Programme du Cadre Commun pour l Eau, l Hygiène et l Assainissement Reliant Urgence, Reconstruction et Développement au Nord Mali ECHO

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1 TERMES DE REFERENCE Pour l évaluation indépendante finale Programme du Cadre Commun pour l Eau, l Hygiène et l Assainissement Reliant Urgence, Reconstruction et Développement au Nord Mali Programme financé par ECHO 1. DETAILS DU PROGRAMME Titre du programme Programme du Cadre Commun pour l Eau, l Hygiène et l Assainissement Reliant Urgence, Reconstruction et Développement au Nord Mali Numéro de contrat MLA1AK (interne à ) Localisation Nord du Mali. Quatre régions : Gao, Kidal, Mopti, et Tombouctou Secteur Eau, Hygiène et Assainissement (EHA) Action Contre la Faim (), Handicap International (HI), Lay Volunteers Acteurs opérationnels International Association (), Oxfam International, Solidarités contractants International (), Partenaire principal Directions Régionales de l Hydraulique(DRHs) et Direction Nationale de l Hydraulique (DNH) Durée 12 mois Début 01 Juillet 2014 Fin 30 Juin 2015 Donneur ECHO Langue du programme Français Budget du programme 1 3,187,807 Type d évaluation Evaluation indépendante finale Période d évaluation 06/08/ /09/ Selon le Single Form, ceci est le budget cumulé de tous les partenaires financé exclusivement par ECHO.

2 ACRONYMES & ABBREVIATIONS : -E: AEP: AEPA: CAP : CC : CE: CR : ECHO : EHA: HI : CAD: DNH: DRH: LRRD : : ONG: : TdR: WaSH : Action Contre la Faim -Espagne Adduction eau potable Alimentation eau potable et assainissement Connaissance, Aptitude et Pratique Cadre Commun Commission Européenne Compte Rendu Aide Humanitaire et Protection Civile de l Union Européenne Eau, Hygiène et Assainissement Handicap International Comité d'aide au développement Direction Nationale de l Hydraulique Direction Régionale de l Hydraulique Linking Relief, Rehabilitation and Development / Lien entre urgence, réhabilitation et développement Lay Volunteers International Association Organisation Non-Gouvernementale Solidarités International Termes de Reference Water Sanitation and Hygiene / Eau, Hygiène et Assainissement 2

3 1.1 Carte de la zone du programme La zone d'intervention du Programme «Cadre Commun pour l Eau, l Hygiène et l Assainissement Reliant Urgence, Reconstruction et Développement» (CC WASH LRRD) couvre quatre régions au Mali: Gao, Kidal, Mopti, et Tombouctou. Le ciblage des sites par région est comme suit: Région Cercles concernés Communes Gao 2 Ansongo, Bourem, Gao Ansongo, Bara, Bourra, Outagouna, Tessit, Tin Hamma, Watagouna; Bamba, Bourem, Taboye, Temera; Ntilit, Soni Aliber. Kidal Abeibara, Tessalit, Ti-n-Essako Abeibara; Adjelhoc, Tessalit ; Tin Essako Mopti Mopti, Tenenkou Ouroubé Doubé ; Diafarabe Tombouctou D-ire, Goundam, Gourma- Rharous, Niafunke, Tombouctou Bourem Sidy Ama, Dangha, Sareyamou, Tindirma; Tonka; Gossi, Haribomo, Ouinerden; Banikane Narhawa; Alafia 1.2 Vue d ensemble du Programme Au Mali, malgré les nets progrès accomplis ces dernières années en matière d'accès à l'eau potable et à l'assainissement, des besoins importants restent encore à couvrir. Le cadre institutionnel, au même titre que le manque de ressources financières, a longtemps limité les capacités à répondre à ces besoins. C est pourquoi en 2000, le Gouvernement s'est doté d'une stratégie de développement de l'alimentation en eau potable et de l'assainissement (AEPA) ainsi que d un cadre législatif et réglementaire (le Code de l'eau) adapté au contexte de la décentralisation et régissant le secteur de l'eau. Cependant, si des avancées ont été faites au niveau du cadre institutionnel, la situation s est aggravée dans les régions Nord du Mali à cause du conflit, qui entrainé la fuite des capacités locales 2 Le negociations sont en cours avec ECHO pour l'intervention de dans le Cercle de Menaka (communes: Menaka, Anderboucane, Tidermene et Inekar) 3

4 et de sérieux dommages dans les infrastructures des services d approvisionnement en eau potable (pillage d équipements, fuite des structures de gestion, etc.). Ainsi, même si on assiste depuis 2013 à un retour progressif des services techniques dans ces régions, force est de constater que le cadre institutionnel est encore fragile et les capacités des services techniques, tant au niveau humain que financier, encore insuffisantes. De plus, le personnel compétent tarde plus encore à revenir, causant également un déficit de personnes formées pour faire face aux problèmes récurrents de la zone. Le climat d'insécurité ambiant dans les Régions du Nord ne facilite pas un retour à la normale et la reconstruction d'un cadre institutionnel solide. Certains défis ont été constatés dans le Nord du Mali : une faible coordination et harmonisation des interventions WaSH, une faible intégration entre projets d urgence et projets de développement et aussi une faible pérennité des réalisations avec des taux de non-fonctionnalité élevés des ouvrages. Compte tenu de ce qui précède et du besoin humanitaire conséquent au conflit, qui s est révélé être le point d entrée pour les interventions financées par ECHO, le programme CC WaSH LRRD, une action conjointe de 5 ONG internationales et d', souhaite mettre en œuvre une approche innovante pour améliorer le système d'approvisionnement en eau potable dans quatre régions du Nord Mali, ayant été particulièrement affectées par la crise sécuritaire et politique. Les membres de cette action partagent un même cadre logique et mutualisent leurs ressources, leurs outils de travail et leurs compétences. La recherche de complémentarités et synergies (la proximité du terrain et l opérationnalité des ONG avec le poids institutionnel accru et l étroite relation avec les acteurs publiques de l ) vise ainsi à atteindre une meilleure distribution des zones d intervention, une coordination et une harmonisation accrue des méthodes d interventions, un partage d informations, un poids plus important dans le plaidoyer et enfin un plus grand impact des interventions. De plus, ce programme adopte une approche LRRD, considérée propice en raison de la coexistence de facteurs à la fois conjoncturels et structurels affectant les services d eau dans le Nord du Mali et de la volonté des acteurs humanitaires de soutenir une transition vers le développement. Celui-ci vise également la recherche d approches méthodologiques plus efficaces pour assurer une meilleure gestion technique et financière des ouvrages, de même que le renforcement des capacités des acteurs publics, privés et associatifs pour un meilleur exercice de leurs mandats respectifs dans le but d une meilleure pérennisation des infrastructures. Les 3 piliers du CC WaSH LRRD sont la cohérence (harmonisation des outils et méthodes de travail), la complémentarité (par un échange technique et un partage des expertises) et la capitalisation de l expérience (documenter cette dernière). 1.3 Objectifs du Programme, Bénéficiaires cibles et Structure de la Gestion Objectif général: Contribuer à ce que les services soient assurés pendant la période de transition jusqu'à ce que le gouvernement malien rétablisse les services publics. Objectif spécifique: les populations les plus affectées par la crise dans les régions du nord ont un accès amélioré à un système d'approvisionnement en eau potable. Résultat 1. Les acteurs impliqués dans la gestion des services d hydraulique bénéficient des résultats et recommandations issus d une étude sur les systèmes d approvisionnement en eau potable Résultat 2. Les expertises techniques et opérationnelles des Directions Régionales de l Hydraulique (DRHs) et des communes sont identifiées et renforcées afin d être en mesure d assumer leur rôle conformément à la politique nationale Résultat 3. L accès à l eau potable en quantité et qualité pour les populations bénéficiaires du programme est amélioré. 4

5 Résultat Transversal. Coordination, harmonisation, capitalisation et plaidoyer. Cadre Logique du Programme ci-joint en Annexe I. Les bénéficiaires 3 sont près de 150,000 personnes réparties dans environ 160 villages dans les 4 régions sahéliennes de Gao, Kidal, Mopti, et Tombouctou, et ce, à travers la réhabilitation de 142 points d eau et 15 mini-réseaux d adduction d eau potable (AEP). Le tableau ci-dessous présente les détails de ceux-ci par organisation et localisation. Organisation Nb de points d eau Régions Cercles 30 Gao Ansongo HI 32 Tombouctou Gourma-Rharous 30 Gao Bourem Oxfam 20 Gao Bourem, Gao, Menaka 30 Tomboctou Dire, Niafunke, Goundam 15 AEP Tombouctou, Diré, Goundam, Gourma- Tombouctou (5) Rharous Gao (4) Bourem, Ansongo Kidal (4) Tessalit, Abeibara, Tin Essako Mopti (2) Tenenkou, Mopti Le pilotage du programme est assuré par cinq ONG internationales, à savoir Action Contre la Faim (), Handicap International (HI), Lay Volunteers International Association (), Oxfam International (OI), Solidarités International () et. Le partenariat possède un modèle de structure du Cadre Commun avec une structure de gestion simple, qui est assurée par un Comité Technique. Le schéma ci-dessous présente le modèle de structure du Cadre Commun ainsi que ses 3 fonctions principales et la position des différentes parties prenantes : la gestion opérationnelle; le partage, la formation et la capitalisation; le réseautage, le plaidoyer et le partenariat. 3 Selon ECHO Single Form, la répartition des bénéficiaires directs estimée est la suivante: : 29,715 personnes; HI: 12,800 personnes; : 12,000 personnes; : 27,617 personnes; : 23,353 personnes ; : 51,000 personnes. Le total s élève à 156,485. Ce chiffre doit être pris avec précaution, compte tenu du fait que le critère utilisé pour recenser les bénéficiaires diffère selon les partenaires (par exemple, certains peuvent inclure le nombre de personnes ayant été sensibilisées sur l hygiène, alors que d autres non). 5

6 1.4 Statut Actuel du programme Veuillez-vous référer à l Annexe II pour une brève description du statut des projets. 2. BUT ET OBJECTIFS DE L EVALUATION 2.1 Justification de l Évaluation Cette évaluation finale s inscrit dans une démarche de transparence et de recevabilité vis-à-vis des bénéficiaires, partenaires et du bailleur. L évaluation est financée par ECHO et entend évaluer la performance du CC WaSH LRRD après une année de mise en œuvre du programme. 2.2 Objectif de L Evaluation i. Evaluer l efficacité globale du CC WaSH LRRD, afin de s assurer que les populations les plus affectées par la crise dans les régions du nord aient un accès amélioré à un système d'approvisionnement en eau potable. 2.3 Les utilisateurs cibles de l évaluation Les utilisateurs directs de l évaluation sont les six partenaires référents de WaSH, le staff du management, le staff opérationnel au niveau de la mission, les départements opérationnels au niveau des sièges et ECHO. Les utilisateurs indirects de l évaluation sont les partenaires techniques et financiers, les gouvernements, les services techniques de l Etat, les ministères, Agences de l ONU et les Global Clusters, ONG et consortiums d ONG, de même que les plateformes humanitaires leaders (telles qu ALNAP). 2.4 Utilisation de l Évaluation L évaluation sera utilisée afin de mettre en lumière les changements nécessaires dans la structure de gestion ainsi que dans la conception du programme, en soulignant les points forts et les points faibles de la mise en œuvre de la nouvelle approche relative aux interventions WaSH. 3 CHAMPS DE L EVALUATION 3.1 Portée de l évaluation L évaluation doit prendre en compte les objectifs, les résultats et les indicateurs mentionnés dans le cadre logique du programme. Elle devra examiner les standards et la qualité des biens et des services produits par ce programme, selon l opinion des bénéficiaires, des départements techniques et de gestion des partenaires (, HI,, Oxfam,, ), des services techniques du gouvernement malien (DRHs et DNH), et d autres personnes ressources. 6

7 L évaluation devra se concentrer sur le programme, plutôt que sur les 6 interventions de manière séparée. Elle devra étudier l ensemble du programme d après le cadre logique, notamment les projets et la contribution des 6 structures à l atteinte des 3 résultats attendus. L évaluation devra également analyser la coordination des plateformes d acteurs, en observant leurs principaux aspects : partage, harmonisation, visibilité et capitalisation. L évaluation devra permettre d identifier clairement les points forts et les points faibles du programme, du partenariat mis en place, mais aussi d identifier les leçons apprises afin de formuler des recommandations concrètes. 3.2 Éléments transversaux souhaite que les éléments transversaux soient intégrés à l évaluation, notamment les questions de genre, les vulnérabilités spécifiques, l impact environnemental, la participation des acteurs locaux, et le partenaire (le CC). En ce qui concerne le genre, l évaluation doit prendre en compte les objectifs spécifiques du Consensus européen sur l aide humanitaire, faisant partie de la Politique sur le Genre d ECHO, à savoir l intégration, la participation et la protection du genre. Dans ce but, l évaluateur doit utiliser l'outil Gender-Age Marker 4 de la Commission européenne, qui évalue dans quelle mesure chaque action humanitaire intègre des considérations de genre et d âge. L évaluation doit inclure un chapitre spécifique sur l inclusion 5 dans le rapport d évaluation. Plus particulièrement, les questions d évaluation présentées en Annexe III intègreront les aspects de genre et de vulnérabilités. 4 CRITERES ET QUESTIONS DE L EVALUATION Selon la Politique d Evaluation d et ses lignes directrices 6, souscrit aux critères du Comité d Assistance au Développement (CAD) pour les évaluations. Plus précisément, utilise les critères suivants: Conception, Pertinence, Cohérence, Couverture, Efficacité, Efficience, Durabilité et Potentialité d Impact. Deux critères de l EU sont ajoutés aussi : valeur communautaire ajoutée et complémentarité. Les questions d évaluation ont été développées afin d aider le(s) évaluateur(s) à évaluer le programme en fonction de ces critères (se référer à l Annexe III). L évaluateur peut adapter les critères et questions de l évaluation, néanmoins tout changement fondamental doit être approuvé par l ELA 7 à -UK et le(s) évaluateur(s) et doit être mentionné dans le rapport initial. Efficacité de gestion et Suivi du programme Même si le suivi n est pas un critère spécifique de l évaluation en soi, il est important que ce dernier soit pris en considération afin que, dans une éventuelle deuxième phase du programme, le CC puisse améliorer les processus de suivi de ces projets, les effets et les résultats de ces derniers. L évaluateur/trice pourra proposer d autres points sur lesquels il jugera pertinent de faire des recommandations et commentaires Les membres du CC se sont engagés à réaliser à chaque étape du cycle de projet, dans la mesure du possible, les actions prévues dans la Check-list du CC pour l égalité et inclusion (E&I) L équipe Evaluer, Apprendre et Rendre compte à -UK 7

8 5 METHODOLOGIE Cette section décrit l'approche méthodologique proposée afin de recueillir les données quantitatives et qualitatives. L'évaluateur/trice développera, dans la mesure du possible, des instruments et des méthodes de collecte des données qui permettent la collecte de données ventilées par sexe. Les instruments doivent permettre la triangulation des données lorsque cela est possible. 5.1 Briefing avec ELA Avant que l évaluation ne commence, l évaluateur/trice recevra un briefing technique sur l approche de l évaluation de la part d ELA à -UK par Skype. 5.2 Briefings avec le siège de chaque partenaire et leurs missions respectives au Mali Dans le cadre de l évaluation, l évaluateur/trice recevra un briefing de la part des personnes concernées par le programme (point focal technique) au siège et avec le personnel de coordination de la mission à Mali afin de collecter des informations préliminaires concernant le programme en cours d évaluation. La possibilité de briefings téléphoniques doit être discutée et convenue au préalable. 5.3 Etude documentaire L évaluateur/trice doit lire la documentation relative au programme. Celle-ci comprend les documents et propositions du programme, les rapports intermédiaires, produits du programme (matériels de communication, vidéos, enregistrements etc.), les résultats de tout processus de planification interne et les documents pertinents provenant de sources secondaires (se référer à l Annexe IV). 5.4 Rapport initial À la fin de la période d étude documentaire et avant la mission sur le terrain, l'évaluateur/trice préparera un bref rapport initial. Ce document sera écrit en français (l anglais est également accepté, seulement pour le rapport initial) et doit comporter les éléments suivants: Les éléments clés des Termes de Référence pour démontrer que l'évaluateur/trice adhèrera aux termes de référence Présenter l'approche méthodologique de l'évaluation (y compris une matrice d'évaluation en annexe afin de préciser comment il/elle permettra de recueillir des données pour répondre aux questions d'évaluation) et de souligner les limites de la méthodologie le cas échéant ; Fournir un plan de travail détaillé et Déclarer adhésion à la politique d'évaluation d et exposer le format de rapport d'évaluation. Le rapport initial sera discuté et approuvé par l'ela à -UK. 8

9 5.5 Activités de terrain Briefing avec ECHO Mali Dans le cadre de l évaluation, l évaluateur/trice recevra un briefing de la part de ECHO à Mali afin de collecter des informations préliminaires concernant le programme en cours d évaluation Entretiens Dans le cadre de l'évaluation, l'évaluateur/trice effectuera des entretiens avec les principaux intervenants du programme selon la liste de l'annexe IV. L'évaluateur/trice utilisera le format le plus approprié pour ces entretiens comme expliqué dans le rapport initial Des visites de terrain L'évaluateur/trice visitera le terrain où le programme est situé et les établissements avec des commodités offertes aux bénéficiaires. Des méthodes d évaluation standards et participatives doivent être utilisées (entretiens avec les unités familiales et focus group discussion avec les bénéficiaires, non-bénéficiaires, informateurs clés relais communautaire, enseignants et leaders) Etude documentaire L'évaluateur/trice doit recueillir des données de suivi du programme ou toutes autres données statistiques pertinentes. Le(s) évaluateur(s) poursuivront la récolte de données de suivi du programme ou de toute donnée statistique ventilée par le sexe pertinente (y compris la réalisation d enquête visant à enrichir la triangulation si le budget et le temps le permettent) Débriefing avec ECHO Mali L évaluateur/trice devra présenter les résultats préliminaires, y compris les conclusions, les recommandations et les améliorations proposées pour le futur Débriefing & atelier d apprentissage L évaluateur/trice devra faciliter un atelier d apprentissage afin de présenter les résultats préliminaires et les conclusions de l évaluation à la mission et autres parties prenantes, rassembler les retours sur les conclusions, atteindre un consensus sur les recommandations, et développer les affirmations de l atelier dirigées vers l action et basées sur les leçons et les améliorations proposées pour le futur. 5.6 Rapport d évaluation Le rapport devra être écrit en Français et suivre le format suivant : Page de garde Table des matières Résumé : le résumé devra pouvoir être utilisé en tant que tel, décrivant le programme, les conclusions et les principales recommandations de l évaluation. Ce document sera de deux (2) pages maximum. Corps du rapport : le rapport développera les points listés dans le résumé. Il inclura la référence à la méthodologie utilisée pour l évaluation et le contexte de l action. Par ailleurs, la recommandation correspondante sera attachée à chaque conclusion clé. Les 9

10 recommandations doivent être autant réalistes, opérationnelles et pragmatiques que possible, prenant précautionneusement en compte les circonstances exceptionnelles du contexte de l action et des ressources disponibles pour cette dernière tant sur le terrain qu au siège exécutif concerné. Annexes : listées et correctement numérotées. Le format du corps du rapport est le suivant : o Contexte o Méthodologie o Constatations & discussions o Conclusions o Recommandations o Annexes: cadre logique du programme, liste de la documentation pour l étude documentaire, liste des entretiens, calendrier détaillé de l évaluation, etc. Le rapport doit être soumis dans la langue spécifiée dans les TdRs. Le rapport ne doit pas excéder 30 pages, 50 pages annexes y compris. Le rapport préliminaire ne devra pas être soumis plus de 10 jours après le départ du terrain. Le rapport final ne devra pas être soumis plus tard que la date de fin du contrat de consultance. Les annexes du rapport seront acceptées dans la langue de travail du pays ou du programme évalué. 5.7 Débriefing avec le siège de chaque partenaire 8 L évaluateur/tice devrait effectuer un débriefing avec le siège de chaque partenaire concerné sur son rapport initial, les principales constations, conclusions et recommandations de l évaluation. Les retours et commentaires pertinents devrons être inclus dans le rapport final. 5.8 Débriefing avec ELA à -UK L évaluateur/trice devrait effectuer un débriefing avec ELA pour discuter des questions liées au rapport de l évaluation. 6 PRODUITS CLES Dates clés des produits de l évaluation: Produit Date limite Rapport initial 12/08/2015 Atelier d apprentissage-terrain 25/08/2015 Soumission du rapport provisoire d évaluation 02/09/2015 Soumission du rapport final d évaluation 16/09/2015 Produits de l évaluation Les produits de l évaluation devront être présentés dans un rapport écrit ainsi par le biais de différentes présentations orales (par l aide d un PowerPoint ou aide-mémoire): Une sur le terrain (au chef de mission et personnel technique concerné) et une au siège de chaque partenaire 9 (en personne ou par téléconférence). 8 Pour, ils agit du bureau de Bamako 9 Une présentation à Bamako suffit pour. 10

11 7 MODALITES DE GESTION ET PLAN DU TRAVAIL 7.1 Procédure de soumission du rapport d évaluation L'évaluateur/trice soumettra le projet de rapport exclusivement à l'ela à -UK à Londres; L ELA fera un contrôle de qualité et décidera si le rapport est prêt à être partagé; L ELA fera parvenir une copie aux principaux intervenants pour commentaires sur des questions de fait et de clarification; L ELA consolidera les commentaires et les enverra à l'évaluateur/trice à la date convenue entre l'ela et l'évaluateur/trice, ou dès que les commentaires des parties prenantes sont reçus; L'évaluateur/trice soumettra le rapport final à l'ela qui transmettra ensuite officiellement aux parties prenantes, y compris le donneur. 7.2 Plan de travail provisoire Activités Jours travaillés Dates Briefing ELA /08/2015 Briefing avec le siège de chaque partenaire 1 06/08/ /08/2015 Revue documentaire et préparation du rapport initial 3 10/08/ /08/2015 Voyage sur la mission 1 13/08/2015 Briefing dans le pays avec ECHO Mali et le staff du programme /08/ /08/2015 Travail sur le terrain, récolte et analyse des données 18/08/ secondaires et meeting avec les parties prenantes 24/08/2015 Debriefing avec ECHO Mali /08/2015 Ateliers avec les parties prenantes dans le pays 1 25/08/2015 Voyage retour 1 26/08/2015 ELA débriefing /08/2015 Débriefing Partenaire siège par Skype /08/2015 Préparation du rapport préliminaire d évaluation et 28/08/ soumission à -UK 02/09/2015 -UK: contrôle de la qualité du rapport par ELA, circulation aux parties prenantes et consolidation des commentaires pour envoi à l évaluateur /trice 7 03/09/ /09/2015 Finalisation du rapport final d évaluation 3 16/09/2015 Total de jours travaillés par l évaluateur/trice Profile de l évaluateur/trice L évaluateur/trice devra avoir le profil suivant : Connaissances dans les programmes en WaSH Connaissance des problématiques humanitaires au Nord de Mali serait un plus 11

12 Expérience de terrain confirmée en évaluation de programme (plus d un projet) avec partenariats Expérience en analyse de structures de gestion. Diplôme pertinent ou expérience équivalente liée à l évaluation à entreprendre Expérience considérable dans la coordination, la conception, la mise en œuvre, le suivi et l évaluation de programmes Compétence en communication et dans l organisation et la conduite d ateliers Capacité à écrire des rapports clairs et utiles (il peut être demandé de fournir des exemples de travaux précédents) Connaissance des problématiques humanitaires au Nord de Mali serait un plus Parlant couramment le français Compréhension des exigences d ECHO Capacité à gérer le temps et les ressources et à travailler avec des échéances serrées Indépendant des parties engagées Disponible pour toute la durée de l évaluation Compte tenu des conditions de sécurité, une préférence sera donnée aux candidats de nationalité africaine 8 DROITS ET QUESTIONS D ETHIQUE La propriété du rapport (initial et final) appartient exclusivement au siège commanditaire et au bailleur concerné. Le document, ou toute autre publication liée à ce dernier, ne sera partagé qu avec avant que celui-ci ne transmette le document final au bailleur de fonds. est le destinataire principal de l évaluation et ses résultats auront un impact sur les stratégies tant opérationnelles que techniques. Ceci étant dit, il est probable qu partage les résultats de l évaluation avec les groupes suivants : Donneur(s) Partenaires gouvernementaux Entités de coordination variées pourra aussi décider de la diffuser auprès de ses partenaires, bailleurs de fonds, Clusters nutrition et sécurité alimentaires, et de la publier dans différents médias. Droits de propriété intellectuelle Tous les documents liés à l évaluation (dans le cadre ou non des tâches de l évaluateur/trice), doivent demeurer la propriété seule et entière d. 9 RESPONSABILITÉS Le consultant et l ensemble du personnel recruté par l évaluateur sur la consultance, devront toujours respecter les règles de sécurité en vigueur pour le personnel d, en s engageant par écrit à cet effet. Le consultant et l ensemble du personnel recruté par l évaluateur sur la consultance doit entièrement respecter le Charte. Evaluateur et l équipe d évaluation recevra un briefing sécurité spécifique avant le démarrage de la consultance par point focal sécurité. 12

13 -E n est pas responsable de la sécurité de l évaluateur et des éventuelles personnes recrutées par évaluateur, qui restent les seules responsables de sa propre sécurité. Le Consultant sera responsable de son assurance médicale et personnelle pendant toute la durée de l évaluation. Toutes les frais pour les déplacements internationaux, éventuel cout de VISA, le logement, les frais de nourriture son sur la charge de consultant. Le(s) traducteur/interprète (s) pendant le séjour sur le terrain seront organisés avec l appui du consultant et payés par. Le logement et le transport local (véhicule location, essence et conducteur) pendant les voyages sur le terrain seront organisés (et payé) par consultant. Le consultant devra avoir ses propres équipements nécessaires à l évaluation (ordinateur, appareil photo, téléphone, etc.). 10 ANNEXES I. Cadre Logique du Programme II. Statut Actuel du Programme III. Questions spécifiques de l évaluation IV. Liste de la documentation pour l étude documentaire V. Liste des personnes pour les entretiens 13

14 Annexe I. Cadre Logique du Programme Objectif général Objectif spécifique Contribuer à ce que les services de base soient assurés pendant la période de transition jusqu'à ce que le gouvernement malien rétablisse les services publiques Organisation Indicateurs objectivement vérifiables Sources et moyens de vérification 70% des recommandations émises sont reconnues par Compte rendu de l atelier de restitution validé par les la Direction Nationale de l Hydraulique (DNH) et les Partenaires Techniques Financiers (PTF) participants Evaluation externe du projet 80% des personnes interrogées au sein des DRH et des Evaluation externe du projet Communes qui estiment que leurs capacités de gestion Sondage auprès des personnes compétentes DRH, du système d approvisionnement en eau potable ont été communes renforcées grâce au projet 80% des ménages s approvisionnant à un point d eau Evaluation externe du projet réhabilité ont un accès toute l année à un point d eau en Evaluation technique des points d eau (suivi qualité de quantité suffisante et en qualité selon les normes l eau, suivi piézométrique, fréquentation des points d eau nationales pendant la durée du projet) HI 70% des recommandations émises sont reconnues par Evaluation externe du projet (Sondage auprès des la Direction Nationale de l'hydraulique (DNH) et les personnes compétentes DRH, communes) Partenaires Techniques Financiers (PTF) 80% des personnes interrogées au sein des DRH et Communes qui estiment que leurs capacités de gestion du système d'approvisionnement en eau potable ont été Sondage organisé auprès des participants renforcées grâce au projet 70% des ménages s'approvisionnant à un point d'eau Evaluation technique des points d'eau avant et après réhabilité ont accès toute l'année à de l'eau en quantité réhabilitation suffisante et de qualité adéquate 70% des recommandations émises sont reconnues par la Direction Nationale de l Hydraulique (DNH) et les Partenaires Techniques Financiers (PTF) Compte rendu de l atelier de restitution validé par les participants Evaluation externe du projet 80% des personnes interrogées au sein des DRH et des Sondage des personnes de la DRH ayant participé à communes estiment que leurs capacités de gestion du Les populations les plus affectées par la l action seront interviewées pour partager leur évaluation système d approvisionnement en eau potable ont été crise dans les régions du nord ont un accès de l impact du projet). renforcées grâce au projet. amélioré à un système d'approvisionnement Evaluation technique des points d'eau avant et après en eau potable 70% des ménages s approvisionnant à un point d eau réhabilitation (suivi qualité de l eau, suivi piézométrique, réhabilité ont accès toute l année à l'eau en quantité fréquentation des points d eau pendant la durée du suffisante et en qualité adéquate projet). 70% des recommandations émises sont reconnues par la Direction Nationale de l Hydraulique (DNH) et les Partenaires Techniques Financiers (PTF) 80% des personnes interrogées au sein des Directions Régionales de l Hydrauliques et des Communes qui estiment que leurs capacités ont été renforcées grâce au projet 70% des ménages s approvisionnant à un point d eau réhabilité ont un accès toute l année à de l eau en quantité suffisante et de qualité adéquate 70% des recommandations émises reconnues par la Direction Nationale de lhydraulique (DNH) et les Partenaires Techniques Financiers (PTF). 80% des personnes interrogées au sein des DRH et des communes estiment que leurs capacités de gestion du système dapprovisionnement en eau potable ont été renforcées grâce au projet. Compte rendu de l atelier de restitution validé par les participants Évaluation externe du projet Sondage auprès des personnes compétentes DRH, communes (évaluation externe) Evaluation technique des points d eau avant et après réhabilitation Enquête CAP Enquête de fréquentation au point d'eau Analyse de l eau Suivi piézométrique des points d eau Compte rendu de latelier de restitution validé par les participants. Sondage aupres du personnels de la DNH et des PTF. Evaluation externe du projet. Sondage des personnes de la DRH ayant participé à laction seront interviewées pour partager leur évaluation de limpact du projet). 70% des ménages sapprovisionnant à un point deau Evaluation technique des points d'eau avant et après réhabilité ayant un accès toute lannée à un point deau en réhabilitation incluant rapports d'analyses d'eau. quantité suffisante et de qualité adéquate. Evaluation interne et externe du projet. 14

15 Résultat attendu 1. Les acteurs impliqués dans la gestion du système d'approvisionnement en eau bénéficient des résultats et recommandations issus de l'étude sur les systèmes d'approvisionnement en eau potable Organisation Indicateurs objectivement vérifiables HI Le rapport d'étude produit est disponible 8 mois après le début du projet. 70% des acteurs clés ayant participe aux ateliers de partage et capitalisation sont favorables à adopter les recommandations dans leur stratégie. 70% des acteurs clés ayant participé aux ateliers de partage et capitalisation sont favorables à adopter les recommandations dans leur stratégie. Le rapport d'étude produit est disponible 8 mois après le début du projet. 70% des acteurs clés ayant participe aux ateliers de partage et capitalisation qui sont favorables à l'adoption et l'intégration des recommandations dans leurs stratégies. Le rapport d étude produit est disponible 8 mois après le début de projet 70% des acteurs clés ayant participé aux ateliers de partage et capitalisation sont favorables à adopter les recommandations dans leur stratégie Le rapport d'étude produit est disponible 8 mois après le début du projet. 70% des acteurs clés ayant participe aux ateliers de partage et capitalisation qui sont favorables à l'adoption et l'intégration des recommandations dans leurs stratégies. Le rapport détude produit est disponible 8 mois après le début de projet Sources et moyens de vérification Rapport d'étude sur le fonctionnement des systèmes d'approvisionnement en eau. Lettres de transmission du rapport de recommandations Evaluation externe Enquête rapide en fin d'atelier Ordre du jour des rencontres cadres de la DNH. CR des ateliers de partage régionaux et national Document de Stratégie de plaidoyer Evaluation externe Enquête rapide en fin d'atelier Ordre du jour des rencontres cadres de la DNH. CR des ateliers de partage régionaux et national Rapport d'étude sur le fonctionnement des systèmes d'approvisionnement Lettres de transmission du rapport de recommandations Document de Stratégie de plaidoyer Evaluation externe Enquête rapide en fin d atelier Ordre du jour des rencontres cadres de la DNH. Compte rendu des ateliers de partage régionaux et nationaux. Document de stratégie de plaidoyer. Le rapport d étude sur les systèmes d approvisionnement en eau potable Rapport d étude sur le fonctionnement des systemes d approvisionnement Lettres de transmission du rapport de recommandations. Évaluation externe Compte rendu des ateliers de partage régionaux et national Enquête rapide en fin d atelier Ordre du jour des rencontres cadres de la DNH Rapport d étude sur le fonctionnement des systèmes d approvisionnement Lettres de transmission du rapport et des recommandations Document de Stratégie de plaidoyer Evaluation externe Enquête rapide en fin datelier Ordre du jour des rencontres cadres de la DNH. Compte rendu des ateliers de partage régionaux et nationaux. Document de stratégie de plaidoyer. Rapport détude sur le fonctionnement des systemes dapprovisionnement Lettres de transmission du rapport et des recommandations 15

16 Organisation Indicateurs objectivement vérifiables HI 70% des structures hydrauliques réhabilitées, dans le cadre de projet, qui sont validées, réceptionnées et inventoriées dans la base de données GMA par la DRH de Gao. A la fin du projet, la DRH en lien avec les communes ont mis en place la validation et la réception des ouvrages hydrauliques auprès de 50% des acteurs présents dans les région de Gao. Sources et moyens de vérification Base de données GMA Procès-Verbaux de réception des ouvrages hydrauliques Base de données GMA Procès-Verbaux de réception des ouvrages hydrauliques Un diagnostic comprenant l'identification des Rapport de diagnostic des besoins en renforcement de capacités besoins en renforcement des capacités Plan de renforcement des capacités. techniques et opérationnelles ainsi qu'une Evaluation externe (inclus Rapport d'évaluation des plans d'action à planification et budgétisation est disponible 5 fin de projet + Sondage/enquête de satisfaction auprès des DRH et mois après le début du projet. des communes) 80% des participants formés sont satisfaits des formations reçues. 70% des structures hydrauliques réhabilitées, dans le cadre de projet, sont validées, réceptionnées et inventoriées dans la base de données GMA par la DRH Rapport de formations (avec mesure de «satisfaction» inclut dans le rapport) Base de données GMA PV de réception des ouvrages hydrauliques Evaluation externe Un diagnostic comprenant l'identification des besoins en renforcement des capacités Diagnostic et plan de renforcement techniques et opérationnelles ainsi qu'une Evaluation externe planification et budgétisation est disponible 4 mois après le début du projet. A la fin du projet, les DRH en lien avec les communes ont mis en place la validation et la réception des ouvrages hydrauliques auprès de 50% des acteurs présents dans les régions 80% des participants formés sont satisfaits des formations reçues. 70% des structures hydrauliques réhabilitées, dans le cadre de projet, qui sont validées, réceptionnées et inventoriées dans la base de données GMA par la DRH Rapport de diagnostic des besoins en renforcement de capacités Plan de renforcement des capacités Rapport de formation Base de données GMA Procès-Verbaux de réception des ouvrages hydrauliques Résultat attendu 2. Les expertises techniques et opérationnelles de la DNH, des DRH et des communes sont identifiées et renforcées afin d'être en mesure d'assumer leur rôle conformément à la politique nationale Un diagnostic comprenant l identification des besoins en renforcement des capacités techniques et opérationnelles ainsi qu une planification et budgétisation est disponible au plus tard 8 mois après le début du projet. A la fin du projet, les DRH en lien avec les communes, ont procédé à la validation et la réception des ouvrages hydrauliques auprès de 50% des acteurs présents dans les régions 80% des participants formes sont satisfaits des formations reçues. 70% des structures hydrauliques réhabilitées, dans le cadre de projet, validées, réceptionnées et inventoriées dans la base de données GMA par la DRH Un diagnostic comprenant l identification des besoins en renforcement des capacités techniques et opérationnelles ainsi qu une planification et budgétisation est disponible au plus tard 8 mois après le début du projet A la fin du projet, les DRH en lien avec les communes ont mis en place la validation et la réception des ouvrages hydrauliques auprès de 50% des acteurs présents dans la région de Tombouctou 80% des participants formés sont satisfaits des formations reçues 100% des structures hydrauliques réhabilitées dans le cadre du projet, qui sont validées, réceptionnées et inventoriées dans la base de données GMA par la DRH Un diagnostic comprenant lidentification des besoins en renforcement des capacités techniques et opérationnelles ainsi quune planification et budgétisation est disponible au plus tard 4 mois après le début du projet. A la fin du projet, les DRH en lien avec les communes ont mis en place la validation et la réception des ouvrages hydrauliques auprès de 50% des acteurs présents dans les régions. 80% des participants formes sont satisfaits des formations reçues. Rapport de diagnostic des besoins en renforcement de capacités. Plan de renforcement des capacités Procès-Verbaux de réception des ouvrages hydrauliques Evaluation externe (inclus rapport d évaluation des plans d action a la fin de projet + sondage/enquête de satisfaction auprès des DRH et des communes). Evaluation externe (inclus rapport d évaluation des plans d action a la fin de projet + sondage/enquête de satisfaction auprès des DRH et des communes) Rapport de formations Base de données GMA Procès-Verbaux de réception des ouvrages hydrauliques Rapport de diagnostic des besoins en renforcement de capacités Plan de renforcements des capacités Base de données GMA Procès-Verbaux de réception des ouvrages hydrauliques Evaluation externe (inclus Sondage/enquête de satisfaction auprès des bénéficiaires de la formation) Rapports de formations Base de données GMA mise à jour. Procès-Verbaux de réception des ouvrages hydrauliques Evaluation externe Rapport de l'étude des capacités et du plan de renforcement. Evaluation externe. Procès-Verbaux de réception des ouvrages hydrauliques Evaluation externe (inclus rapport dévaluation des plans daction a la fin de projet + sondage/enquête de satisfaction auprès des DRH et des communes). Evaluation externe (inclus rapport dévaluation des plans daction a la fin de projet + sondage/enquête de satisfaction auprès des DRH et des communes) Rapport de formations 16

17 Résultat attendu 3. Un accès à l'eau en quantité et qualité pour les populations bénéficiaires du projet est amélioré Organisation Indicateurs objectivement vérifiables HI 30% d'augmentation des ménages bénéficiaires pratiquant une conservation et un traitement de l'eau adéquat 80% des villages ciblés disposant d'une structure de gestion permettant d'assurer un accès pérenne à l'eau et dans des conditions d'hygiène adéquate 60% des ménages bénéficiaires enquêtés connaissent une amélioration en quantité 25% des ménages bénéficiaires enquêtés connaissent une amélioration en qualité (baisse de la turbidité, baisse du nombre de coliformes) 30% Augmentation des ménages bénéficiaires pratiquant une conservation et un traitement de l'eau adéquat 80% des villages ciblés disposant d'une structure de gestion permettant d'assurer un accès pérenne à l'eau et dans des conditions d'hygiène adéquate 60% des ménages bénéficiaires connaissent une amélioration en quantité 30% des ménages bénéficiaires connaissent une amélioration en qualité (baisse de la turbidité, baisse du nombre de coliformes) 30% Augmentation des ménages bénéficiaires pratiquant une conservation et un traitement de l eau adéquat 80% des villages ciblés disposent d une structure de gestion permettant d assurer un accès pérenne à l eau et dans des conditions d hygiène adéquate 60% des ménages bénéficiaires connaissent une amélioration de leur approvisionnement en eau en quantité 30% des ménages bénéficiaires connaissent une amélioration de leur approvisionnement en eau en qualité (baisse de la turbidité, baisse du nombre de coliformes) 30% d augmentation des ménages bénéficiaires pratiquant une conservation et un traitement de l eau adéquat 80% des villages ciblés disposant d une structure de gestion permettant d assurer un accès pérenne à l eau et dans des conditions d hygiène adéquate 60% des ménages bénéficiaires connaissent une amélioration en quantité de l eau potable 30% des ménages bénéficiaires connaissent une amélioration en qualité (baisse du nombre de coliformes) Sources et moyens de vérification Enquête CAP (début et fin) Rapport de suivi du système d'exploitation et maintenance des points d'eau Rapport de suivi d'analyse de l'eau au niveau des ménages Rapport de suivi d'analyse de l'eau au niveau des ménages Rapport de suivi d'analyse de l'eau au niveau des ménages Enquêtes CAP (début et fin) Enquête de fréquentation Enquête CAP Rapport de suivi d'analyse de l'eau dans les points d'eau Support de gestion du comité de gestion du point d'eau Rapport d'évaluation externe du projet Rapport de suivi du système d'exploitation et maintenance des points d'eau Enquête CAP (debut et fin) Rapport de suivi d'analyse de l'eau dans les points d'eau Enquêtes CAP (baseline/endline) Procès verbal de la mise en place des comités de gestion Fiche de suivi et monitoring des comités de gestion. Rapport de suivi des points d'eau Enquête CAP Rapport de suivi d analyse de l eau au niveau des ménages Enquête CAP initiale et finale Rapport de suivi d analyse de l eau au niveau des ménages Procès-verbal de la mise en place des comités de gestion Fiche de suivi et monitoring des comités de gestion. Rapport de suivi du système d exploitation et maintenance des points d eau Enquête CAP initiale et finale Enquête de fréquentation des points d eau Évaluation technique des points d eau avant et après réhabilitation Suivi piézométrique des points d eau Rapport de suivi d analyse de l eau au niveau des ménages 60% de la population des villages ciblés est en mesure d identifier les principaux réservoirs, routes et vecteurs de contamination dans la transmission féco-orale Enquête CAP Nombre d'aep réhabilités. 80% des centres secondaires ciblés disposant d' une structure de gestion permettant dassurer un accès pérenne à leau et dans des conditions dhygiène adéquate. 70% des ménages bénéficiaires connaissent une amélioration de leur approvisionnement en eau en quantité 40% des ménages bénéficiaires connaissent une amélioration de leur approvisionnement en eau en qualité (baisse de la turbidité, baisse du nombre de coliformes) PV de réception des travaux. Procès verbal de la mise en place des comités de gestion Fiche de suivi et monitoring des comités de gestion. Rapport de suivi des points d'eau Enquêtes rapides. Rapports d'analyses d'eau. 17

18 Organisation 1.1 Ateliers-cadres de présentation du programme aux niveau national et régional 1.2 Mise en oeuvre d'une étude multifactorielle sur les systèmes d'approvisionnement en eau au Nord Mali 1.3 Restitution aux différents niveaux les résultats de l'étude menée, et discussion des recommandations 1.4 Elaboration et mise en oeuvre d'une stratégie commune de plaidoyer HI 1.1 Organisation d'ateliers communautaires sur la problématique de l'eau 1.2 Restituer aux différents niveaux les résultats de l'étude menée, et mettre en discussion les recommandations y issues 1.1 Ateliers-cadres de présentation au niveau national et régional 1.2 Mise en œuvre de l étude multisectorielle 1.3 Elaboration de la stratégie de plaidoyer R1. Activités 1.4 Ateliers régionaux et nationaux de diffusion et partage à développer 1.1 Ateliers-cadres de présentation au niveau national et régional (Unicef + ONG) 1.2 Définition des termes de références, méthodologies et outils de diagnostics (Unicef + ONG) 1.3 Mise en œuvre de l étude et partage des résultats (Bureau d étude via Unicef) 1.4 Elaboration de la stratégie de plaidoyer (Unicef + ONG) 1.5 Capitalisation et harmonisation des approches 1.6 Ateliers régionaux et nationaux de diffusion/partage 1.1 Organisation d'ateliers-cadres de présentation au niveau national et régional (Unicef + ONGs). 1.2 Définition des termes de références, méthodologies et outils de diagnostics (Unicef + ONGs). 1.3 Mise en Suvre de létude et partage des résultats (Bureau détude via Unicef, appui des ONGS). 1.4 Elaboration et mise en oeuvre de la stratégie de plaidoyer 1.5 Ateliers régionaux et nationaux de diffusion et partage Organisation 2.1 Evaluation des capacités initiales des DNH, DRH et services décentralisés et élaboration du plan de renforcement 2.2 Mise en oeuvre des activités d'accompagnement et formations auprès des DRH et Communes HI 2.1 Evaluation des capacités initiales des DNH, DRH et services décentralisés et élaboration du plan de renforcement () 2.2 Mise en Suvre des activités d'accompagnement et formations auprès des DRH et Communes R2. Activités 2.1 Evaluation des capacités initiales des DNH, DRH et services décentralisés et élaboration du plan de renforcement à développer () 2.2 Mise en œuvre des activités d accompagnement et formations auprès des DRH et Communes 2.1 Evaluation des capacités initiales des DNH, DRH et services décentralisés et élaboration du plan de renforcement () 2.2 Mise en œuvre des activités d accompagnement et formations auprès des DRH et Communes (Unicef+ONGs) 2.1 Evaluation des capacités initiales des DNH, DRHs et services décentralisés et élaboration du plan de renforcement 2.2 Mise en Suvre des activités daccompagnement et formations auprès des DRH et Communes Organisation 3.1 Réhabilitation de 27 points d'eau prioritaires 3.2 Appui aux systèmes d'exploitation et gestion de 27 points d'eau au niveau communal 3.3 Sensibilisation aux populations ciblées sur les bonnes pratiques d'hygiène et le respect de la chaîne de l'eau (traitement de l'eau à domicile) HI 3.1 Réhabiliter 30 points d'eau prioritaires 3.2 Appuyer les systèmes d'exploitation et gestion des points d'eau au niveau communal 3.3 Sensibiliser les populations ciblées sur les bonnes pratiques d'hygiène et le respect de la chaîne de l'eau (traitement de l'eau à domicile) 3.1 Réhabilitation de 20 points d eau R3. Activités 3.2 Dynamisation des systèmes de gestion des systèmes d approvisionnement en eau avec prise en compte des à développer recommandations de l étude 3.3 Sensibilisation sur la chaîne de l eau 3.1 Diagnostics et définition des zones rurales et urbaines prioritaires (Unicef +ONG) 3.2 Réhabilitation de points d eau et AES (Unicef + ONGs) 3.3 Dynamisation des systèmes de gestion des systèmes d approvisionnement en eau avec prise en compte des recommandations de l étude (ONGs) 3.4 Sensibilisation sur la chaîne de l eau (ONGs) 3.1 Définition des zones rurales et centres secondaires prioritaires et diagnostic technique des AEP. 3.2 Réhabilitation de 15 adductions d'eau potable. 3.3 Dynamisation des systèmes de gestion des systèmes dapprovisionnement en eau avec prise en compte des recommandations de létude. 18

19 Organisation La zone n est pas confrontée à de nouveaux affrontements entre les groupes armés L accès aux communautés est assuré Le personnel des autorités locales et principalement des services techniques revient à son poste et est opérationnel HI Le maintien du cessez le feu et la signature d'un accord de paix entre les groupes armés et l'etat Malien. Les zones d interventions sont accessibles Acteurs institutionnels et directions techniques non ciblés et/ou significativement affectés par l'action des groupes armés Conditions préalables La situation sécuritaire permet aux acteurs humanitaires d intervenir sans être automatiquement ciblés par les groupes armés encore actifs dans la zone. Aucun acteur externe n entreprend des activités ou une démarche préjudiciable aux activités / démarches de dans le cadre de ce projet Accès aux zones de mise en Suvre du projet Acteurs institutionnels et directions techniques ne sont pas ciblés par les groupes armés et leur présence sur le terrain est effective Les ressources nécessaires au projet (humaines, financieres) de tous les membres du programme commun WASH LRRD sont disponible à temps, permettant une bonne coordination et harmonisation des approches, outils, et produits (-E, Handicap International,, Oxfam-GB, Solidarités International et ). 19

20 Organisation II n y a pas d éléments sécuritaires comme la présence de groupes armés, réunions de milices locales de Gao etc) pouvant avoir un impact sur la sécurité des ONG. La criminalité n augmente pas dans la zone d intervention du projet La DNH (DRH) et les responsables communaux facilitent le bon déroulement des projets et participent aux différentes étapes du projet. HI La situation sécuritaire dans le nord du Mali s'est détériorée depuis le mois de Mai dernier avec une avancée des groupes rebelles en dehors de la région de kidal et un repli de l'armée malienne un peu plus vers le sud. Néanmoins, les conditions du cessez le feu signé entre le Mali et les groupes armés prévoient la continuité des interventions humanitaires dans le Nord du pays. L'application de cette mesure est une condition sine qua non à la mise en oeuvre du projet.les principaux risques dans la zone d'intervention du projet sont liés à la reprise du conflit armé entre les groupes armés et l'etat malien d'une part mais aussi les risques non moins importants liés aux groupes terroristes qui eux sont totalement incontrolés et avec lesquels aucun accord n'est envisageable. A cela il faudrait aussi ajouter les risques de conflits communautaires qui même s'ils sont peu probable au vu de bonnes mesures prises dans le cadre la reconciliation nationale en cours peuvent quand meme survenir dans le contexte actuel du Nord du Mali. La DNH/DRH et les responsables communaux facilitent le bon déroulement des projets et participant aux différentes étapes du projet. Les conditions sécuritaires et politiques sont favorables au bon déroulement de l Action. Il n ya pas de nouvelle crise humanitaire majeure remettant en cause l adéquation du projet au contexte. Les acteurs clés reconnaissent un intérêt dans les résultats et recommandations issues de l étude. Les autres acteurs wash dans les régions ciblées partagent les informations. Les budgets opérationnels et moyens logistiques et humains sont disponibles au niveau décentralisé. Les compétences pour le renforcement des capacités techniques et opérationnelles sont disponibles au sein des acteurs du projet. Les espaces de concertation des acteurs sont opérationnels. Les ouvrages hydrauliques dans les villages ne subissent pas de dégradation criminelle Les conditions de sécurité ne se détériorent pas et continuent à permettre l accès des équipes aux Hypothèses et risques bénéficiaires Les leaders communautaires/associations sont disponibles et ont la capacité de s impliquer dans le projet Les prix des matériaux de construction restent stables pendant la durée de l intervention La bonne coopération des autorités locales et des services techniques de l Etat est notée tout au long du projet La DNH (DRH) et les responsables communaux facilitent le bon déroulement des projets et participent aux différentes étapes du projet. Les budgets opérationnels et moyens logistiques et humains des services déconcentrés de l Etat en charge de la gestion de l eau sont disponibles au niveau décentralisés. Intérêt des acteurs clés que sont la DNH/DRH, la DUE, les PTF et les autres organisations travaillant dans le secteur EHA dans les résultats et les recommandations issues des évaluations initiales du projet. Toutes les zones d intervention sont accessibles pendant le moment de l étude et la mise en place des activités. Il n y a pas de crise humanitaire majeure remettant en cause l adéquation du projet au contexte. Les autres acteurs EHA dans les régions ciblées partagent les informations. Les espaces de concertations des acteurs sont existants et opérationnels. Les compétences pour le renforcement des capacités techniques et opérationnelles sont disponibles au sein des acteurs du projet. Les conditions sécuritaires et politiques sont favorables au bon déroulement de laction La DNH (DRHs) et les responsables communaux facilitent le bon déroulement des projets et participent aux différentes étapes du projet. Les compétences techniques appropriées pour la conduite de l'étude sur les systèmes d'approvisionnement en eau sont disponibles au Mali (bureaux d'études). Il ny a pas de crise humanitaire majeure remettant en cause ladéquation de l'intervention au contexte. Les espaces de concertation des acteurs sont opérationnels et les autres acteurs wash dans les régions ciblées partagent les informations. Les budgets opérationnels et moyens logistiques et humains sont disponibles au niveau décentralisé. Les compétences pour le renforcement des capacités techniques et opérationnelles sont disponibles au sein des acteurs du projet. Intérêt des acteurs clés dans les résultats et recommandations issues des études. 20

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