L emploi régional en 2010 : effets structurels et dynamisme
|
|
- François Éthier
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 DIRECTION ETUDES, STATISTIQUES ET PRÉVISIONS L emploi régional en 2010 : effets structurels et dynamisme 4 janvier 2012 Principe Cette étude relative au dynamisme des régions repose sur un modèle explicatif de l'évolution de l'emploi qui, à partir de statistiques disponibles par activité économique détaillée (732 postes de la NAF 2008), met en évidence, pour les années à étudier, les trois principales composantes de l'évolution des effectifs salariés de chaque région, comparée à celle de l'ensemble du territoire métropolitain. Ces trois composantes se définissent ainsi : - le phénomène "d'entraînement national" traduit l'évolution qu'enregistrerait une région si elle avait présenté des structures et des évolutions sectorielles d'effectifs identiques à celles de la moyenne nationale. La région serait en quelque sorte une France miniature ; - le phénomène "structure d'emploi" ou "effet structurel" traduit l'incidence qu'apporte à la région sa spécificité sectorielle (i.e. la répartition de l'emploi régional par secteur d'activité économique) comparée à la structure sectorielle nationale. Il peut s'agir d'un handicap si la région présente des pôles d'activités en déclin ou en faible augmentation d emplois. Il peut s'agir d'un avantage si la région est plus particulièrement spécialisée dans des activités prospères ; - le phénomène "dynamisme des régions" traduit l écart entre les taux d évolution spécifiques à la région et ceux observés en moyenne nationale. Il s'agit d'un effet propre à la région. Pour chaque région, on identifie l'équation suivante : Taux d'é volution de l'emploi dans la région observée = Effet d'entraînemen t national Effet structure d 'empl oi s Effet dynamisme des régions (Ta ux d'évolution et structure France ) + (Tau x d évo lutio n Fran ce av ec struct ure régionale - taux d 'é volution France) + (Ta ux d'évolution régional - taux d évoluti on France avec st ructure rég io nale) 1
2 Le phénomène d entrainement national L emploi salarié affilié à l Assurance chômage a connu une reprise en 2010, avec une croissance de emplois sur l année. Cette évolution qui se traduit par une hausse d effectifs de 0,8 % en glissement annuel, fait suite au fort recul de l emploi qu avait connu l année 2009 ( 1,7 %). Si chaque région administrative était un modèle réduit de la France du point de vue de la structure sectorielle (pour rappel : l'étude est réalisée au niveau des 732 postes de la NAF 2008) et des taux de croissance des secteurs, les régions auraient connu le même taux d'évolution global (+ 0,8 %) et les mêmes taux d'évolution sectoriels que la France. Les évolutions régionales effectivement observées s écartent plus ou moins de cette évolution moyenne en fonction de leur structure sectorielle et de leur dynamisme. Le phénomène «structure d emploi» L'effet structurel est favorable si la région est sur-représentée dans des secteurs en plus forte croissance. En revanche, il est défavorable, et donc négatif, lorsque la région est sur-représentée dans des secteurs en déclin. Les effets structurels régionaux varient, en 2010, entre + 0,26 % pour la Bretagne (région bénéficiant du plus fort avantage structurel) et 0,78 % pour la Corse (région la plus défavorisée du point de vue structurel). Cet écart s est resserré par rapport à l année 2009 où Provence-Alpes- Côte d Azur et la Franche-Comté présentaient respectivement les taux les plus éloignés : + 0,60 % et 1,26 %. Quinze régions (en nombre identique en 2009) pâtissent d une structure d emploi défavorable. Seules sept régions bénéficient d un effet sectoriel positif : Bretagne (+ 0,26 %, soit emplois), Provence-Alpes-Côte d Azur (+ 0,20 %, soit emplois), Midi-Pyrénées (+ 0,18 %, soit emplois), Île-de-France (+ 0,12 %, soit emplois), Nord-Pas-de- Calais (+ 0,08 %, soit emplois), Languedoc-Roussillon (+ 0,07 %, soit emplois) et Aquitaine (+ 0,05 %, soit emplois). Seize régions (contre onze en 2009) voient leur taux structurel s améliorer sur l année Il s agit, par ordre décroissant de gain sectoriel, de : Franche-Comté ( 0,46 % contre 1,26 % en 2009), Champagne-Ardenne ( 0,37 % contre 0,75 %), Picardie ( 0,22 % contre 0,60 %), Centre ( 0,01 % contre 0,35 %), Rhône-Alpes ( 0,08 % contre 0,42 %), Pays de la Loire ( 0,05 % contre 0,36 %), Haute-Normandie ( 0,11 % contre 0,38 %), Nord-Pas-de-Calais (+ 0,08 % contre 0,16 %), Basse-Normandie ( 0,15 % contre 0,34 %), Bretagne (+ 0,26 % contre + 0,07 %), Limousin ( 0,12 % contre 0,31 %), Bourgogne ( 0,31 % contre 0,47 %), Lorraine ( 0,38 % contre 0,51 %), Alsace ( 0,37 % contre 0,41 %), Auvergne ( 0,36 % contre 0,40 %) et Poitou-Charentes ( 0,21% contre 0,24 %). A l inverse, toutes les régions qui présentaient un effet structurel négatif en 2009 bénéficient d une amélioration de leur situation au cours de l année Pourtant, l année précédente, huit régions qui étaient déjà pénalisées par un taux structurel négatif en 2008 avaient connu une dégradation de leur taux en Enfin, cinq régions dont le positionnement structurel était positif en 2009 ont pâti d une dégradation de leur situation, tout en gardant un taux positif en Il s agit de : Languedoc- 2
3 Roussillon dont la situation structurelle s est le plus dégradée (+ 0,07 % en 2010 contre + 0,58 % un an plus tôt) suivi de Provence-Alpes-Côte d Azur (+ 0,20 % contre + 0,60 %), Île de France (+ 0,12 % contre + 0,39 %), Aquitaine (+ 0,05 % contre + 0,20 %) et Midi-Pyrénées (+ 0,18 % contre + 0,30 %). Le phénomène «dynamisme des régions» L éventail des effets de dynamisme par région s est rétréci en 2010 passant de 0,82 % pour la Haute-Normandie (contre 1,68 % pour la Picardie en 2009) à + 1,94 % pour la Corse (contre + 2,68 % en 2009 pour la Corse également). Onze régions (contre huit en 2009) enregistrent en 2010 une baisse de leur effet de dynamisme. Parmi elles, on peut distinguer trois cas de figure, les deux premiers se traduisant par une perte d effectifs salariés : le premier cas concerne une seule région dont l effet de dynamisme négatif en 2009 s aggrave en Il s agit de la Bourgogne avec une perte de postes ( 0,42 % contre 0,10 % en 2009). le deuxième cas est relatif aux trois régions dont l effet de dynamisme positif en 2009 est devenu négatif en Sont concernées par ce cas de figure : Basse-Normandie ( postes, soit 0,50 % contre + 0,70 % en 2009), Provence-Alpes-Côte d Azur ( postes, soit 0,41 % contre + 0,57 %) et Champagne-Ardenne ( postes, soit 0,50 % contre + 0,14 %). le troisième cas concerne les sept régions présentant un tassement de leur dynamisme d emplois tout en restant positif : Corse (+ 1,94 % contre + 2,68 % en 2009), Midi- Pyrénées (+ 0,27 % contre + 0,85 %), Franche-Comté (+ 0,57 % contre + 1,13 %), Limousin (+ 0,07 % contre + 0,46%), Languedoc-Roussillon (+ 0,34 % contre + 0,56 %), Aquitaine (+ 0,46 % contre + 0,66 %) et Auvergne (+ 0,20 % contre + 0,30 %). Les régions qui voient, quant à elles, la situation de leur dynamisme s améliorer peuvent être regroupées en trois catégories : la première comporte les régions dont le dynamisme d emplois, négatif en 2009, reste également négatif en 2010 mais à un taux moins pénalisant que précédemment. C est le cas de la Haute-Normandie avec un taux de 0,82 % en 2010 contre 1,17 % un an plus tôt, de la Lorraine ( 0,48 % contre 0,57 %), de l Île-de-France ( 0,20 % contre 0,28 %) et de l Alsace ( 0,25 % contre 0,29 %). la deuxième comprend les deux régions dont le taux de dynamisme d emplois positif en 2009, reste positif en 2010 mais à un niveau plus élevé. Il s agit des Pays de la Loire (+ 0,73 % contre + 0,02 % en 2009) et de Rhône-Alpes (+ 0,32 % contre + 0,23 %). enfin, la troisième comporte les régions dont l effet de dynamisme négatif en 2009 devient positif en Sont concernées trois régions : Picardie (+ 0,62 % contre 1,68 % en 2009), Poitou-Charentes (+ 0,33 % contre 0,46 %) et Bretagne (+ 0,00 % contre 0,01 %). 3
4 Les effets conjoints de structure et de dynamisme des emplois régionaux Une approche synthétique des effets conjoints permet de classer les vingt deux régions métropolitaines suivant les signes des deux effets de structure et de dynamisme. Au vu du graphique comparant l effet structurel d emploi et l effet dynamisme d emploi pour l année 2010, on distingue quatre ensembles de régions : a) les régions dynamiques dans un environnement porteur Quatre régions, la plupart situées dans le Sud-Ouest, se caractérisent par un dynamisme régional positif et un effet structurel favorable. Parmi elles, Aquitaine et Languedoc-Roussillon profitent d un léger avantage structurel (respectivement + 0,05 % et + 0,07 %) qui se traduit par un effet de dynamisme notable (+ 0,46 % et + 0,34 %). Malgré une structure d emploi plus favorable (+ 0,18 %), Midi-Pyrénées affiche un dynamisme moins soutenu avec un taux de + 0,27 %. La Bretagne dont l avantage structurel est pourtant le plus propice (+ 0,26 %) ne bénéficie pas de cette situation puisque son effet sur sa dynamique d emploi est nul en b) les régions dynamiques malgré une structure d emplois défavorable Certaines régions peuvent être pénalisées par une spécialisation sectorielle plutôt défavorable accompagnée d un certain dynamisme régional. C est le cas notamment de la Corse qui, malgré une dégradation de sa situation structurelle en 2010 ( 0,78 % contre + 0,12 % un an plus tôt), bénéficie du plus fort dynamisme régional : + 1,94 %. Pays de la Loire, Picardie et Franche- Comté profitent également d une vigueur appréciable en matière de création d emplois mais à un rythme moins soutenu, respectivement : + 0,73 %, + 0,62 % et + 0,57 %. Avec un effet dynamique inférieur à + 0,5 %, les effets d entraînement au niveau régional de Poitou-Charentes, Auvergne et Limousin compensent à peine les structures défavorables de ces régions. c) les régions à structure favorable mais au dynamisme faible Une structure d activité propice à la création d emplois peut voir son effet atténué par un défaut de dynamique en termes d emploi au niveau régional. Provence-Alpes-Côte d Azur est l exemple le plus frappant de cette catégorie avec une situation structurelle favorable (+ 0,20 %) qui pâtit cependant d un manque de dynamisme ( 0,41 %). Dans une moindre mesure, les régions Nord- Pas-de-Calais et Île-de-France sont également touchées par un manque de dynamisme au niveau local (respectivement : 0,14 % et 0,20 %). d) les régions à structure et dynamisme négatifs Cette situation difficile est le signe d une spécialisation sectorielle défavorable à l emploi qui n est pas soutenue par un dynamisme local spécifique. C est le cas de sept régions (contre huit en 2009). Ces régions peuvent présenter un effet structure plus déficitaire en termes d emploi que l effet de dynamisme. Seule l Alsace présente ce cas de figure. A l inverse, le Centre, la Bourgogne, la Basse-Normandie, la Lorraine, Champagne-Ardenne et la Haute-Normandie enregistrent des pertes d emploi imputables à un défaut de dynamisme régional plus importantes que celles liées à un effet de structure défavorable. Nicolas de Visme Département Etudes et Statistiques sur l'emploi et les Salaires 4
5 Analyse de l emploi de chaque région en
6 STRUCTURE ET DYNAMISME DES REGIONS EN 2010 Nord-Pasde-Calais Bretagne Haute- Picardie Normandie Basse- Normandie Ile-de-France Lorraine Champagne -Ardenne Alsace Pays de la Loire Centre Bourgogne Franche- Comté Poitou- Charentes Limousin Auvergne Rhône-Alpes Aquitaine Midi-Pyrénées Languedoc- Roussillon P.A.C.A Corse STRUCTURE ET DYNAMISME DES REGIONS Structure favorable et fort dynamisme Structure favorable et faible dynamisme Structure défavorable et fort dynamisme Structure défavorable et faible dynamisme 6
7 Tableau 1 Analyse de l emploi régional année 2010 base NAF 732 7
BILANS REGIONAUX DE L EMPLOI
BILANS REGIONAUX DE L EMPLOI DANS L ECONOMIE SOCIALE EN 2013 Cécile BAZIN Marie DUROS Amadou BA Jacques MALET Octobre 2014 INTRODUCTION Pour la septième année consécutive, l Association des Régions de
Plus en détailPrésentation du Programme PHARE. Direction générale de l offre de soins - DGOS
Présentation du Programme PHARE Les achats hospitaliers, levier majeur de performance pour les établissements Achats hospitaliers : 18 Milliards d euros en 2009 Non médicaux 42% Achats Hospitaliers Médicaux
Plus en détailEvolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR
Evolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR Vanina BOUSQUET InVS St MAURICE 20 Mai 2014 Journée plénière de la FEDORU SOMMAIRE Etat des lieux des remontée de RPU Etat des lieux des structures régionales
Plus en détailETAT DES LIEUX DE LA FORMATION INITIALE EN METALLERIE. Atelier de 14h30 16h00
ETAT DES LIEUX DE LA FORMATION INITIALE EN METALLERIE Atelier de 14h30 16h00 Objectifs Identifier les zones en difficultés afin d éviter des fermetures De maintenir des effectifs suffisants dans les CFA
Plus en détailISF et intermédiation : Collecte 2009
ISF et intermédiation : Collecte 2009 juillet 2009 1 Contexte et méthodologie Contexte: L AFIC et l AFG ont conduit une enquête pour suivre l impact des mesures dites «ISF PME», et en particulier, pour
Plus en détailLe Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat PRESENTATION GENERALE
Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat PRESENTATION GENERALE Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat (FSPOEIE) constitue
Plus en détailLa Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences dans votre entreprise
50 salariés et plus / groupes de distribution (GDSA) dans la Branche des Services de l Automobile GPEC La Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences dans votre entreprise Anticiper les enjeux
Plus en détailUn dispositif d appui aux très petites entreprises
Spectacle vivant Un dispositif d appui aux très petites entreprises DA TPE-SV Votre entreprise a besoin de se développer? Elle emploie moins de cinq salariés? Vous pouvez bénéficier d un accompagnement
Plus en détail1985 / 2009 : 25 ANS DE CONCOURS DU CREDIT-BAIL AU FINANCEMENT DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE
1985 / 2009 : 25 ANS DE CONCOURS DU CREDIT-BAIL AU FINANCEMENT DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE 2 1985 / 2009 : 25 ans de concours du crédit-bail au financement de l d entreprise* 1.Introduction : le crédit-bail,
Plus en détailLes prélèvements d eau en France en 2009 et leurs évolutions depuis dix ans
COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 29 Février 212 Les prélèvements d eau en France en 29 et leurs évolutions depuis dix ans OBSERVATION ET STATISTIQUES ENVIRONNEMENT En 29, 33,4 milliards
Plus en détailObservatoire de l Eolien
Observatoire de l Eolien Analyse du marché et des emplois éoliens en France Colloque France Energie Eolienne 2 octobre 2014 Editorial France Energie Eolienne, porte-parole de l éolien, regroupe les professionnels
Plus en détailRecettes de fonctionnement et capacité d'épargne
1 - Recettes réelles de fonctionnement/population Recettes réelles de fonctionnement : total des recettes de la colonne mouvements réels de la balance générale en section de fonctionnement. Evaluation
Plus en détailcafé, restaurant & salon de thé DOSSIER DE CANDIDATURE franchise
DOSSIER DE CANDIDATURE franchise 1. DEMANDEUR PHOTO ÉTAT CIVIL Nom Prénom Date de naissance Lieu de naissance / / Adresse Code postal Téléphone fixe Fax Ville tél portable: E-mail Situation familiale :
Plus en détailLES INSUFFISANCES EN MATIERE D EQUIPEMENTS D IMAGERIE MEDICALE EN FRANCE : ETUDE SUR LES DELAIS D ATTENTE POUR UN RENDEZ-VOUS IRM EN 2013
LES INSUFFISANCES EN MATIERE D EQUIPEMENTS D IMAGERIE MEDICALE EN FRANCE : ETUDE SUR LES DELAIS D ATTENTE POUR UN RENDEZ-VOUS IRM EN 2013 Étude réalisée pour Imagerie Santé Avenir 2013 CEMKA-E VAL 43,
Plus en détail21 ème Observatoire des Taux meilleurtaux.com. C O N F É R E N C E D E P R E S S E 3 f é v r i e r 2 0 1 5
21 ème Observatoire des Taux meilleurtaux.com C O N F É R E N C E D E P R E S S E 3 f é v r i e r 2 0 1 5 I TAUX AU PLUS BAS : et si ça continuait? II RENEGOCIATION DE CREDITS : les règles du jeu changent
Plus en détailENQUETE DE BRANCHE Prothésistes dentaires
ENQUETE DE BRANCHE Prothésistes dentaires Données 2012 Institut I+C 11 rue Christophe Colomb - 75008 Paris Tél.: 33 (0)1 47 20 30 33 http://www.iplusc.com Octobre 2013 1/52 UNIVERS ETUDIE ET RAPPELS METHODOLOGIQUES
Plus en détailPolitique européenne de cohésion 2007-2013 - Etat d avancement des programmes européens
au 1er Juin 2015 Politique européenne de cohésion 2007-2013 - Etat d avancement des programmes européens Sommaire Synthèse des objectifs Synthèse générale des programmes européens... 4 Synthèse générale
Plus en détailau 1er novembre 2013
au 1er novembre 2013 Politique européenne de cohésion 2007-2013 - Etat d avancement des programmes européens Sommaire Synthèse des objectifs Synthèse générale des programmes européens... 4 Synthèse générale
Plus en détailLa preuve par. Principaux enseignements du bilan des PRT et. du recensement des projets télémédecine 2013
La preuve par Principaux enseignements du bilan des PRT et du recensement des projets télémédecine 2013 Le recensement Télémédecine 2013 01 Synthèse du recensement Télémédecine 2013 02 Répartition et maturité
Plus en détailBovins viande. Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013. Total élevages. Nbre de veaux pesés en VA0. Nbre de veaux pesés en VA4
Bovins viande Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013 Chif Régions Nbre de Nbre de Nbre de troupeaux troupeaux troupeaux adhérents adhérents suivis en en VA4 en VA0 engraissement Nbre de troupeaux
Plus en détailLes enjeux du quotidien
Les enjeux du quotidien LES FRANCAIS ET LES JEUX D ARGENT EN LIGNE Sondage réalisé pour : La Presse quotidienne Nationale, Régionale, Urbaine Gratuite et la Presse Hebdomadaire Régionale ATTENTION EMBARGO
Plus en détailREGION HAUTE-NORMANDIE
Évaluation des effets d une fusion de la Région Haute-Normandie et de la Région Basse-Normandie REGION HAUTE-NORMANDIE Évaluation des effets d une fusion de la région Haute-Normandie et de la région Basse-Normandie
Plus en détailTARIFICATION BANCAIRE :
TARIFICATION BANCAIRE : L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux Vivre Votre Argent 25 janvier 2013 Pour ce palmarès 2013, la CLCV et Mieux Vivre Votre Argent ont passé en revue les tarifs applicables au 1er février
Plus en détailConstruction de logements
COMMISSARIAT GénéRAl au développement durable n 640 Mai 2015 Construction de logements Résultats à fin avril 2015 (France entière) OBSERVATION ET STATISTIQueS logement - CONSTRuCTION Rappel À compter des
Plus en détailDe nouveaux indicateurs pour suivre la construction de logements
COMMISSARIAT GénéRAl au développement durable n spécial Février 2015 De nouveaux indicateurs pour suivre la construction de logements OBSERVATION ET STATISTIQueS logement - CONSTRuCTION Le SOeS diffuse
Plus en détailObservatoire de l équipement audiovisuel des foyers
Observatoire de l équipement audiovisuel des foyers 1 er semestre 2013 Réalisé par 1 Édito L Observatoire de l équipement audiovisuel des foyers succède à l Observatoire de l équipement des foyers pour
Plus en détailENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité
Observatoire des Métiers de la Prévention et de la Sécurité ENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité Données 2013 Version définitive Institut I+C 11 rue Christophe Colomb - 75008 Paris Tél.: 33 (0)1 47
Plus en détailLa régie de la radio en ligne. Offre commerciale 2013
La régie de la radio en ligne Offre commerciale 2013 Audience des radios EN LIGNE en France Chaque jour, en moyenne 1.9OO.OOO d internautes ont visité au moins l un des sites de Radio 2.0 la semaine, contre
Plus en détail9,8 % de l emploi 2,1 millions de salariés 203 000 établissements employeurs
DONNÉES AU 31/12/2006 SOURCE INSEE-CLAP 1 - DÉCEMBRE 2008 Panorama de l'économie sociale EN FRANCE ET DANS LES RÉGIONS Ce document est la première publication réalisée par l Observatoire national de l
Plus en détailMédiation des relations inter-entreprises industrielles et de la sous-traitance
Médiation des relations inter-entreprises industrielles et de la sous-traitance Septembre 2010 1 SOMMAIRE 1. Présentation de la Médiation des relations inter-entreprises industrielles et de la soustraitance
Plus en détailLa Banque Postale Présentation de l activité Secteur Public Local. Bruges, le 3 juillet 2013
CEBATRAMA La Banque Postale Présentation de l activité Secteur Public Local Bruges, le 3 juillet 2013 HÉRITIÈRE DES SERVICES FINANCIERS DE LA POSTE 100% Filiale à 100% du groupe La Poste La Banque Postale
Plus en détailENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité
Observatoire des Métiers de la Prévention et de la Sécurité ENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité Données 2012 Institut I+C 11 rue Christophe Colomb - 75008 Paris Tél.: 33 (0)1 47 20 30 33 http://www.iplusc.com
Plus en détailLA RÉPARTITION DES SERRURIERS EN FRANCE http://www.1serrurier.fr/
LA RÉPARTITION S EN FRANCE http://www.1serrurier.fr/ Les tableaux suivants permettent de retrouver les données détaillées de la répartition des entreprises de serrurerie en France métropolitaine et en
Plus en détailLa Caisse d Epargne, acteur de référence du capital investissement en région. - Juillet 2010 -
La Caisse d Epargne, acteur de référence du capital investissement en région - Juillet 2010 - Votre besoin en Capital Vous êtes dirigeant (ou futur dirigeant) d entreprise et vous souhaitez : Créer ou
Plus en détailla création d entreprise en nord-pas de calais
Nord-Pas de Calais N 184 SEPTEMBRE 2014 la création d entreprise en nord-pas de calais Près de 24 000 créations d entreprise en 2013 en Nord-Pas de Calais En 2013, les créations ont légèrement baissé en
Plus en détailBaromètre Ventes et cessions de commerces et d industries en France du 1er janvier 2008 au 31 décembre 2010
Baromètre Ventes et cessions de commerces et d industries en France du 1er janvier 2008 au 31 décembre 2010 Opportunités de croissance ou créations d entreprise, plus de 44 000 commerces ou industries
Plus en détailDépendance et rayonnement. des établissements franciliens
ILE -DE- FRANCE études études Mai 2006 Dépendance et rayonnement des établissements franciliens Document réalisé dans le cadre du Schéma Directeur Régional de l'ile-de-france Julie Roy Insee Ile-de-France
Plus en détailLes touristes français et internationaux de la destination Paris Ile-de-France
Les touristes français et internationaux de la destination Paris Ile-de-France Résultats annuels 2014 des dispositifs permanents d enquêtes dans les aéroports, dans les trains et sur les aires d autoroutes
Plus en détailORS Centre, Haute-Normandie, Languedoc-Roussillon, Picardie, Provence-Alpes-Côte d'azur. La santé au travail. les régions de France
Fédération nationale des observatoires régionaux de la santé ORS Centre, Haute-Normandie, Languedoc-Roussillon, Picardie, Provence-Alpes-Côte d'azur La santé au travail dans les régions de France Collection
Plus en détailLA RÉPARTITION DES PROFESSIONNELS DU RACHAT DE CRÉDIT EN FRANCE http://www.1rachat-crédit.com/
LA RÉPARTITION DES DU RACHAT DE CRÉDIT EN FRANCE http://www.1rachat-crédit.com/ Les tableaux suivants permettent de retrouver les données détaillées de la répartition des entreprises de rachat de crédits
Plus en détailSITUATIONS CONTRASTÉES POUR LES ENTREPRISES LORS DU PASSAGE AUX ALLÉGEMENTS DE LA LOI FILLON
ACO S S STA T SITUATIONS CONTRASTÉES POUR LES ENTREPRISES LORS DU PASSAGE AUX ALLÉGEMENTS DE LA LOI FILLON N - JANVIER 5 Le 1er juillet 3, une réduction unique des cotisations patronales de Sécurité sociale
Plus en détailTARIFICATION BANCAIRE :
TARIFICATION BANCAIRE : L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux vivre votre argent 27 janvier 2012 Pour ce palmarès 2012, la CLCV et Mieux vivre votre argent ont passé en revue les tarifs applicables au 1er février
Plus en détailDéveloppement des compétences, construction des parcours, prévention de la pénibilité et de l usure professionnelle, égalité professionnelle,
Des secteurs professionnels et des territoires investis sur les conditions de travail et la qualité de vie au travail L Serge DELTOR Directeur de l ARACT LR Délégué régional de l ANACT Aider les secteurs
Plus en détailRéseau CAI Bpifrance L EQUIPE DES CHARGES D AFFAIRES INTERNATIONAUX UBIFRANCE
L EQUIPE DES CHARGES D AFFAIRES INTERNATIONAUX UBIFRANCE [Mise à jour : 10 mai 2014] 1 L équipe Siège UBIFRANCE Paris Michel Bauza Chef de Département UBIFRANCE siège, Paris Téléphone fixe 01 40 73 35
Plus en détail3 e partie L OFFRE D HÉBERGEMENT
3 e partie L OFFRE D HÉBERGEMENT 3 - L offre d hébergement Définitions Dans ce chapitre sont présentés les parcs d hébergement marchand et non marchand qui constituent l offre touristique française. Le
Plus en détailBilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011. Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie
Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011 Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie Préambule : Les Groupes d Entraide Mutuelle (GEM), régis par les articles L. 114-1-1 et
Plus en détailPanorama des formations post-baccalauréat en Transport et Logistique
Panorama des formations post-baccalauréat en Transport et Logistique AFITL - 3 mai 2006 L objectif poursuivi Offrir aux membres de l AFITL (ou à quiconque se promène sur son site Internet) un recensement
Plus en détailPanorama. de l économie sociale et solidaire
Panorama de l économie sociale EN FRANCE ET DANS LES RÉGIONS Réalisée par l Observatoire National de l Economie Sociale et Solidaire, cette nouvelle édition du «Panorama de l économie sociale en France
Plus en détailRapport d activité. Rhône-Alpes Active Une finance solidaire au service de l emploi et des territoires
Rapport d activité 2014 Une finance solidaire au service de l emploi et des territoires EN En 2014 3 668 emplois créés ou consolidés 907 projets accompagnés et 20,9 M mobilisés en Jean Jacques Martin Président
Plus en détailBIENVENUE AU PETIT DEJEUNER DES TRANSPORTS du Vendredi 27 Novembre 2009 SUR PANORAMA DE L OFFRE DE FORMATION *****
BIENVENUE AU PETIT DEJEUNER DES TRANSPORTS du Vendredi 27 Novembre 2009 SUR PANORAMA DE L OFFRE DE FORMATION ***** SOMMAIRE 1.Offre de Formation Education Nationale 2.Offre de Formation par Apprentissage
Plus en détailFICHE CANDIDATURE. Ain de mieux vous connaître, nous vous remercions de compléter soigneusement toutes les rubriques de ce document.
FICHE CANDIDATURE Ain mieux vous connaître, nous vous remercions compléter soigneusement toutes les rubriques ce document. Ce document dûment complété n engage en rien Planet Sushi ou le candidat. L intégralité
Plus en détailLa VAE à travers les régions. (information conseil et validation) Année 2012. études. Etude logo Proposition 4 bis
La VAE à travers les régions (information conseil et validation) Année 2012 études Etude logo Proposition 4 bis Décembre 2014 Sommaire NOTICE DE LECTURE p. 3 INFORMATION CONSEIL EN VAE Points relais conseil
Plus en détailN 13 S É N A T. 30 octobre 2014 PROJET DE LOI
N 13 S É N A T SESSION ORDINAIRE DE 2014-2015 30 octobre 2014 PROJET DE LOI relatif à la délimitation des régions, aux élections régionales et départementales et modifiant le calendrier électoral. (procédure
Plus en détailForm. tion. Magazine. spécial emploi. Le magazine de la formation de la chambre régionale de métiers et de l'artisanat de haute-normandie
Form tion Magazine Le magazine de la formation de la chambre régionale de métiers et de l'artisanat de haute-normandie spécial emploi Région Haute-Normandie Édito P 3 P 4 P 6 P 7 P 8 P 10 P 11 Engagé dans
Plus en détailDossier de Presse. Contact : Luc Petit Tél. : 06 07 28 92 33 E-mail : lpetit@forces.fr. FORCES 90, avenue Maurice Berteaux BP 278 78504 Sartrouville
Dossier de Presse Contact : Luc Petit Tél. : 06 07 28 92 33 E-mail : lpetit@forces.fr FORCES 90, avenue Maurice Berteaux BP 278 78504 Sartrouville Historique Jean-Paul Debeuret, diplômé d'expertise comptable,
Plus en détailDossier de Presse Contact : Raphael Alibert 06 82 93 35 09 ralibert@forces.fr FORCES 90, avenue Maurice Berteaux BP 278 78504 Sartrouville
Dossier de Presse Contact : Raphael Alibert Tél. : 06 82 93 35 09 E-mail : ralibert@forces.fr FORCES 90, avenue Maurice Berteaux BP 278 78504 Sartrouville Historique Jean-Paul Debeuret, diplômé d'expertise
Plus en détailQuelles sont les banques de détail françaises les plus performantes? 110 établissements à la loupe. Octobre 2013
Quelles sont les banques de détail françaises les plus performantes? 110 établissements à la loupe. Octobre 2013 Sommaire Le Top 15.... 3 Les évolutions récentes... 7 Evolution du PNB... 12 Les résultats
Plus en détailEtude de Besoin de Main-d Oeuvre dans la Plasturgie
Etude de Besoin de Main-d Oeuvre dans la Plasturgie Année 2013 SOMMAIRE Représentation géographique des projets de recrutement par métier en 2012 Pilotes d'installations lourdes des industries de transformation...
Plus en détailLe marché des logiciels en France Perspectives d évolution pour le channel
Le marché des logiciels en France Perspectives d évolution pour le channel Le nouveau paradigme de l IT IDC Visit us at IDC.com and follow us on Twitter: @IDC 2 L arrivée de nouvelles technologies insuffle
Plus en détailAQUITAINE. Suivi de la Demande touristique 2010 1 ~
SUIVI DE LA DEMANDE TOURISTIQUE AQUITAINE ANNEE 2010 Note dee conjoncture TNS SOFRES-CRTA Suivi de la Demande touristique 2010 CRTAA DIRECCTE Aquitaine TNS T SOFRES 1 ~ SOMMAIRE AVERTISSEMENT METHODOLOGIQUE...
Plus en détailBienvenue à Loire-Centre. Présentation de La Caisse d Epargne Loire-Centre
Bienvenue à Loire-Centre Présentation de La Caisse d Epargne Loire-Centre Présentation Le Groupe BPCE 2 Un groupe puissant et solide Les groupes Banque Populaire et Caisse d Epargne se sont unis pour créer
Plus en détailMICROCREDIT CCOMPAGNEMENT RAPPORT D ACTIVITÉ SOCIAL
ÉDUCATION FORMATION UDGET INSERTION ORMATION MICROCREDIT CCOMPAGNEMENT RAPPORT D ACTIVITÉ 2012 EDUCATION INSERTION SOCIAL MESSAGE DE LA PRÉSIDENTE Florence RAINEIX Directrice générale de la Fédération
Plus en détailObservatoire de l équipement audiovisuel 2 ond semestre 2014. Département Télécom et Equipement Novembre 2014
Observatoire de l équipement audiovisuel 2 ond semestre 2014 Département Télécom et Equipement Novembre 2014 Rappel Méthodologique Modes de réception TV À partir de 2014 : Niveau national et régional Enquête
Plus en détailL EMPLOI D AIDE A DOMICILE ENJEUX ECONOMIQUES. Cécile BAZIN. Henitsoa RAHARIMANANA Alexis GUYONVARCH - Jacques MALET. et la CCMSA
L EMPLOI D AIDE A DOMICILE ENJEUX ECONOMIQUES 3 ème édition - Décembre 2011 Cécile BAZIN Henitsoa RAHARIMANANA Alexis GUYONVARCH - Jacques MALET Etude réalisée en coopération avec l ACOSS-URSSAF et la
Plus en détail4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2009
LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2009 4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES 4-1 Les comptes des collectivités territoriales et de leurs groupements à fiscalité propre 54 4-2 Les comptes des communes
Plus en détailRéglementation Organisation Marché Collecte Traitement Comparaison Perspectives Données européenne. Médicaments. Collection Repères
Réglementation Organisation Marché Collecte Traitement Comparaison Perspectives Données européenne 2013 Médicaments Collection Repères Les médicaments non utilisés (MNU), périmés ou non, sont des médicaments
Plus en détailPrésentation du Programme PHARE
Présentation du Programme PHARE Le programme PHARE : des gains pour la qualité de l offre de soins Le contexte du programme PHARE Les achats hospitaliers représentent 18 Md, second poste de dépenses des
Plus en détailLa mobilité. Au service des Outre-mer
La mobilité Au service des Outre-mer L Agence de l Outre-mer pour la Mobilité (LADOM) est une agence d Etat au service des originaires et résidents des collectivités d outre-mer. LADOM a pour mission première
Plus en détailANNEXE VI. Effet de la réforme sur les ressources des collectivités territoriales
ANNEXE VI Effet de la réforme sur les ressources des collectivités territoriales SOMMAIRE 1. LES RESSOURCES DES COLLECTIVITES NE SONT PAS MODIFIEES EN 2010, UNE COMPENSATION RELAIS SE SUBSTITUANT A L ANCIENNE
Plus en détailL épargne de tous au service de l intérêt général
L épargne de tous au service de l intérêt général 1 Pour la réussite de tous les projets Sommaire Un modèle unique et vertueux 4 Prêts au logement social et à la politique de la ville 7 Prêts au secteur
Plus en détailTARIFICATION BANCAIRE :
TARIFICATION BANCAIRE : L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux Vivre Votre Argent 30 janvier 2009 Des packages plus chers que les services à la carte dans plus de 50 % des banques, des prix globalement à la baisse
Plus en détailListe des référents AERAS des établissements de crédit Version du 10 juillet 2013
12/07/2013 1 Liste des référents AERAS des établissements de crédit Version du 10 juillet 2013 AXA BANQUE 01 55 12 83 67/82 68 BAIL ENTREPRISES 02 98 34 43 37 BANCO BPI - Succursale France 01 44 50 33
Plus en détailListe des référents AERAS des établissements de crédit Mise à jour au 28 août 2015
02/09/2015 1 Liste des référents AERAS des établissements de crédit Mise à jour au 28 août 2015 AXA BANQUE 01 55 12 83 67/82 68 BAIL ENTREPRISES 02 98 34 43 37 BANCO BPI - Succursale France 01 44 50 33
Plus en détailRèglement du concours de dessin «Mon éolienne est la plus originale»
Règlement du concours de dessin «Mon éolienne est la plus originale» Article 1 : Organisateur du concours L association France Energie Eolienne, située au 12 rue Vivienne, 75002 Paris, SIRET n 432 446
Plus en détailLES MASTERS 2 DANS LE DOMAINE DES STAPS EN FRANCE 2012/2013 NORD-PAS-DE-CALAIS. Université Lille 2
LES MASTERS 2 DANS LE DOMAINE DES STAPS EN FRANCE 2012/2013 NORD-PAS-DE-CALAIS Université Lille 2 Master STAPS «Grand Nord» - Entraînement et Optimisation de la Performance Sportive _ option Préparations
Plus en détailLivret. du professeur OBJECTIF TRAVAUX PUBLICS. Le programme Le site Internet La visite Le concours photo
Livret du professeur Le programme Le site Internet La visite Le concours photo OBJECTIF TRAVAUX PUBLICS OBJECTIF TRAVAUX PUBLICS Découverte professionnelle 2010-2011 Découverte professionnelle 2010-2011
Plus en détailq u estions santé d économie de la analyse Repères Les primes des contrats individuels des couvertures complémentaires en 1998
Bulletin d information en économie de la santée q u estions d économie de la santé analyse Repères Depuis plusieurs années, l IRDES étudie le marché de la couverture complémentaire et a élaboré, en 1998,
Plus en détailIdentification : ERDF-NOI-RAC-02E Version : V.3.0 Nombre de pages :14
3. ACCES RACCORDEMENT D Identification : -NOI-RAC-02E Version : V.3.0 Nombre de pages :14 Version Date Nature de la modification Annule et remplace V.1.0 17/10/2013 Version initiale -NOI-RAC-02E V.2.7
Plus en détail4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2010
LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2010 4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES 4-1 Les comptes des collectivités territoriales et de leurs groupements à fiscalité propre 54 4-2 Les comptes des communes
Plus en détail4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2011
LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2011 4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES 4-1 Les comptes des collectivités territoriales et de leurs groupements à fiscalité propre 54 4-2 Les comptes des communes
Plus en détail56 rue Laffitte - 75320 PARIS CEDEX 09 Tél. : 01 55 07 85 85 Site internet : www.sett.org
56 rue Laffitte - 75320 PARIS CEDEX 09 Tél. : 01 55 07 85 85 Site internet : www.sett.org I II L emploi intérimaire s est contracté de 2,7% en 2003 L évolution de l emploi intérimaire est soumise aux fluctuations
Plus en détailLe Cnam, 200 ans d expérience
Devenez ingénieur Le Cnam, 200 ans d expérience Fondé en 1794 sur proposition de l abbé Henri Grégoire, le Conservatoire national des arts et métiers est un établissement public à caractère scientifique,
Plus en détailInformatisation des données transfusionnelles
Informatisation des données transfusionnelles Dr Marie-France Angelini Tibert Coordonnateure régionale d hémovigilance Réunion - Mayotte Objectifs Optimiser et sécuriser les circuits Optimiser et sécuriser
Plus en détailEmplois. Votre épargne a le pouvoir de créer des emplois!
Gamme Insertion Emplois Votre épargne a le pouvoir de créer des emplois! Gamme Insertion Emplois, Des actifs monétaires aux marchés actions, la gamme des FCP Insertion Emplois de Mirova* vise à concilier
Plus en détailF.F.V. Réunions fédérales/réunions Aff.Générales/ Réunion 24/03/2000
F.F.V. Réunions fédérales/réunions Aff.Générales/ Réunion 24/03/2000 PARIS, le 11 Avril 2000 PROCES VERBAL REUNION AFFAIRES GENERALES DU 24 MARS 2000 Présents : MM. SIMON, MERIC, VILLEROT, MARLIOT, Mmes
Plus en détailINSTRUCTION. N 11-002-D61 du 12 janvier 2011 NOR : BCR Z 11 00002 J
INSTRUCTION N 11-002-D61 du 12 janvier 2011 NOR : BCR Z 11 00002 J VERSEMENT AU PROFIT DE L'ÉTAT DES SOMMES DÉPOSÉES SUR DES PRODUITS D'ÉPARGNE RÉGLEMENTÉE ATTEINTES PAR LA PRESCRIPTION TRENTENAIRE ANALYSE
Plus en détailQuelles sont les motivations des Français qui font le choix de l investissement locatif en 2014? Une étude du Crédit Foncier
Quelles sont les motivations des Français qui font le choix de l investissement locatif en 2014? Une étude du Crédit Foncier SOMMAIRE PAGE 02 SYNTHÈSE PAGE 03 L INVESTISSEMENT LOCATIF DES MÉNAGES EN FRANCE
Plus en détailRAPPORT 2012 DE L OPTL - ILE DE FRANCE
Page 1 RAPPORT 2012 DE L OPTL - ILE DE FRANCE Page 2 Page 3 RAPPORT 2012 DE L OPTL - ILE DE FRANCE Sommaire Sommaire... 3 Edito... 4 Champ d application et d observation... 6 Établissements..14 Effectifs...
Plus en détailTER 2020 : VERS UN NOUVEL ÉQUILIBRE
TER 2020 : VERS UN NOUVEL ÉQUILIBRE DOSSIER DE PRESSE SNCF CONTACTS PRESSE Clément Nourrit - 01 53 25 76 56 - clement.nourrit@sncf.fr Gaëlle Rual - 01 53 25 74 83 - gaelle.rual@sncf.fr TER 2020 : VERS
Plus en détailQuelle image avez-vous de la Belgique?
Quelle image avez-vous de la Belgique? Saviez vous que?. Sont d origine belge. Le saxophone. La marque de montres Ice watch. La chaine de fast food Quick. l ile de Porquerolles au large de Toulon appartenait
Plus en détailQuelles sont les motivations des Français qui font le choix de l investissement locatif en 2015?
www.creditfoncier.com U N E É T U D E D U C R É D I T F O N C I E R Quelles sont les motivations des Français qui font le choix de l investissement locatif en 2015? SEPTEMBRE 2015 sommaire PAGE 02 PAGE
Plus en détailLe cancer. les régions de France. dans. Mortalité Incidence Affections de longue durée Hospitalisations. Collection «Les études du réseau des ORS»
F N O R S Fédération nationale des observatoires régionaux de la santé ORS de Bretagne, Franche-Comté, Languedoc-Roussillon, Limousin, Pays de la Loire, Rhône-Alpes Le cancer dans les régions de Mortalité
Plus en détail"La santé des étudiants en 2009"
Dossier de Presse "La santé des étudiants en 2009" 6ème Enquête Nationale Communiqué de presse. p 2 L USEM et les mutuelles étudiantes régionales.......... p 4 Présentation de l enquête santé... p 5 Méthodologie
Plus en détailGrenelle de l environnement BONUS ECOLOGIQUE
Grenelle de l environnement BONUS ECOLOGIQUE N 51243#03 Décret n 2010-1618 du 23 décembre 2010 modifiant le décret n 2007-1873 du 26 décembre 2007 instituant une aide à l acquisition des véhicules propres
Plus en détailDES ÉQUIPEMENTS SPORTIFS FRANÇAIS. par grandes catégories
ATLAS DES ÉQUIPEMENTS SPORTIFS FRANÇAIS par grandes catégories Éditorial Le recensement des équipements sportifs (RES), en France, témoigne d un grand nombre d équipements sportifs, d espaces et sites
Plus en détailTARIFICATION BANCAIRE 15 janvier 2015 L ENQUETE ANNUELLE
TARIFICATION BANCAIRE 15 janvier 2015 L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux Vivre Votre Pour ce palmarès 2015, 140 banques de métropole et d outre-mer ont été passées à la loupe. Les tarifs analysés? Ceux en
Plus en détailRapport final version définitive. 12 Février 2013 Elise PICON Dr Nadine SANNINO Béatrice MINET- Anne-Cécile HENOCQ Romain SEIGNEUR
DGCS EVALUATION DU DISPOSITIF LITS HALTES SOINS SANTE (LHSS) Rapport final version définitive 12 Février 2013 Elise PICON Dr Nadine SANNINO Béatrice MINET- Anne-Cécile HENOCQ Romain SEIGNEUR DGCS-1788-EVALUATION
Plus en détailFonds de Dotation L observatoire Deloitte. N 20 31 décembre 2011
Fonds de Dotation L observatoire Deloitte N 20 31 décembre 2011 Éditorial L année vient de s achever avec 863 fonds de dotation enregistrés au 31 décembre 2011. C est une année record car pas moins de
Plus en détailguid BATI-MAT-TP Salaires et indemnités à l intérieur de ce numéro : Echo BATI-MAT-TP Journal d information trimestriel de l APDS CFTC
S O M M A I R E Editorial p 3 Patrick DEL GRANDE bâtiment Ouvriers p 6 ETAM p 8 IAC p 10 Apprentissage p 11 Transport p 12 Trajet p 16 Repas p 20 travaux publics Ouvriers p 22 ETAM p 24 IAC p 27 Transport
Plus en détailde la mutuelle CHAPITRE 1 Formation et objet de la mutuelle
TITRE I FORMATION, OBJET ET COMPOSITION DE LA MUTUELLE CHAPITRE 1 Formation et objet Article 1 Dénomination Il est constitué une mutuelle, dénommée MILTIS, qui est une personne morale de droit privé à
Plus en détail