan à ce inervalle. La largeur de l inervalle es négociée enre l enrerise e son fournisseur. Enfin, à lus long erme, une endance de ce que seron les demandes d arovisionnemen es donnée sur l Prévisionnel. Sur ce horizon, les quaniés demandées son uremen indicaives e ni l enrerise, ni le fournisseur ne son engagés. La figure 2 cidessous monre la décomosiion de l horizon des demandes d arovisionnemen el qu il es inégré dans le modèle. des demandes d aro. Ferme Flexible Prévisionnel de Planificaion : T = 8 ériodes Figure 2. d arovisionnemen B. Prise en come dans le modèle de lanificaion Sur l horizon flexible fournisseur, les demandes d arovisionnemen ne varien, d une lanificaion à l aure, qu enre deux bornes. Elles son définies ar un écar E exrimé en ourcenage des demandes d arovisionnemen éablies à l éae de lanificaion récédene. Les conraines 8 e 9 définies our chaque fournisseur s, comosan c e ériode dans l horizon flexible son inroduies dans le modèle. τ A PP τ PP s c E As c A τ,,,, s, c, E (8) τ PP E = Pe A s (9), c, s, c, τ HFF τ HFFlx 1 La conraine 8 indique que, sur l horizon flexible, les arovisionnemens décidés en ériode τ doiven reser dans l inervalle défini ar la valeur récédene (décidée en τ-pp) lus ou moins E. L équaion 9 indique que l écar E es un ourcenage de l arovisionnemen révu à la lanificaion récédene. Les conraines 8 e 9 s aliquen dans les ériodes de l horizon flexible seulemen. En jouan sur le ourcenage E, la caacié d adaaion des fournisseurs es inégrée à la modélisaion our générer des lans cohérens avec leurs ossibiliés. Ainsi, l inroducion de l horizon flexible assure à la fois une sabilié des décisions d un as de lanificaion à l aure ainsi que la ossibilié de réercuer la variabilié imosée ar le clien final. Le schéma dynamique du gel des décisions ransmises au niveau des fournisseurs es comléé ar l inroducion de ces horizons flexibles comme résené en figure 3 : S 1 er as de lanificaion : τ=1, HP = {1..6} 2 ème as de lanificaion : τ=3, HP = {3..8} 1 er de Planificaion : T = 8 ériodes 1 er Gelé de de Décision Flexible Décision Libre de de PP Gelé Décision Flexible Décision Libre Décisions Reorées Figure 3. Décomosiion de l horizon des arovisionnemens Il es à noer que our les décisions aures que l arovisionnemen, le schéma résené en figure 1 e formalisé ar l équaion 7, es oujours alicable. C. Évaluaion des gains induis ar l inroducion d un horizon flexible Dans ce conexe difficile our la lanificaion, il aaraî imoran de monrer l inérê que eu avoir l inroducion de soulesse au niveau des décisions ransmises aux fournisseurs. Les gains aendus our l enrerise ar l inroducion d un horizon d arovisionnemen flexible son : 1- d aorer de la réacivié dans la lanificaion e donc d ajuser les arovisionnemens au lus rès des besoins issus de la demande clien ; 2-. de diminuer les coûs d achas en rivilégian des fournisseurs ossédan un ouil de roducion aux coûs de foncionnemen faibles. Néanmoins, ces fournisseurs ossèden en général des ouils eu flexibles s adaan moins bien aux changemens de roducion. Ils nécessien des délais d aniciaion lus imorans. Côé fournisseur, le gain de réacivié erme de ouvoir saisfaire des variaions lus imoranes des demandes d arovisionnemen. L enrerise eu ainsi s auyer sur ce levier décisionnel luô que d aller chercher de la réacivié chez un fournisseur lus réacif mais lus cher. Cela se radui au niveau du fournisseur ar une augmenaion de son chiffre d affaires. Les gains réalisés ar l enrerise, au rix de l effor du fournisseur our améliorer sa réacivié euven êre aragés enre ces deux aceurs de la chaîne. Pour monrer l inérê de nore éude, nous avons mis en œuvre nore aroche ; le modèle de lanificaion es résolu en uilisan la suie d oimisaion Xress-MP sur l exemle résené ci-dessous. V. EXEMPLE Décisions reorées à variaions resreines ème de Planificaion : T = 8 ériodes A. Conexe de l éude L objecif de ce exemle es de monrer commen nore aroche fourni un suor aux managers dans le cadre de discussions avec leurs fournisseurs our arvenir à une amélioraion des condiions de lanificaion. L exemle raié ici es volonairemen simle our ermere une meilleure visualisaion e inerréaion des résulas. Nous avons noammen simlifié les flux logisiques en considéran un seul rodui fini P assemblé à arir de deux comosans C1 e C2. Nous considérons que la demande révisionnelle en roduis finis es consane. Elle s aarene ainsi à la définiion globale d un volume de fabricaion demandé ar ériode ouvan êre

5 issu d un niveau agrégé de révisions de venes. A chaque as de lanificaion, la demande réelle sur les remières ériodes de l horizon devien disonible. Nous simulons ce rocessus en remlaçan la demande révisionnelle ar une demande ferme issue d un irage aléaoire selon une loi uniforme sur un inervalle corresondan à lus e moins 30% de la demande révisionnelle. Plusieurs sources d arovisionnemens en comosans son ossibles. Deux fournisseurs aux caracérisiques disinces son considérés dans nore exemle. Le second fournisseur es lus cher que le remier mais a un délai d aniciaion lus faible e auorise une réacivié suérieure. On radui ainsi le fai qu il ossède un ouil de fabricaion lus flexible qui engendre des coûs de fabricaion lus élevés liés aux réorganisaions nécessaires. Les données incluses dans nore modèle son récaiulées dans les ableaux 1 e 2. Les données concernan les horizons d arovisionnemen fermes e flexibles ransmises aux fournisseurs ne son as récaiulées dans le ableau ci-dessous car nous éudions leurs variaions. Décision Délai Délai Coû d aniciaion d obenion uniaire Producion inerne Sous-raiance Heures sulémenaires 1 N/A 50 Tableau 1. Caracérisiques des élémens de roducion Fournisseur 1 Fournisseur 2 Sockage Ruure Acha Acha Acha Acha C1 C2 P P C1 C2 C1 C2 Coûs 0,5 0, ,05 0, uniaires Tableau 2. Coûs d'achas, de sockage e de ruure Les horizons emorels que nous inroduisons our le aramérage de nos fournisseurs son les suivans : Siuaion 1 : les fournisseurs 1 e 2 demanden à l enrerise un délai d aniciaion de resecivemen 6 e 4 ériodes. Siuaion 2 : l horizon ferme es rédui à 3 ériodes e comléé ar un horizon flexible de 3 ériodes our le fournisseur 1 ; les horizons ferme e flexible our le fournisseur 2 son de 2 ériodes. Ce cas relâche donc les conraines de la siuaion 1 en auorisan our l enrerise une soulesse dans les demandes d arovisionnemen. Siuaion 3 : on considère uniquemen un horizon ferme de 3 ériodes our le fournisseur 1 e de 2 ériodes our le fournisseur 2. Dans cee siuaion, il n y a aucune conraine sur les arovisionnemens au-delà de l horizon ferme qui es limié. Cee dernière configuraion qui augmene la réacivié, devrai donner les meilleurs résulas. Dans le bu d obenir des résulas comarables, nous avons au réalable iré aléaoiremen le jeu de demandes réelles qui es aliqué à chacun des cas. Ainsi, dans une oique d aide à la décision, nous ourrons évaluer l imac des modificaions aorées sur les horizons fermes e éablir si, dans ce conexe des gains euven êre dégagés. B. Résulas Dans un souci de claré, nous limions les résulas résenés dans ce chaire à un des comosans inrodui dans le modèle sachan que ces résulas euven êre éendus à l aure. La figure 4 résene les résulas obenus dans la siuaion 1. On eu remarquer des demandes d arovisionnemen irrégulières our le fournisseur 1 e la solliciaion du second fournisseur, lus réacif, our allier le manque de réacivié du fournisseur 1. Quaniés Tems Achas vis Frs1 Achas vis Frs2 Figure 4. Siuaion 1 : HF frs1 = 6 ; frs2 = 4 La figure 5 monre, our la siuaion 2 une diminuion du recours au fournisseur 2. L amélioraion de la réacivié du fournisseur 1 erme de mieux rendre en come l écar enre la demande révisionnelle e la demande réelle en minimisan les recours au fournisseur 2. Quaniés Tems Achas vis Frs1 Achas vis Frs2 Figure 5. Siuaion 2 : HF frs1 = 33 ; frs2 = 22 La figure 6 monre les arovisionnemens lorsque les horizons fermes son rès limiés. On consae que ous les arovisionnemens son réalisés avec le fournisseur 1. Ainsi, les coûs d achas maière son minimisés. Quaniés Tems Achas C2 Frs1 Achas C2 Frs2 Figure 6. Siuaion 3 : HF frs1 = 3 ; frs2 = 2 C. Synhèse Le ableau 3 fourni un récaiulaif des résulas our les rois cas d éude de gesion des arovisionnemens. Les résulas résenen les moyennes µ e écar yes σ des quaniés arovisionnées ar ériode sur la globalié de l horizon. Ils ermeen, en comlémen des courbes récédenes, d offrir une vue d ensemble sur le rocessus comle de simulaion de

6 la lanificaion. Le coû global de chaque simulaion erme d évaluer l imac des modificaions sur les horizons. HFF/HFFlx Cas n 1 6/0 Cas n 2 3/3 Cas n 3 3/0 µ Achas Fournisseur 1 69,6 72,5 73,3 σ Achas Fournisseur 1 13, ,4 µ Achas Fournisseur 2 4,3 0,8 0 σ Achas Fournisseur 2 6,8 2,4 0 µ Sock J c 75,8 75,2 73,9 σ Sock J c 9,3 9,0 10 Coû final de la simulaion Tableau 3. Récaiulaif des résulas On eu donc consaer que lus l horizon ferme fournisseur augmene, lus le niveau moyen de sock de comosans es élevé ; il es nécessaire de recourir à des soluions lus réacives our allier les variaions sur la demande e limier le sockage. Si l on s inéresse à la siuaion 1, on consae que malgré l inroducion d un horizon ferme conséquen, on aboui à une variabilié fore dans les arovisionnemens. En effe, les comensaions des écars enre arovisionnemens éablis à arir de la demande révisionnelle en roduis finis e ceux éablis à arir de la demande réelle en roduis finis ne euven se faire qu arès l horizon ferme e de ce fai, les correcions aliquées doiven comenser un lus grand nombre de ériodes e se raduisen ar des modificaions lus imoranes. De lus, le manque de réacivié du fournisseur 1 imlique le recours au fournisseur 2. Cela consiue un manque à gagner our le fournisseur 1 ; ceci eu êre mis en avan dans les discussions avec le fournisseur our obenir de la soulesse dans la lanificaion. Comme nous l avions suosé, la siuaion 3 donne les meilleurs résulas an sur le lan des coûs que des socks moyens. Dans nore exemle, la siuaion 2 consiue un bon comromis. Les résulas donnen une augmenaion d environ 4,2% du chiffre d affaire du fournisseur 1 ainsi qu une diminuion d environ 13% des coûs globaux s il arvien à améliorer ses condiions de réacivié ar raor à la siuaion 1. VI. CONCLUSION Dans ce aricle, nous avons déveloé un cadre de modélisaion our la lanificaion d une unié au sein d une chaîne logisique e avons inrodui une rise en come de l inceriude sur la demande clien en roduis finis qui eu se réercuer sur les arovisionnemens en risquan de générer un effe Bullwhi. L objecif de nore éude es de fournir un ouil d aide our améliorer les relaions enre une enrerise e ses fournisseurs. Ce ravail ore lus ariculièremen sur la cohérence dynamique des décisions e sur les conraines emorelles qui limien les ossibiliés de modifier les décisions. Cee rise en come s es raduie ar l inroducion d un schéma de demandes d arovisionnemen comosé d un horizon ferme fournisseur e d un horizon flexible fournisseur. Le remier radui l engagemen de l enrerise sur les quaniés à arovisionner, le second erme des variaions limiées our mieux rendre en come la demande clien finale sans ouefois enraîner une remise en quesion ro imorane des condiions de roducion chez le fournisseur. Par un exemle illusraif simle, nous avons monré que, dans un cerain conexe, un ajusemen des arovisionnemens ransmis aux fournisseurs erme une amélioraion des coûs de roducion e une diminuion du niveau moyen des socks de comosans. En effe, l adjoncion de réacivié a ermis de s adaer lus facilemen e d évier, dans ce exemle, la généraion de sursocks de comosans. Nous ensons que si chaque aramérage du modèle eu engendrer des bénéfices lus ou moins imorans selon, bien sûr, la caacié de réacion des fournisseurs e l inceriude sur la demande finale à laquelle es soumise l enrerise, nore ouil erme une bonne modélisaion du réseau e aide à formaliser la siuaion dans laquelle se rouve l enrerise. Ainsi, l ouil aore un lus dans la comréhension des mécanismes régissan les ineracions enre une enrerise e son réseau d arovisionnemen. VII. REFERENCES [1] Benia M. Beamon, «Suly chain design and analysis: Models and mehods», Inernaional Journal of Producion Economics, vol. 55, , [2] Simon Croom, Piero Romano, Mihalis Giannakis, «Suly chain managemen: an analyical framework for criical lieraure review», Euroean Journal of Purchasing & Suly Managemen, vol. 6, , [3] Injazz J. Chen, Anony Paulraj, «Towards a heory of suly chain managemen : he consrucs and measuremens», Journal of Oeraions Managemen, vol. 22, , [4] Keah Choon Tan, «A framework of suly chain managemen lieraure», Euroean Journal of Purchasing & Suly Managemen, vol. 7, , [5] François Galasso, Julien François, Jaouher Mahmoudi, SCMIP, «Proosiion d une grille de classificaion de la liéraure en gesion de chaîne logisique», 6 e Congrès inernaional de génie indusriel, Besançon, France, [6] Emmanuelle Desonin-Monsarra, «Aide à la décision our une cooéraion iner-enrerises dans le cadre de la roducion à la commande», Thèse de docora de l Universié Paul Sabaier, Toulouse, [7] Olivier Telle, «Gesion de chaînes logisiques dans le domaine aéronauique: aide à la cooéraion au sein d une relaion donneur d ordres/fournisseur», Thèse de docora de l École Naionale Suérieure de l Aéronauique e de l Esace, Toulouse, [8] Xiande Zhao, Jinxing Xie, «Mulilevel lo-sizing heurisics and freezing he maser roducion schedule in maerial requiremens lanning sysems» Producion Planning and Conrol, vol. 9, , [9] François Galasso, Colee Mercé, Bernard Grabo, «A modelling framework for suly chain lanning simulaion under uncerainy» 3rd Inernaional Indusrial Simulaion Conference, Berlin, Allemagne , [10] Julien François, François Galasso, «Un cadre générique d analyse des relaions dans la chaîne logisique inerenrerises.» 6 h Congrès inernaional de génie indusriel, Besançon, France, 2005.

2. Quelle est la valeur de la prime de l option américaine correspondante? Utilisez pour cela la technique dite de remontée de l arbre.

2. Quelle est la valeur de la prime de l option américaine correspondante? Utilisez pour cela la technique dite de remontée de l arbre. 1 Examen. 1.1 Prime d une opion sur un fuure On considère une opion à 85 jours sur un fuure de nominal 18 francs, e don le prix d exercice es 175 francs. Le aux d inérê (coninu) du marché monéaire es 6%

Plus en détail

Chapitre 2 L investissement. . Les principales caractéristiques de l investissement

Chapitre 2 L investissement. . Les principales caractéristiques de l investissement Chapire 2 L invesissemen. Les principales caracérisiques de l invesissemen.. Définiion de l invesissemen Définiion générale : ensemble des B&S acheés par les agens économiques au cours d une période donnée

Plus en détail

VA(1+r) = C 1. VA = C 1 v 1

VA(1+r) = C 1. VA = C 1 v 1 Universié Libre de Bruxelles Solvay Business School La valeur acuelle André Farber Novembre 2005. Inroducion Supposons d abord que le emps soi limié à une période e que les cash flows fuurs (les flux monéaires)

Plus en détail

MATHEMATIQUES FINANCIERES

MATHEMATIQUES FINANCIERES MATHEMATIQUES FINANCIERES LES ANNUITES INTRODUCTION : Exemple 1 : Une personne veu acquérir une maison pour 60000000 DH, pour cela, elle place annuellemen au CIH une de 5000000 DH. Bu : Consiuer un capial

Plus en détail

La rentabilité des investissements

La rentabilité des investissements La renabilié des invesissemens Inroducion Difficulé d évaluer des invesissemens TI : problème de l idenificaion des bénéfices, des coûs (absence de saisiques empiriques) problème des bénéfices Inangibles

Plus en détail

Estimation des matrices de trafics

Estimation des matrices de trafics Cédric Foruny 1/5 Esimaion des marices de rafics Cedric FORTUNY Direceur(s) de hèse : Jean Marie GARCIA e Olivier BRUN Laboraoire d accueil : LAAS & QoSDesign 7, av du Colonel Roche 31077 TOULOUSE Cedex

Plus en détail

CHAPITRE I : Cinématique du point matériel

CHAPITRE I : Cinématique du point matériel I. 1 CHAPITRE I : Cinémaique du poin maériel I.1 : Inroducion La plupar des objes éudiés par les physiciens son en mouvemen : depuis les paricules élémenaires elles que les élecrons, les proons e les neurons

Plus en détail

Programmation, organisation et optimisation de son processus Achat (Ref : M64) Découvrez le programme

Programmation, organisation et optimisation de son processus Achat (Ref : M64) Découvrez le programme Programmaion, organisaion e opimisaion de son processus Acha (Ref : M64) OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION Appréhender la foncion achas e son environnemen Opimiser son processus achas Développer un acha

Plus en détail

Le mode de fonctionnement des régimes en annuités. Secrétariat général du Conseil d orientation des retraites

Le mode de fonctionnement des régimes en annuités. Secrétariat général du Conseil d orientation des retraites CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 28 janvier 2009 9 h 30 «Les différens modes d acquisiion des drois à la reraie en répariion : descripion e analyse comparaive des echniques uilisées»

Plus en détail

EVALUATION DE LA FPL PAR LES APPRENANTS: CAS DU MASTER IDS

EVALUATION DE LA FPL PAR LES APPRENANTS: CAS DU MASTER IDS EVALUATION DE LA FPL PAR LES APPRENANTS: CAS DU MASTER IDS CEDRIC TAPSOBA Diplômé IDS Inern/ CARE Regional Program Coordinaor and Gender Specialiy Service from USAID zzz WA-WASH Program Tel: 70 77 73 03/

Plus en détail

Les circuits électriques en régime transitoire

Les circuits électriques en régime transitoire Les circuis élecriques en régime ransioire 1 Inroducion 1.1 Définiions 1.1.1 égime saionnaire Un régime saionnaire es caracérisé par des grandeurs indépendanes du emps. Un circui en couran coninu es donc

Plus en détail

Documentation Technique de Référence Chapitre 8 Trames types Article 8.14-1

Documentation Technique de Référence Chapitre 8 Trames types Article 8.14-1 Documenaion Technique de Référence Chapire 8 Trames ypes Aricle 8.14-1 Trame de Rappor de conrôle de conformié des performances d une insallaion de producion Documen valide pour la période du 18 novembre

Plus en détail

Ned s Expat L assurance des Néerlandais en France

Ned s Expat L assurance des Néerlandais en France [ LA MOBILITÉ ] PARTICULIERS Ned s Expa L assurance des Néerlandais en France 2015 Découvrez en vidéo pourquoi les expariés en France choisissen APRIL Inernaional pour leur assurance sané : Suivez-nous

Plus en détail

F 2 = - T p K 0. ... F T = - T p K 0 - K 0

F 2 = - T p K 0. ... F T = - T p K 0 - K 0 Correcion de l exercice 2 de l assisana pré-quiz final du cours Gesion financière : «chéancier e aux de renabilié inerne d empruns à long erme» Quesion : rappeler la formule donnan les flux à chaque échéance

Plus en détail

COURS GESTION FINANCIERE A COURT TERME SEANCE 3 PLANS DE TRESORERIE. François LONGIN www.longin.fr

COURS GESTION FINANCIERE A COURT TERME SEANCE 3 PLANS DE TRESORERIE. François LONGIN www.longin.fr COURS GESTION FINANCIERE A COURT TERME SEANCE 3 PLANS DE TRESORERIE SEANCE 3 PLANS DE TRESORERIE Obje de la séance 3 : dans la séance 2, nous avons monré commen le besoin de financemen éai couver par des

Plus en détail

Texte Ruine d une compagnie d assurance

Texte Ruine d une compagnie d assurance Page n 1. Texe Ruine d une compagnie d assurance Une nouvelle compagnie d assurance veu enrer sur le marché. Elle souhaie évaluer sa probabilié de faillie en foncion du capial iniial invesi. On suppose

Plus en détail

Caractéristiques des signaux électriques

Caractéristiques des signaux électriques Sie Inerne : www.gecif.ne Discipline : Génie Elecrique Caracérisiques des signaux élecriques Sommaire I Définiion d un signal analogique page 1 II Caracérisiques d un signal analogique page 2 II 1 Forme

Plus en détail

Le mécanisme du multiplicateur (dit "multiplicateur keynésien") revisité

Le mécanisme du multiplicateur (dit multiplicateur keynésien) revisité Le mécanisme du muliplicaeur (di "muliplicaeur kenésien") revisié Gabriel Galand (Ocobre 202) Résumé Le muliplicaeur kenésien remone à Kenes lui-même mais il es encore uilisé de nos jours, au moins par

Plus en détail

No 1996 13 Décembre. La coordination interne et externe des politiques économiques : une analyse dynamique. Fabrice Capoën Pierre Villa

No 1996 13 Décembre. La coordination interne et externe des politiques économiques : une analyse dynamique. Fabrice Capoën Pierre Villa No 996 3 Décembre La coordinaion inerne e exerne des poliiques économiques : une analyse dynamique Fabrice Capoën Pierre Villa CEPII, documen de ravail n 96-3 SOMMAIRE Résumé...5 Summary...7. La problémaique...9

Plus en détail

Exemples de résolutions d équations différentielles

Exemples de résolutions d équations différentielles Exemples de résoluions d équaions différenielles Table des maières 1 Définiions 1 Sans second membre 1.1 Exemple.................................................. 1 3 Avec second membre 3.1 Exemple..................................................

Plus en détail

CARACTERISTIQUES STATIQUES D'UN SYSTEME

CARACTERISTIQUES STATIQUES D'UN SYSTEME CARACTERISTIQUES STATIQUES D'UN SYSTEE 1 SYSTEE STABLE, SYSTEE INSTABLE 1.1 Exemple 1: Soi un sysème composé d une cuve pour laquelle l écoulemen (perurbaion) es naurel au ravers d une vanne d ouverure

Plus en détail

N d ordre Année 2008 THESE. présentée. devant l UNIVERSITE CLAUDE BERNARD - LYON 1. pour l obtention. du DIPLOME DE DOCTORAT. (arrêté du 7 août 2006)

N d ordre Année 2008 THESE. présentée. devant l UNIVERSITE CLAUDE BERNARD - LYON 1. pour l obtention. du DIPLOME DE DOCTORAT. (arrêté du 7 août 2006) N d ordre Année 28 HESE présenée devan l UNIVERSIE CLAUDE BERNARD - LYON pour l obenion du DILOME DE DOCORA (arrêé du 7 aoû 26) présenée e souenue publiquemen le par M. Mohamed HOUKARI IRE : Mesure du

Plus en détail

TB 352 TB 352. Entrée 1. Entrée 2

TB 352 TB 352. Entrée 1. Entrée 2 enrées série TB logiciel d applicaion 2 enrées à émission périodique famille : Inpu ype : Binary inpu, 2-fold TB 352 Environnemen Bouon-poussoir TB 352 Enrée 1 sories 230 V Inerrupeur Enrée 2 Câblage sur

Plus en détail

GESTION DU RÉSULTAT : MESURE ET DÉMESURE 1 2 ème version révisée, août 2003

GESTION DU RÉSULTAT : MESURE ET DÉMESURE 1 2 ème version révisée, août 2003 GESTION DU RÉSULTAT : MESURE ET DÉMESURE 1 2 ème version révisée, aoû 2003 Thomas JEANJEAN 2 Cahier de recherche du CEREG n 2003-13 Résumé : Depuis une vingaine d années, la noion d accruals discréionnaires

Plus en détail

CONTRIBUTION A L ANALYSE DE LA GESTION DU RESULTAT DES SOCIETES COTEES

CONTRIBUTION A L ANALYSE DE LA GESTION DU RESULTAT DES SOCIETES COTEES CONTRIBUTION A L ANALYSE DE LA GESTION DU RESULTAT DES SOCIETES COTEES Thomas Jeanjean To cie his version: Thomas Jeanjean. CONTRIBUTION A L ANALYSE DE LA GESTION DU RESULTAT DES SOCIETES COTEES. 22ÈME

Plus en détail

THÈSE. Pour l obtention du grade de Docteur de l Université de Paris I Panthéon-Sorbonne Discipline : Sciences Économiques

THÈSE. Pour l obtention du grade de Docteur de l Université de Paris I Panthéon-Sorbonne Discipline : Sciences Économiques Universié de Paris I Panhéon Sorbonne U.F.R. de Sciences Économiques Année 2011 Numéro aribué par la bibliohèque 2 0 1 1 P A 0 1 0 0 5 7 THÈSE Pour l obenion du grade de Doceur de l Universié de Paris

Plus en détail

Intégration de Net2 avec un système d alarme intrusion

Intégration de Net2 avec un système d alarme intrusion Ne2 AN35-F Inégraion de Ne2 avec un sysème d alarme inrusion Vue d'ensemble En uilisan l'inégraion d'alarme Ne2, Ne2 surveillera si l'alarme inrusion es armée ou désarmée. Si l'alarme es armée, Ne2 permera

Plus en détail

Sciences Industrielles pour l Ingénieur

Sciences Industrielles pour l Ingénieur Sciences Indusrielles pour l Ingénieur Cenre d Inérê 6 : CONVERTIR l'énergie Compéences : MODELISER, RESOUDRE CONVERSION ELECTROMECANIQUE - Machine à couran coninu en régime dynamique Procédés de piloage

Plus en détail

GUIDE DES INDICES BOURSIERS

GUIDE DES INDICES BOURSIERS GUIDE DES INDICES BOURSIERS SOMMAIRE LA GAMME D INDICES.2 LA GESTION DES INDICES : LE COMITE DES INDICES BOURSIERS.4 METHODOLOGIE ET CALCUL DE L INDICE TUNINDEX ET DES INDICES SECTORIELS..5 I. COMPOSITION

Plus en détail

Séquence 2. Pourcentages. Sommaire

Séquence 2. Pourcentages. Sommaire Séquence 2 Pourcenages Sommaire Pré-requis Évoluions e pourcenages Évoluions successives, évoluion réciproque Complémen sur calcularices e ableur Synhèse du cours Exercices d approfondissemen 1 1 Pré-requis

Plus en détail

Article. «Les effets à long terme des fonds de pension» Pascal Belan, Philippe Michel et Bertrand Wigniolle

Article. «Les effets à long terme des fonds de pension» Pascal Belan, Philippe Michel et Bertrand Wigniolle Aricle «Les effes à long erme des fonds de pension» Pascal Belan, Philippe Michel e Berrand Wigniolle L'Acualié économique, vol 79, n 4, 003, p 457-480 Pour cier ce aricle, uiliser l'informaion suivane

Plus en détail

Sommaire de la séquence 12

Sommaire de la séquence 12 Sommaire de la séquence 12 Séance 1........................................................................................................ Je prends un bon dépar.......................................................................................

Plus en détail

Document de travail FRANCE ET ALLEMAGNE : UNE HISTOIRE DU DÉSAJUSTEMENT EUROPEEN. Mathilde Le Moigne OFCE et ENS ULM

Document de travail FRANCE ET ALLEMAGNE : UNE HISTOIRE DU DÉSAJUSTEMENT EUROPEEN. Mathilde Le Moigne OFCE et ENS ULM Documen de ravail 2015 17 FRANCE ET ALLEMAGNE : UNE HISTOIRE DU DÉSAJUSTEMENT EUROPEEN Mahilde Le Moigne OFCE e ENS ULM Xavier Rago Présiden OFCE e chercheur CNRS Juin 2015 France e Allemagne : Une hisoire

Plus en détail

Pouvoir de marché et transmission asymétrique des prix sur les marchés de produits vivriers au Bénin

Pouvoir de marché et transmission asymétrique des prix sur les marchés de produits vivriers au Bénin C N R S U N I V E R S I T E D A U V E R G N E F A C U L T E D E S S C I E N C E S E C O N O M I Q U E S E T D E G E S T I O N CENTRE D ETUDES ET DE RECHERCHES SUR LE DEVELOPPEMENT INTER NATIONAL Pouvoir

Plus en détail

Risque associé au contrat d assurance-vie pour la compagnie d assurance. par Christophe BERTHELOT, Mireille BOSSY et Nathalie PISTRE

Risque associé au contrat d assurance-vie pour la compagnie d assurance. par Christophe BERTHELOT, Mireille BOSSY et Nathalie PISTRE Ce aricle es disponible en ligne à l adresse : hp://www.cairn.info/aricle.php?id_revue=ecop&id_numpublie=ecop_149&id_article=ecop_149_0073 Risque associé au conra d assurance-vie pour la compagnie d assurance

Plus en détail

Finance 1 Université d Evry Val d Essonne. Séance 2. Philippe PRIAULET

Finance 1 Université d Evry Val d Essonne. Séance 2. Philippe PRIAULET Finance 1 Universié d Evry Val d Essonne éance 2 Philippe PRIAULET Plan du cours Les opions Définiion e Caracérisiques Terminologie, convenion e coaion Les différens payoffs Le levier implicie Exemple

Plus en détail

Les Comptes Nationaux Trimestriels

Les Comptes Nationaux Trimestriels REPUBLIQUE DU CAMEROUN Paix - Travail Parie ---------- INSTITUT NATIONAL DE LA STATISTIQUE ---------- REPUBLIC OF CAMEROON Peace - Work Faherland ---------- NATIONAL INSTITUTE OF STATISTICS ----------

Plus en détail

Oscillations forcées en régime sinusoïdal.

Oscillations forcées en régime sinusoïdal. Conrôle des prérequis : Oscillaions forcées en régime sinusoïdal. - a- Rappeler l expression de la période en foncion de la pulsaion b- Donner l expression de la période propre d un circui RLC série -

Plus en détail

Coaching - accompagnement personnalisé (Ref : MEF29) Accompagner les agents et les cadres dans le développement de leur potentiel OBJECTIFS

Coaching - accompagnement personnalisé (Ref : MEF29) Accompagner les agents et les cadres dans le développement de leur potentiel OBJECTIFS Coaching - accompagnemen personnalisé (Ref : MEF29) Accompagner les agens e les cadres dans le développemen de leur poeniel OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION Le coaching es une démarche s'inscrivan dans

Plus en détail

Annuités. I Définition : II Capitalisation : ( Valeur acquise par une suite d annuités constantes ) V n = a t

Annuités. I Définition : II Capitalisation : ( Valeur acquise par une suite d annuités constantes ) V n = a t Annuiés I Définiion : On appelle annuiés des sommes payables à inervalles de emps déerminés e fixes. Les annuiés peuven servir à : - consiuer un capial ( annuiés de placemen ) - rembourser une dee ( annuiés

Plus en détail

Impact du vieillissement démographique sur l impôt prélevé sur les retraits des régimes privés de retraite

Impact du vieillissement démographique sur l impôt prélevé sur les retraits des régimes privés de retraite DOCUMENT DE TRAVAIL 2003-12 Impac du vieillissemen démographique sur l impô prélevé sur les rerais des régimes privés de reraie Séphane Girard Direcion de l analyse e du suivi des finances publiques Ce

Plus en détail

Les solutions solides et les diagrammes d équilibre binaires. sssp1. sssp1 ssss1 ssss2 ssss3 sssp2

Les solutions solides et les diagrammes d équilibre binaires. sssp1. sssp1 ssss1 ssss2 ssss3 sssp2 Les soluions solides e les diagrammes d équilibre binaires 1. Les soluions solides a. Descripion On peu mélanger des liquides par exemple l eau e l alcool en oue proporion, on peu solubiliser un solide

Plus en détail

Un modèle de projection pour des contrats de retraite dans le cadre de l ORSA

Un modèle de projection pour des contrats de retraite dans le cadre de l ORSA Un modèle de proecion pour des conras de reraie dans le cadre de l ORSA - François Bonnin (Hiram Finance) - Floren Combes (MNRA) - Frédéric lanche (Universié Lyon 1, Laboraoire SAF) - Monassar Tammar (rim

Plus en détail

MIDI F-35. Canal MIDI 1 Mélodie Canal MIDI 2 Basse Canal MIDI 10 Batterie MIDI IN. Réception du canal MIDI = 1 Reproduit la mélodie.

MIDI F-35. Canal MIDI 1 Mélodie Canal MIDI 2 Basse Canal MIDI 10 Batterie MIDI IN. Réception du canal MIDI = 1 Reproduit la mélodie. / VARIATION/ ACCOMP PLAY/PAUSE REW TUNE/MIDI 3- LESSON 1 2 3 MIDI Qu es-ce que MIDI? MIDI es l acronyme de Musical Insrumen Digial Inerface, une norme inernaionale pour l échange de données musicales enre

Plus en détail

TD/TP : Taux d un emprunt (méthode de Newton)

TD/TP : Taux d un emprunt (méthode de Newton) TD/TP : Taux d un emprun (méhode de Newon) 1 On s inéresse à des calculs relaifs à des remboursemens d empruns 1. On noera C 0 la somme emprunée, M la somme remboursée chaque mois (mensualié), le aux mensuel

Plus en détail

Recueil d'exercices de logique séquentielle

Recueil d'exercices de logique séquentielle Recueil d'exercices de logique séquenielle Les bascules: / : Bascule JK Bascule D. Expliquez commen on peu modifier une bascule JK pour obenir une bascule D. 2/ Eude d un circui D Q Q Sorie A l aide d

Plus en détail

Pour 2014, le rythme de la reprise économique qui semble s annoncer,

Pour 2014, le rythme de la reprise économique qui semble s annoncer, En France, l invesissemen des enreprises reparira--il en 2014? Jean-François Eudeline Yaëlle Gorin Gabriel Sklénard Adrien Zakharchouk Déparemen de la conjoncure Pour 2014, le ryhme de la reprise économique

Plus en détail

Mathématiques financières. Peter Tankov

Mathématiques financières. Peter Tankov Mahémaiques financières Peer ankov Maser ISIFAR Ediion 13-14 Preface Objecifs du cours L obje de ce cours es la modélisaion financière en emps coninu. L objecif es d un coé de comprendre les bases de

Plus en détail

TRANSMISSION DE LA POLITIQUE MONETAIRE AU SECTEUR REEL AU SENEGAL

TRANSMISSION DE LA POLITIQUE MONETAIRE AU SECTEUR REEL AU SENEGAL REPUBLIQUE DU SENEGAL ------------------ MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES ------------------ AGENCE NATIONALE DE LA STATISTIQUE ET DE LA DEMOGRAPHIE Direcion des Saisiques Economiques e de la Compabilié

Plus en détail

3 POLITIQUE D'ÉPARGNE

3 POLITIQUE D'ÉPARGNE 3 POLITIQUE D'ÉPARGNE 3. L épargne exogène e l'inefficience dynamique 3. Le modèle de Ramsey 3.3 L épargne opimale dans le modèle AK L'épargne des sociéés dépend largemen des goûs des agens, de faceurs

Plus en détail

Sélection de portefeuilles et prédictibilité des rendements via la durée de l avantage concurrentiel 1

Sélection de portefeuilles et prédictibilité des rendements via la durée de l avantage concurrentiel 1 ASAC 008 Halifax, Nouvelle-Écosse Jacques Sain-Pierre (Professeur Tiulaire) Chawki Mouelhi (Éudian au Ph.D.) Faculé des sciences de l adminisraion Universié Laval Sélecion de porefeuilles e prédicibilié

Plus en détail

CHELEM Commerce International

CHELEM Commerce International CHELEM Commerce Inernaional Méhodes de consrucion de la base de données du CEPII Alix de SAINT VAULRY Novembre 2013 1 Conenu de la base de données Flux croisés de commerce inernaional (exporaeur, imporaeur,

Plus en détail

Les deux déficits, budgétaire et du compte courant, sont-ils jumeaux? Une étude empirique dans le cas d une petite économie en développement

Les deux déficits, budgétaire et du compte courant, sont-ils jumeaux? Une étude empirique dans le cas d une petite économie en développement Les deux déficis, budgéaire e du compe couran, sonils jumeaux? Une éude empirique dans le cas d une peie économie en développemen (Version préliminaire) Aueur: Wissem AJILI Docorane CREFED Universié Paris

Plus en détail

OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION

OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION Formaion assurance-vie e récupéraion: Quand e Commen récupérer? (Ref : 3087) La maîrise de la récupéraion des conras d'assurances-vie requalifiés en donaion OBJECTIFS Appréhender la naure d un conra d

Plus en détail

SYSTÈME HYBRIDE SOLAIRE THERMODYNAMIQUE POUR L EAU CHAUDE SANITAIRE

SYSTÈME HYBRIDE SOLAIRE THERMODYNAMIQUE POUR L EAU CHAUDE SANITAIRE SYSTÈME HYBRIDE SOLAIRE THERMODYNAMIQUE POUR L EAU CHAUDE SANITAIRE Le seul ballon hybride solaire-hermodynamique cerifié NF Elecricié Performance Ballon hermodynamique 223 lires inox 316L Plaque évaporarice

Plus en détail

Groupe International Fiduciaire. pour l Expertise comptable et le Commissariat aux comptes

Groupe International Fiduciaire. pour l Expertise comptable et le Commissariat aux comptes Groupe Inernaional Fiduciaire pour l Experise compable e le Commissaria aux compes L imporan es de ne jamais arrêer de se poser des quesions Alber EINSTEIN QUI SOMMES-NOUS? DES HOMMES > Une ÉQUIPE solidaire

Plus en détail

Institut Supérieur de Gestion

Institut Supérieur de Gestion UNIVERSITE DE TUNIS Insiu Supérieur de Gesion 4 EME ANNEE SCIENCES COMPTABLES COURS MARCHES FINANCIER ET EVALUATION DES ACTIFS NOTES DE COURS : MOUNIR BEN SASSI YOUSSEF ZEKRI CHAPITRE 1 : LE MARCHE FINANCIER

Plus en détail

PREMIÈRE PARTIE LIQUIDITÉ ET MICROSTRUCTURE. La Liquidité - De la Microstructure à la Gestion du Risque de Liquidité

PREMIÈRE PARTIE LIQUIDITÉ ET MICROSTRUCTURE. La Liquidité - De la Microstructure à la Gestion du Risque de Liquidité PREMIÈRE PARTIE LIQUIDITÉ ET MICROSTRUCTURE Erwan Le Saou - Novembre 2000. 13 La microsrucure des marchés financiers ne serai cerainemen pas au cenre d une liéraure abondane si le concep de liquidié n

Plus en détail

Relation entre la Volatilité Implicite et la Volatilité Réalisée.

Relation entre la Volatilité Implicite et la Volatilité Réalisée. Relaion enre la Volailié Implicie e la Volailié Réalisée. Le cas des séries avec la coinégraion fracionnaire. Rappor de Recherche Présené par : Mario Vázquez Velasco Direceur de Recherche : Benoî Perron

Plus en détail

Rappels théoriques. -TP- Modulations digitales ASK - FSK. Première partie 1 INTRODUCTION

Rappels théoriques. -TP- Modulations digitales ASK - FSK. Première partie 1 INTRODUCTION 2 IUT Blois Déparemen GTR J.M. Giraul, O. Bou Maar, D. Ceron M. Richard, P. Sevesre e M. Leberre. -TP- Modulaions digiales ASK - FSK IUT Blois Déparemen du Génie des Télécommunicaions e des Réseaux. Le

Plus en détail

CHAPITRE 4 RÉPONSES AUX CHOCS D INFLATION : LES PAYS DU G7 DIFFÈRENT-ILS LES UNS DES AUTRES?

CHAPITRE 4 RÉPONSES AUX CHOCS D INFLATION : LES PAYS DU G7 DIFFÈRENT-ILS LES UNS DES AUTRES? CHAPITRE RÉPONSES AUX CHOCS D INFLATION : LES PAYS DU G7 DIFFÈRENT-ILS LES UNS DES AUTRES? Les réponses de la poliique monéaire aux chocs d inflaion mondiaux on varié d un pays à l aure Le degré d exposiion

Plus en détail

Essai surlefficience informationnelle du march boursier marocain

Essai surlefficience informationnelle du march boursier marocain Global Journal of Managemen and Business Research : c Finance Volume 14 Issue 1 Version 1.0 Year 2014 Type: Double Blind Peer Reviewed Inernaional Research Journal Publisher: Global Journals Inc. (USA)

Plus en détail

2009-01 EFFICIENCE INFORMATIONNELLE DES 1948-2008 UNE VERIFICATION ECONOMETRIQUE MARCHES DE L OR A PARIS ET A LONDRES, DE LA FORME FAIBLE

2009-01 EFFICIENCE INFORMATIONNELLE DES 1948-2008 UNE VERIFICATION ECONOMETRIQUE MARCHES DE L OR A PARIS ET A LONDRES, DE LA FORME FAIBLE 009-01 EFFICIENCE INFORMATIONNELLE DES MARCHES DE L OR A PARIS ET A LONDRES, 1948-008 UNE VERIFICATION ECONOMETRIQUE DE LA FORME FAIBLE Thi Hong Van HOANG Efficience informaionnelle des marchés de l or

Plus en détail

Copules et dépendances : application pratique à la détermination du besoin en fonds propres d un assureur non vie

Copules et dépendances : application pratique à la détermination du besoin en fonds propres d un assureur non vie Copules e dépendances : applicaion praique à la déerminaion du besoin en fonds propres d un assureur non vie David Cadoux Insiu des Acuaires (IA) GE Insurance Soluions 07 rue Sain-Lazare, 75009 Paris FRANCE

Plus en détail

Université Technique de Sofia, Filière Francophone d Informatique Notes de cours de Réseaux Informatiques, G. Naydenov Maitre de conférence, PhD

Université Technique de Sofia, Filière Francophone d Informatique Notes de cours de Réseaux Informatiques, G. Naydenov Maitre de conférence, PhD LA COUCHE PHYSIQUE 1 FONCTIONS GENERALES Cee couche es chargée de la conversion enre bis informaiques e signaux physiques Foncions principales de la couche physique : définiion des caracérisiques de la

Plus en détail

CHAPITRE 13. EXERCICES 13.2 1.a) 20,32 ± 0,055 b) 97,75 ± 0,4535 c) 1953,125 ± 23,4375. 2.±0,36π cm 3

CHAPITRE 13. EXERCICES 13.2 1.a) 20,32 ± 0,055 b) 97,75 ± 0,4535 c) 1953,125 ± 23,4375. 2.±0,36π cm 3 Chapire Eercices de snhèse 6 CHAPITRE EXERCICES..a), ±,55 b) 97,75 ±,455 c) 95,5 ±,475.±,6π cm.a) 44,, erreur absolue de,5 e erreur relaive de, % b) 5,56, erreur absolue de,5 e erreur relaive de,9 % 4.a)

Plus en détail

NUMERISATION ET TRANSMISSION DE L INFORMATION

NUMERISATION ET TRANSMISSION DE L INFORMATION , Chapire rminale S NUMERISATION ET TRANSMISSION DE L INFORMATION I TRANSMISSION DE L'INFORMATION ) Signal e informaion ) Chaîne de ransmission de l informaion La chaîne de ransmission d informaions es

Plus en détail

L impact de l activisme des fonds de pension américains : l exemple du Conseil des Investisseurs Institutionnels.

L impact de l activisme des fonds de pension américains : l exemple du Conseil des Investisseurs Institutionnels. L impac de l acivisme des fonds de pension américains : l exemple du Conseil des Invesisseurs Insiuionnels. Fabrice HERVE * Docoran * Je iens à remercier ou pariculièremen Anne Lavigne e Consanin Mellios

Plus en détail

Mémoire présenté et soutenu en vue de l obtention

Mémoire présenté et soutenu en vue de l obtention République du Cameroun Paix - Travail - Parie Universié de Yaoundé I Faculé des sciences Déparemen de Mahémaiques Maser de saisique Appliquée Republic of Cameroon Peace Wor Faherland The Universiy of Yaoundé

Plus en détail

Impact des futures normes IFRS sur la tarification et le provisionnement des contrats d assurance vie : mise en oeuvre de méthodes par simulation

Impact des futures normes IFRS sur la tarification et le provisionnement des contrats d assurance vie : mise en oeuvre de méthodes par simulation Impac des fuures normes IFRS sur la arificaion e le provisionnemen des conras d assurance vie : mise en oeuvre de méhodes par simulaion Pierre-Emmanuel Thérond To cie his version: Pierre-Emmanuel Thérond.

Plus en détail

Cours d électrocinétique :

Cours d électrocinétique : Universié de Franche-Comé UFR des Sciences e Techniques STARTER 005-006 Cours d élecrocinéique : Régimes coninu e ransioire Elecrocinéique en régimes coninu e ransioire 1. INTRODUCTION 5 1.1. DÉFINITIONS

Plus en détail

Fonction dont la variable est borne d intégration

Fonction dont la variable est borne d intégration [hp://mp.cpgedpydelome.fr] édié le 1 jille 14 Enoncés 1 Foncion don la variable es borne d inégraion Eercice 1 [ 1987 ] [correcion] Soi f : R R ne foncion conine. Jsifier qe les foncions g : R R sivanes

Plus en détail

Froid industriel : production et application (Ref : 3494) Procédés thermodynamiques, systèmes et applications OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION

Froid industriel : production et application (Ref : 3494) Procédés thermodynamiques, systèmes et applications OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION Froid indusriel : producion e applicaion (Ref : 3494) Procédés hermodynamiques, sysèmes e applicaions SUPPORT PÉDAGOGIQUE INCLUS. OBJECTIFS Appréhender les différens procédés hermodynamiques de producion

Plus en détail

Chapitre 9. Contrôle des risques immobiliers et marchés financiers

Chapitre 9. Contrôle des risques immobiliers et marchés financiers Capire 9 Conrôle des risques immobiliers e marcés financiers Les indices de prix immobiliers ne son pas uniquemen des indicaeurs consruis dans un bu descripif, mais peuven servir de référence pour le conrôle

Plus en détail

Evaluation des Options avec Prime de Risque Variable

Evaluation des Options avec Prime de Risque Variable Evaluaion des Opions avec Prime de Risque Variable Lahouel NOUREDDINE Correspondance : LEGI-Ecole Polyechnique de Tunisie, BP : 743,078 La Marsa, Tunisie, Insiu Supérieur de Finance e de Fiscalié de Sousse.

Plus en détail

Une union pour les employeurs de l' conomie sociale. - grande Conférence sociale - les positionnements et propositions de l usgeres

Une union pour les employeurs de l' conomie sociale. - grande Conférence sociale - les positionnements et propositions de l usgeres Une union pour les employeurs de l' conomie sociale - grande Conférence sociale - les posiionnemens e proposiions de l usgeres Juille 212 1 «développer l emploi e en priorié l emploi des jeunes» le posiionnemen

Plus en détail

Thème : Essai de Modélisation du comportement du taux de change du dinar algérien 1999-2007 par la méthode ARFIMA

Thème : Essai de Modélisation du comportement du taux de change du dinar algérien 1999-2007 par la méthode ARFIMA République Algérienne Démocraique e Populaire Minisère de l enseignemen Supérieur e de la Recherche Scienifique Universié Abou-Bakr BELKAID Tlemcen- Faculé des Sciences Economique, de Gesion e des Sciences

Plus en détail

Ecole des HEC Université de Lausanne FINANCE EMPIRIQUE. Eric Jondeau

Ecole des HEC Université de Lausanne FINANCE EMPIRIQUE. Eric Jondeau Ecole des HEC Universié de Lausanne FINANCE EMPIRIQUE Eric Jondeau FINANCE EMPIRIQUE La prévisibilié des rendemens Eric Jondeau L hypohèse d efficience des marchés Moivaion L idée de base de l hypohèse

Plus en détail

Le passage des retraites de la répartition à la capitalisation obligatoire : des simulations à l'aide d'une maquette

Le passage des retraites de la répartition à la capitalisation obligatoire : des simulations à l'aide d'une maquette No 2000 02 Janvier Le passage des reraies de la répariion à la capialisaion obligaoire : des simulaions à l'aide d'une maquee Pierre Villa CEPII, documen de ravail n 2000-02 TABLE DES MATIÈRES Résumé...

Plus en détail

Files d attente (1) F. Sur - ENSMN. Introduction. 1 Introduction. Vocabulaire Caractéristiques Notations de Kendall Loi de Little.

Files d attente (1) F. Sur - ENSMN. Introduction. 1 Introduction. Vocabulaire Caractéristiques Notations de Kendall Loi de Little. Cours de Tronc Commun Scienifique Recherche Opéraionnelle Les files d aene () Les files d aene () Frédéric Sur École des Mines de Nancy www.loria.fr/ sur/enseignemen/ro/ 5 /8 /8 Exemples de files d aene

Plus en détail

Vous vous installez en france? Société Générale vous accompagne (1)

Vous vous installez en france? Société Générale vous accompagne (1) Parenaria Sociéé Générale Execuive relocaions Vous vous insallez en france? Sociéé Générale vous accompagne (1) offre valable jusqu au 29/02/2012 offre valable jusqu au 29/02/2012 offre valable jusqu au

Plus en détail

EPARGNE RETRAITE ET REDISTRIBUTION *

EPARGNE RETRAITE ET REDISTRIBUTION * EPARGNE RETRAITE ET REDISTRIBUTION * Alexis Direr (1) Version février 2008 Docweb no 0804 Alexis Direr (1) : Universié de Grenoble e LEA (INRA, PSE). Adresse : LEA, 48 bd Jourdan 75014 Paris. Téléphone

Plus en détail

Le développement de l assurance des catastrophes naturelles: facteur de développement économique

Le développement de l assurance des catastrophes naturelles: facteur de développement économique ARTICLES ARTICLES PROFESSIONNELS ACADÉMIQUES PROFESSIONAL ACADEMIC ARTICLES ARTICLES Assurances e gesion des risques, vol. 79(1-2), avril-juille 2011, 1-30 Insurance and Risk Managemen, vol. 79(1-2), April-July

Plus en détail

Cahier technique n 114

Cahier technique n 114 Collecion Technique... Cahier echnique n 114 Les proecions différenielles en basse ension J. Schonek Building a ew Elecric World * Les Cahiers Techniques consiuen une collecion d une cenaine de ires édiés

Plus en détail

TRAVAUX PRATIQUES N 5 INSTALLATION ELECTRIQUE DE LA CAGE D'ESCALIER DU BATIMENT A

TRAVAUX PRATIQUES N 5 INSTALLATION ELECTRIQUE DE LA CAGE D'ESCALIER DU BATIMENT A UIMBERTEAU UIMBERTEAU TRAVAUX PRATIQUES 5 ISTALLATIO ELECTRIQUE DE LA CAE D'ESCALIER DU BATIMET A ELECTROTECHIQUE Seconde B.E.P. méiers de l'elecroechnique ELECTROTECHIQUE HABITAT Ver.. UIMBERTEAU TRAVAUX

Plus en détail

Thème : Electricité Fiche 5 : Dipôle RC et dipôle RL

Thème : Electricité Fiche 5 : Dipôle RC et dipôle RL Fiche ors Thème : Elecricié Fiche 5 : Dipôle e dipôle Plan de la fiche Définiions ègles 3 Méhodologie I - Définiions oran élecriqe : déplacemen de charges élecriqes q a mesre d débi de charges donne l

Plus en détail

SURVOL DE LA LITTÉRATURE SUR LES MODÈLES DE TAUX DE CHANGE D ÉQUILIBRE: ASPECTS THÉORIQUES ET DISCUSSIONS COMPARATIVES

SURVOL DE LA LITTÉRATURE SUR LES MODÈLES DE TAUX DE CHANGE D ÉQUILIBRE: ASPECTS THÉORIQUES ET DISCUSSIONS COMPARATIVES Ankara Üniversiesi SBF Dergisi, Cil 66, No. 4, 2011, s. 125-152 SURVOL DE LA LITTÉRATURE SUR LES MODÈLES DE TAUX DE CHANGE D ÉQUILIBRE: ASPECTS THÉORIQUES ET DISCUSSIONS COMPARATIVES Dr. Akın Usupbeyli

Plus en détail

CAHIER 13-2000 ANALYSE DES CHOCS D'OFFRE ET DE DEMANDE DANS LA ZONE CFA : UNE MÉTHODE STRUCTURELLE D'AUTORÉGRESSION VECTORIELLE

CAHIER 13-2000 ANALYSE DES CHOCS D'OFFRE ET DE DEMANDE DANS LA ZONE CFA : UNE MÉTHODE STRUCTURELLE D'AUTORÉGRESSION VECTORIELLE CAHIER 13- ANALYSE DES CHOCS D'OFFRE ET DE DEMANDE DANS LA ZONE CFA : UNE MÉTHODE STRUCTURELLE D'AUTORÉGRESSION VECTORIELLE Jean-Michel BOSCO N'GOMA CAHIER 13- ANALYSE DES CHOCS D'OFFRE ET DE DEMANDE DANS

Plus en détail

UNIVERSITÉ D ORLÉANS. THÈSE présentée par :

UNIVERSITÉ D ORLÉANS. THÈSE présentée par : UNIVERSITÉ D ORLÉANS ÉCOLE DOCTORALE SCIENCES DE L HOMME ET DE LA SOCIETÉ LABORATOIRE D ECONOMIE D ORLEANS THÈSE présenée par : Issiaka SOMBIÉ souenue le : 5 décembre 2013 à 14h00 pour obenir le grade

Plus en détail

Cahier technique n 141

Cahier technique n 141 Collecion Technique... Cahier echnique n 141 Les perurbaions élecriques en BT R. Calvas Les Cahiers Techniques consiuen une collecion d une cenaine de ires édiés à l inenion des ingénieurs e echniciens

Plus en détail

DE L'ÉVALUATION DU RISQUE DE CRÉDIT

DE L'ÉVALUATION DU RISQUE DE CRÉDIT DE L'ÉALUAION DU RISQUE DE CRÉDI François-Éric Racico * Déparemen des sciences adminisraives Universié du Québec, Ouaouais Raymond héore Déparemen Sraégie des Affaires Universié du Québec, Monréal RePAd

Plus en détail

CANAUX DE TRANSMISSION BRUITES

CANAUX DE TRANSMISSION BRUITES Canaux de ransmissions bruiés Ocobre 03 CUX DE TRSISSIO RUITES CORRECTIO TRVUX DIRIGES. oyer Canaux de ransmissions bruiés Ocobre 03. RUIT DE FOD Calculer le niveau absolu de brui hermique obenu pour une

Plus en détail

Réseau de coachs. Vous êtes formés dans les métiers du sport et/ou de la préparation physique (Brevet d état, Licence, Master STAPS)

Réseau de coachs. Vous êtes formés dans les métiers du sport et/ou de la préparation physique (Brevet d état, Licence, Master STAPS) Réseau de coachs Vous êes formés dans les méiers du spor e/ou de la préparaion physique (Breve d éa, Licence, Maser STAPS) Vous connaissez la course à pied Vous souhaiez créer e/ou animer des acions de

Plus en détail

MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES

MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES Un Peuple - Un Bu Une Foi MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES DIRECTION DE LA PREVISION ET DES ETUDES ECONOMIQUES Documen d Eude N 08 ENJEUX ECONOMIQUES ET COMMERCIAUX DE L ACCORD DE PARTENARIAT ECONOMIQUE

Plus en détail

Filtrage optimal. par Mohamed NAJIM Professeur à l École nationale supérieure d électronique et de radioélectricité de Bordeaux (ENSERB)

Filtrage optimal. par Mohamed NAJIM Professeur à l École nationale supérieure d électronique et de radioélectricité de Bordeaux (ENSERB) Filrage opimal par Mohamed NAJIM Professeur à l École naionale supérieure d élecronique e de radioélecricié de Bordeaux (ENSERB) Filre adapé Définiions Filre adapé dans le cas de brui blanc 3 3 Cas d un

Plus en détail

Modèles de dimensionnement et de planification dans un centre d appels

Modèles de dimensionnement et de planification dans un centre d appels Modèles de dimensionnemen e de plnificion dns un cenre d ppels Rbie Ni-Abdllh To cie his version: Rbie Ni-Abdllh. Modèles de dimensionnemen e de plnificion dns un cenre d ppels. Engineering Sciences. Ecole

Plus en détail

Séminaire d Économie Publique

Séminaire d Économie Publique Séminaire d Économie Publique Les niveaux de dépenses d'infrasrucure son-ils opimaux dans les pays en développemen? Sonia Bassi, LAEP Discuan : Evans Salies, MATISSE & ADIS, U. Paris 11 Mardi 8 février

Plus en détail

n 1 LES GRANDS THÈMES DE L ITB > 2009 Les intérêts simples et les intérêts composés ( ) C T D ( en mois)

n 1 LES GRANDS THÈMES DE L ITB > 2009 Les intérêts simples et les intérêts composés ( ) C T D ( en mois) LES GRANDS THÈMES DE L ITB Les iérês simples e les iérês composés RAPPELS THÉORIQUES Les iérês simples : l'iérê «I» es focio de la durée «D» (jour, quizaie, mois, rimesre, semesre, aée) de l'opéraio (placeme

Plus en détail

travailler à Paris travailler à Paris

travailler à Paris travailler à Paris ravailler à Paris Trouver un emploi, en changer, se former, ravailler, demander un coup de pouce, faire valoir ses drois, créer son acivié Parce que la capiale es dynamique e créarice d emplois, mais aussi

Plus en détail

Une analyse historique du comportement d épargne des ménages américains

Une analyse historique du comportement d épargne des ménages américains 1 ocobre 1 N. 51 Une analyse hisorique du comporemen d épargne des ménages américains Le aux d épargne des ménages américains a riplé depuis le déclenchemen de la crise, inerrompan un mouvemen de baisse

Plus en détail